Le groupe CMA CGM en passe de racheter la plateforme de vidéos Brut

Le groupe CMA CGM de l’homme d’affaires Rodolphe Saadé est entré en “négociation exclusive” en vue de l’acquisition du média vidéo en ligne Brut, dont il est déjà actionnaire, a-t-il indiqué vendredi dans un communiqué.CMA Media, filiale de CMA CGM, “renforcerait sa présence dans le digital avec l’arrivée de Brut”, qui “s’est imposé comme une référence en France et à l’international”, déclare l’armateur Rodolphe Saadé, cité dans le communiqué.Présent dans plus de 100 pays, Brut “touche chaque mois plus de 500 millions de spectateurs” via YouTube, TikTok, Instagram, Facebook et Snapchat, souligne CMA Media.Le “pure player” a levé près de 140 millions d’euros depuis son lancement en 2016 et compte parmi ses actionnaires le fondateur de Free, Xavier Niel, le milliardaire François-Henri Pinault, via la holding Artemis, ou encore Orange, rejoints en 2023 par le groupe maritime français CMA CGM. Brut, qui emploie quelque 250 salariés et s’est réorganisé ces dernières années pour faire des économies, est rentable depuis le dernier trimestre 2023.”Cela fait deux ans que l’on travaille avec CMA CGM, un groupe familial dont nous partageons beaucoup de valeurs”, a relevé auprès de l’AFP Guillaume Lacroix, cofondateur et président de Brut. “Nous intègrerions CMA Media tout en restant indépendants”, a-t-il ajouté, se félicitant de pouvoir avec CMA CGM projeter des investissements, notamment dans l’innovation.Brut recourt déjà largement à l’intelligence artificielle pour analyser par exemple les commentaires générés par ses contenus. Auprès des annonceurs, il met en avant la masse de données (temps passé devant une vidéo, nombre de vues, interactions…) en sa possession, en particulier sur les jeunes audiences.”Les fondateurs et l’équipe dirigeante de Brut resteraient pleinement impliqués dans cette nouvelle phase”, précise CMA Media, qui veut “préserver l’ADN” de Brut: “un journalisme exigeant, des formats natifs et une voix engagée sur les grands enjeux sociaux, environnementaux et culturels”.Le milliardaire Rodolphe Saadé bouscule depuis près de trois ans le paysage médiatique français. CMA CGM est devenu propriétaire du groupe La Provence (quotidiens La Provence et Corse Matin) en octobre 2022. Il s’est ensuite invité au capital du groupe audiovisuel M6 fin 2022, puis à celui de Brut, avant de prendre le contrôle du journal économique La Tribune et d’en lancer une édition dominicale en 2023.  A l’été 2024, CMA Media a racheté la chaîne info BFMTV, la radio RMC et les chaînes de la TNT RMC Découverte et RMC Story à Altice.En mai, le groupe a annoncé en outre avoir signé une promesse d’achat de la chaîne télé Chérie 25, actuellement dans le giron de NRJ Group.L’acquisition de Brut “serait une nouvelle étape dans la construction d’un groupe média solide, moderne et tourné vers l’avenir”, selon Rodolphe Saadé.

Le Hamas dit mener des consultations sur une proposition de trêve à Gaza

Le Hamas a annoncé vendredi mener des consultations avec d’autres mouvements palestiniens sur une proposition de trêve avec Israël dans la bande de Gaza, ce qui pourrait être le prélude à de nouvelles négociations en vue de mettre fin à près de 21 mois de guerre.Cette annonce précède une visite du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, lundi à Washington. Il doit être reçu par le président américain, Donald Trump, qui fait pression pour que les deux camps parviennent à un cessez-le-feu.”Le mouvement mène des consultations avec les chefs des forces et des factions palestiniennes à propos de la proposition” envoyée par les médiateurs, a déclaré le Hamas tôt vendredi.Une première trêve d’une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois en début d’année, négociées par l’intermédiaire du Qatar, des Etats-Unis et de l’Egypte, avaient permis le retour d’otages retenus dans le territoire palestinien et la libération de Palestiniens détenus par Israël.Faute d’accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël avait repris le 18 mars son offensive, déclenchée le 7 octobre 2023 par l’attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien. Benjamin Netanyahu a réaffirmé mercredi son intention d’éliminer le mouvement islamiste, au pouvoir depuis 2007 à Gaza, “jusqu’à la racine”, l’un des buts affichés de la guerre avec le retour des otages.M. Netanyahu, qui fait face à une extrême pression de son opinion publique, a promis jeudi de ramener “tous” les otages, “sans exception”, durant une visite au kibboutz Nir Oz, la communauté qui a payé le plus lourd tribut à l’attaque du 7 octobre 2023.Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.L’attaque du Hamas a fait 1.219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles.Au moins 57.130 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la bande de Gaza dans la campagne de représailles israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.- Proposition de trêve de 60 jours -Donald Trump avait assuré mardi que Israël avait accepté de finaliser les termes d’un cessez-le-feu et exhorté le Hamas à l’accepter, affirmant qu’un accord était proche. Selon une source palestinienne, cette proposition n’est pas fondamentalement différente des précédentes versions présentées par les Etats-Unis et “comprend une trêve de 60 jours”, pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages encore en vie en échange de la libération par Israël de prisonniers palestiniens.Le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, avait appelé mercredi à ne pas “manquer” une occasion de libérer les derniers otages.Pourtant, aucune piste tangible n’a encore émergé des tractations et l’horizon d’une fin des combats suscite des débats en Israël, des ministres d’extrême droite s’y opposant tant que le Hamas est toujours actif.Israël a annoncé récemment étendre ses opérations militaires à Gaza, où la Défense civile a fait état vendredi de 15 morts dans des frappes israéliennes.Selon un responsable de la Défense civile, Mohammad al-Moughayyir, sept personnes parmi lesquelles un enfant ont été tuées dans une frappe aérienne sur des tentes abritant des déplacés près de Khan Younès, dans le sud du territoire.Huit personnes parmi lesquelles deux enfants sont mortes dans deux autres frappes sur des camps de tentes, sur la côte près de cette ville, a-t-il ajouté.L’armée israélienne, contactée par l’AFP, a déclaré ne pas être en mesure de faire de déclaration sur des frappes en particulier en l’absence de coordonnées précises, mais a ajouté “mener des opérations, afin de démanteler les capacités militaires du Hamas”.Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège la bande de Gaza, et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations fournies par les secouristes.

Le Hamas dit mener des consultations sur une proposition de trêve à Gaza

Le Hamas a annoncé vendredi mener des consultations avec d’autres mouvements palestiniens sur une proposition de trêve avec Israël dans la bande de Gaza, ce qui pourrait être le prélude à de nouvelles négociations en vue de mettre fin à près de 21 mois de guerre.Cette annonce précède une visite du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, lundi à Washington. Il doit être reçu par le président américain, Donald Trump, qui fait pression pour que les deux camps parviennent à un cessez-le-feu.”Le mouvement mène des consultations avec les chefs des forces et des factions palestiniennes à propos de la proposition” envoyée par les médiateurs, a déclaré le Hamas tôt vendredi.Une première trêve d’une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois en début d’année, négociées par l’intermédiaire du Qatar, des Etats-Unis et de l’Egypte, avaient permis le retour d’otages retenus dans le territoire palestinien et la libération de Palestiniens détenus par Israël.Faute d’accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël avait repris le 18 mars son offensive, déclenchée le 7 octobre 2023 par l’attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien. Benjamin Netanyahu a réaffirmé mercredi son intention d’éliminer le mouvement islamiste, au pouvoir depuis 2007 à Gaza, “jusqu’à la racine”, l’un des buts affichés de la guerre avec le retour des otages.M. Netanyahu, qui fait face à une extrême pression de son opinion publique, a promis jeudi de ramener “tous” les otages, “sans exception”, durant une visite au kibboutz Nir Oz, la communauté qui a payé le plus lourd tribut à l’attaque du 7 octobre 2023.Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.L’attaque du Hamas a fait 1.219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles.Au moins 57.130 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la bande de Gaza dans la campagne de représailles israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.- Proposition de trêve de 60 jours -Donald Trump avait assuré mardi que Israël avait accepté de finaliser les termes d’un cessez-le-feu et exhorté le Hamas à l’accepter, affirmant qu’un accord était proche. Selon une source palestinienne, cette proposition n’est pas fondamentalement différente des précédentes versions présentées par les Etats-Unis et “comprend une trêve de 60 jours”, pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages encore en vie en échange de la libération par Israël de prisonniers palestiniens.Le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, avait appelé mercredi à ne pas “manquer” une occasion de libérer les derniers otages.Pourtant, aucune piste tangible n’a encore émergé des tractations et l’horizon d’une fin des combats suscite des débats en Israël, des ministres d’extrême droite s’y opposant tant que le Hamas est toujours actif.Israël a annoncé récemment étendre ses opérations militaires à Gaza, où la Défense civile a fait état vendredi de 15 morts dans des frappes israéliennes.Selon un responsable de la Défense civile, Mohammad al-Moughayyir, sept personnes parmi lesquelles un enfant ont été tuées dans une frappe aérienne sur des tentes abritant des déplacés près de Khan Younès, dans le sud du territoire.Huit personnes parmi lesquelles deux enfants sont mortes dans deux autres frappes sur des camps de tentes, sur la côte près de cette ville, a-t-il ajouté.L’armée israélienne, contactée par l’AFP, a déclaré ne pas être en mesure de faire de déclaration sur des frappes en particulier en l’absence de coordonnées précises, mais a ajouté “mener des opérations, afin de démanteler les capacités militaires du Hamas”.Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège la bande de Gaza, et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations fournies par les secouristes.

Harcèlement moral: peine confirmée en appel pour l’ex-députée Laetitia Avia

La cour d’appel de Paris a confirmé vendredi la peine prononcée en première instance à l’encontre de l’ancienne députée LREM Laetitia Avia, de six mois d’emprisonnement avec sursis et deux ans d’inéligibilité pour le harcèlement moral de cinq assistants parlementaires.La cour d’appel a estimé que l’ancienne députée de Paris redevenue avocate après sa défaite aux législatives en 2022, aujourd’hui âgée de 39 ans, avait commis une faute civile concernant un assistant parlementaire pour lequel elle avait été relaxée en première instance et revu à la hausse les dommages et intérêts à verser aux parties civiles.Dans un article de Mediapart publié en mai 2020, cinq anciens assistants parlementaires accusaient celle qui était alors députée de faire subir à ses collaborateurs humiliations, harcèlements et abus de pouvoir. Les témoignages évoquaient également des propos jugés sexistes, racistes ou homophobes que tenait Laetitia Avia dans des échanges avec son équipe.La députée, macroniste de la première heure, portait alors au Parlement un projet de loi contre la haine en ligne, qui a été censuré en grande partie le mois suivant par le Conseil constitutionnel.Après plusieurs plaintes, une enquête avait été ouverte en juillet 2020 et, deux ans plus tard, l’élue avait été citée à comparaître devant le tribunal.Lors du procès en première instance, sept anciens salariés, qui n’avaient pas tous porté plainte, avaient longuement témoigné, décrivant la “violence verbale” et “l’agressivité” de leur ancienne patronne, parfois via des remarques et surnoms sur leurs origines.

Pakistan building collapse kills 6: police

A five-storey building collapse in Pakistan on Friday killed at least six people and left six injured, police said, with rescuers searching through the rubble for trapped victims.The incident happened shortly after 10 am (0500 GMT) in the impoverished Lyari neighbourhood of Karachi, which was once plagued by gang violence and considered one of the most dangerous areas in Pakistan.Shankar Kamho, 30, a resident of the building who was out at the time, said there were around 20 families living inside. “I got a call from my wife saying the building was cracking and I told her to get out immediately,” he told AFP at the scene. “She went to warn the neighbours, but one woman told her ‘this building will stand for at least 10 more years’. Still, my wife took our daughter and left. About 20 minutes later, the building collapsed.” A senior local police official, Arif Aziz, told AFP that six dead bodies have been retrieved and six wounded people rescued. Up to 100 people had been living in the building, he added. Saad Edhi, of the Edhi welfare foundation that is part of the rescue operation, told AFP there could be “at least eight to 10 more people still trapped”, describing it as a “worn out building”.He also put the death toll at six.Nearby residents rushed to save their neighbours before rescuers took over to remove the rubble, along with at least five excavators.The heavy machinery struggled to access the narrow alleys, and police baton-charged residents to clear the way.In June 2020, at least 18 people were killed when a residential building housing about 40 apartments collapsed in the same area of the city.Roof and building collapses are common across Pakistan, mainly because of poor safety standards and shoddy construction materials in the South Asian country of more than 240 million people.But Karachi, home to more than 20 million, is especially notorious for poor construction, illegal extensions, ageing infrastructure, overcrowding, and lax enforcement of building regulations.

Bac: Jour J pour 720.000 candidats, 85,75% de taux de réussite provisoire

“J’ai eu mention bien, j’aurais préféré mention très bien….” En fin de matinée vendredi, des lycéens exprimaient leur déception ou hurlaient de joie, à la vue des résultats du bac qui, au niveau national, affiche 85,75% de taux de réussite provisoire.En déplacement à Janvry (Essonne), la ministre de l’Education nationale Elisabeth Borne a annoncé ce taux provisoire quasi-similaire à celui de l’an dernier (85,5%).Dans un lycée à Liffré, au nord de Rennes, les listes sont prises en photo et les jeunes téléphonent à leurs proches pour leur annoncer la nouvelle. Déçu de sa mention “bien”, Arthur relativise: “c’est un moment important, je vais fêter ça évidemment.””J’ai eu mention très bien en section européenne. Je suis vraiment super contente. Je m’attendais à une mention bien pas à une mention très bien”, exulte à l’inverse Ines, “stressée” avant l’affichage.”C’est le grand jour!”, lance Nathan, en terminale générale, qui a revêtu le survêtement de son équipe de football. “Depuis hier soir on est tous ensemble et on est allé faire la fête tous ensemble à Rennes, j’ai les yeux qui piquent car on n’a pas trop dormi….on fera aussi la fête après !” “Le bac ça reste important pour les études supérieures il faut l’avoir, c’est le premier gros diplôme de notre parcours scolaire, c’est marquant”, ajoute-t-il. Sur internet ou affichés dans leur lycée, les quelque 720.000 candidats au baccalauréat des filières générale, technologique et professionnelle vont découvrir leurs résultats, dernière étape symbolique avant de quitter le système scolaire.Les horaires s’échelonnent: depuis 11H30 dans certaines académies (Bordeaux, Limoges, Nantes, Normandie, Rennes, Poitiers), mais principalement à 12H00 (Paris, Versailles, Créteil, Orléans-Tours). Ce sera à 12H30 à Strasbourg, Amiens, Dijon ou Lille, ou encore à 13H00 à Aix-Marseille, Toulouse ou Lyon. Les résultats seront disponibles comme chaque année en ligne ou sur des panneaux d’affichage dans la cour de leur établissement.Assana, 18 ans, attend les siens devant le lycée polyvalent Marcel Cachin à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). “J’ai fait les spécialités maths et physique chimie, j’ai un léger stress pour la mention, j’espère avoir mention bien, on verra parce que je n’ai pas super bien réussi l’épreuve écrite de maths”.Plutôt que de regarder les résultats sur internet, elle s’est déplacée “parce que c’est la dernière fois qu’on va être tous ensemble. Après on va aller fêter ça au resto”. Beaucoup de lycéens savent que leur bac est déjà quasiment assuré. La pression est moindre qu’avant, en raison notamment du contrôle continu, qui représente 40% de la note. Les épreuves dites terminales (français écrit et oral, passé en classe de première, épreuves de spécialité, philosophie et grand oral passés en terminale) comptent, elles, pour 60%.- “Toujours une fierté” -Le taux de réussite au baccalauréat dépasse depuis 2012 les 80%. L’an dernier, il était de 91,2%, en hausse sur un an dans les trois voies (générale, technologique et professionnelle). En voie générale, il était de 95,9%.Le bac reste nécessaire pour entamer des études supérieures. Mais nombre de candidats connaissent déjà leur orientation pour l’an prochain, car Parcoursup a commencé à donner ses réponses aux futurs étudiants depuis le 2 juin, un moment devenu souvent plus important que le bac. La phase d’admission principale de la plateforme se terminera le 10 juillet.”Le fait d’avoir les résultats Parcoursup avant de passer le bac, ça retire quand même une partie de l’enjeu. Mais ça sera toujours une fierté d’avoir le bac”, explique Fiona, en terminale générale à Strasbourg. Elle sait déjà qu’elle ira à Paris, à Dauphine, en licence de Sciences des organisations, et attend ses résultats du bac pour “faire sa réelle inscription”.Pour cette édition, 720.806 candidats étaient inscrits, dont plus de la moitié pour le bac général (386.135 élèves), 145.930 pour le bac technologique et 188.741 pour le bac professionnel.Les épreuves se sont concentrées entre le 16 juin pour la philosophie et le 2 juillet pour les dernières épreuves du grand oral.Pour les élèves qui n’auront pas leur bac, les épreuves de rattrapage du baccalauréat général et technologique se dérouleront jusqu’au mercredi 9 juillet inclus.Cette année, le postulant le plus jeune, inscrit en candidat libre, est âgé de huit ans, une précocité inédite. Le plus âgé a 78 ans.