Ligue Europa: Lille perd un match fou face au PAOK (4-3)
D’abord apathique et surpris par l’efficacité exceptionnelle du PAOK Salonique, puis révolté et proche de tout renverser, Lille a perdu un match fou (4-3) à domicile contre le club grec jeudi soir en Ligue Europa.Ce revers ne compromet par les chances du Losc (onzième, six points) d’accéder aux huitièmes de finale de la C3, mais il stoppe le bel élan des deux premiers succès contre Brann Bergen (2-1) et à Rome (1-0), et rappelle à quel point le club nordiste est inconstant cette saison.La faute à une première période cauchemardesque, conclue sur le score de 3 à 0, où les Dogues ont été aux abois, pris dans l’engagement et punis par les Grecs, impressionnants de précision dans leur tentative.Dans ces 45 premières minutes, deux joueurs ont coulé: les défenseurs Tiago Santos et Nathan Ngoy, en cause dans les trois buts grecs inscrits par l’ancien lillois Souhaliho Meité (18e) à l’entrée de la surface, Andrija Zivkovic (23e) en contre et Giannis Konstantelias (42e).Ngoy et Santos ont d’ailleurs été remplacés par Bruno Genesio dès la mi-temps, supplées par Chancel Mbemba et Thomas Meunier.Un fait de jeu sera sans doute au coeur des commentaires d’après-match: juste avant le troisième but du PAOK, l’arbitre n’a pas accordé de pénalty aux Lillois quand Matias Fernandez-Pardo s’est écroulé dans la surface grecque, retenu par le maillot (42e), malgré l’intervention de la VAR. Cela a déclenché l’ire du président du Losc Olivier Létang, qui a s’est plaint en anglais auprès de l’arbitre à la mi-temps. “J’ai déjà écrit à M. Ceferin (président de l’UEFA, NDLR), ce qui s’est passé ce soir est incroyable”, a déclaré Létang dans le couloir, des propos captés par les caméras du diffuseur Canal+.- Hamza Igamane déchaîné -Mais ce score ne présageait rien de la dramaturgie qui allait suivre. Par deux fois, les Lillois ont réduit le score après des corners, d’abord par Benjamin André (57e), qui, en bon capitaine, a montré la voie à suivre, puis par Hamza Igamane (68e).Le Stade Pierre-Mauroy, à peine rempli à moitié pour cette affiche, s’est alors mis à vrombir, voyant que le match avait tourné. Ce n’est pas une énième bourde lilloise, cette fois d’André, coupable d’avoir offert un pénalty d’une faute grossière, qui a su arrêter cet élan, puisque Berke Özer a détourné la tentative d’Andrija Zivkovic (71e).Le Turc a refait le coup de Rome, où il avait réussi l’exploit d’en arrêter trois consécutifs. Mais il n’a fait que retarder l’échéance de trois minutes, quand Zivkovic a cette fois inscrit le quatrième but grec (74e) après une nouvelle percée du PAOK dans la défense.Lille mis K.O. par le PAOK? Igamane ne l’entendait pas ainsi: le Marocain a encore réduit le score d’une reprise de volée superbe du pied gauche (78e), démontrant une nouvelle fois son sens inné pour les buts d’exception.Lille a poussé, obtenu plusieurs occasions pour égaliser par Chancel Mbemba (85e), encore Igamane (90e+1) et Matias Fernandez-Pardo (90e+6), jusqu’à croire au miracle quand Benjamin André a poussé le ballon au fond des filets au terme du temps additionnel, avant que son but ne soit refusé pour une position de hors-jeu.C’en était fini des chances lilloises dans cette rencontre folle de bout en bout, mais qu’ils auront abordée de la pire manière possible, se sabordant en une période. Il leur faudra rebondir dès dimanche (15h00) en Ligue 1 contre Metz.
‘Out of NY!’: New Yorkers rage against migrant roundups
“Hands off!” chanted hundreds of New Yorkers furious over a roundup of street vendors by federal agents as part of US President Donald Trump’s escalating campaign against undocumented migrants.Masked federal officers are often found in the halls of 26 Federal Plaza in Manhattan, where immigrants attempting to remain in the United States attend court hearings. But on Tuesday, agents hit Canal Street in Chinatown, picking up nine African men suspected of being in the country illegally during an operation Homeland Security said focused on counterfeit goods.Four people who sought to interrupt the arrests were also detained, but later released without charge. Immigration and Customs Enforcement (ICE) director Todd Lyons subsequently announced that arrests in New York would increase as it is a sanctuary city — meaning local police do not cooperate with federal enforcement. Lyons added that his agency’s operations were not “random” but “intelligence driven.” – ‘Get out of New York’ – Several dozen New Yorkers took to the streets on Tuesday night to protest the arrests, followed by hundreds more on Wednesday.Protester Lorelei Crean, 18, warned that immigration officers had “been taking over all over the country.” “Now it’s coming to New York, and this is New York showing and saying that ICE has to get out of New York,” Crean said. Political and religious leaders spoke out during a briefing Thursday, alongside City Council speaker Adrienne Adams. “We have gathered in unison to send a clear message to the Trump administration: Hands off New York City. Stop threatening our public safety and our economy,” Adams said. Since Trump’s return to the White House in January, National Guard troops have deployed in several major Democratic cities including Los Angeles, Washington and Memphis.”New York City does not want or need a military or federal occupation,” Adams added. New York Attorney General Letitia James, a Trump foe who has been indicted on charges she says are politically motivated, is seeking digital evidence of immigration raids in the city. – ‘Declare war’ – Migrant roundups topped the agenda at Wednesday’s final debate among candidates for New York City’s mayoral election on November 4. All three leading candidates oppose the deployment of federal immigration officers in the city.The frontrunner, Democrat Zohran Mamdani, called ICE “a reckless entity that cares little for the law and even less for the people that they’re supposed to serve.”Mamdani has accused Trump of “looking to declare war” on New Yorkers and insisted he would only cooperate with the Republican president on bringing down the city’s soaring cost of living.Mamdani’s closest rival, former state governor Andrew Cuomo, said that as mayor, he would “have to confront President Trump,” while Republican Curtis Sliwa said “negotiation” would be the only solution.
US B-1B bomber flew off coast of Venezuela: flight tracking data
At least one US B-1B bomber flew over the Caribbean Sea off the coast of Venezuela Thursday, flight tracking data showed, the second such show of force by US military aircraft in a week.The bomber flight — which President Donald Trump later falsely claimed did not occur — comes as Washington carries out a military campaign against alleged drug traffickers in the region, deploying forces that have sparked fears in Caracas that regime change is the ultimate goal.Data from tracking website Flightradar24 showed a B-1B flying toward the Venezuelan coast on Thursday afternoon before making a U-turn and heading north, after which it disappeared from view.Asked during a White House event about reporting that the United States had sent B-1Bs near Venezuela, Trump responded that “it’s false,” while adding the United States is “not happy with Venezuela for a lot of reasons.”The latest flight came about a week after US-based B-52 bombers circled off Venezuela’s coast for several hours.The US military described that mission as a demonstration of Washington’s commitment “to proactively deter adversary threats, enhance crew training, and ensure the global force readiness necessary to respond to any contingency or challenge.”The United States has deployed stealth warplanes and Navy ships as part of what it calls counter-narcotics efforts, but has yet to release evidence that its targets — eight boats and a semi-submersible — were smuggling drugs.The US strikes, which began on September 2, have killed at least 37 people, according to an AFP tally based on US figures.Regional tensions have flared as a result of the campaign, with Venezuela accusing the United States of plotting to overthrow President Nicolas Maduro, who said Wednesday that his country has 5,000 Russian man-portable surface-to-air missiles to counter US forces.
Premier pas timide de l’UE vers l’utilisation des avoirs russes au profit de l’Ukraine
Un premier pas extrêmement prudent : les dirigeants de l’UE ont demandé jeudi à la Commission d’explorer les moyens de financer l’Ukraine sur les deux années à venir, laissant la porte ouverte à la mise en place d’un prêt qui s’appuierait sur les avoirs russes gelés.Cette proposition a minima a été arrachée après plusieurs heures de négociations et sera à l’ordre du jour du prochain sommet européen en décembre, repoussant de facto les arbitrages les plus difficiles.Elle est délibérément formulée en termes vagues par rapport à la version qui circulait à Bruxelles il y a quelques jours, afin de prendre en compte les fortes réserves de la Belgique où se trouve l’essentiel de ces avoirs russes en Europe.Son Premier ministre Bart De Wever avait menacé, dès le début du sommet, de bloquer tout le processus s’il n’obtenait pas satisfaction sur les conditions qu’il a posées, au grand dam du président ukrainien. Selon un diplomate, plusieurs autres pays ont également exprimé des réserves.Présent à Bruxelles pour une partie des discussions, Volodymyr Zelensky avait exhorté les dirigeants à sauter ce pas sur les avoirs de la banque centrale russe.”J’espère qu’ils prendront une décision politique, une décision positive d’une manière ou d’une autre pour aider l’Ukraine”, a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse.- Mutualisation des risques -Même avec ce timide feu vert politique, il faudra encore attendre une proposition légale officielle de la Commission européenne dans les semaines à venir.”C’est une grande réussite”, a affirmé un diplomate à l’AFP, se réjouissant qu’un mandat ait été confié, malgré un “langage un peu vague”. “C’est un texte qui ne ferme la porte à rien”, tempère un autre.Plus tôt dans la journée, les dirigeants européens, et M. Zelensky, avaient par ailleurs salué la décision des Etats-Unis, exaspérés par l’attitude de Vladimir Poutine, de prendre à leur tour des sanctions contre Moscou.Le chef de l’Etat russe a répondu que ces mesures contre le secteur pétrolier russe étaient “sérieuses” mais qu’elles n’auraient pas d'”impact significatif” sur l’économie de son pays. Il a plaidé en faveur de la poursuite du “dialogue”.La veille, Donald Trump avait manifesté son impatience envers Vladimir Poutine et annoncé des sanctions qu’il avait qualifiées d'”énormes” contre le secteur pétrolier russe.- “Nulle part” -Le président américain, qui s’est refusé pendant de longs mois à imposer ces sanctions, a estimé que ses conversations avec son homologue russe ne menaient “nulle part”, au lendemain du report sine die d’une rencontre entre eux envisagée à Budapest.Les sanctions impliquent un gel de tous les actifs de Rosneft et de Lukoil aux États-Unis ainsi qu’une interdiction à toutes les entreprises américaines de faire des affaires avec les deux géants pétroliers russes.Les cours du brut ont accéléré leur hausse jeudi, à plus de 5%, propulsés par ces annonces, susceptibles de limiter l’offre sur le marché pétrolier.La Russie a dénoncé des sanctions américaines “contre-productives” dont “le résultat sera négatif pour la stabilité de l’économie mondiale”, tout en se disant “immunisée”. La Chine a exprimé son opposition à ces mesures.- Flotte fantôme -Les Européens ont également ciblé le secteur pétrolier russe en annonçant mercredi soir un nouveau train de sanctions contre Moscou, le 19e depuis l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022.Il prévoit notamment un arrêt total des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe d’ici à fin 2026 et des mesures supplémentaires contre la flotte fantôme de pétroliers que Moscou utilise pour contourner les sanctions occidentales.Des frappes russes dans la nuit et tôt jeudi matin ont causé la mort d’un secouriste, perturbé le trafic ferroviaire et endommagé une synagogue, ont annoncé les autorités ukrainiennes. Deux journalistes ukrainiens de la chaîne Freedom TV ont été tués le même jour par un drone russe à Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine, a rappelé jeudi à Bruxelles M. Zelensky.
Oil prices surge as Trump hits Russian crude with sanctions
Oil prices jumped more than five percent Thursday after US President Donald Trump targeted Russia’s key oil industry with new sanctions in a bid to end the war in Ukraine.The surge in crude prices came as major US equity indices rebounded from the prior day’s pullback after the White House confirmed a plan for Trump to meet with Chinese leader Xi Jinping next week to discuss trade.Trump on Wednesday announced new sanctions against Russia’s two largest oil companies, Rosneft and Lukoil, saying his peace talks with President Vladimir Putin were not going “anywhere.”The move was joined by another round of punishment by the European Union as part of attempts to pressure Moscow to end its three-and-a-half-year invasion of Ukraine.”These new sanctions are likely to have a real impact,” said Arne Lohmann Rasmussen, an analyst at Global Risk Management.According to industry analysts the two companies account for just over half of Russia’s oil output, and both also produce natural gas.Analysts at Capital Economics said the move “could be a big enough shock to flip the global oil market into a deficit next year,” although they said the impact depends on the effectiveness of enforcement measures.Russia’s foreign ministry warned that the sanctions risked jeopardizing diplomatic efforts to end the Ukraine war, and that it had developed a “strong immunity” to them.Trump had resisted imposing new restrictions against Moscow for months, but his patience snapped after plans for a new summit with Putin in Budapest collapsed.He had already claimed that India had agreed to cut its Russian oil purchases as part of a US trade deal, something New Delhi has not confirmed. Bloomberg on Thursday cited unnamed Indian refinery sources as saying flows of Russian crude were expected to plunge almost to zero as a result of the US sanctions.”As Rosneft and Lukoil produce around four million barrels per day between them, if India were to reduce its purchases, that would severely hamper Russia’s ability to fund its war,” said Trade Nation analyst David Morrison.Trump in August raised tariffs on Indian exports to the United States to 50 percent, with Trump’s aides accusing India of fueling Russia’s war in Ukraine.Major stock markets mostly rose as traders assessed US-China trade prospects and another batch of mixed company earnings.Trump is scheduled to embark on a major trip to Asia this week, his first visit to the region since he returned to the White House.The highlight will be his talks with Xi in South Korea, which Trump’s spokeswoman confirmed would take place on October 30 on the sidelines of an Asia-Pacific Economic Cooperation summit.Trump had previously threatened to scrap the meeting amid a flare-up in the trade war between Washington and Beijing. Gold, seen as a safe haven, recovered from recent heavy selling to rise more than one percent to around $4,100 an ounce, though still well below the record high above $4,381 touched earlier this week. Markets are looking forward to Friday’s US consumer price data, which will be released despite a government shutdown. The figure, closely watched for its implications for US monetary policy, is “always important but it’s even bigger this time because there’s no other data,” said FHN Financial’s Chris Low.- Key figures at around 2020 GMT -Brent North Sea Crude: UP 5.4 percent at $65.99 per barrelWest Texas Intermediate: UP 5.6 percent at $61.79 per barrelNew York – Dow: UP 0.3 percent at 46,734.61 (close)New York – S&P 500: UP 0.6 percent at 6,738.44 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.9 percent at 22,941.80 (close)London – FTSE 100: UP 0.7 percent at 9,578.57 (close)Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 8,225.78 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.2 percent at 24,207.79 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.4 percent at 48,641.61 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 25,967.98 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,922.41 (close)Euro/dollar: UP at $1.1615 from $1.1611 on WednesdayPound/dollar: DOWN at $1.3323 from $1.3356Dollar/yen: UP at 152.60 from 151.98 yenEuro/pound: UP at 87.18 pence from 86.93 penceburs-jmb/dw
Résultats d’entreprises et optimisme commercial soutiennent Wall Street
La Bourse de New York a terminé en hausse jeudi, satisfaite jusqu’à présent de la saison des résultats d’entreprises, et encouragée par la confirmation d’une rencontre entre les présidents américain Donald Trump et chinois Xi Jinping.Après une ouverture sans entrain, le Dow Jones a finalement gagné 0,31%, l’indice Nasdaq a pris 0,89% et l’indice élargi S&P 500 0,58%.Donald Trump va entamer à la fin de la semaine une importante tournée en Asie, qui sera marquée par une rencontre très attendue avec son homologue chinois Xi Jinping, aux enjeux majeurs pour l’économie mondiale.Pour Christopher Low, de FHN Financial, il s’agit sans conteste de “la nouvelle la plus importante du jour”.”Cela ne sera peut-être pas productif, mais nous pouvons l’espérer, et une rencontre vaut mieux que pas de rencontre du tout”, a commenté l’analyste auprès de l’AFP.Le président américain avait laissé planer un doute sur la tenue de cette rencontre sur fond de tensions commerciales, tout en assurant s’attendre à conclure un “bon” accord entre les deux premières économies de la planète.”Au-delà de cela, les résultats financiers de ce trimestre ont été plutôt solides, pas pour tout le monde, mais un pourcentage plus élevé que d’habitude d’entreprises ont dépassé les attentes”, a relevé Christopher Low.Les grandes banques américaines ont ainsi profité des larges commissions engrangées dans la gestion d’actifs et la banque d’affaires, tandis que les industriels de la défense ont bénéficié d’une forte demande, en raison des tensions géopolitiques.Il reste encore à connaître les performances de plusieurs géants de la tech, qui pèsent lourd sur les indices de la place américaine, ainsi que celles des distributeurs, susceptibles de donner un nouvel aperçu de l’état de santé des consommateurs.”L’autre sujet dont tout le monde parle est le rapport du CPI (sur l’inflation, ndlr) qui sera publié vendredi”, a souligné Christopher Low.Cette publication “est toujours importante, mais elle l’est encore plus cette fois-ci, car il n’y a pas d’autres données” gouvernementales disponibles sur l’économie américaine en raison de la paralysie budgétaire qui touche le pays, a ajouté l’analyste.Une inflation plus forte qu’attendu pourrait réduire les perspectives d’assouplissement monétaire de la Réserve fédérale (Fed). Les spécialistes sont jusqu’à présent pratiquement unanimes: la banque centrale américaine devrait encore réduire ses taux d’un demi-point d’ici la fin de l’année, avec une première baisse dès la réunion de politique monétaire prévue la semaine prochaine.Sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l’État américain retrouvait le seuil de 4%.Côté entreprises, l’action du spécialiste des véhicules électriques Tesla a pris 2,28% à 448,98 dollars. En début de journée, le groupe du milliardaire Elon Musk avait été plombé par la chute de son bénéfice net au troisième trimestre (-37%), en raison d’une hausse des dépenses opérationnelles et par les droits de douane. Le groupe pétrochimique américain Dow (+12,95% à 24,51 dollars) a profité de l’annonce d’un bénéfice net de 62 millions de dollars au 3T, après trois trimestres de perte.Les marchés s’attendaient à une nouvelle perte, cette fois de 269 millions de dollars.Le spécialiste des serveurs et des infrastructures d’informatique à distance Super Micro Computer (-8,72% à 47,92 dollars) a souffert d’un abaissement de ses prévisions pour le premier trimestre de son exercice décalé. L’entreprise s’attend à réaliser un chiffre d’affaires d’environ 5 milliards de dollars alors qu’elle tablaient auparavant sur plus de 6 milliards.






