Almost 100 killed as Syria sectarian clashes rage

Syrian government forces were advancing towards the southern city of Sweida on Monday amid clashes in the region between Druze fighters and Bedouin tribes that have killed nearly 100 people, according to a war monitor.As the violence escalated, Israel — which had previously warned that it would intervene in Syria to protect the Druze — said it struck “several tanks” in the area, citing security concerns.The fighting underscores the challenges facing interim leader Ahmad al-Sharaa, whose Islamist forces ousted president Bashar al-Assad in December after nearly 14 years of civil war.The Syrian Observatory for Human Rights war monitor raised its death toll to 99 killed since fighting erupted Sunday, including 60 Druze, four of them civilians, 18 Bedouin fighters, 14 security personnel and seven unidentified people in military uniforms.Syrian forces on Monday took control of the Druze village of Al-Mazraa, where Bedouin fighters were also located, an AFP correspondent said.A commander, Ezzeddine al-Shamayer, told AFP the forces “are heading toward Sweida” city.In a statement, the interior ministry declared that “army and internal security forces have moved closer to the centre” of Sweida.Israel, which has attacked Syria in the past months under the pretext of protecting the Druze, said it hit several tanks heading towards Sweida.The strikes were “a clear warning to the Syrian regime — we will not allow harm to be done to the Druze in Syria”, Israeli Defence Minister Israel Katz posted on X.Druze spiritual leaders called for calm and urged Damascus to intervene.But Sheikh Hikmat al-Hijri, one of the three Druze spiritual leaders in Sweida, expressed his “rejection of the entry” of general security forces into the province, demanding “international protection”.- Fear of massacres -Syria’s pre-war Druze population was estimated at around 700,000, many of them concentrated in Sweida province.The Druze, followers of an esoteric religion that split from Shiite Islam, are mainly found in Syria, Lebanon and Israel.Following deadly clashes with government forces in April and May, local and religious leaders reached an agreement with Damascus under which Druze fighters have been providing security in the province since May.The streets of Sweida were deserted, with an AFP photographer reporting gunfire during funerals.”We lived in a state of extreme terror — the shells were falling randomly,” said Abu Taym, a 51-year-old father in Sweida.”Traffic on the streets is paralysed, and most shops are closed.””We fear a repeat of the coastal scenario,” said Amal, 46, referring to the March massacres of over 1,700 mostly Alawite civilians in Syria’s coast, where groups affiliated with the government were blamed for most of the killings.”We are not against the state, but we are against surrendering our weapons without a state that treats everyone the same,” she added, noting that she and her family escaped Sweida to a nearby village.In a post on X, Syrian Defence Minister Murhaf Abu Qasra urged his troops to “protect your fellow citizens” from “outlaw gangs” and “restore stability to Sweida”.- ‘Lack of state institutions’ -The violence began Sunday when Bedouin gunmen abducted a Druze vegetable vendor on the highway to Damascus, prompting retaliatory kidnappings.Though hostages were later released, the fighting carried on Monday outside Sweida city, with mortar fire hitting villages and dozens wounded, according to the Suwayda 24 news outlet.In a Sunday post on X, Interior Minister Anas Khattab said “the lack of state, military and security institutions is a major reason” for the ongoing tensions in Sweida.The latest bloodshed follows deadly violence in April and May, when clashes between Druze fighters and security forces in Druze-populated areas near Damascus and Sweida killed more than 100 people.The Observatory said members of Bedouin tribes, who are Sunni Muslims, had sided with security forces during earlier confrontations.Bedouin and Druze factions have a longstanding feud in Sweida, and violence occasionally erupts between the two sides.The wave of massacres in March targeting the Alawite community and the subsequent attacks on Druze areas, as well as a deadly attack on a Damascus church in June, have undermined confidence in the new Syrian authorities’ ability to protect minorities.

“Bonsoir”: Thierry Ardisson, visage impertinent de la télé, est décédé à 76 ans

“Amis de l’homme en noir, bonsoir!”: adepte des interviews et des formules choc, l’animateur et producteur Thierry Ardisson, figure impertinente et prolifique du paysage audiovisuel français, est décédé lundi à 76 ans.Star du petit écran dès les années 1980, Thierry Ardisson est mort à Paris des suites d’un cancer du foie, ont annoncé son épouse et ses enfants dans un communiqué à l’AFP.”Thierry est parti comme il a vécu. En homme courageux et libre. Avec ses enfants et les miens, nous étions unis autour de lui. Jusqu’à son dernier souffle”, a écrit sa femme, la journaliste de TF1 Audrey Crespo-Mara.Toujours tout de noir vêtu – ce qui lui a valu son surnom – et flanqué d’un éternel sourire, Ardisson a bousculé le paysage cathodique avec ses talk-shows à succès où se rendait le Tout-Paris, comme “Bains de minuit”, présenté depuis la boîte de nuit des Bains Douches à Paris, “Lunettes noires pour nuits blanches” au mythique Palace et “Rive droite / Rive gauche”, premier magazine culturel TV quotidien en France.”Thierry Ardisson imposa pendant des décennies au paysage audiovisuel français une voix, une silhouette, un style, un esprit, teinté de curiosité et d’irrévérence”, a réagi l’Elysée dans un communiqué, saluant un homme qui “contribua à écrire l’histoire de la télévision française”.- “Langage absolument nouveau” -Ses interviews cash, parfois à rebrousse-poil voire intrusives, ont établi sa réputation. L’animateur avait le sens de la formule. Certaines, comme ses “Bonsoirs” ou “Magnéto, Serge!”, restent indissociables de son personnage.”Quand je suis arrivé, il y avait à l’antenne un langage télévisuel prude et compassé. On s’est mis à parler comme dans la vie, de sexe, d’alcool et de drogue”, rembobinait l’ancien publicitaire.”Il avait un langage absolument nouveau pour la télé”, a souligné auprès de l’AFP Marie-France Brière, ancienne figure de TF1 qui le lança en 1985, ajoutant que mourir un 14-Juillet était un “pied de nez” pour un royaliste convaincu.Il a connu ses plus belles heures avec “Tout le monde en parle” sur France 2 (1998-2006) où ses questions, parfois trash, ont souvent créé le buzz.”Tellement de rires, d’engueulades aussi, parfois de silence mal compris et de rupture… Mais, à la fin, toujours la paix et ton rire reconnaissable entre tous. Ta grande capacité de travail, le soin infini avec lequel tu préparais tes célèbres fiches, tes interviews ont fait ton image à jamais”, a réagi dans un texte transmis à l’AFP la productrice Catherine Barma, qui a longtemps travaillé avec lui.Thierry Ardisson est ensuite passé aux commandes de “Salut les Terriens” (2006-2019), sur Canal+ puis C8, qu’il doit arrêter après avoir refusé d’en baisser le budget.Jamais à court de concepts, il a aussi présenté “93, Faubourg Saint-Honoré”, dîners éclectiques filmés à son domicile, sur Paris Première et brièvement “Hôtel du temps” sur France 3, où il interrogeait des stars défuntes recréées grâce aux nouvelles technologies.Né le 6 janvier 1949 à Bourganeuf (Creuse), d’un père ingénieur et d’une mère femme au foyer, Thierry Ardisson, décoré de la Légion d’honneur en 2024, a passé une partie de son enfance en Algérie, puis en internat catholique en Haute-Savoie.”L’homme en noir”, son dernier livre paru en mai, aborde son rapport à sa famille issue d’un milieu social modeste, qu’il a tout fait pour dépasser.En 2020, c’est la consécration avec “Arditube”, chaîne YouTube lancée par l’Institut national de l’audiovisuel (INA) et dédiée au patrimoine télévisuel – 35 émissions – d’un animateur peu connu pour sa modestie.- “Mégalo” -Pour Bernard Pivot, il était “tellement mégalo qu’il croit avoir inventé la vulgarité à la télévision”.L’écrivaine Christine Angot s’était dite humiliée à plusieurs reprises sur le plateau de “Tout le monde en parle”, se souvenant de rires face à l’inceste qu’elle relate dans son oeuvre.Lors de sa dernière apparition à la télé, en mai dans “Quelle époque!” sur France 2, il avait créé la polémique en comparant Gaza à Auschwitz. Il avait ensuite demandé pardon à “ses amis juifs”.Marié à trois reprises, Thierry Ardisson a eu trois enfants avec la musicienne Béatrice Loustalan. Il avait épousé en 2014 la journaliste Audrey Crespo-Mara.Sans en révéler les détails, son entourage a indiqué lundi à l’AFP qu’il avait “laissé des instructions” à ses proches pour ses obsèques.Il avait également choisi de se dévoiler dans un documentaire réalisé par Audrey Crespo-Mara, “La face cachée de l’homme en noir”, diffusé sur TF1 mercredi à 22H50.

“Bonsoir”: Thierry Ardisson, visage impertinent de la télé, est décédé à 76 ans

“Amis de l’homme en noir, bonsoir!”: adepte des interviews et des formules choc, l’animateur et producteur Thierry Ardisson, figure impertinente et prolifique du paysage audiovisuel français, est décédé lundi à 76 ans.Star du petit écran dès les années 1980, Thierry Ardisson est mort à Paris des suites d’un cancer du foie, ont annoncé son épouse et ses enfants dans un communiqué à l’AFP.”Thierry est parti comme il a vécu. En homme courageux et libre. Avec ses enfants et les miens, nous étions unis autour de lui. Jusqu’à son dernier souffle”, a écrit sa femme, la journaliste de TF1 Audrey Crespo-Mara.Toujours tout de noir vêtu – ce qui lui a valu son surnom – et flanqué d’un éternel sourire, Ardisson a bousculé le paysage cathodique avec ses talk-shows à succès où se rendait le Tout-Paris, comme “Bains de minuit”, présenté depuis la boîte de nuit des Bains Douches à Paris, “Lunettes noires pour nuits blanches” au mythique Palace et “Rive droite / Rive gauche”, premier magazine culturel TV quotidien en France.”Thierry Ardisson imposa pendant des décennies au paysage audiovisuel français une voix, une silhouette, un style, un esprit, teinté de curiosité et d’irrévérence”, a réagi l’Elysée dans un communiqué, saluant un homme qui “contribua à écrire l’histoire de la télévision française”.- “Langage absolument nouveau” -Ses interviews cash, parfois à rebrousse-poil voire intrusives, ont établi sa réputation. L’animateur avait le sens de la formule. Certaines, comme ses “Bonsoirs” ou “Magnéto, Serge!”, restent indissociables de son personnage.”Quand je suis arrivé, il y avait à l’antenne un langage télévisuel prude et compassé. On s’est mis à parler comme dans la vie, de sexe, d’alcool et de drogue”, rembobinait l’ancien publicitaire.”Il avait un langage absolument nouveau pour la télé”, a souligné auprès de l’AFP Marie-France Brière, ancienne figure de TF1 qui le lança en 1985, ajoutant que mourir un 14-Juillet était un “pied de nez” pour un royaliste convaincu.Il a connu ses plus belles heures avec “Tout le monde en parle” sur France 2 (1998-2006) où ses questions, parfois trash, ont souvent créé le buzz.”Tellement de rires, d’engueulades aussi, parfois de silence mal compris et de rupture… Mais, à la fin, toujours la paix et ton rire reconnaissable entre tous. Ta grande capacité de travail, le soin infini avec lequel tu préparais tes célèbres fiches, tes interviews ont fait ton image à jamais”, a réagi dans un texte transmis à l’AFP la productrice Catherine Barma, qui a longtemps travaillé avec lui.Thierry Ardisson est ensuite passé aux commandes de “Salut les Terriens” (2006-2019), sur Canal+ puis C8, qu’il doit arrêter après avoir refusé d’en baisser le budget.Jamais à court de concepts, il a aussi présenté “93, Faubourg Saint-Honoré”, dîners éclectiques filmés à son domicile, sur Paris Première et brièvement “Hôtel du temps” sur France 3, où il interrogeait des stars défuntes recréées grâce aux nouvelles technologies.Né le 6 janvier 1949 à Bourganeuf (Creuse), d’un père ingénieur et d’une mère femme au foyer, Thierry Ardisson, décoré de la Légion d’honneur en 2024, a passé une partie de son enfance en Algérie, puis en internat catholique en Haute-Savoie.”L’homme en noir”, son dernier livre paru en mai, aborde son rapport à sa famille issue d’un milieu social modeste, qu’il a tout fait pour dépasser.En 2020, c’est la consécration avec “Arditube”, chaîne YouTube lancée par l’Institut national de l’audiovisuel (INA) et dédiée au patrimoine télévisuel – 35 émissions – d’un animateur peu connu pour sa modestie.- “Mégalo” -Pour Bernard Pivot, il était “tellement mégalo qu’il croit avoir inventé la vulgarité à la télévision”.L’écrivaine Christine Angot s’était dite humiliée à plusieurs reprises sur le plateau de “Tout le monde en parle”, se souvenant de rires face à l’inceste qu’elle relate dans son oeuvre.Lors de sa dernière apparition à la télé, en mai dans “Quelle époque!” sur France 2, il avait créé la polémique en comparant Gaza à Auschwitz. Il avait ensuite demandé pardon à “ses amis juifs”.Marié à trois reprises, Thierry Ardisson a eu trois enfants avec la musicienne Béatrice Loustalan. Il avait épousé en 2014 la journaliste Audrey Crespo-Mara.Sans en révéler les détails, son entourage a indiqué lundi à l’AFP qu’il avait “laissé des instructions” à ses proches pour ses obsèques.Il avait également choisi de se dévoiler dans un documentaire réalisé par Audrey Crespo-Mara, “La face cachée de l’homme en noir”, diffusé sur TF1 mercredi à 22H50.

“Bonsoir”: Thierry Ardisson, visage impertinent de la télé, est décédé à 76 ans

“Amis de l’homme en noir, bonsoir!”: adepte des interviews et des formules choc, l’animateur et producteur Thierry Ardisson, figure impertinente et prolifique du paysage audiovisuel français, est décédé lundi à 76 ans.Star du petit écran dès les années 1980, Thierry Ardisson est mort à Paris des suites d’un cancer du foie, ont annoncé son épouse et ses enfants dans un communiqué à l’AFP.”Thierry est parti comme il a vécu. En homme courageux et libre. Avec ses enfants et les miens, nous étions unis autour de lui. Jusqu’à son dernier souffle”, a écrit sa femme, la journaliste de TF1 Audrey Crespo-Mara.Toujours tout de noir vêtu – ce qui lui a valu son surnom – et flanqué d’un éternel sourire, Ardisson a bousculé le paysage cathodique avec ses talk-shows à succès où se rendait le Tout-Paris, comme “Bains de minuit”, présenté depuis la boîte de nuit des Bains Douches à Paris, “Lunettes noires pour nuits blanches” au mythique Palace et “Rive droite / Rive gauche”, premier magazine culturel TV quotidien en France.”Thierry Ardisson imposa pendant des décennies au paysage audiovisuel français une voix, une silhouette, un style, un esprit, teinté de curiosité et d’irrévérence”, a réagi l’Elysée dans un communiqué, saluant un homme qui “contribua à écrire l’histoire de la télévision française”.- “Langage absolument nouveau” -Ses interviews cash, parfois à rebrousse-poil voire intrusives, ont établi sa réputation. L’animateur avait le sens de la formule. Certaines, comme ses “Bonsoirs” ou “Magnéto, Serge!”, restent indissociables de son personnage.”Quand je suis arrivé, il y avait à l’antenne un langage télévisuel prude et compassé. On s’est mis à parler comme dans la vie, de sexe, d’alcool et de drogue”, rembobinait l’ancien publicitaire.”Il avait un langage absolument nouveau pour la télé”, a souligné auprès de l’AFP Marie-France Brière, ancienne figure de TF1 qui le lança en 1985, ajoutant que mourir un 14-Juillet était un “pied de nez” pour un royaliste convaincu.Il a connu ses plus belles heures avec “Tout le monde en parle” sur France 2 (1998-2006) où ses questions, parfois trash, ont souvent créé le buzz.”Tellement de rires, d’engueulades aussi, parfois de silence mal compris et de rupture… Mais, à la fin, toujours la paix et ton rire reconnaissable entre tous. Ta grande capacité de travail, le soin infini avec lequel tu préparais tes célèbres fiches, tes interviews ont fait ton image à jamais”, a réagi dans un texte transmis à l’AFP la productrice Catherine Barma, qui a longtemps travaillé avec lui.Thierry Ardisson est ensuite passé aux commandes de “Salut les Terriens” (2006-2019), sur Canal+ puis C8, qu’il doit arrêter après avoir refusé d’en baisser le budget.Jamais à court de concepts, il a aussi présenté “93, Faubourg Saint-Honoré”, dîners éclectiques filmés à son domicile, sur Paris Première et brièvement “Hôtel du temps” sur France 3, où il interrogeait des stars défuntes recréées grâce aux nouvelles technologies.Né le 6 janvier 1949 à Bourganeuf (Creuse), d’un père ingénieur et d’une mère femme au foyer, Thierry Ardisson, décoré de la Légion d’honneur en 2024, a passé une partie de son enfance en Algérie, puis en internat catholique en Haute-Savoie.”L’homme en noir”, son dernier livre paru en mai, aborde son rapport à sa famille issue d’un milieu social modeste, qu’il a tout fait pour dépasser.En 2020, c’est la consécration avec “Arditube”, chaîne YouTube lancée par l’Institut national de l’audiovisuel (INA) et dédiée au patrimoine télévisuel – 35 émissions – d’un animateur peu connu pour sa modestie.- “Mégalo” -Pour Bernard Pivot, il était “tellement mégalo qu’il croit avoir inventé la vulgarité à la télévision”.L’écrivaine Christine Angot s’était dite humiliée à plusieurs reprises sur le plateau de “Tout le monde en parle”, se souvenant de rires face à l’inceste qu’elle relate dans son oeuvre.Lors de sa dernière apparition à la télé, en mai dans “Quelle époque!” sur France 2, il avait créé la polémique en comparant Gaza à Auschwitz. Il avait ensuite demandé pardon à “ses amis juifs”.Marié à trois reprises, Thierry Ardisson a eu trois enfants avec la musicienne Béatrice Loustalan. Il avait épousé en 2014 la journaliste Audrey Crespo-Mara.Sans en révéler les détails, son entourage a indiqué lundi à l’AFP qu’il avait “laissé des instructions” à ses proches pour ses obsèques.Il avait également choisi de se dévoiler dans un documentaire réalisé par Audrey Crespo-Mara, “La face cachée de l’homme en noir”, diffusé sur TF1 mercredi à 22H50.

Italie: Modric s’offre à 39 ans un dernier défi à l’AC Milan

L’international croate Luka Modric s’est engagé à 39 ans avec l’AC Milan lundi, cinq jours après avoir disputé son dernier match avec le Real Madrid où en treize saisons il a tout gagné.”L’AC Milan est ravi d’annoncer que Luka Modric a signé un contrat expirant le 30 juin 2026 et comportant une option pour une année supplémentaire, jusqu’au 30 juin 2027″, a indiqué le club lombard dans son communiqué.Arrivé dans la matinée à Milan, “le magicien” a été accueilli par des dizaines de supporters enthousiastes que ce soit à la clinique où le Milan fait passer les traditionnelles visites médicales précédant tout transfert ou au siège du club.Il a ensuite quitté la métropole lombarde en fin de journée pour Zagreb.”Je suis très content d’être ici pour commencer un nouveau chapitre de ma carrière”, a-t-il déclaré dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux du club aux 19 titres de champion d’Italie.Selon la presse italienne, Modric rejoindra ses nouveaux coéquipiers début août après deux semaines de vacances.Le Croate a remporté sous le maillot du Real Madrid six Ligues des champions, quatre Ligas, deux Coupes du Roi et cinq Supercoupes d’Espagne.Le vice-champion du monde 2018 (188 sélections, 28 buts) affiche également à son palmarès le Ballon d’Or en 2018, ce qui avait à l’époque permis de stopper l’hégémonie de l’Argentin Lionel Messi et du Portugais Cristiano Ronaldo dans cette distinction.Il rejoint un club en pleine restructuration après une saison 2024/25 catastrophique, terminée à la huitième place de la Serie A et marquée par une élimination précoce en Ligue des champions, dès les barrages d’accession aux huitièmes de finale, et une défaite en finale de la Coupe d’Italie contre Bologne.Le Milan est désormais entraîné par Massimiliano Allegri, qui a succédé à Sergio Conceiçao qui avait lui même remplacé fin décembre son compatriote Paulo Fonseca, remercié moins de six mois après son arrivée.Le club lombard veut modifier en profondeur son effectif. Il a laissé partir l’un de ses cadres, le Français Théo Hernandez (Al-Hilal/Arabie saoudite), et vient de recruter l’international italien Samuele Ricci (Torino).

England’s Bashir out of remainder of India series

Shoaib Bashir was ruled out of the remainder of England’s series against India less than an hour after taking the match-clinching wicket in the third Test at Lord’s on Monday.The 21-year-old off-spinner spent much of the match off the field with a fracture to his little left finger — on his non-bowling hand — after dropping a hard-hit return catch from Ravindra Jadeja during India’s first innings.But he returned to dismiss Mohammed Siraj after tea on Monday’s final day when India’s last man played a defensive shot only for the ball to trickle back onto his leg stump as England won a thrilling encounter by 22 runs.Victory left England 2-1 up in this five-match series but they are now set to call-up a new specialist spinner for the fourth Test at Old Trafford starting on July 23, with the likes of Liam Dawson and Jack Leach vying to take Bashir’s place.”England spinner Shoaib Bashir has sustained a fracture to his left finger and has been ruled out of the remainder of the Rothesay Test series against India,” said an England and Wales Cricket Board statement. “He is scheduled to undergo surgery later this week. “England will name their squad for the fourth Test at Emirates Old Trafford in the next couple of days.”

Combats dans le sud de la Syrie: une centaine de morts, Israël intervient

Les forces gouvernementales syriennes progressaient lundi soir vers la ville à majorité druze de Soueïda, malgré l’opposition d’Israël qui a visé le secteur où des affrontements entre combattants druzes et bédouins ont fait une centaine de morts, selon une ONG.Ces nouvelles violences intercommunautaires illustrent les défis auxquels fait face le pouvoir intérimaire d’Ahmad al-Chareh depuis qu’il a renversé le président Bachar al-Assad en décembre, dans un pays meurtri par près de 14 ans de guerre civile.Israël, déjà intervenu ces derniers mois en Syrie sous prétexte de protéger les druzes, a annoncé avoir frappé dans cette région plusieurs chars des forces gouvernementales et ajouté qu’il ne permettrait pas de présence militaire dans le sud de la Syrie.Ces frappes constituent “un avertissement clair au régime syrien. Nous ne permettrons pas que du mal soit fait aux druzes en Syrie”, a déclaré le ministre de la Défense, Israël Katz. Lundi après-midi, les forces gouvernementales qui avaient dépêché d’importants renforts dans la région ont pris le contrôle d’Al-Mazraah, un village druze aux abords de Soueïda, a constaté un correspondant de l’AFP.Ces forces, appuyées par des chars, se sont déployées dans le village, où se trouvaient également des combattants tribaux bédouins, a-t-il ajouté. “Les forces du ministère de la Défense se dirigent vers Soueïda”, a déclaré à l’AFP un commandant de ces forces, Ezzeddine al-Chamayer.Le ministère de l’Intérieur a affirmé que “les forces de l’armée et de la sécurité intérieure se sont rapprochées du centre” de Soueïda.Les chefs religieux druzes ont appelé au calme et l’un des plus influents, cheikh Hikmat al-Hejri, a réclamé une “protection internationale immédiate” pour sa communauté, affirmant refuser l’entrée des forces gouvernementales dans les zones contrôlées par les druzes.La province de Soueïda abrite la plus importante communauté druze du pays, une minorité ésotérique issue de l’islam qui compte quelque 700.000 membres en Syrie et est aussi implantée au Liban et en Israël.- Craintes de massacres -“Nous avons très peur, les obus nous tombent dessus. La circulation est paralysée dans les rues et les magasins sont fermés”, a affirmé à l’AFP un père de famille de 51 ans, Abou Taym, à Soueïda.Un petit nombre d’habitants ont participé aux funérailles de combattants tués, selon un photographe de l’AFP.”Nous craignons que le scénario du littoral se répète”, a déclaré à l’AFP Amal, une femme de 46 ans, en référence aux massacres de centaines de membres de la minorité alaouite en mars, imputés à des groupes alliés aux forces de sécurité.”Nous ne sommes pas contre l’Etat, mais nous ne voulons pas remettre nos armes sans qu’il y ait un Etat qui traite tout le monde équitablement”, a-t-elle expliqué. Le ministre de la Défense Mourhaf Abou Qasra a appelé sur X les soldats à “protéger les citoyens” contre “les bandes qui échappent à la loi” et “ramener la stabilité à Soueïda”.Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), les affrontements ont fait depuis dimanche 99 morts, parmi lesquels 60 druzes, pour la plupart des combattants mais également deux femmes et deux enfants, 18 bédouins, 14 membres de forces de sécurité et sept hommes armés non identifiés.Le ministère de la Défense a fait état de 18 morts dans les rangs des forces armées.- Autoroute fermée -Le ministre de l’Intérieur Anas Khattab avait estimé que l'”absence d’institutions étatiques, militaires et sécuritaires” était “une cause majeure des tensions persistantes à Soueïda”. L’autoroute reliant Damas à Soueïda était fermée lundi, selon le correspondant de l’AFP.Les tensions couvaient depuis des heurts interconfessionnels en avril entre combattants druzes et forces de sécurité dans les zones druzes proches de Damas et à Soueïda, qui avaient fait plus de 100 morts.Des membres de tribus bédouines sunnites de Soueïda avaient participé aux affrontements au côté des forces de sécurité, selon l’OSDH.A la suite de ces affrontements, Israël avait invoqué la protection des druzes pour justifier plusieurs frappes en Syrie.A l’époque, des chefs locaux et religieux avaient conclu des accords, en vertu desquels des combattants druzes assurent depuis mai la sécurité dans la province.Après la chute de Bachar al-Assad, renversé par une coalition de rebelles islamistes sunnites, les violences contre la communauté alaouite -plus de 1.700 morts- puis contre les druzes, ainsi qu’un attentat contre une église à Damas en juin, ont ébranlé la confiance dans la capacité du nouveau pouvoir à protéger les minorités.

England take 2-1 series lead over Inda with thrilling Lord’s win

A thrilling series produced a gripping finale as England beat India by 22 runs in a nail-biting third Test at Lord’s on Monday to go 2-1 up with two Tests to play.India were on the brink of defeat at 147-9, still needing a further 46 runs to reach a victory target of 193, when last man Mohammed Siraj joined Ravindra Jadeja in the middle.Nevertheless, the pair batted on until after tea on the final day to give India hope of an improbable victory.But with India eyeing a stunning success, off-spinner Shoaib Bashir, who had been off the field for much of the match with a finger injury, had the final say. As Siraj played defensively, the ball spun back past him to dislodge the leg bail with the faintest of touches to leave India 170 all out. As the England fielders celebrated, the fiery Siraj was crestfallen as was his partner Jadeja who was left stranded on 61 not out — his fourth consecutive fifty this series — after batting for nearly four-and-a-half hours.England captain Ben Stokes bowled two lengthy spells Monday on his way to innings figures of 3-48 in 24 overs, with fast bowler Jofra Archer — in his first Test after more than four years of injury-induced exile — taking 3-55 in 16.- ‘Dark places’ -Lively medium-pacer Stokes, whose career has been blighted by knee injuries, again proved his worth to England as a fully-fledged all-rounder.”I thought I had taken myself to some pretty dark places before but today was… If bowling to win a Test for your country doesn’t get you up, get you excited, then I don’t know what does,” Stokes told Sky Sports.”The game was on the line and nothing was going to stop me bowling.”Victory came exactly six years to the day since Stokes and Archer both starred in England’s dramatic 2019 50-over World Cup final win over New Zealand at Lord’s.Both bowlers made early breakthroughs Monday, with player-of-the match Stokes saying the anniversary was behind his decision to open the bowlig with Archer.”Jof played a big role in that and I just had one of those feelings he would do something special,” said Stokes.The 30-year-old Archer added: “It was pretty hectic for the first game back. I probably bowled a few more overs than I thought I would have but every single one mattered today so I’m not too fussed about it.”India were all but beaten at 112-8 when tailender Jasprit Bumrah came out to bat immediately after lunch.But Jadeja and Bumrah kept England at bay with a stubborn stand of 35 in 22 overs.”I think the position in the morning, to make a comeback like this was tremendous from Ravindra Jadeja and the lower order,” said India captain Shubman Gill. Bumrah, defying a run of four successive noughts in Test cricket, defended gamely while making five in 54 balls only for his innings to end when he top-edged a pull off Stokes to substitute fielder Sam Cook at mid-on.India were now 147-9 — a position that meant tea was delayed by 30 minutes.But Jadeja, who overturned an lbw decision given against him on 26, went to fifty when a flashing cut off Stokes flew over the slips for the left-hander’s fourth four in 150 balls faced.Shortly after tea, Archer struck Siraj a painful blow on the shoulder and it was not long before he fell to Bashir.This match became a second-innings shoot-out after both teams made 387 in their first innings.England then posted 192 before India slumped to 58-4 when Stokes bowled nightwatchman Akash Deep with what became the last ball of Sunday’s play. From 71-4 on Monday, the match swung England’s way once more as India lost three wickets for 11 runs in collapsing to 82-7.Rishabh Pant — who only came into bat on Monday following Deep’s departure — charged down the pitch to drive Archer for a typically aggressive four.But two balls later Archer, repeatedly topping the 90 mph mark, bowled the  dangerman for nine with a superb full-length delivery that clipped the top of off stump.India were looking to KL Rahul to anchor their chase after the opener’s first-innings hundred.But he had added just six runs to his overnight 33 when he was lbw on review to Stokes. Archer, who made his Test debut at Lord’s in 2019, then reduced India to 82-7 when he held a sharp one-handed caught and bowled chance to dismiss Washington Sundar for a duck.