Stock markets diverge going into weekend
Global stock markets diverged Friday in an end to a week’s trading dominated by earnings updates and angst over rising bond yields amid US election uncertainty.Wall Street stocks finished the day mixed, with the Nasdaq pressing higher and the Dow pulling back.Besides the neck-and-neck US election, investors are looking ahead to major economic data next week and earnings from tech giants.”There’s more uncertainty out there than anything else,” said LBBW’s Karl Haeling.But a rise on US bond yields — at least partially due to speculation that a return to the White House by Donald Trump would lead to tax cuts that fuel inflation — have acted as a headwind.Next week will see five of the “Magnificent Seven” tech stocks reporting earnings, including Alphabet (Google), Amazon, Apple, Meta (Facebook) and Microsoft.Key US monthly jobs numbers come out on Friday.”This could prove a big test for the markets, while also being a driver of sentiment as we head towards year-end,” said Trade Nation analyst David Morrison.In Europe, London ended the day down 0.3 percent as investors awaited the first budget of Britain’s new Labour government on Wednesday, expected to include tax rises on businesses.Meanwhile, shares in British bank NatWest jumped nearly five percent before paring gains as investors welcomed the lender’s strong increase in profits, with income higher thanks to interest rates remaining elevated.Frankfurt edged higher after data showed Germany’s business confidence rebounded in October.That ended a four-month streak of declines and offered some rare good news for Europe’s beleaguered top economy.Mercedes-Benz stock shed around 1.5 percent after the German luxury carmaker said group profits slumped more than 50 percent, hit by weakness in the key Chinese market. In Asia, Shanghai and Hong Kong markets rose amid hopes of stronger growth in China following the country’s recent attempts to stimulate its stalling economy. Crude futures climbed and the dollar strengthened against main rivals heading into the weekend break.Tokyo’s stock market closed down and the yen dipped against the dollar ahead of Japan’s national elections on Sunday.Independent analyst Stephen Innes pointed to uncertainty over the vote and an upcoming Bank of Japan policy meeting as complicating the outlook for Japanese equities.”Between election jitters and BoJ chess moves, Tokyo markets are probably in for a busy opening on Monday.”- Key figures around 2030 GMT -New York – Dow: DOWN 0.6 percent at 42,114.40 (close)New York – S&P 500: DOWN less than 0.1 percent at 5,808.12 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.6 percent at 18,518.61 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 8,248.84 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.8 percent at 7,497.54 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.1 percent at 19,463.59 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.6 percent at 37,913.92 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.5 percent at 20,590.15 (close)Shanghai – Composite: UP 0.6 percent at 3,299.70 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0799 from $1.0828 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.2958 from $1.2975Dollar/yen: UP at 152.27 yen from 151.83 yenEuro/pound: UP at 83.30 pence from 83.44 pence Brent North Sea Crude: UP 2.3 percent at $76.05 per barrelWest Texas Intermediate: UP 2.3 percent at $71.78 per barrelburs-jmb/bgs
Lancement d’une consultation nationale sur le plan d’adaptation de la France au réchauffement
Des catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes et une facture qui s’alourdit: Michel Barnier a annoncé le lancement vendredi d’une consultation nationale de deux mois pour parachever le nouveau plan d’adaptation de la France au réchauffement climatique.En déplacement à Eveux (Rhône) pour rencontrer des victimes des inondations, il a présenté le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC-3).Ce plan doit “mettre en cohérence tous les leviers de l’action gouvernementale”, et “devra tenir compte de nos stratégies en termes de biodiversité, d’aires protégées, de zones humides, de la question de la santé liée à l’environnement ou encore des démarches engagées pour l’agriculture et pour la forêt avec les agriculteurs”, a résumé M. Barnier.Protection du patrimoine culturel du pays contre les inondations et la chaleur, conditions de travail, santé publique, fonctionnement des écoles, fonction publique, assurances, logements, prisons, communications électroniques, intelligence artificielle…: un vaste éventail des activités humaines est concerné.Exemple concret de ce qui peut attendre nombre de Français: ces victimes des inondations rencontrées par le Premier ministre vendredi dans une zone commerciale de Givors, dans le Rhône, dévastée par les intempéries des 17 et 18 octobre.- 51 mesures -“L’eau est montée en 3 heures 30, une grande partie de la ville a été inondée”, a raconté le maire Mohamed Boudjella. “400 habitations” ont été touchées, ainsi que “110 commerces”, a-t-il expliqué à l’AFP, soulignant que les habitants de la ville ont “de faibles revenus”, “reconstruire leur vie va être long”.Michel Barnier a indiqué que la liste des communes classées en état de catastrophe naturelle serait dévoilée la semaine prochaine. Le plan soumis à la consultation publique est conçu à partir de l’hypothèse d’un réchauffement de 4°C en France d’ici à la fin du siècle par rapport à l’ère préindustrielle (contre 1,7°C à ce stade).Il se base sur une trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique (TRACC) à +2°C en 2023, +2,7°C en 2050 et +4°C en 2100, sachant que chaque dixième de degré supplémentaire apporte son lot de catastrophes et canicules.Attendu depuis la fin 2023, il a sans cesse été repoussé par diverses échéances politiques.Il comprend 51 mesures autour de cinq grands axes: protéger les populations, assurer les risques, adapter les activités humaines, protéger les espaces naturels et culturels, mobiliser les forces vives autour de ce défi.- “Electrochoc” -La première mesure annoncée vendredi consiste à augmenter de 75 millions d’euros en 2025 le fonds Barnier, crée en 1995 par l’actuel locataire de Matignon, alors ministre de l’Environnement, pour le porter à 300 millions.Ce fonds public permet aux collectivités territoriales, aux petites entreprises et aux particuliers de financer des travaux pour réduire la vulnérabilité de bâtiments exposés aux catastrophes naturelles.Récemment, la présidente de France Assureurs, Florence Lustman, avait appelé à arrêter le “hold-up sur le fonds Barnier”, estimant qu’il aurait dû être porté à “à peu près 450 millions d’euros pour 2025″, contre un niveau stable de 225 millions d’euros initialement prévu dans le projet de loi de finances en discussion au Parlement.”L’État ne se donne pas les moyens de mener une vraie politique de protection et de prévention en matière de catastrophes naturelles”, a réitéré vendredi France Assureurs dans une déclaration transmise à l’AFP.Chaque année entre 2009 et 2020, ce fonds a financé environ 700 opérations de prévention pour un total de plus de deux milliards d’euros, selon un rapportde la Caisse centrale de réassurance (CCR).Ce plan doit être “un électrochoc dans notre adaptation”, résume Vivian Dépoues, chercheur à l’Institut de l’économie pour le climat. “Cela doit déclencher dans tous les secteurs et chez les élus un véritable +réflexe adaptation+ pour préparer une France à +4°C”. “Le PNACC-3 sera vain sans moyens financiers adéquats, en particulier pour les plus vulnérables”, s’inquiète toutefois Anne Bringault, directrice des programmes du Réseau Action Climat.”L’adaptation ne pourra reposer sur le chacun pour soi, ni sur un Etat se défaussant sur les collectivités tout en leur coupant les vivres”, ajoute-t-elle, alors que le gouvernement demande un effort de 5 milliards d’euros aux collectivités locales dans son projet de budget 2025, qui prévoit également une coupe de 1,5 milliard dans le Fonds vert, destiné à financer leurs projets de transition écologique.Le directeur du plaidoyer au WWF France, Jean Burkard, a quant à lui déploré que le plan ne prévoie “ni chef de file ni financements”, estimant que “sans tête et sans jambes”, il ne “pourra jamais se déployer”.
BHP, Vale agree to pay $30bn damages for Brazil dam disaster
Mining giants BHP and Vale on Friday signed a deal with Brazil’s government to pay nearly $30 billion in damages for a 2015 dam collapse that triggered the country’s worst environmental disaster.President Luiz Inacio Lula da Silva attended the signing of the deal over the November 5, 2015 collapse of a tailings dam at a mine in the southeastern town of Mariana, which triggered a giant mudslide.The river of mud swamped villages, rivers and rainforest, killing 19 people on its way to the sea.”I hope the mining companies have learned their lesson: it would have cost them less to prevent (the disaster), much less,” Lula said at the ceremony attended by representatives of Brazil’s Vale and Australia’s BHP, co-owners of the Brazilian company Samarco that operated the iron mine.The agreement, which Lula declared to be the biggest environmental payout in modern history, comes on the fifth day of a separate mega-trial in London over BHP’s role in the dam’s failure.More than 620,000 complainants, including 46 Brazilian municipalities and several Indigenous communities, are seeking an estimated £36 billion ($47 million) in damages in the civil trial.BHP denies responsibility.The company said Friday that the agreement reached in Brasilia did not end the lawsuits pending against the companies, nor prevent others being taken.- ‘Our whole world collapsed’ -The dam’s failure released a torrent of over 40 million cubic meters of highly toxic sludge, the equivalent of 12,000 Olympic swimming pools, which coursed through the Doce River all the way to the Atlantic Ocean, over 600 kilometers (373 miles) away. Five-year-old Emanuele Vitoria was among the people buried by the ocher-colored muck in the village of Bento Rodrigues near Mariana in Minas Gerais state.”We felt as if our whole world had collapsed,” her mother Pamela Rayane Fernandes told AFP ahead of the London trial.Over 600 people were left homeless.Scientists say the mouth of the Doce River and parts of the southeast Atlantic coastline are still contaminated with metals from the spill, affecting the area’s population of fish, birds, turtles, porpoises and whales.BHP and Vale had already agreed in 2016 to pay 20 billion reais (about $3.5 billion at today’s rate) in damages, but the negotiations were reopened in 2021 due to what the government called their “non-compliance” and the slow progress of Brazil’s justice system in resolving the dispute.Friday’s agreement in Brazil, which is subject to approval by the country’s Supreme Court, covers the companies’ past and future obligations to assist people, communities and ecosystems affected by the disaster.- Victims ‘not consulted’ -“The agreement marks a new moment of hope for the people,” said Brazil’s Attorney General Jorge Messias, who represented the Brazilian state and local authorities in the negotiations.But some of the victims said they felt the mining giants got off too easily.”We recognize the importance of the agreement and the advances for those affected (by the disaster), but it has deficiencies,” the Movement of People Affected by Dams (MAB) said in a statement. The group said that the damages agreed were “insufficient to achieve the full reparation of the rights” of the victims, and called for those responsible to be brought to justice.The companies agreed to pay 100 billion reais (17.5 billion dollars) to local authorities over twenty years and 32 billion reais ($5.6 billion) towards compensating and resettling the victims, as well as repairing the harm caused to the environment.The remaining 38 billion reais ($6.6 billion) is the amount that the companies say they have already paid in compensation.In London, the head of the law firm representing the complainants, Tom Goodhead, said the agreement “only serves to underline exactly why the proceedings in the English courts are so critical.””The victims have not been consulted about the agreement and part of the reparations will be spread over 20 years,” he said.The victims in the London case say BHP, which had global headquarters in Britain and Australia at the time of the spill, let Samarco accumulate too much toxic sludge, which they say contributed to the disaster.BHP says it cannot be held responsible because it did not own or operate the dam.
Budget : les débats sens dessus dessous à l’Assemblée
Série de revers pour le gouvernement, l’enveloppe des crédits alloués à l’UE supprimée, un bras d’honneur esquissé par l’écologiste Sandrine Rousseau à l’encontre du RN… les débats sur le budget 2025 ont viré au baroque vendredi à l’Assemblée, laissant désabusée une partie du camp gouvernemental.Une enveloppe de 23 milliards d’euros qui saute ? C’est le résultat d’un bras de fer parlementaire entre le Rassemblement national et ses adversaires à l’Assemblée, qui a fini par supprimer du texte le prélèvement de l’Etat dédié à l’Union européenne.Le RN venait de décrocher de justesse par amendement un rabot de 5 milliards d’euros sur ces crédits. Pris de court, le reste de l’Assemblée s’est divisée : la gauche et quelques centristes ont fait rejeter l’article, tandis que les macronistes se sont pour la plupart abstenus.Tout cela sur fond de polémique dans l’hémicycle, le RN Bryan Masson accusant l’écologiste Sandrine Rousseau d’avoir fait un bras d’honneur. Celle-ci a reconnu avoir “entamé” le geste et présenté ses “excuses à l’ensemble des députés”.L’enveloppe supprimée du projet de loi de finances pourrait toutefois être réintroduite au gré de la navette parlementaire ou d’un recours au 49.3. Et le gouvernement aura fort à faire, plusieurs articles ayant été supprimés par les oppositions, voire avec le soutien de membres de la coalition gouvernementale. En fin d’après-midi, les députés ont ainsi retoqué celui qui autorisait le gouvernement à taxer l’électricité à un niveau supérieur à la période d’avant crise énergétique.Bercy, qui veut ainsi mettre fin au bouclier tarifaire mis en place pendant la crise inflationniste, promet au final une baisse de 9% du tarif règlementé en raison de la diminution du coût de l’énergie.Mais une coalition des oppositions, et les députés Droite républicaine (ex-LR), pourtant alliés du gouvernement Barnier, ont invoqué le risque pour les factures des usagers et le manque de marge de manoeuvre laissé au Parlement pour contrôler la hausse.- “Revoir la copie” -Plus tôt ce matin, les oppositions avaient déjà supprimé d’autres articles, comme celui prévoyant une réforme du tarif préférentiel d’accès à l’électricité nucléaire, dit Arenh, qui disparaîtra fin 2025.Le tout avec une confortable majorité face à une quarantaine de membres de la coalition gouvernementale.”Personne ne se sent respecté par le Premier ministre donc personne ne fait d’effort”, constate un collaborateur parlementaire au groupe Ensemble pour la République. “C’est la perspective du 49.3 qui démotive les troupes”, regrette un député du camp macroniste.Si les députés ont supprimé la taxe sur l’électricité, ils en ont ajouté une et non des moindres contre l’avis du gouvernement : un impôt sur le patrimoine des milliardaires. Porté par LFI, ce nouvel impôt irait taxer 2% de la fraction supérieure de patrimoine d’un foyer qui dépasserait le milliard d’euro. Une mesure qui irait “ponctionner 13 milliards” sur le patrimoine des contribuables concernés, a critiqué le ministre du Budget Laurent Saint-Martin, y voyant “le meilleur moyen de faire fuir ceux qui peuvent investir dans notre pays”.Environ 2.000 amendements restaient à examiner sur la partie recettes du PLF en début de soirée. Son examen doit théoriquement se terminer samedi soir, avant un vote solennel prévu mardi, si tous les amendements sont étudiés.D’ici là, le gouvernement pourrait aussi recourir au 49.3, voire renvoyer la suite de l’examen à début novembre. Ce qui rapprocherait les débats d’une barre fatidique des 40 jours au terme desquels le projet de loi pourrait passer directement au Sénat.”Je veux laisser le débat se poursuivre”, a redit vendredi Michel Barnier en déplacement dans le Rhône.Le gouvernement a aussi connu un revers sur son projet de budget de la Sécurité sociale, rejeté à l’unanimité en commission, avant son arrivée dans l’hémicycle lundi. Plusieurs mesures gouvernementales ont été repoussées, y compris par ses soutiens à l’Assemblée (refonte des cotisations patronales, gel des pensions de retraite). “Il n’y a pas de pilote dans l’avion”, a ironisé Jérôme Guedj (PS). “Pour des raisons différentes, les groupes se sont rejoints sur le non-vote”, a nuancé la macroniste Stéphanie Rist, jugeant qu’il “faut revoir la copie”.
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