L’Iran attaque une base amĂ©ricaine au Qatar, Trump appelle Ă  la “paix”

L’Iran a annoncĂ© lundi soir avoir lancĂ© des missiles contre la base amĂ©ricaine d’Al-Udeid au Qatar au lendemain de raids des Etats-Unis sur ses sites nuclĂ©aires, une riposte dont il avait prĂ©venu Washington selon Donald Trump, qui a appelĂ© l’Iran et IsraĂ«l Ă  “avancer vers la paix”. M. Trump a qualifiĂ© la riposte de “très faible”. “Je tiens Ă  remercier l’Iran de nous avoir prĂ©venus Ă  temps, ce qui a permis de ne pas perdre de vies et de ne blesser personne”, a-t-il ajoutĂ© dans un message sur sa plateforme Truth Social. PrĂ©cisant que la base avait Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©e, le Qatar a dit avoir interceptĂ© les tirs iraniens contre cette plus grosse base militaire au Moyen-Orient. “En rĂ©ponse Ă  l’action agressive” des États-Unis, les forces armĂ©es iraniennes “ont frappĂ© (…) la base aĂ©rienne amĂ©ricaine d’Al-Udeid, au Qatar”, a annoncĂ© le Conseil de sĂ©curitĂ© nationale iranien. Il a prĂ©cisĂ© avoir utilisĂ© autant de missiles “que le nombre de bombes” utilisĂ©s dans les raids amĂ©ricains, signalant une rĂ©ponse dument calibrĂ©e. Les Gardiens de la RĂ©volution, l’armĂ©e idĂ©ologique de la RĂ©publique islamique, ont eux affirmĂ© dans un communiquĂ©, citĂ© par l’agence de presse Irna, que “six missiles (avaient) touchĂ© la base”.”Peut-ĂŞtre que l’Iran peut maintenant avancer vers la paix et l’harmonie dans la rĂ©gion, et je vais vivement encourager IsraĂ«l Ă  faire de mĂŞme”, a ajoutĂ© le prĂ©sident amĂ©ricain, semblant vouloir tourner la page de la guerre entre les deux pays lancĂ©e le 13 juin par une attaque israĂ©lienne. Selon le Pentagone, les bombardements amĂ©ricains sur le site souterrain d’enrichissement d’uranium Ă  Fordo et des installations nuclĂ©aires Ă  Ispahan et Natanz (centre) ont “dĂ©vastĂ© le programme nuclĂ©aire iranien”. – Scènes de liesse Ă  TĂ©hĂ©ran -Plus tĂ´t dans la journĂ©e, l’ambassade des États-Unis Ă  Doha avait conseillĂ© Ă  ses ressortissants au Qatar de se “mettre Ă  l’abri jusqu’Ă  nouvel ordre”. La tĂ©lĂ©vision d’Etat iranienne a montrĂ© en direct dans la soirĂ©e des manifestants en liesse Ă  TĂ©hĂ©ran, aux cris de “mort Ă  l’AmĂ©rique”. Les tirs sur le Qatar prouvent que l’Iran menace “le monde entier”, a rĂ©agi un porte-parole de l’armĂ©e israĂ©lienne, Effie Defrin.Aavant que M. Trump ne s’exprime, l’Irak a mis en garde contre un “Ă©largissement de la confrontation”. Ryad et Abou Dhabi ont condamnĂ© l’action iranienne, le KoweĂŻt et BahreĂŻn annonçant fermer leur espace aĂ©rien, et les cours du pĂ©trole ont chutĂ©. Plus tĂ´t, les Etats-Unis avaient mis en garde l’Iran contre toute fermeture du dĂ©troit d’Ormuz, par oĂą transite un cinquième du pĂ©trole mondial. La tĂ©lĂ©vision d’Etat iranienne a par ailleurs annoncĂ© l’arrestation d’un “ressortissant europĂ©en” soupçonnĂ© d’ĂŞtre un “espion” au service d’IsraĂ«l, sans plus de prĂ©cision. – Frappes israĂ©liennes sur TĂ©hĂ©ran -IsraĂ«l a de son cĂ´tĂ© appelĂ© les habitants de TĂ©hĂ©ran Ă  s’Ă©loigner des bases militaires et sĂ©curitaires, prĂ©venant de la poursuite de ses raids, après d’intenses frappes sur la capitale iranienne ciblant des centres de commandements des Gardiens de la RĂ©volution et la prison d’Evine, en riposte Ă  des tirs de missiles iraniens.   La justice iranienne a fait Ă©tat de dĂ©gâts dans certaines parties de la prison d’Evine, oĂą sont dĂ©tenus des Occidentaux, prisonniers politiques et opposants.Les deux Français, CĂ©cile Kohler et Jacques Paris, qui y sont dĂ©tenus depuis plus de trois ans, “n’auraient pas Ă©tĂ© touchĂ©s” a affirmĂ© le chef de la diplomatie française, Jean-NoĂ«l Barrot, dĂ©nonçant une frappe “inacceptable”.IsraĂ«l a aussi indiquĂ© avoir menĂ© des frappes pour “bloquer les voies d’accès” au site de Fordo enfoui sous une montagne, au sud de TĂ©hĂ©ran. En Iran, la guerre a fait plus de 400 morts et 3.056 blessĂ©s, en majoritĂ© des civils, selon un bilan officiel. Les tirs iraniens sur IsraĂ«l ont fait 24 morts, d’après les autoritĂ©s.Affirmant que l’Iran Ă©tait sur le point de se doter de la bombe atomique, IsraĂ«l l’a attaquĂ© le 13 juin, bombardant des centaines de sites militaires et nuclĂ©aires et tuant les plus hauts gradĂ©s du pays ainsi que des scientifiques du nuclĂ©aire.L’Iran, qui riposte avec des tirs de missiles et de drones vers IsraĂ«l, dĂ©ment vouloir fabriquer l’arme atomique mais dĂ©fend son droit Ă  un programme nuclĂ©aire civil.- “Changement de rĂ©gime”? -Le prĂ©sident amĂ©ricain, Donald Trump, s’est prĂ©valu dimanche de “dommages monumentaux” infligĂ©s aux sites nuclĂ©aires iraniens. L’Agence internationale de l’Ă©nergie atomique (AIEA) a jugĂ© impossible Ă  ce stade d’Ă©valuer les dĂ©gâts, rĂ©clamant un accès aux sites iraniens. Des experts estiment que l’Iran pourrait en avoir Ă©vacuĂ© le matĂ©riel nuclĂ©aire, et TĂ©hĂ©ran a affirmĂ© toujours possĂ©der des stocks d’uranium enrichi.L’Iran a enrichi de l’uranium au niveau de 60%, proche du seuil de 90% requis pour fabriquer une bombe atomique selon l’AIEA, qui dit toutefois n’avoir dĂ©celĂ© jusque-lĂ  aucun indice d’un “programme systĂ©matique” iranien pour ce faire. Donald Trump, qui avait relancĂ© les nĂ©gociations avec TĂ©hĂ©ran pour encadrer son programme nuclĂ©aire – lancĂ©es en avril sous mĂ©diation d’Oman – est “toujours intĂ©ressĂ©” par un règlement diplomatique, a affirmĂ© lundi la porte-parole de la Maison Blanche. Mais “si le rĂ©gime iranien refuse de s’impliquer dans une solution diplomatique (…) pourquoi le peuple iranien ne retire pas le pouvoir Ă  ce l’Iran rĂ©gime incroyablement violent qui le rĂ©prime”, a-t-elle dit.”Si le rĂ©gime iranien actuel est incapable de RENDRE A L’IRAN SA GRANDEUR, pourquoi n’y aurait-il pas un changement de rĂ©gime ???” avait Ă©crit la veille M. Trump sur son rĂ©seau Truth social.

L’Iran attaque une base amĂ©ricaine au Qatar, Trump appelle Ă  la “paix”

L’Iran a annoncĂ© lundi soir avoir lancĂ© des missiles contre la base amĂ©ricaine d’Al-Udeid au Qatar au lendemain de raids des Etats-Unis sur ses sites nuclĂ©aires, une riposte dont il avait prĂ©venu Washington selon Donald Trump, qui a appelĂ© l’Iran et IsraĂ«l Ă  “avancer vers la paix”. M. Trump a qualifiĂ© la riposte de “très faible”. “Je tiens Ă  remercier l’Iran de nous avoir prĂ©venus Ă  temps, ce qui a permis de ne pas perdre de vies et de ne blesser personne”, a-t-il ajoutĂ© dans un message sur sa plateforme Truth Social. PrĂ©cisant que la base avait Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©e, le Qatar a dit avoir interceptĂ© les tirs iraniens contre cette plus grosse base militaire au Moyen-Orient. “En rĂ©ponse Ă  l’action agressive” des États-Unis, les forces armĂ©es iraniennes “ont frappĂ© (…) la base aĂ©rienne amĂ©ricaine d’Al-Udeid, au Qatar”, a annoncĂ© le Conseil de sĂ©curitĂ© nationale iranien. Il a prĂ©cisĂ© avoir utilisĂ© autant de missiles “que le nombre de bombes” utilisĂ©s dans les raids amĂ©ricains, signalant une rĂ©ponse dument calibrĂ©e. Les Gardiens de la RĂ©volution, l’armĂ©e idĂ©ologique de la RĂ©publique islamique, ont eux affirmĂ© dans un communiquĂ©, citĂ© par l’agence de presse Irna, que “six missiles (avaient) touchĂ© la base”.”Peut-ĂŞtre que l’Iran peut maintenant avancer vers la paix et l’harmonie dans la rĂ©gion, et je vais vivement encourager IsraĂ«l Ă  faire de mĂŞme”, a ajoutĂ© le prĂ©sident amĂ©ricain, semblant vouloir tourner la page de la guerre entre les deux pays lancĂ©e le 13 juin par une attaque israĂ©lienne. Selon le Pentagone, les bombardements amĂ©ricains sur le site souterrain d’enrichissement d’uranium Ă  Fordo et des installations nuclĂ©aires Ă  Ispahan et Natanz (centre) ont “dĂ©vastĂ© le programme nuclĂ©aire iranien”. – Scènes de liesse Ă  TĂ©hĂ©ran -Plus tĂ´t dans la journĂ©e, l’ambassade des États-Unis Ă  Doha avait conseillĂ© Ă  ses ressortissants au Qatar de se “mettre Ă  l’abri jusqu’Ă  nouvel ordre”. La tĂ©lĂ©vision d’Etat iranienne a montrĂ© en direct dans la soirĂ©e des manifestants en liesse Ă  TĂ©hĂ©ran, aux cris de “mort Ă  l’AmĂ©rique”. Les tirs sur le Qatar prouvent que l’Iran menace “le monde entier”, a rĂ©agi un porte-parole de l’armĂ©e israĂ©lienne, Effie Defrin.Aavant que M. Trump ne s’exprime, l’Irak a mis en garde contre un “Ă©largissement de la confrontation”. Ryad et Abou Dhabi ont condamnĂ© l’action iranienne, le KoweĂŻt et BahreĂŻn annonçant fermer leur espace aĂ©rien, et les cours du pĂ©trole ont chutĂ©. Plus tĂ´t, les Etats-Unis avaient mis en garde l’Iran contre toute fermeture du dĂ©troit d’Ormuz, par oĂą transite un cinquième du pĂ©trole mondial. La tĂ©lĂ©vision d’Etat iranienne a par ailleurs annoncĂ© l’arrestation d’un “ressortissant europĂ©en” soupçonnĂ© d’ĂŞtre un “espion” au service d’IsraĂ«l, sans plus de prĂ©cision. – Frappes israĂ©liennes sur TĂ©hĂ©ran -IsraĂ«l a de son cĂ´tĂ© appelĂ© les habitants de TĂ©hĂ©ran Ă  s’Ă©loigner des bases militaires et sĂ©curitaires, prĂ©venant de la poursuite de ses raids, après d’intenses frappes sur la capitale iranienne ciblant des centres de commandements des Gardiens de la RĂ©volution et la prison d’Evine, en riposte Ă  des tirs de missiles iraniens.   La justice iranienne a fait Ă©tat de dĂ©gâts dans certaines parties de la prison d’Evine, oĂą sont dĂ©tenus des Occidentaux, prisonniers politiques et opposants.Les deux Français, CĂ©cile Kohler et Jacques Paris, qui y sont dĂ©tenus depuis plus de trois ans, “n’auraient pas Ă©tĂ© touchĂ©s” a affirmĂ© le chef de la diplomatie française, Jean-NoĂ«l Barrot, dĂ©nonçant une frappe “inacceptable”.IsraĂ«l a aussi indiquĂ© avoir menĂ© des frappes pour “bloquer les voies d’accès” au site de Fordo enfoui sous une montagne, au sud de TĂ©hĂ©ran. En Iran, la guerre a fait plus de 400 morts et 3.056 blessĂ©s, en majoritĂ© des civils, selon un bilan officiel. Les tirs iraniens sur IsraĂ«l ont fait 24 morts, d’après les autoritĂ©s.Affirmant que l’Iran Ă©tait sur le point de se doter de la bombe atomique, IsraĂ«l l’a attaquĂ© le 13 juin, bombardant des centaines de sites militaires et nuclĂ©aires et tuant les plus hauts gradĂ©s du pays ainsi que des scientifiques du nuclĂ©aire.L’Iran, qui riposte avec des tirs de missiles et de drones vers IsraĂ«l, dĂ©ment vouloir fabriquer l’arme atomique mais dĂ©fend son droit Ă  un programme nuclĂ©aire civil.- “Changement de rĂ©gime”? -Le prĂ©sident amĂ©ricain, Donald Trump, s’est prĂ©valu dimanche de “dommages monumentaux” infligĂ©s aux sites nuclĂ©aires iraniens. L’Agence internationale de l’Ă©nergie atomique (AIEA) a jugĂ© impossible Ă  ce stade d’Ă©valuer les dĂ©gâts, rĂ©clamant un accès aux sites iraniens. Des experts estiment que l’Iran pourrait en avoir Ă©vacuĂ© le matĂ©riel nuclĂ©aire, et TĂ©hĂ©ran a affirmĂ© toujours possĂ©der des stocks d’uranium enrichi.L’Iran a enrichi de l’uranium au niveau de 60%, proche du seuil de 90% requis pour fabriquer une bombe atomique selon l’AIEA, qui dit toutefois n’avoir dĂ©celĂ© jusque-lĂ  aucun indice d’un “programme systĂ©matique” iranien pour ce faire. Donald Trump, qui avait relancĂ© les nĂ©gociations avec TĂ©hĂ©ran pour encadrer son programme nuclĂ©aire – lancĂ©es en avril sous mĂ©diation d’Oman – est “toujours intĂ©ressĂ©” par un règlement diplomatique, a affirmĂ© lundi la porte-parole de la Maison Blanche. Mais “si le rĂ©gime iranien refuse de s’impliquer dans une solution diplomatique (…) pourquoi le peuple iranien ne retire pas le pouvoir Ă  ce l’Iran rĂ©gime incroyablement violent qui le rĂ©prime”, a-t-elle dit.”Si le rĂ©gime iranien actuel est incapable de RENDRE A L’IRAN SA GRANDEUR, pourquoi n’y aurait-il pas un changement de rĂ©gime ???” avait Ă©crit la veille M. Trump sur son rĂ©seau Truth social.

Trump wants quick win in Iran, but goal remains elusive

President Donald Trump vowed that his order to bomb Iran would be a one-off and not the beginning of another prolonged US war in the Middle East.But with Trump musing about everything from “unconditional surrender” to regime change, it remains to be seen if the US intervention will remain limited — or if Iran will let it be.Two days after the United States bombed Iran’s key nuclear sites as part of an Israeli-led military campaign, Iran fired missiles at a major US base in Qatar that were shot down.Trump said that Iran gave advance notice of the missiles and offered thanks, apparently seeing a choreography to show that Iran can hit back without causing American casualties that would be sure to trigger another US strike.Iran acted similarly in 2020 when Trump ordered the killing of top general Qasem Soleimani, hitting back at a base in Iraq housing US troops without killing any — and tensions then subsided.But Israel’s strikes on Iran starting on June 13 mark the biggest attack on the region’s second most populous country since the 1980-88 Iran-Iraq war, with the risks potentially existential for the Islamic Republic.Stacie Pettyjohn, director of the defense program at the Center for a New American Security, said that the US strike was “incredibly successful” on a tactical level but “it’s not clear that it’s actually achieved the operational or strategic objectives.”Iran is suspected to have moved highly enriched uranium stockpiles out of targeted sites.Iran also has plenty of other options to respond, including by threatening global oil prices through action in the oil-rich Gulf — which can range from closing the Strait of Hormuz to harassing ships with low-cost drones.”The Middle East is a theater where US military success, hearkening back to the first Gulf War, has often proved to be rather ephemeral and led to long-term commitments in terms of US forces to maintain stability after that initial success,” she said.- Trump warms to interventionism -Trump campaigned by billing himself as anti-war and just last month delivered a speech in Riyadh in which he denounced “nation-builders” who failed by “intervening in complex societies that they did not even understand themselves.”But Trump, always in tune with television images, quickly backed Israel after the apparent success of initial strikes, even through Trump had publicly urged Netanyahu to hold off and give a chance for diplomacy.Since then, and despite criticism from some in his right-wing base who loathe US interventionism, Trump has dialed up the tone.He has taken to social media to urge Tehran’s nearly 10 million people to evacuate, to demand “unconditional surrender” by Iran even though he said the United States was not at war, and to speak of the benefits of regime change, refashioning his campaign slogan to say, “Make Iran Great Again.”Netanyahu has also expanded goals well beyond nuclear sites, with Israel striking the gate of Evin prison, notorious for jailing political prisoners.Netanyahu has called on Iranians to rise up against Iran’s theocratic government, which has long faced wide domestic opposition. Iran under the Shah, who was deposed in 1979, was an ally of the West and Israel.But some Iran watchers expect a nationalist backlash against US and Israeli strikes — and so long as the Islamic republic is in place, the next moves for Trump are murky.The United States and Israel may have pushed back the Iranian nuclear program but it is unclear if Tehran would accept a binding agreement, said Max Boot, a military historian at the Council on Foreign Relations who was an advocate for the 2003 Iraq invasion.If Iran does not, “we’re locked in this kind of perpetual war with Iran, where every time there’s any detection of any advance in their nuclear program, then Israeli aircraft are going to wind up having to bomb again,” he said.”I’m not sure that there has been a carefully thought-out end-game in here.” 

Iran attacks US base in Qatar, Trump says time to make peace

Iran announced it had launched missiles at a US base in Qatar Monday in retaliation for American strikes on key nuclear facilities, with US President Donald Trump shrugging off the response as “very weak” and saying it was now time to make peace.A US defence official said no one was hurt in the attack — which Trump said Iran had given advanced notice of — and oil prices sank afterwards as traders breathed a sigh of relief at what one analyst called the “somewhat measured” response.Qatar, which lies 190 kilometres (120 miles) south of Iran and is home to the largest US military facility in the Middle East, said its “air defences successfully intercepted a missile attack targeting Al Udeid Air Base”.Iran’s National Security Council confirmed having targeted the base “in response to the US aggressive and insolent action against Iran’s nuclear sites and facilities”. In its statement, the council said the number of missiles used “was the same as the number of bombs that the US had used”, in a signal that it had calibrated its response to be directly proportional.After more than a week of Israeli strikes on nuclear and military targets across Iran, the United States joined its ally’s campaign on Sunday, carrying out attacks on three key Iranian nuclear facilities, including on an underground uranium enrichment facility at Fordo using massive bunker-busting bombs.”Iran has officially responded to our Obliteration of their Nuclear Facilities with a very weak response, which we expected, and have very effectively countered,” Trump posted on his Truth Social platform after the attack, thanking Tehran “for giving us early notice, which made it possible for no lives to be lost, and nobody to be injured”.Adding that Iran had “gotten it all out of their ‘system’,” he said: “Perhaps Iran can now proceed to Peace and Harmony in the Region, and I will enthusiastically encourage Israel to do the same.”The New York Times, citing Iranian officials, reported that the response had been designed to allow “all sides an exit ramp”, drawing a parallel to a similar Iranian attack on a US base in Iraq following Washington’s assassination of top Iranian general in 2020.With international concern mounting that Israel’s campaign in Iran could lead to a regional spillover — concern that only intensified after the US strikes — French President Emmanuel Macron said after the Iranian retaliation that “the spiral of chaos must end”. – ‘Right to respond’ -Iran’s security council maintained that its “action does not pose any threat to our friendly and brotherly country, Qatar”.But Qatari foreign ministry spokesman Majed Al-Ansari said his country “reserves the right to respond directly in a manner proportional to the nature and scale of this blatant aggression”.Its much larger neighbour Saudi Arabia, historically a rival of Iran, condemned Tehran’s attack and offered “all its capabilities to support the sisterly State of Qatar in any measures it takes”.AFP reporters heard blasts in central Doha and in Lusail, north of the capital, on Monday evening, and saw projectiles moving across the night sky.The US defence official said Al Udeid was “attacked by short-range and medium-range ballistic missiles”, and Ansari said it had been evacuated as a precaution ahead of time.Iran’s Revolutionary Guard Corps said six missiles had hit the base, according to state media.Iranians gathered in central Tehran on Monday night to celebrate the attack, images on state TV showed, with some waving the flag of the Islamic republic and chanting “Death to America”.Earlier in the day, Qatar had announced the temporary closure of its airspace in light of “developments in the region”, while foreign embassies there including that of the United States had warned their citizens to shelter in place.After the attack, Qatar said “the security situation in the country is stable, and there is no cause for concern”.- Tehran strikes -Just as Iran was announcing the new attacks, blasts were heard in the north of Tehran, according to an AFP journalist, who reported yellow flashes typical of Iranian air defences in the sky over the capital shortly before 9:00 pm (1730 GMT).Earlier in the day Israel reported carrying out what it said were its most powerful strikes yet on Tehran.Iran, in turn, fired missile barrages at Israel.Israeli Defence Minister Israel Katz said the military hit sites in Tehran including Evin prison, which Katz said “holds political prisoners and regime opponents”, as well as command centres for the domestic Basij paramilitary and the Revolutionary Guards.Iranian media and the Israeli military said Israel also struck Fordo on Monday “in order to obstruct access routes” to the site.Israeli strikes on Iran have killed more than 400 people, Iran’s health ministry has said. Iran’s attacks on Israel have killed 24 people, according to official figures.China urged both Iran and Israel to prevent the conflict from spilling over, warning of potential economic fallout.- Oil prices fall -Oil prices sank more than six percent on Monday after the attack.Around 1815 GMT, futures for West Texas Intermediate fell 6.5 percent to $69.96 a barrel, while Brent oil futures dropped 6.4 percent to $72.07 a barrel, its lowest level in 10 days.John Kilduff of Again Capital described the Iranian action as “somewhat measured”.”This is a face-saving measure by the Iranians and hopefully the diplomatic off-ramp will be taken,” Kilduff said.On Sunday, after the Pentagon stressed the goal of US intervention was not to topple the Iranian government, Trump had openly toyed with the idea.”If the current Iranian Regime is unable to MAKE IRAN GREAT AGAIN, why wouldn’t there be a Regime change???” Trump posted on his Truth Social platform.burs-smw/dcp

Wall Street profite de la chute des prix du pétrole

La Bourse de New York a terminĂ© en hausse lundi, bĂ©nĂ©ficiant de la forte baisse des prix du pĂ©trole après l’attaque limitĂ©e de l’Iran contre une base militaire des Etats-Unis au Qatar.Le Dow Jones a gagnĂ© 0,89%, l’indice Nasdaq a pris 0,94% et l’indice Ă©largi S&P 500 a avancĂ© de 0,96%.Comme depuis plusieurs jours sur la place amĂ©ricaine, “l’histoire prĂ©dominante a tournĂ© autour du conflit israĂ©lo-iranien”, commente auprès de l’AFP Patrick O’Hare, de Briefing.com.Après un weekend marquĂ© par des frappes amĂ©ricaines en Iran, Wall Street a abordĂ© la semaine en petite hausse, et “a perdu son Ă©lan face Ă  des informations de presse assurant que l’Iran prĂ©parait des reprĂ©sailles”, dĂ©crit l’analyste.”Lorsque l’on a appris que l’Iran avait alertĂ© les autoritĂ©s de l’imminence d’une attaque, que ses missiles avaient Ă©tĂ© interceptĂ©s et qu’il n’y avait pas eu de morts ou de blessĂ©s sur la base amĂ©ricaine au Qatar, le marchĂ© s’est redressĂ© dans un mouvement d’apaisement”, souligne M. O’Hare.C’est au niveau du pĂ©trole que la rĂ©action a Ă©tĂ© la plus forte: les prix des barils de WTI et de Brent, les deux rĂ©fĂ©rences du marchĂ©, ont chutĂ© de plus de 7% pour revenir aux niveaux auxquels ils Ă©voluaient avant les premières frappes israĂ©liennes en Iran, le 13 juin.Une baisse des cours de l’or noir est en gĂ©nĂ©ral vue comme une bonne nouvelle sur le plan Ă©conomique car cela rend les processus de fabrication et de transport moins coĂ»teux.”Le marchĂ© pense au fond qu’il s’agit d’une rĂ©ponse relativement faible de la part de l’Iran et cela lui a Ă©galement fait penser qu’il n’y aura peut-ĂŞtre pas de nouvelle escalade avec les États-Unis”, juge Patrick O’Hare.Principalement tirĂ©e par ce rĂ©pit sur le plan gĂ©opolitique, la place amĂ©ricaine a aussi accueilli avec optimisme les propos “de la gouverneure de la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale (Fed) Michelle Bowman qui a dĂ©clarĂ© qu’elle pourrait soutenir une baisse des taux en juillet si les pressions inflationnistes restaient contenues”, ajoute M. O’Hare.Vendredi dernier, un autre membre de la Fed, Christopher Waller, avait dĂ©jĂ  Ă©voquĂ© une baisse de taux d’intĂ©rĂŞt fin juillet.La majoritĂ© des analystes s’attendent toutefois toujours Ă  ce que l’institution monĂ©taire ne rĂ©duise ses taux qu’en septembre, selon l’outil de suivi de CME, FedWatch.Dans ce contexte, sur le marchĂ© obligataire, le rendement des emprunts d’État amĂ©ricains Ă  10 ans se dĂ©tendait encore, Ă  4,34%, contre 4,38% Ă  la clĂ´ture vendredi.Au tableau des valeurs, les entreprises du secteur pĂ©trolier perdait en puissance face Ă  la chute des prix de l’or noir Ă  l’image d’Exxon Mobil (-2,62%) ou Chevron (-1,81%).Le pionnier de l’Ă©lectrique Tesla a bondi de 8,23% Ă  348,68 dollars au lendemain du lancement de son premier service de taxi sans conducteurs au Texas, considĂ©rĂ© comme un succès par son patron Elon Musk.Les valeurs associĂ©es au nuclĂ©aire ont Ă©tĂ© recherchĂ©es après que la gouverneure de l’Etat de New York, Kathy Hochul, a annoncĂ© lundi avoir initiĂ© le projet d’une nouvelle centrale nuclĂ©aire, dans un pays qui n’a plus vu de mise en chantier dans le secteur depuis 2009. Constellation Energy a pris 3,37%, Centrus Energy 1,35% et Uranium Energy 2,01%.

Villepin lance son propre parti, baptisé La France humaniste

A moins de deux ans de l’Ă©lection prĂ©sidentielle, l’ex-Premier ministre Dominique de Villepin a annoncĂ© lundi crĂ©er son propre parti, appelĂ© La France humaniste, dont il sera le prĂ©sident d’honneur.”J’ai dĂ©cidĂ© de crĂ©er un mouvement d’idĂ©es, de citoyens, Ă  travers la crĂ©ation d’un parti politique”, a-t-il dĂ©clarĂ© dans une interview au Parisien, prĂ©cisant qu’il s’agissait d’un “mouvement ouvert Ă  tous” ayant dĂ©jĂ  “plusieurs dizaines d’implantations locales”.”Nous avons besoin de rassembler tous les Français pour dĂ©fendre la justice sociale et l’ordre rĂ©publicain”, a-t-il ajoutĂ©.DĂ©nonçant une “logique de surenchère permanente” de la part des politiques, Dominique de Villepin, 71 ans, a affirmĂ© revenir sur le devant de la scène pour que les Français ne soient pas “prisonniers d’un clivage entre la radicalitĂ© de LFI et celle du RN”.”Je ne suis pas pour la surenchère, ni sĂ©curitaire ni budgĂ©taire, mais pour une politique d’Ă©quilibre et de mesure”, a-t-il martelĂ©.Lui qui a Ă©galement Ă©tĂ© ministre de l’IntĂ©rieur (2004-2005) a au passage Ă©gratignĂ© l’actuel occupant du poste, Ă©galement pressenti comme candidat sĂ©rieux en 2027.”Prenez la crise avec l’AlgĂ©rie: Bruno Retailleau devrait s’atteler Ă  la responsabilitĂ© qui est la sienne, qui est la sĂ©curitĂ© des Français et de renvoyer les OQTF qui prĂ©sentent un danger”, a-t-il taclĂ©. “Pour cela, nous avons besoin de plus de professionnalisme et de moins de surenchère sur les plateaux tĂ©lĂ©.”Assurant qu’obtenir les 500 signatures nĂ©cessaires pour ĂŞtre candidat Ă  la prĂ©sidentielle “ne sera(it) pas un obstacle” au vu de “tous les soutiens et les encouragements” dĂ©jĂ  reçus, il a assurĂ© ĂŞtre “pour restaurer la fonction prĂ©sidentielle, pour un chef de l’État arbitre, garant des institutions et inspirateur de la nation”.”Depuis mon dĂ©part de Matignon en 2007, j’ai eu 18 ans pour rĂ©flĂ©chir, tirer les leçons, oublier tout orgueil et ambition personnelle”, a-t-il ajoutĂ©. Le nouveau parti, auquel adhĂ©rer sera gratuit, sera dirigĂ© par le maire UDI de Garges-lès-Gonesse (Val-d’Oise), BenoĂ®t Jimenez, a prĂ©cisĂ© M. Villepin. “Nous allons mettre Ă  profit l’Ă©tĂ© pour nous structurer”, a-t-il ajoutĂ©.

Zelensky et Starmer vont renforcer leur coopération militaire pour produire des drones

Le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncĂ© lundi un accord sur la production de drones renforçant la coopĂ©ration militaire avec l’Ukraine, lors d’une visite de Volodymyr Zelensky au Royaume-Uni pendant laquelle le prĂ©sident ukrainien a dĂ©jeunĂ© avec le roi Charles III.”Je suis très fier d’annoncer cet après-midi un accord de coproduction militaire industrielle, le premier du genre pour l’Ukraine et le Royaume-Uni”, a dĂ©clarĂ© le chef du gouvernement britannique aux cĂ´tĂ©s de M. Zelensky lors d’une rencontre avec des soldats dans les jardins du 10, Downing Street.Cet accord doit permettre aux entreprises de dĂ©fense britanniques de produire Ă  grande Ă©chelle des drones dotĂ©s des technologies les plus avancĂ©es, “mises au point sur les lignes de front en Ukraine”, grâce Ă  un partage des donnĂ©es, est-il prĂ©cisĂ© dans un communiquĂ© de Downing Street.Ces drones de pointe seront ensuite utilisĂ©s pour aider l’Ukraine, “leader mondial de cette technologie”, “Ă  continuer de repousser l’invasion barbare de la Russie dans les mois et annĂ©es Ă  venir”.Il s’agit d’une “avancĂ©e majeure”, a soulignĂ© Keir Starmer, qui doit combiner “innovation ukrainienne sur le champ de bataille  (…) avec la force industrielle britannique”, dit-il dans ce mĂŞme communiquĂ©.Cet accord sur trois ans s’inscrit dans le cadre du partenariat sur 100 ans entre Kiev et Londres, signĂ© en janvier pour notamment renforcer la coopĂ©ration en matière de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ© maritime. Il va “renforcer nos deux nations”, avait abondĂ© Volodymyr Zelensky, qui a aussi saluĂ© l’importance du “partage de connaissances et d’expĂ©rience” dans le cadre de l’opĂ©ration Interflex, un programme qui a permis de former au Royaume-Uni plus de 54.000 soldats ukrainiens. La visite du prĂ©sident ukrainien intervenait Ă  la veille d’un sommet de l’Otan Ă  La Haye, et après une nouvelle attaque aĂ©rienne russe qui a tuĂ© au moins dix civils Ă  Kiev et dans sa rĂ©gion.Avant Downing Street, Volodymyr Zelensky a “rendu visite au roi (…) et est restĂ© pour dĂ©jeuner” avec lui au château de Windsor, a indiquĂ© le palais de Buckingham sans dĂ©voiler la teneur de leurs Ă©changes.Il s’agissait de sa deuxième invitation après avoir Ă©tĂ© reçu par Charles III dĂ©but mars, deux jours après l’altercation spectaculaire avec Donald Trump dans le Bureau ovale.Sur le plan diplomatique, les pourparlers entre Moscou et Kiev sont dans l’impasse malgrĂ© la pression de Washington. La dernière rĂ©union entre les deux parties remonte Ă  près de trois semaines, et aucune autre n’est pour l’instant prĂ©vue.Selon Downing Street, Starmer et Zelensky se sont entendus sur le fait que la “coalition des volontaires” alliĂ©s de Kiev, constituĂ©e pour tenter de ramener les EuropĂ©ens dans le jeu diplomatique, “devrait se rĂ©unir virtuellement dans les semaines Ă  venir”.Ce programme sur les drones sera financĂ© par les 4,5 milliards de livres (5,25 milliards d’euros) de soutien militaire dĂ©jĂ  annoncĂ©s par le Royaume-Uni pour cette annĂ©e.Londres est l’un des principaux soutiens militaires de Kiev depuis le dĂ©but de la guerre. Il a consacrĂ© 18 milliards de livres (21 milliards d’euros) d’aide militaire et civile Ă  l’Ukraine depuis l’invasion russe de fĂ©vrier 2022, selon le gouvernement britannique.

Zelensky et Starmer vont renforcer leur coopération militaire pour produire des drones

Le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncĂ© lundi un accord sur la production de drones renforçant la coopĂ©ration militaire avec l’Ukraine, lors d’une visite de Volodymyr Zelensky au Royaume-Uni pendant laquelle le prĂ©sident ukrainien a dĂ©jeunĂ© avec le roi Charles III.”Je suis très fier d’annoncer cet après-midi un accord de coproduction militaire industrielle, le premier du genre pour l’Ukraine et le Royaume-Uni”, a dĂ©clarĂ© le chef du gouvernement britannique aux cĂ´tĂ©s de M. Zelensky lors d’une rencontre avec des soldats dans les jardins du 10, Downing Street.Cet accord doit permettre aux entreprises de dĂ©fense britanniques de produire Ă  grande Ă©chelle des drones dotĂ©s des technologies les plus avancĂ©es, “mises au point sur les lignes de front en Ukraine”, grâce Ă  un partage des donnĂ©es, est-il prĂ©cisĂ© dans un communiquĂ© de Downing Street.Ces drones de pointe seront ensuite utilisĂ©s pour aider l’Ukraine, “leader mondial de cette technologie”, “Ă  continuer de repousser l’invasion barbare de la Russie dans les mois et annĂ©es Ă  venir”.Il s’agit d’une “avancĂ©e majeure”, a soulignĂ© Keir Starmer, qui doit combiner “innovation ukrainienne sur le champ de bataille  (…) avec la force industrielle britannique”, dit-il dans ce mĂŞme communiquĂ©.Cet accord sur trois ans s’inscrit dans le cadre du partenariat sur 100 ans entre Kiev et Londres, signĂ© en janvier pour notamment renforcer la coopĂ©ration en matière de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ© maritime. Il va “renforcer nos deux nations”, avait abondĂ© Volodymyr Zelensky, qui a aussi saluĂ© l’importance du “partage de connaissances et d’expĂ©rience” dans le cadre de l’opĂ©ration Interflex, un programme qui a permis de former au Royaume-Uni plus de 54.000 soldats ukrainiens. La visite du prĂ©sident ukrainien intervenait Ă  la veille d’un sommet de l’Otan Ă  La Haye, et après une nouvelle attaque aĂ©rienne russe qui a tuĂ© au moins dix civils Ă  Kiev et dans sa rĂ©gion.Avant Downing Street, Volodymyr Zelensky a “rendu visite au roi (…) et est restĂ© pour dĂ©jeuner” avec lui au château de Windsor, a indiquĂ© le palais de Buckingham sans dĂ©voiler la teneur de leurs Ă©changes.Il s’agissait de sa deuxième invitation après avoir Ă©tĂ© reçu par Charles III dĂ©but mars, deux jours après l’altercation spectaculaire avec Donald Trump dans le Bureau ovale.Sur le plan diplomatique, les pourparlers entre Moscou et Kiev sont dans l’impasse malgrĂ© la pression de Washington. La dernière rĂ©union entre les deux parties remonte Ă  près de trois semaines, et aucune autre n’est pour l’instant prĂ©vue.Selon Downing Street, Starmer et Zelensky se sont entendus sur le fait que la “coalition des volontaires” alliĂ©s de Kiev, constituĂ©e pour tenter de ramener les EuropĂ©ens dans le jeu diplomatique, “devrait se rĂ©unir virtuellement dans les semaines Ă  venir”.Ce programme sur les drones sera financĂ© par les 4,5 milliards de livres (5,25 milliards d’euros) de soutien militaire dĂ©jĂ  annoncĂ©s par le Royaume-Uni pour cette annĂ©e.Londres est l’un des principaux soutiens militaires de Kiev depuis le dĂ©but de la guerre. Il a consacrĂ© 18 milliards de livres (21 milliards d’euros) d’aide militaire et civile Ă  l’Ukraine depuis l’invasion russe de fĂ©vrier 2022, selon le gouvernement britannique.

Mali junta chief visits Putin in bid to bolster defence tiesMon, 23 Jun 2025 20:24:57 GMT

Mali’s military strongman, General Assimi Goita, told Russian leader Vladimir Putin in Moscow on Monday that he wanted to reinforce ties with the Kremlin, a key supporter of the west African country’s battle against jihadist rebels. The two countries also signed a deal to cooperate in nuclear energy, Moscow said. Under the general — who came to …

Mali junta chief visits Putin in bid to bolster defence tiesMon, 23 Jun 2025 20:24:57 GMT Read More »

Vera Rubin observatory reveals stunning first images

Breathtaking stellar nurseries, a sprawling stretch of cosmos teeming with millions of galaxies, and thousands of newly discovered asteroids were revealed Monday in the first deep space images captured by the Vera C. Rubin Observatory in Chile.More than two decades in the making, the $800 million US-funded telescope sits atop Cerro Pachon in central Chile, where dark skies and dry air provide ideal conditions for observing the cosmos.One debut image is a composite of 678 exposures taken over seven hours, capturing the Trifid and Lagoon Nebulae — both several thousand light-years from Earth — glowing in vivid pinks against orange-red backdrops.It reveals these birth places of stars in unprecedented detail, with previously faint or invisible features now clearly visible. Another, dubbed “The Cosmic Treasure Chest,” shows the universe “teeming with stars and galaxies — the seemingly empty black pockets of space between stars in the night sky when you look at it with unaided eyes, are transformed here into these glittering tapestries,” said Zeljko Ivezic, director of Rubin construction. Spiral, elliptical, and clustered galaxies appear in vivid reds, blues, and oranges. These colors reveal key details such as distance and size with unmatched precision, helping scientists better understand the universe’s expansion history.The colors don’t directly match what the naked eye would see, explained scientist Federica Bianco, since the telescope captures a far broader range of wavelengths. Instead, they are representational: infrared is mapped to red to represent cooler objects, while ultraviolet is mapped to blue and indicates warmer ones.- 10-year flagship project -An interactive version of the image is now available on the Rubin Observatory’s website.”One of the things that is very fun is that if you zoom in and you look at one of the fuzzy galaxies there, you might be the first person to be paying attention to that fuzzy blob,” said Clare Higgs, education and public outreach science lead.The observatory features an advanced 8.4-meter telescope and the largest digital camera ever built, supported by a powerful data system transferring 20 terabytes each night.Roughly the size of a car, the camera captures 3,200-megapixel images. It would take 400 ultra-high-definition televisions stacked together to view a single Rubin image at full resolution.Later this year, the observatory will launch its flagship project, the Legacy Survey of Space and Time (LSST). Over the next decade, it will scan the night sky nightly, detecting even the subtlest changes with unmatched precision.Named after pioneering American astronomer Vera C. Rubin — whose research provided the first conclusive evidence for dark matter — the observatory continues her legacy by making dark matter a central focus of its mission.Dark energy, an equally mysterious and immensely powerful force, is believed to drive the accelerating expansion of the universe. Together, dark matter and dark energy are thought to make up 95 percent of the cosmos, yet their true nature remains unknown.”By observing up to 20 billion galaxies, we’ll study how light from those distant galaxies has reached us — and nearly every galaxy’s light has been bent by the gravitational interaction of dark matter that pervades the universe,” said scientist Aaron Roodman. This, he added, will help illuminate these cosmic mysteries. A joint initiative of the US National Science Foundation and Department of Energy, the observatory is also considered one of the most powerful tools ever built for planetary defense.In just 10 hours of observation, Rubin discovered 2,104 previously unknown asteroids in our solar system, including seven near-Earth objects — none of which pose a threat. All other ground- and space-based observatories combined discover about 20,000 new asteroids per year.- Chilean pride – Chile hosts telescopes from more than 30 countries, including some of the most advanced astronomical instruments in the world — among them the ALMA Observatory, the most powerful radio telescope on Earth.Cerro Tololo Observatory helped achieve the landmark discovery of the universe’s accelerating expansion — a breakthrough that earned the 2011 Nobel Prize in Physics.Another major project, the Extremely Large Telescope, is slated to begin operations in 2027 and promises to probe previously unreachable cosmic distances.