Mesures de police renforcées en amont d’une mobilisation anti-A69

Les préfectures du Tarn et de la Haute-Garonne annoncent avoir pris à partir de lundi des mesures de police spécifiques, visant par exemple le transport de matériaux combustibles, en amont d’un rassemblement militant contre l’autoroute A69 prévu en fin de semaine.Étant donné que “le rassemblement annoncé les 4, 5 et 6 juillet 2025 est soutenu par des groupements connus pour leurs modes d’action violents”, les autorités estiment nécessaire de “réglementer temporairement le port et le transport de matériel ou carburant pouvant servir à la confection d’engin incendiaire”, soulignent-elles dans des arrêtés datés de vendredi.Le transport de carburant, de produits chimiques, de peinture en aérosol, de pneus usagés ou d’autres matériaux combustibles, comme des poutres, de la paille ou du bois sont donc ainsi interdits du lundi 30 juin à 08h00 au mercredi 9 juillet 20h00 sur 17 communes du Tarn et sept de Haute-Garonne, situées sur le tracé de la future autoroute, ont précisé les préfectures.Elles estiment “au minimum” à “2.000 participants selon les services de renseignement” la participation à la mobilisation du week-end dans un contexte de “radicalisation de l’opposition” au projet d’autoroute, ce qui laisse craindre “des risques majeurs de trouble à l’ordre public”.L’appel à la mobilisation du 4 au 6 juillet a été lancé par des collectifs écologistes, dont les Soulèvements de la terre, que le gouvernement a vainement tenté de dissoudre.Du côté des organisateurs du week-end de mobilisation, “Martin”, militant anti-A69 joint par téléphone et qui a souhaité garder l’anonymat, juge que la préfecture joue “le récit répressif”.”On commence à avoir un peu l’habitude, ce qu’on constate, c’est à chaque fois qu’il y a un événement comme ça, la préfecture (…) fait monter la sauce de manière à faire peur à l’opposition, à impressionner les gens, à les dissuader de venir parce qu’ils n’ont pas envie qu’on se rassemble et qu’on manifeste notre désaccord, mais cela ne pas va nous en empêcher et cela ne nous en a pas empêché par le passé”, a-t-il déclaré.Alors que la justice administrative a autorisé fin mai une reprise des travaux dans l’attente d’une audience devant la cour d’appel de Toulouse en fin d’année, des mouvements anti-A69 ont lancé une “fête d’enterrement” du projet dans le Tarn pour le week-end prochain.Depuis le début du chantier en 2023, le projet de création de 53 km d’autoroute devant relier Castres à Toulouse fait l’objet d’une très vive contestation, sous différentes formes: campements dans les arbres sous forme de Zones à défendre (ZAD), grèves de la faim, recours juridiques et manifestations.Trois grands rassemblements ont déjà réuni à chaque fois plusieurs milliers d’opposants dans le Tarn: en avril puis octobre 2023 et enfin en juin 2024, les deux derniers étant marqués par des affrontements avec les forces de l’ordre.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Canicule: Paris et le centre basculent en vigilance rouge mardi

Une partie de la France, qui suffoque déjà presque partout lundi, va basculer dans la vigilance rouge mardi, pour la première fois depuis 2023, avec un pic caniculaire “très fort” sur Paris.Seize départements, dont le bassin parisien et le centre, passeront d’orange à rouge, a annoncé lundi après-midi Météo-France, et 68 resteront en vigilance orange. En Ile-de-France, c’est la première fois depuis cinq ans que la vigilance maximale est activée. Elle est utilisée en cas de “canicule extrême, exceptionnelle par sa durée, son intensité et son extension géographique”, et quand la chaleur “présente un fort impact sanitaire pour l’ensemble de la population”, précise l’institut de météorologie. Réacteur nucléaire à l’arrêt, écoles fermées, horaires aménagés sur les chantiers: des mesures de précaution ont déjà été prises pour protéger les Français face à des températures atteignant localement 40°C.Malgré tout, “c’est l’horreur” pour les personnes âgées, relève Christiane, une Lyonnaise de 84 ans, qui a pris l’air tôt lundi avant de se calfeutrer chez elle. Exercer certains métiers relève du calvaire. “C’est comme si tu étais dans un sauna toute la journée, à la différence qu’on fait des efforts physiques en plus”, souffle Mohamed Vicente, dans son kebab à Lyon.Dans les prisons aussi, “la situation est invivable”, estime Jean-François Fogliarino, secrétaire général du Syndicat national des directeurs pénitentiaires (SNDP-CFDT). C’est “encore pire” dans “les maisons d’arrêt en centre-ville qui ne sont pas équipées en clim”, et où les détenus sont parfois “deux ou trois par cellule”.- 200 écoles fermées -“Une vague de chaleur, c’est plusieurs milliers de morts”, a averti lundi Mme Pannier-Runacher sur Sud Radio, en répétant que les employeurs devaient protéger leurs salariés, avec notamment des horaires adaptés. Un décret renforçant les obligations des entreprises en cas de canicule sera publié mardi.Quelque 200 écoles publiques, sur 45.000, font l’objet d’une fermeture partielle ou totale jusqu’à jeudi, comme à Strasbourg ou Tours, quand d’autres ont émis des autorisations pour les parents de garder garder leurs enfants chez eux.Cette 50e vague de chaleur nationale recensée depuis 1947, la 33e du 21e siècle, s’inscrit dans un contexte de changement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.Dimanche, deux mesures ont témoigné du caractère inédit de cette canicule: la Méditerranée a enregistré sa température de surface la plus chaude pour un mois de juin, à 26,01°C en moyenne, selon le programme européen Copernicus. Et le Mont-Blanc, à 4.806 m d’altitude, “a dû enregistrer une température positive, à 1 ou 2°C, ce qui n’arrive qu’au coeur de l’été”, explique à l’AFP Antoine Courteaud, prévisionniste et nivologue de Météo-France à Chamonix.- Ozone -Outre la santé des Français, elle impacte l’environnement: 26 départements sont lundi en vigilance pour la sécheresse, et 10 au niveau de crise, entraînant des restrictions importantes des usages.Ce contexte est propice aux incendies: dans l’Aude, 400 hectares de forêt ont brûlé dans le massif des Corbières en raison d’un barbecue mal éteint. Plus de 600 pompiers ont dû être déployés pour maîtriser les flammes mais des risques de réactivation subsistent.Une pollution de l’air est également en train de s’installer pour l’ozone, notamment en Auvergne-Rhône-Alpes ou sur les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse. Des restrictions de circulation ont été décidées en Ile-de-France.Face à la hausse de la température de la Garonne, qui assure son refroidissement, le seul réacteur actif de la centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne) a été mis à l’arrêt dimanche soir.Cette vague de chaleur concerne tout le sud de l’Europe, de l’Italie au Portugal. L’Espagne a enregistré 46°C samedi, un record pour un mois de juin. La cause de ce nouveau pic est un dôme de chaleur: un large et puissant anticyclone forme une sorte de couvercle qui bloque l’air en basses couches, empêchant l’entrée de perturbations tout en le réchauffant progressivement.

Canicule: Paris et le centre basculent en vigilance rouge mardi

Une partie de la France, qui suffoque déjà presque partout lundi, va basculer dans la vigilance rouge mardi, pour la première fois depuis 2023, avec un pic caniculaire “très fort” sur Paris.Seize départements, dont le bassin parisien et le centre, passeront d’orange à rouge, a annoncé lundi après-midi Météo-France, et 68 resteront en vigilance orange. En Ile-de-France, c’est la première fois depuis cinq ans que la vigilance maximale est activée. Elle est utilisée en cas de “canicule extrême, exceptionnelle par sa durée, son intensité et son extension géographique”, et quand la chaleur “présente un fort impact sanitaire pour l’ensemble de la population”, précise l’institut de météorologie. Réacteur nucléaire à l’arrêt, écoles fermées, horaires aménagés sur les chantiers: des mesures de précaution ont déjà été prises pour protéger les Français face à des températures atteignant localement 40°C.Malgré tout, “c’est l’horreur” pour les personnes âgées, relève Christiane, une Lyonnaise de 84 ans, qui a pris l’air tôt lundi avant de se calfeutrer chez elle. Exercer certains métiers relève du calvaire. “C’est comme si tu étais dans un sauna toute la journée, à la différence qu’on fait des efforts physiques en plus”, souffle Mohamed Vicente, dans son kebab à Lyon.Dans les prisons aussi, “la situation est invivable”, estime Jean-François Fogliarino, secrétaire général du Syndicat national des directeurs pénitentiaires (SNDP-CFDT). C’est “encore pire” dans “les maisons d’arrêt en centre-ville qui ne sont pas équipées en clim”, et où les détenus sont parfois “deux ou trois par cellule”.- 200 écoles fermées -“Une vague de chaleur, c’est plusieurs milliers de morts”, a averti lundi Mme Pannier-Runacher sur Sud Radio, en répétant que les employeurs devaient protéger leurs salariés, avec notamment des horaires adaptés. Un décret renforçant les obligations des entreprises en cas de canicule sera publié mardi.Quelque 200 écoles publiques, sur 45.000, font l’objet d’une fermeture partielle ou totale jusqu’à jeudi, comme à Strasbourg ou Tours, quand d’autres ont émis des autorisations pour les parents de garder garder leurs enfants chez eux.Cette 50e vague de chaleur nationale recensée depuis 1947, la 33e du 21e siècle, s’inscrit dans un contexte de changement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.Dimanche, deux mesures ont témoigné du caractère inédit de cette canicule: la Méditerranée a enregistré sa température de surface la plus chaude pour un mois de juin, à 26,01°C en moyenne, selon le programme européen Copernicus. Et le Mont-Blanc, à 4.806 m d’altitude, “a dû enregistrer une température positive, à 1 ou 2°C, ce qui n’arrive qu’au coeur de l’été”, explique à l’AFP Antoine Courteaud, prévisionniste et nivologue de Météo-France à Chamonix.- Ozone -Outre la santé des Français, elle impacte l’environnement: 26 départements sont lundi en vigilance pour la sécheresse, et 10 au niveau de crise, entraînant des restrictions importantes des usages.Ce contexte est propice aux incendies: dans l’Aude, 400 hectares de forêt ont brûlé dans le massif des Corbières en raison d’un barbecue mal éteint. Plus de 600 pompiers ont dû être déployés pour maîtriser les flammes mais des risques de réactivation subsistent.Une pollution de l’air est également en train de s’installer pour l’ozone, notamment en Auvergne-Rhône-Alpes ou sur les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse. Des restrictions de circulation ont été décidées en Ile-de-France.Face à la hausse de la température de la Garonne, qui assure son refroidissement, le seul réacteur actif de la centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne) a été mis à l’arrêt dimanche soir.Cette vague de chaleur concerne tout le sud de l’Europe, de l’Italie au Portugal. L’Espagne a enregistré 46°C samedi, un record pour un mois de juin. La cause de ce nouveau pic est un dôme de chaleur: un large et puissant anticyclone forme une sorte de couvercle qui bloque l’air en basses couches, empêchant l’entrée de perturbations tout en le réchauffant progressivement.

Canicule: Paris et le centre basculent en vigilance rouge mardi

Une partie de la France, qui suffoque déjà presque partout lundi, va basculer dans la vigilance rouge mardi, pour la première fois depuis 2023, avec un pic caniculaire “très fort” sur Paris.Seize départements, dont le bassin parisien et le centre, passeront d’orange à rouge, a annoncé lundi après-midi Météo-France, et 68 resteront en vigilance orange. En Ile-de-France, c’est la première fois depuis cinq ans que la vigilance maximale est activée. Elle est utilisée en cas de “canicule extrême, exceptionnelle par sa durée, son intensité et son extension géographique”, et quand la chaleur “présente un fort impact sanitaire pour l’ensemble de la population”, précise l’institut de météorologie. Réacteur nucléaire à l’arrêt, écoles fermées, horaires aménagés sur les chantiers: des mesures de précaution ont déjà été prises pour protéger les Français face à des températures atteignant localement 40°C.Malgré tout, “c’est l’horreur” pour les personnes âgées, relève Christiane, une Lyonnaise de 84 ans, qui a pris l’air tôt lundi avant de se calfeutrer chez elle. Exercer certains métiers relève du calvaire. “C’est comme si tu étais dans un sauna toute la journée, à la différence qu’on fait des efforts physiques en plus”, souffle Mohamed Vicente, dans son kebab à Lyon.Dans les prisons aussi, “la situation est invivable”, estime Jean-François Fogliarino, secrétaire général du Syndicat national des directeurs pénitentiaires (SNDP-CFDT). C’est “encore pire” dans “les maisons d’arrêt en centre-ville qui ne sont pas équipées en clim”, et où les détenus sont parfois “deux ou trois par cellule”.- 200 écoles fermées -“Une vague de chaleur, c’est plusieurs milliers de morts”, a averti lundi Mme Pannier-Runacher sur Sud Radio, en répétant que les employeurs devaient protéger leurs salariés, avec notamment des horaires adaptés. Un décret renforçant les obligations des entreprises en cas de canicule sera publié mardi.Quelque 200 écoles publiques, sur 45.000, font l’objet d’une fermeture partielle ou totale jusqu’à jeudi, comme à Strasbourg ou Tours, quand d’autres ont émis des autorisations pour les parents de garder garder leurs enfants chez eux.Cette 50e vague de chaleur nationale recensée depuis 1947, la 33e du 21e siècle, s’inscrit dans un contexte de changement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.Dimanche, deux mesures ont témoigné du caractère inédit de cette canicule: la Méditerranée a enregistré sa température de surface la plus chaude pour un mois de juin, à 26,01°C en moyenne, selon le programme européen Copernicus. Et le Mont-Blanc, à 4.806 m d’altitude, “a dû enregistrer une température positive, à 1 ou 2°C, ce qui n’arrive qu’au coeur de l’été”, explique à l’AFP Antoine Courteaud, prévisionniste et nivologue de Météo-France à Chamonix.- Ozone -Outre la santé des Français, elle impacte l’environnement: 26 départements sont lundi en vigilance pour la sécheresse, et 10 au niveau de crise, entraînant des restrictions importantes des usages.Ce contexte est propice aux incendies: dans l’Aude, 400 hectares de forêt ont brûlé dans le massif des Corbières en raison d’un barbecue mal éteint. Plus de 600 pompiers ont dû être déployés pour maîtriser les flammes mais des risques de réactivation subsistent.Une pollution de l’air est également en train de s’installer pour l’ozone, notamment en Auvergne-Rhône-Alpes ou sur les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse. Des restrictions de circulation ont été décidées en Ile-de-France.Face à la hausse de la température de la Garonne, qui assure son refroidissement, le seul réacteur actif de la centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne) a été mis à l’arrêt dimanche soir.Cette vague de chaleur concerne tout le sud de l’Europe, de l’Italie au Portugal. L’Espagne a enregistré 46°C samedi, un record pour un mois de juin. La cause de ce nouveau pic est un dôme de chaleur: un large et puissant anticyclone forme une sorte de couvercle qui bloque l’air en basses couches, empêchant l’entrée de perturbations tout en le réchauffant progressivement.

Municipales: les socialistes désignent leur candidat pour succéder à Hidalgo

Les socialistes parisiens ont commencé à voter lundi pour élire leur candidat aux municipales de 2026, au terme de sept mois d’une campagne tendue entre Emmanuel Grégoire, ex-premier adjoint d’Anne Hidalgo, et son candidat désigné Rémi Féraud.Environ 3.000 adhérents de la fédération parisienne sont appelés à voter à l’urne, jusqu’à 22H00, pour départager ces deux prétendants ainsi que Marion Waller, une ancienne conseillère d’Anne Hidalgo, arrivée sur le tard dans la campagne.Chaque camp pronostique un score serré entre le député Emmanuel Grégoire, 47 ans, et le sénateur Rémi Féraud, 53 ans. Marion Waller, 33 ans, directrice du Pavillon de l’Arsenal, ne s’est pas prononcée sur le candidat qu’elle soutiendrait si elle arrivait troisième.En renonçant en novembre à briguer un troisième mandat, Anne Hidalgo a désigné Rémi Féraud, l’un de ses grands fidèles, pour lui succéder. Et déclenché un duel fratricide avec Emmanuel Grégoire, son ancien premier adjoint avec lequel elle est en froid, qui venait de se déclarer candidat à l’Hôtel de Ville.Rémi Féraud, ancien maire du Xe arrondissement et chef de la majorité au conseil de Paris, est soutenu par l’exécutif et des maires d’arrondissements socialistes. Emmanuel Grégoire, qui fut six ans le premier adjoint d’Anne Hidalgo, affiche celui de plus de 800 militants, des ex Premiers ministres Lionel Jospin et Jean-Marc Ayrault, de l’ancien maire Bertrand Delanoë et du chef du groupe socialiste à l’Assemblée nationale Boris Vallaud.- Volonté d’apaisement -Sept mois de campagne interne ont opposé les deux parlementaires dans un climat de tensions, qui ont atteint leur paroxysme en mars lors du vote de la date de la primaire, entaché de soupçons d’irrégularités par le camp Grégoire.Anne Hidalgo a ensuite dit qu’elle ne soutiendrait pas son ancien dauphin en cas de victoire, lui reprochant de l’avoir “trahie”, notamment après son échec à la présidentielle de 2022 et son score historiquement bas (1,7%). A l’issue du congrès du PS à la mi-juin, qui a reconduit à sa tête Olivier Faure, favorable à Emmanuel Grégoire, les deux camps ont montré une volonté d’apaisement en dotant la fédération parisienne d’une direction collégiale représentant les différents courants.Rémi Féraud a axé sa campagne sur le logement, en proposant une prime climat pour financer la rénovation thermique des logements. Il promet aussi une reconnaissance des familles monoparentales et la généralisation de la zone à trafic limitée (ZTL), en vigueur dans l’hypercentre de Paris, à tous les quartiers.Emmanuel Grégoire prône le “droit à vivre” à Paris, avec un bail citoyen pour les locataires du parc privé, ou encore des “zones de calme” sans deux-roues la nuit. Conseiller métropolitain, il a également mené campagne dans le Grand Paris.Marion Waller a fait du Grand Paris un “préalable” et propose un revenu annuel de 3.000 euros pour les jeunes sous conditions de ressources.Les trois candidats ont exclu une alliance avec LFI.

Almost 500 arrested after Kenya protest violence: policeMon, 30 Jun 2025 14:58:39 GMT

Kenyan police said Monday that 485 people had been arrested on murder, terrorism, rape and other charges following deadly protests last week.The nationwide protests were initially held to mark a year since massive anti-tax demonstrations, but descended into chaos as young men battled police and destroyed thousands of businesses in Nairobi’s business district. The Kenyan National …

Almost 500 arrested after Kenya protest violence: policeMon, 30 Jun 2025 14:58:39 GMT Read More »

Canicule: 16 départements, dont le bassin parisien, basculent mardi en vigilance rouge

Seize départements sont placés en vigilance rouge canicule, dont le bassin parisien, pour la journée de mardi, a annoncé lundi Météo-France, et 68 resteront en vigilance orange.Dans le détail, tous les départements de l’Ile-de-France, le Cher, le Loiret, l’Indre, le Loir-et-Cher, l’Indre-et-Loire, l’Aube, l’Yonne et la Vienne font l’objet d’une vigilance rouge à partir de midi.La dernière vigilance de ce type pour la France remonte au mois d’août 2023. En Ile-de-France, c’est la première fois depuis cinq ans (7 au 12 août 2020) que le niveau est atteint, selon Météo France.Le territoire est touché par un “épisode caniculaire dont la durée, l’extension géographique et l’intensité nécessitent une vigilance particulière”, soulignent les services de prévision.”Le pic caniculaire sur le bassin parisien sera très fort mardi et la nuit de mardi à mercredi” avec une chaleur “particulièrement éprouvante”.Mardi sera la journée la plus chaude de cet épisode avec des minimales très élevées, comprises entre 20 et 24°C voire un peu plus très localement, et des maximales atteignant 36 à 40°C avec quelques pointes à 41°C dans les départements en vigilance rouge.Soixante-huit départements sont par ailleurs maintenus en vigilance orange et seuls les départements proches de la Manche et des frontières belges conserveront des températures inférieures à 34°C.Une baisse sensible s’amorcera mercredi matin sur les régions proches de la Manche et la façade atlantique, prémices d’un probable rafraîchissement mercredi soir sur le bassin parisien.La vigilance rouge pour canicule est le niveau le plus élevé du “plan national canicule” (après jaune et orange) et correspond à la fois à un événement météorologique exceptionnel et à une alerte sanitaire justifiant une “mobilisation maximale”.”Le niveau de vigilance rouge correspond à une canicule extrême, exceptionnelle par sa durée, son intensité, son extension géographique, et présente un fort impact sanitaire pour l’ensemble de la population et des impacts sociétaux (sécheresse, approvisionnement en eau potable, aménagement ou arrêt de certaines activités, etc.)”, précise Météo-France.Ce dispositif a été créé en 2004, après la canicule de 2003. Il comprend 4 niveaux (vert, jaune, orange et rouge). Le niveau de vigilance rouge est déclenché par Météo-France en concertation avec les autorités sanitaires.La dernière fois qu’il avait été déclenché en France remonte à l’été 2023, du 21 au 24 août: quatre départements avaient été placés en rouge le 21, et 19 départements le 22.

Canicule: 16 départements, dont le bassin parisien, basculent mardi en vigilance rouge

Seize départements sont placés en vigilance rouge canicule, dont le bassin parisien, pour la journée de mardi, a annoncé lundi Météo-France, et 68 resteront en vigilance orange.Dans le détail, tous les départements de l’Ile-de-France, le Cher, le Loiret, l’Indre, le Loir-et-Cher, l’Indre-et-Loire, l’Aube, l’Yonne et la Vienne font l’objet d’une vigilance rouge à partir de midi.La dernière vigilance de ce type pour la France remonte au mois d’août 2023. En Ile-de-France, c’est la première fois depuis cinq ans (7 au 12 août 2020) que le niveau est atteint, selon Météo France.Le territoire est touché par un “épisode caniculaire dont la durée, l’extension géographique et l’intensité nécessitent une vigilance particulière”, soulignent les services de prévision.”Le pic caniculaire sur le bassin parisien sera très fort mardi et la nuit de mardi à mercredi” avec une chaleur “particulièrement éprouvante”.Mardi sera la journée la plus chaude de cet épisode avec des minimales très élevées, comprises entre 20 et 24°C voire un peu plus très localement, et des maximales atteignant 36 à 40°C avec quelques pointes à 41°C dans les départements en vigilance rouge.Soixante-huit départements sont par ailleurs maintenus en vigilance orange et seuls les départements proches de la Manche et des frontières belges conserveront des températures inférieures à 34°C.Une baisse sensible s’amorcera mercredi matin sur les régions proches de la Manche et la façade atlantique, prémices d’un probable rafraîchissement mercredi soir sur le bassin parisien.La vigilance rouge pour canicule est le niveau le plus élevé du “plan national canicule” (après jaune et orange) et correspond à la fois à un événement météorologique exceptionnel et à une alerte sanitaire justifiant une “mobilisation maximale”.”Le niveau de vigilance rouge correspond à une canicule extrême, exceptionnelle par sa durée, son intensité, son extension géographique, et présente un fort impact sanitaire pour l’ensemble de la population et des impacts sociétaux (sécheresse, approvisionnement en eau potable, aménagement ou arrêt de certaines activités, etc.)”, précise Météo-France.Ce dispositif a été créé en 2004, après la canicule de 2003. Il comprend 4 niveaux (vert, jaune, orange et rouge). Le niveau de vigilance rouge est déclenché par Météo-France en concertation avec les autorités sanitaires.La dernière fois qu’il avait été déclenché en France remonte à l’été 2023, du 21 au 24 août: quatre départements avaient été placés en rouge le 21, et 19 départements le 22.

Saison record pour CNews, toujours numéro un avec la nouvelle numérotation TNT

CNews a entériné son statut de première chaîne d’information au terme d’un mois et d’une saison records, une hiérarchie que n’a pas bouleversée le changement de numérotation de la TNT survenu en juin, selon les chiffres Médiamétrie dévoilés lundi.Des quatre chaînes d’info, LCI, toujours troisième derrière BFMTV et devant franceinfo, est celle qui a le plus profité de leur regroupement sur la télécommande, le 6 juin, dans un contexte de forte actualité internationale.CNews, qui a détrôné BFMTV pour la première fois il y a un peu plus d’un an, s’est félicitée lundi d’avoir signé de septembre à juin la plus forte progression du PAF, toutes chaînes confondues, pour atteindre 3,2% de part d’audience (PDA) en moyenne, contre 2,7% sur la saison 2023-2024.Passée du canal 16 au 14, la chaîne d’info dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré a enregistré 3,6% de PDA en juin, soit 0,1 point de plus que son précédent record de juin 2024 – marqué par la dissolution de l’Assemblée nationale – et 0,2 point de plus qu’en mai 2025.Cinquième chaîne nationale en juin devant France 5, elle creuse encore l’écart avec BFMTV, distancée de 0,7 points, à 2,9% de PDA. BFMTV, désormais installée sur l’ex-canal de LCP et Public Sénat (13), voit sa PDA baisser sur un an (-0,5 point) mais reste stable sur un mois.L’ancienne leader, qui fait face à de nombreuses défections de journalistes depuis son rachat par l’armateur CMA CGM mi-2024, revendique toutefois chaque jour 12 millions de téléspectateurs en cumulé, contre 9 millions pour CNews.LCI (ex-canal 26), qui a récupéré l’ancien canal 15 de BFMTV, grimpe elle à 2,3% de PDA en juin, son meilleur score depuis deux ans. La chaîne du groupe TF1 gagne ainsi 0,3 point sur un an et 0,5 point sur un mois. Derrière, franceinfo, rapatriée du canal 27 au 16, se maintient sur un an à 1% de PDA en juin, soit 0,2 point de plus qu’en mai.Le changement de numérotation découle de l’arrêt des chaînes C8 et NRJ12 sur la télévision numérique terrestre (TNT) fin février. Cela a ouvert la possibilité d’une remise en ordre plus logique des canaux, décidée par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel.