US says Trump has ‘final call’ on China trade truce

China and the United States agreed Tuesday to hold further talks on extending their tariff truce, but a top US trade official stressed that President Donald Trump would make any “final call.”The world’s top two economies met for a second day of negotiations in Stockholm, with both sides seeking to avert tariffs from returning to sky-high levels that had ground trade between the rivals to an effective standstill.The meeting in a Swedish government building, led on the Chinese side by Vice Premier He Lifeng and Treasury Secretary Scott Bessent for the Americans, ended without a resolution but with the US side voicing optimism.Neither government has made public any details from the talks, which started on Monday, although US Trade Representative Jamieson Greer said Trump would have the “final call” on any extension in the truce.”Nothing has been agreed until we speak with President Trump,” added Bessent, calling the tone of the talks “very constructive”.The negotiations are taking place in the wake of a trade deal struck over the weekend that set US tariffs on most European Union imports at 15 percent, but none on American goods going to the EU.The truce between China and the United States has temporarily set fresh US duties on Chinese goods at 30 percent, while Chinese levies on trade in the other direction stand at 10 percent.That accord, reached in Geneva in May, brought down triple-digit tariffs each side had levelled at the other after a trade war sparked by Trump spiralled into a tit-for-tat bilateral escalation.The 90-day truce is meant to end on August 12. But there are indications both delegations want to use the Stockholm talks to push the date back further.The South China Morning Post, citing sources on both sides, reported on Sunday that Washington and Beijing are expected to extend their tariff pause by a further 90 days.Trump said he would be briefed again by Bessent on Wednesday. “We’ll either approve it or not,” he told reporters aboard Air Force One as he returned from Scotland.- Trump’s threats -Separately, Trump has threatened to hit dozens of other countries with stiffer tariffs from Friday this week unless they reach trade deals with Washington.Among them are Brazil and India, with the South American giant facing a threat of 50 percent tariffs.Asked about Friday’s deadline, Bessent told CNBC: “It’s not the end of the world if these snapback tariffs are on for anywhere from a few days to a few weeks, as long as the countries are moving forward and trying to negotiate in good faith.”Trump has already announced deal outlines with five countries — Britain, Vietnam, Japan, Indonesia and the Philippines — as well as the one with the 27-nation EU.Beijing says it wants to see “reciprocity” in its trade with the United States. Foreign ministry spokesman Guo Jiakun said dialogue was needed “to reduce misunderstandings”.The previous round of China-US talks was held in London.Analysts said many of the trade deals Trump has been publicising were leaning more on optics than on details.Stephen Innes, managing partner at SPI Asset Management, a firm that advises on currency exchange and commodities, said an extension of the 90-day truce between China and the United States could reinforce that view.”That truce could set the stage for a Trump – (President) Xi (Jinping) handshake later this year — another risk-on carrot for markets to chew,” he said.

Ukraine: au moins 25 morts dans des frappes russe, Trump précise son ultimatum

Au moins 25 civils, dont une femme enceinte et une quinzaine de personnes détenues dans une colonie pénitentiaire, ont été tués en Ukraine dans des frappes russes au cours de la nuit de lundi à mardi, quelques heures après un nouvel ultimatum de Donald Trump à Vladimir Poutine.Plus de 70 personnes ont en outre été blessées dans ces frappes, ont aussi annoncé les autorités.Donald Trump a prévenu mardi que son ultimatum à Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre arriverait à échéance dans dix jours. De retour d’Ecosse, le président américain a précisé à des journalistes, à bord de son avion Air Force One, que le délai accordé lundi à Moscou pour mettre un terme au conflit était de “dix jours à partir d’aujourd’hui” (mardi), sans quoi les Etats-Unis prendront des sanctions contre la Russie.”Il n’y a aucune raison d’attendre. Nous ne voyons aucun progrès”, avait-il justifié, évoquant l’imposition de “droits de douane et d’autres choses”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé quant à lui sur les réseaux sociaux l’attaque sur l’établissement pénitentiaire de la région de Zaporijjia (sud), estimant qu'”il s’agissait d’une frappe délibérée, intentionnelle” et que “les Russes ne pouvaient ignorer qu’ils y visaient des civils”.- Seize morts dans une prison -Le Kremlin a démenti, par la voix de son porte-parole Dmitri Peskov, s’en prendre à “des cibles civiles”, affirmant que l’armée russe n’effectuait des bombardements que “sur des infrastructures militaires ou liées à l’armée”.Nadiïa, une habitante de Bilenke, a eu sa maison endommagée par l’attaque. “A six heures moins dix, un voisin m’a appelée et m’a dit: +Venez vite, votre toit a disparu+ (…). Pas une seule fenêtre n’est intacte”, a raconté cette femme de 74 ans à l’AFP.Les journalistes de l’AFP sur place ont vu des bâtiments en ruine, des briques éparpillées sur le sol et des salles aux plafonds éventrés.Le chef de l’administration régionale, Ivan Fedorov, a souligné que la Russie avait procédé à huit frappes aériennes sur la région de Zaporijjia, dont une a touché la prison, où 16 personnes ont été tuées et 43 blessées.Cette frappe a eu lieu trois ans jour pour jour après une attaque aérienne contre la prison d’Olenivka dans une partie de la région ukrainienne orientale de Donetsk sous occupation russe, dans laquelle de nombreux prisonniers ukrainiens avaient péri. Kiev et Moscou s’en étaient rejeté la responsabilité.- “Crimes de guerre” -“Poutine rejette un cessez-le-feu, évite une réunion des dirigeants et prolonge la guerre”, a réagi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga, appelant à priver la Russie de son “budget de guerre”.”Le régime de Poutine, qui profère également des menaces contre les Etats-Unis par l’intermédiaire de certains de ses porte-parole, doit faire face à des mesures économiques et militaires qui le privent de la capacité de faire la guerre”, a plaidé le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak.Un haut responsable ukrainien a déclaré à l’AFP que 274 personnes, toutes ukrainiennes, étaient enfermées dans la prison, à l’intérieur de laquelle travaillaient alors 30 employés, et qu’aucun prisonnier de guerre russe ne s’y trouvait.Le médiateur ukrainien chargé des droits humains, Dmytro Loubinets, a dénoncé mardi sur X une “violation flagrante du droit humanitaire international” et une “nouvelle preuve des crimes de guerre commis par la Russie”.Les détenus “ne perdent pas leur droit à la vie et à la protection”, a-t-il martelé.La mission de surveillance des droits humains de l’ONU en Ukraine a rappelé dans un communiqué que les prisons n’étaient pas des infrastructures militaires et que les prisonniers étaient des civils qui devaient “être protégés par le droit humanitaire international”.- Le Kremlin “prend note” -L’armée de l’air ukrainienne a dit avoir fait face au total dans la nuit de lundi à mardi à deux missiles et 37 drones ou leurres, dont 32 ont été abattus. Un nombre plus faible que d’habitude alors que la Russie intensifie ses frappes ces derniers mois, étant capable de tirer plus de 500 engins par nuit.Le président ukrainien a accusé les militaires russes d’avoir tiré sur un hôpital de la ville de Kamianske, dans la région de Dnipropetrovsk (centre), y provoquant la mort de trois personnes dont une femme enceinte de 23 ans, et en blessant 22.D’autres attaques russes ont fait six morts dans la région de Kharkiv (nord-est), ont fait savoir les autorités.Dans ce contexte, les forces ukrainiennes manquant d’effectifs pour combattre les Russes, Volodymyr Zelensky a promulgué mardi une loi qui autorise le recrutement des personnes âgées de plus de 60 ans.En Russie, une personne a été tuée dans la nuit de lundi à mardi dans la région de Rostov (sud-ouest) au cours d’une attaque de drones ukrainiens, a annoncé le gouverneur régional Iouri Slioussar.Malgré ces nouvelles frappes meurtrières en Ukraine, le Kremlin a assuré mardi maintenir son “engagement en faveur d’un processus de paix”, déclarant également avoir “pris note” de l’ultimatum de Donald Trump.M. Peskov a toutefois affirmé que la Russie entendait continuer à “préserver (ses) intérêts”. Elle réclame notamment à l’Ukraine qu’elle lui cède quatre de ses régions, en plus de la Crimée annexée en 2014, et renonce à adhérer à l’Otan.Les dernières négociations directes entre Russes et Ukrainiens à Istanbul la semaine dernière avaient duré moins d’une heure, ne débouchant, comme les fois précédentes, que sur un accord d’échange de prisonniers et de corps de soldats tués.Le Kremlin a également regretté un “ralentissement” de la normalisation des relations entre Washington et Moscou.

Ukraine: au moins 25 morts dans des frappes russe, Trump précise son ultimatum

Au moins 25 civils, dont une femme enceinte et une quinzaine de personnes détenues dans une colonie pénitentiaire, ont été tués en Ukraine dans des frappes russes au cours de la nuit de lundi à mardi, quelques heures après un nouvel ultimatum de Donald Trump à Vladimir Poutine.Plus de 70 personnes ont en outre été blessées dans ces frappes, ont aussi annoncé les autorités.Donald Trump a prévenu mardi que son ultimatum à Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre arriverait à échéance dans dix jours. De retour d’Ecosse, le président américain a précisé à des journalistes, à bord de son avion Air Force One, que le délai accordé lundi à Moscou pour mettre un terme au conflit était de “dix jours à partir d’aujourd’hui” (mardi), sans quoi les Etats-Unis prendront des sanctions contre la Russie.”Il n’y a aucune raison d’attendre. Nous ne voyons aucun progrès”, avait-il justifié, évoquant l’imposition de “droits de douane et d’autres choses”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé quant à lui sur les réseaux sociaux l’attaque sur l’établissement pénitentiaire de la région de Zaporijjia (sud), estimant qu'”il s’agissait d’une frappe délibérée, intentionnelle” et que “les Russes ne pouvaient ignorer qu’ils y visaient des civils”.- Seize morts dans une prison -Le Kremlin a démenti, par la voix de son porte-parole Dmitri Peskov, s’en prendre à “des cibles civiles”, affirmant que l’armée russe n’effectuait des bombardements que “sur des infrastructures militaires ou liées à l’armée”.Nadiïa, une habitante de Bilenke, a eu sa maison endommagée par l’attaque. “A six heures moins dix, un voisin m’a appelée et m’a dit: +Venez vite, votre toit a disparu+ (…). Pas une seule fenêtre n’est intacte”, a raconté cette femme de 74 ans à l’AFP.Les journalistes de l’AFP sur place ont vu des bâtiments en ruine, des briques éparpillées sur le sol et des salles aux plafonds éventrés.Le chef de l’administration régionale, Ivan Fedorov, a souligné que la Russie avait procédé à huit frappes aériennes sur la région de Zaporijjia, dont une a touché la prison, où 16 personnes ont été tuées et 43 blessées.Cette frappe a eu lieu trois ans jour pour jour après une attaque aérienne contre la prison d’Olenivka dans une partie de la région ukrainienne orientale de Donetsk sous occupation russe, dans laquelle de nombreux prisonniers ukrainiens avaient péri. Kiev et Moscou s’en étaient rejeté la responsabilité.- “Crimes de guerre” -“Poutine rejette un cessez-le-feu, évite une réunion des dirigeants et prolonge la guerre”, a réagi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga, appelant à priver la Russie de son “budget de guerre”.”Le régime de Poutine, qui profère également des menaces contre les Etats-Unis par l’intermédiaire de certains de ses porte-parole, doit faire face à des mesures économiques et militaires qui le privent de la capacité de faire la guerre”, a plaidé le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak.Un haut responsable ukrainien a déclaré à l’AFP que 274 personnes, toutes ukrainiennes, étaient enfermées dans la prison, à l’intérieur de laquelle travaillaient alors 30 employés, et qu’aucun prisonnier de guerre russe ne s’y trouvait.Le médiateur ukrainien chargé des droits humains, Dmytro Loubinets, a dénoncé mardi sur X une “violation flagrante du droit humanitaire international” et une “nouvelle preuve des crimes de guerre commis par la Russie”.Les détenus “ne perdent pas leur droit à la vie et à la protection”, a-t-il martelé.La mission de surveillance des droits humains de l’ONU en Ukraine a rappelé dans un communiqué que les prisons n’étaient pas des infrastructures militaires et que les prisonniers étaient des civils qui devaient “être protégés par le droit humanitaire international”.- Le Kremlin “prend note” -L’armée de l’air ukrainienne a dit avoir fait face au total dans la nuit de lundi à mardi à deux missiles et 37 drones ou leurres, dont 32 ont été abattus. Un nombre plus faible que d’habitude alors que la Russie intensifie ses frappes ces derniers mois, étant capable de tirer plus de 500 engins par nuit.Le président ukrainien a accusé les militaires russes d’avoir tiré sur un hôpital de la ville de Kamianske, dans la région de Dnipropetrovsk (centre), y provoquant la mort de trois personnes dont une femme enceinte de 23 ans, et en blessant 22.D’autres attaques russes ont fait six morts dans la région de Kharkiv (nord-est), ont fait savoir les autorités.Dans ce contexte, les forces ukrainiennes manquant d’effectifs pour combattre les Russes, Volodymyr Zelensky a promulgué mardi une loi qui autorise le recrutement des personnes âgées de plus de 60 ans.En Russie, une personne a été tuée dans la nuit de lundi à mardi dans la région de Rostov (sud-ouest) au cours d’une attaque de drones ukrainiens, a annoncé le gouverneur régional Iouri Slioussar.Malgré ces nouvelles frappes meurtrières en Ukraine, le Kremlin a assuré mardi maintenir son “engagement en faveur d’un processus de paix”, déclarant également avoir “pris note” de l’ultimatum de Donald Trump.M. Peskov a toutefois affirmé que la Russie entendait continuer à “préserver (ses) intérêts”. Elle réclame notamment à l’Ukraine qu’elle lui cède quatre de ses régions, en plus de la Crimée annexée en 2014, et renonce à adhérer à l’Otan.Les dernières négociations directes entre Russes et Ukrainiens à Istanbul la semaine dernière avaient duré moins d’une heure, ne débouchant, comme les fois précédentes, que sur un accord d’échange de prisonniers et de corps de soldats tués.Le Kremlin a également regretté un “ralentissement” de la normalisation des relations entre Washington et Moscou.

Boeing reports smaller loss as CEO sees progress in turnaround

Boeing reported a smaller loss in the second quarter Tuesday after the company delivered more planes, with its CEO pointing to signs of stabilization in operations.The aviation giant reported a loss of $697 million, compared with a loss of $1.4 billion in the year-ago period. Revenues rose 34.9 percent to $22.7 billion, topping analyst estimates.Boeing delivered the most planes in a second quarter, or in the first half of a year, since 2018, reflecting efforts to improve its quality control operations following a number of safety problems.Boeing reaffirmed plans to seek a production increase this year for the 737 MAX from US regulators.That Federal Aviation Administration (FAA) approval stands as a key goalpost in Boeing’s turnaround following a January 2024 Alaska Airlines flight that saw a window panel blow out mid-flight.Chief Executive Kelly Ortberg, who joined the company last August, said he was heartened by the progress but that more work is needed.”It’s turning a big ship around,” Ortberg said on a conference call with analysts. “I think we’re turning it. I don’t think it’s turned. We still have a lot of work to do.”Executives expressed confidence that Boeing would be cashflow positive by the fourth quarter. But Chief Financial Officer Brian West said Boeing’s third quarter cash position could be negatively impacted by a one-time $700 million payment connected to a Department of Justice agreement.The funds are associated with a settlement of a US criminal case related to two fatal 737 MAX crashes in 2018 and 2019.Boeing has previously said it expected to be cashflow positive in the second half of 2025.The aviation giant has registered annual losses the last six years, with the setbacks from the MAX crashes followed by the pandemic downturn.West told analysts a cash burn of $3 billion was a reasonable estimate for all of 2025.- Certification challenge -Boeing increased production on the 737 MAX to 38 per month during the quarter. Ortberg declined to estimate when the FAA would approve a rate increase to 42 per month, but said the company would be working on the project in the third quarter.Production of the company’s other top-selling jet, the 787 Dreamliner, now stands at seven per month, up from five earlier in the year.Boeing has resumed deliveries to Chinese carriers after they were halted at the height of the trade conflict earlier this year between Washington and Beijing. The two countries have suspended their most onerous tariffs and are now working on a deal, with talks ongoing in Stockholm on Tuesday.In a letter to employees, Ortberg said the certification of the 737-7 and 737-10 models is taking longer than previously expected due to challenges with anti-ice mechanisms on the plane. “Progress on this solution has taken longer than we expected and we now anticipate that certification for the airplanes will take place next year,” Ortberg said in the letter.On the conference call, Ortberg said the issue was in a “very delicate area” around the engines. Reworking the design has taken longer than expected, he said.Ortberg sought to reassure analysts after workers with the International Association of Machinists and Aerospace Workers in St. Louis voted down a contract earlier this week, setting the stage for a potential strike early next month.Ortberg noted that the St. Louis operation, part of Boeing’s defense business, involves 3,200 employees, compared with roughly 30,000 machinists in the Seattle area who went on strike last fall.”I wouldn’t worry too much about the implications of the strike,” Ortberg said. “We’ll manage our way through that.”Shares of Boeing fell 3.7 percent in afternoon trading.

Lithium: les réserves d’un gisement dans l’Allier revues en hausse par Imerys

Imerys a confirmé mardi l’intérêt de l’exploitation du gisement minier de lithium de Beauvoir dans l’Allier, dont les réserves sont supérieures à ce qui était attendu initialement, mais le groupe a reculé la date de mise en exploitation à 2030 en raison notamment de la faiblesse actuelle des cours du lithium.Au total, la production annuelle du site “pourrait s’élever à 34.000 tonnes d’hydroxyde de lithium” pour fournir l’industrie des batteries d’automobiles, indique l’étude de pré-faisabilité menée par le groupe avec des consultants extérieurs afin de jauger les critères économiques, technologiques et géologiques du projet d’exploitation baptisé “Emili”.Ce travail a confirmé “la solidité” des fondamentaux du projet, a déclaré le directeur financier du groupe, Sébastien Rouge, à l’AFP, en marge de la présentation des résultats semestriels du groupe.”Les campagnes de forage et les études géologiques et minières confirment que le gisement de Beauvoir dépasse largement les attentes initiales, tant en taille qu’en teneur en oxyde de lithium, avec des ressources présumées et indiquées atteignant 373 millions de tonnes à 1% de teneur en oxyde de lithium (Li2O). Les campagnes de forage ont également révélé un cÅ“ur de gisement de 69 millions de tonnes à 1,22% de Li2O”, a précisé le groupe dans un communiqué.”La taille et la qualité du gisement nous permettent désormais d’envisager 50 ans d’exploitation, alors que nous l’avions initialement estimée à +plus de 25 ans+”, a ajouté M. Rouge. Ce gisement de lithium en roche dure fait ainsi partie des “cinq premiers” à l’échelle mondiale (excluant donc tous les gisements issus de saumure, NDLR), selon lui.Il se situe derrière ceux de Manono en République démocratique du Congo (RDC), Greenbushes et Pilgangoora en Australie, et potentiellement devant celui de Cinovec en République tchèque, où l’exploitation est aussi à l’état de projet.- Recherche d’un partenaire industriel -Imerys qui attend pour la “fin du troisième trimestre” l’autorisation de construction de la première usine pilote sur le site, “accélère” aussi sa “recherche de partenaire” pour son exploitation industrielle, a indiqué M. Rouge.Selon lui, le coût d’exploitation devrait se situer entre “7 et 9 euros par kilo”, ce qui le rend “compétitif par rapport à ses concurrents”.Mais la date de mise en exploitation prévue est reculée à 2030, alors qu’Imerys parlait plutôt de 2028.”Le cours du lithium a beaucoup baissé, il est actuellement au-dessous de 10 euros du kilo, et un consensus existe pour que les cours atteignent entre 17 et 25 euros le kilo d’ici la fin de la décennie”, a expliqué M. Rouge.La baisse des cours est due à une surproduction relative du minerai par rapport aux besoins, en raison essentiellement des retards pris par la mise en place de gigafactories de batteries, notamment en Europe.Pour le premier semestre 2025, Imerys a enregistré un chiffre d’affaires et un bénéfice en baisse, du fait notamment de la vente de ses actifs liés au papier, enregistrée au 1er juillet 2024, et d’un “contexte marqué par la faiblesse persistante de l’activité industrielle en Europe et le ralentissement de l’économie nord-américaine”.Le chiffre d’affaires semestriel a reculé de 8,4% à 1,75 milliard d’euros. Le bénéfice net a lui baissé de 50,2% à 70 millions d’euros, en raison aussi d’une contribution moindre des activités en coentreprise (11 millions d’euros au 1er semestre 2025 contre 84 millions d’euros l’an passé).Pour l’année, le groupe prévoit un bénéfice ajusté avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement ebitda compris entre 540 et 580 millions d’euros “en l’absence de dégradation significative de l’environnement économique actuel”.

Lithium: les réserves d’un gisement dans l’Allier revues en hausse par Imerys

Imerys a confirmé mardi l’intérêt de l’exploitation du gisement minier de lithium de Beauvoir dans l’Allier, dont les réserves sont supérieures à ce qui était attendu initialement, mais le groupe a reculé la date de mise en exploitation à 2030 en raison notamment de la faiblesse actuelle des cours du lithium.Au total, la production annuelle du site “pourrait s’élever à 34.000 tonnes d’hydroxyde de lithium” pour fournir l’industrie des batteries d’automobiles, indique l’étude de pré-faisabilité menée par le groupe avec des consultants extérieurs afin de jauger les critères économiques, technologiques et géologiques du projet d’exploitation baptisé “Emili”.Ce travail a confirmé “la solidité” des fondamentaux du projet, a déclaré le directeur financier du groupe, Sébastien Rouge, à l’AFP, en marge de la présentation des résultats semestriels du groupe.”Les campagnes de forage et les études géologiques et minières confirment que le gisement de Beauvoir dépasse largement les attentes initiales, tant en taille qu’en teneur en oxyde de lithium, avec des ressources présumées et indiquées atteignant 373 millions de tonnes à 1% de teneur en oxyde de lithium (Li2O). Les campagnes de forage ont également révélé un cÅ“ur de gisement de 69 millions de tonnes à 1,22% de Li2O”, a précisé le groupe dans un communiqué.”La taille et la qualité du gisement nous permettent désormais d’envisager 50 ans d’exploitation, alors que nous l’avions initialement estimée à +plus de 25 ans+”, a ajouté M. Rouge. Ce gisement de lithium en roche dure fait ainsi partie des “cinq premiers” à l’échelle mondiale (excluant donc tous les gisements issus de saumure, NDLR), selon lui.Il se situe derrière ceux de Manono en République démocratique du Congo (RDC), Greenbushes et Pilgangoora en Australie, et potentiellement devant celui de Cinovec en République tchèque, où l’exploitation est aussi à l’état de projet.- Recherche d’un partenaire industriel -Imerys qui attend pour la “fin du troisième trimestre” l’autorisation de construction de la première usine pilote sur le site, “accélère” aussi sa “recherche de partenaire” pour son exploitation industrielle, a indiqué M. Rouge.Selon lui, le coût d’exploitation devrait se situer entre “7 et 9 euros par kilo”, ce qui le rend “compétitif par rapport à ses concurrents”.Mais la date de mise en exploitation prévue est reculée à 2030, alors qu’Imerys parlait plutôt de 2028.”Le cours du lithium a beaucoup baissé, il est actuellement au-dessous de 10 euros du kilo, et un consensus existe pour que les cours atteignent entre 17 et 25 euros le kilo d’ici la fin de la décennie”, a expliqué M. Rouge.La baisse des cours est due à une surproduction relative du minerai par rapport aux besoins, en raison essentiellement des retards pris par la mise en place de gigafactories de batteries, notamment en Europe.Pour le premier semestre 2025, Imerys a enregistré un chiffre d’affaires et un bénéfice en baisse, du fait notamment de la vente de ses actifs liés au papier, enregistrée au 1er juillet 2024, et d’un “contexte marqué par la faiblesse persistante de l’activité industrielle en Europe et le ralentissement de l’économie nord-américaine”.Le chiffre d’affaires semestriel a reculé de 8,4% à 1,75 milliard d’euros. Le bénéfice net a lui baissé de 50,2% à 70 millions d’euros, en raison aussi d’une contribution moindre des activités en coentreprise (11 millions d’euros au 1er semestre 2025 contre 84 millions d’euros l’an passé).Pour l’année, le groupe prévoit un bénéfice ajusté avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement ebitda compris entre 540 et 580 millions d’euros “en l’absence de dégradation significative de l’environnement économique actuel”.

I.Coast President Ouattara, 83, to seek fourth termTue, 29 Jul 2025 17:57:15 GMT

Veteran Ivory Coast President Alassane Ouattara said Tuesday he will seek a fourth term in the west African country, as tensions rise over the exclusion of many opposition candidates.Ouattara, 83, who has led Ivory Coast since 2011, will be the overwhelming favourite to win the October 25 vote.Ouattara had already been nominated by his ruling …

I.Coast President Ouattara, 83, to seek fourth termTue, 29 Jul 2025 17:57:15 GMT Read More »