Ligue des champions: la Juve se sort difficilement du piège Pafos (2-0)

La Juventus Turin a souffert, mais a fini par venir à bout de Pafos (2-0), mercredi, pour se relancer dans la course à la qualification aux 8e de finale de la Ligue des champions.Sur le papier, il n’y avait pas photo entre la Juve, club le plus titré du calcio, double vainqueur de la C1, et le champion de Chypre, nouveau venu dans la compétition-reine du football européen.Mais la “Vieille Dame” prend encore cette saison un malin plaisir à décevoir ses tifosi. Ou au moins à jouer avec leurs nerfs.Contre une équipe ne faisant aucun complexe, qui ne s’était pas encore inclinée en deux déplacements en Ligue des champions (0-0 sur le terrain de l’Olympiakos et du Kairat Almaty), la Juventus a tremblé.Il n’a fallu que cinq minutes à Luciano Spalletti pour comprendre qu’il allait passer une soirée compliquée lorsqu’il a vu Anderson Silva toucher le montant droit de Michele Di Gregorio, battu, d’une astucieuse talonnade.L’attaquant brésilien, au terme d’un contre fulgurant lancé par l’omniprésent Joao Correia, a encore touché du bois à la 32e minute pour la plus grand colère de Spalletti.- Sifflets nourris à la pause -Seul comme souvent à jouer à son niveau au sein d’une Juve bien timorée, Kenan Yildiz a failli ouvrir le score à la 8e minute, mais sa frappe enroulée a été détournée par Georgios Michael, le gardien masqué du Pafos.Signe du manque de confiance des Bianconeri, déjà distancé dans la course au titre de champion d’Italie (7e à huit points de la tête), Jonathan David a manqué l’immanquable à la 42e minute, seul devant Michael.Rentrés aux vestiaires sous les sifflets nourris de leurs supporters à la pause, les Turinois ont attendu l’heure de jeu et l’entrée de Francisco Conceiçao pour prendre l’ascendant.Weston McKennie a fait exploser l’Allianz Stadium en ouvrant la marque à la 67e minute, sur une ouverture d’Andrea Cambiaso.Six minutes plus tard, la Juve a mis Pafos KO au terme d’une combinaison entre Conceiçao et Yildiz, conclue par David.”On a été mis en difficultés en première période, on a trop reculé et perdu trop de ballons, mais l’important était de gagner ce match”, a analysé Spalletti au micro de Sky Sport.Grâce à cette victoire, la deuxième en Ligue des champions cette saison, la Juve s’est replacée à la 17e place avec neuf points, avant de recevoir le Benfica le 21 janvier.Elle est aussi restée invaincue à domicile, toutes compétitions confondues (cinq victoires, autant de nuls en championnat et en C1).Pafos peut encore rêver de poursuivre son aventure européenne: le champion de Chypre qui affrontera Chelsea, est 26e (6 pts). 

Ligue des champions: Manchester City renverse le Real Madrid, Xabi Alonso en grand danger

Sans sa superstar Kylian Mbappé, le Real Madrid, renversé (2-1) mercredi par Manchester City dans un choc haletant en Ligue des champions, a concédé mercredi une deuxième défaite consécutive sur sa pelouse qui pourrait précipiter la chute de son entraîneur Xabi Alonso.Même s’il n’y avait ni trophée, ni médaille au bout, ce classique européen était bien une finale pour le technicien basque, dont l’avenir s’est un peu plus assombri, après ce deuxième revers en trois jours.Xabi Alonso, dominé dans son duel avec son mentor Pep Guardiola, pourrait ainsi voir son projet collectif prendre brutalement fin après seulement sept mois sur le banc de la Maison Blanche, où deux défaites peuvent avoir la tête d’un entraîneur.La prestation de ses joueurs, transfigurés par rapport à l’humiliation dimanche dernier face au Celta Vigo (2-0), pourrait néanmoins lui offrir un dernier sursis dimanche contre Alavés, faute de remplaçant de son calibre disponible sur le marché.Les Merengues, qui ont terminé la rencontre épuisés, sous une nouvelle bronca, ont en effet mis l’envie et l’intensité nécessaire dans ce genre de soirées, donnant quelques raisons supplémentaires d’estimer que l’armada de stars madrilène choisit ses matches.- Haaland muselé mais décisif -Comment expliquer, sinon, l’entame conquérante des Espagnols, qui auraient pu prendre l’avantage dès la deuxième minute de jeu lorsque Vinicius Junior, fauché par Matheus Nunes à l’entrée de la surface, a cru obtenir un penalty qui ne fut qu’un coup franc (2e) menant à une première tentative déviée de Federico Valverde (4e).Même sans Mbappé diminué et laissé sur le banc, le Roi d’Europe, dominé dans le jeu, a alors rappelé qu’il avait les joueurs pour traverser le terrain en trois passes, et piquer à tout moment en contre-attaque.Trouvé sur son côté gauche, Vinicius a cependant manqué d’efficacité devant l’ex-gardien parisien Gianluigi Donnarumma (7e, 15e).Les Madrilènes ont fini par ouvrir le score en contre, grâce à un but de Rodrygo, bien lancé par Jude Bellingham pour tromper le portier italien d’une frappe croisée (28e, 1-0) et mettre fin à la plus longue disette de l’histoire du club (32 matchs de suite).Pris de vitesse sur le coup, le jeune latéral anglais Nico O’Reilly, opportuniste sur un corner bien tiré par Rayan Cherki, s’est bien rattrapé en égalisant de près (35e, 1-1), sur la seule première opportunité anglaise.Cinq minutes plus tard, le colosse norvégien Erling Haaland, transparent jusqu’ici mais encore accroché par l’Allemand Antonio Rudiger dans la surface, a obtenu puis transformé un penalty logique pour tout renverser avant la mi-temps (43e, 2-1).Sa cinquième réalisation en six journées de C1, la 21e en 21 matches toutes compétitions confondues avec les Skyblues, qui auraient même pu enfoncer le clou, sans deux parades de suite de Thibaut Courtois (45e).Décalé en position idéale par Rodrygo, l’Anglais Jude Bellingham, omniprésent au milieu, a lui raté une occasion en or de ramener le Real à hauteur en tentant une balle piquée qui a fini au-dessus (51e)Face notamment aux percées de Jérémy Doku et Rayan Cherki, la suite fut bien compliquée pour la défense merengue, privée de Carvajal, Militao, Huijsen, Alaba, Alexander-Arnold et Mendy, mais une nouvelle fois sauvé par Courtois (52e, 59e, 62e).Dos au mur et sans Kylian Mbappé pour le sauver cette fois-ci, Xabi Alonso a lancé toutes ses armes offensives pour tenter de faire basculer la rencontre, et son destin, du bon côté.Mais ni Vinicius, encore maladroit (77e, 80e) ni le jeune Brésilien Endrick, qui a trouvé la barre de la tête (85e), n’ont pu lui offrir ce luxe. 

Ligue des champions: Arsenal poursuit son sans-faute à Bruges

Et de six pour Arsenal. Les Gunners ont poursuivi leur parcours parfait en Ligue des champions en venant tranquillement à bout du Club Bruges (3-0) mercredi dans la Venise du nord grâce notamment à un doublé de Madueke.Les hommes de Mikel Arteta, qui a vu la série de 18 matches sans défaite de son équipe toutes compétitions confondues prendre fin à Aston Villa le week-end dernier, ont donc rapidement retrouvé le goût du succès. Une sensation qui ne les quitte pas depuis septembre sur la scène continentale.Avec dix-huit points, le maximum, les Londoniens continuent de marcher sur l’Europe deux semaines après une victoire probante face au Bayern Munich, l’autre ogre de ce début de saison.Au stade Jan Breydel, ils n’ont jamais tremblé, mis sur orbite par un but de Noni Madueke à la 25e. L’ailier anglais a profité de la nonchalance de la défense locale pour s’avancer tranquillement vers les seize mètres avant de placer le ballon sous la barre défendue par Tristan van den Heuvel.Au retour des vestiaires (47e), Madueke, à nouveau oublié par l’arrière-garde locale, a ensuite plié le match d’une tête à la réception d’un centre de Martin Zubimendi pour inscrire son quatrième but en C1 cette saison.Martinelli d’une frappe enroulée avant l’heure de jeu a ensuite donné au score son allure définitive.Le terreau était favorable à Martin Odegaard et ses équipiers pour un rebond rapide après leur revers du weekend en Premier League, face à une formation en crise de confiance ces dernières semaines (trois défaites en quatre matches de championnat).Une situation qui a poussé la direction brugeoise à remplacer… deux jours avant ce duel l’entraîneur Nicky Hayen, très apprécié des supporteurs, par le Croate Ivan Leko. Une décision (surtout le moment choisi) qui a surpris tout le monde, joueurs y compris.En 48 heures, Leko n’a évidemment pas eu le temps d’imposer sa griffe. Et à l’exception de quelques temps forts, surtout en fin de première période, Bruges n’a guère inquiété des Gunners pourtant privés de nombreux titulaires.L’infirmerie d’Arsenal ne désemplit pas depuis plusieurs semaines.  Le Belge Leandro Trossard n’a pas fait le déplacement sur ses terres après s’être blessé à Villa. Les défenseurs centraux William Saliba, Gabriel Magalhaes et Cristhian Mosquera étaient également tous indisponibles, tandis que l’attaquant allemand Kai Havertz reste sur la touche, à l’instar de Declan Rice, malade.Arsenal a subi 95 blessures depuis le début de la saison dernière, dont 28 cette saison. Une situation qui pousse à questionner le style de management de Mikel Arteta contraint de défendre ses méthodes d’entraînement lors de la conférence de presse d’avant-match, mardi.Lorsque des médias l’ont soupçonné d’en demander trop à ses joueurs à l’entraînement, Arteta a répondu: “Non, parce que nous n’avons pas le temps de nous entraîner. Aujourd’hui (mardi), nous avons fait 20 minutes, donc ce n’est certainement pas parce que nous avons trop entraîné les joueurs. Mais évidemment, quand il vous manque des joueurs, vous surchargez les autres, ce qui a des conséquences, et c’est un cercle vicieux très dangereux”, s’est-il plaint.

US stocks rise, dollar retreats as Fed tone less hawkish than feared

Wall Street stocks rose and the dollar retreated Wednesday after the Federal Reserve cut interest rates again as it seeks to shore up a vulnerable US labor market.The rate cut was expected, but stocks had been under pressure in recent days in part due to speculation that the Fed would combine Wednesday’s interest rate cut with commentary suggesting a pause to further easing in light of still-elevated inflation.But market watchers read Fed Chair Jerome Powell’s emphasis on the job market during a press conference as a signal that the Fed could cut interest rates again in 2026. Powell’s “press conference today was less hawkish than a lot of investors had anticipated,” said CFRA Research’s Sam Stovall. “And I think that that will go a long way to propelling stocks through the end of the year and allowing us to end on a positive note.””Powell did sound very supportive of cutting rates more if need be,” Stovall said.Stocks rose throughout the news conference, with the broad-based S&P 500 finishing up 0.7 percent. The dollar retreated against the euro and other major currencies.Powell described the current countervailing pressures on the central bank as an unusual challenge, with the Fed’s dual mandates on inflation and the job market pointing towards opposite policies.The US central bank’s third straight interest rate cut comes as inflation remains well above the Fed two-percent target. Recent US labor data has also shown some weakening, although the central bank has been forced to do without key economic reports due to the government shutdown.”We’re going to need to have some years where real compensation is higher” than inflation “for people to start feeling good about affordability,” Powell said.Wednesday’s cut by a quarter percentage point brings rates to a range between 3.50 percent and 3.75 percent, the lowest in around three years, a move aligned with market expectations.Three Fed officials dissented.Chicago Fed president Austan Goolsbee and Kansas City Fed president Jeffrey Schmid instead sought to keep rates unchanged. Fed Governor Stephen Miran backed a bigger, half-percentage-point cut.Earlier, London closed 0.1 percent in the green but Frankfurt and Paris were just off, while Asia saw a lackluster session.After November’s tech-led swoon, stock markets have enjoyed a healthy run in recent weeks as weak jobs figures reinforced expectations for another step lower in borrowing costs.But that has cooled heading into the Fed gathering after the release of US inflation data that was slightly higher than expected.The price of silver hit a record high at $61.9507 an ounce owing to high demand for the metal used by industry as well as for making jewelry.It topped $60 for the first time Tuesday, also thanks to supply constraints.- Key figures at around 2115 GMT -New York – Dow: UP 1.1 percent at 48,057.75 (close)New York – S&P 500: UP 0.7 percent at 6,886.68 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.2 percent at 23,654.16 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,655.02 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.4 percent at 8,022.69 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 24,130.14 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.1 percent at 50,602.80 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.4 percent at 25,540.78 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.2 percent at 3,900.50 (close)Dollar/yen: DOWN at 155.92 yen from 156.88 yen on TuesdayEuro/dollar: UP at $1.1693 from $1.1627Pound/dollar: UP at $1.3384 from $1.3297Euro/pound: DOWN at 87.36 pence from 87.43 penceBrent North Sea Crude: UP 0.4 percent at $62.21 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.4 percent at $58.46 per barrel

M23 tightens grip on key DR Congo city in ‘middle finger’ to USWed, 10 Dec 2025 21:39:12 GMT

The Rwanda-backed M23 militia captured most of the key eastern DR Congo town of Uvira late on Wednesday, in a move Burundi called a “middle finger” to the United States after the signing of a peace deal in Washington.Eyewitness footage whose filming location was verified by AFP showed M23 tanks rolling through the streets of …

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