Loin des prouesses numériques des jeux actuels, la passion vivace du retrogaming
“Il y aura toujours un jeu qui devient rétro”: loin d’être une tendance passagère, le retour en grâce des consoles et jeux vidéo vintage ne faiblit pas, entre nostalgie et besoin de déconnexion. A Stoke-on-Trent (centre de l’Angleterre), Luke Malpass reçoit des colis du monde entier contenant des consoles à remettre en état.Il y a six ans, ce joueur de 38 ans a fait de sa passion son métier, en ouvrant chez lui RetroSix, un atelier de réparation de consoles anciennes. Game Boy, Nintendo Super NES, Sega Megadrive… il a désormais en permanence entre 50 et 150 consoles en attente.Le long des murs de son atelier, des étagères contiennent composants électroniques et accessoires pour la quasi-totalité des modèles mis sur le marché depuis les années 1980. Pour entre 60 et plusieurs centaines d’euros, les propriétaires d’anciennes consoles peuvent les voir remises à neuf.”Je pense qu’il y a essentiellement un élément nostalgique” mais “je crois que c’est aussi l’expérience tactile. Prendre une boite d’une étagère, insérer le jeu dans la console (…) ça augmente le plaisir du jeu”, estime Luke pour expliquer son succès.Il y voit aussi un besoin de déconnexion par rapport aux jeux actuels, dont la plupart se jouent en ligne contre d’autres participants, ce qui implique de pratiquer beaucoup pour être au niveau.”Un jeu rétro, vous le prenez, l’allumez pour dix minutes ou une heure, peu importe. C’est instantané et c’est agréable. Vous n’êtes en compétition avec personne, et ça ne vous rend pas malheureux ou en colère”, assure Luke, fan notamment de jeux comme Resident Evil ou Jurassic Park.Il va même jusqu’à acheter de vieilles télévisions à tube cathodique pour une expérience encore plus fidèle à celle de son enfance. Les vidéos de ses réparations qu’il publie sur Youtube ou Tiktok sont vues par des dizaines de milliers de personnes.Et selon lui, le phénomène n’est pas prêt de retomber.- Même la Gen Z -“Les gens auront toujours une passion naturelle pour les choses avec lesquelles ils ont grandi étant enfants, donc je pense qu’on aura toujours du travail. Cela va évoluer et ce ne sera probablement plus des Game Boys”, mais “il y aura toujours un jeu qui devient rétro”, assure Luke. Cette année, les Bafta britanniques, qui organisent mardi leur cérémonie annuelle de récompenses des jeux vidéo, ont lancé un sondage pour désigner “le jeu le plus influent de tous les temps”. “Shenmue”, jeu d’aventure et d’action de 1999 est arrivé en tête, devant “Doom” (1993) et Super Mario Bros (1985).Le London Gaming Market, dédié aux jeux vidéo vintage, dont la 10e édition s’est tenue dans la capitale britannique à la mi-mars, a aussi vu son nombre de visiteurs augmenter ces dernières années.Entre les étals où sont exposés disquettes, CD et vieilles consoles, les amateurs ou collectionneurs se pressaient pour tenter de mettre la main sur une perle rare. “Je suis un grand fan de Sonic le Hérisson. J’ai la montre et d’autres objets (…) Je recherche toujours” de nouvelles choses, confie Adrian, vêtu d’un t-shirt à l’effigie du célèbre hérisson développé par Sega.Andy Brown, directeur de Replay Events, organisateur de l’évènement, a vu un vrai changement depuis le Covid. “Les gens étaient confinés chez eux, à la recherche d’activités qui leur rappellent des souvenirs d’une époque meilleure, car l’ambiance était très pessimiste”, explique-t-il.Selon une étude réalisée début 2025 par l’association de consommateurs américaine Consumer Reports, 14% des Américains jouent sur des consoles sorties avant 2000.Et au Royaume-Uni, 24% des jeunes de la génération Z (ayant entre 13 et 28 ans) possèdent une console ancienne, selon un sondage réalisé auprès de 2.000 Britanniques en marge d’un récent évènement à Londres lié au retrogaming, organisé par la marque Pringles.En septembre dernier, les douanes italiennes ont démantelé un trafic de consoles vidéo vintage contrefaites, et saisi environ 12.000 appareils contenant des jeux parmi les plus populaires des années 1980 et 90.
Attal et Renaissance se donnent “deux ans pour la France”, 2027 en ligne de mire
“Attal, président”. Sous les ovations des militants Renaissance, Gabriel Attal a lancé dimanche une opération “deux ans pour la France” pour aboutir à un “projet pour le pays” qui prévoira un “changement profond”, malgré l’héritage revendiqué d’Emmanuel Macron.L’ancien Premier ministre organisait dimanche à la Cité du Cinéma, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), son premier grand évènement depuis son élection à la tête de Renaissance début décembre.Prévu depuis des mois, ce meeting a été rattrapé par la manifestation convoquée par le Rassemblement national pour protester contre la condamnation judiciaire de Marine Le Pen.”Tu voles, tu paies”, a lancé M. Attal à l’attention de la leader du RN, déclinant la formule choc (“tu casses, tu répares…) de sa déclaration de politique générale, lors de son bref passage à Matignon.Si l’actualité politico-judiciaire et la situation internationale ont coloré les échanges – la présidente géorgienne Salomé Zourabichvili et la députée ukrainienne Liudmyla Buimister se sont notamment exprimées -, M. Attal n’en a pas moins clairement mis le cap sur 2027.Devant ses partisans – 8.850 tout au long de la journée selon le parti, un peu moins de 5.000 lors du discours final -, le patron de Renaissance a lancé “un nouveau temps politique”, qu’il a appelé “deux ans pour la France”, censé aboutir dès l’an prochain à un “projet complet pour le pays”.Ce projet “devra être celui d’un changement profond. Cela peut paraître paradoxal pour un parti qui a gouverné le pays jusqu’à l’été dernier, mais le changement profond, ce n’est pas renier notre bilan, c’est avoir le courage de se réinventer sans se renier, de reconnaître nos succès comme nos échecs”, a-t-il expliqué.M. Attal a rendu hommage à Emmanuel Macron, avec qui les relations sont dégradées depuis la dissolution. Le chef de l’État, fondateur du parti en 2016, a tweeté sa “reconnaissance infinie” envers ses soutiens et son “espoir tout aussi grand pour notre avenir et ce qui nous reste à accomplir”. Sans toutefois mentionner son ancien Premier ministre.-“Champ de ruines”-“La politique française est malade. Et depuis l’été dernier, elle est un véritable champ de ruine”, a jugé Gabriel Attal.Le patron de Renaissance aura fort à faire au sein du “bloc central”. Ses principaux dirigeants, conviés en matinée à la Cité du cinéma, ont rivalisé d’appels à l’unité, sans vraiment aborder les sujets qui fâchent.Si François Bayrou a jugé que les “sensibilités différentes” de ce bloc devaient “continuer” à travailler ensemble, il n’a pas évoqué sa volonté de fusionner Renaissance avec son parti, le MoDem, comme il l’a fait dans un entretien au Parisien, après que l’idée a été évoquée par Élisabeth Borne.La ministre de l’Éducation, présidente du Conseil national de Renaissance – sorte de parlement du parti- a suscité, mezza vocce, des critiques en interne. “Une démarche pour savonner la planche d’Attal à la veille du meeting”, juge un adhérent du parti.Candidat déclaré à l’Élysée et déjà en campagne, Édouard Philippe a de son côté plaidé pour “une base large et un projet clair”.”Nous ne pourrons prévaloir qu’avec une base plus large”. “Le bloc central (…) a vocation à devenir un bloc républicain et démocrate”, un rassemblement allant “de la droite conservatrice à la social-démocratie”, a expliqué le maire du Havre.Proche d’Édouard Philippe – il s’est exprimé lors de son dernier meeting à Lille – mais membre de Renaissance, Gérald Darmanin s’est prononcé pour une candidature commune du bloc central et des Républicains (LR).”Si nous sommes plusieurs candidats à la présidentielle, nous ne serons pas au second tour”. “Je dis aussi à Laurent Wauquiez, je dis aussi à Bruno Retailleau que leur place est parmi nous”, a lancé le garde des Sceaux.Le président de l’UDI, Hervé Marseille, a plaidé pour la plus large unité dès les élections municipales de mars 2026. “Quand on est à Toulon face au RN, quand on est à Roubaix face à LFI, il n’y a qu’une seule solution, c’est de se rassembler le plus fortement possible, le plus concrètement possible et même aller au-delà , aller au-delà de notre rassemblement”, a expliqué le sénateur des Hauts-de-Seine.
Attal et Renaissance se donnent “deux ans pour la France”, 2027 en ligne de mire
“Attal, président”. Sous les ovations des militants Renaissance, Gabriel Attal a lancé dimanche une opération “deux ans pour la France” pour aboutir à un “projet pour le pays” qui prévoira un “changement profond”, malgré l’héritage revendiqué d’Emmanuel Macron.L’ancien Premier ministre organisait dimanche à la Cité du Cinéma, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), son premier grand évènement depuis son élection à la tête de Renaissance début décembre.Prévu depuis des mois, ce meeting a été rattrapé par la manifestation convoquée par le Rassemblement national pour protester contre la condamnation judiciaire de Marine Le Pen.”Tu voles, tu paies”, a lancé M. Attal à l’attention de la leader du RN, déclinant la formule choc (“tu casses, tu répares…) de sa déclaration de politique générale, lors de son bref passage à Matignon.Si l’actualité politico-judiciaire et la situation internationale ont coloré les échanges – la présidente géorgienne Salomé Zourabichvili et la députée ukrainienne Liudmyla Buimister se sont notamment exprimées -, M. Attal n’en a pas moins clairement mis le cap sur 2027.Devant ses partisans – 8.850 tout au long de la journée selon le parti, un peu moins de 5.000 lors du discours final -, le patron de Renaissance a lancé “un nouveau temps politique”, qu’il a appelé “deux ans pour la France”, censé aboutir dès l’an prochain à un “projet complet pour le pays”.Ce projet “devra être celui d’un changement profond. Cela peut paraître paradoxal pour un parti qui a gouverné le pays jusqu’à l’été dernier, mais le changement profond, ce n’est pas renier notre bilan, c’est avoir le courage de se réinventer sans se renier, de reconnaître nos succès comme nos échecs”, a-t-il expliqué.M. Attal a rendu hommage à Emmanuel Macron, avec qui les relations sont dégradées depuis la dissolution. Le chef de l’État, fondateur du parti en 2016, a tweeté sa “reconnaissance infinie” envers ses soutiens et son “espoir tout aussi grand pour notre avenir et ce qui nous reste à accomplir”. Sans toutefois mentionner son ancien Premier ministre.-“Champ de ruines”-“La politique française est malade. Et depuis l’été dernier, elle est un véritable champ de ruine”, a jugé Gabriel Attal.Le patron de Renaissance aura fort à faire au sein du “bloc central”. Ses principaux dirigeants, conviés en matinée à la Cité du cinéma, ont rivalisé d’appels à l’unité, sans vraiment aborder les sujets qui fâchent.Si François Bayrou a jugé que les “sensibilités différentes” de ce bloc devaient “continuer” à travailler ensemble, il n’a pas évoqué sa volonté de fusionner Renaissance avec son parti, le MoDem, comme il l’a fait dans un entretien au Parisien, après que l’idée a été évoquée par Élisabeth Borne.La ministre de l’Éducation, présidente du Conseil national de Renaissance – sorte de parlement du parti- a suscité, mezza vocce, des critiques en interne. “Une démarche pour savonner la planche d’Attal à la veille du meeting”, juge un adhérent du parti.Candidat déclaré à l’Élysée et déjà en campagne, Édouard Philippe a de son côté plaidé pour “une base large et un projet clair”.”Nous ne pourrons prévaloir qu’avec une base plus large”. “Le bloc central (…) a vocation à devenir un bloc républicain et démocrate”, un rassemblement allant “de la droite conservatrice à la social-démocratie”, a expliqué le maire du Havre.Proche d’Édouard Philippe – il s’est exprimé lors de son dernier meeting à Lille – mais membre de Renaissance, Gérald Darmanin s’est prononcé pour une candidature commune du bloc central et des Républicains (LR).”Si nous sommes plusieurs candidats à la présidentielle, nous ne serons pas au second tour”. “Je dis aussi à Laurent Wauquiez, je dis aussi à Bruno Retailleau que leur place est parmi nous”, a lancé le garde des Sceaux.Le président de l’UDI, Hervé Marseille, a plaidé pour la plus large unité dès les élections municipales de mars 2026. “Quand on est à Toulon face au RN, quand on est à Roubaix face à LFI, il n’y a qu’une seule solution, c’est de se rassembler le plus fortement possible, le plus concrètement possible et même aller au-delà , aller au-delà de notre rassemblement”, a expliqué le sénateur des Hauts-de-Seine.
Attal et Renaissance se donnent “deux ans pour la France”, 2027 en ligne de mire
“Attal, président”. Sous les ovations des militants Renaissance, Gabriel Attal a lancé dimanche une opération “deux ans pour la France” pour aboutir à un “projet pour le pays” qui prévoira un “changement profond”, malgré l’héritage revendiqué d’Emmanuel Macron.L’ancien Premier ministre organisait dimanche à la Cité du Cinéma, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), son premier grand évènement depuis son élection à la tête de Renaissance début décembre.Prévu depuis des mois, ce meeting a été rattrapé par la manifestation convoquée par le Rassemblement national pour protester contre la condamnation judiciaire de Marine Le Pen.”Tu voles, tu paies”, a lancé M. Attal à l’attention de la leader du RN, déclinant la formule choc (“tu casses, tu répares…) de sa déclaration de politique générale, lors de son bref passage à Matignon.Si l’actualité politico-judiciaire et la situation internationale ont coloré les échanges – la présidente géorgienne Salomé Zourabichvili et la députée ukrainienne Liudmyla Buimister se sont notamment exprimées -, M. Attal n’en a pas moins clairement mis le cap sur 2027.Devant ses partisans – 8.850 tout au long de la journée selon le parti, un peu moins de 5.000 lors du discours final -, le patron de Renaissance a lancé “un nouveau temps politique”, qu’il a appelé “deux ans pour la France”, censé aboutir dès l’an prochain à un “projet complet pour le pays”.Ce projet “devra être celui d’un changement profond. Cela peut paraître paradoxal pour un parti qui a gouverné le pays jusqu’à l’été dernier, mais le changement profond, ce n’est pas renier notre bilan, c’est avoir le courage de se réinventer sans se renier, de reconnaître nos succès comme nos échecs”, a-t-il expliqué.M. Attal a rendu hommage à Emmanuel Macron, avec qui les relations sont dégradées depuis la dissolution. Le chef de l’État, fondateur du parti en 2016, a tweeté sa “reconnaissance infinie” envers ses soutiens et son “espoir tout aussi grand pour notre avenir et ce qui nous reste à accomplir”. Sans toutefois mentionner son ancien Premier ministre.-“Champ de ruines”-“La politique française est malade. Et depuis l’été dernier, elle est un véritable champ de ruine”, a jugé Gabriel Attal.Le patron de Renaissance aura fort à faire au sein du “bloc central”. Ses principaux dirigeants, conviés en matinée à la Cité du cinéma, ont rivalisé d’appels à l’unité, sans vraiment aborder les sujets qui fâchent.Si François Bayrou a jugé que les “sensibilités différentes” de ce bloc devaient “continuer” à travailler ensemble, il n’a pas évoqué sa volonté de fusionner Renaissance avec son parti, le MoDem, comme il l’a fait dans un entretien au Parisien, après que l’idée a été évoquée par Élisabeth Borne.La ministre de l’Éducation, présidente du Conseil national de Renaissance – sorte de parlement du parti- a suscité, mezza vocce, des critiques en interne. “Une démarche pour savonner la planche d’Attal à la veille du meeting”, juge un adhérent du parti.Candidat déclaré à l’Élysée et déjà en campagne, Édouard Philippe a de son côté plaidé pour “une base large et un projet clair”.”Nous ne pourrons prévaloir qu’avec une base plus large”. “Le bloc central (…) a vocation à devenir un bloc républicain et démocrate”, un rassemblement allant “de la droite conservatrice à la social-démocratie”, a expliqué le maire du Havre.Proche d’Édouard Philippe – il s’est exprimé lors de son dernier meeting à Lille – mais membre de Renaissance, Gérald Darmanin s’est prononcé pour une candidature commune du bloc central et des Républicains (LR).”Si nous sommes plusieurs candidats à la présidentielle, nous ne serons pas au second tour”. “Je dis aussi à Laurent Wauquiez, je dis aussi à Bruno Retailleau que leur place est parmi nous”, a lancé le garde des Sceaux.Le président de l’UDI, Hervé Marseille, a plaidé pour la plus large unité dès les élections municipales de mars 2026. “Quand on est à Toulon face au RN, quand on est à Roubaix face à LFI, il n’y a qu’une seule solution, c’est de se rassembler le plus fortement possible, le plus concrètement possible et même aller au-delà , aller au-delà de notre rassemblement”, a expliqué le sénateur des Hauts-de-Seine.
US official defends call to seek death for CEO’s accused killer
The US attorney general on Sunday defended the administration’s decision to seek the death penalty for Luigi Mangione, the young man accused of gunning down a top health-insurance executive on a New York sidewalk.”The president’s directive was very clear,” Pam Bondi told Fox News Sunday. “We are to seek the death penalty when possible.”Bondi had announced Tuesday that prosecutors would seek the death penalty for 26-year-old Mangione, accused of having tracked UnitedHealthcare CEO Brian Thompson for days before walking up behind him and firing from a pistol.The brazen killing brought to the surface deep public frustration with the US health insurance system, with many social media users painting Mangione not as a villain but as a folk hero.But Bondi told interviewer Shannon Bream that “we’re not going to be deterred by political motives.”Asked about young people seen wearing T-shirts that say “Free Luigi” or even show him with a halo, Bondi responded: “If there was ever a death case, this is one. This guy is charged with hunting down a CEO, a father of two, a married man, hunting him down and executing him? Yeah.”I feel like these young people have lost their way.”Mangione’s lawyer Karen Friedman Agnifilo has denounced the Justice Department decision as “barbaric” and “political.” The suspect has pleaded not guilty to state charges but has yet to enter a plea on federal charges.President Joe Biden late last year commuted the sentences of nearly every person in a federal prison facing execution.Public support for the death penalty in the US has steadily declined amid reports showing the innocence of several alleged killers.But Trump vowed during his 2024 campaign to execute those still on federal death rows, saying Biden had commuted the death sentences of “37 of the worst killers in our country.”On January 20, his first day in office, Trump signed an executive order calling for the death penalty in federal crimes involving the murder of a police officer or a capital crime committed by an undocumented alien. He ordered the attorney general to ensure that states allowing capital punishment have sufficient drugs “to carry out lethal injection,” and to evaluate whether the 37 people whose sentences Biden commuted “can be charged with state capital crimes.” Â
Au moins 17 morts dans les violentes tempêtes et tornades aux Etats-Unis
Au moins 17 personnes ont péri lors de violentes tempêtes et tornades qui balaient le centre et le sud des Etats-Unis depuis mercredi, selon les bilans cumulés des autorités locales dimanche.Des alertes aux inondations restent en vigueur, notamment dans le Kentucky (centre-est), le Tennessee, et l’Alabama (sud), ont indiqué les services américains de prévision météorologique samedi soir.Le Tennessee a été le plus durement touché, avec 10 morts enregistrés dans l’ouest de l’Etat.Le Kentucky et le Missouri déplorent deux décès chacun, tandis que l’Arkansas, l’Indiana et le Mississippi en comptent un chacun, des bilans qui pourraient encore s’alourdir.Plusieurs Etats allant de l’Arkansas (sud) à l’Ohio (nord) sont frappés depuis mercredi par un épisode de vents violents, parfois accompagnés de tornades et de pluies intenses.Les écoles ont fermé dans plusieurs Etats affectés par les tempêtes, y compris à Nashville, la capitale du Tennessee. Des images diffusées sur les réseaux sociaux montraient des bâtiments endommagés, des arbres déracinés ou des voitures renversées dans plusieurs Etats.Quelque 110.000 clients étaient privés d’électricité dimanche dans cinq de ces Etats, selon le site spécialisé poweroutage.us.L’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) a enregistré près de 1.800 tornades en 2024 sur l’ensemble du territoire, le plus lourd bilan depuis 2004. Elles ont provoqué la mort de 54 personnes.Il n’existe pas de consensus scientifique concernant l’impact du réchauffement sur les tornades, phénomène météo local difficile à étudier.Les scientifiques manquent de manière générale encore de connaissances sur les phénomènes très localisés comme les tornades, les orages, les éclairs, la grêle ou les tempêtes de sable.
Au moins 17 morts dans les violentes tempêtes et tornades aux Etats-Unis
Au moins 17 personnes ont péri lors de violentes tempêtes et tornades qui balaient le centre et le sud des Etats-Unis depuis mercredi, selon les bilans cumulés des autorités locales dimanche.Des alertes aux inondations restent en vigueur, notamment dans le Kentucky (centre-est), le Tennessee, et l’Alabama (sud), ont indiqué les services américains de prévision météorologique samedi soir.Le Tennessee a été le plus durement touché, avec 10 morts enregistrés dans l’ouest de l’Etat.Le Kentucky et le Missouri déplorent deux décès chacun, tandis que l’Arkansas, l’Indiana et le Mississippi en comptent un chacun, des bilans qui pourraient encore s’alourdir.Plusieurs Etats allant de l’Arkansas (sud) à l’Ohio (nord) sont frappés depuis mercredi par un épisode de vents violents, parfois accompagnés de tornades et de pluies intenses.Les écoles ont fermé dans plusieurs Etats affectés par les tempêtes, y compris à Nashville, la capitale du Tennessee. Des images diffusées sur les réseaux sociaux montraient des bâtiments endommagés, des arbres déracinés ou des voitures renversées dans plusieurs Etats.Quelque 110.000 clients étaient privés d’électricité dimanche dans cinq de ces Etats, selon le site spécialisé poweroutage.us.L’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) a enregistré près de 1.800 tornades en 2024 sur l’ensemble du territoire, le plus lourd bilan depuis 2004. Elles ont provoqué la mort de 54 personnes.Il n’existe pas de consensus scientifique concernant l’impact du réchauffement sur les tornades, phénomène météo local difficile à étudier.Les scientifiques manquent de manière générale encore de connaissances sur les phénomènes très localisés comme les tornades, les orages, les éclairs, la grêle ou les tempêtes de sable.
Des secrets d’espions dévoilés dans une exposition inédite du MI5, les renseignements britanniques
C’est une première pour le MI5: les renseignements intérieurs britanniques, nés il y a 115 ans, dévoilent dans une exposition à Londres quelques-uns de leurs secrets historiques, avec des confessions d’agents doubles et bien sûr des gadgets d’espions.Karl Muller a été l’une des premières grandes prises du MI5, en 1915. Cet espion allemand avait été repéré par les agents britanniques mais c’est un simple citron, montré dans l’exposition “MI5: Official Secrets”, qui l’a fait tomber. Muller a affirmé qu’il utilisait cet agrume, trouvé dans son manteau lors de son arrestation, pour se nettoyer les dents. Le citron lui servait en réalité d’encre invisible: dans une lettre a priori banale interceptée par le MI5, il informait ses supérieurs des mouvements des troupes britanniques pendant la guerre. Il a été exécuté peu après à la Tour de Londres. Le MI5 avait été fondé quelques années plus tôt sur fond de peur d’une invasion allemande. Vernon Kell, un officier de l’armée, en a été le premier chef.Aujourd’hui, le MI5, le cousin du MI6, les services extérieurs rendus célèbres par James Bond, compte plus de 5.000 employés.”Ayant travaillé pour le MI5 pendant près de trente ans, je peux vous dire que la réalité de notre travail est souvent différente de la fiction”, a expliqué le directeur du MI5, Ken McCallum, lors de la présentation de l’exposition, organisée avec les Archives nationales, à Kew, dans l’ouest de Londres.”La vie du MI5, c’est l’histoire d’êtres humains ordinaires qui, ensemble, font des choses extraordinaires pour assurer la sécurité de notre pays”, a-t-il ajouté. – “L’intuition d’une femme” -L’exposition qui s’est ouverte samedi ne cache pas certains épisodes peu glorieux de l’agence. La section consacrée à la guerre froide comprend une mallette laissée dans un club londonien par le diplomate britannique, agent double russe dès la seconde guerre mondiale, Guy Burgess, lorsqu’il s’est enfui à Moscou en 1951 par peur d’être découvert. Elle porte ses initiales. Son passeport est montré pour la première fois.L’exposition présente aussi une note confirmant que le secrétaire privé d’Elizabeth II avait parlé à cette dernière au début des années 70 du fait qu’Anthony Blunt, son conseiller artistique, était un agent soviétique. La reine a réagi “très calmement et sans surprise”, est-il précisé.Parmi les objets les plus récents exposés: un obus de mortier tiré dans le jardin du 10 Downing Street, la résidence du Premier ministre britannique, par l’IRA, l’Armée républicaine irlandaise, en 1991.L’exposition est ponctuée de commentaires d’agents du MI5, anonymes. “Les agents continuent d’être l’une des plus importantes sources de renseignements du MI5”, écrivait l’un d’eux en 2024. Mais la gestion des agents reste “complexe”, ajoutait-il, posant plusieurs questions: “Quelle est leur motivation?”, “Disent-ils la vérité?”, “Comment savez-vous s’ils travaillent pour l’autre côté?”. Alors que le renseignement était très majoritairement masculin à ses débuts, près de 48% des employés du MI5 étaient des femmes en 2022. Dans les années 30, un agent célèbre, Maxwell Knight, a été l’un des premiers à dire que les femmes pourraient être de bonnes espionnes. “L’intuition d’une femme est parfois incroyablement utile et correcte”, avait-il écrit. Pour ceux qui rêvent du MI5, des tests sont proposés, avec une question centrale: “Pourriez-vous être un espion?”. Il y a un test de mémoire: “vous avez dix secondes pour retenir le plus d’informations possible”. Un autre permet d’évaluer ses compétences en décodage. L’exposition, qui est gratuite, se termine le 28 septembre.Â