Macron sees new role for French military base in DjiboutiFri, 20 Dec 2024 19:41:56 GMT

French President Emmanuel Macron said Friday its military base in Djibouti could assume a greater role, speaking after Paris was forced to pull troops out of several other African countries.”Our role is changing in Africa because the world is changing in Africa, because public opinion is changing, because governments are changing,” he said.Macron was addressing …

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France withdraws first contingent of soldiers from Chad: N’DjamenaFri, 20 Dec 2024 19:29:07 GMT

France began withdrawing soldiers from Chad on Friday, the country’s defence ministry said, after N’Djamena last month abruptly ended military cooperation with the former colonial power.A contingent of 120 soldiers left for France from a military airport in the capital, the ministry said in a statement on Facebook, 10 days after French fighter aircraft left …

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Mayotte : Macron annonce des mesures d’urgence, pas de retour à la “normale” avant des mois

“De l’eau, de l’eau !” : Emmanuel Macron a quitté Mayotte vendredi après avoir constaté l’immensité des besoins sur l’archipel suite au passage du cyclone Chido, promettant le raccordement des foyers à l’eau dès samedi mais écartant tout retour à la normale avant des “mois”.  “Il y a l’urgence qu’on est en train de faire. Il va y avoir la stabilisation parce que pendant des mois, Mayotte ne vivra pas en situation normale”, a-t-il déclaré à Mayotte la 1ère, au journal de Mayotte et Kwezi TV avant de s’envoler pour Djibouti et le traditionnel Noël avec les troupes déployées à l’étranger.Les écoles ne pourront pas toutes rouvrir à la rentrée du 13 janvier, a-t-il notamment averti. “Mais on veut pouvoir apporter une solution à toutes les familles” à cette date, a-t-il assuré, évoquant entre autres la scolarisation d’élèves à La Réunion, territoire français distant de 1.400 km.L’approvisionnement en eau, problème le plus critique six jours après le passage du cyclone, sera en revanche rétabli dans les foyers, au moins de façon partielle, dès samedi, a-t-il ajouté. Durant ses deux jours à Mayotte, le chef de l’Etat, confronté à la détresse d’habitants à la fois exaspérés et accablés par les dégâts du cyclone, a promis la mobilisation générale de la métropole et mis en garde contre la “division”.-  35 morts -Sur place, le bilan provisoire s’élève désormais à 35 morts et quelque 2.500 blessés, a annoncé vendredi le ministère de l’Intérieur. Mais “il est vraisemblable qu’il y ait beaucoup plus de victimes”, a reconnu Emmanuel Macron. Le cyclone a également fait 75 morts au Mozambique et 13 autres au Malawi, au moins.Un gendarme de 50 ans envoyé en renfort à Mayotte est décédé vendredi des suites d’un malaise, a par ailleurs annoncé dans un communiqué le ministre démissionnaire de l’Intérieur Bruno Retailleau, expliquant qu’il a perdu connaissance alors qu’il menait une opération “de rétablissement des réseaux de communication”.Avant de décoller, Emmanuel Macron a tenu en visioconférence une réunion de la cellule interministérielle de crise pour “transmettre au gouvernement et aux administrations les actions utiles à prendre”, selon l’Elysée. Matignon a ainsi annoncé dans l’après-midi une batterie de mesures, dont des facilités ou report du paiement des impôts des entreprises et particuliers.  Déterminé à “rebâtir” l’archipel, notamment par une “loi spéciale”, M. Macron a dit faire de la maîtrise de l’immigration une priorité et un préalable.”On ne pourra pas régler les problèmes de fond de Mayotte si on ne règle pas le problème de l’immigration clandestine”, a-t-il affirmé. A moyen terme, il entend augmenter le nombre de reconduites à la frontière depuis ce territoire de l’océan Indien, qui était de 22.000 en 2023.Sachant qu’environ un tiers de la population de Mayotte, soit plus de 100.000 habitants, notamment les personnes en situation irrégulière venant des Comores voisines, vivent dans des bidonvilles que l’Etat veut démanteler depuis des années.- “Coupés du monde” -Dans une station-service au pied d’un de ces bidonvilles, celui de Kawéni à Mamoudzou, les habitants qui font la queue dans l’espoir de s’approvisionner notamment pour alimenter des groupes électrogènes laissent éclater leur frustration.”On est fatigué. On en a marre. On a soif. On a faim”, énumère Yazéa Abdou, une Mahoraise de 26 ans, qui assure à l’AFPTV que les “gens dorment à la station”, faute de mieux.Dans la matinée, le chef de l’Etat s’est rendu à Tsingoni, commune enclavée de l’ouest de Grande-Terre, l’île principale de l’archipel. Loin de Mamoudzou, le chef-lieu, les secours, l’eau, l’électricité et la nourriture tardent à arriver.”On veut de l’eau”, l’ont imploré plusieurs habitants. L’un d’eux, Badirou Abdou, prévient: “Ici on est coupés du monde”, il “y a des gens qui dorment dehors, par terre… Les maladies, ça va arriver”.”Déjà 80 tonnes d’alimentation et 50 tonnes d’eau ont été distribuées dans neuf communes hier”, a assuré Bruno Retailleau sur X, ajoutant que “tout est mis en place pour permettre de distribuer 600.000 litres d’eau par jour”, soit un peu moins de deux litres par personne, dans un territoire où il fait actuellement plus de 30 degrés.- Polémique -Jeudi, lors d’une première journée parfois tendue sur ces îles ravagées le 14 décembre par le cyclone le plus violent depuis 90 ans, Emmanuel Macron avait pu constater l’étendue des dégâts et l’ampleur de la détresse, faisant face pendant de longues heures à l’impatience et la colère de Mahorais qui ont parfois tout perdu.”Si c’était pas la France, vous seriez 10.000 fois plus dans la merde !”, a rétorqué jeudi le président au milieu de la foule en colère.Face aux polémiques suscitées par ces propos à Paris, le chef de l’Etat a affirmé avoir répondu à des “gens” du Rassemblement national qui “insultaient la France (…) en disant +on ne fait rien+”.bur-cl-acc-fff-sha-mca-vl/cal

US confirms billions in chips funds to Samsung, Texas Instruments

President Joe Biden’s administration said Friday that it has cemented deals for billions in funding to South Korean semiconductor giant Samsung Electronics and Texas Instruments to boost their chipmaking facilities in the United States.US officials have been working to solidify Biden’s legacy to bolster domestic semiconductor manufacturing ahead of President-elect Donald Trump’s White House return — and these agreements are among the latest efforts to do so.The United States has been trying to reduce its dependence on other countries for semiconductors, while also seeking to maintain its scientific and technological edge as competition with China intensifies.Samsung’s award of up to $4.7 billion in direct funding goes towards its effort to grow its Texas presence into a full-fledged operation for developing and producing leading-edge chips, said the US Commerce Department.The funding will supplement the company’s investment of more than $37 billion in the coming years, the department added.Samsung’s expansion will help “ensure we have a steady, domestic supply of the most advanced semiconductors that are essential to AI and national security, while also creating tens of thousands of good-paying jobs,” Commerce Secretary Gina Raimondo said in a statement.National Economic Advisor Lael Brainard added that Samsung is “the only semiconductor company that is a leader in both advanced memory and advanced logic chips.”In a separate notice, the Commerce Department said it also had finalized an award of up to $1.6 billion for Texas Instruments, supporting its efforts to build new facilities.Raimondo noted that shortages of current-generation semiconductors were a problem during the supply chain disruptions sparked by the Covid-19 pandemic, adding that TI now plans to grow its US capacity in making these devices.The Biden administration has unveiled billions in grants through the CHIPS and Science Act, a major law passed during the veteran Democrat’s term aimed at strengthening the US semiconductor industry.Officials have managed to get many deals across the finish line before Trump returns to the Oval Office, awarding the vast majority of more than $36 billion in proposed incentives that have been allocated.The finalized deals mean funds can be disbursed as companies hit project milestones.

Wall Street rebounds despite US inflation ticking higher

Wall Street stocks bounced higher Friday despite data showing an uptick in inflation and a looming US government shutdown.Data showed the personal consumption expenditures (PCE) price index rose 2.4 percent in the 12 months to November, up from 2.3 percent in October, the Commerce Department said in a statement.The core reading of PCE price index — the Federal Reserve’s preferred inflation measure — that excludes highly volatile food and energy prices stayed steady at 2.8 percent.Wall Street’s main stock indices initially fell on the news, continuing a spiral lower after the Federal Reserve on Wednesday signalled fewer cuts than had been expected for 2025 as inflation remains sticky above its two percent target.However they bounced higher during morning trading.While the annual inflation measures ticked higher, they dropped month-on-month, providing some relief to investors.Core prices rose just 0.1 percent from October, compared to monthly increases of 0.2 or 0.3 percent the previous five months, pointing to a slight slowdown in what is sure to be welcome news for the US central bank.New York Fed President John Williams, a voting member of the Fed committee which sets rates, told CNBC that the data shows “the disinflation process is continuing” and that it offers “a little bit of good news this month”.Jochen Stanzl, Chief Market Analyst at CMC Markets, also called the data “good news,” say it will lead to a moderation in the increase in the PCE price index over a longer term.”Today’s PCE data serves as quite a reprieve after this week’s sell-off,” he said. Investors were keeping a watch also on developments in Washington.The House of Representatives has rejected a Republican-led funding bill to avert a government shutdown, with federal agencies due to run out of cash Friday night and cease operations from this weekend.The legislation would have kept the government open through March and suspended the borrowing limit for president-elect Donald Trump’s first two years in office.O’Hare noted US Treasury yields fell overnight, “driven by some safe-haven trading that stemmed from the ongoing weakness in the stock market and heightened political uncertainty” following the rejection of the government funding bill.Friday’s Wall Street rebound could also be driven by it being a so-called triple witching day when stock, index and index futures contracts expire. With more than $6 trillion in options estimated to expire, trading could prove volatile. European stocks finished the day lower although they cut their losses as Wall Street rebounded, with data showing tepid retail sales in the UK in the runup to Christmas dampening sentiment.Oil prices, which have also fallen since the Fed’s Wednesday announcement, continued their slide lower.- Key figures around 1630 GMT -New York – Dow: UP 1.4 percent at 42,947.20 points New York – S&P 500: UP 1.4 percent at 5,948.04New York – Nasdaq Composite: UP 1.4 percent at 19,634.69 London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 8,084.61 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.3 percent at 7,274.48 (close) Frankfurt – DAX: DOWN 0.3 percent at 19,916.56 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.3 percent at 38,701.90 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.2 percent at 19,720.70 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,368.07 (close)Euro/dollar: UP at $1.0414 from $1.0364 on ThursdayPound/dollar: UP at $1.2576 from $1.2496Dollar/yen: DOWN at 156.32 yen from 157.35 yen Euro/pound: DOWN at 82.83 pence from 82.91 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.1 percent at $69.32 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $72.81 per barrelburs-rl/gv

UN Security Council renews DRC peacekeeping mandateFri, 20 Dec 2024 16:42:38 GMT

The United Nations Security Council voted unanimously Friday to renew the mandate of the UN peacekeeping force in the Democratic Republic of Congo for one year even as the mission gradually withdraws at Kinshasa’s request.MONUSCO is made up of some 16,000 military and police personnel, and is one of the UN’s priciest peacekeeping operations, with …

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Macron slammed over ‘racist’ remarks which his office deniesFri, 20 Dec 2024 16:16:02 GMT

France’s President Emmanuel Macron faced accusations of racism Friday over an alleged comment on problems in hospitals, which his office strongly denied he made, adding to controversy over an angry remark during a visit to an Indian Ocean territory ravaged by a cyclone.With Le Monde daily printing a sequence of articles about the behind-the-scenes atmosphere …

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Macron slammed over racist remarks Elysee denies he madeFri, 20 Dec 2024 15:40:19 GMT

President Emmanuel Macron faced accusations of racism Friday over an alleged comment on problems in French hospitals which the Elysee strongly denies he made.It comes a day after he was also accused of sexist remarks about women opposition leaders and a homophobic quip about a former prime minister he appointed himself. Le Monde daily said that …

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Macron quitte Mayotte après une réunion de crise sur l’archipel dévasté

“De l’eau, de l’eau !” Emmanuel Macron a quitté Mayotte vendredi après avoir constaté l’immensité des besoins sur l’archipel, où il a été confronté à la détresse d’habitants à la fois exaspérés et accablés par les dégâts du cyclone Chido.”Nous sommes une Nation” et “Mayotte et la France, jusqu’au bout”, a écrit sur le réseau social X le chef de l’Etat en français et mahorais au moment de s’envoler vendredi midi en direction de Djibouti où il doit partager un repas de Noël avec les troupes militaires, après deux jours de visite dans le département le plus pauvre de France. Sur place, le bilan provisoire s’élève désormais à 35 morts et quelque 2.500 blessés, a annoncé vendredi le ministère de l’Intérieur.Avant de décoller, Emmanuel Macron a tenu en visioconférence une réunion de la cellule interministérielle de crise pour “transmettre au gouvernement et aux administrations les actions utiles à prendre”, a indiqué l’Elysée.”On ne pourra pas régler les problèmes de fond de Mayotte si on ne règle pas le problème de l’immigration clandestine”, a affirmé dans la matinée le président à des journalistes. A moyen terme, il entend augmenter, jusqu’à presque doubler, le nombre de reconduites à la frontière depuis ce territoire de l’océan Indien, qui était de 22.000 en 2023.- “Coupés du monde” -Le chef de l’Etat s’est rendu à Tsingoni, commune enclavée de l’ouest de Grande-Terre, l’île principale de l’archipel. Loin de Mamoudzou, le chef-lieu, les secours, l’eau, l’électricité et la nourriture tardent à arriver.”On veut de l’eau, de l’eau”, l’ont imploré plusieurs habitants.L’un d’eux, Badirou Abdou, raconte que des hélicoptères ont “largué (…) des bouteilles sur le terrain de foot”. “Heureusement on est une population sage qui se bouscule pas, mais c’est pas la meilleure manière de le faire”, glisse-t-il.Il prévient: “Ici on est coupés du monde”, il “y a des gens qui dorment dehors, par terre… Les maladies, ça va arriver”.C’était “la manière la plus rapide” pour que l’eau arrive, “mais on va faire mieux ces prochains jours”, assure le président, précisant que la sécurité civile avait été déployée pour “déblayer” les routes.”Déjà 80 tonnes d’alimentation et 50 tonnes d’eau ont été distribuées dans neuf communes hier”, a abondé le ministre démissionnaire de l’Intérieur Bruno Retailleau sur X, assurant que “tout est mis en place pour permettre de distribuer 600.000 litres d’eau par jour”, soit un peu moins de deux litres par personne, dans un territoire où il fait actuellement plus de 30 degrés.Durant sa déambulation, Emmanuel Macron s’est accroupi devant Moinecha Djindani, 70 ans, qui l’a béni en mahorais. “Il faut bien me regarder droit dans les yeux: je suis votre maman, j’ai un enfant plus âgé que vous”, lui dit-elle en lui tapotant le crâne. “On se bat pour rétablir l’eau et on va rien lâcher”, a promis le chef de l’Etat. “Je suis très contente”, a acquiescé la septuagénaire dans un rire.- “10.000 fois plus dans la merde” -Jeudi, lors d’une première journée parfois tendue sur ces îles ravagées le 14 décembre par le cyclone le plus violent depuis 90 ans, Emmanuel Macron avait pu constater l’étendue des dégâts et l’ampleur de la détresse, faisant face pendant de longues heures à l’impatience, la colère et le désespoir de Mahorais qui ont parfois tout perdu.”Si c’était pas la France, vous seriez 10.000 fois plus dans la merde !”, a rétorqué jeudi le président au milieu de la foule qui criait, des propos qui lui ont valu de vives critiques de l’opposition à Paris.Concernant le bilan, qui s’alourdit au compte-goutte, “il est vraisemblable qu’il y ait beaucoup plus de victimes”, a reconnu Emmanuel Macron, rappelant qu’une mission avait été diligentée pour établir un bilan exact.Environ un tiers de la population de Mayotte, soit plus de 100.000 habitants, notamment les personnes en situation irrégulière venant des Comores voisines, vivent dans des logements précaires.”Mettre fin” aux bidonvilles et “supprimer” ces habitats “indignes” et “dangereux”, c’est l’un des objectifs de la loi spéciale promise par le président pour “rebâtir” Mayotte. Le Premier ministre François Bayrou a fixé un délai potentiel de deux ans pour cette reconstruction.Dans une station-service au pied d’un de ces bidonvilles, celui de Kaweni à Mamoudzou, les habitants qui font la queue dans l’espoir de s’approvisionner notamment pour alimenter des groupes électrogènes laissent éclater leur frustration.”On est fatigué. On en a marre. On a soif. On a faim”, énumère Yazéa Abdou, une Mahoraise de 26 ans, qui assure à l’AFPTV que les “gens dorment à la station”, faute de mieux.bur-cl-acc-fff-sha-mca/cal/gvy