US TikTok ban looms as Trump seeks last-ditch solution

TikTok has pledged to “go dark” in the United States on Sunday, threatening access for 170 million app users without 11th-hour guarantees from the government, as President-elect Donald Trump says he is considering a reprieve — after he takes office.After months of legal tussles, the US Supreme Court on Friday upheld a law that would ban the popular video-sharing platform in the name of national security, unless its Chinese owners reach a deal to sell it to non-Chinese buyers by Sunday.Only months after overwhelmingly backing the law, lawmakers and officials were now fretting about the ban, with all eyes on whether Trump can swoop in and find a way to save the app.From teenage dancers to grandmothers sharing cooking tips, TikTok has been embraced for its ability to transform ordinary users into global celebrities when a video goes viral.It also has a fan in Trump, who has credited the app with connecting him to younger voters, contributing to his election victory in November.After discussing TikTok with Chinese President Xi Jinping on Friday, Trump told NBC News on Saturday that he could activate a 90-day reprieve from the ban after he reclaims the Oval Office.”I think that would be, certainly, an option that we look at. The 90-day extension is something that will be most likely done, because it’s appropriate,” he said, ahead of Monday’s inauguration.”If I decide to do that, I’ll probably announce it on Monday.”The law allows a 90-day delay if the White House can show progress toward a viable deal, but TikTok owner ByteDance has flatly refused any sale.TikTok said late Friday its US services would “go dark” unless the government “immediately provides a definitive statement to satisfy the most critical service providers assuring non-enforcement” of the law calling for the platform’s ban.The administration of outgoing President Joe Biden has said it will leave the matter to Trump and White House spokeswoman Karine Jean-Pierre qualified TikTok’s latest statements as a “stunt.”After the court defeat, TikTok CEO Shou Chew appealed to Trump, thanking him for his “commitment to work with us to find a solution.”Trump “truly understands our platform,” he added.TikTok has been lobbying furiously to thwart the law’s implementation, with Chew set to attend Trump’s inauguration on Monday.The law requires Apple and Google to remove TikTok from their app stores, blocking new downloads. The companies could face penalties of up to $5,000 per user who can access the app.Oracle, which hosts TikTok’s servers, would also be legally obligated to enforce the ban.But it was not immediately clear how quickly users would feel the effects, and the Justice Department said implementing the ban could take time.None of the companies responded to requests for comment on Saturday.- Offers for TikTok -A last-minute proposal made Saturday by the highly-valued start-up Perplexity AI offered a merger with the US subsidiary of TikTok, a source with knowledge of the deal told AFP.That deal could allow parent company ByteDance a possible solution without selling off the app entirely. The plan, first reported by US broadcaster CNBC, would see the creation of a new joint venture combining the assets of US TikTok and Perplexity AI, which has been backed by Amazon founder Jeff Bezos. The proposal did not include a price for the transaction, but the source estimated it would be at least $50 billion.Frank McCourt, the former Los Angeles Dodgers owner, has also made an offer to purchase TikTok’s US activity and said he’s “ready to work with the company and President Trump to complete a deal.”Canadian investor Kevin O’Leary, who is involved in that offer, told Fox News that ByteDance was offered $20 billion for TikTok’s US operation.He acknowledged the legal uncertainty over the case, with it remaining an open question whether an executive order by Trump to halt the ban would override the law.”Congress wrote this law to be virtually president-proof,” warned Adam Kovacevich, chief executive of industry trade group Chamber of Progress.Sarah Kreps, a professor of government and law at Cornell University, said “if an executive order conflicts with an existing law, the law takes precedence, and the order can be struck down by the courts.”If TikTok is forced into a shutdown, its US-based rivals Instagram Reels and YouTube Shorts would benefit.Thousands of worried TikTok users have protectively turned to Xiaohongshu (“Little Red Book”), a Chinese social media network similar to Instagram. Nicknamed “Red Note” by its American users, it was the most downloaded app on the US Apple Store this week. 

TikTok menace de se débrancher dimanche, faute de solution politique

TikTok a menacé de débrancher son application dès dimanche, faute de garanties du gouvernement Biden, le président élu Donald Trump ne pouvant pas intervenir avant sa prise de fonction, lundi.”TikTok sera malheureusement contraint de s’éteindre le 19 janvier”, a annoncé l’entreprise sur X vendredi soir, à moins que “le gouvernement de Joe Biden ne fournisse immédiatement des garanties sur la non-application de la loi aux fournisseurs de service essentiels”.Plus tôt vendredi, la Maison Blanche a estimé que “l’application de la loi (devait) revenir au prochain gouvernement, qui prendra ses fonctions lundi”, selon une déclaration de la porte-parole Karine Jean-Pierre.Le ministère américain de la Justice a fait, de son côté, savoir que la mise en oeuvre du texte voté par le Congrès à une large majorité en avril 2024, contraignant la maison mère chinoise ByteDance à vendre TikTok sous peine d’interdiction, allait s’étaler dans le temps.Ces déclarations “n’ont pas apporté les clarifications et l’assurance nécessaires aux fournisseurs d’internet qui sont cruciaux pour préserver la disponibilité de TikTok à 170 millions d’Américains”, a estimé la plateforme.La loi impose théoriquement aux fournisseurs d’internet et aux boutiques d’applications de bloquer téléchargements et mises à jour dans la nuit de samedi à dimanche à partir de minuit.Sollicités samedi par l’AFP, les principales d’entre eux n’ont pas répondu.Le texte rend les boutiques d’application passibles d’une amende pouvant aller jusqu’à 5.000 dollars par utilisateur, soit 850 milliards de dollars en se basant sur le nombre d’utilisateurs.La loi prévoit la possibilité pour le président de suspendre l’entrée en vigueur pour 90 jours.Karine Jean-Pierre a qualifié la dernière déclaration de TikTok de “manoeuvre”. “Nous ne voyons pas de raison pour TikTok ou d’autres sociétés d’agir avant la prise de fonction du gouvernement Trump, lundi”.- Trump décidera lundi -Saisie par TikTok en dernier recours, la Cour suprême américaine a refusé vendredi, à l’unanimité, de suspendre la loi.Les neuf hauts magistrats ont estimé que les inquiétudes du Congrès “en matière de sécurité nationale” étaient “bien fondées”.Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d’empêcher les autorités chinoises d’accéder aux données d’utilisateurs américains ou de manipuler l’opinion aux Etats-Unis.Mais si la plateforme faisait l’objet d’une franche hostilité de la part de beaucoup d’élus américains il y a un an, le vent a tourné depuis et un consensus politique s’est dégagé ces derniers jours, favorable à la préservation de TikTok.Samedi, Donald Trump a déclaré qu’il étudierait de près le dossier une fois investi, lundi, et qu’un “report de 90 jours (serait) probablement décrété”.”Si je le décide, ce sera probablement lundi”, a précisé, lors d’un entretien à la chaîne NBC, le promoteur immobilier, qui avait tenté lors de son premier mandat de faire interdire TikTok, en vain.La suspension n’est théoriquement possible que si des éléments tangibles rendent une vente crédible.Or, jusqu’ici, ByteDance a toujours officiellement refusé de céder son joyau, même si plusieurs investisseurs se sont manifestés.L’homme d’affaires Frank McCourt est ainsi prêt à mettre 20 milliards de dollars sur la table avec d’autres partenaires, pour les activités américaines de l’application, sans son puissant algorithme.Samedi, la start-up d’intelligence artificielle (IA) Perplexity AI a soumis à ByteDance une proposition de fusion avec la filiale américaine de TikTok, a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information de la chaîne CNBC.La transaction proposée par Perplexity AI ne donne pas de montant pour TikTok, “mais je ne vois pas un accord intervenir à une valorisation inférieure à 50 milliards de dollars”, a expliqué la source proche du dossier.Donald Trump a évoqué TikTok lors d’une conversation téléphonique vendredi avec le président chinois, Xi Jinping. Et le patron du réseau social, Shou Chew, fait partie des invités d’honneur pour sa cérémonie d’investiture lundi. Il a remercié vendredi Donald Trump pour “son engagement à travailler avec nous afin de trouver une solution qui permette à TikTok de rester disponible aux Etats-Unis”.Sur l’application, de nombreux créateurs de contenu américains ont publié, ces dernières heures, des vidéos combinant leurs moments favoris de ces dernières années et des messages d’adieu appelant à les suivre sur d’autres plateformes, en se moquant ouvertement des inquiétudes de leurs élus.

TikTok menace de se débrancher dimanche, faute de solution politique

TikTok a menacé de débrancher son application dès dimanche, faute de garanties du gouvernement Biden, le président élu Donald Trump ne pouvant pas intervenir avant sa prise de fonction, lundi.”TikTok sera malheureusement contraint de s’éteindre le 19 janvier”, a annoncé l’entreprise sur X vendredi soir, à moins que “le gouvernement de Joe Biden ne fournisse immédiatement des garanties sur la non-application de la loi aux fournisseurs de service essentiels”.Plus tôt vendredi, la Maison Blanche a estimé que “l’application de la loi (devait) revenir au prochain gouvernement, qui prendra ses fonctions lundi”, selon une déclaration de la porte-parole Karine Jean-Pierre.Le ministère américain de la Justice a fait, de son côté, savoir que la mise en oeuvre du texte voté par le Congrès à une large majorité en avril 2024, contraignant la maison mère chinoise ByteDance à vendre TikTok sous peine d’interdiction, allait s’étaler dans le temps.Ces déclarations “n’ont pas apporté les clarifications et l’assurance nécessaires aux fournisseurs d’internet qui sont cruciaux pour préserver la disponibilité de TikTok à 170 millions d’Américains”, a estimé la plateforme.La loi impose théoriquement aux fournisseurs d’internet et aux boutiques d’applications de bloquer téléchargements et mises à jour dans la nuit de samedi à dimanche à partir de minuit.Sollicités samedi par l’AFP, les principales d’entre eux n’ont pas répondu.Le texte rend les boutiques d’application passibles d’une amende pouvant aller jusqu’à 5.000 dollars par utilisateur, soit 850 milliards de dollars en se basant sur le nombre d’utilisateurs.La loi prévoit la possibilité pour le président de suspendre l’entrée en vigueur pour 90 jours.Karine Jean-Pierre a qualifié la dernière déclaration de TikTok de “manoeuvre”. “Nous ne voyons pas de raison pour TikTok ou d’autres sociétés d’agir avant la prise de fonction du gouvernement Trump, lundi”.- Trump décidera lundi -Saisie par TikTok en dernier recours, la Cour suprême américaine a refusé vendredi, à l’unanimité, de suspendre la loi.Les neuf hauts magistrats ont estimé que les inquiétudes du Congrès “en matière de sécurité nationale” étaient “bien fondées”.Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d’empêcher les autorités chinoises d’accéder aux données d’utilisateurs américains ou de manipuler l’opinion aux Etats-Unis.Mais si la plateforme faisait l’objet d’une franche hostilité de la part de beaucoup d’élus américains il y a un an, le vent a tourné depuis et un consensus politique s’est dégagé ces derniers jours, favorable à la préservation de TikTok.Samedi, Donald Trump a déclaré qu’il étudierait de près le dossier une fois investi, lundi, et qu’un “report de 90 jours (serait) probablement décrété”.”Si je le décide, ce sera probablement lundi”, a précisé, lors d’un entretien à la chaîne NBC, le promoteur immobilier, qui avait tenté lors de son premier mandat de faire interdire TikTok, en vain.La suspension n’est théoriquement possible que si des éléments tangibles rendent une vente crédible.Or, jusqu’ici, ByteDance a toujours officiellement refusé de céder son joyau, même si plusieurs investisseurs se sont manifestés.L’homme d’affaires Frank McCourt est ainsi prêt à mettre 20 milliards de dollars sur la table avec d’autres partenaires, pour les activités américaines de l’application, sans son puissant algorithme.Samedi, la start-up d’intelligence artificielle (IA) Perplexity AI a soumis à ByteDance une proposition de fusion avec la filiale américaine de TikTok, a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information de la chaîne CNBC.La transaction proposée par Perplexity AI ne donne pas de montant pour TikTok, “mais je ne vois pas un accord intervenir à une valorisation inférieure à 50 milliards de dollars”, a expliqué la source proche du dossier.Donald Trump a évoqué TikTok lors d’une conversation téléphonique vendredi avec le président chinois, Xi Jinping. Et le patron du réseau social, Shou Chew, fait partie des invités d’honneur pour sa cérémonie d’investiture lundi. Il a remercié vendredi Donald Trump pour “son engagement à travailler avec nous afin de trouver une solution qui permette à TikTok de rester disponible aux Etats-Unis”.Sur l’application, de nombreux créateurs de contenu américains ont publié, ces dernières heures, des vidéos combinant leurs moments favoris de ces dernières années et des messages d’adieu appelant à les suivre sur d’autres plateformes, en se moquant ouvertement des inquiétudes de leurs élus.

TikTok menace de se débrancher dimanche, faute de solution politique

TikTok a menacé de débrancher son application dès dimanche, faute de garanties du gouvernement Biden, le président élu Donald Trump ne pouvant pas intervenir avant sa prise de fonction, lundi.”TikTok sera malheureusement contraint de s’éteindre le 19 janvier”, a annoncé l’entreprise sur X vendredi soir, à moins que “le gouvernement de Joe Biden ne fournisse immédiatement des garanties sur la non-application de la loi aux fournisseurs de service essentiels”.Plus tôt vendredi, la Maison Blanche a estimé que “l’application de la loi (devait) revenir au prochain gouvernement, qui prendra ses fonctions lundi”, selon une déclaration de la porte-parole Karine Jean-Pierre.Le ministère américain de la Justice a fait, de son côté, savoir que la mise en oeuvre du texte voté par le Congrès à une large majorité en avril 2024, contraignant la maison mère chinoise ByteDance à vendre TikTok sous peine d’interdiction, allait s’étaler dans le temps.Ces déclarations “n’ont pas apporté les clarifications et l’assurance nécessaires aux fournisseurs d’internet qui sont cruciaux pour préserver la disponibilité de TikTok à 170 millions d’Américains”, a estimé la plateforme.La loi impose théoriquement aux fournisseurs d’internet et aux boutiques d’applications de bloquer téléchargements et mises à jour dans la nuit de samedi à dimanche à partir de minuit.Sollicités samedi par l’AFP, les principales d’entre eux n’ont pas répondu.Le texte rend les boutiques d’application passibles d’une amende pouvant aller jusqu’à 5.000 dollars par utilisateur, soit 850 milliards de dollars en se basant sur le nombre d’utilisateurs.La loi prévoit la possibilité pour le président de suspendre l’entrée en vigueur pour 90 jours.Karine Jean-Pierre a qualifié la dernière déclaration de TikTok de “manoeuvre”. “Nous ne voyons pas de raison pour TikTok ou d’autres sociétés d’agir avant la prise de fonction du gouvernement Trump, lundi”.- Trump décidera lundi -Saisie par TikTok en dernier recours, la Cour suprême américaine a refusé vendredi, à l’unanimité, de suspendre la loi.Les neuf hauts magistrats ont estimé que les inquiétudes du Congrès “en matière de sécurité nationale” étaient “bien fondées”.Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d’empêcher les autorités chinoises d’accéder aux données d’utilisateurs américains ou de manipuler l’opinion aux Etats-Unis.Mais si la plateforme faisait l’objet d’une franche hostilité de la part de beaucoup d’élus américains il y a un an, le vent a tourné depuis et un consensus politique s’est dégagé ces derniers jours, favorable à la préservation de TikTok.Samedi, Donald Trump a déclaré qu’il étudierait de près le dossier une fois investi, lundi, et qu’un “report de 90 jours (serait) probablement décrété”.”Si je le décide, ce sera probablement lundi”, a précisé, lors d’un entretien à la chaîne NBC, le promoteur immobilier, qui avait tenté lors de son premier mandat de faire interdire TikTok, en vain.La suspension n’est théoriquement possible que si des éléments tangibles rendent une vente crédible.Or, jusqu’ici, ByteDance a toujours officiellement refusé de céder son joyau, même si plusieurs investisseurs se sont manifestés.L’homme d’affaires Frank McCourt est ainsi prêt à mettre 20 milliards de dollars sur la table avec d’autres partenaires, pour les activités américaines de l’application, sans son puissant algorithme.Samedi, la start-up d’intelligence artificielle (IA) Perplexity AI a soumis à ByteDance une proposition de fusion avec la filiale américaine de TikTok, a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information de la chaîne CNBC.La transaction proposée par Perplexity AI ne donne pas de montant pour TikTok, “mais je ne vois pas un accord intervenir à une valorisation inférieure à 50 milliards de dollars”, a expliqué la source proche du dossier.Donald Trump a évoqué TikTok lors d’une conversation téléphonique vendredi avec le président chinois, Xi Jinping. Et le patron du réseau social, Shou Chew, fait partie des invités d’honneur pour sa cérémonie d’investiture lundi. Il a remercié vendredi Donald Trump pour “son engagement à travailler avec nous afin de trouver une solution qui permette à TikTok de rester disponible aux Etats-Unis”.Sur l’application, de nombreux créateurs de contenu américains ont publié, ces dernières heures, des vidéos combinant leurs moments favoris de ces dernières années et des messages d’adieu appelant à les suivre sur d’autres plateformes, en se moquant ouvertement des inquiétudes de leurs élus.

Espagne: le Barça à nouveau piégé à Getafe, fin de série pour l’Atlético

Le FC Barcelone a perdu deux nouveaux points dans la course au titre de champion d’Espagne samedi, de nouveau incapable de s’imposer à Getafe (1-1), une contre-performance qui laisse l’opportunité au Real Madrid de s’envoler en tête de la Liga dimanche.Les hommes d’Hansi Flick, qui semblaient euphoriques en ce début d’année après leur succès en finale de Supercoupe d’Espagne face au Real (5-2), ont été brutalement ramenés sur terre sur le terrain du Coliseum, un stade de la banlieue de Madrid qui ne leur réussit décidément pas ces dernières saisons (1 défaite, 4 nuls).Bien lancés par un but du latéral français Jules Koundé, trouvé en position de N.9 par une passe exquise de Pedri pour ouvrir le score en deux temps (9e, 1-0), les Catalans se sont laissés surprendre sur l’une des seules actions dangereuse des locaux, conclue avec de la réussite par l’ancien Bordelais Mauro Arrambari (34e, 1-1).Ultra-dominateur, comme souvent, mais peu inspiré offensivement, le Barça (3e, 39 points) ne profite donc pas de la défaite surprise de l’Atlético Madrid (1er, 44 points) à quelques kilomètres de là, à Leganés (1-0).Auteur d’un début de saison quasi-parfait, le club blaugrana, qui a enchaîné les contre-performances fin 2024, pourrait se retrouver à la fin de cette 20e journée à sept longueurs de son grand rival le Real Madrid (2e, 43 points), opposé à Las Palmas dimanche (16h15).”C’est une honte de ne pas gagner ce match, nous avions le contrôle du jeu et avec une seule occasion ils ont marqué un but”, a déclaré Jules Koundé sur Movistar. “L’entraîneur avait dit que nous aurions plus d’occasions, et nous en avons eu plus, mais nous n’avons pas été assez précis”, a-t-il résumé.- L’Atlético freiné -Battu (1-0) sur la pelouse de son modeste voisin de Leganés, l’Atlético Madrid d’Antoine Griezmann a vu son impressionnante série de 15 victoires consécutives prendre fin.Supérieur dans le jeu mais sans réussite devant le but, malgré plusieurs occasions franches dont un penalty raté par Griezmann (89e) et deux frappes sur les montants (12e, 26e), l’Atlético, encore leader pour l’instant, pourrait céder sa première place à son rival madrilène. C’est l’ancien défenseur de Manchester City Matija Nastasic qui a inscrit le but vainqueur de la tête sur corner (50e, 1-0) pour faire exploser le petit stade municipal Butarque, plein à craquer pour recevoir le leader du championnat.Un coup d’arrêt qui tombe au pire moment pour les hommes de Diego Simeone, à trois jours d’un rendez-vous décisif en Ligue des champions face au Bayer Leverkusen de Xabi Alonso.Déjà tombeur du FC Barcelone mi-décembre (1-0), Leganés (15e, 22 points), promu cette saison, s’offre lui un nouveau gros coup et se donne un peu d’air dans la lutte pour le maintien par rapport aux trois relégables, l’Espanyol Barcelone (18e, 19 points), Valladolid (19e, 15 points) et Valence (20e, 13 points).Plus tôt dans la journée, le Séville FC (9e, 26 points) s’est éloigné du bas du classement et rapproché des places européennes en allant s’imposer (2-1) à Gérone (8e, 28 points). En infériorité numérique après l’expulsion de Romain Perraud (55e), le Betis Séville (11e, 25 points) s’est incliné (3-1) sur sa pelouse contre Alavés (16e, 20 points), porté par un triplé du vétéran Kike Garcia.

Ligue 1: Avant de jouer son destin européen, Paris garde ses aises en championnat

Paris a souffert à Lens mais a fini par l’emporter (2-1) pour conforter son avance en tête de la Ligue 1 lors de la 18e journée samedi, quatre jours avant de jouer son destin en Ligue des Champions contre Manchester City.Paris compte provisoirement dix points d’avance sur son dauphin marseillais (36 points), qui en recevant Strasbourg en clôture de la journée, aura dimanche l’occasion de mettre à bonne distance ses poursuivants.Dans les deux autres matches disputés samedi, Brest a remporté le derby breton en allant enfoncer Rennes désormais tout proche de la place de barragiste (2-1), tandis que Lyon a perdu deux points dans la lutte pour les places européennes avec un nul concédé à domicile face à Toulouse (0-0).  Mené au score à la pause au stade Bollaert, le Paris SG a renversé la vapeur grâce notamment à son attaquant international Bradley Barcola, auteur d’une passe décisive sur l’égalisation de Fabian Ruiz (59) puis du but de la victoire en fin de match (86). Mais comme lors de la laborieuse qualification en Coupe de France contre Espaly (4-2), tout fut loin d’être parfait contre Lens. L’équipe de Luis Enrique devra hausser son niveau de jeu pour battre Manchester City au Parc des Princes mercredi si elle veut poursuivre son aventure en Ligue des Champions. Toujours privée de Marquinhos, la défense a montré des largesses, en particulier sur corner comme sur l’ouverture du score lensoise par Mbala Nzola (36). Avant de se réveiller dans le second acte, Paris n’a jamais été dangereux en première période. A la décharge de l’équipe de Luis Enrique, elle a évolué sans deux joueurs importants offensivement, l’attaquant Ousmane Dembélé, malade, et le latéral Achraf Hakimi, ménagé.   Autre représentant français en Ligue des Champions (où il est contre toute attente en bien meilleure position avant d’affronter le Shakhtar Donetsk mercredi), Brest a fait parler son réalisme pour battre Rennes, avec des buts d’Edimilson Fernandes (27) et de Ludovic Ajorque (74). Le but de Ludovic Blas (77) n’empêche pas Rennes de s’enfoncer dans la crise: c’est désormais de lutte pour le maintien qu’il s’agit.ng/cyj/eg   

Ligue 1: Avant de jouer son destin européen, Paris garde ses aises en championnat

Paris a souffert à Lens mais a fini par l’emporter (2-1) pour conforter son avance en tête de la Ligue 1 lors de la 18e journée samedi, quatre jours avant de jouer son destin en Ligue des Champions contre Manchester City.Paris compte provisoirement dix points d’avance sur son dauphin marseillais (36 points), qui en recevant Strasbourg en clôture de la journée, aura dimanche l’occasion de mettre à bonne distance ses poursuivants.Dans les deux autres matches disputés samedi, Brest a remporté le derby breton en allant enfoncer Rennes désormais tout proche de la place de barragiste (2-1), tandis que Lyon a perdu deux points dans la lutte pour les places européennes avec un nul concédé à domicile face à Toulouse (0-0).  Mené au score à la pause au stade Bollaert, le Paris SG a renversé la vapeur grâce notamment à son attaquant international Bradley Barcola, auteur d’une passe décisive sur l’égalisation de Fabian Ruiz (59) puis du but de la victoire en fin de match (86). Mais comme lors de la laborieuse qualification en Coupe de France contre Espaly (4-2), tout fut loin d’être parfait contre Lens. L’équipe de Luis Enrique devra hausser son niveau de jeu pour battre Manchester City au Parc des Princes mercredi si elle veut poursuivre son aventure en Ligue des Champions. Toujours privée de Marquinhos, la défense a montré des largesses, en particulier sur corner comme sur l’ouverture du score lensoise par Mbala Nzola (36). Avant de se réveiller dans le second acte, Paris n’a jamais été dangereux en première période. A la décharge de l’équipe de Luis Enrique, elle a évolué sans deux joueurs importants offensivement, l’attaquant Ousmane Dembélé, malade, et le latéral Achraf Hakimi, ménagé.   Autre représentant français en Ligue des Champions (où il est contre toute attente en bien meilleure position avant d’affronter le Shakhtar Donetsk mercredi), Brest a fait parler son réalisme pour battre Rennes, avec des buts d’Edimilson Fernandes (27) et de Ludovic Ajorque (74). Le but de Ludovic Blas (77) n’empêche pas Rennes de s’enfoncer dans la crise: c’est désormais de lutte pour le maintien qu’il s’agit.ng/cyj/eg   

Trump says he’ll sign record number of executive orders on Day 1

Donald Trump said Saturday he plans to sign a record number of  executive orders after being sworn in as president, beginning “right after” he delivers his inaugural address.Trump told NBC News the number of orders he will sign after taking office on Monday had not yet been determined but the figure will be “record-setting.”Asked if it would exceed 100, Trump said “at least in that category.”The president-elect is expected to sign orders undoing many of the policies advanced during President Joe Biden’s outgoing administration. Trump’s promises for Day 1 of his new term also include a mass deportation program.The expulsion of undocumented migrants will “begin very, very quickly,” Trump told NBC.”I can’t say which cities because things are evolving. And I don’t think we want to say what city. You’ll see it firsthand,” he said in the phone interview. Recent inaugurations have been held on the steps of the US Capitol overlooking the National Mall, but Trump announced Friday the ceremony was moving indoors because of unusually cold weather forecast to hit Washington. “I think we made the right decision,” he said. “The weather was really looking bad in terms of the coldness, and I think it would have been dangerous for a lot of people.”Trump was due to arrive in Washington later Saturday to begin his inaugural festivities with a private event featuring fireworks at his golf club in Virginia outside Washington.