Finlande: fuite de liquide de refroidissement radioactif dans l’enceinte du réacteur EPR

Une fuite de 100 m3 de liquide de refroidissement radioactif s’est produite vendredi dans l’enceinte du réacteur EPR Olkiluoto 3 (OL3) en Finlande, le plus puissant d’Europe, sans “poser de risque”, a annoncé son exploitant TVO lundi.  La fuite a eu lieu à l’occasion de la maintenance annuelle “lors du remplissage de la piscine du réacteur”, a précisé TVO dans un communiqué.”Le liquide de refroidissement s’est écoulé dans des salles de confinement fermées à l’environnement et dans le système de drainage du sol de l’enceinte de confinement”, a-t-il ajouté.”L’incident n’a présenté aucun risque pour le personnel, l’environnement ou la sûreté nucléaire”, a-t-il ajouté.Selon TVO, cette fuite s’est produite “à la suite d’une erreur humaine, une trappe de la piscine n’ayant pas été fermée correctement”.”L’importance de l’événement pour la radioprotection a finalement été faible, grâce aux mesures de sécurité prises”, a-t-il ajouté.Le calendrier de la maintenance n’est pas affecté et devrait s’achever comme prévu en mai.TVO “a commencé à enquêter sur la cause de l’incident et soumettra ultérieurement un rapport” à l’autorité de sûreté nucléaire finlandais (Stuk), en particulier “sur les mesures visant à empêcher qu’il se reproduise”, a indiqué l’autorité dans un communiqué séparé.OL3 est le réacteur nucléaire le plus puissant en opération en Europe et fournit 14% de l’électricité de la Finlande.Comme nombre d’autres chantiers d’EPR, il a été marqué par d’innombrables retards et d’énormes surcoûts qui ont été une des principales causes du démantèlement industriel de son constructeur, le groupe français Areva, depuis rebaptisé Orano.

Major fuel shortage hits black gold producer NigerMon, 10 Mar 2025 12:28:46 GMT

Petrol station attendant Amadou Sani gesticulated to approaching motorists in Niamey to keep going because the garage had no more fuel.Niger has been grappling since the start of the month with an unprecedented shortage of the most widely used petrol in the west African country.”Our tanks have been dry for three days. No-one can say …

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Adopted orphan brings couple ‘paradise’ in war-ravaged Gaza

In their home in war-devastated Gaza City, Iman Farhat and her husband cherish the “paradise” brought by their newly-adopted baby, one of many orphans in the Palestinian territory after more than 15 months of fighting between Israel and Hamas.Wrapping five-month-old Jannah in a brightly coloured blanket, Farhat gently sang as she rocked her to sleep.”I chose Jannah just as she was,” the new mother said smiling, explaining the couple simply wanted to adopt a young child without preference for gender or physical appearance.”Her name was Massa, and I officially changed her name from Massa to Jannah,” which means “paradise” in Arabic, she added.Farhat, 45, and her husband Rami al-Arouqi, 47, adopted the well-behaved and chubby baby in January.”At first, we had mixed feelings of both joy and fear, because it is a huge responsibility and we had never had a child”, said Arouqi, a Palestinian Authority employee.The couple already owned a cat.”The idea of adopting a child had crossed our minds, but it was cemented during the war” which “wiped out entire families and left only orphans”, he added.In September, the United Nations children’s fund, UNICEF, estimated there were 19,000 children who were unaccompanied or separated from their parents in Gaza, Jonathan Crickx, UNICEF’s spokesman for the Palestinian territories, told AFP.Data for the number of adoptions in Gaza was not immediately available.The war sparked by Palestinian militant group Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel left more than 69 percent of Gaza’s buildings damaged or destroyed, displaced almost the entire population and triggered widespread hunger, according to the United Nations.- Life ‘turned upside down’ -Hamas’s attack resulted in the deaths of 1,218 people on the Israeli side, most of them civilians, according to official figures.Israel’s retaliatory military offensive has killed at least 48,446 people in Gaza, the majority of them civilians, according to the Hamas-run territory’s health ministry. The UN considers these figures reliable.Farhat and her husband said that before Jannah’s adoption, she was taken care of by the SOS Children’s Villages — an international NGO which looks after children in need.After the NGO’s premises in the southern Gaza city of Rafah were destroyed in the war, the organisation had to move to nearby Khan Yunis where “they could not house all the children in buildings, so they set up tents for them,” Farhat said.Her husband Arouqi told AFP that another motive for adopting a child came from the idea that “Palestinians should stand by each other’s side”.”The whole world has abandoned and let us down, so we shouldn’t let each other down,” he added.Once the pair took Jannah home, “our life was turned upside down in a beautiful and pleasant way,” he said.”Her name is Jannah and our world has truly become a paradise.”A fragile truce took effect on January 19, largely halting the devastating fighting between Israel and Hamas Palestinian militants. The ceasefire’s first phase ended last weekend.While Israel has said it wants to extend the first phase until mid-April, Hamas has insisted on a transition to the deal’s second phase, which should lead to a permanent end to the war.

Syrie: les autorités annoncent la fin de l’opération militaire sanglante dans l’ouest du pays

Les autorités syriennes ont annoncé lundi la fin “avec succès” de l’opération militaire contre les fidèles du régime déchu de Bachar al-Assad dans l’ouest du pays, au cours de laquelle près de 1.500 personnes ont été tuées, dont un millier de civils dans des exécutions de masse, selon une ONG.Le nouveau dirigeant syrien, Ahmad al-Chareh, a affirmé qu’il ne permettrait pas aux partisans du régime d’Assad, soutenus selon lui par “des parties extérieures”, “d’entraîner le pays” à nouveau “dans une guerre civile”.Les violences sont les plus graves depuis la prise du pouvoir le 8 décembre par une coalition dirigée par des islamistes. Les combats ont été déclenchés par une attaque sanglante le 6 mars du partisans du régime déchu contre les forces de sécurité dans la région de Lattaquié, où se concentre la minorité alaouite dont est issu le clan Assad.Les affrontements ont fait près de 500 morts des deux bords, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), 231 tués dans les rangs des forces gouvernementales et 250 du côté des insurgés.”Les zones visées étaient celles des alaouites et des chrétiens”, a indiqué de son côté le patriarche orthodoxe d’Antioche, Jean X. “De nombreux chrétiens innocents ont également été tués”, a-t-il souligné.Aucun chiffre officiel n’a été communiqué sur le nombre de chrétiens tués.”Plus de cinquante personnes de ma famille et de mes amis ont été tués. Ils ont ramassé les corps avec des bulldozers et les ont enterrés dans des fosses communes”, a témoigné à l’AFP dimanche un habitant alaouite de la ville de Jablé qui a requis l’anonymat.- “Succès” -“Nous annonçons la fin de l’opération militaire (…) après le succès de nos forces pour atteindre tous les objectifs fixés”, a annoncé lundi le porte-parole du ministère, Hassan Abdel Ghani, cité par l’agence officielle Sana.Il a assuré que que les forces de sécurité avaient pu “contenir les attaques contre ce qui reste du régime déchu” et “déjouer l’effet de surprise”, dans une allusion au fait que ces groupes  planifiaient une attaque d’envergure.Lundi, il y avait peu de circulation dans les rues de Lattaquié, la plus importante ville de la côte, selon un correspondant de l’AFP sur place.”La situation est un peu plus calme, les gens ont recommencé à se déplacer après cing jours de grande peur et d’angoisse”, a déclaré à l’AFP Farah, une étudiante de 22 ans qui n’a pas voulu donner son nom de famille. Mais “nous n’avons pas les services les plus élémentaires: il n’y a pas d’eau ou d’électricité depuis cinq jours, nous cherchons de l’eau du puits de notre quartier. Les magasins d’alimentation sont vides et nous ne pouvons rien acheter à manger”, a-t-elle ajouté.Ahmad al-Chareh a promis dimanche soir de poursuivre les responsables de “l’effusion de sang de civils” et formé une commission d’enquête indépendante.Selon des témoignages d’habitants, des jihadistes étrangers faisaient partie des combattants qui se sont livrés à des exactions contre les civils.M. Chareh dirigeait avant sa prise du pouvoir le groupe radical sunnite Hayat Tahrir al-Sham, soumis à des sanctions internationales.”Nous ne permettrons à aucune force extérieure ou à aucun acteur local d’entraîner la Syrie dans le chaos ou la guerre civile”, a-t-il par ailleurs assuré, sans autre précision.- Condamnation internationale -L’Iran, allié du régime déchu, a formellement démenti lundi toute implication dans les violences en Syrie, qualifiant les accusations de certains médias de “ridicules”.L’ONU, Washington, Pékin et d’autres capitales ont condamné ces tueries, appelant les autorités syriennes à y mettre fin.M. Chareh, alors à la tête du groupe islamiste sunnite radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS) — classé comme terroriste par plusieurs pays dont les Etats-Unis — a dirigé la coalition rebelle qui a fait fuir le 8 décembre M. Assad à Moscou.Le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, a lui exhorté l’Europe à “cesser d’accorder une légitimité” au pouvoir de transition syrien “au passé terroriste bien connu”.Depuis son arrivée à la tête d’un pays multiethnique et multiconfessionnel, déchiré par plus de 13 ans de guerre civile, M. Chareh, s’efforce d’obtenir le soutien de la communauté internationale, et de rassurer les minorités. Mais la flambée de violence met en question sa capacité à maintenir la sécurité et porte un coup à ses tentatives de gagner la confiance de la communauté internationale, selon des analystes.

Syrie: les autorités annoncent la fin de l’opération militaire sanglante dans l’ouest du pays

Les autorités syriennes ont annoncé lundi la fin “avec succès” de l’opération militaire contre les fidèles du régime déchu de Bachar al-Assad dans l’ouest du pays, au cours de laquelle près de 1.500 personnes ont été tuées, dont un millier de civils dans des exécutions de masse, selon une ONG.Le nouveau dirigeant syrien, Ahmad al-Chareh, a affirmé qu’il ne permettrait pas aux partisans du régime d’Assad, soutenus selon lui par “des parties extérieures”, “d’entraîner le pays” à nouveau “dans une guerre civile”.Les violences sont les plus graves depuis la prise du pouvoir le 8 décembre par une coalition dirigée par des islamistes. Les combats ont été déclenchés par une attaque sanglante le 6 mars du partisans du régime déchu contre les forces de sécurité dans la région de Lattaquié, où se concentre la minorité alaouite dont est issu le clan Assad.Les affrontements ont fait près de 500 morts des deux bords, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), 231 tués dans les rangs des forces gouvernementales et 250 du côté des insurgés.”Les zones visées étaient celles des alaouites et des chrétiens”, a indiqué de son côté le patriarche orthodoxe d’Antioche, Jean X. “De nombreux chrétiens innocents ont également été tués”, a-t-il souligné.Aucun chiffre officiel n’a été communiqué sur le nombre de chrétiens tués.”Plus de cinquante personnes de ma famille et de mes amis ont été tués. Ils ont ramassé les corps avec des bulldozers et les ont enterrés dans des fosses communes”, a témoigné à l’AFP dimanche un habitant alaouite de la ville de Jablé qui a requis l’anonymat.- “Succès” -“Nous annonçons la fin de l’opération militaire (…) après le succès de nos forces pour atteindre tous les objectifs fixés”, a annoncé lundi le porte-parole du ministère, Hassan Abdel Ghani, cité par l’agence officielle Sana.Il a assuré que que les forces de sécurité avaient pu “contenir les attaques contre ce qui reste du régime déchu” et “déjouer l’effet de surprise”, dans une allusion au fait que ces groupes  planifiaient une attaque d’envergure.Lundi, il y avait peu de circulation dans les rues de Lattaquié, la plus importante ville de la côte, selon un correspondant de l’AFP sur place.”La situation est un peu plus calme, les gens ont recommencé à se déplacer après cing jours de grande peur et d’angoisse”, a déclaré à l’AFP Farah, une étudiante de 22 ans qui n’a pas voulu donner son nom de famille. Mais “nous n’avons pas les services les plus élémentaires: il n’y a pas d’eau ou d’électricité depuis cinq jours, nous cherchons de l’eau du puits de notre quartier. Les magasins d’alimentation sont vides et nous ne pouvons rien acheter à manger”, a-t-elle ajouté.Ahmad al-Chareh a promis dimanche soir de poursuivre les responsables de “l’effusion de sang de civils” et formé une commission d’enquête indépendante.Selon des témoignages d’habitants, des jihadistes étrangers faisaient partie des combattants qui se sont livrés à des exactions contre les civils.M. Chareh dirigeait avant sa prise du pouvoir le groupe radical sunnite Hayat Tahrir al-Sham, soumis à des sanctions internationales.”Nous ne permettrons à aucune force extérieure ou à aucun acteur local d’entraîner la Syrie dans le chaos ou la guerre civile”, a-t-il par ailleurs assuré, sans autre précision.- Condamnation internationale -L’Iran, allié du régime déchu, a formellement démenti lundi toute implication dans les violences en Syrie, qualifiant les accusations de certains médias de “ridicules”.L’ONU, Washington, Pékin et d’autres capitales ont condamné ces tueries, appelant les autorités syriennes à y mettre fin.M. Chareh, alors à la tête du groupe islamiste sunnite radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS) — classé comme terroriste par plusieurs pays dont les Etats-Unis — a dirigé la coalition rebelle qui a fait fuir le 8 décembre M. Assad à Moscou.Le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, a lui exhorté l’Europe à “cesser d’accorder une légitimité” au pouvoir de transition syrien “au passé terroriste bien connu”.Depuis son arrivée à la tête d’un pays multiethnique et multiconfessionnel, déchiré par plus de 13 ans de guerre civile, M. Chareh, s’efforce d’obtenir le soutien de la communauté internationale, et de rassurer les minorités. Mais la flambée de violence met en question sa capacité à maintenir la sécurité et porte un coup à ses tentatives de gagner la confiance de la communauté internationale, selon des analystes.

Face à la grogne, Londres promet des factures réduites aux riverains des pylônes

Le gouvernement britannique a annoncé lundi des factures d’énergie réduites pendant dix ans aux personnes habitants près de pylônes en construction ou en projet, destinés à connecter les énergies renouvelables au réseau électrique, qui suscitent des levées de bouclier dans le pays.Les ménages situés à moins de 500 mètres “de pylônes neufs ou modernisés économiseront jusqu’à 2.500 livres (près de 3.000 euros) sur leurs factures sur 10 ans, soit 250 livres par an”, une mesure qui devrait être en place à partir de 2026, a annoncé le gouvernement lundi dans un communiqué.National Grid, entreprise propriétaire du réseau en Angleterre et au Pays de Galles, prévoit d’investir 35 milliards de livres (42 milliards d’euros) d’ici 2031 pour transformer le réseau électrique, un chantier d’une ampleur inédite depuis les années 1960.”Le réseau électrique britannique a été conçu dans les années 1930 pour connecter des centrales électriques au charbon” mais “une refonte est nécessaire alors que le Royaume-Uni s’éloigne des combustibles fossiles et que la demande en électricité augmente”, résume le gouvernement.Des groupes d’opposants partout dans le pays estiment que les alternatives aux pylônes n’ont pas été sérieusement étudiées. Certains, déterminés à se battre en justice, promettent une “guerre des pylônes” au gouvernement.Ces réductions de factures reviennent à “soudoyer” les riverains “en échange de la destruction de leur environnement local et de leurs entreprises”, a dénoncé auprès de l’AFP Rosie Pearson, fondatrice d’un groupe d’opposants en Est-Anglie, région au nord-est de Londres.Selon elle, les promoteurs ne devraient “pas être autorisés à payer pour détruire la nature” mais si les projets vont de l’avant “les résidents et les entreprises doivent être entièrement indemnisés pour leurs pertes financières”.De son côté, le gouvernement soutient que les pylônes sont moins chers, et le premier ministre travailliste Keir Starmer, arrivé au pouvoir en juillet, a juré de passer outre ceux qu’il voit comme des “bloqueurs”.Au-delà des infrastructures énergétiques, le gouvernement veut “que la Grande-Bretagne se remette à construire” et entend réformer des règles d’aménagement du territoire particulièrement contraignantes: un projet de loi sur l’urbanisme et les infrastructures sera discuté à partir de cette semaine au Parlement.Sur les pylônes, au-delà des réductions de factures, les développeurs de nouvelles infrastructures devront “financer des projets tels que des clubs sportifs, des programmes éducatifs ou des installations de loisirs”, promet l’exécutif dans son communiqué.

Face à la grogne, Londres promet des factures réduites aux riverains des pylônes

Le gouvernement britannique a annoncé lundi des factures d’énergie réduites pendant dix ans aux personnes habitants près de pylônes en construction ou en projet, destinés à connecter les énergies renouvelables au réseau électrique, qui suscitent des levées de bouclier dans le pays.Les ménages situés à moins de 500 mètres “de pylônes neufs ou modernisés économiseront jusqu’à 2.500 livres (près de 3.000 euros) sur leurs factures sur 10 ans, soit 250 livres par an”, une mesure qui devrait être en place à partir de 2026, a annoncé le gouvernement lundi dans un communiqué.National Grid, entreprise propriétaire du réseau en Angleterre et au Pays de Galles, prévoit d’investir 35 milliards de livres (42 milliards d’euros) d’ici 2031 pour transformer le réseau électrique, un chantier d’une ampleur inédite depuis les années 1960.”Le réseau électrique britannique a été conçu dans les années 1930 pour connecter des centrales électriques au charbon” mais “une refonte est nécessaire alors que le Royaume-Uni s’éloigne des combustibles fossiles et que la demande en électricité augmente”, résume le gouvernement.Des groupes d’opposants partout dans le pays estiment que les alternatives aux pylônes n’ont pas été sérieusement étudiées. Certains, déterminés à se battre en justice, promettent une “guerre des pylônes” au gouvernement.Ces réductions de factures reviennent à “soudoyer” les riverains “en échange de la destruction de leur environnement local et de leurs entreprises”, a dénoncé auprès de l’AFP Rosie Pearson, fondatrice d’un groupe d’opposants en Est-Anglie, région au nord-est de Londres.Selon elle, les promoteurs ne devraient “pas être autorisés à payer pour détruire la nature” mais si les projets vont de l’avant “les résidents et les entreprises doivent être entièrement indemnisés pour leurs pertes financières”.De son côté, le gouvernement soutient que les pylônes sont moins chers, et le premier ministre travailliste Keir Starmer, arrivé au pouvoir en juillet, a juré de passer outre ceux qu’il voit comme des “bloqueurs”.Au-delà des infrastructures énergétiques, le gouvernement veut “que la Grande-Bretagne se remette à construire” et entend réformer des règles d’aménagement du territoire particulièrement contraignantes: un projet de loi sur l’urbanisme et les infrastructures sera discuté à partir de cette semaine au Parlement.Sur les pylônes, au-delà des réductions de factures, les développeurs de nouvelles infrastructures devront “financer des projets tels que des clubs sportifs, des programmes éducatifs ou des installations de loisirs”, promet l’exécutif dans son communiqué.

Israeli team due in Qatar for Gaza truce talks

Israel is due to send a delegation to Qatar on Monday for a fresh round of talks on extending a fragile ceasefire in Gaza, after cutting off the electricity supply to ramp up pressure on Hamas.The first phase of the deal expired at the beginning of March with no agreement on subsequent stages that should secure a lasting end to the war that erupted with Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel.There are differences over how to proceed — Hamas wants immediate negotiations on the next phase, but Israel prefers extending phase one.Hamas accused Israel of reneging on the ceasefire deal, saying in a statement Monday Israel “refuses to commence the second phase, exposing its intentions of evasion and stalling”.Media reports said a top official from the domestic security agency Shin Bet will lead Israel’s delegation.Israel has halted aid deliveries to Gaza amid the deadlock, and on Sunday announced it was cutting off the territory’s electricity supply.”We will use all the tools at our disposal to bring back the hostages and ensure that Hamas is no longer in Gaza the day after” the war, Energy Minister Eli Cohen said as he ordered the power cut.The move echoed the early days of the war when Israel announced a “complete siege” on the Palestinian territory, severing the electricity supply which was only restored in mid-2024.Hamas spokesman Abdul Latif al-Qanoua said Israel’s move will impact its hostages still held in Gaza.”The decision to cut electricity is a failed option and poses a threat to its (Israeli) prisoners, who will only be freed through negotiations,” Qanoua said in a statement on Monday.Germany criticised Israel Monday for its latest decisions.Foreign ministry spokeswoman Kathrin Deschauer said Gaza was “again threatened with a food shortage” and that cutting off electricity was “unacceptable and not compatible with (Israel’s) obligations under international law”.The sole power line between Israel and Gaza supplies its main desalination plant, and Gazans now mainly rely on solar panels and fuel-powered generators to produce electricity.Hundreds of thousands of Palestinians now live in tents across Gaza, where temperatures reach a night-time low of about 12 degrees Celsius (54 Fahrenheit).Top Hamas official Izzat al-Rishq called Israel’s decision “to cut off electricity to Gaza, after depriving it of food, medicine, and water” a “desperate attempt to pressure our people and their resistance”.- ‘Long-term truce’ -Hamas has repeatedly demanded that the second phase of the truce — brokered by Qatar, Egypt and the United States — include a comprehensive hostage-prisoner exchange, a complete Israeli withdrawal from Gaza, a permanent ceasefire and the reopening of border crossings to end the blockade.Spokesman Hazem Qassem told AFP that Hamas wanted the mediators to ensure Israel “complies with the agreement… and proceeds with the second phase according to the agreed-upon terms”.Former US president Joe Biden had outlined a second phase involving hostage releases and the withdrawal of all Israeli forces from Gaza.US envoy Adam Boehler, who has held unprecedented direct talks with Hamas, told CNN Sunday a deal could be reached “within weeks” to secure the release of all remaining hostages, not just the five dual Israeli-US nationals, most of whom have been confirmed dead.Of the 251 hostages taken during the October 7 attack, 58 are still held in Gaza, including 34 the Israeli military has confirmed dead.Boehler told CNN a “long-term truce” was “real close”, but later Sunday he told Israel’s Channel 12 that Washington would back any Israeli decision, including a return to war.- ‘Nothing available’ -In late February, US President Donald Trump issued what he called a “last warning” to Hamas, threatening further destruction if it does not release all remaining hostages.Trump had earlier proposed expelling Palestinians from Gaza, prompting Arab leaders to offer an alternative reconstruction plan for the territory that does not involve displacement.The initial 42-day phase of the truce, which began on January 19, reduced hostilities after more than 15 months of relentless fighting that displaced nearly all of Gaza’s 2.4 million people.During phase one, 25 living Israeli hostages and eight bodies were exchanged for about 1,800 Palestinians in Israeli custody.The truce also allowed in much-needed food, shelter and medical assistance.After Israel cut the aid flow on March 2, UN rights experts accused it of “weaponising starvation”.At a UN distribution of flour in Jabalia, northern Gaza, Abu Mahmoud Salman, 56, said that with fresh supplies now closed off, “there is nothing available”.”The markets are empty… prices are high, and there is no income. The situation in Gaza is difficult,” he told AFP.Hamas’s October 7, 2023 attack resulted in the deaths of 1,218 people on the Israeli side, most of them civilians, while Israel’s retaliatory campaign has killed at least 48,467 people in Gaza, also mostly civilians, according to data from both sides.