Trump annonce un contrat avec Boeing pour le futur avion de combat F-47

Donald Trump, le 47e président des Etats-Unis, a annoncé vendredi la signature d’un contrat avec Boeing pour une nouvelle génération d’avions de combat furtifs, baptisée F-47.”L’armée de l’air va attribuer le contrat (…) à Boeing”, a annoncé le président républicain devant des journalistes dans le Bureau ovale, précisant que le montant ne pouvait pas être dévoilé pour des raisons de sécurité.”Les généraux ont choisi ce nom, et c’est un joli nombre, F-47″, a souligné Donald Trump.Il a ajouté que “rien au monde ne pouvait rivaliser” avec cette nouvelle génération d’avions, qui doit remplacer la précédente génération de F-22, en service depuis une vingtaine d’années.Présent aux côtés du milliardaire, le ministre de la Défense Pete Hegseth a déclaré que le nouvel appareil envoyait “un message très direct et très clair à nos alliés pour dire que nous n’allons nulle part, et à nos ennemis, disant que nous serons en mesure de projeter notre puissance dans le monde entier, sans entraves, pour les générations à venir”.Ce contrat est une aubaine pour Boeing, qui traverse une crise profonde depuis plusieurs années en raison notamment de problèmes de qualité de sa production et d’une grève de plus de cinquante jours qui a paralysé ses deux principales usines en 2024.”Nous sommes prêts à fournir l’appareil le plus perfectionné et innovant”, a réagi l’avionneur américain dans un communiqué.Trois heures après l’annonce, son titre progressait de 4,28% à la Bourse de New York, à 180,22 dollars.Boeing, qui était en concurrence avec Lockheed Martin pour ce contrat avec l’armée de l’air, est également en lice auprès de la marine américaine pour produire sa prochaine génération d’avion de combat, cette fois contre Northrop Grumman.- “Quasiment invisible” -Le programme de remplacement du F-22, qui est appelé NGAD, avait été interrompu sous l’administration de Joe Biden en 2024 pour des raisons de coût.Le Congressional Budget Office, organe rattaché au Congrès, avait estimé en 2018 que les avions de nouvelle génération pourraient coûter jusqu’à 300 millions de dollars l’unité, soit beaucoup plus que plusieurs avions actuellement dans l’arsenal américain.Les dépenses de l’Etat fédéral sont une préoccupation majeure du gouvernement de Donald Trump, qui a chargé le milliardaire Elon Musk de les réduire drastiquement.Un responsable de l’armée de l’air avait déclaré plus tôt ce mois-ci qu’une étude menée après la suspension du NGAD avait insisté sur le fait que “la supériorité (militaire) dans les airs comptait, dans le passé, dans le présent mais aussi dans le futur”.”Ce que nous dit cette étude, c’est que nous avons essayé un tas d’options différentes et qu’il n’y en a pas de plus viable que le NGAD pour atteindre la supériorité aérienne dans cet environnement très contesté”, avait affirmé le général de division Joseph Kunkel lors d’un événement rassemblant les acteurs de la défense aérienne dans le Colorado.Introduite en 2005, la précédente génération — le F-22 — est équipée de technologies qui le rendent furtif et particulièrement maniable.Les performances du nouveau F-47 ne sont pas encore connues, mais Donald Trump a affirmé qu’il serait “quasiment invisible”, plus maniable et plus puissant qu’aucun autre appareil, et qu’il pourrait voler “avec de nombreux drones, autant que nous le voulons, ce qu’aucun autre avion ne peut faire”.

Trump annonce un contrat avec Boeing pour le futur avion de combat F-47

Donald Trump, le 47e président des Etats-Unis, a annoncé vendredi la signature d’un contrat avec Boeing pour une nouvelle génération d’avions de combat furtifs, baptisée F-47.”L’armée de l’air va attribuer le contrat (…) à Boeing”, a annoncé le président républicain devant des journalistes dans le Bureau ovale, précisant que le montant ne pouvait pas être dévoilé pour des raisons de sécurité.”Les généraux ont choisi ce nom, et c’est un joli nombre, F-47″, a souligné Donald Trump.Il a ajouté que “rien au monde ne pouvait rivaliser” avec cette nouvelle génération d’avions, qui doit remplacer la précédente génération de F-22, en service depuis une vingtaine d’années.Présent aux côtés du milliardaire, le ministre de la Défense Pete Hegseth a déclaré que le nouvel appareil envoyait “un message très direct et très clair à nos alliés pour dire que nous n’allons nulle part, et à nos ennemis, disant que nous serons en mesure de projeter notre puissance dans le monde entier, sans entraves, pour les générations à venir”.Ce contrat est une aubaine pour Boeing, qui traverse une crise profonde depuis plusieurs années en raison notamment de problèmes de qualité de sa production et d’une grève de plus de cinquante jours qui a paralysé ses deux principales usines en 2024.”Nous sommes prêts à fournir l’appareil le plus perfectionné et innovant”, a réagi l’avionneur américain dans un communiqué.Trois heures après l’annonce, son titre progressait de 4,28% à la Bourse de New York, à 180,22 dollars.Boeing, qui était en concurrence avec Lockheed Martin pour ce contrat avec l’armée de l’air, est également en lice auprès de la marine américaine pour produire sa prochaine génération d’avion de combat, cette fois contre Northrop Grumman.- “Quasiment invisible” -Le programme de remplacement du F-22, qui est appelé NGAD, avait été interrompu sous l’administration de Joe Biden en 2024 pour des raisons de coût.Le Congressional Budget Office, organe rattaché au Congrès, avait estimé en 2018 que les avions de nouvelle génération pourraient coûter jusqu’à 300 millions de dollars l’unité, soit beaucoup plus que plusieurs avions actuellement dans l’arsenal américain.Les dépenses de l’Etat fédéral sont une préoccupation majeure du gouvernement de Donald Trump, qui a chargé le milliardaire Elon Musk de les réduire drastiquement.Un responsable de l’armée de l’air avait déclaré plus tôt ce mois-ci qu’une étude menée après la suspension du NGAD avait insisté sur le fait que “la supériorité (militaire) dans les airs comptait, dans le passé, dans le présent mais aussi dans le futur”.”Ce que nous dit cette étude, c’est que nous avons essayé un tas d’options différentes et qu’il n’y en a pas de plus viable que le NGAD pour atteindre la supériorité aérienne dans cet environnement très contesté”, avait affirmé le général de division Joseph Kunkel lors d’un événement rassemblant les acteurs de la défense aérienne dans le Colorado.Introduite en 2005, la précédente génération — le F-22 — est équipée de technologies qui le rendent furtif et particulièrement maniable.Les performances du nouveau F-47 ne sont pas encore connues, mais Donald Trump a affirmé qu’il serait “quasiment invisible”, plus maniable et plus puissant qu’aucun autre appareil, et qu’il pourrait voler “avec de nombreux drones, autant que nous le voulons, ce qu’aucun autre avion ne peut faire”.

Washington appelle l’étranger à la rescousse pour pallier le manque d’oeufs

Les États-Unis ont commencé à solliciter d’autres pays, dont la Corée du Sud et la Turquie, pour pallier le manque d’Å“ufs lié à la grippe aviaire, a annoncé vendredi la ministre américaine de l’Agriculture.La multiplication des foyers de grippe aviaire dans les élevages aux États-Unis a réduit l’offre et transformé les Å“ufs en symbole d’une inflation qui ne laisse pas de répit aux Américains. Pour éviter que le virus ne se disperse davantage, plus de 30 millions de poules pondeuses ont été euthanasiées depuis début 2025.La perte de leur production se traduit par des étals déserts et des prix élevés, sachant que reconstituer une population de poules pondeuses prend du temps.Il faut attendre environ 18 semaines après l’éclosion pour qu’une femelle soit capable de pondre son premier Å“uf.Le gouvernement américain s’emploie à accroître l’offre disponible alors que les congés autour de Pâques coïncident généralement avec une forte demande.”Pour l’instant, nous allons importer des Å“ufs de Turquie et de Corée du Sud”, a expliqué à la presse la ministre de l’Agriculture Brooke Rollins. “Hier encore [jeudi], j’ai parlé à une autre poignée d’autres pays dont nous pourrons bientôt importer la production. Nous n’avons pas encore signé d’accord, donc je ne souhaite pas préciser leur nom”, a-t-elle ajouté.”Nous parlons de centaines de millions d’Å“ufs à court terme… C’est assez pour que cela aide à faire baisser davantage les prix en attendant que notre population de poules soit reconstituée”, a-t-elle estimé.La ministre a espéré que la production nationale puisse couvrir l’essentiel des besoins “d’ici quelques mois”. Contacté par l’AFP, le ministère de l’Agriculture n’a pas précisé les volumes concernés par rapport aux importations réalisées habituellement.L’an dernier, le premier fournisseur extérieur d’œufs des États-Unis était de loin le Canada, suivi du Royaume-Uni, de la Chine puis de la Turquie.La Corée du Sud arrivait en 23e position.De leurs côtés, plusieurs associations européennes de producteurs d’œufs, notamment en Lituanie et en Pologne, ont rapporté vendredi avoir été approchées par les États-Unis pour y exporter des oeufs.Cette recherche par Washington de nouveaux approvisionnements coïncide avec une période de grande tension sur le plan commercial, alors que le président Donald Trump a déjà mis en place de nouveaux droits de douane et en promet d’autres.Le gouvernement a mis en avant récemment une baisse des prix de gros, sur fond de demande atone et d’accalmie de la grippe aviaire, mais elle ne s’est pas encore matérialisée dans les rayons.

Washington appelle l’étranger à la rescousse pour pallier le manque d’oeufs

Les États-Unis ont commencé à solliciter d’autres pays, dont la Corée du Sud et la Turquie, pour pallier le manque d’Å“ufs lié à la grippe aviaire, a annoncé vendredi la ministre américaine de l’Agriculture.La multiplication des foyers de grippe aviaire dans les élevages aux États-Unis a réduit l’offre et transformé les Å“ufs en symbole d’une inflation qui ne laisse pas de répit aux Américains. Pour éviter que le virus ne se disperse davantage, plus de 30 millions de poules pondeuses ont été euthanasiées depuis début 2025.La perte de leur production se traduit par des étals déserts et des prix élevés, sachant que reconstituer une population de poules pondeuses prend du temps.Il faut attendre environ 18 semaines après l’éclosion pour qu’une femelle soit capable de pondre son premier Å“uf.Le gouvernement américain s’emploie à accroître l’offre disponible alors que les congés autour de Pâques coïncident généralement avec une forte demande.”Pour l’instant, nous allons importer des Å“ufs de Turquie et de Corée du Sud”, a expliqué à la presse la ministre de l’Agriculture Brooke Rollins. “Hier encore [jeudi], j’ai parlé à une autre poignée d’autres pays dont nous pourrons bientôt importer la production. Nous n’avons pas encore signé d’accord, donc je ne souhaite pas préciser leur nom”, a-t-elle ajouté.”Nous parlons de centaines de millions d’Å“ufs à court terme… C’est assez pour que cela aide à faire baisser davantage les prix en attendant que notre population de poules soit reconstituée”, a-t-elle estimé.La ministre a espéré que la production nationale puisse couvrir l’essentiel des besoins “d’ici quelques mois”. Contacté par l’AFP, le ministère de l’Agriculture n’a pas précisé les volumes concernés par rapport aux importations réalisées habituellement.L’an dernier, le premier fournisseur extérieur d’œufs des États-Unis était de loin le Canada, suivi du Royaume-Uni, de la Chine puis de la Turquie.La Corée du Sud arrivait en 23e position.De leurs côtés, plusieurs associations européennes de producteurs d’œufs, notamment en Lituanie et en Pologne, ont rapporté vendredi avoir été approchées par les États-Unis pour y exporter des oeufs.Cette recherche par Washington de nouveaux approvisionnements coïncide avec une période de grande tension sur le plan commercial, alors que le président Donald Trump a déjà mis en place de nouveaux droits de douane et en promet d’autres.Le gouvernement a mis en avant récemment une baisse des prix de gros, sur fond de demande atone et d’accalmie de la grippe aviaire, mais elle ne s’est pas encore matérialisée dans les rayons.

Lille: le premier adjoint de Martine Aubry, Arnaud Deslandes, élu maire

Le premier adjoint de Martine Aubry, Arnaud Deslandes, a été élu sans surprise maire de Lille vendredi lors d’un conseil municipal extraordinaire, succédant à l’emblématique édile socialiste, qui a démissionné après 24 ans à la tête de la ville.Élu par 43 voix sur 54 suffrages exprimés, le quadragénaire, qui avait été désigné comme dauphin par Mme Aubry il y a deux semaines, l’a emporté face à Stéphane Baly, candidat écologiste aux prochaines municipales en 2026.M. Baly a qualifié cette élection de “succession (…) sans aucun suspense”, soulignant que “la seule élection qui compte se déroulera dans un an”.Après un long hommage à Martine Aubry, M. Deslandes, 42 ans, lui a dit son “infinie reconnaissance”, estimant que “Lille et Martine Aubry ne font qu’un”.”J’inscris mon action dans la ligne de ce qui a été accompli”, a-t-il souligné, revendiquant “l’héritage de Martine Aubry en politique”.Il a évoqué “la rénovation des quartiers populaires”, la “défense des services publics”, ou encore une ville “résiliente” face aux changements climatiques.”J’ai un an pour faire mes preuves, j’en ai conscience”, a-t-il reconnu. “Je prouverai que je ne serai pas qu’un maire de transition”.A un an des municipales, Martine Aubry, 74 ans, élue à Lille depuis 30 ans et maire depuis 2001, a annoncé le 6 mars sa démission, estimant que le temps était venu “de passer la main à une nouvelle génération”.”C’est bien sûr les Lilloises et les Lillois qui choisiront dans un an”, a souligné Mme Aubry vendredi soir, martelant qu’il n’y avait “rien d’anti-démocratique” à l’élection de M. Deslandes.Cette passation anticipée vise à donner à ce dernier de la visibilité et l’opportunité d’incarner le pouvoir avant les municipales de l’an prochain, une stratégie classique en politique.Le PS n’a pas encore officiellement désigné de candidat à la mairie de Lille pour 2026. Une primaire prévue le 6 novembre devra départager les prétendants, dont M. Deslandes et le député socialiste et conseiller municipal lillois Roger Vicot, en campagne depuis déjà plusieurs mois.Arnaud Deslandes, encore peu connu du grand public, a fait toute sa carrière dans l’ombre de Martine Aubry, dont il est un fidèle.Né à Charleville-Mézières (Ardennes) le 22 octobre 1982, ce fils d’une professeure et d’un avocat, socialistes convaincus, a suivi leur voie en prenant dès 2002 sa carte au Mouvement des jeunes socialistes (MJS), puis au PS.Étudiant à Sciences Po Lille de 2001 à 2007, il est entré en 2005 au cabinet de Martine Aubry en tant que stagiaire. Il a ensuite gravi tous les échelons du beffroi: collaborateur de cabinet de 2006 à 2013, directeur de cabinet de 2013 à 2020, adjoint chargé de la solidarité et de la cohésion des territoires de 2020 à 2023, puis premier adjoint.

Lille: le premier adjoint de Martine Aubry, Arnaud Deslandes, élu maire

Le premier adjoint de Martine Aubry, Arnaud Deslandes, a été élu sans surprise maire de Lille vendredi lors d’un conseil municipal extraordinaire, succédant à l’emblématique édile socialiste, qui a démissionné après 24 ans à la tête de la ville.Élu par 43 voix sur 54 suffrages exprimés, le quadragénaire, qui avait été désigné comme dauphin par Mme Aubry il y a deux semaines, l’a emporté face à Stéphane Baly, candidat écologiste aux prochaines municipales en 2026.M. Baly a qualifié cette élection de “succession (…) sans aucun suspense”, soulignant que “la seule élection qui compte se déroulera dans un an”.Après un long hommage à Martine Aubry, M. Deslandes, 42 ans, lui a dit son “infinie reconnaissance”, estimant que “Lille et Martine Aubry ne font qu’un”.”J’inscris mon action dans la ligne de ce qui a été accompli”, a-t-il souligné, revendiquant “l’héritage de Martine Aubry en politique”.Il a évoqué “la rénovation des quartiers populaires”, la “défense des services publics”, ou encore une ville “résiliente” face aux changements climatiques.”J’ai un an pour faire mes preuves, j’en ai conscience”, a-t-il reconnu. “Je prouverai que je ne serai pas qu’un maire de transition”.A un an des municipales, Martine Aubry, 74 ans, élue à Lille depuis 30 ans et maire depuis 2001, a annoncé le 6 mars sa démission, estimant que le temps était venu “de passer la main à une nouvelle génération”.”C’est bien sûr les Lilloises et les Lillois qui choisiront dans un an”, a souligné Mme Aubry vendredi soir, martelant qu’il n’y avait “rien d’anti-démocratique” à l’élection de M. Deslandes.Cette passation anticipée vise à donner à ce dernier de la visibilité et l’opportunité d’incarner le pouvoir avant les municipales de l’an prochain, une stratégie classique en politique.Le PS n’a pas encore officiellement désigné de candidat à la mairie de Lille pour 2026. Une primaire prévue le 6 novembre devra départager les prétendants, dont M. Deslandes et le député socialiste et conseiller municipal lillois Roger Vicot, en campagne depuis déjà plusieurs mois.Arnaud Deslandes, encore peu connu du grand public, a fait toute sa carrière dans l’ombre de Martine Aubry, dont il est un fidèle.Né à Charleville-Mézières (Ardennes) le 22 octobre 1982, ce fils d’une professeure et d’un avocat, socialistes convaincus, a suivi leur voie en prenant dès 2002 sa carte au Mouvement des jeunes socialistes (MJS), puis au PS.Étudiant à Sciences Po Lille de 2001 à 2007, il est entré en 2005 au cabinet de Martine Aubry en tant que stagiaire. Il a ensuite gravi tous les échelons du beffroi: collaborateur de cabinet de 2006 à 2013, directeur de cabinet de 2013 à 2020, adjoint chargé de la solidarité et de la cohésion des territoires de 2020 à 2023, puis premier adjoint.

Israel attorney general warns govt against naming new security chief

Israel’s attorney general said on Friday that Prime Minister Benjamin Netanyahu cannot name a new internal security chief, following a supreme court decision freezing the government’s bid to oust him.The unprecedented move to fire Shin Bet chief Ronen Bar has deepened divisions in the country while Israel resumes its military operations in the Gaza Strip.The top court’s decision earlier Friday came after opposition parties and a non-governmental organisation filed separate appeals following the government’s decision to sack Bar.”According to the decision of the Supreme Court, it is prohibited to take any action that harms the position of the head of the Shin Bet, Ronen Bar,” Attorney General Gali Baharav-Miara said in a message to Netanyahu published by a spokesperson. “It is prohibited to appoint a new head of Shin Bet, and interviews for the position should not be held.” In a post on X, Netanyahu insisted it was up to the government to decide who heads the domestic security agency. “There will be no civil war! The State of Israel is a state of law, and according to the law, the government of Israel decides who will be the head of the Shin Bet,” Netanyahu said.Shin Bet has acknowledged its own failure to prevent Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel that started the Gaza war, but Bar has pointed to the need for a broader probe that would include the prime minister. Opposition leader Yair Lapid’s centre-right Yesh Atid party said it appealed Bar’s dismissal before the Supreme Court of Israel in the name of several opposition movements.Yesh Atid denounced what it called “a decision based on flagrant conflict of interest”.The Movement for Quality Government in Israel, an NGO, also appealed what it said was “an unlawful decision… posing a real risk to the national security of the State of Israel”.The separate legal appeals came after the government fired Bar in the early hours of Friday. Netanyahu has cited an “ongoing lack of trust” in him.The Shin Bet chief’s dismissal was to have been effective before April 10, making him the country’s first domestic intelligence agency chief to be fired.Bar was appointed by the previous Israeli government that briefly kept Netanyahu from power between June 2021 and December 2022.The attorney general, a critic of Netanyahu, is also under government scrutiny. Netanyahu’s office, citing a cabinet meeting agenda, said the government would meet on Sunday for a no confidence vote on Baharav-Miara, “due to her inappropriate behaviour and due to significant and prolonged differences between the government and the government’s legal adviser.” – ‘Qatargate’ -Thousands of Israelis braved cold and rainy weather on Thursday night to protest the moves against Bar and Baharav-Miara, demonstrating outside parliament and Netanyahu’s home in Jerusalem.Some spoke of a threat to democracy from Netanyahu’s policies.The opposition appeal highlighted what critics see as the two main reasons why Netanyahu moved against Bar.The first was his criticism of the government over the security failure that allowed Hamas’s attack to become the deadliest day in Israel’s history.The second was what Israeli media have dubbed “Qatargate” but which Netanyahu’s office has dismissed as “fake news”.The decision to sack Bar came “as Israel’s Security Agency is currently investigating the prime minister’s close associates… on suspicion of receiving money from entities directly linked to and acting on behalf of the State of Qatar”, the opposition appeal read.In a letter made public late on Thursday, Bar described his dismissal as motivated by Netanyahu’s “personal interests”.Friday’s appeal also mentioned that Bar’s dismissal took place after a Shin Bet investigation highlighting, according to the plaintiffs, “that the political leadership bears responsibility for the October 7 disaster”.In a video published Thursday, President Isaac Herzog deplored the government’s “controversial moves” that “deepened divisions” while Israel is still at war in the Gaza Strip.The tensions come against the backdrop of new Israeli attacks on Gaza since Tuesday and the reintegration into the government of one of Israel’s far-right figures, Itamar Ben Gvir.He had resigned as national security minister to protest the ceasefire with Hamas that took effect on January 19.