Mondial des clubs: le PSG donne le tournis au Miami de Messi
Un Paris SG fringuant et sans pitié a terrassé l’Inter Miami de Lionel Messi (4-0) dans des retrouvailles à sens unique entre la mégastar et son ancien club, dimanche à Atlanta en huitième de finale du Mondial des clubs.Il n’y a jamais eu de suspense ni de réelle confrontation tant le PSG a fait respecter son statut de champion d’Europe, et tant le club de David Beckham a cette fois payé le prix fort pour toutes les lacunes observées depuis le début de la compétition.Plus en jambes que lors de ses deux derniers matches, en partie sans doute grâce à la climatisation du stade couvert Mercedes-Benz, le PSG a tout de suite mis la tête de Messi et des siens sous l’eau.Et ce devant leurs fans, puisque le stade (par une affluence de 65.000 spectateurs) était orné en grande majorité de maillots roses. Mais aussi devant le père de Kylian Mbappé, Wilfrid, venu de Miami observer le possible futur adversaire du Real Madrid en demi-finale.Dès la 4e minute, Bradley Barcola, titularisé à la place d’Ousmane Dembélé que Luis Enrique a souhaité encore préserver après sa blessure, a sollicité le gardien Oscar Ustari, après une percée de Khvicha Kvaratskhelia.Pour son 100e match sous les couleurs parisiennes, Barcola a raté certaines choses, mais a aussi été un détonateur, tout comme Kvaratskhelia.Le premier but est venu sur un coup franc obtenu par Désiré Doué et tiré par Vitinha au second poteau. Joao Neves l’a repris de la tête, dans une réalisation qui a immédiatement rappelé son but contre Manchester City.- Messi a fait son âge -Le petit milieu portugais, l’une des révélations de la saison, s’est payé le luxe d’un doublé, reprenant un centre de Fabian Ruiz lancé en profondeur par Bradley Barcola (39e).Barcola a terminé sa bonne mi-temps par une passe décisive pour Achraf Hakimi, qui s’y est pris en deux temps pour faire trembler les filets (45+3). Entre temps, Doué avait, par un centre puissant, forcé un but contre son camp de Tomas Aviles (44e).La messe était dite dès la mi-temps. Un scénario idéal pour Luis Enrique qui a pu faire tourner dès le retour des vestiaires, avec Marquinhos et Fabian Ruiz sortis au bénéfice de Lucas Beraldo et Warren Zaïre-Emery. Le PSG a tranquillement géré cette avance confortable, se créant encore des occasions, mais avec plus d’imprécisions, et donnant du temps de jeu à Ousmane Dembélé, visiblement rouillé.Les quatre fantastiques de l’Inter Miami, anciens Barcelonais, ont semblé tout aussi dépassés que leur équipe par le pressing tout terrain, les redoublements de passes et de dribbles du PSG.A 38 ans, Messi a fait son âge, voyant plusieurs de ses dribbles et frappes anticipés par la défense parisienne (41). Du reste, l’Argentin, qui est parti du PSG fâché en 2023, avait les mains sur les hanches dès la 16e minute, consterné par la différence de niveau. Et il a frôlé la correctionnelle sur un mauvais geste pas vu par l’arbitre, sur Vitinha qui protégeait son ballon.- Mur -Le public a poussé pour qu’il fasse parler sa vista en seconde période, et il a davantage tenté. Alors que la foule, sans doute un peu sonnée par la tournure des événements, avait décidé de créer son propre événement avec une ola, Messi a placé des accélérations dont il a le secret, sans réel débouché (50, 63), et une tête dangereuse (79e) bien sortie par Gianluigi Donnarumma. Le public a cru pouvoir exulter lorsque Messi a pu tirer un coup franc très bien placé (88e). Mais l’Argentin n’a trouvé que le mur parisien, avant de se replier vers son camp en marchant, tête baissée alors qu’une contre-attaque avait lieu.Globalement, le club floridien a eu quelques opportunités avec le relâchement relatif du PSG, comme cette tête de Tadeo Allende (74e).Luis Suarez, nerveux, a aussi fait ses 38 ans lorsqu’il manqua son contrôle alors qu’il avait hérité de la balle aux six mètres (49e). Les quelques ultras de l’Inter Miami, à quelques mètres, en ont oublié leurs chants pendant plusieurs secondes. C’est aussi Sergio Busquets, si dominant au temps de sa splendeur, qui a perdu le ballon sur le deuxième but parisien.Qu’importe au PSG, qui s’est tranquillement vengé des déclarations acides de Messi à son encontre, et affrontera samedi à Atlanta soit le Bayern Munich, soit Flamengo.
Mondial des clubs: le PSG donne le tournis au Miami de Messi
Un Paris SG fringuant et sans pitié a terrassé l’Inter Miami de Lionel Messi (4-0) dans des retrouvailles à sens unique entre la mégastar et son ancien club, dimanche à Atlanta en huitième de finale du Mondial des clubs.Il n’y a jamais eu de suspense ni de réelle confrontation tant le PSG a fait respecter son statut de champion d’Europe, et tant le club de David Beckham a cette fois payé le prix fort pour toutes les lacunes observées depuis le début de la compétition.Plus en jambes que lors de ses deux derniers matches, en partie sans doute grâce à la climatisation du stade couvert Mercedes-Benz, le PSG a tout de suite mis la tête de Messi et des siens sous l’eau.Et ce devant leurs fans, puisque le stade (par une affluence de 65.000 spectateurs) était orné en grande majorité de maillots roses. Mais aussi devant le père de Kylian Mbappé, Wilfrid, venu de Miami observer le possible futur adversaire du Real Madrid en demi-finale.Dès la 4e minute, Bradley Barcola, titularisé à la place d’Ousmane Dembélé que Luis Enrique a souhaité encore préserver après sa blessure, a sollicité le gardien Oscar Ustari, après une percée de Khvicha Kvaratskhelia.Pour son 100e match sous les couleurs parisiennes, Barcola a raté certaines choses, mais a aussi été un détonateur, tout comme Kvaratskhelia.Le premier but est venu sur un coup franc obtenu par Désiré Doué et tiré par Vitinha au second poteau. Joao Neves l’a repris de la tête, dans une réalisation qui a immédiatement rappelé son but contre Manchester City.- Messi a fait son âge -Le petit milieu portugais, l’une des révélations de la saison, s’est payé le luxe d’un doublé, reprenant un centre de Fabian Ruiz lancé en profondeur par Bradley Barcola (39e).Barcola a terminé sa bonne mi-temps par une passe décisive pour Achraf Hakimi, qui s’y est pris en deux temps pour faire trembler les filets (45+3). Entre temps, Doué avait, par un centre puissant, forcé un but contre son camp de Tomas Aviles (44e).La messe était dite dès la mi-temps. Un scénario idéal pour Luis Enrique qui a pu faire tourner dès le retour des vestiaires, avec Marquinhos et Fabian Ruiz sortis au bénéfice de Lucas Beraldo et Warren Zaïre-Emery. Le PSG a tranquillement géré cette avance confortable, se créant encore des occasions, mais avec plus d’imprécisions, et donnant du temps de jeu à Ousmane Dembélé, visiblement rouillé.Les quatre fantastiques de l’Inter Miami, anciens Barcelonais, ont semblé tout aussi dépassés que leur équipe par le pressing tout terrain, les redoublements de passes et de dribbles du PSG.A 38 ans, Messi a fait son âge, voyant plusieurs de ses dribbles et frappes anticipés par la défense parisienne (41). Du reste, l’Argentin, qui est parti du PSG fâché en 2023, avait les mains sur les hanches dès la 16e minute, consterné par la différence de niveau. Et il a frôlé la correctionnelle sur un mauvais geste pas vu par l’arbitre, sur Vitinha qui protégeait son ballon.- Mur -Le public a poussé pour qu’il fasse parler sa vista en seconde période, et il a davantage tenté. Alors que la foule, sans doute un peu sonnée par la tournure des événements, avait décidé de créer son propre événement avec une ola, Messi a placé des accélérations dont il a le secret, sans réel débouché (50, 63), et une tête dangereuse (79e) bien sortie par Gianluigi Donnarumma. Le public a cru pouvoir exulter lorsque Messi a pu tirer un coup franc très bien placé (88e). Mais l’Argentin n’a trouvé que le mur parisien, avant de se replier vers son camp en marchant, tête baissée alors qu’une contre-attaque avait lieu.Globalement, le club floridien a eu quelques opportunités avec le relâchement relatif du PSG, comme cette tête de Tadeo Allende (74e).Luis Suarez, nerveux, a aussi fait ses 38 ans lorsqu’il manqua son contrôle alors qu’il avait hérité de la balle aux six mètres (49e). Les quelques ultras de l’Inter Miami, à quelques mètres, en ont oublié leurs chants pendant plusieurs secondes. C’est aussi Sergio Busquets, si dominant au temps de sa splendeur, qui a perdu le ballon sur le deuxième but parisien.Qu’importe au PSG, qui s’est tranquillement vengé des déclarations acides de Messi à son encontre, et affrontera samedi à Atlanta soit le Bayern Munich, soit Flamengo.
Trump says ‘very wealthy’ group to buy TikTok
President Donald Trump said Sunday a group of buyers had been found for TikTok, which faces a looming ban in the United States due to its China ties, adding he could name the purchasers in two weeks.”We have a buyer for TikTok, by the way,” Trump said in an interview on Fox’s Sunday Morning Futures with Maria Bartiromo. “Very wealthy people. It’s a group of wealthy people,” the president said, without revealing more except to say he would make their identities known “in about two weeks.”The president also said he would likely need “China approval” for the sale, “and I think President Xi (Jinping) will probably do it.”TikTok is owned by China-based internet company ByteDance.A federal law requiring TikTok’s sale or ban on national security grounds was due to take effect the day before Trump’s inauguration on January 20. But the Republican, whose 2024 election campaign relied heavily on social media and who has said he is fond of TikTok, put the ban on pause. In mid-June Trump extended a deadline for the popular video-sharing app by another 90 days to find a non-Chinese buyer or be banned in the United States.Tech experts quickly described the TikTok kerfuffle as a symbol of the heated US-China tech rivalry. While Trump had long supported a ban or divestment, he reversed his position and vowed to defend the platform — which boasts almost two billion global users — after coming to believe it helped him win young voters’ support in the November election.”I have a little warm spot in my heart for TikTok,” Trump told NBC News in early May. “If it needs an extension, I would be willing to give it an extension.”Now after two extensions pushed the deadline to June 19, Trump has extended it for a third time.He said in May that a group of purchasers was ready to pay ByteDance “a lot of money” for TikTok’s US operations.The previous month he said China would have agreed to a deal on the sale of TikTok if it were not for a dispute over Trump’s tariffs on Beijing.ByteDance has confirmed talks with the US government, saying key matters needed to be resolved and that any deal would be “subject to approval under Chinese law.”
Trump says ‘very wealthy’ group to buy TikTok
President Donald Trump said Sunday a group of buyers had been found for TikTok, which faces a looming ban in the United States due to its China ties, adding he could name the purchasers in two weeks.”We have a buyer for TikTok, by the way,” Trump said in an interview on Fox’s Sunday Morning Futures with Maria Bartiromo. “Very wealthy people. It’s a group of wealthy people,” the president said, without revealing more except to say he would make their identities known “in about two weeks.”The president also said he would likely need “China approval” for the sale, “and I think President Xi (Jinping) will probably do it.”TikTok is owned by China-based internet company ByteDance.A federal law requiring TikTok’s sale or ban on national security grounds was due to take effect the day before Trump’s inauguration on January 20. But the Republican, whose 2024 election campaign relied heavily on social media and who has said he is fond of TikTok, put the ban on pause. In mid-June Trump extended a deadline for the popular video-sharing app by another 90 days to find a non-Chinese buyer or be banned in the United States.Tech experts quickly described the TikTok kerfuffle as a symbol of the heated US-China tech rivalry. While Trump had long supported a ban or divestment, he reversed his position and vowed to defend the platform — which boasts almost two billion global users — after coming to believe it helped him win young voters’ support in the November election.”I have a little warm spot in my heart for TikTok,” Trump told NBC News in early May. “If it needs an extension, I would be willing to give it an extension.”Now after two extensions pushed the deadline to June 19, Trump has extended it for a third time.He said in May that a group of purchasers was ready to pay ByteDance “a lot of money” for TikTok’s US operations.The previous month he said China would have agreed to a deal on the sale of TikTok if it were not for a dispute over Trump’s tariffs on Beijing.ByteDance has confirmed talks with the US government, saying key matters needed to be resolved and that any deal would be “subject to approval under Chinese law.”
Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce week-end en France
Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique  visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et 10.000 sur l’ensemble du weekend dans 60 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg, a-t-il indiqué dimanche soir dans un communiqué.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.La mobilisation se poursuivra ce lundi à 11h30 à Paris, par un banquet paysan près du Sénat.dep-dfa-mer-gi/uh/jp
Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce week-end en France
Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique  visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et 10.000 sur l’ensemble du weekend dans 60 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg, a-t-il indiqué dimanche soir dans un communiqué.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.La mobilisation se poursuivra ce lundi à 11h30 à Paris, par un banquet paysan près du Sénat.dep-dfa-mer-gi/uh/jp
Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce week-end en France
Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique  visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et 10.000 sur l’ensemble du weekend dans 60 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg, a-t-il indiqué dimanche soir dans un communiqué.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.La mobilisation se poursuivra ce lundi à 11h30 à Paris, par un banquet paysan près du Sénat.dep-dfa-mer-gi/uh/jp
Trump blasts ‘communist’ winner of NY Democratic primary
US President Donald Trump branded the winner of New York City’s mayoral Democratic primary a “pure communist” in remarks that aired Sunday, an epithet the progressive candidate dismissed as political theatrics.Zohran Mamdani’s shock win last week against a scandal-scarred political heavyweight resonated as a thunderclap within the party, and drew the ire of Trump and his collaborators, who accused Mamdani of being a radical extremist.The Republican’s aggressive criticism of the self-described democratic socialist is sure to ramp up over the coming months as Trump’s party seeks to push Democrats away from the political center and frame them as too radical to win major US elections.”He’s pure communist” and a “radical leftist… lunatic,” Trump fumed on Fox News talk show “Sunday Morning Futures with Maria Bartiromo.””I think it’s very bad for New York,” added Trump, who grew up in the city and built his sprawling real estate business there.”If he does get in, I’m going to be president and he is going to have to do the right thing (or) they’re not getting any money” from the federal government.Trump’s White House has repeatedly threatened to curb funding for Democratic-led US cities if they oppose his policies, including cutting off money to so-called sanctuary cities which limit their cooperation with immigration authorities. Mamdani also took to the talk shows Sunday, asserting he would “absolutely” maintain New York’s status as a sanctuary city so that “New Yorkers can get out of the shadows and into the full life of the city that they belong to.”Asked directly on NBC’s “Meet the Press” whether he is a communist, Mamdani — a 33-year-old immigrant aiming to become New York’s first Muslim mayor — responded “No, I am not. “And I have already had to start to get used to the fact that the president will talk about how I look, how I sound, where I’m from, who I am, ultimately because he wants to distract from what I’m fighting for,” Mamdani said.”I’m fighting for the very working people that he ran a campaign to empower, that he has since then betrayed.”The Ugandan-born state assemblyman had trailed former governor Andrew Cuomo in polls but surged on a message of lower rents, free daycare and buses, and other populist ideas in the notoriously expensive metropolis.Although registered Democrats outnumber Republicans three to one in New York, victory for Mamdani in November is not assured.Current Mayor Eric Adams is a Democrat but is campaigning for re-election as an independent, while Cuomo may also run unaffiliated.