Catastrophe d’Air India: le lent travail d’identification des victimes se poursuit

Le patient travail d’identification des victimes de l’accident du vol Air India 171 se poursuit lundi à Ahmedabad, dans le nord-ouest de l’Inde, en même temps que les funérailles des victimes dont les corps ont été rendus à leur famille.L’accident jeudi du Boeing 787 de la compagnie indienne, juste après son décollage à destination de Londres, a fait au moins 279 morts, selon le dernier bilan officiel, la pire catastrophe aérienne dans le monde depuis 2014.Lundi matin, les autorités avaient identifié 92 victimes grâce aux échantillons ADN fournis par leur proche, a déclaré à la presse le Dr Rajnish Patel, de l’hôpital civil d’Ahmedabad.Au total 47 corps ont pu ainsi être rendus à leur famille, ce qui a permis les premières funérailles, qui se poursuivaient lundi dans la ville et au-delà, ont constaté des journalistes de l’AFP.De nombreux proches ont exprimé frustration et désarroi face à la lenteur de ces opérations.”Ils nous ont dit que ça prendrait 48 heures (…) mais nous n’avons toujours pas de réponse”, a confié dimanche à l’AFP Rinal Christian, 23 ans, dont le frère aîné avait pris place à bord du vol 171.”Mon frère était le seul à pourvoir aux besoins de toute la famille. Qu’est-ce qu’on va faire maintenant ?”, s’est-il interrogé.Le Boeing 787 d’Air India, qui emportait 242 passagers et membres d’équipage, s’est écrasé jeudi sur un quartier résidentiel d’Ahmedabad dans la minute qui a suivi son décollage à 13h39 locales (8h39 GMT).Selon l’aviation civile indienne, l’appareil transportait 230 passagers – 169 Indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais et un Canadien – et 12 membres d’équipage.Un seul passager, assis près d’une issue de secours à l’avant de l’appareil, a miraculeusement survécu à la chute de l’avion sur les bâtiments d’un quartier situé au-delà de la piste de l’aéroport.Selon le dernier bilan officiel, au moins 38 personnes ont été tuées au sol.Les enquêteurs de l’aviation civile en charge de l’enquête ont découvert dimanche la seconde boîte noire du Boeing, celle qui enregistre les conversations dans le cockpit.La première, qui contient les paramètres techniques du vol (vitesse, altitude, trajectoire, moteurs…) avait été récupérée vendredi dans la queue de l’avion, retrouvée presque intacte au sommet d’un bâtiment. Selon les premiers éléments de l’enquête, le pilote a émis un appel d’urgence juste après l’envol de l’avion, qui s’est ensuite lourdement écrasé au sol dans une boule de feu orange.Le ministre indien de l’Aviation, Ram Mohan Naidu Kinjarapu, a promis que “tout ce qui est nécessaire sera fait” pour déterminer les causes de la catastrophe.

Catastrophe d’Air India: le lent travail d’identification des victimes se poursuit

Le patient travail d’identification des victimes de l’accident du vol Air India 171 se poursuit lundi à Ahmedabad, dans le nord-ouest de l’Inde, en même temps que les funérailles des victimes dont les corps ont été rendus à leur famille.L’accident jeudi du Boeing 787 de la compagnie indienne, juste après son décollage à destination de Londres, a fait au moins 279 morts, selon le dernier bilan officiel, la pire catastrophe aérienne dans le monde depuis 2014.Lundi matin, les autorités avaient identifié 92 victimes grâce aux échantillons ADN fournis par leur proche, a déclaré à la presse le Dr Rajnish Patel, de l’hôpital civil d’Ahmedabad.Au total 47 corps ont pu ainsi être rendus à leur famille, ce qui a permis les premières funérailles, qui se poursuivaient lundi dans la ville et au-delà, ont constaté des journalistes de l’AFP.De nombreux proches ont exprimé frustration et désarroi face à la lenteur de ces opérations.”Ils nous ont dit que ça prendrait 48 heures (…) mais nous n’avons toujours pas de réponse”, a confié dimanche à l’AFP Rinal Christian, 23 ans, dont le frère aîné avait pris place à bord du vol 171.”Mon frère était le seul à pourvoir aux besoins de toute la famille. Qu’est-ce qu’on va faire maintenant ?”, s’est-il interrogé.Le Boeing 787 d’Air India, qui emportait 242 passagers et membres d’équipage, s’est écrasé jeudi sur un quartier résidentiel d’Ahmedabad dans la minute qui a suivi son décollage à 13h39 locales (8h39 GMT).Selon l’aviation civile indienne, l’appareil transportait 230 passagers – 169 Indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais et un Canadien – et 12 membres d’équipage.Un seul passager, assis près d’une issue de secours à l’avant de l’appareil, a miraculeusement survécu à la chute de l’avion sur les bâtiments d’un quartier situé au-delà de la piste de l’aéroport.Selon le dernier bilan officiel, au moins 38 personnes ont été tuées au sol.Les enquêteurs de l’aviation civile en charge de l’enquête ont découvert dimanche la seconde boîte noire du Boeing, celle qui enregistre les conversations dans le cockpit.La première, qui contient les paramètres techniques du vol (vitesse, altitude, trajectoire, moteurs…) avait été récupérée vendredi dans la queue de l’avion, retrouvée presque intacte au sommet d’un bâtiment. Selon les premiers éléments de l’enquête, le pilote a émis un appel d’urgence juste après l’envol de l’avion, qui s’est ensuite lourdement écrasé au sol dans une boule de feu orange.Le ministre indien de l’Aviation, Ram Mohan Naidu Kinjarapu, a promis que “tout ce qui est nécessaire sera fait” pour déterminer les causes de la catastrophe.

Catastrophe d’Air India: le lent travail d’identification des victimes se poursuit

Le patient travail d’identification des victimes de l’accident du vol Air India 171 se poursuit lundi à Ahmedabad, dans le nord-ouest de l’Inde, en même temps que les funérailles des victimes dont les corps ont été rendus à leur famille.L’accident jeudi du Boeing 787 de la compagnie indienne, juste après son décollage à destination de Londres, a fait au moins 279 morts, selon le dernier bilan officiel, la pire catastrophe aérienne dans le monde depuis 2014.Lundi matin, les autorités avaient identifié 92 victimes grâce aux échantillons ADN fournis par leur proche, a déclaré à la presse le Dr Rajnish Patel, de l’hôpital civil d’Ahmedabad.Au total 47 corps ont pu ainsi être rendus à leur famille, ce qui a permis les premières funérailles, qui se poursuivaient lundi dans la ville et au-delà, ont constaté des journalistes de l’AFP.De nombreux proches ont exprimé frustration et désarroi face à la lenteur de ces opérations.”Ils nous ont dit que ça prendrait 48 heures (…) mais nous n’avons toujours pas de réponse”, a confié dimanche à l’AFP Rinal Christian, 23 ans, dont le frère aîné avait pris place à bord du vol 171.”Mon frère était le seul à pourvoir aux besoins de toute la famille. Qu’est-ce qu’on va faire maintenant ?”, s’est-il interrogé.Le Boeing 787 d’Air India, qui emportait 242 passagers et membres d’équipage, s’est écrasé jeudi sur un quartier résidentiel d’Ahmedabad dans la minute qui a suivi son décollage à 13h39 locales (8h39 GMT).Selon l’aviation civile indienne, l’appareil transportait 230 passagers – 169 Indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais et un Canadien – et 12 membres d’équipage.Un seul passager, assis près d’une issue de secours à l’avant de l’appareil, a miraculeusement survécu à la chute de l’avion sur les bâtiments d’un quartier situé au-delà de la piste de l’aéroport.Selon le dernier bilan officiel, au moins 38 personnes ont été tuées au sol.Les enquêteurs de l’aviation civile en charge de l’enquête ont découvert dimanche la seconde boîte noire du Boeing, celle qui enregistre les conversations dans le cockpit.La première, qui contient les paramètres techniques du vol (vitesse, altitude, trajectoire, moteurs…) avait été récupérée vendredi dans la queue de l’avion, retrouvée presque intacte au sommet d’un bâtiment. Selon les premiers éléments de l’enquête, le pilote a émis un appel d’urgence juste après l’envol de l’avion, qui s’est ensuite lourdement écrasé au sol dans une boule de feu orange.Le ministre indien de l’Aviation, Ram Mohan Naidu Kinjarapu, a promis que “tout ce qui est nécessaire sera fait” pour déterminer les causes de la catastrophe.

Mondial des clubs: Cavani-Di Maria, retrouvailles entre ex-Parisiens

Comme on se retrouve… Edinson Cavani et Angel Di Maria, ont rendez-vous lundi à Miami lors du duel entre Boca Juniors et le Benfica Lisbonne au Mondial des clubs, l’une des dernières occasions d’apprécier au niveau international ces deux monuments en fin de parcours. Deux semaines à peine après le sacre du Paris SG en Ligue des champions, ce sont deux “grands brûlés” du club de la capitale sur la scène européenne qui vont en découdre au Hard Rock Stadium.Cavani le “Matador” et “El Fideo” Di Maria ont tout raflé sur le plan national avec le PSG mais la C1 s’est toujours refusée à eux sous le maillot parisien. Alors que leur ancienne formation, emmenée par une escouade de jeunes talents, parade aux Etats-Unis en étrennant fièrement son nouveau statut de roi d’Europe, les deux “papys” font encore de la résistance, mais plus pour très longtemps. A 38 ans, Cavani commence vraiment à subir le poids des nombreuses saisons passées au plus haut niveau et ses performances déclinent au fil des mois. Certes, l’Uruguayen, qui a brillé à Paris de 2013 à 2020 avant des expériences mitigées à Manchester United (2020-2022) et à Valence (2022-2023), a conservé son charisme légendaire, mais son sens du but s’est effrité et son physique est de plus en plus fragile. Depuis l’arrivée de l’équipe argentine aux Etats-Unis, le deuxième meilleur buteur de l’histoire du PSG derrière Kylian Mbappé s’entraîne d’ailleurs seul en raison d’une blessure à un mollet. “Cavani doit monter en puissance progressivement et l’aspect mental est encore plus déterminant que le physique pour surmonter sa blessure musculaire. On discute beaucoup avec lui”, a expliqué l’entraîneur Miguel Angel Russo à propos du joueur qui devrait clore sa carrière en 2026 à l’issue de son contrat. – Affronts -Sur un plan collectif, le club aux 35 titres de champion et aux six Copa Libertadores, présidé par l’ex-N.10 albiceleste Juan Roman Riquelme, n’aborde pas non plus cette Coupe du monde dans une situation favorable. Eliminé en quarts de finale du Tournoi d’Ouverture en Argentine, il n’a pas passé le cap du 2e tour préliminaire en Copa Libertadores. Deux affronts que Cavani et les siens espèrent laver, même si leur tâche semble très compliquée dans une poule C où le Bayern Munich fait figure d’épouvantail. “Peu importe la compétition, l’objectif de Boca est toujours d’aller le plus loin possible. L’histoire de ce club exige de jouer chaque compétition pour la gagner. Tous les matchs de la phase de groupes seront décisifs. C’est important de bien débuter la compétition pour se mettre sur de bons rails”, avant de croiser le Bayern le 20 juin, a estimé Cavani sur le site de la Fifa.Di Maria (37 ans) est également en bout de course. Le champion du monde, passé par le PSG entre 2015 et 2022, vit ses ultimes moments avec Benfica avant de retrouver son premier club, Rosario Central, histoire de boucler la boucle en beauté. Mais au contraire de Cavani, l’imprévisible milieu offensif, nanti d’un palmarès hors-normes (Coupe du monde 2022 et Copa America 2021 et 2024 avec l’Argentine, Ligue des champions 2014 avec le Real Madrid), a débarqué à ce Mondial avec plus de certitudes. Même si Benfica a été devancé en championnat et battu en finale de la Coupe du Portugal par son vieux rival du Sporting, il sort d’une campagne en C1 honorable après une élimination en 8e de finale face au FC Barcelone. Et Di Maria y a étalé sa science de la passe, comme à Monaco en phase de ligue (3-2). De quoi permettre au double champion d’Europe (1961, 1962) d’afficher des ambitions légitimes avant de défier Boca, avec la patte gauche d'”El Fideo” comme arme fatale.

Mondial des clubs: Lloris et Giroud savourent l’opportunité de se montrer avec le LAFC

Les vétérans français du Los Angeles FC Hugo Lloris et Olivier Giroud débutent lundi à Atlanta (Géorgie, Etats-Unis) le Mondial des clubs contre Chelsea, un doux rappel de leurs années en Premier league et une opportunité qu’ils espèrent saisir.Les deux champions du monde 2018, âgés de 38 ans, se sont invités à cette première édition du Mondial à 32 clubs au dernier moment: le LAFC a gagné le 31 mai un barrage contre les Mexicains du Club America pour remplacer Leon, évincé par la Fifa pour avoir enfreint le règlement sur la multi-propriété.”On a hâte, on est très motivés”, a assuré Giroud plus tôt cette semaine en conférence de presse.”Si les gars ont besoin de conseils, je serais heureux d’en donner. J’ai dit aux plus jeunes de prendre leur chance dans ce genre de matches, de prendre du plaisir, de jouer librement, sans le frein à main”, a expliqué l’expérimenté attaquant.”Il ne faudra pas avoir de regrets, c’est une grande opportunité pour le club”.- Chelsea a “beaucoup changé” -L’Ancien d’Arsenal ou encore de l’AC Milan aura dès lundi le plaisir de retrouver le Chelsea FC, où il a joué de 2018 à 2021.”Le club a beaucoup changé, a-t-il prévenu. Parmi ceux qui sont encore là je pense n’avoir joué qu’avec Reece James et Trevoh Chalobah. Ca reste un bon sentiment, parce que même aux Etats-Unis il y a de nombreux fans de Chelsea ou d’Arsenal. Ils n’ont que des compliments à me dire par rapport à mes années là-bas. Ca permet de se rendre compte que j’ai eu un bon impact sur le club, les employés et les fans. J’ai gagné de magnifiques trophées avec eux (Ligue Europa en 2019, Ligue des champions en 2021), je n’oublierai jamais, ils auront toujours une place à part dans mon coeur”.Giroud n’a toutefois pas l’assurance d’être titulaire lundi, lui qui peine à imposer sa marque à Los Angeles depuis son arrivée l’été passé (5 buts en 34 matches).Remplaçant depuis un mois et demi, le Français a marqué il y a une semaine son 3e but de la saison (débutée en février, ndlr) en sortant du banc, pour un succès 3-1 contre le Sporting Kansas City.- “Super opportunité” -Giroud espère que la Coupe du monde des clubs va permettre à la mésestimée MLS de se montrer, contre des clubs plus réputés venant du monde entier.”C’est une super opportunité pour Seattle, Miami et Los Angeles de montrer la qualité du championnat, le fait que depuis dix ou quinze ans le football prend une plus grande importance”, a-t-il estimé.”Il y a un écart avec les meilleures équipes européennes, qui sont très efficaces, qui maîtrisent tous les détails. Quand elles ont une occasion de marquer, elles la prennent. Nous allons devoir rester très concentrés comme on a su le faire ces dernières semaines”, a souligné Giroud.”Les meilleures équipes européennes seront peut-être un peu fatiguées après leur longue saison (…) C’est un bon test pour les équipes MLS, une opportunité de montrer à l’Europe de quoi on est faits”, a-t-il ajouté.Titulaire indiscutable dans les cages depuis son arrivée début 2024, Hugo Lloris, ancien de Tottenham, devrait être le dernier rempart du LAFC contre Chelsea, l’Espérance Tunis vendredi puis les Brésiliens de Flamengo le 24 juin.”Me trouver engagé dans la première Coupe du monde des clubs, c’est donc historique et plutôt cool, même s’il faut remettre les choses dans leur contexte: on reste un petit club par rapport aux autres clubs engagés”, a-t-il dit au quotidien L’Equipe.Les stars tricolores ne pourront toutefois pas profiter du soutien de leurs bruyants fans habituels à Los Angeles, puisqu’ils joueront la phase de poule à Atlanta, Nashville puis Orlando.

Bardella “choqué” par l’exclusion de Sarkozy de la Légion d’honneur

Le président du Rassemblement national Jordan Bardella a assuré lundi que la décision d’exclure Nicolas Sarkozy de la Légion d’honneur le “choque”, y voyant “une volonté d’humilier” l’ancien président.”Cette décision me choque. J’ai beaucoup de désaccords avec Nicolas Sarkozy qui a également combattu à plusieurs reprises et pendant plusieurs années le Rassemblement national, mais Nicolas Sarkozy a été président de la République”, a expliqué le responsable d’extrême droite sur RTL. “J’ai le sentiment qu’il y a une volonté d’humilier Nicolas Sarkozy”, a-t-il regretté, rappelant que l’ancien président (2007-2012) avait “obtenu, au delà des affaires de justice qui le visent et pour lesquelles il est en train de s’expliquer, la Légion d’honneur dans le cadre de l’affaire de Human Bomb”. Il faisait référence à un homme qui avait pris en otage une école maternelle de Neuilly-sur-Seine en 1993 et avec lequel le maire de Neuilly d’alors avait négocié directement.”On peut combattre juridiquement, politiquement quelqu’un mais je crois qu’il ne faut pas oublier non plus les services qui ont pu être rendus à la France”, a insisté Jordan Bardella.”Je ne l’ai jamais rencontré mais j’ai du respect pour mes adversaires politiques et pour les gens qui s’engagent en politique”, a-t-il développé.Nicolas Sarkozy a été exclu de la Légion d’honneur après sa condamnation, devenue définitive, à un an de prison ferme pour corruption dans l’affaire des écoutes, selon un arrêté publié dimanche au Journal officiel. Il est devenu le deuxième chef de l’État privé de cette distinction après le Maréchal Pétain  à qui la Légion d’honneur avait été retirée après sa condamnation en août 1945 pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi.L’ancien président a rappelé néanmoins avoir déposé un recours devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH).  

Bardella “choqué” par l’exclusion de Sarkozy de la Légion d’honneur

Le président du Rassemblement national Jordan Bardella a assuré lundi que la décision d’exclure Nicolas Sarkozy de la Légion d’honneur le “choque”, y voyant “une volonté d’humilier” l’ancien président.”Cette décision me choque. J’ai beaucoup de désaccords avec Nicolas Sarkozy qui a également combattu à plusieurs reprises et pendant plusieurs années le Rassemblement national, mais Nicolas Sarkozy a été président de la République”, a expliqué le responsable d’extrême droite sur RTL. “J’ai le sentiment qu’il y a une volonté d’humilier Nicolas Sarkozy”, a-t-il regretté, rappelant que l’ancien président (2007-2012) avait “obtenu, au delà des affaires de justice qui le visent et pour lesquelles il est en train de s’expliquer, la Légion d’honneur dans le cadre de l’affaire de Human Bomb”. Il faisait référence à un homme qui avait pris en otage une école maternelle de Neuilly-sur-Seine en 1993 et avec lequel le maire de Neuilly d’alors avait négocié directement.”On peut combattre juridiquement, politiquement quelqu’un mais je crois qu’il ne faut pas oublier non plus les services qui ont pu être rendus à la France”, a insisté Jordan Bardella.”Je ne l’ai jamais rencontré mais j’ai du respect pour mes adversaires politiques et pour les gens qui s’engagent en politique”, a-t-il développé.Nicolas Sarkozy a été exclu de la Légion d’honneur après sa condamnation, devenue définitive, à un an de prison ferme pour corruption dans l’affaire des écoutes, selon un arrêté publié dimanche au Journal officiel. Il est devenu le deuxième chef de l’État privé de cette distinction après le Maréchal Pétain  à qui la Légion d’honneur avait été retirée après sa condamnation en août 1945 pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi.L’ancien président a rappelé néanmoins avoir déposé un recours devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH).  

Mozambique’s future in balance after deadly vote protestsMon, 16 Jun 2025 06:08:55 GMT

A national dialogue was announced and a “torch of unity” lit, but many Mozambicans are suspicious about the government’s attempts to address bitter divisions exposed in the last violence-scarred election.President Daniel Chapo announced the dialogue in March after taking charge of the country of 33 million people that was for weeks engulfed in demonstrations against …

Mozambique’s future in balance after deadly vote protestsMon, 16 Jun 2025 06:08:55 GMT Read More »

Iran hits Tel Aviv after overnight Israeli strikes on Tehran

Iran unleashed a barrage of missile strikes on Israeli cities early Monday, after Israel struck military targets deep inside Iran, with both sides threatening further devastation. AFP images showed gutted residential buildings in Tel Aviv and fires smouldering outside the coastal city of Haifa, after Israel’s army warned people to take cover from incoming Iranian missiles.In Jerusalem, an AFP journalist heard loud explosions, while footage showed Israeli air defences lighting up the night sky.After decades of enmity and a prolonged shadow war fought through proxies and covert operations, Israel’s surprise assault on Iran last week has touched off the most intense fighting yet and triggered fears of a lengthy conflict that could engulf the Middle East.Israel says its attacks have hit military and nuclear facilities, and killed many top commanders and atomic scientists — but a senior US official said Sunday that US President Donald Trump told Israel to back down from a plan to kill supreme leader Ayatollah Ali Khamenei.Trump has urged the foes to “make a deal”, but told reporters Sunday that “sometimes they have to fight it out” first.Monday’s Iranian missile attack followed Israeli strikes in central Iran, which Israel’s army said targeted surface-to-surface missile sites.Iran’s Revolutionary Guards, in a statement quoted by the official IRNA news agency, said Monday they had “successfully” struck Israel and vowed “effective, targeted and more devastating operations” to come. Israel’s Magen David Adom emergency service said five people had been killed and 92 wounded following the latest Iranian attack. – ‘A heavy price’ -Residential areas in both countries have suffered deadly strikes since the hostilities broke out Friday, with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu slamming Iran Sunday for allegedly targeting civilians.”Iran will pay a very heavy price for the premeditated murder of civilians, women and children,” he said while visiting a residential building struck by a missile in the coastal city of Bat Yam, near Tel Aviv.Iranian strikes since Friday have killed more than a dozen people in Israel.Iran’s health ministry reported at least 224 people killed and more than 1,200 wounded in Israeli attacks since Friday.Iranian state television reported at least five people were killed Sunday by an Israeli strike that hit a residential building in central Tehran.Colonel Reza Sayyad, a spokesman for Iran’s armed forces, threatened a “devastating response” to Israel’s attacks.”Leave the occupied territories (Israel) because they will certainly no longer be habitable in the future,” he warned in a televised address, adding shelters will “not guarantee security”.Addressing parliament on Monday, Iranian President Masoud Pezeshkian urged citizens to “stand strong against this genocidal criminal aggression with unity and coherence”.Israeli Defence Minister Israel Katz later warned that Tehran’s residents would “pay the price” for Iranian attacks on Israeli civilians.Despite reports of people fleeing the Iranian capital, some were determined to stay. “It is natural that war has its own stress, but I will not leave my city,” Shokouh Razzazi, 31, told AFP.- ‘Make a deal’ -Trump said Washington “had nothing to do” with Israel’s bombing campaign but threatened to unleash “the full strength and might” of the US military if Iran attacked American interests.On Sunday, he urged the two foes to “make a deal” but expressed scepticism about the prospects for peace. “But sometimes they have to fight it out, but we’re going to see what happens,” Trump told reporters at the White House.A senior US official told AFP that Trump had urged Israel to drop a plan to assassinate Khamenei.”We found out that the Israelis had plans to hit Iran’s supreme leader. President Trump was against it and we told the Israelis not to,” said the US official, speaking on condition of anonymity.Asked in an interview with Fox News whether regime change in Iran was one of the objectives of Israel’s strikes, Netanyahu said that “it certainly could be the result, because the Iran regime is very weak”. Iran’s top diplomat Abbas Araghchi maintained Tehran had “solid proof” that US forces had supported Israel in its attacks.He also told a meeting of foreign diplomats that Iran’s actions were a “response to aggression”.”If the aggression stops, naturally our responses will also stop,” he added. Iran scrapped planned nuclear talks with the United States, saying it was “meaningless” to negotiate while under fire.Iranian judiciary said a convicted agent for Israel’s Mossad spy agency was hung on Monday.Israel has said it had taken two individuals into custody over alleged links to Iranian intelligence.burs-tym/jsa