Russian mercenaries draw suspicion in Equatorial GuineaFri, 18 Apr 2025 05:48:10 GMT

Authorities have never announced their deployment and they do not appear in official photographs — but Russian mercenaries in combat fatigues are a daily sight in Equatorial Guinea’s capital Malabo.Their presence, and the lack of transparency about their mission, has annoyed some citizens in this central African country on the Atlantic coast, stricken by poverty …

Russian mercenaries draw suspicion in Equatorial GuineaFri, 18 Apr 2025 05:48:10 GMT Read More »

Mulatu Astatke: long journey for the ‘father of Ethio-jazz’Fri, 18 Apr 2025 05:24:53 GMT

Mulatu Astatke struggled for decades before his name became associated worldwide with a musical genre and he was finally born as the father of Ethio-jazz.Now despite that long journey and his 81 years of age, the Ethiopian music legend cannot even “think about retirement”.A one-man band, equally at home with the vibraphone and the conga, …

Mulatu Astatke: long journey for the ‘father of Ethio-jazz’Fri, 18 Apr 2025 05:24:53 GMT Read More »

Yémen: Washington annonce avoir “détruit” un port pétrolier, les Houthis font état de 20 morts

Les rebelles houthis au Yémen ont affirmé que de nouvelles frappes imputées aux Etats-Unis sur le port pétrolier de Ras Issa sur la mer Rouge ont porté vendredi le bilan à “20 morts et 50 blessés”, selon un bilan encore provisoire.Après les frappes revendiquées jeudi par Washington, de nouveaux raids ont visé cette infrastructure stratégique située près de Hodeida alors que les opérations de secours étaient encore en cours, selon les Houthis.”Le bilan des victimes de l’attaque américaine contre le port pétrolier de Ras Issa s’élève désormais à 20 morts”, a affirmé Anees Alasbahi, porte-parole du ministère de la Santé des Houthis.”Cinq secouristes et ambulanciers sont morts (…) en accomplissant leur devoir”, affirme la même source selon laquelle ils ont été fauchés alors qu’une “agression américaine a de nouveau frappé le port pétrolier”.L’armée américaine avait annoncé jeudi avoir mené des bombardements ayant abouti à la “destruction” de ce port.Un précédent bilan avait fait état de 13 morts et 30 blessés.Sur des images diffusées tôt vendredi par la chaîne des rebelles Al-Massira et présentées comme les “premières images de l’agression américaine” contre le port pétrolier, une boule de feu éclaire la zone où se trouvent des navires, tandis que d’épaisses colonnes de fumée s’élèvent au-dessus de ce qui semble être un incendie.”Les équipes de secours de la défense civile et les ambulanciers déploient tous leurs efforts pour rechercher et extraire les victimes et éteindre l’incendie”, a souligné vendredi M. Alasbahi.Des manifestations “contre les frappes américaines et pour les Palestiniens à Gaza” sont prévues vendredi au Yémen par les Houthis.- “Revenu illégal” -Le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom) avait expliqué jeudi que “l’objectif de ces frappes était de s’en prendre aux sources économiques du pouvoir des Houthis”.”Les Etats-Unis ont pris (ces) mesures afin d’éliminer cette source d’hydrocarbures pour les terroristes Houthis, soutenus par l’Iran, et les priver du revenu illégal qui a financé les actions des Houthis pour terroriser toute la région depuis plus de dix ans”, a ajouté le Centcom.Washington, qui a désigné les Houthis comme organisation terroriste étrangère début mars, accuse ceux-ci de s’accaparer les revenus de ce port situé au nord d’Hodeida.”Ces hydrocarbures devraient être fournis de manière légitime aux habitants du Yémen”, souligne le Centcom.Jeudi, Washington a imposé des sanctions contre une banque du Yémen et ses principaux dirigeants, en raison de son soutien jugé “essentiel” aux Houthis.Le groupe rebelle est entré dans le collimateur de Washington en déclenchant, en novembre 2023, des attaques contre des navires empruntant la mer Rouge, perturbant le trafic maritime international.Les Houthis, qui disent agir en solidarité avec les Palestiniens dans la cadre de la guerre menée par Israël à Gaza, ciblent également régulièrement Israël avec des missiles.Vendredi matin, l’armée israélienne a une nouvelle fois annoncé avoir intercepté un tel missile en provenance du Yémen.Les frappes de riposte américaines sur le Yémen ont été accentuées mi-mars par le président américain Donald Trump.Mercredi, les rebelles ont accusé les Etats-Unis d’avoir mené plusieurs frappes aériennes contre la capitale Sanaa, où une personne a été tuée selon eux.  Les attaques en mer Rouge et dans le golfe d’Aden, une zone maritime essentielle pour le commerce mondial, ont poussé les Etats-Unis à mettre en place une coalition navale multinationale et à frapper des cibles rebelles au Yémen, parfois avec l’aide du Royaume-Uni.Jeudi soir, le ministre français de la Défense Sébastien Lecornu a annoncé la “destruction par une frégate française d’un drone tiré depuis le Yémen”.”Nos armées continuent leur engagement pour garantir la libre circulation maritime”, a-t-il ajouté sur X.

Yémen: Washington annonce avoir “détruit” un port pétrolier, les Houthis font état de 20 morts

Les rebelles houthis au Yémen ont affirmé que de nouvelles frappes imputées aux Etats-Unis sur le port pétrolier de Ras Issa sur la mer Rouge ont porté vendredi le bilan à “20 morts et 50 blessés”, selon un bilan encore provisoire.Après les frappes revendiquées jeudi par Washington, de nouveaux raids ont visé cette infrastructure stratégique située près de Hodeida alors que les opérations de secours étaient encore en cours, selon les Houthis.”Le bilan des victimes de l’attaque américaine contre le port pétrolier de Ras Issa s’élève désormais à 20 morts”, a affirmé Anees Alasbahi, porte-parole du ministère de la Santé des Houthis.”Cinq secouristes et ambulanciers sont morts (…) en accomplissant leur devoir”, affirme la même source selon laquelle ils ont été fauchés alors qu’une “agression américaine a de nouveau frappé le port pétrolier”.L’armée américaine avait annoncé jeudi avoir mené des bombardements ayant abouti à la “destruction” de ce port.Un précédent bilan avait fait état de 13 morts et 30 blessés.Sur des images diffusées tôt vendredi par la chaîne des rebelles Al-Massira et présentées comme les “premières images de l’agression américaine” contre le port pétrolier, une boule de feu éclaire la zone où se trouvent des navires, tandis que d’épaisses colonnes de fumée s’élèvent au-dessus de ce qui semble être un incendie.”Les équipes de secours de la défense civile et les ambulanciers déploient tous leurs efforts pour rechercher et extraire les victimes et éteindre l’incendie”, a souligné vendredi M. Alasbahi.Des manifestations “contre les frappes américaines et pour les Palestiniens à Gaza” sont prévues vendredi au Yémen par les Houthis.- “Revenu illégal” -Le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom) avait expliqué jeudi que “l’objectif de ces frappes était de s’en prendre aux sources économiques du pouvoir des Houthis”.”Les Etats-Unis ont pris (ces) mesures afin d’éliminer cette source d’hydrocarbures pour les terroristes Houthis, soutenus par l’Iran, et les priver du revenu illégal qui a financé les actions des Houthis pour terroriser toute la région depuis plus de dix ans”, a ajouté le Centcom.Washington, qui a désigné les Houthis comme organisation terroriste étrangère début mars, accuse ceux-ci de s’accaparer les revenus de ce port situé au nord d’Hodeida.”Ces hydrocarbures devraient être fournis de manière légitime aux habitants du Yémen”, souligne le Centcom.Jeudi, Washington a imposé des sanctions contre une banque du Yémen et ses principaux dirigeants, en raison de son soutien jugé “essentiel” aux Houthis.Le groupe rebelle est entré dans le collimateur de Washington en déclenchant, en novembre 2023, des attaques contre des navires empruntant la mer Rouge, perturbant le trafic maritime international.Les Houthis, qui disent agir en solidarité avec les Palestiniens dans la cadre de la guerre menée par Israël à Gaza, ciblent également régulièrement Israël avec des missiles.Vendredi matin, l’armée israélienne a une nouvelle fois annoncé avoir intercepté un tel missile en provenance du Yémen.Les frappes de riposte américaines sur le Yémen ont été accentuées mi-mars par le président américain Donald Trump.Mercredi, les rebelles ont accusé les Etats-Unis d’avoir mené plusieurs frappes aériennes contre la capitale Sanaa, où une personne a été tuée selon eux.  Les attaques en mer Rouge et dans le golfe d’Aden, une zone maritime essentielle pour le commerce mondial, ont poussé les Etats-Unis à mettre en place une coalition navale multinationale et à frapper des cibles rebelles au Yémen, parfois avec l’aide du Royaume-Uni.Jeudi soir, le ministre français de la Défense Sébastien Lecornu a annoncé la “destruction par une frégate française d’un drone tiré depuis le Yémen”.”Nos armées continuent leur engagement pour garantir la libre circulation maritime”, a-t-il ajouté sur X.

Cash crunch leaves Syrians queueing for hours to collect salaries

Seated on the pavement outside a bank in central Damascus, Abu Fares’s face is worn with exhaustion as he waits to collect a small portion of his pension.”I’ve been here for four hours and I haven’t so much as touched my pension,” said the 77-year-old, who did not wish to give his full name.”The cash dispensers are under-stocked and the queues are long,” he continued.Since the overthrow of president Bashar al-Assad last December, Syria has been struggling to emerge from the wake of nearly 14 years of civil war, and its banking sector is no exception.Decades of punishing sanctions imposed on the Assad dynasty — which the new authorities are seeking to have lifted — have left about 90 percent of Syrians under the poverty line, according to the United Nations.The liquidity crisis has forced authorities to drastically limit cash withdrawals, leaving much of the population struggling to make ends meet.Prior to his ousting, Assad’s key ally Russia held a monopoly on printing banknotes. The new authorities have only announced once that they have received a shipment of banknotes from Moscow since Assad’s overthrow.In a country with about 1.25 million public sector employees, civil servants must queue at one of two state banks or affiliated ATMs to make withdrawals, capped at about 200,000 Syrian pounds, the equivalent on the black market of $20 per day.In some cases, they have to take a day off just to wait for the cash.”There are sick people, elderly… we can’t continue like this,” said Abu Fares.- ‘Meagre sums’ -“There is a clear lack of cash, and for that reason we deactivate the ATMs at the end of the workday,” an employee at a private bank told AFP, preferring not to give her name.A haphazard queue of about 300 people stretches outside the Commercial Bank of Syria. Some are sitting on the ground.Afraa Jumaa, a civil servant, said she spends most of the money she withdraws on the travel fare to get to and from the bank.”The conditions are difficult and we need to withdraw our salaries as quickly as possible,” said the 43-year-old.”It’s not acceptable that we have to spend days to withdraw meagre sums.”The local currency has plunged in value since the civil war erupted in 2011, prior to which the dollar was valued at 50 pounds.Economist Georges Khouzam explained that foreign exchange vendors — whose work was outlawed under Assad — “deliberately reduced cash flows in Syrian pounds to provoke rapid fluctuations in the market and turn a profit”.Muntaha Abbas, a 37-year-old civil servant, had to return three times to withdraw her entire salary of 500,000 pounds.”There are a lot of ATMs in Damascus, but very few of them work,” she said.After a five-hour wait, she was finally able to withdraw 200,000 pounds.”Queues and more queues… our lives have become a series of queues,” she lamented.

Ivory Coast opposition names leader as presidential candidateFri, 18 Apr 2025 03:30:02 GMT

Ivory Coast’s main opposition party on Thursday formally named its leader Tidjane Thiam as its candidate for the October presidential election.The 62-year-old former Credit Suisse bank chief executive was the only contender for the centre-right Democratic Party (PDCI).Tensions in the wealthy west African country are running high six months from the scheduled polling date.Businessman and …

Ivory Coast opposition names leader as presidential candidateFri, 18 Apr 2025 03:30:02 GMT Read More »

Netflix réjouit Wall Street avec des résultats trimestriels supérieurs aux attentes

Netflix a enregistré une croissance solide au premier trimestre et n’anticipe pas d’impact majeur lié aux guerres commerciales de Donald Trump, des annonces et déclarations qui ont réjoui Wall Street jeudi.Le géant américain du streaming a réalisé 10,54 milliards de dollars de chiffre d’affaires au premier trimestre, en hausse de 12,5% sur un an, dont il a dégagé 2,89 milliards de dollars de bénéfice net, deux résultats supérieurs aux attentes du marché.Son titre prenait près de 3% lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse de New York.”Nous suivons de près la situation économique, notamment la confiance des consommateurs (…) mais nous n’observons rien de significatif pour l’instant”, a indiqué Ted Sarandos, le co-directeur général de la société, lors de la conférence aux analystes.”Historiquement, le fait que le secteur du divertissement, et Netflix en particulier, se soient montrés assez résistants pendant les périodes économiques difficiles nous rassure aussi”, a-t-il ajouté.La guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine et les menaces de droits de douane plus élevés de la part du président américain Donald Trump pèsent sur les entreprises. Certaines marques diminuent leurs budgets publicitaires.”Que les nouvelles taxes soient ou non appliquées, cette situation est destructive pour de nombreuses industries et rendra le divertissement plus coûteux à produire”, a commenté Ross Benes, de Emarkerter.”Mais Netflix est en mesure de résister à la pression mieux que la plupart de ses concurrents, du moins dans un premier temps, en raison de sa faible dépendance aux recettes publicitaires et de ses taux d’annulation des abonnements relativement faibles par rapport à ses pairs”, a ajouté l’analyste.La plateforme table sur plus de 11 milliards de dollars de revenus pour le trimestre en cours, une estimation meilleure que celle du marché.- “Engagement” -A la fois pionnier et leader de l’industrie du streaming, Netflix comptait plus de 300 millions d’abonnés en décembre dernier.Le groupe californien venait alors de gagner près de 19 millions de nouveaux abonnements pendant le quatrième trimestre 2024, des chiffres qui font pâlir la concurrence.Mais, comme il l’avait annoncé, il ne divulgue plus cet indicateur désormais, afin de se concentrer sur les mesures “d’engagement” de l’audience (temps passé à regarder des contenus).Netflix “a supprimé cette mise à jour trimestrielle au moment où les gains liés à la fin du partage des mots de passe entre utilisateurs allaient diminuer et où les perspectives d’augmentation du nombre d’abonnés semblaient s’essouffler”, a noté Ross Benes.Selon l’expert, tout le secteur du streaming se concentre maintenant moins sur les gains de spectateurs, et plus sur les revenus par abonné.”Les consommateurs peuvent s’attendre à de nouvelles augmentations de prix”, a-t-il détaillé.En décembre, la plateforme a augmenté ses prix aux Etats-Unis : la formule “Standard” est passée à 18 dollars au lieu de 15,50 et la formule moins chère avec de la publicité, lancée fin 2022, à 8 dollars par mois au lieu de 7.Netflix espère commencer à tirer des revenus significatifs de cet abonnement cette année. “Nous avons doublé nos recettes publicitaires d’une année sur l’autre en 2024, et nous prévoyons de les doubler à nouveau cette année”, avait indiqué en janvier Greg Peters, co-directeur général du service.Il a évoqué jeudi l’ambition de ses équipes de parvenir au “même niveau de sophistication” dans la distribution des clips publicitaires que dans les recommandations de contenus, c’est-à-dire “trouver la bonne pub pour le bon public et la bonne émission”.Pour convaincre les spectateurs, Netflix va continuer d’investir dans les émissions en direct, notamment dans le sport. “Le direct représente une part relativement faible de nos dépenses et du nombre d’heures visionnées”, a reconnu Ted Sarandos, “mais les retombées sont disproportionnellement positives en termes d’attraction des spectateurs et sans doute de la rétention (des abonnés)”.La plateforme compte aussi sur une nouvelle saison de la série dystopique “Black Mirror”, sortie ce mois-ci, et la très attendue dernière saison de “Stranger Things”, prévue pour plus tard cette année.