Canicule: quatre départements du sud de la France en vigilance orange

Quatre départements du sud de la France, les Bouches-du-Rhône, le Gard, l’Hérault et les Pyrénées-Orientales, ont été placés en vigilance orange à la canicule pour la journée de vendredi, a annoncé Météo France dans son communiqué de 16h00 jeudi.Cette vigilance, qui débutera à 12h00 et jusqu’à minuit, est notamment due aux températures de surface de la Méditerranée, qui pourraient “influencer l’effet des températures minimales (et) rendre plus étouffantes les nuits”, précise l’organisme de prévision, selon qui il est “probable” que cet épisode soit prolongé “au cours des prochains jours”. Selon Météo France, la chaleur va en effet se maintenir sur le pourtour méditerranéen, puis s’étendre durant le week-end plus au nord et vers le centre du pays. Cet épisode caniculaire va débuter avec des valeurs comprises entre 35 et 38 degrés sur le pourtour méditerranée, et jusqu’à 39 degrés localement, “voire plus en pointe à l’intérieur des terres”, précise l’organisme, prévenant que la nuit de vendredi à samedi sera “très chaude et étouffante”.Les maximales de samedi devraient être proches de 37 à 39 degrés.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Canicule: quatre départements du sud de la France en vigilance orange

Quatre départements du sud de la France, les Bouches-du-Rhône, le Gard, l’Hérault et les Pyrénées-Orientales, ont été placés en vigilance orange à la canicule pour la journée de vendredi, a annoncé Météo France dans son communiqué de 16h00 jeudi.Cette vigilance, qui débutera à 12h00 et jusqu’à minuit, est notamment due aux températures de surface de la Méditerranée, qui pourraient “influencer l’effet des températures minimales (et) rendre plus étouffantes les nuits”, précise l’organisme de prévision, selon qui il est “probable” que cet épisode soit prolongé “au cours des prochains jours”. Selon Météo France, la chaleur va en effet se maintenir sur le pourtour méditerranéen, puis s’étendre durant le week-end plus au nord et vers le centre du pays. Cet épisode caniculaire va débuter avec des valeurs comprises entre 35 et 38 degrés sur le pourtour méditerranée, et jusqu’à 39 degrés localement, “voire plus en pointe à l’intérieur des terres”, précise l’organisme, prévenant que la nuit de vendredi à samedi sera “très chaude et étouffante”.Les maximales de samedi devraient être proches de 37 à 39 degrés.

Foot: Cristiano Ronaldo prolonge avec Al-Nassr en Arabie saoudite jusqu’en 2027

À 40 ans, le Portugais Cristiano Ronaldo a prolongé son contrat avec Al-Nassr jusqu’en 2027, a annoncé jeudi le club saoudien, mettant fin à des semaines de spéculation.”L’histoire continue…”: dans une vidéo puis dans un message sur le réseau social X, Al-Nassr a officialisé la prolongation de contrat de deux ans de la star portugaise, arrivée en Arabie saoudite début 2023.Fin mai, le quintuple Ballon d’Or avait pourtant annoncé la fin du “chapitre” Al-Nassr, tout en assurant, sans plus de précisions, que son histoire allait continuer “de s’écrire”. Mais il avait ensuite affirmé, après la victoire du Portugal en Ligue des nations le 8 juin, qu’il était prêt à rester à Al-Nassr.Le président de la Fifa, Gianni Infantino, avait par ailleurs laissé entendre que Ronaldo pourrait quitter le club saoudien pour rejoindre une équipe qualifiée pour la Coupe du monde des clubs, qui se déroule actuellement aux Etats-Unis en présence du rival argentin du Portugais, Lionel Messi.Dans la vidéo publiée par Al-Nassr jeudi, CR7 met donc fin au suspense: pied nus sur la plage, on le voit tout sourire annoncer simplement “Al-Nassr forever” (Al-Nassr pour toujours). S’il n’est pas au Mondial des clubs, l’homme au 221 sélections avec la Seleção pourrait être de la partie lors de la Coupe du monde des nations l’an prochain, aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada, pour décrocher le seul trophée qui manque à son palmarès hors normes. L’arrivée de la superstar en Arabie saoudite avait marqué en 2023 le début d’un afflux de joueurs en fin de carrière dans le riche royaume pétrolier.”La présence de Ronaldo est un facteur clé dans le développement de la ligue saoudienne ces deux dernières années et demie. Il a ouvert la porte à des joueurs d’élite et jeunes pour venir en Arabie saoudite”, avait déclaré à l’AFP une source au sein du fonds souverain saoudien (PIF).Le PIF, fonds souverain alimenté par les revenus pétroliers, contrôle plusieurs clubs de la Saudi Pro League, notamment Al Nassr, Al Hilal et Al Ahli.Si Ronaldo reste finalement, la star brésilienne Neymar a lui mis fin à son séjour de 18 mois, marqué par les blessures, en janvier, après seulement sept matchs joués pour Al Hilal.Bien que Ronaldo ait été meilleur buteur du championnat avec 25 buts, il n’a toujours pas remporté le titre national ou la Ligue des champions d’Asie avec Al Nassr.

Gaza: 56 personnes tuées jeudi, l’Espagne dénonce un “génocide”

La bande de Gaza vit jeudi une nouvelle journée meurtrière, avec 56 personnes tuées par l’armée israélienne selon les secours, le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez dénonçant un “génocide”.Après plus de 20 mois d’un conflit dévastateur, la population de Gaza est au bord de la famine, alerte l’ONU.La Défense civile de Gaza a annoncé que 56 personnes, dont six qui attendaient de recevoir de l’aide, ont été tuées par des tirs israéliens jeudi matin dans différents secteurs du territoire palestinien.Après avoir fait état d’au moins 35 morts dans plusieurs incidents, le porte-parole de cette organisation de premier secours, Mahmoud Bassal, a rapporté à l’AFP 17 nouvelles victimes après une frappe israélienne sur des civils rassemblés près du carrefour Al-Baraka, dans la ville de Deir al-Balah, au centre de la bande de Gaza. Sollicitée par l’AFP, l’armée israélienne a dit “examiner” des informations faisant état de blessés près du carrefour de Netzarim (centre), où des gens s’étaient rassemblés. “Les troupes de Tsahal ont tenté d’empêcher les suspects de s’approcher et ont tiré des coups de semonce”, a-t-elle indiqué.Israël a partiellement assoupli fin mai un blocus total imposé au territoire palestinien début mars, qui avait entraîné de très graves pénuries de nourriture, médicaments et autres biens de première nécessité.Les autorités israéliennes ont mis en place un mécanisme de distribution d’aide piloté par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), mais cela a donné lieu à des scènes chaotiques.L’armée poursuit ses bombardements sur la bande de Gaza, dans le cadre d’une offensive visant, selon les autorités, à vaincre le groupe islamiste Hamas, auteur d’une attaque sans précédent contre Israël le 7 octobre 2023.Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a qualifié jeudi de “génocide” la situation dans la bande de Gaza, en réclamant “un accès immédiat et urgent à l’aide humanitaire” dans le territoire palestinien, piloté par “les Nations unies”.Il y a aujourd’hui “une situation catastrophique de génocide” à Gaza, a martelé le dirigeant socialiste à Bruxelles en exhortant l’Union européenne a suspendre son accord d’association avec Israël.- Pression croissante -L’attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Les opérations de représailles israéliennes ont entraîné la mort de 56.156 Palestiniens, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.Jeudi, des Palestiniens étaient réunis dans la cour d’un hôpital de Deir al-Balah (centre) devant des sacs mortuaires tâchés de sang contenant les corps de leurs proches tués dans une frappe israélienne.”Ils ont tué le père, la mère et les frères, seulement deux filles ont survécu. L’une d’elles est un bébé âgé d’un an et deux mois et l’autre a cinq ans”, a déclaré une femme endeuillée.Depuis fin mai, près de 550 personnes ont été tuées à proximité de lieux de distribution d’aide humanitaire, alors qu’elles cherchaient à se ravitailler, selon le ministère de la Santé du Hamas.Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a qualifié mardi de “crime de guerre” l’utilisation de la nourriture comme une arme à Gaza, exhortant l’armée israélienne à “cesser de tirer sur les personnes qui tentent de s’en procurer”.”Le soi-disant +mécanisme+ d’aide récemment créé est une abomination qui humilie et dégrade les personnes désespérées. C’est un piège mortel”, a également dénoncé Philippe Lazzarini, responsable de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA).La GHF a nié que des incidents meurtriers se soient produits à proximité immédiate de ses points d’aide.Compte tenu des restrictions imposées aux médias dans la bande de Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans fournis par les organisations opérant sur place.Mercredi, le président américain Donald Trump a déclaré que de “grands progrès” avaient été réalisés en vue d’un cessez-le feu à Gaza.Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu fait face à une pression croissante de l’opposition, de proches d’otages détenus à Gaza et même au sein de sa coalition, pour mettre fin aux combats. Le Qatar, principal médiateur, a annoncé mardi le lancement d’une nouvelle initiative en faveur d’un cessez-le-feu. Un responsable du Hamas, Taher al-Nunu, a déclaré mercredi à l’AFP que les discussions avec les médiateurs s’étaient “intensifiées”. Le gouvernement israélien a affirmé que les efforts pour ramener les otages israéliens encore retenus à Gaza – 49 dont au moins 27 sont morts -se poursuivaient “sur le champ de bataille et par le biais de négociations”. 

Gaza: 56 personnes tuées jeudi, l’Espagne dénonce un “génocide”

La bande de Gaza vit jeudi une nouvelle journée meurtrière, avec 56 personnes tuées par l’armée israélienne selon les secours, le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez dénonçant un “génocide”.Après plus de 20 mois d’un conflit dévastateur, la population de Gaza est au bord de la famine, alerte l’ONU.La Défense civile de Gaza a annoncé que 56 personnes, dont six qui attendaient de recevoir de l’aide, ont été tuées par des tirs israéliens jeudi matin dans différents secteurs du territoire palestinien.Après avoir fait état d’au moins 35 morts dans plusieurs incidents, le porte-parole de cette organisation de premier secours, Mahmoud Bassal, a rapporté à l’AFP 17 nouvelles victimes après une frappe israélienne sur des civils rassemblés près du carrefour Al-Baraka, dans la ville de Deir al-Balah, au centre de la bande de Gaza. Sollicitée par l’AFP, l’armée israélienne a dit “examiner” des informations faisant état de blessés près du carrefour de Netzarim (centre), où des gens s’étaient rassemblés. “Les troupes de Tsahal ont tenté d’empêcher les suspects de s’approcher et ont tiré des coups de semonce”, a-t-elle indiqué.Israël a partiellement assoupli fin mai un blocus total imposé au territoire palestinien début mars, qui avait entraîné de très graves pénuries de nourriture, médicaments et autres biens de première nécessité.Les autorités israéliennes ont mis en place un mécanisme de distribution d’aide piloté par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), mais cela a donné lieu à des scènes chaotiques.L’armée poursuit ses bombardements sur la bande de Gaza, dans le cadre d’une offensive visant, selon les autorités, à vaincre le groupe islamiste Hamas, auteur d’une attaque sans précédent contre Israël le 7 octobre 2023.Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a qualifié jeudi de “génocide” la situation dans la bande de Gaza, en réclamant “un accès immédiat et urgent à l’aide humanitaire” dans le territoire palestinien, piloté par “les Nations unies”.Il y a aujourd’hui “une situation catastrophique de génocide” à Gaza, a martelé le dirigeant socialiste à Bruxelles en exhortant l’Union européenne a suspendre son accord d’association avec Israël.- Pression croissante -L’attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Les opérations de représailles israéliennes ont entraîné la mort de 56.156 Palestiniens, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.Jeudi, des Palestiniens étaient réunis dans la cour d’un hôpital de Deir al-Balah (centre) devant des sacs mortuaires tâchés de sang contenant les corps de leurs proches tués dans une frappe israélienne.”Ils ont tué le père, la mère et les frères, seulement deux filles ont survécu. L’une d’elles est un bébé âgé d’un an et deux mois et l’autre a cinq ans”, a déclaré une femme endeuillée.Depuis fin mai, près de 550 personnes ont été tuées à proximité de lieux de distribution d’aide humanitaire, alors qu’elles cherchaient à se ravitailler, selon le ministère de la Santé du Hamas.Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a qualifié mardi de “crime de guerre” l’utilisation de la nourriture comme une arme à Gaza, exhortant l’armée israélienne à “cesser de tirer sur les personnes qui tentent de s’en procurer”.”Le soi-disant +mécanisme+ d’aide récemment créé est une abomination qui humilie et dégrade les personnes désespérées. C’est un piège mortel”, a également dénoncé Philippe Lazzarini, responsable de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA).La GHF a nié que des incidents meurtriers se soient produits à proximité immédiate de ses points d’aide.Compte tenu des restrictions imposées aux médias dans la bande de Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans fournis par les organisations opérant sur place.Mercredi, le président américain Donald Trump a déclaré que de “grands progrès” avaient été réalisés en vue d’un cessez-le feu à Gaza.Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu fait face à une pression croissante de l’opposition, de proches d’otages détenus à Gaza et même au sein de sa coalition, pour mettre fin aux combats. Le Qatar, principal médiateur, a annoncé mardi le lancement d’une nouvelle initiative en faveur d’un cessez-le-feu. Un responsable du Hamas, Taher al-Nunu, a déclaré mercredi à l’AFP que les discussions avec les médiateurs s’étaient “intensifiées”. Le gouvernement israélien a affirmé que les efforts pour ramener les otages israéliens encore retenus à Gaza – 49 dont au moins 27 sont morts -se poursuivaient “sur le champ de bataille et par le biais de négociations”. 

Pentagon chief backs Trump on success of Iran strikes

US Defense Secretary Pete Hegseth insisted Thursday that American strikes on Iranian nuclear sites were a success, backing President Donald Trump and berating the media for covering an intelligence report that questioned the results of the operation.American B-2 bombers hit two Iranian nuclear sites with massive GBU-57 bunker-buster bombs last weekend, while a guided missile submarine struck a third site with Tomahawk cruise missiles.”President Trump created the conditions to end the war, decimating — choose your word — obliterating, destroying Iran’s nuclear capabilities,” Hegseth told journalists at the Pentagon, referring to a 12-day conflict between Israel and Iran.Trump has called the strikes a “spectacular military success” and repeatedly said they “obliterated” the nuclear sites.On Thursday, he insisted that Iran did not manage to move nuclear materials — including enriched uranium — ahead of the US military action.”Nothing was taken out of facility. Would take too long, too dangerous, and very heavy and hard to move!” Trump said in a post on his Truth Social platform.However, US media revealed a preliminary American intelligence assessment earlier this week that said the strikes only set back Iran’s nuclear program by months — coverage sharply criticized by Hegseth.”Whether it’s fake news CNN, MSNBC or the New York Times, there’s been fawning coverage of a preliminary assessment.”The document was “leaked because someone had an agenda to try to muddy the waters and make it look like this historic strike wasn’t successful,” Hegseth said.Trump has also lashed out at coverage of the intelligence report, calling for journalists to lose their jobs.- ‘Get a big shovel’ -Hegseth did not definitively state that the enriched uranium and centrifuges at the heart of Iran’s controversial nuclear program had been wiped out, but cited intelligence officials — although giving little detail — as saying the nuclear facilities were destroyed.”If you want to know what’s going on at Fordo, you better go there and get a big shovel, because no one’s under there right now,” Hegseth said, referring to the deep-underground nuclear site.Among the officials cited by Hegseth was US Director of National Intelligence Tulsi Gabbard, who said the previous day that “Iran’s nuclear facilities have been destroyed.”He also referred to a statement by CIA chief John Ratcliffe that said: “A body of credible intelligence indicates Iran’s nuclear program has been severely damaged by the recent, targeted strikes.”Ratcliffe pointed to a “historically reliable and accurate” source of information indicating that “several key Iranian nuclear facilities were destroyed and would have to be rebuilt over the course of years.”International Atomic Energy Agency chief Rafael Grossi, speaking Thursday on French radio, meanwhile said Iran’s uranium-enriching centrifuges had been knocked out.”Given power of these (bombs) and the characteristics of a centrifuge, we already know that these centrifuges are no longer operational,” Grossi said.Israel launched an unprecedented air campaign targeting Iranian nuclear sites, scientists and top military brass on June 13 in a bid to end the country’s nuclear program, which Tehran says is for civilian purposes but Washington and other powers insist is aimed at acquiring atomic weapons.Trump had spent weeks pursuing a diplomatic path to replace the nuclear deal with Tehran that he tore up during his first term in 2018, but he ultimately decided to take military action.The US operation was massive, involving more than 125 US aircraft including stealth bombers, fighters and aerial refueling tankers as well as a guided missile submarine.

Pentagon chief backs Trump on success of Iran strikes

US Defense Secretary Pete Hegseth insisted Thursday that American strikes on Iranian nuclear sites were a success, backing President Donald Trump and berating the media for covering an intelligence report that questioned the results of the operation.American B-2 bombers hit two Iranian nuclear sites with massive GBU-57 bunker-buster bombs last weekend, while a guided missile submarine struck a third site with Tomahawk cruise missiles.”President Trump created the conditions to end the war, decimating — choose your word — obliterating, destroying Iran’s nuclear capabilities,” Hegseth told journalists at the Pentagon, referring to a 12-day conflict between Israel and Iran.Trump has called the strikes a “spectacular military success” and repeatedly said they “obliterated” the nuclear sites.On Thursday, he insisted that Iran did not manage to move nuclear materials — including enriched uranium — ahead of the US military action.”Nothing was taken out of facility. Would take too long, too dangerous, and very heavy and hard to move!” Trump said in a post on his Truth Social platform.However, US media revealed a preliminary American intelligence assessment earlier this week that said the strikes only set back Iran’s nuclear program by months — coverage sharply criticized by Hegseth.”Whether it’s fake news CNN, MSNBC or the New York Times, there’s been fawning coverage of a preliminary assessment.”The document was “leaked because someone had an agenda to try to muddy the waters and make it look like this historic strike wasn’t successful,” Hegseth said.Trump has also lashed out at coverage of the intelligence report, calling for journalists to lose their jobs.- ‘Get a big shovel’ -Hegseth did not definitively state that the enriched uranium and centrifuges at the heart of Iran’s controversial nuclear program had been wiped out, but cited intelligence officials — although giving little detail — as saying the nuclear facilities were destroyed.”If you want to know what’s going on at Fordo, you better go there and get a big shovel, because no one’s under there right now,” Hegseth said, referring to the deep-underground nuclear site.Among the officials cited by Hegseth was US Director of National Intelligence Tulsi Gabbard, who said the previous day that “Iran’s nuclear facilities have been destroyed.”He also referred to a statement by CIA chief John Ratcliffe that said: “A body of credible intelligence indicates Iran’s nuclear program has been severely damaged by the recent, targeted strikes.”Ratcliffe pointed to a “historically reliable and accurate” source of information indicating that “several key Iranian nuclear facilities were destroyed and would have to be rebuilt over the course of years.”International Atomic Energy Agency chief Rafael Grossi, speaking Thursday on French radio, meanwhile said Iran’s uranium-enriching centrifuges had been knocked out.”Given power of these (bombs) and the characteristics of a centrifuge, we already know that these centrifuges are no longer operational,” Grossi said.Israel launched an unprecedented air campaign targeting Iranian nuclear sites, scientists and top military brass on June 13 in a bid to end the country’s nuclear program, which Tehran says is for civilian purposes but Washington and other powers insist is aimed at acquiring atomic weapons.Trump had spent weeks pursuing a diplomatic path to replace the nuclear deal with Tehran that he tore up during his first term in 2018, but he ultimately decided to take military action.The US operation was massive, involving more than 125 US aircraft including stealth bombers, fighters and aerial refueling tankers as well as a guided missile submarine.