La “grande et belle loi” de Trump s’embourbe au Congrès

L’adoption finale du vaste projet de loi budgétaire de Donald Trump accuse du retard mercredi au Congrès américain, où plusieurs élus conservateurs affichent leur opposition au creusement de la dette publique prévu par ce texte phare du président républicain.Après le Sénat, qui l’a approuvé mardi de justesse, la Chambre des représentants devait se prononcer dans la journée sur ce texte de plusieurs milliers de milliards de dollars. Mais l’incertitude autour de l’issue du vote final a forcé les responsables républicains à mettre un frein au processus, en laissant ouvert pendant plusieurs heures des votes de procédure.Avec une majorité de seulement huit sièges, le parti présidentiel ne peut pas se permettre plus de trois voix “contre” dans son propre camp.Le président de la Chambre des représentants, le républicain Mike Johnson, a affiché son optimisme dans l’après-midi.”On va y arriver ce soir”, a déclaré le “speaker” à la presse, avant de vanter les progrès effectués dans les négociations avec les réfractaires.Mardi, Donald Trump les avait exhortés à rentrer dans le rang, appelant à ce que “les républicains à la Chambre s’unissent” et “ignorent ceux qui font parfois les intéressants (vous savez qui vous êtes!)”.- “Renaissance” -Cette “grande et belle loi”, comme l’a baptisée le président américain, représente la clé de voûte de son programme économique. Il presse le Congrès de l’adopter avant vendredi, jour de la fête nationale qu’il a fixé comme échéance symbolique pour la promulgation.En tête d’affiche du projet de loi: la prolongation de colossaux crédits d’impôt adoptés lors du premier mandat du républicain . L’élimination de l’imposition sur les pourboires, promesse phare de sa campagne, est aussi prévue, de même que des milliards de dollars supplémentaires pour la défense et la lutte contre l’immigration.Donald Trump a promis mercredi qu’en cas d’adoption du texte, “l’Amérique connaîtra une renaissance économique comme jamais vue auparavant”.Selon des analyses indépendantes, les principaux bénéficiaires seront cependant les ménages les plus aisés, tandis que des millions d’Américains aux revenus modestes pourraient perdre leur accès à des programmes publics d’assurance santé ou d’aide alimentaire.Experts comme politiques pointent aussi du doigt l’explosion attendue du déficit public.- “Monstruosité” -Le Bureau budgétaire du Congrès, chargé d’évaluer de manière non partisane l’impact des projets de loi sur les finances publiques, a estimé mardi que la “One Big Beautiful Bill” augmenterait la dette de plus de 3.400 milliards de dollars d’ici 2034. L’extension des crédits d’impôt coûterait à elle seule 4.500 milliards. Une prévision inacceptable pour plusieurs parlementaires conservateurs, adeptes de l’équilibre des finances publiques, et qu’ils citent comme raison de leur opposition au texte.”Il est dur pour moi d’imaginer qu’il passera en l’état. Il y a des trucs incroyablement mauvais là-dedans”, a affirmé mardi le républicain Andy Biggs à KTAR News, une radio de son Etat, l’Arizona.Pour compenser en partie le creusement du déficit, les républicains prévoient de sabrer dans Medicaid, programme public d’assurance santé dont dépendent des millions d’Américains aux faibles revenus.Une réduction drastique du programme Snap, principale aide alimentaire du pays, est également prévue, de même que la suppression de nombreuses incitations fiscales en faveur des énergies renouvelables adoptées sous Joe Biden.Sans surprise, les démocrates s’opposent en bloc au texte.Leur chef à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, l’a ainsi qualifié de “monstruosité répugnante” qui “fera souffrir les Américains ordinaires” au profit des plus riches.

L’Allemagne transpire et se dessèche sous la canicule qui a essoré l’Europe

Après la France et le pourtour méditerranéen, le nord de l’Europe, peu habitué aux canicules, transpire sous la fournaise avec un pic de chaleur mercredi en Allemagne, où les autorités multiplient les messages de prévention.Dans le pays européen le plus peuplé, la température doit atteindre des maximales comprises entre 34 et 38°C, et jusqu’à 40°C localement, selon le service météorologique allemand.Marga, une mère de famille de Francfort (ouest), a fermé toutes les fenêtres de son logement, où l’après-midi est consacré à un “programme détente avec les enfants”.A Berlin, où un pic à 37°C était attendu, la majorité des piscines en plein air affichaient complet en milieu d’après-midi.Comme pour la Belgique et les Pays-Bas, la canicule est arrivée mardi, mais avec des températures moindres que dans le sud du continent, qui affronte des conditions extrêmes depuis plusieurs jours et où les autorités ont recensé plusieurs décès.- Animaux assoiffés -A Dresde, dans l’est de l’Allemagne, les rives de l’Elbe se dessèchent et le fleuve s’évapore: la hauteur de l’eau est descendue à 64 cm, contre 2 mètres en moyenne annuelle.Propriétaire d’un théâtre flottant, Holger Böhme observe son fleuve “rétrécir de plus en plus”, un phénomène “étrange”, dit-il à l’AFP.”Normalement, on ne s’attend à de tels niveaux d’eau qu’en août et en septembre”, précise Matthias Roeser, de l’association allemande de la navigation fluviale.A l’autre bout du pays, dans un parc de Francfort, des habitants avaient déposé dès mardi au pied des arbres des coupelles d’eau aussitôt mises à profit par lapins et écureuils, d’ordinaire plus craintifs. La forte chaleur complique “la survie de nombreux animaux sauvages”, rappelle la principale association environnementale d’Allemagne, BUND.Dans un geste symbolique et pragmatique, les activistes climatiques du collectif Fridays for Future ont manifesté pour la première fois à la nuit tombée, à partir de 22H00, afin d’échapper à la fournaise.Cette journée de températures record pour début juillet pourrait s’achever par des orages particulièrement violents accompagnés de grêle et de rafales de vent dans le nord-ouest du pays.En Belgique, l’Atomium, monument emblématique de Bruxelles en inox, est à nouveau resté fermé mercredi après-midi à cause de la chaleur.Dans les écoles de Wallonie qui ne sont pas encore en vacances, contrairement à celles de Flandre, les enseignants s’efforcent de maintenir les enfants au frais en utilisant des ventilateurs et des climatiseurs lorsqu’ils sont disponibles, organiser des jeux d’eau et des pauses à l’ombre.Les Pays-Bas ont quant à eux connu leur première “nuit tropicale” de l’année, avec des températures bloquées au dessus de 20°C.- Inégalités -Les habitants du sud de l’Europe ont connu un mois de juin aux températures record qui ont de nouveau mis en lumière les inégalités face à la chaleur.”Je ne mets pas la clim, tout est très cher en ce moment”, explique à l’AFP Grace Guerrero, rencontrée dans le métro de Madrid. Si “l’air est frais la nuit” dans la zone montagneuse où elle vit, à 50 km de la capitale espagnole, cette aide à domicile de 65 ans redoute pour rentrer chez elle “de tomber sur un vieux train de banlieue” sans climatisation.Un homme de 75 ans est décédé à Cordoue, en Andalousie (sud), portant à au moins quatre le nombre de morts liés à la chaleur en une dizaine de jours en Espagne.Deux autres personnes sont mortes dans la nuit de mardi à mercredi en Catalogne (nord-est), où un feu de forêt a ravagé plus de 1.800 hectares de terrain.En France, le “pic le plus intense” est passé, selon le gouvernement qui recense deux décès à la suite de malaises. La “vigilance rouge canicule” a été levée pour tout le pays et les températures baissaient “de manière sensible par l’ouest en soirée et en cours de nuit” mercredi, a indiqué Météo-France. La France, traversée par une longue vague de chaleur précoce, vient de connaître son deuxième mois de juin le plus chaud depuis le début des mesures en 1900, marqué par la sécheresse et une canicule historique, a annoncé mercredi le gouvernement.En Italie, selon la Simeu, regroupant médecins et infirmiers travaillant aux urgences, la vague de chaleur a entraîné une hausse de 10% des arrivées aux urgences dans les grandes villes comme Milan, Florence ou Naples, selon leur service de presse contacté par l’AFP.Les canicules de 2003 et 2022 avaient provoqué respectivement 70.000 et 61.000 décès prématurés en Europe, selon des études d’excès de mortalité.Si les vagues de chaleur en été ne sont pas nouvelles, après des décennies de combustion de charbon, de pétrole et de gaz responsables du réchauffement, les canicules surviennent plus tôt et plus tard dans l’année.burs-clp-pyv/smk/clr/mba

L’Allemagne transpire et se dessèche sous la canicule qui a essoré l’Europe

Après la France et le pourtour méditerranéen, le nord de l’Europe, peu habitué aux canicules, transpire sous la fournaise avec un pic de chaleur mercredi en Allemagne, où les autorités multiplient les messages de prévention.Dans le pays européen le plus peuplé, la température doit atteindre des maximales comprises entre 34 et 38°C, et jusqu’à 40°C localement, selon le service météorologique allemand.Marga, une mère de famille de Francfort (ouest), a fermé toutes les fenêtres de son logement, où l’après-midi est consacré à un “programme détente avec les enfants”.A Berlin, où un pic à 37°C était attendu, la majorité des piscines en plein air affichaient complet en milieu d’après-midi.Comme pour la Belgique et les Pays-Bas, la canicule est arrivée mardi, mais avec des températures moindres que dans le sud du continent, qui affronte des conditions extrêmes depuis plusieurs jours et où les autorités ont recensé plusieurs décès.- Animaux assoiffés -A Dresde, dans l’est de l’Allemagne, les rives de l’Elbe se dessèchent et le fleuve s’évapore: la hauteur de l’eau est descendue à 64 cm, contre 2 mètres en moyenne annuelle.Propriétaire d’un théâtre flottant, Holger Böhme observe son fleuve “rétrécir de plus en plus”, un phénomène “étrange”, dit-il à l’AFP.”Normalement, on ne s’attend à de tels niveaux d’eau qu’en août et en septembre”, précise Matthias Roeser, de l’association allemande de la navigation fluviale.A l’autre bout du pays, dans un parc de Francfort, des habitants avaient déposé dès mardi au pied des arbres des coupelles d’eau aussitôt mises à profit par lapins et écureuils, d’ordinaire plus craintifs. La forte chaleur complique “la survie de nombreux animaux sauvages”, rappelle la principale association environnementale d’Allemagne, BUND.Dans un geste symbolique et pragmatique, les activistes climatiques du collectif Fridays for Future ont manifesté pour la première fois à la nuit tombée, à partir de 22H00, afin d’échapper à la fournaise.Cette journée de températures record pour début juillet pourrait s’achever par des orages particulièrement violents accompagnés de grêle et de rafales de vent dans le nord-ouest du pays.En Belgique, l’Atomium, monument emblématique de Bruxelles en inox, est à nouveau resté fermé mercredi après-midi à cause de la chaleur.Dans les écoles de Wallonie qui ne sont pas encore en vacances, contrairement à celles de Flandre, les enseignants s’efforcent de maintenir les enfants au frais en utilisant des ventilateurs et des climatiseurs lorsqu’ils sont disponibles, organiser des jeux d’eau et des pauses à l’ombre.Les Pays-Bas ont quant à eux connu leur première “nuit tropicale” de l’année, avec des températures bloquées au dessus de 20°C.- Inégalités -Les habitants du sud de l’Europe ont connu un mois de juin aux températures record qui ont de nouveau mis en lumière les inégalités face à la chaleur.”Je ne mets pas la clim, tout est très cher en ce moment”, explique à l’AFP Grace Guerrero, rencontrée dans le métro de Madrid. Si “l’air est frais la nuit” dans la zone montagneuse où elle vit, à 50 km de la capitale espagnole, cette aide à domicile de 65 ans redoute pour rentrer chez elle “de tomber sur un vieux train de banlieue” sans climatisation.Un homme de 75 ans est décédé à Cordoue, en Andalousie (sud), portant à au moins quatre le nombre de morts liés à la chaleur en une dizaine de jours en Espagne.Deux autres personnes sont mortes dans la nuit de mardi à mercredi en Catalogne (nord-est), où un feu de forêt a ravagé plus de 1.800 hectares de terrain.En France, le “pic le plus intense” est passé, selon le gouvernement qui recense deux décès à la suite de malaises. La “vigilance rouge canicule” a été levée pour tout le pays et les températures baissaient “de manière sensible par l’ouest en soirée et en cours de nuit” mercredi, a indiqué Météo-France. La France, traversée par une longue vague de chaleur précoce, vient de connaître son deuxième mois de juin le plus chaud depuis le début des mesures en 1900, marqué par la sécheresse et une canicule historique, a annoncé mercredi le gouvernement.En Italie, selon la Simeu, regroupant médecins et infirmiers travaillant aux urgences, la vague de chaleur a entraîné une hausse de 10% des arrivées aux urgences dans les grandes villes comme Milan, Florence ou Naples, selon leur service de presse contacté par l’AFP.Les canicules de 2003 et 2022 avaient provoqué respectivement 70.000 et 61.000 décès prématurés en Europe, selon des études d’excès de mortalité.Si les vagues de chaleur en été ne sont pas nouvelles, après des décennies de combustion de charbon, de pétrole et de gaz responsables du réchauffement, les canicules surviennent plus tôt et plus tard dans l’année.burs-clp-pyv/smk/clr/mba

L’Allemagne transpire et se dessèche sous la canicule qui a essoré l’Europe

Après la France et le pourtour méditerranéen, le nord de l’Europe, peu habitué aux canicules, transpire sous la fournaise avec un pic de chaleur mercredi en Allemagne, où les autorités multiplient les messages de prévention.Dans le pays européen le plus peuplé, la température doit atteindre des maximales comprises entre 34 et 38°C, et jusqu’à 40°C localement, selon le service météorologique allemand.Marga, une mère de famille de Francfort (ouest), a fermé toutes les fenêtres de son logement, où l’après-midi est consacré à un “programme détente avec les enfants”.A Berlin, où un pic à 37°C était attendu, la majorité des piscines en plein air affichaient complet en milieu d’après-midi.Comme pour la Belgique et les Pays-Bas, la canicule est arrivée mardi, mais avec des températures moindres que dans le sud du continent, qui affronte des conditions extrêmes depuis plusieurs jours et où les autorités ont recensé plusieurs décès.- Animaux assoiffés -A Dresde, dans l’est de l’Allemagne, les rives de l’Elbe se dessèchent et le fleuve s’évapore: la hauteur de l’eau est descendue à 64 cm, contre 2 mètres en moyenne annuelle.Propriétaire d’un théâtre flottant, Holger Böhme observe son fleuve “rétrécir de plus en plus”, un phénomène “étrange”, dit-il à l’AFP.”Normalement, on ne s’attend à de tels niveaux d’eau qu’en août et en septembre”, précise Matthias Roeser, de l’association allemande de la navigation fluviale.A l’autre bout du pays, dans un parc de Francfort, des habitants avaient déposé dès mardi au pied des arbres des coupelles d’eau aussitôt mises à profit par lapins et écureuils, d’ordinaire plus craintifs. La forte chaleur complique “la survie de nombreux animaux sauvages”, rappelle la principale association environnementale d’Allemagne, BUND.Dans un geste symbolique et pragmatique, les activistes climatiques du collectif Fridays for Future ont manifesté pour la première fois à la nuit tombée, à partir de 22H00, afin d’échapper à la fournaise.Cette journée de températures record pour début juillet pourrait s’achever par des orages particulièrement violents accompagnés de grêle et de rafales de vent dans le nord-ouest du pays.En Belgique, l’Atomium, monument emblématique de Bruxelles en inox, est à nouveau resté fermé mercredi après-midi à cause de la chaleur.Dans les écoles de Wallonie qui ne sont pas encore en vacances, contrairement à celles de Flandre, les enseignants s’efforcent de maintenir les enfants au frais en utilisant des ventilateurs et des climatiseurs lorsqu’ils sont disponibles, organiser des jeux d’eau et des pauses à l’ombre.Les Pays-Bas ont quant à eux connu leur première “nuit tropicale” de l’année, avec des températures bloquées au dessus de 20°C.- Inégalités -Les habitants du sud de l’Europe ont connu un mois de juin aux températures record qui ont de nouveau mis en lumière les inégalités face à la chaleur.”Je ne mets pas la clim, tout est très cher en ce moment”, explique à l’AFP Grace Guerrero, rencontrée dans le métro de Madrid. Si “l’air est frais la nuit” dans la zone montagneuse où elle vit, à 50 km de la capitale espagnole, cette aide à domicile de 65 ans redoute pour rentrer chez elle “de tomber sur un vieux train de banlieue” sans climatisation.Un homme de 75 ans est décédé à Cordoue, en Andalousie (sud), portant à au moins quatre le nombre de morts liés à la chaleur en une dizaine de jours en Espagne.Deux autres personnes sont mortes dans la nuit de mardi à mercredi en Catalogne (nord-est), où un feu de forêt a ravagé plus de 1.800 hectares de terrain.En France, le “pic le plus intense” est passé, selon le gouvernement qui recense deux décès à la suite de malaises. La “vigilance rouge canicule” a été levée pour tout le pays et les températures baissaient “de manière sensible par l’ouest en soirée et en cours de nuit” mercredi, a indiqué Météo-France. La France, traversée par une longue vague de chaleur précoce, vient de connaître son deuxième mois de juin le plus chaud depuis le début des mesures en 1900, marqué par la sécheresse et une canicule historique, a annoncé mercredi le gouvernement.En Italie, selon la Simeu, regroupant médecins et infirmiers travaillant aux urgences, la vague de chaleur a entraîné une hausse de 10% des arrivées aux urgences dans les grandes villes comme Milan, Florence ou Naples, selon leur service de presse contacté par l’AFP.Les canicules de 2003 et 2022 avaient provoqué respectivement 70.000 et 61.000 décès prématurés en Europe, selon des études d’excès de mortalité.Si les vagues de chaleur en été ne sont pas nouvelles, après des décennies de combustion de charbon, de pétrole et de gaz responsables du réchauffement, les canicules surviennent plus tôt et plus tard dans l’année.burs-clp-pyv/smk/clr/mba

Trump tax bill stalled by Republican rebellion in Congress

Republican leaders in the US Congress delayed a key vote for hours on Donald Trump’s signature tax and spending bill Wednesday as they scrambled to win over a group of rebels threatening to torpedo the centerpiece of the president’s domestic agenda.Trump is seeking final approval in the House of Representatives for his Senate-passed “One Big Beautiful Bill” — but faces opposition on all sides of his fractious party over provisions set to balloon the national debt while launching a historic assault on the social safety net.House Speaker Mike Johnson told lawmakers to return to their offices, holding open a series of afternoon procedural votes required before final approval for more than three hours after it was first called — with no sign of the stalemate breaking.Meanwhile his lieutenants huddled in tense meetings with holdouts behind the scenes.”We’re going to get there tonight. We’re working on it and very, very positive about our progress,” Johnson told reporters at the Capitol, according to Politico. Originally approved by the House in May, the bill squeezed through the Senate on Tuesday by a solitary vote but had to return to the lower chamber Wednesday for a rubber stamp of the Senate’s revisions.”This bill is President Trump’s agenda, and we are making it law,” Johnson said in a determined statement, projecting confidence that Republicans were “ready to finish the job.”The package honors many of Trump’s campaign promises, boosting military spending, funding a mass migrant deportation drive and committing $4.5 trillion to extend his first-term tax relief.But it is expected to pile an extra $3.4 trillion over a decade onto the country’s fast-growing deficits, while forcing through the largest cuts to the Medicaid health insurance program since its 1960s launch.Fiscal hawks in the House, meanwhile, are chafing over spending cuts that they say fall short of what they were promised by hundreds of billions of dollars.Johnson has to negotiate incredibly tight margins, and can likely only lose three lawmakers among more than two dozen who have declared themselves open to rejecting the bill.- ‘Abomination’ -Lawmakers were hoping to return from recess early Wednesday to begin voting straight away, although they have a cushion of two days before Trump’s self-imposed July 4 deadline.The 887-page text only passed in the Senate after a flurry of tweaks that pulled the House-passed text further to the right.Republicans lost one conservative who was angry about adding to the country’s $37 trillion debt burden and two moderates worried about almost $1 trillion in health care cuts.Some estimates put the total number of recipients set to lose their health insurance at 17 million, while scores of rural hospitals are expected to close.Meanwhile changes to federal nutrition assistance are set to strip millions of the poorest Americans of their access to the program.Johnson will be banking on Trump leaning on waverers, as he has in the past to turn around contentious House votes that were headed for failure.The president has spent weeks cajoling Republicans torn between angering welfare recipients at home and incurring his wrath.Trump pressured House Republicans to get the bill over the line in a private White House meeting with several holdouts on Wednesday.”Our Country will make a fortune this year, more than any of our competitors, but only if the Big, Beautiful Bill is PASSED!” he said in a Truth Social post.House Democrats have signaled that they plan to campaign on the bill to flip the chamber in the 2026 midterm elections, pointing to analyses showing that it represents a historic redistribution of wealth from the poorest Americans to the richest.”Shame on Senate Republicans for passing this disgusting abomination,” House Minority Leader Hakeem Jeffries told reporters.

Netanyahu vows to uproot Hamas as ceasefire proposals are discussed

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu on Wednesday vowed to eradicate Hamas, even as the Palestinian militant group said it was discussing new proposals from mediators for a ceasefire in Gaza.The Israeli leader had yet to comment on US President Donald Trump’s claim that Israel had backed a plan for a 60-day truce in its offensive against Hamas in the war-ravaged territory.But a week ahead of talks scheduled with Trump in Washington, he vowed to “destroy” Hamas “down to their very foundation”.Hamas said it was “conducting national consultations to discuss” the proposals submitted in negotiations mediated by Qatar and Egypt.Nearly 21 months of war have created dire humanitarian conditions for the more than two million people in the Gaza Strip, where Israel has recently expanded its military operations.The civil defence agency said that Israeli forces had killed at least 47 people on Wednesday.Among the dead was Marwan Al-Sultan, director of the Indonesian Hospital, a key clinic in the north of Gaza, Palestinian officials said.Trump on Tuesday urged Hamas to accept a 60-day ceasefire, saying that Israel had agreed to finalise such a deal.Hamas said in a statement that it was studying the latest proposals and aiming “to reach an agreement that guarantees ending the aggression, achieving the withdrawal (of Israeli forces from Gaza) and urgently aiding our people in the Gaza Strip”.Netanyahu vowed however: “We will free all our hostages, and we will eliminate Hamas. It will be no more,” in filmed comments in the city of Ashkelon near Gaza’s northern border.- Hostage release drive -Israeli Foreign Minister Gideon Saar earlier said that he saw “some positive signs”, amid high pressure to bring home the hostages.”We are serious in our will to reach a hostage deal and a ceasefire,” he said. “Our goal is to begin proximity talks as soon as possible.”Out of 251 hostages seized by Palestinian militants in October 2023, 49 are still held in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.A Palestinian source familiar with the mediated negotiations told AFP that “there are no fundamental changes in the new proposal” under discussion compared to previous terms presented by the United States.The source said that the new proposal “includes a 60-day truce, during which Hamas would release half of the living Israeli captives in the Gaza Strip, in exchange for Israel releasing a number of Palestinian prisoners and detainees”.- Israeli air strikes -In southern Gaza, civil defence spokesman Mahmud Bassal told AFP that five members of the same family were killed in an Israeli air strike on Wednesday that hit a tent housing displaced people in the Al-Mawasi area.Despite being declared a safe zone by Israel in December 2023, Al-Mawasi has been hit by repeated Israeli strikes.AFP footage from the area showed makeshift tents blown apart as Palestinians picked through the wreckage trying to salvage what was left of their belongings.”They came here thinking it was a safe area and they were killed. What did they do?” said one resident, Maha Abu Rizq, against a backdrop of destruction.AFP footage from nearby Khan Yunis city showed infants covered in blood being rushed into Nasser Hospital. One man carrying a child whose face was smeared with blood screamed: “Children, children!”Among other fatalities, Bassal later reported five people killed by Israeli army fire near an aid distribution site close to the southern city of Rafah and a further death following Israeli fire near an aid site in the centre of the territory.They were the latest in a string of deadly incidents that have hit people trying to receive food.Media restrictions in Gaza and difficulties in accessing many areas mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by rescuers.- Evacuation order -Contacted by AFP, the Israeli military said it “is operating to dismantle Hamas military capabilities” in line with “international law, and takes feasible precautions to mitigate civilian harm”.It said in a statement that a 19-year-old sergeant in its forces “fell during combat in the northern Gaza Strip”.The military late on Wednesday issued a fresh evacuation warning to residents for three neighbourhoods of Gaza City, urging them to flee south to the Mawasi area.Israeli forces are “operating with extreme intensity in the area and will attack any location being used to launch missiles towards the State of Israel”, Arabic-language spokesman Avichay Adraee said in a message on Telegram.”The destruction of terrorist organisations will continue and expand into the city centre, encompassing all neighbourhoods of the city,” Avichay wrote.The military earlier said that its air force had intercepted two “projectiles” that crossed from northern Gaza into Israeli territory.Israel launched its offensive in response to Hamas’s October 7, 2023 attack which resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli official figures.Israel’s retaliatory military campaign has killed at least 57,012 people in Gaza, also mostly civilians, according to the Hamas-run territory’s health ministry. The United Nations considers its figures reliable.

US stocks back at records as oil prices rally

Major US stock indices closed at fresh records Wednesday following a US-Vietnam trade deal, while oil prices jumped after Iran suspended cooperation with the UN nuclear watchdog.Both the S&P 500 and Nasdaq finished at records for the third time in four days after Trump reached an accord with Vietnam. “Little by little, we are coming to agreements,” said Sam Stovall of CFRA Research. This “should be regarded as positive.”The Vietnam announcement bolsters hopes about additional US trade accords and helped offset a report that showed private-sector US employers shed 33,000 jobs in June. The strong performance in US stocks also came in spite of a rise in US Treasury yields that suggests unease in the bond market as Congress weighs Trump’s massive tax and spending package that has been projected to swell US debt.Optimism over the bill’s extension of deep tax cuts has been offset by concerns it will add around $3 trillion to the US national debt.”It’s driven a wedge between stocks and bonds,” said Jack Ablin of Cresset Capital Management. “Equity markets are applauding the tax cuts… bond markets are concerned about the long-term effects.”In Europe, London’s FTSE 100 ended the day down 0.1 percent and the pound lost around one percent against the dollar on speculation over the future of British finance minister Rachel Reeves.Reeves appeared visibly upset in parliament a day after Prime Minister Keir Starmer’s Labour government U-turned over key welfare reforms, wiping out a multibillion-pound boost to public finances and triggering speculation that she could lose her job.”The prospect of political turmoil is causing bond yields to rise. The market is pricing in the possibility of a replacement chancellor with a more left-leaning agenda, which is spooking the bond market and waking up the bond vigilantes from their slumber,” said Kathleen Brooks, research director at XTB.Brooks added that axing Reeves would be “a strange choice” from a market perspective.Oil prices jumped about three percent as analysts cited a revived chance of fighting between Iran and Israel.On June 25, a day after a ceasefire took hold between the two countries, Iranian lawmakers voted overwhelmingly to suspend cooperation with the Vienna-based IAEA. State media confirmed on Wednesday the legislation had now taken effect.Washington, which has been pressing Tehran to resume the negotiations that were interrupted by Israel’s military action on June 13, said the Iranian decision was “unacceptable.””We’ll use the word unacceptable, that Iran chose to suspend cooperation with the IAEA at a time when it has a window of opportunity to reverse course and choose a path of peace and prosperity,” State Department spokeswoman Tammy Bruce said.- Key figures at around 2040 GMT -New York – Dow: FLAT at 44,484.42 (close)New York – S&P 500: UP 0.5 percent at 6,227.42 (close)New York – Nasdaq: UP 0.9 percent at 20,393.13 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 8,774.69 (close)Paris – CAC 40: UP 1.0 percent at 7,738.42 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.5 percent at 23,790.11 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.6 percent at 39,762.48 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.6 percent at 24,221.41 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,454.79 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1801 from $1.1806 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3634 from $1.3746Dollar/yen: UP at 143.65 yen from 143.42 yenEuro/pound: UP at 86.52 pence from 85.88 penceBrent North Sea Crude: UP 3.0 percent at $69.11 per barrelWest Texas Intermediate: UP 3.1 percent at $67.45 per barrelburs-jmb/acb