Succès d’audience pour le retour d'”Intervilles”, malgré des critiques

Le retour d'”Intervilles” a attiré plus de 3,3 millions de téléspectateurs jeudi soir sur France 2, en tête des audiences à cet horaire-là, selon les chiffres de Médiamétrie publiés vendredi.De 21h10 à 23h25, le jeu produit et coprésenté par Nagui a réalisé 22% de part d’audience, ce qui veut dire que près d’un téléspectateur sur quatre le regardait.Créé en 1962 par Guy Lux, ce programme phare des étés hexagonaux a été relancé pour quatre soirées par France Télévisions, alors qu’il n’était plus diffusé sous une forme pérenne depuis 2009.Jeudi soir, Nagui était entouré d’une équipe d’animateurs: Valérie Bègue, Camille Cerf, Magali Ripoll, Bruno Guillon et Yoann Riou (qui a arbitré).Malgré ce succès d’audience, le premier numéro d'”Intervilles” a reçu des critiques nourries sur le réseau social X. Certains internautes y éreintaient les décors, jugés décevants, l’absence des vachettes emblématiques des versions précédentes ou le nouveau générique, et reprochaient à l’émission un manque de rythme.Ce retour était “un peu poussif”, a jugé le journal Le Parisien/Aujourd’hui en France, en estimant qu’il était destiné aux “âmes d’enfant seulement”.Traditionnellement, chaque numéro oppose deux villes à travers une série de défis physiques loufoques inspirés des fêtes de village, consistant par exemple à traverser des pistes savonneuses ou à monter une pente à la force des bras.Jeudi soir, Coulanges-lès-Nevers (Nièvre) a battu Beauvais (Oise). La prochaine soirée, jeudi 10 juillet, opposera Gap (Hautes-Alpes) à Bourgoin-Jallieu (Isère).

Municipales à Paris: les ministres Dati et Haddad lancent l’union des LR et macronistes

Candidate à Paris, la ministre de la Culture Rachida Dati a plaidé vendredi pour l’union de la droite et des macronistes dans la capitale en vue des municipales, aux côtés de son collègue Renaissance Benjamin Haddad, dont le parti n’a toutefois pas officiellement arrêté une position sur le sujet.”Les Parisiens ont envie d’alternance, ils veulent que ça change. Alors si on perd demain, ce sera de notre faute car on se sera saboté”, a lancé Mme Dati devant quelques dizaines de militants LR et Renaissance réunis au petit matin dans un café du XVIe arrondissement.”On a une responsabilité d’union. On a un socle idéologique commun”, a-t-elle insisté.A ses côtés, le ministre des Affaires européennes, Benjamin Haddad, acquiesce, martelant deux mots, “rassemblement” et “unité”, et dénonçant “le sectarisme”.A neuf mois des municipales, il n’est cependant pas acquis que les macronistes se rangent d’un bloc derrière Mme Dati. Même si cette ex-ministre de Nicolas Sarkozy jure “loyauté et reconnaissance” éternelles à Emmanuel Macron, qu’elle a rejoint début 2024, subsistent des séquelles de la campagne au couteau en 2020 contre la candidate du camp présidentiel Agnès Buzyn. Sans compter les affaires judiciaires qui lestent la candidature de Mme Dati, même si celle-ci a affirmé crânement vendredi être “très tranquille” sur le sujet et n’avoir “peur de rien”.”Rachida (Dati) est une warrior (combattante, NDLR)”, observe M. Haddad pour qui celle qui a été élue à trois reprises maire du VIIe arrondissement “est la mieux placée” pour 2026.Renaissance n’a cependant pas encore tranché sa stratégie pour Paris, alors qu’une frange des militants, notamment dans le noyau historique, pourrait soutenir le candidat Horizons Pierre-Yves Bournazel, qui a lancé sa campagne début juin. Une décision doit être prise d’ici à la fin de l’été sur le sujet.Mais flotte l’idée que Mme Dati a déjà obtenu l’aval de M. Macron: dans des extraits sonores diffusés début juin par France 2, la ministre de la Culture affirme à des élus parisiens LR avoir eu “l’assurance” du président d’être le “candidat unique” à Paris.Vendredi, Mme Dati a affirmé “parler et voir très régulièrement” le patron de Renaissance Gabriel Attal. “On n’a aucun intérêt à s’entraver”, a-t-elle insisté. La ministre a plutôt réservé ses banderilles pour un autre LR: le sénateur Francis Szpiner, candidat à l’investiture des LR pour les municipales. “Il est fébrile”, “dans l’attaque et la surréaction”, a raillé Mme Dati.

Russia becomes first country to recognise Taliban govt

Afghanistan’s government said on Thursday that Russia had become the first country to officially recognise its rule, calling it a “brave decision”.The Taliban swept back to power in 2021 after ousting the foreign-backed government and have imposed an austere version of Islamic law. They have keenly sought official international recognition and investment, as the country recovers from four decades of war, including the Soviet invasion from 1979 to 1989.The announcement was made after Afghanistan’s Foreign Minister Amir Khan Muttaqi met with Russia’s ambassador to Afghanistan, Dmitry Zhirnov, in Kabul on Thursday.”This brave decision will be an example for others… Now that the process of recognition has started, Russia was ahead of everyone,” Muttaqi said in a video of the meeting on X. “Russia is the first country which has officially recognised the Islamic Emirate,” Taliban foreign ministry spokesman Zia Ahmad Takal told AFP, using the government’s name for their administration. Muttaqi said it was “a new phase of positive relations, mutual respect, and constructive engagement”, the foreign ministry posted on X. Russia’s foreign ministry added on Telegram: “We believe that the act of official recognition of the Islamic Emirate of Afghanistan will boost the development of productive bilateral cooperation between our countries in several areas.” It highlighted potential “commercial and economic” cooperation in “energy, transportation, agriculture and infrastructure”. The ministry said that Moscow hoped to continue helping Kabul “reinforce regional security and fight against the threats of terrorism and drug-trafficking”.Russia has taken recent steps to normalise relations with the Taliban authorities, removing them from a list of “terrorist organisations” in April and accepting a Taliban ambassador in Moscow.In July 2024, Russian President Vladimir Putin called the Taliban “allies in the fight against terrorism”.Russia was the first country to open a business representative office in Kabul after the Taliban takeover, and has announced plans to use Afghanistan as a transit hub for gas heading to Southeast Asia. – ‘Allies’ -Only Saudi Arabia, Pakistan and the United Arab Emirates recognised the Taliban during their first stint in power from 1996 to 2001. This time, multiple other states, including China and Pakistan, have accepted Taliban ambassadors in their capitals, but have not officially recognised the Islamic Emirate since the end of the then-insurgency’s two-decade war with US-led NATO troops. There has been limited but growing engagement with the Taliban authorities, particularly from regional neighbours, but also major global players China and Russia.China on Friday said it welcomed Russia’s decision.”As a traditional friendly neighbour of Afghanistan, the Chinese side has always believed that Afghanistan should not be excluded from the international community,” foreign ministry spokeswoman Mao Ning said.However, restrictions on women and girls, barring them from education and squeezing them from public life, have been key sticking points for Western nations. Multiple Afghan women activists were quick to condemn Russia’s recognition. The move “legitimizes a regime that bans girls from education, enforces public floggings, and shelters UN-sanctioned terrorists”, said Mariam Solaimankhil, former member of Afghanistan’s parliament. “The move signals that strategic interests will always outweigh human rights and international law.”Senior Taliban figures remain under international sanctions, including by the United Nations. Another former MP in Kabul, Fawzia Koofi, said any recognition of the Taliban “will not bring peace it will legitimize impunity” and “risk endangering not just the people of Afghanistan, but global security”.

Cap vers le nord pour Air France-KLM, en piste pour prendre le contrôle de SAS

Le groupe aérien Air France-KLM entend consolider ses positions dans le nord de l’Europe et vise le contrôle de la compagnie scandinave SAS, dont il est actionnaire depuis 2024.Le groupe franco-néerlandais a annoncé vendredi avoir entamé “le processus en vue d’une prise de participation majoritaire dans le capital” de la compagnie scandinave, dont il est déjà l’un des principaux actionnaires.”Air France-KLM prévoit de porter sa participation au capital de SAS de 19,9% actuellement à 60,5%, en acquérant l’intégralité des parts détenues par Castlelake et Lind Invest”, a annoncé le groupe.Avec cette acquisition, il compte accentuer sa présence à Copenhague, au Danemark, pour y créer un troisième hub après ceux de Paris-Charles de Gaulle et Amsterdam-Schiphol (Pays-Bas).Le groupe était entré à l’été 2024 au capital de la compagnie scandinave, fragilisée notamment par l’épidémie de Covid-19, et avait initié une coopération entre Air France-KLM et SAS, reposant sur des accords élargis de partage de codes et de commercialisation interligne.Cette coopération avait été renforcée par l’entrée de SAS dans l’alliance de compagnies aériennes SkyTeam. Air France-KLM n’avait alors pas fait mystère de ses intentions d'”augmenter sa participation de manière à devenir un actionnaire de contrôle après un minimum de deux ans”.”Sous réserve de l’obtention des autorisations réglementaires requises et de la levée des conditions suspensives, l’objectif est de finaliser l’opération au deuxième semestre 2026″, a indiqué le groupe, pour qui ce projet “reflète le succès de la restructuration de SAS et les résultats positifs de la coopération commerciale initiée en 2024”.Air France-KLM vise “l’ensemble des parts détenues par Castlelake et Lind Invest, portant ainsi sa propre participation dans SAS à 60,5%”, alors que l’État danois conserverait sa participation de 26,4% ainsi que ses sièges au sein du conseil d’administration, a-t-on précisé de même source. – L’État danois toujours là -La valeur de l’investissement envisagé n’a pas été détaillée. Elle serait déterminée “au moment de la finalisation de l’opération, sur la base des dernières performances financières de SAS – incluant l’Ebitda (excédent brut d’exploitation) et la dette nette. Cette opération serait alignée avec les perspectives financières du groupe à moyen terme”, selon Air France-KLM.Lors de son entrée au capital, Air France-KLM avait précisé avoir finalisé l’acquisition de ses 19,9% pour 144,5 millions de dollars (123 millions d’euros).En cas de succès de l’acquisition de cette participation majoritaire, SAS deviendrait une filiale du groupe, qui table sur des “synergies grâce à une intégration dans l’ensemble des domaines d’activité, y compris les programmes de fidélité, et au-delà des seules fonctions commerciales”. L’ensemble franco-néerlandais détiendrait la majorité des sièges au sein du conseil d’administration de la compagnie aérienne. Le directeur général d’Air France, Benjamin Smith, s’est réjoui “à l’idée d’accueillir SAS en tant que membre à part entière de la famille Air France-KLM”.”SAS affiche d’excellentes performances à la suite de sa restructuration réussie, et nous sommes convaincus que son potentiel continuera de croître grâce à une intégration plus poussée au sein du groupe, a ajouté M. Smith, cité dans le communiqué. SAS a réalisé en 2024 un chiffre d’affaires de 4,1 milliards d’euros, transportant sur la période quelque 25 millions de passagers.Air France-KLM a parallèlement réalisé un chiffre d’affaires de 31,5 milliards d’euros et transporté quelque 98 millions de passagers.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Inde: les inondations liées à la mousson font au moins 69 morts

Les inondations et les glissements terrain qui accompagnent le début de la mousson estivale dans le nord de l’Inde ont causé la mort d’au moins 69 personnes ces deux dernières semaines, a-t-on appris vendredi auprès des autorités.Des centaines de personnes meurent chaque année pendant la saison des pluies dans le pays le plus peuplé de la planète, avec 1,4 milliard d’habitants.Inondations et glissements de terrain liés à la pluie sont fréquents dans toute l’Asie du Sud, mais les experts affirment que le changement climatique en accroît la fréquence et la gravité.Dans le seul Etat de l’Himachal Pradesh (nord), les fortes précipitations des derniers jours ont rapidement gonflé le débit des rivières qui prennent leur source dans l’Himalaya.Un bilan provisoire publié vendredi par les autorités locales fait état d’un total de 69 morts et 110 blessés au cours des quinze derniers jours.Les services météorologiques indiens ont émis jeudi une alerte aux “fortes, voire très fortes précipitations” pour les cinq prochains jours dans l’Himachal Pradesh et l’Etat voisin de l’Uttarakhand, très prisé des touristes.D’autres inondations meurtrières ont été signalées ces dernières semaines dans les Etats du Gujarat (nord-ouest) et du nord-est du pays. La mousson, qui s’étend de juin à septembre, apporte à l’Asie du Sud 70% à 80% de ses précipitations annuelles et s’avère vitale pour l’agriculture et pour la sécurité alimentaire d’une région qui compte deux milliards d’habitants.

Inde: les inondations liées à la mousson font au moins 69 morts

Les inondations et les glissements terrain qui accompagnent le début de la mousson estivale dans le nord de l’Inde ont causé la mort d’au moins 69 personnes ces deux dernières semaines, a-t-on appris vendredi auprès des autorités.Des centaines de personnes meurent chaque année pendant la saison des pluies dans le pays le plus peuplé de la planète, avec 1,4 milliard d’habitants.Inondations et glissements de terrain liés à la pluie sont fréquents dans toute l’Asie du Sud, mais les experts affirment que le changement climatique en accroît la fréquence et la gravité.Dans le seul Etat de l’Himachal Pradesh (nord), les fortes précipitations des derniers jours ont rapidement gonflé le débit des rivières qui prennent leur source dans l’Himalaya.Un bilan provisoire publié vendredi par les autorités locales fait état d’un total de 69 morts et 110 blessés au cours des quinze derniers jours.Les services météorologiques indiens ont émis jeudi une alerte aux “fortes, voire très fortes précipitations” pour les cinq prochains jours dans l’Himachal Pradesh et l’Etat voisin de l’Uttarakhand, très prisé des touristes.D’autres inondations meurtrières ont été signalées ces dernières semaines dans les Etats du Gujarat (nord-ouest) et du nord-est du pays. La mousson, qui s’étend de juin à septembre, apporte à l’Asie du Sud 70% à 80% de ses précipitations annuelles et s’avère vitale pour l’agriculture et pour la sécurité alimentaire d’une région qui compte deux milliards d’habitants.

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Quinze morts dans une vague de froid record en Argentine, Chili et Uruguay

Une vague de froid record frappe l’Argentine, le Chili et l’Uruguay, causant la mort d’au moins 15 personnes et obligeant les gouvernements à restreindre l’approvisionnement en gaz et à déclencher des plans d’hébergement d’urgence. Une masse d’air polaire venant de l’Antarctique balaie la région, faisant baisser les températures nettement sous les 0°C dans les trois pays d’Amérique du Sud.En Argentine, au moins neuf sans-abri sont décédés à cause du froid durant cet hiver, selon l’ONG Proyecto 7.A Buenos Aires, les températures sont descendues à -1,9°C mercredi, son plus bas niveau depuis 34 ans. Des coupures de courant provoquées par une forte demande ont laissé des milliers de personnes sans électricité pendant plus de 24 heures dans certaines zones. Ailleurs en Argentine, la neige a recouvert des plages atlantiques comme celle de Miramar (450 km de Buenos Aires) tandis que la petite localité patagonienne de Maquinchao a enregistré -18°C mardi. Le gouvernement argentin a suspendu l’approvisionnement en gaz des industries et des stations-service mercredi afin d’assurer l’alimentation en gaz des foyers.L’Uruguay, où les températures sont descendues en dessous de zéro dans certaines régions,  a décrété une “alerte rouge” à l’échelle nationale après la mort de six personnes, permettant ainsi au gouvernement de déplacer de force des sans-abri vers des centres d’hébergement. A Montevideo, les températures ont atteint un maximum de 5,8°C le 30 juin, son plus bas depuis 1967, selon le météorologiste Mario Bidegain. Le Chili a également activé des plans d’hébergement pour les sans-abri pendant les journées les plus froides. La ville de Chillan, à 400 kilomètres au sud de Santiago, a enregistré -9,3 °C, selon la direction météorologique chilienne.La neige est tombée dans certaines parties du désert d’Atacama, le plus sec du monde, pour la première fois depuis une décennie.”Ce qui s’est passé cette semaine au Chili et dans le Cône sud de l’Amérique plus largement est une vague de froid causée par la fuite d’une masse d’air polaire provenant de l’Antarctique”, a déclaré le climatologue Raul Cordero, de l’université de Santiago, à l’AFP.La situation dans la région devrait s’améliorer dans les jours à venir. 

Markets struggle as Trump warns tariff letters to be sent soon

Most equities fell Friday as Donald Trump’s deadline to avert his steep tariffs approached, with the US president saying he planned to start sending letters informing trading partners of their rates.Uncertainty leading up to next week’s cut-off tempered the positive lead from another record on Wall Street, where a forecast-busting US jobs report soothed worries about the world’s top economy.Governments around the world have fought to hammer out deals with Washington ahead of the July 9 deadline, set after Trump unveiled a blitz of levies in early April.He and his top officials have said several were in the pipeline, but only Britain and Vietnam have signed pacts while China has agreed to a framework for it and the United States to slash tit-for-tat tolls and ship certain products.While negotiators continue to seek ways to avert the worst of the White House’s measures, Trump warned Thursday he would soon be issuing notices to capitals.”My inclination is to send a letter out and say what tariff they’re going to be paying,” he told reporters. “It’s just much easier.”He added: “We’re going to be sending some letters out, starting probably tomorrow, maybe 10 a day to various countries saying what they’re going to pay to do business with the US.”The prospect that trading partners from Japan and South Korea to India and Taiwan could be hit with stiff tariffs fuelled fresh worries about the global economy.Hong Kong extended a recent losing streak, with Seoul, Singapore, Taipei, Mumbai, Bangkok, Jakarta and Manila also falling.London, Paris and Frankfurt fell at the open.Still, Tokyo edged up with Shanghai, Sydney and Wellington.Traders were unable to pick up the baton from their New York colleagues, who sent the S&P 500 and Nasdaq to more record closes ahead of the Independence Day break.Those gains followed data showing the US economy topped expectations to add 147,000 jobs in June while unemployment dipped to 4.1 percent from 4.2 percent, which was also better than estimated.The reading was taken as a sign the labour market remained in rude health despite warnings about the impact of Trump’s tariffs.It also dented hopes that the Federal Reserve will cut interest rates at its next meeting this month, with bets now on two reductions before the end of the year — the first likely in September.However, analysts suggested that all was not what it seemed, pointing to softness in the private sector.”We think that private-sector hiring has stalled, and we may see sporadic layoffs in some industries in the coming months,” warned analysts at MUFG.”Despite the unemployment rate having fallen… the flow of potential workers that remained out of the labour force rose sharply in June (and over 750k have dropped out of the labor force over the past two months), further highlighting the weak hiring environment. “We continue to view labour demand as being fundamentally weak relative to the past several years.”The passage of Trump’s “Big, Beautiful Bill” also left investors in a quandary as they weighed the extension of huge tax cuts and less spending with forecasts that it will add around $3 trillion to the already ballooning national debt.Still, it included a $5 trillion increase in the debt limit, removing the risk the country could default on its bond payments.- Key figures at around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 0.1 percent at 39,810.88 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.6 percent at 23,916.06 (close)Shanghai – Composite: UP 0.3 percent at 3,472.32 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 8,801.21Euro/dollar: UP at $1.1773 from $1.1755 on ThursdayPound/dollar: UP at $1.3664 from $1.3642Dollar/yen: DOWN at 144.38 yen from 145.06 yenEuro/pound: UP at 86.17 pence from 86.14 penceWest Texas Intermediate: FLAT at $67.02 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.2 percent at $68.70 per barrelNew York – S&P 500: UP 0.8 percent at 6,279.35 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 1.0 percent at 20,601.10 (close)