Republicans call for end to US public media funding

Congressional Republicans on Wednesday took aim at federal funding for US public media, including radio network NPR and broadcast channel PBS, accusing them of “brainwashing the American people” during a hearing.”We will be calling for the complete and total defunding and dismantling of the Corporation for Public Broadcasting (CPB),” said Representative Marjorie Taylor Greene, a hard-right supporter of President Donald Trump, in reference to the nonprofit which oversees US public media funding.Addressing the heads of National Public Radio and the Public Broadcasting Service, Greene said: “The content that is being put out through these state-sponsored outlets is so radical it is brainwashing the American people, and more significantly American children.”Greene criticized the outlets for pushing a political agenda which included “the LGBTQ indoctrination of children,” and “the systemic racism narrative,” as well as being “anti-family, pro-crime fake news.”The attacks by Greene echo media criticism by other Republicans and Trump, who frequently refers to legacy news media as the “enemy of the people.”Greene also sits on the House Committee on Government Efficiency, formed in support of the so-called Department of Government Efficiency (DOGE) led by Trump’s billionaire advisor Elon Musk and charged with slashing federal spending.However, the CPB — established nearly 60 years ago — has already had its budget approved by Congress until 2027, with over $500 million in funding.Some 40 million Americans tune in to NPR at least once a week, and about 36 million watch their local PBS station each month, according to estimates from the outlets.The Republican congresswoman from Georgia went on to say NPR and PBS have grown to become “radical left-wing echo chambers for a narrow audience of mostly wealthy, white, urban liberals and progressives.”The critiques drew fierce blowback from Democrats, including Representative Jasmine Crockett from Texas, who said Greene wants “to shut down everybody that is not Fox News,” a broadcaster preferred by many conservatives.NPR chief executive Katherine Maher estimated the radio station received $120 million from the CPB in 2025, “less than five percent” of its budget.Brian Jack, another Republican representative from Georgia, asked Maher if NPR could survive without the funding.”It would be incredibly damaging to the national radios system,” Maher said. “If federal funding for our network goes away, it means that people in rural parts of America would be harmed.”Democrat Stephen Lynch was also critical of the way Republicans led the hearing, saying it should be “talking about the security breach that occurred recently,” in reference to the leaked Signal group chat among US government officials.”Today the controlling House majority is afraid to do its job, it is afraid to hold Trump and Trump’s administration accountable.”

Après la Grande barrière, les coraux de l’ouest de l’Australie également dégradés par la chaleur

Après la Grande barrière, les coraux de l’ouest de l’Australie ont été endommagés par la chaleur qui les a littéralement “cuits” pendant l’été austral, s’est alarmée mercredi une ONG locale.Contrairement à la Grande barrière de corail à l’est, qui a connu cinq épisodes de blanchiment de masse ces dernières années, le récif de Ningaloo avait été relativement épargné ces dernières années.Mais “la chaleur de l’océan a littéralement cuit les coraux cette année”, a indiqué à l’AFP l’océanologue Kate Quigley, de l’ONG Minderoo Foundation.Inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco et réputé pour servir notamment de vivier aux requins, ce récif de quelque 300 km de long est un récif dit frangeant, caractérisé par sa proximité de la côte et sa faible profondeur.Tout porte à croire qu’il a connu cet été une dégradation “sans précédent” depuis 2011, a souligné Mme Quigley.Si l’étendue totale des dégâts doit encore être établie, les premiers constats montrent qu’ils sont de grande ampleur.”Ils sont profonds, ce n’est pas seulement la partie supérieure du récif qui blanchit. Et plusieurs espèces différentes de coraux blanchissent”, a souligné la scientifique.La température des eaux sur la côte ouest de l’Australie a atteint jusqu’à 3°C de plus que la moyenne cet été, selon les services météorologiques d’Etat.A partir d’un seuil critique, la hausse des températures de surface des océans provoque un blanchiment des coraux, qui peut aboutir à la mort de récifs entiers.En pratique, elle se traduit par une disparition des polypes des coraux, et ne laisse apparaître que le squelette calcaire de ces superorganismes.- Biotope fragile -Le blanchiment a cette année également ponctuellement affecté la Grande barrière de corail, sur la côte est de l’Australie, selon des données gouvernementales.Un blanchiment simultané de ces deux récifs distants de plusieurs milliers de kilomètres et appartenant à des registres climatiques distincts est un phénomène rare, a relevé Mme Quigley.”Le réchauffement de l’océan est si important qu’il l’emporte par endroit sur les spécificités locales”, estime l’océanologue, qui juge cette évolution “extrêmement préoccupante”.Si elle apparaît relativement épargnée à ce stade cet été, la Grande barrière de corail a connu des épisodes de blanchiment massifs en 2016, 2017, 2020, 2022 et 2024.Constituant un biotope particulièrement fragile, les récifs coralliens abritent une riche faune et protègent les littoraux en servant de brise-lames.Plus de 80% d’entre eux ont été affectés à des degrés divers par du blanchiment entre janvier 2023 et mars 2025, selon l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).”Cet épisode de blanchiment dans l’ouest de l’Australie est particulièrement concernant, selon les premières informations que nous avons reçues de nos collègues qui documentent son impact”, indique à l’AFP Derek Manzello, responsable du NOAA.L’année 2024 a été marquée par les températures les plus élevées jamais observées dans le monde, dans un contexte de changement climatique lié à l’activité humaine.Outre le réchauffement climatique, la surpêche et la pollution constituent également des menaces pour les coraux, a souligné un rapport de l’ONU en décembre.

Après la Grande barrière, les coraux de l’ouest de l’Australie également dégradés par la chaleur

Après la Grande barrière, les coraux de l’ouest de l’Australie ont été endommagés par la chaleur qui les a littéralement “cuits” pendant l’été austral, s’est alarmée mercredi une ONG locale.Contrairement à la Grande barrière de corail à l’est, qui a connu cinq épisodes de blanchiment de masse ces dernières années, le récif de Ningaloo avait été relativement épargné ces dernières années.Mais “la chaleur de l’océan a littéralement cuit les coraux cette année”, a indiqué à l’AFP l’océanologue Kate Quigley, de l’ONG Minderoo Foundation.Inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco et réputé pour servir notamment de vivier aux requins, ce récif de quelque 300 km de long est un récif dit frangeant, caractérisé par sa proximité de la côte et sa faible profondeur.Tout porte à croire qu’il a connu cet été une dégradation “sans précédent” depuis 2011, a souligné Mme Quigley.Si l’étendue totale des dégâts doit encore être établie, les premiers constats montrent qu’ils sont de grande ampleur.”Ils sont profonds, ce n’est pas seulement la partie supérieure du récif qui blanchit. Et plusieurs espèces différentes de coraux blanchissent”, a souligné la scientifique.La température des eaux sur la côte ouest de l’Australie a atteint jusqu’à 3°C de plus que la moyenne cet été, selon les services météorologiques d’Etat.A partir d’un seuil critique, la hausse des températures de surface des océans provoque un blanchiment des coraux, qui peut aboutir à la mort de récifs entiers.En pratique, elle se traduit par une disparition des polypes des coraux, et ne laisse apparaître que le squelette calcaire de ces superorganismes.- Biotope fragile -Le blanchiment a cette année également ponctuellement affecté la Grande barrière de corail, sur la côte est de l’Australie, selon des données gouvernementales.Un blanchiment simultané de ces deux récifs distants de plusieurs milliers de kilomètres et appartenant à des registres climatiques distincts est un phénomène rare, a relevé Mme Quigley.”Le réchauffement de l’océan est si important qu’il l’emporte par endroit sur les spécificités locales”, estime l’océanologue, qui juge cette évolution “extrêmement préoccupante”.Si elle apparaît relativement épargnée à ce stade cet été, la Grande barrière de corail a connu des épisodes de blanchiment massifs en 2016, 2017, 2020, 2022 et 2024.Constituant un biotope particulièrement fragile, les récifs coralliens abritent une riche faune et protègent les littoraux en servant de brise-lames.Plus de 80% d’entre eux ont été affectés à des degrés divers par du blanchiment entre janvier 2023 et mars 2025, selon l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).”Cet épisode de blanchiment dans l’ouest de l’Australie est particulièrement concernant, selon les premières informations que nous avons reçues de nos collègues qui documentent son impact”, indique à l’AFP Derek Manzello, responsable du NOAA.L’année 2024 a été marquée par les températures les plus élevées jamais observées dans le monde, dans un contexte de changement climatique lié à l’activité humaine.Outre le réchauffement climatique, la surpêche et la pollution constituent également des menaces pour les coraux, a souligné un rapport de l’ONU en décembre.

Disney reveals ‘Avengers’ cast with surprise Stewart, McKellen returns

Disney’s Marvel Studios on Wednesday revealed the bumper cast of its next “Avengers” film, six years after “Avengers: Endgame” became the highest-grossing movie of all time.Patrick Stewart and Ian McKellen are among those surprisingly returning to the superhero roster for “Avengers: Doomsday,” out May 2026.They will join a raft of widely expected fan favorites, including Robert Downey Jr. and Chris Hemsworth, a viral five-hour-long video announcement confirmed.The Marvel superhero films are comfortably the most lucrative franchise in Hollywood history, having collectively made more than $30 billion.As its title suggests, “Avengers: Doomsday” is intended to be an ensemble blockbuster event in the style of the franchise’s pinnacle, 2019’s “Avengers: Endgame,” which grossed $2.8 billion.”Endgame” was briefly the highest-grossing movie in history, before the original “Avatar” reclaimed its crown with a theatrical re-release.Like “Endgame,” “Doomsday” will again team up characters and wrap up storylines in a grand finale to more than a dozen preceding Marvel films.While several returning superheroes — and the actors playing them — had been previously announced, Marvel revealed the whole set in a livestreamed video.Surprises included octogenarian thespians Stewart and McKellen, who previously appeared in early “X-Men” films but were thought to have been written out or recast.Returning favorites include Hemsworth’s Thor, Paul Rudd’s Ant Man, and Tom Hiddleston’s Loki.Actors’ names were written on the backs of Hollywood-style directors’ chairs, with a camera slowly panning from one to the next every 10-15 minutes until ending with Downey Jr. appearing in-person. Marvel previously announced that the Oscar winner will return to the franchise as the villainous Doctor Doom.”It all leads to Doom. #AvengersDoomsday is now in production,” said an accompanying message.Downey Jr. kick-started the Marvel big-screen phenomenon back in 2008, playing an entirely different character — Iron Man.The franchise went on an unprecedented red-hot box office streak, raking in billions of dollars.Post-“Endgame,” the films have lost some luster, with a dozen movies since receiving mostly weaker reviews. Box office receipts have also fallen from their peak, though are still enviable compared with almost any other Hollywood franchise.Wednesday’s viral unveiling demonstrates how key to Marvel and Disney the success of “Avengers: Doomsday” — and 2027 follow-up “Avengers: Secret Wars” — will be.The video was watched nearly four million times in its first seven hours.

Arrest of vice president puts S.Sudan on brink of warWed, 26 Mar 2025 23:18:28 GMT

South Sudan’s First Vice President Riek Machar, the long-time rival to President Salva Kiir, was arrested on Wednesday — a move described by the UN as leaving the country on the brink of widespread conflict.A convoy of 20 heavily armed vehicles entered Machar’s residence in the capital Juba and arrested him, according to a statement …

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Nouveau revers en appel pour Trump sur l’expulsion d’immigrés en vertu d’une loi d’exception

L’administration Trump a enregistré mercredi en appel un nouveau revers judiciaire dans son projet d’expulsion d’immigrés accusés d’appartenir à un gang vénézuélien en vertu d’une loi d’exception utilisée jusqu’alors uniquement en temps de guerre.Un juge fédéral, James Boasberg, avait suspendu le 15 mars pour deux semaines les expulsions fondées sur cette loi de 1798 sur les “ennemis étrangers”, alors que plus de 200 personnes présentées comme des membres présumés du gang vénézuélien Tren de Aragua étaient en cours d’expulsion sans autre forme de procès vers le Salvador.L’administration Trump a fait appel de cette suspension. Mais, par deux voix contre une, une cour d’appel fédérale de Washington a rejeté ce recours.”A ce stade, le gouvernement n’a pas encore démontré de probabilité qu’il prévaudra sur le fond” dans cette affaire, estime l’une des juges, Karen Henderson, considérant que pour l’instant la balance penche en faveur des plaignants.”Si le gouvernement peut choisir de renoncer à une procédure juste et équitable pour certaines personnes, il peut le faire pour tout le monde”, prévient sa collègue Patricia Millett.Elle a reproché à l’administration Trump de s’arroger le droit d’expulser ces immigrés “sans préavis, sans audition en justice – zéro recours – ni possibilité de prouver qu’ils n’appartiennent pas au gang”.”Les nazis ont été mieux traités quant à l’application de la loi sur les ennemis étrangers” dans les années 1940, avait-elle relevé lundi à l’audience, rappelant qu’à l’époque “il y avait des instances d’appel avant qu’une personne puisse être expulsée”.Cette loi de 1798 avait jusqu’alors été utilisée uniquement en temps de guerre, notamment à l’encontre des ressortissants japonais et allemands en territoire américain pendant la Seconde Guerre mondiale.Elle a été invoquée dans une déclaration présidentielle publiée le 15 mars pour justifier l’expulsion le jour même vers le Salvador de plus de 200 personnes présentées comme des membres présumés de Tren de Aragua, décrété “organisation terroriste” par Washington.- “Message au monde” -La ministre américaine de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a entamé mercredi une visite au Salvador, se rendant notamment dans la mégaprison où sont incarcérés les Vénézuéliens expulsés le 15 mars.Ces expulsions “ont envoyé un message au monde que l’Amérique n’est plus un refuge sûr pour les criminels violents”, a-t-elle déclaré sur les réseaux sociaux avant son arrivée.La ministre a précisé qu’elle rencontrerait le président salvadorien Nayib Bukele pour discuter de comment “augmenter le nombre de vols et d’expulsions de criminels violents des États-Unis”.L’administration Trump dénonce la décision du juge Boasberg comme une “intrusion sans précédent dans les prérogatives du pouvoir exécutif”, lui reprochant notamment d’avoir ordonné, en vain, que les avions ayant déjà décollé rebroussent chemin.La Maison Blanche a voué aux gémonies le juge, Donald Trump allant la semaine dernière jusqu’à appeler à sa révocation, suscitant un rare rappel à l’ordre du président de la Cour suprême, John Roberts.L’influente organisation de défense des droits civiques ACLU, qui défend les personnes visées par ces expulsions, a salué la décision de la cour d’appel et demandé au juge de première instance de prolonger sa suspension de deux semaines, jusqu’au 12 avril.Le magistrat a confirmé lundi sa suspension, considérant qu’avant leur éventuelle expulsion, les plaignants devaient pouvoir contester individuellement devant la justice américaine leur appartenance au gang visé par la déclaration présidentielle.Il a également insisté sur l’apparent manque de transparence de l’administration Trump, soulignant que cette déclaration présidentielle, datée du 14 mars, n’a été publiée par la Maison Blanche que le lendemain.

Trump blasts ‘witch hunt’ as Yemen chat scandal mounts

US President Donald Trump on Wednesday dismissed a scandal over leaked plans for Yemen air strikes as a “witch hunt” and defended his embattled Pentagon chief amid calls by Democrats for him to quit.Republican Trump lashed out after the Atlantic Magazine published the transcript of messages accidentally shared with its editor in a chat group of senior US officials on Signal, a commercially available messaging app.Defense Secretary Pete Hegseth revealed details in the chat including the times of strikes on Iran-backed Huthi rebels and the type of aircraft, missiles and drones used, before the attacks actually happened, the Atlantic said.”Hegseth is doing a great job, he had nothing to do with this,” Trump said when asked by AFP in the Oval Office whether Hegseth should consider his position over the scandal.”How do you bring Hegseth into this? Look, look it’s all a witch hunt,” added Trump, who was taking questions after announcing new tariffs on foreign-made cars.Trump repeated his insistence that no classified information was shared in the breach, and added that National Security Advisor Mike Waltz “took responsibility” for the error.It was Waltz who mistakenly added journalist Jeffrey Goldberg to the chat, sparking what has been dubbed “Signalgate” in the biggest scandal since Trump returned to power in January.- ‘Resign in disgrace’ -The magazine initially withheld the details of the attack plans, but finally published them on Thursday after White House had insisted that no classified details were involved and attacked Goldberg as a liar.The White House and a string of officials involved in the chat lined up to try to downplay the story as the pressure mounted.Hegseth, visiting Hawaii, himself said the exchange on March 15 involved “No names. No targets.”US Vice President JD Vance, who fired a rifle on a shooting range while visiting a Marines base near Washington, said the Atlantic had “overplayed” what happened.Only Secretary of State Marco Rubio admitted that there had been a “big mistake,” while highlighting his own limited role.Democrats have trained much of their fire on Hegseth, a former Fox News contributor and veteran.”The secretary of defense should be fired immediately if he’s not man enough to own up to his mistakes and resign in disgrace,” House Democratic leader Hakeem Jeffries told MSNBC.Democratic Senator Tammy Duckworth said Trump should sack all the officials in the chat and called Hegseth a “liar” who “could’ve gotten our pilots killed.”Meanwhile Roger Wicker, the Republican chairman of the Senate Armed Services Committee, said he was seeking an independent report from the Trump administration.- ‘Anti-Trump hater’ -The Atlantic said the texting was done barely half an hour before the first US warplanes took off to hit the Huthis on March 15 — and two hours before the first target was expected to be bombed.”1215et: F-18s LAUNCH (1st strike package)”, Hegseth writes, referring to US Navy jet fighters, before adding that “Target Terrorist is @ his Known Location so SHOULD BE ON TIME.””1415: Strike Drones on Target (THIS IS WHEN THE FIRST BOMBS WILL DEFINITELY DROP, pending earlier ‘Trigger Based’ targets).”Hegseth wrote also writes about the use of US drones and Tomahawk cruise missiles.A short time later, Waltz sent real-time intelligence on the aftermath of an attack, writing that US forces had identified the target “walking into his girlfriend’s building and it’s now collapsed.”Peppered with questions at a daily press briefing, Press Secretary Karoline Leavitt described Goldberg as an “anti-Trump hater.”Elon Musk, the billionaire running a huge government cost-cutting drive for Trump, had offered “technical experts” to find out how he was added to the chat, she added.Trump’s comments came as Huthi media said late Wednesday that new US strikes had hit the rebel-held capital Sanaa, after earlier reporting 19 American raids elsewhere in  Yemen. His administration has stepped up attacks on the Huthi rebels in response to constant attempts to sink and disrupt shipping through the strategic Red Sea. The Huthis claim they are acting in solidarity with Gaza amid Hamas’s war on Israel.

Trump blasts ‘witch hunt’ as Yemen chat scandal mounts

US President Donald Trump on Wednesday dismissed a scandal over leaked plans for Yemen air strikes as a “witch hunt” and defended his embattled Pentagon chief amid calls by Democrats for him to quit.Republican Trump lashed out after the Atlantic Magazine published the transcript of messages accidentally shared with its editor in a chat group of senior US officials on Signal, a commercially available messaging app.Defense Secretary Pete Hegseth revealed details in the chat including the times of strikes on Iran-backed Huthi rebels and the type of aircraft, missiles and drones used, before the attacks actually happened, the Atlantic said.”Hegseth is doing a great job, he had nothing to do with this,” Trump said when asked by AFP in the Oval Office whether Hegseth should consider his position over the scandal.”How do you bring Hegseth into this? Look, look it’s all a witch hunt,” added Trump, who was taking questions after announcing new tariffs on foreign-made cars.Trump repeated his insistence that no classified information was shared in the breach, and added that National Security Advisor Mike Waltz “took responsibility” for the error.It was Waltz who mistakenly added journalist Jeffrey Goldberg to the chat, sparking what has been dubbed “Signalgate” in the biggest scandal since Trump returned to power in January.- ‘Resign in disgrace’ -The magazine initially withheld the details of the attack plans, but finally published them on Thursday after White House had insisted that no classified details were involved and attacked Goldberg as a liar.The White House and a string of officials involved in the chat lined up to try to downplay the story as the pressure mounted.Hegseth, visiting Hawaii, himself said the exchange on March 15 involved “No names. No targets.”US Vice President JD Vance, who fired a rifle on a shooting range while visiting a Marines base near Washington, said the Atlantic had “overplayed” what happened.Only Secretary of State Marco Rubio admitted that there had been a “big mistake,” while highlighting his own limited role.Democrats have trained much of their fire on Hegseth, a former Fox News contributor and veteran.”The secretary of defense should be fired immediately if he’s not man enough to own up to his mistakes and resign in disgrace,” House Democratic leader Hakeem Jeffries told MSNBC.Democratic Senator Tammy Duckworth said Trump should sack all the officials in the chat and called Hegseth a “liar” who “could’ve gotten our pilots killed.”Meanwhile Roger Wicker, the Republican chairman of the Senate Armed Services Committee, said he was seeking an independent report from the Trump administration.- ‘Anti-Trump hater’ -The Atlantic said the texting was done barely half an hour before the first US warplanes took off to hit the Huthis on March 15 — and two hours before the first target was expected to be bombed.”1215et: F-18s LAUNCH (1st strike package)”, Hegseth writes, referring to US Navy jet fighters, before adding that “Target Terrorist is @ his Known Location so SHOULD BE ON TIME.””1415: Strike Drones on Target (THIS IS WHEN THE FIRST BOMBS WILL DEFINITELY DROP, pending earlier ‘Trigger Based’ targets).”Hegseth wrote also writes about the use of US drones and Tomahawk cruise missiles.A short time later, Waltz sent real-time intelligence on the aftermath of an attack, writing that US forces had identified the target “walking into his girlfriend’s building and it’s now collapsed.”Peppered with questions at a daily press briefing, Press Secretary Karoline Leavitt described Goldberg as an “anti-Trump hater.”Elon Musk, the billionaire running a huge government cost-cutting drive for Trump, had offered “technical experts” to find out how he was added to the chat, she added.Trump’s comments came as Huthi media said late Wednesday that new US strikes had hit the rebel-held capital Sanaa, after earlier reporting 19 American raids elsewhere in  Yemen. His administration has stepped up attacks on the Huthi rebels in response to constant attempts to sink and disrupt shipping through the strategic Red Sea. The Huthis claim they are acting in solidarity with Gaza amid Hamas’s war on Israel.

L’ex-président brésilien Bolsonaro sera jugé pour tentative de coup d’Etat

Jair Bolsonaro sera jugé pour tentative de coup d’Etat contre son rival Lula: la Cour suprême du Brésil a rendu mercredi une décision historique qui expose l’ancien président à une lourde peine de prison et plombe ses ambitions de retour au pouvoir.Décidé à l’unanimité après deux jours de débats, ce renvoi en procès est un séisme dans le plus grand pays d’Amérique latine, encore hanté par le souvenir de la dictature militaire (1964-1985).Absent à l’audience mercredi, l’ancien président d’extrême droite (2019-2022) a rejeté, devant la presse à Brasilia, des accusations “très graves et infondées”. “On dirait qu’ils ont quelque chose de personnel contre moi”, a-t-il lancé.Menacé d’une peine cumulée pouvant dépasser les 40 ans de prison, il se dit victime de la “plus grande persécution politico-judiciaire de l’histoire du Brésil”.Nostalgique assumé de la dictature, l’ex-capitaine de l’armée, 70 ans, est accusé par le parquet d’être le “leader” d’une “organisation criminelle” ayant ourdi une conspiration pour se maintenir au pouvoir “à tout prix” à l’issue de l’élection d’octobre 2022, qu’il a finalement perdue face au président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.Selon les enquêteurs, après la défaite et avant le transfert du pouvoir, les présumés conspirateurs auraient oeuvré à l’élaboration d’un décret prévoyant la convocation d’un nouveau scrutin, mais aussi projeté l’assassinat de Lula, de son vice-président élu Geraldo Alckmin et d’Alexandre de Moraes, un juge de la Cour suprême.”La dictature vit de mort, non seulement de la société, non seulement de la démocratie, mais d’êtres humains de chair et d’os”, a souligné gravement la juge Carmen Lucia en votant pour le procès.- Impunité -C’est une décision “historique parce que pour la première fois sous un régime démocratique, le Brésil jugera une tentative de coup d’Etat”, dit à l’AFP Marcio Coimbra, du centre de réflexion Casa Politica.Malgré “sept coups d’Etat militaires”, les Brésiliens constataient que “même s’ils ne réussissaient pas, il n’y avait pas de procès”, ajoute l’analyste.Selon des experts, Jair Bolsonaro devrait répondre à son procès en liberté et son procès devrait se tenir d’ici la fin de l’année, pour éviter toute interférence avec l’élection présidentielle de 2026.Le leader ultra-conservateur est inéligible jusqu’en 2030 en raison de ses attaques sans preuves contre les urnes électroniques. Mais il espère encore voir cette sanction annulée ou réduite pour lui permettre d’être de nouveau candidat.Une condamnation pour complot forcerait les siens à lui choisir un successeur, alors que le jeu semble ouvert face à Lula, 79 ans, plus impopulaire que jamais sur fond d’inflation.”Je ne suis pas encore mort”, a asséné mercredi l’ex-président, assurant que le candidat de son camp l’an prochain “sera Bolsonaro”.Il espère aussi un appui de Donald Trump, son “ami” et modèle politique.- Émeutes de Brasilia -Alexandre de Moraes, puissant juge honni du camp Bolsonaro, a estimé que des “indices raisonnables” justifiaient l’ouverture d’un procès.Invoquant son “intérêt personnel” en tant que potentielle victime d’un projet d’assassinat, la défense avait tenté, en vain, d’obtenir sa récusation, comme celle de deux autres juges.Les magistrats ont également décidé d’ouvrir un procès contre les sept autres membres du “noyau crucial” du supposé complot. Parmi eux, plusieurs anciens ministres, Walter Braga Netto (Défense), son candidat à la vice-présidence en 2022, et Anderson Torres (Justice), ainsi que l’ancien commandant de la Marine, Almir Garnier Santos.Selon l’accusation, si le coup d’Etat n’a pas eu lieu, c’est faute de soutien au sein du haut commandement militaire.Cherchant à démontrer que la démocratie au Brésil a réellement frôlé le désastre, l’accusation s’appuie aussi sur les événements du 8 janvier 2023 à Brasilia. Une semaine après l’investiture du nouveau chef de l’Etat, et en l’absence de Jair Bolsonaro, alors aux Etats-Unis, des milliers de sympathisants bolsonaristes avaient envahi et saccagé les bâtiments de la Cour suprême, du Parlement et du palais présidentiel, appelant à une intervention militaire.Avant de revenir au pouvoir pour son troisième mandat en 2023, après un premier passage à la présidence (2003-2010), Lula a également eu maille à partir avec la justice: un scandale de corruption lui avait valu la prison, avant qu’il ne voie ses condamnations annulées.

L’ex-président brésilien Bolsonaro sera jugé pour tentative de coup d’Etat

Jair Bolsonaro sera jugé pour tentative de coup d’Etat contre son rival Lula: la Cour suprême du Brésil a rendu mercredi une décision historique qui expose l’ancien président à une lourde peine de prison et plombe ses ambitions de retour au pouvoir.Décidé à l’unanimité après deux jours de débats, ce renvoi en procès est un séisme dans le plus grand pays d’Amérique latine, encore hanté par le souvenir de la dictature militaire (1964-1985).Absent à l’audience mercredi, l’ancien président d’extrême droite (2019-2022) a rejeté, devant la presse à Brasilia, des accusations “très graves et infondées”. “On dirait qu’ils ont quelque chose de personnel contre moi”, a-t-il lancé.Menacé d’une peine cumulée pouvant dépasser les 40 ans de prison, il se dit victime de la “plus grande persécution politico-judiciaire de l’histoire du Brésil”.Nostalgique assumé de la dictature, l’ex-capitaine de l’armée, 70 ans, est accusé par le parquet d’être le “leader” d’une “organisation criminelle” ayant ourdi une conspiration pour se maintenir au pouvoir “à tout prix” à l’issue de l’élection d’octobre 2022, qu’il a finalement perdue face au président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.Selon les enquêteurs, après la défaite et avant le transfert du pouvoir, les présumés conspirateurs auraient oeuvré à l’élaboration d’un décret prévoyant la convocation d’un nouveau scrutin, mais aussi projeté l’assassinat de Lula, de son vice-président élu Geraldo Alckmin et d’Alexandre de Moraes, un juge de la Cour suprême.”La dictature vit de mort, non seulement de la société, non seulement de la démocratie, mais d’êtres humains de chair et d’os”, a souligné gravement la juge Carmen Lucia en votant pour le procès.- Impunité -C’est une décision “historique parce que pour la première fois sous un régime démocratique, le Brésil jugera une tentative de coup d’Etat”, dit à l’AFP Marcio Coimbra, du centre de réflexion Casa Politica.Malgré “sept coups d’Etat militaires”, les Brésiliens constataient que “même s’ils ne réussissaient pas, il n’y avait pas de procès”, ajoute l’analyste.Selon des experts, Jair Bolsonaro devrait répondre à son procès en liberté et son procès devrait se tenir d’ici la fin de l’année, pour éviter toute interférence avec l’élection présidentielle de 2026.Le leader ultra-conservateur est inéligible jusqu’en 2030 en raison de ses attaques sans preuves contre les urnes électroniques. Mais il espère encore voir cette sanction annulée ou réduite pour lui permettre d’être de nouveau candidat.Une condamnation pour complot forcerait les siens à lui choisir un successeur, alors que le jeu semble ouvert face à Lula, 79 ans, plus impopulaire que jamais sur fond d’inflation.”Je ne suis pas encore mort”, a asséné mercredi l’ex-président, assurant que le candidat de son camp l’an prochain “sera Bolsonaro”.Il espère aussi un appui de Donald Trump, son “ami” et modèle politique.- Émeutes de Brasilia -Alexandre de Moraes, puissant juge honni du camp Bolsonaro, a estimé que des “indices raisonnables” justifiaient l’ouverture d’un procès.Invoquant son “intérêt personnel” en tant que potentielle victime d’un projet d’assassinat, la défense avait tenté, en vain, d’obtenir sa récusation, comme celle de deux autres juges.Les magistrats ont également décidé d’ouvrir un procès contre les sept autres membres du “noyau crucial” du supposé complot. Parmi eux, plusieurs anciens ministres, Walter Braga Netto (Défense), son candidat à la vice-présidence en 2022, et Anderson Torres (Justice), ainsi que l’ancien commandant de la Marine, Almir Garnier Santos.Selon l’accusation, si le coup d’Etat n’a pas eu lieu, c’est faute de soutien au sein du haut commandement militaire.Cherchant à démontrer que la démocratie au Brésil a réellement frôlé le désastre, l’accusation s’appuie aussi sur les événements du 8 janvier 2023 à Brasilia. Une semaine après l’investiture du nouveau chef de l’Etat, et en l’absence de Jair Bolsonaro, alors aux Etats-Unis, des milliers de sympathisants bolsonaristes avaient envahi et saccagé les bâtiments de la Cour suprême, du Parlement et du palais présidentiel, appelant à une intervention militaire.Avant de revenir au pouvoir pour son troisième mandat en 2023, après un premier passage à la présidence (2003-2010), Lula a également eu maille à partir avec la justice: un scandale de corruption lui avait valu la prison, avant qu’il ne voie ses condamnations annulées.