US shutdown threat piles pressure on government hit by Trump cuts

The US government was hours from shutting down Friday as Democrats smarting over President Donald Trump’s spending cuts threatened to block his federal funding plans — although hopes were high for a resolution to the impasse.Facing a Friday night deadline to fund the government or allow it to start winding down, the Senate is set to vote ahead of the midnight cut-off on a Trump-backed bill passed by the House of Representatives.The deal would keep federal operations going for another six months, but Democrats are under pressure from their grassroots activists to defy Trump and reject a text they say is full of harmful spending cuts. Top Senate Democrat Chuck Schumer — who has long insisted that it is bad politics to shut down the government — said he would support the bill, a move seen as improving its chances of success.”President Trump and Republicans leaders would like nothing more than to pull us into the mud of a protracted government shutdown. For Donald Trump, a shutdown would be a gift,” Schumer said on the Senate floor.”It would be the best distraction he could ask for from his awful agenda. Right now, Donald Trump owns the chaos in the government.”He was joined by Pennsylvania’s John Fetterman, while other Democrats — worried that they would be blamed over a stoppage with no obvious exit ramp — also appeared ready to back down.But Schumer has not explicitly told his troops which way to jump, telling reporters “each is making his or her own decision” and adding to the suspense of a vote that could still go either way.- ‘Fish or cut bait’ -There have been four shutdowns where operations were affected for more than one business day, with the last occurring during Trump’s first term.During the disruption, up to 900,000 federal employees can be furloughed, while another million deemed essential workers — from air traffic controllers to police — work without pay. Social Security and other benefits are protected, but there are typically delays in a variety of services while parks shut and food-safety inspections are halted.The latest tussle is focused on Trump’s Department of Government Efficiency (DOGE), unofficially spearheaded by tycoon Elon Musk, the world’s richest man.DOGE aims to cut federal spending by $1 trillion this year and claims to have made savings so far of more than $100 billion, although verified cost savings amount to less than a tenth of that figure.Grassroots Democrats, infuriated by what they see as the SpaceX and Tesla CEO’s lawless rampage through the federal bureaucracy, want their leaders to fight hard to defy DOGE and Trump.While Republicans control 53 seats in the 100-member Senate, legislation in the upper chamber requires a preliminary ballot with a 60-vote threshold.The Senate has rules to encourage bipartisan working, meaning the funding bill is likely to need support from eight members of the Democratic minority.This looked like a bridge too far earlier in the week for Democrats furious that the legislation contained no language to rein in Musk. But several top party figures have warned that a shutdown could play into Musk’s hands, distracting from DOGE’s most unpopular actions and making it easier for him to announce more layoffs.Republicans voiced confidence that the needed Democratic support would be available, with several opposition senators facing challenging reelection fights in the 2026 midterms and wary of being blamed for chaos in Congress.One of the most vulnerable, Georgia’s Jon Ossof, said however that he was a firm no, berating Republican authors of the bill for failing to “impose any constraints on the reckless and out-of-control Trump administration.”But John Thune, the Republican leader of the Senate, put Democrats on notice that it was “time for Democrats to fish or cut bait.””Democrats need to decide if they’re going to support this funding legislation, or if they’re going to shut down the government,” he said.

Droits de douane et craintes géopolitiques propulsent l’or à plus de 3.000 dollars

L’or a franchi vendredi le palier des 3.000 dollars l’once, une première dans son histoire, galvanisé par son statut de valeur refuge face aux inquiétudes géopolitiques et à la guerre commerciale entamée par les Etats-Unis de Donald Trump.La dernière menace en date du président américain, sur l’alcool européen, a largement contribué ces dernières heures à faire monter le prix du métal jaune: il a annoncé jeudi vouloir taxer à hauteur de 200% les champagnes, vins et autres alcools de la France et de l’Union européenne (UE) si les tarifs douaniers de 50% annoncés par Bruxelles sur le whisky américain n’étaient pas abandonnés.L’once d’or a grimpé vendredi jusqu’à 3.004,94 dollars. Vers 10H40 GMT (11H40 à Paris), elle prenait 3,36% à 2.990,20 dollars.”L’équation reste simple pour l’or: plus les droits de douane sont élevés, plus l’incertitude est grande et plus la demande est forte”, résume Stephen Innes, analyste chez SPI AM.”Les inquiétudes liées à la croissance” mondiale, qui pourrait être pénalisée par ces surtaxes douanières, “renforce le rôle de l’or comme couverture ultime dans un contexte économique de plus en plus fragile”, estime l’analyste.L’once d’or avait déjà dépassé jeudi son précédent record de février dans la foulée des nouvelles menaces de Donald Trump.Le ministre français de l’Economie Eric Lombard a réagi vendredi en dénonçant une “guerre idiote” avec les Etats-Unis. L’UE avait annoncé mercredi des droits de douane sur plusieurs produits américains, dont le bourbon, les motos ou les bateaux, en représailles aux surtaxes américaines de 25% entrées en vigueur le même jour sur l’acier et l’aluminium.- “Intenable” -“Les doutes sur l’accord de paix entre l’Ukraine et la Russie ont accru l’incertitude” sur les marchés, soutenant là aussi le cours du métal précieux, ajoute Russ Mould, analyste chez AJ Bell.Vladimir Poutine a souligné jeudi que des “questions importantes” devaient être réglées concernant la proposition des Etats-Unis d’une trêve en Ukraine, Donald Trump souhaitant de son côté qu’elle soit mise en oeuvre sans délai.Le chef de l’Etat ukrainien Volodymyr Zelensky a pour sa part mis en garde contre “les paroles très prévisibles et très manipulatrices de Poutine en réponse à l’idée” de ce cessez-le-feu que Kiev a accepté.Le prix de l’or bénéficie enfin de la demande des banques centrales, qui cherchent à se couvrir des risques grâce à des lingots.Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie début 2022, les réserves de change de la banque centrale russe détenues à l’étranger avaient été gelées, sous le coup des sanctions internationales. Cette mesure, couplée aux incertitudes actuelles sur l’économie américaine, poussent les banques centrales à se détacher des actifs américains au profit de l’or.”Partout dans le monde, les banques centrales augmentent leurs réserves d’or en réponse à la structure intenable de la dette américaine et aux inquiétudes croissantes concernant la domination du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale”, indique Daniela Sabin Hathorn, analyste chez Capital.com.

Niger expels three Chinese oil executives: reportsFri, 14 Mar 2025 11:13:50 GMT

Niger’s military rulers have expelled three Chinese oil executives from the country and closed down a Chinese-run hotel, media reports and an official decree indicated Friday.Several Nigerien media reported that authorities had given two days’ notice to leave the country to the Chinese managers from the China National Petroleum Corporation (CNPC), which is drilling for …

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Puces de Saint-Ouen: 3,5 tonnes de marchandises de contrefaçon saisies

Près de 3,5 tonnes de marchandises de contrefaçon, selon une première estimation, ont été saisies sur le marché aux puces de Saint-Ouen, a-t-on appris mercredi de source policière et auprès du parquet de Paris.”A la suite d’un renseignement anonyme portant sur différents lieux de stockage et de vente des puces de Saint-Ouen, dont certains situés sur la commune de Paris, la SDLII (Sous-direction de lutte contre l’Immigration irrégulière) a interpellé cinq personnes” dimanche, a relaté le parquet.Les interpellations ont eu lieu dimanche matin, vers 7H00, sur le marché aux puces de Saint-Ouen, selon une source policière.Un homme, mis en cause par les premiers éléments de l’enquête, “a été remis en liberté et les investigations se poursuivent dans le cadre d’une enquête préliminaire”, a ajouté le parquet.Les quatre autres personnes “ont été laissées libres sans poursuites, aucun élément ne permettant de retenir leur implication dans le caractère contrefait de la marchandise”, a-t-il précisé.Une première estimation faisait état de 20 tonnes de marchandise contrefaite saisie.”Si un certain nombre de cartons ont été saisis, le poids ne sera connu qu’au moment de la destruction et est évalué plutôt à 3,5 tonnes au maximum”, selon le parquet. Par ailleurs, les premières investigations n’ont pas démontré “de caractère organisé de cette vente de contrefaçon, mais a été découvert un atelier à Aubervilliers, dans lequel de fausses marques étaient apposées sur les vêtements destinés à la vente”, a développé le ministère public. Dans un premier temps, les soupçons portaient sur un réseau d’immigration irrégulière spécialisé dans l’exploitation de vendeurs à la sauvette et d’importation illégale de maroquinerie de contrefaçon en grandes quantités. Lors de la perquisition du domicile du mis en cause à Dugny (Seine-Saint-Denis), 4.500 euros en espèces ont été saisis, a précisé la source policière.Avec plus de cinq millions de visiteurs par an, le marché aux puces de Saint-Ouen est prisé des collectionneurs, décorateurs d’intérieur et des badaud.Mais depuis des années, des boutiques écoulent de la marchandise de contrefaçon et empiètent sur le territoire des 1.400 antiquaires répartis sur neuf hectares au nord de Paris.

Puces de Saint-Ouen: 3,5 tonnes de marchandises de contrefaçon saisies

Près de 3,5 tonnes de marchandises de contrefaçon, selon une première estimation, ont été saisies sur le marché aux puces de Saint-Ouen, a-t-on appris mercredi de source policière et auprès du parquet de Paris.”A la suite d’un renseignement anonyme portant sur différents lieux de stockage et de vente des puces de Saint-Ouen, dont certains situés sur la commune de Paris, la SDLII (Sous-direction de lutte contre l’Immigration irrégulière) a interpellé cinq personnes” dimanche, a relaté le parquet.Les interpellations ont eu lieu dimanche matin, vers 7H00, sur le marché aux puces de Saint-Ouen, selon une source policière.Un homme, mis en cause par les premiers éléments de l’enquête, “a été remis en liberté et les investigations se poursuivent dans le cadre d’une enquête préliminaire”, a ajouté le parquet.Les quatre autres personnes “ont été laissées libres sans poursuites, aucun élément ne permettant de retenir leur implication dans le caractère contrefait de la marchandise”, a-t-il précisé.Une première estimation faisait état de 20 tonnes de marchandise contrefaite saisie.”Si un certain nombre de cartons ont été saisis, le poids ne sera connu qu’au moment de la destruction et est évalué plutôt à 3,5 tonnes au maximum”, selon le parquet. Par ailleurs, les premières investigations n’ont pas démontré “de caractère organisé de cette vente de contrefaçon, mais a été découvert un atelier à Aubervilliers, dans lequel de fausses marques étaient apposées sur les vêtements destinés à la vente”, a développé le ministère public. Dans un premier temps, les soupçons portaient sur un réseau d’immigration irrégulière spécialisé dans l’exploitation de vendeurs à la sauvette et d’importation illégale de maroquinerie de contrefaçon en grandes quantités. Lors de la perquisition du domicile du mis en cause à Dugny (Seine-Saint-Denis), 4.500 euros en espèces ont été saisis, a précisé la source policière.Avec plus de cinq millions de visiteurs par an, le marché aux puces de Saint-Ouen est prisé des collectionneurs, décorateurs d’intérieur et des badaud.Mais depuis des années, des boutiques écoulent de la marchandise de contrefaçon et empiètent sur le territoire des 1.400 antiquaires répartis sur neuf hectares au nord de Paris.