Trump says confident of TikTok deal before deadline

President Donald Trump said Sunday he was confident of reaching a deal on TikTok ahead of the April 5 deadline for its Chinese owner ByteDance to sell the popular short video app or see it banned in the United States.”We have a lot of potential buyers. There’s tremendous interest in TikTok,” Trump told reporters onboard Air Force One.”We have a lot of people that want to buy TikTok. We’re dealing with China also on it, because they may have something to do with it,” he said, adding “I’d like to see TikTok remain alive.”China on Thursday had rebuffed a suggestion from Trump that he might offer to reduce tariffs to get Beijing’s approval for the sale of TikTok to a non-Chinese firm.Trump said this month the United States was in talks with four groups interested in acquiring the platform, which has 170 million American users.A US law has ordered TikTok to divest from ByteDance or be banned in the United States, enacted over concerns that Beijing could exploit the app to spy on Americans or covertly influence US public opinion.The law took effect on January 19, a day before Trump’s inauguration, but he quickly announced a delay that has allowed it to continue to operate.That delay is set to expire on April 5.”There’ll be a deal with TikTok, I’m pretty certain,” Trump said when asked if he would extend the deadline if there was no deal.Trump attempted to ban TikTok in the United States because of national security concerns during his first stint in the White House but has warmed up to it.”Selfishly speaking, I won the young vote by 36 points. Republicans generally don’t do very well with the young crowd, and I think a lot of it could have been TikTok,” he said.

Trump affirme qu’un accord va être trouvé pour la vente de TikTok aux Etats-Unis

Donald Trump a affirmé qu’un accord allait être trouvé pour la vente des activités américaines du réseau social chinois TikTok, que le président des Etats-Unis souhaite voir “rester en vie” dans son pays.”Il y aura un accord pour TikTok”, a déclaré dimanche Donald Trump, lors d’un échange avec des journalistes à bord de l’avion présidentiel Air Force One.”Nous avons beaucoup d’acheteurs potentiels. Il y a énormément d’intérêt pour TikTok”, a-t-il également dit.Dès son retour à la Maison Blanche, le 20 janvier, le dirigeant républicain a accordé à ByteDance, maison mère chinoise de TikTok, un délai de 75 jours, soit jusqu’au 5 avril, pour vendre ses activités américaines. Faute de cession à cette date, la très populaire plateforme est censée être interdite aux Etats-Unis, selon les termes d’une loi votée l’année dernière au nom de la protection de la sécurité nationale.Plusieurs prétendants américains sont sur les rangs pour acquérir TikTok, dont la start-up d’intelligence artificielle Perplexity AI ou le Project Liberty porté par le propriétaire de l’Olympique de Marseille Frank McCourt, même si ByteDance n’a pas fait part de son intention de vendre.”On traite également avec la Chine à ce sujet, car ils pourraient être impliqués”, a indiqué Donald Trump dimanche. “Et on verra ce qui se passera. Mais je pense qu’il y aura quelque chose”.En 2020, à la fin de son premier mandat, l’ancien magnat de l’immobilier avait lui-même cherché, en vain, à interdire TikTok aux Etats-Unis.Il a changé d’avis pendant sa dernière campagne, prenant la défense de l’application, très populaire auprès des jeunes, qui revendique 170 millions d’utilisateurs dans le pays.”J’aimerais que TikTok reste en vie”, a avancé Donald Trump. “Egoïstement parlant, j’ai gagné le vote des jeunes de 36 points. Les républicains ne font généralement pas aussi bien auprès des jeunes et je pense que ça pourrait en grande partie être dû à TikTok”. 

Trump affirme qu’un accord va être trouvé pour la vente de TikTok aux Etats-Unis

Donald Trump a affirmé qu’un accord allait être trouvé pour la vente des activités américaines du réseau social chinois TikTok, que le président des Etats-Unis souhaite voir “rester en vie” dans son pays.”Il y aura un accord pour TikTok”, a déclaré dimanche Donald Trump, lors d’un échange avec des journalistes à bord de l’avion présidentiel Air Force One.”Nous avons beaucoup d’acheteurs potentiels. Il y a énormément d’intérêt pour TikTok”, a-t-il également dit.Dès son retour à la Maison Blanche, le 20 janvier, le dirigeant républicain a accordé à ByteDance, maison mère chinoise de TikTok, un délai de 75 jours, soit jusqu’au 5 avril, pour vendre ses activités américaines. Faute de cession à cette date, la très populaire plateforme est censée être interdite aux Etats-Unis, selon les termes d’une loi votée l’année dernière au nom de la protection de la sécurité nationale.Plusieurs prétendants américains sont sur les rangs pour acquérir TikTok, dont la start-up d’intelligence artificielle Perplexity AI ou le Project Liberty porté par le propriétaire de l’Olympique de Marseille Frank McCourt, même si ByteDance n’a pas fait part de son intention de vendre.”On traite également avec la Chine à ce sujet, car ils pourraient être impliqués”, a indiqué Donald Trump dimanche. “Et on verra ce qui se passera. Mais je pense qu’il y aura quelque chose”.En 2020, à la fin de son premier mandat, l’ancien magnat de l’immobilier avait lui-même cherché, en vain, à interdire TikTok aux Etats-Unis.Il a changé d’avis pendant sa dernière campagne, prenant la défense de l’application, très populaire auprès des jeunes, qui revendique 170 millions d’utilisateurs dans le pays.”J’aimerais que TikTok reste en vie”, a avancé Donald Trump. “Egoïstement parlant, j’ai gagné le vote des jeunes de 36 points. Les républicains ne font généralement pas aussi bien auprès des jeunes et je pense que ça pourrait en grande partie être dû à TikTok”. 

Téléthon: près de 97 millions d’euros collectés, davantage qu’en 2023

Le Téléthon 2024 a permis de récolter près de 97 millions d’euros au profit de la recherche sur les maladies génétiques rares, selon le bilan définitif de ce marathon caritatif communiqué lundi.A l’issue de l’opération, parrainée par le chanteur Mika les 30 novembre et 1er décembre derniers, le compteur avait été arrêté sur près de 80 millions d’euros de promesses de dons. Mais le public avait encore la possibilité de donner ultérieurement, ce qui a permis d’arriver à la somme finale de 96.553.593 euros, contre 92,9 millions d’euros l’an dernier, a précisé l’AFM-Téléthon dans un communiqué.C’est en 2006 que le montant des promesses de dons a atteint son record, avec plus de 106 millions d’euros.”Ce Téléthon 2024 restera gravé dans nos mémoires car il a marqué un tournant dans nos victoires thérapeutiques, de plus en plus nombreuses y compris dans des maladies qui semblaient invincibles”, notamment dans la myopathie de Duchenne, a souligné Laurence Tiennot-Herment, présidente de l’association AFM-Téléthon, citée dans le communiqué.Les fonds du Téléthon ciblent particulièrement les maladies rares, dont 95% restent sans traitement, voire sans diagnostic. Ils financent entre autres 40 essais cliniques, en cours ou en préparation, pour des maladies du sang, du foie, du muscle, de la vision, du système immunitaire.Au-delà des enjeux de recherche, le Téléthon reste un événement singulier: sa dernière édition s’est déclinée dans près de 15.000 communes et a rassemblé 10 millions de téléspectateurs au long des 30 heures d’antenne dédiées sur France Télévisions.Le Téléthon 2025 aura lieu les 5 et 6 décembre.

Japon: des doutes écologiques et financiers menacent un projet d’acheminement d’hydrogène australien

Un projet phare d’acheminement d’hydrogène d’Australie vers le Japon, qui mise sur cette énergie pour sa décarbonation, se voit compromis par des doutes sur le bilan environnemental de sa production, basée sur la combustion de lignite et dont la liquéfaction s’avère coûteuse et énergivore.Baptisé Hydrogen Energy Supply Chain (HESC), ce projet tentaculaire évalué à 1 milliard de dollars visait à approvisionner l’archipel nippon depuis l’Australie.Mais pour l’heure, HESC doit se résoudre à se procurer de l’hydrogène au Japon même pour tenir l’échéance 2030 pour sa phase pilote –même s’il assure ne pas abandonner l’idée de produire en Australie un hydrogène décarboné.Des volumes considérables d’hydrogène, dont la combustion ne produit que de la vapeur d’eau, sont jugés nécessaires pour décarboner l’industrie lourde et les transports, mais cela suppose la création ex nihilo d’infrastructures aux coûts élevés et aux défis techniques redoutables.Et des différences cruciales existent entre “hydrogène vert” produit à partir d’électricité tirée des renouvelables, et “hydrogène bleu” s’appuyant sur la combustion de fossiles avec capture du carbone émis, voire “brun” (sans capture).Projet vitrine des ambitions environnementales japonaises, HESC visait à produire de l’hydrogène “bleu” dans l’État australien de Victoria (sud-est), en tirant avantage des abondantes réserves locales de lignite.HESC affirme vouloir produire à terme suffisamment d’hydrogène pour “réduire d’environ 1,8 million de tonnes par an les rejets de CO2” –à comparer aux 974 millions de tonnes de CO2 émis en 2022 par le secteur énergétique japonais selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE).- “Opposition” -Le gouvernement japonais a promis 220 milliards de yens (environ 1,4 milliard de dollars) pour la phase actuelle de “démonstration commerciale” censée s’achever en 2030 avant une phase-pilote.Pour tenir l’échéance, la décision de délocaliser la production d’hydrogène au Japon a été prise “principalement en raison de retards des procédures côté australien”, a déclaré un porte-parole de Kawasaki Heavy Industries, l’un des groupes à l’origine du projet. Sans préciser les modalités de cet approvisionnement local.Le gouvernement de l’État de Victoria n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP. Des responsables australiens ont évoqué auprès des médias une “décision commerciale” japonaise.En réalité, le désintérêt des autorités australiennes s’explique en raison d’une “forte opposition” des militants écologistes et experts opposés au captage et au stockage du carbone, affirme Daisuke Akimoto, de l’Université des sciences de l’information de Tokyo.”Le principal problème auquel le projet est confronté est le refus d’approbation du projet d’hydrogène +bleu+ par le gouvernement du Victoria”, souligne-t-il. Ces incertitudes reflètent “des lacunes cruciales à mi-parcours” sur la faisabilité du captage du carbone, processus “difficile et complexe, n’ayant réussi pleinement nulle part”, abonde David Cebon, professeur d’ingénierie à l’Université de Cambridge.- “Absurde” -Kawasaki indique cependant poursuivre les “études de faisabilité” sur l’approvisionnement en hydrogène australien, se disant “très optimiste” et assurant que l’objectif “reste inchangé”.Mais M. Cebon n’exclut pas de voir le projet Australie-Japon “disparaître discrètement” en raison du coût du transport. Pour être acheminé par mer sous forme liquide, l’hydrogène doit être refroidi à -253 °C, processus extrêmement coûteux et énergivore.”Je pense que les esprits les plus avisés du gouvernement australien viennent de réaliser à quel point c’est absurde”, soupire Mark Ogge, du think-tank Australia Institute. L’entreprise énergétique japonaise Kansai Electric s’est d’ailleurs retirée d’un autre projet de production d’hydrogène “vert” en Australie. Elle refuse de commenter les informations de presse selon la flambée des coûts l’aurait effrayée.Le Japon, pauvre en ressources, est le cinquième plus grand émetteur mondial de dioxyde de carbone. Il produit déjà de l’hydrogène sur son territoire, principalement à partir de gaz naturel, de pétrole ou d’énergie nucléaire, bien que cette production soit limitée et onéreuse.Certains experts restent confiants: Noe van Hulst, conseiller hydrogène auprès de l’AIE, juge important d’adopter une vision à long terme.”Des projets pilotes permettent de tester les innovations par la pratique. C’est difficile de développer un marché de l’hydrogène bas carbone et cela prendra des décennies”, comme pour l’éolien et le solaire, déclare-t-il à l’AFP. Or, le solaire a finalement vu ses coûts s’effondrer, favorisant son adoption tous azimuts.Et pour l’instant, “il n’existe pas vraiment d’alternative pour décarboner ces secteurs difficiles à électrifier comme l’acier, le ciment, les transports maritime et aérien”, souligne M. van Hulst.

Japon: des doutes écologiques et financiers menacent un projet d’acheminement d’hydrogène australien

Un projet phare d’acheminement d’hydrogène d’Australie vers le Japon, qui mise sur cette énergie pour sa décarbonation, se voit compromis par des doutes sur le bilan environnemental de sa production, basée sur la combustion de lignite et dont la liquéfaction s’avère coûteuse et énergivore.Baptisé Hydrogen Energy Supply Chain (HESC), ce projet tentaculaire évalué à 1 milliard de dollars visait à approvisionner l’archipel nippon depuis l’Australie.Mais pour l’heure, HESC doit se résoudre à se procurer de l’hydrogène au Japon même pour tenir l’échéance 2030 pour sa phase pilote –même s’il assure ne pas abandonner l’idée de produire en Australie un hydrogène décarboné.Des volumes considérables d’hydrogène, dont la combustion ne produit que de la vapeur d’eau, sont jugés nécessaires pour décarboner l’industrie lourde et les transports, mais cela suppose la création ex nihilo d’infrastructures aux coûts élevés et aux défis techniques redoutables.Et des différences cruciales existent entre “hydrogène vert” produit à partir d’électricité tirée des renouvelables, et “hydrogène bleu” s’appuyant sur la combustion de fossiles avec capture du carbone émis, voire “brun” (sans capture).Projet vitrine des ambitions environnementales japonaises, HESC visait à produire de l’hydrogène “bleu” dans l’État australien de Victoria (sud-est), en tirant avantage des abondantes réserves locales de lignite.HESC affirme vouloir produire à terme suffisamment d’hydrogène pour “réduire d’environ 1,8 million de tonnes par an les rejets de CO2” –à comparer aux 974 millions de tonnes de CO2 émis en 2022 par le secteur énergétique japonais selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE).- “Opposition” -Le gouvernement japonais a promis 220 milliards de yens (environ 1,4 milliard de dollars) pour la phase actuelle de “démonstration commerciale” censée s’achever en 2030 avant une phase-pilote.Pour tenir l’échéance, la décision de délocaliser la production d’hydrogène au Japon a été prise “principalement en raison de retards des procédures côté australien”, a déclaré un porte-parole de Kawasaki Heavy Industries, l’un des groupes à l’origine du projet. Sans préciser les modalités de cet approvisionnement local.Le gouvernement de l’État de Victoria n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP. Des responsables australiens ont évoqué auprès des médias une “décision commerciale” japonaise.En réalité, le désintérêt des autorités australiennes s’explique en raison d’une “forte opposition” des militants écologistes et experts opposés au captage et au stockage du carbone, affirme Daisuke Akimoto, de l’Université des sciences de l’information de Tokyo.”Le principal problème auquel le projet est confronté est le refus d’approbation du projet d’hydrogène +bleu+ par le gouvernement du Victoria”, souligne-t-il. Ces incertitudes reflètent “des lacunes cruciales à mi-parcours” sur la faisabilité du captage du carbone, processus “difficile et complexe, n’ayant réussi pleinement nulle part”, abonde David Cebon, professeur d’ingénierie à l’Université de Cambridge.- “Absurde” -Kawasaki indique cependant poursuivre les “études de faisabilité” sur l’approvisionnement en hydrogène australien, se disant “très optimiste” et assurant que l’objectif “reste inchangé”.Mais M. Cebon n’exclut pas de voir le projet Australie-Japon “disparaître discrètement” en raison du coût du transport. Pour être acheminé par mer sous forme liquide, l’hydrogène doit être refroidi à -253 °C, processus extrêmement coûteux et énergivore.”Je pense que les esprits les plus avisés du gouvernement australien viennent de réaliser à quel point c’est absurde”, soupire Mark Ogge, du think-tank Australia Institute. L’entreprise énergétique japonaise Kansai Electric s’est d’ailleurs retirée d’un autre projet de production d’hydrogène “vert” en Australie. Elle refuse de commenter les informations de presse selon la flambée des coûts l’aurait effrayée.Le Japon, pauvre en ressources, est le cinquième plus grand émetteur mondial de dioxyde de carbone. Il produit déjà de l’hydrogène sur son territoire, principalement à partir de gaz naturel, de pétrole ou d’énergie nucléaire, bien que cette production soit limitée et onéreuse.Certains experts restent confiants: Noe van Hulst, conseiller hydrogène auprès de l’AIE, juge important d’adopter une vision à long terme.”Des projets pilotes permettent de tester les innovations par la pratique. C’est difficile de développer un marché de l’hydrogène bas carbone et cela prendra des décennies”, comme pour l’éolien et le solaire, déclare-t-il à l’AFP. Or, le solaire a finalement vu ses coûts s’effondrer, favorisant son adoption tous azimuts.Et pour l’instant, “il n’existe pas vraiment d’alternative pour décarboner ces secteurs difficiles à électrifier comme l’acier, le ciment, les transports maritime et aérien”, souligne M. van Hulst.

Le train Paris-Milan reprend du service 19 mois après son interruption

Après 19 mois d’interruption en raison d’un éboulement en vallée de Maurienne, dans les Alpes françaises, la liaison ferroviaire entre Paris et Milan a repris lundi matin, avec des trains quasiment pleins au départ de la capitale française.Les deux premiers TGV sont partis de la gare de Lyon, à Paris en direction de Milan à 06H46 puis 09H46 pour un trajet d’un peu plus de sept heures jusqu’à la capitale lombarde en passant par Macon, Chambéry, Modane, Oulx et Turin.”Très contente du retour de ce Paris-Milan qui me permet de ne pas prendre l’avion et de passer la journée dans le train”, s’est réjouie sur le quai Pia Decroix, étudiante française à Milan, habituée à revenir tous les deux mois à Paris mais qui depuis un an et demi s’était tournée vers le car et l’avion.Voyages SNCF prévoit de proposer trois allers-retours par jour, soit “2.000 places au total chaque jour”, a indiqué le PDG Christophe Fanichet.La compagnie a enregistré “déjà 110.000 réservations entre ce jour et la fin août: c’est +8% par rapport à 2023”, a-t-il ajouté lors d’un point presse avant le départ du train de 09H46.L’attente a été longue pour les voyageurs. Le 27 août 2023, après de fortes pluies, 15.000 mètres cubes de roches s’écroulaient sur une galerie ferroviaire, coupant la voie ferrée la plus empruntée entre la France et l’Italie, mais aussi une route départementale et l’autoroute A43.Cet éboulement, le pire ayant touché le réseau ferroviaire français depuis 1978 d’après le ministre chargé des Transports Philippe Tabarot, est survenu dans une zone géologique notoirement fragile.Il a nécessité des travaux longs et complexes. La sécurisation du site “a été une opération titanesque”, d’après SNCF Réseau.Outre les trois allers-retours quotidien de SNCF Voyageurs, Trenitalia, proposera deux allers-retours par jour.Signe de l’impatience des voyageurs pour le retour de cette liaison, le trajet quotidien proposé par SNCF Voyageurs avec une portion effectuée en autocar pendant toute la durée des travaux a plutôt bien fonctionné, avec un taux de remplissage supérieur à 80% d’après la compagnie française.Pour la reprise des TER en revanche, la région Auvergne-Rhône-Alpes a sorti plusieurs offres promotionnelles afin d’inciter les voyageurs à revenir au train, comme par exemple un billet à 3 euros entre Chambéry et Modane.La réouverture du Paris-Milan, par où transitaient plus de 10.000 trains par an avant l’éboulement, va aussi bénéficier au fret ferroviaire. “C’est extrêmement attendu”, a confirmé le PDG de DB Cargo France, Alexandre Gallo, qui préside également l’Association française du rail (Afra), un groupe réunissant tous les acteurs du ferroviaire concurrents de la SNCF. “Il va falloir attendre début 2026 pour retrouver les trafics qu’on a connus avant”, anticipe-t-il cependant. DB Cargo prévoit huit allers-retours par semaine contre 18 avant l’accident. Chez Hexafret (le successeur de Fret SNCF), les circulations reprendront le 7 avril avec une vingtaine de rotations par semaine contre une trentaine il y a un an et demi. Pour l’entreprise de fret publique française, “il n’y a pas eu de report modal massif” vers la route, la baisse des flux étant surtout due à la conjoncture économique.

Japan’s Nikkei leads hefty market losses, gold hits record

Tokyo led another plunge across Asian and European markets on Monday while gold hit a record high as investors steel themselves for a wave of US tariffs this week that has fuelled recession fears.Equities across the planet have been hammered in recent weeks ahead of Donald Trump’s “Liberation Day” on Wednesday, when his administration will unveil a series of levies against friend and foe alike, citing what he says are unfair trading practices.His announcement last week that he would also impose 25 percent duties on imports of all vehicles and parts ramped up the fear factor on trading floors, hammering car giants including Japan’s Toyota, the world’s biggest.Governments around the world have pushed back against Trump’s tariffs, and could announce more countermeasures, while Canadian Prime Minister Mark Carney told Trump on Friday that he will implement retaliatory tariffs to protect his country’s workers and economy.Adding to the dour mood was data showing the Federal Reserve’s preferred gauge of inflation rose more than expected last month over worries Trump’s tariffs will fan price rises and further dent hopes for interest rate cuts.Markets fell across the board on Monday, with firms in all sectors feeling the pain. Data showing Chinese factory activity grew at the quickest pace in a year in March provided a little optimism over the world’s number two economy. Japan’s Nikkei 225 index plunged more than four percent, extending last week’s slide, as automakers Toyota, Nissan and Mazda shed between three and four percent, while tech investment titan SoftBank tanked more than five percent. The index’s drop put it in a correction, having fallen more than 10 percent from its peak in December.Zensho Holdings, which owns several Japanese restaurant franchises, plunged 3.9 percent after its beef bowl chain Sukiya said it would temporarily shut nearly all of its roughly 2,000 branches after a rat was found in a miso soup and a bug in another meal.Seoul was also sharply lower.”Within the Asia-Pacific region, the car levies will hit Japan and South Korea the hardest. About six percent of Japan’s total exports are cars shipped to the US. In South Korea’s case, it’s four percent,” Moody’s Analytics economists wrote.”Such a sizeable tariff hike will undermine confidence, hit production and reduce orders. Given the long and complex supply chains in car manufacturing, the impact will ripple through these countries’ economies. “Back-of-the-envelope calculations suggest the action could shave 0.2 to 0.5 percentage points from growth in each.”There were also losses in Sydney, Shanghai, Wellington and Taipei.Hong Kong suffered another big selloff, with conglomerate CK Hutchison shedding 3.1 percent following reports billionaire Li Ka-shing might delay signing a multi-billion-dollar deal to offload its ports operations, including those in the Panama Canal.The firm has faced criticism from China since it agreed to offload the business to a US-led consortium after pressure from Trump. Beijing confirmed on Friday antitrust regulators will review the deal, likely preventing the parties from signing it as planned on Wednesday.Bangkok dropped more than one percent as trade got back under way after being suspended on Friday following the deadly quake that hit the Thai capital. The stock market was already under pressure, having dived more than 15 percent since the turn of the year on worries about the Thai economy.London, Paris and Frankfurt fell in early trade.Gold, a safe haven in times of uncertainty and turmoil, hit a record high of $3,127.92.”Investors have a severe case of nerves ahead of Trump’s tariff Liberation Day,” said Neil Wilson, an analyst at TipRanks. “The only thing holding up sentiment today is data showing China’s factory activity at a one-year high as stimulus measures seem to be having an impact.”The selling followed a hefty selloff on Wall Street, where the Dow tumbled 1.7 percent, the S&P 500 lost 2.0 percent and the Nasdaq dived 2.7 percent.US investors were jolted by figures showing the core personal consumption expenditures (PCE) index came in above forecasts in February.Analysts said that while the reading was not a blowout, its timing amid a period of uncertainty added to the sense of gloom when traders had been hoping for a little reassurance.”Markets will now be fully at the mercy of an impending deluge of tariff-related headlines, while highly reactive to any US economic data that accelerates the thematic of slower economic activity and higher expected inflation,” said Chris Weston at Pepperstone. – Key figures around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 4.1 percent at 35,617.56 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.3 percent at 23,119.58 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.5 percent at 3,335.75 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.9 percent at 8,579.60 Euro/dollar: DOWN at $1.0829 from $1.0838 on FridayPound/dollar: UP at $1.2955 from $1.2947Dollar/yen: DOWN at 149.10 yen from 149.72 yenEuro/pound: DOWN at 83.58 pence from 83.68 penceWest Texas Intermediate: UP 0.6 percent at $69.76 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.6 percent at $74.08 per barrelNew York – Dow: DOWN 1.7 percent at 41,583.90 (close)