Sexual violence on ‘staggering’ scale in Sudan civil war: UN probeTue, 29 Oct 2024 12:21:16 GMT
Rape is widespread in Sudan’s civil war, a United Nations investigation said Tuesday, accusing paramilitaries especially of committing sexual violence on a “staggering” scale.Children are not spared the abuse, with women and girls being abducted for sexual slavery, the UN Independent International Fact-Finding Mission for the Sudan said in a new report.”There is no safe place …
Immigration, Sahara: Macron invite le roi du Maroc à sceller un nouveau partenariat
Un “nouveau livre ensemble pour répondre aux défis du 21e siècle”: le président français Emmanuel Macron a invité mardi le roi du Maroc Mohammed VI à sceller un nouveau partenariat, réaffirmant son soutien à la “souveraineté marocaine” au Sahara occidental mais demandant plus de “résultats” dans la lutte contre l’immigration illégale.En ce 25e anniversaire du règne de Mohammed VI, “je vois l’occasion et la nécessité d’écrire ce livre nouveau”, a lancé le chef de l’Etat dans une allocution solennelle de 45 minutes devant le Parlement à Rabat.C’est “même un devoir stratégique” entre la France et le Maroc, mais aussi entre “l’Union européenne et le Maghreb et au-delà ”, a-t-il insisté au deuxième jour de sa visite d’Etat au Maroc.Emmanuel Macron a invité le souverain à signer un nouveau “cadre stratégique” bilatéral en 2025 à Paris à l’occasion du 70e anniversaire de la Déclaration qui scella l’indépendance du Maroc de la France, à la Celle-Saint-Cloud le 6 novembre 1955.Très attendu sur le Sahara Occidental, véritable “cause nationale” au Maroc, le président a réaffirmé que “le présent et l’avenir” de ce territoire disputé “s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine”, suscitant les applaudissements nourris des élus.L’ex-colonie espagnole du Sahara occidental, considérée comme un “territoire non autonome” par l’ONU, oppose depuis un demi-siècle le Maroc aux indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par Alger.”Cette position n’est hostile à personne”, a assuré Emmanuel Macron dans une réponse aux critiques de l’Algérie, qui a rappelé son ambassadeur à Paris après le pas de la France vers le royaume. – “Attente forte” -“Et je le dis ici aussi avec beaucoup de force, nos opérateurs et nos entreprises accompagneront le développement de ces territoires au travers d’investissements, d’initiatives durables et solidaires au bénéfice des populations locales”, a-t-il ajouté.Sur la lutte contre l’immigration illégale, qui constitue une “attente forte en France”, le chef de l’Etat a appelé à une “coopération naturelle et fluide” avec le Maroc et à “davantage encore de résultats”.Le nouveau ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, qui a fait de ce sujet son cheval de bataille, doit rencontrer dans l’après-midi son homologue Abdelouafi Laftit pour voir comment accélérer les retours de Marocains en situation irrégulière arrêtés en France.   La décision de la France de diviser par deux le nombre de visas accordés aux Marocains en 2021-2022 pour pousser Rabat à reprendre plus de ressortissants avait conduit à de fortes crispations entre les deux pays.Le nouveau gouvernement de droite de Michel Barnier a promis d’entamer des discussions “dans un esprit dialogue”, en tirant les leçons des “erreurs du passé”.Le président français a été accueilli lundi en grande pompe par le roi Mohammed VI afin de retisser des liens aussi historiques que profondément distendus depuis trois ans par des brouilles, avec à la clé des contrats et investissements “jusqu’à dix milliards d’euros”.- Nouveaux contrats – Emmanuel Macron clôturera dans l’après-midi les Rencontres entrepreneuriales Maroc-France, l’occasion d’engranger de nouveaux contrats après déjà une série de 21 accords signés la veille en présence du monarque.Et il participera à une séquence dédiée aux jeux vidéo en présence de professionnels français et marocains, afin d’aider au développement de la filière au Maroc.Les accords portent sur le transport ferroviaire, les énergies renouvelables dont le Maroc entend devenir un champion, l’eau, le secteur portuaire ou encore la transition énergétique.Alstom doit notamment prendre part à la réalisation du deuxième tronçon de la ligne de train à grande vitesse Tanger-Marrakech en fournissant 12 à 18 rames. Le premier tronçon avait été inauguré par le roi et le président français en 2018.Le Français TotalEnergies a pour sa part signé un des plus gros accords pour le développement de la filière d’hydrogène vert au Maroc.Autre gros volet, Engie et l’Office chérifien des phosphates ont signé un accord de “partenariat dans la transition énergétique”, dont les énergies renouvelables.Accompagné par son épouse Brigitte Macron et une pléthorique délégation de ministres, patrons d’entreprise, intellectuels ou personnalités du spectacle, le président français a été salué lundi à sa descente d’avion par une longue poignée de main du monarque, en costume sombre et s’appuyant sur une canne, au son de 21 coups de canon.
World Bank expects oil glut to cause commodity price slump
Global commodity prices should fall to a five-year low next year thanks to a huge oil glut, the World Bank said Tuesday, pointing to oversupply and to flat demand from China.”Next year, the global oil supply is expected to exceed demand by an average of 1.2 million barrels per day,” the Bank announced in its latest report on global commodity markets, adding that this scale of oversupply has been exceeded only twice before, in 1998 and 2020. The expected oil glut “is so large that it is likely to limit the price effects even of a wider conflict in the Middle East,” the Bank said. It blamed the expected oversupply partly on a “major shift” underway in China, where demand for oil has flatlined on the back of rising electric vehicle sales, demand for trucks running on liquified natural gas (LNG), and a slowdown in industrial production. The Bank said it also expects several countries not in the Organization of Petroleum Exporting Countries or its allies (OPEC+) “to ramp up oil production,” fueling the oversupply and helping to push down global commodity prices by almost 10 percent by the end of 2026.But despite the sharp decline, overall commodity prices will likely remain around 30 percent above their level in the five years before the Covid-19 pandemic. “Falling commodity prices and better supply conditions can provide a buffer against geopolitical shocks,” World Bank chief economist Indermit Gill said in a statement. “But they will do little to alleviate the pain of high food prices in developing countries, where food-price inflation is double the norm in advanced economies,” he added.The World Bank expects food prices to fall by nine percent this year, and by an additional four percent in 2025, leaving them stuck around 25 percent above the level they were at between 2015 and 2019. Meanwhile, energy prices are predicted to drop by six percent next year, and by a further two percent in 2026.
Le ministre du Budget ouvert au débat sur la suppression d’un deuxième jour férié
Le ministre du Budget Laurent Saint-Martin a semblé ouvert, mardi, à une discussion parlementaire sur la suppression d’un deuxième jour férié, jugeant, de manière générale, que travailler davantage pour participer à l’effort de redressement allait “dans le bon sens”.Alors que des parlementaires souhaitent la suppression d’un deuxième jour férié, outre le lundi de Pentecôte transformé en jour de solidarité travaillé, M. Saint-Martin a répondu sur TF1 : “cela fait partie des débats qu’on aura au Parlement”.”Je pense que tout ce qui permet à notre pays de montrer qu’on peut travailler davantage pour participer à l’effort de redressement va dans le bon sens”, a-t-il avancé.Il n’a cependant pas voulu désigner un jour particulier du calendrier : “Il faut laisser de la souplesse pour que ça marche”.Sur LCI dimanche, le ministre de l’Economie et des Finances Antoine Armand avait lui aussi jugé “la proposition très intéressante, à regarder de près”.M. Saint-Martin a par ailleurs qualifié de “mesure de bon sens, d’équité”, l’alignement prévu des indemnisations de congés maladie des agents du public sur ceux du privé, qui met en colère les syndicats de la Fonction publique. “On ne comprend pas pourquoi il y a encore des différences entre le secteur public et le secteur privé”, a-t-il estimé.Il a confirmé l’intention du gouvernement de laisser les débats budgétaires aller à leur terme à l’Assemblée, tout en rappelant que, si le Parlement “dispose d’autant d’amendements qu’il le veut”, le texte devra être transmis au Sénat au bout du délai constitutionnel de 40 jours.Le ministre a laissé entendre que le gouvernement avait bien l’intention de réintroduire ultérieurement la hausse de la taxe sur l’électricité et le malus automobile supprimés lors des débats à l’Assemblée. Sur la baisse envisagée des aides à l’achat d’un véhicule électrique, qui devrait être introduite par amendement gouvernemental la semaine prochaine, M. Saint-Martin a justifié : “Si le rôle de l’Etat c’est de toujours dire +je branche de la subvention et je ne sais pas la retirer quand le mécanisme a fait ses preuves+ ce n’est pas de la bonne gestion”.
Most global stock markets rise with eyes on megatech results
Most major global stock markets rose on Tuesday with investors looking ahead to the release of US economic data and the earnings reports of tech titans this week.Oil prices rebounded after a sharp fall the previous day on relief that Israel’s strikes on Iran spared the country’s energy infrastructure.Concerns in the oil market have now shifted back to focus on potential oversupply in 2025 and a slowdown in demand from China, the world’s largest oil importer, according to analysts.US stocks closed higher Monday, boosted by the cheaper oil, and as investors look ahead to a busy week of economic indicators with the market already hovering near record highs.The US government will release its third quarter GDP growth estimate this week, as well as its closely watched monthly labour market report, which will indicate the health of the world’s largest economy.Investors are also eyeing the earnings reports of five of the “Magnificent Seven” US tech giants due this week, including Google-parent Alphabet, Amazon, Apple, Facebook-parent Meta, and Microsoft.”Although any market focus on earnings will rapidly be diverted to next week’s presidential election and Federal Reserve meeting,” said Danni Hewson, head of financial analysis at AJ Bell.Major European stock markets were in the green in late morning trading while Asian markets ended mixed. London edged up around 0.1 percent as investors awaited the first budget of Britain’s new Labour government on Wednesday, expected to include tax rises on businesses.Shares in banking giant HSBC rose around four percent, leading gains on London’s FTSE 100, after it reported a strong set of earnings that beat profit expectations. Meanwhile, shares in British oil and gas giant BP dropped one percent after the company reported a slump in profits on weak oil trading and refining margins, despite beating analyst expectations.In Asia, Tokyo and Hong Kong stocks climbed but Shanghai and Singapore retreated.Japanese shares built on the previous day’s gains as cheaper oil and the weaker yen outweighed uncertainty after Japan’s ruling coalition fell short of a majority in Sunday’s general election.Investors are awaiting the Bank of Japan’s rate decision later this week, with the central bank expected to stand pat following two hikes earlier this year.Focus is also on a key political meeting in Beijing next week, with investors hoping for details of an expected major stimulus plan to support China’s struggling economy.The People’s Bank of China on Monday rolled out a new lending tool to inject liquidity into the market.”Beijing hopes this tool will prop up market sentiment,” said Stephen Innes, analyst at SPI Asset Management.”China’s economic engine has been sputtering with soft demand and lacklustre growth data, and with the potential shake-up of the US election looming enormous, stability in the financial markets is critical for Beijing,” he added.- Key figures around 1050 GMT -London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 8,296.06 pointsParis – CAC 40: UP 0.5 percent at 7,593.27Frankfurt – DAX: UP 0.4 at 19,599.06Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 38,903.68 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.5 percent at 20,701.14 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.1 percent at 3,286.41 (close)New York – Dow: UP 0.7 percent at 42,387.57 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0808 from $1.0815 on MondayPound/dollar: UP at $1.2983 from $1.2972Dollar/yen: UP at 153.37 yen from 153.24 yenEuro/pound: DOWN at 83.27 pence from 83.37 penceBrent North Sea Crude: UP 1.0 percent at $71.70 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.1 percent at $68.06 per barrel
Budget 2025: le département du Doubs en “résistance”
La présidente du Conseil départemental du Doubs, Christine Bouquin (LR), a annoncé maintenir le vote du budget 2025 de sa collectivité dans un “esprit combatif et de résistance”, sans inclure les mesures d’économies que pourrait lui imposer l’Etat.”Nous avons fait le choix de garder notre calendrier budgétaire et de maintenir le vote de notre budget au mois de décembre prochain”, a déclaré lundi Christine Bouquin en séance plénière, faisant ainsi le choix inverse d’autres collectivités, qui ont reporté le vote de leur budget pour y intégrer les mesures qui seront décidées à l’issue du vote au Parlement du projet de loi de finances (PLF) 2025 de l’Etat.Selon elle, “si l’ensemble des mesures envisagées dans le PLF 2025 étaient appliquées, ce sont 25 millions d’euros qui seraient retirés au département du Doubs”, ce qui affecterait aussi bien “la rénovation des collèges” que la “modernisation des Ehpad”, et entraînerait “l’abandon de 80%” des investissements sur les routes départementales.”Nous devons être combatifs et certainement pas nous avouer déjà vaincus. Même si le temps presse, nous avons encore du temps pour refuser, convaincre et proposer”, a-t-elle affirmé devant les élus du département, vilipendant les “techniciens de Bercy”, “enfermés dans leur tour d’ivoire, si loin des réalités du terrain”.La position de Christine Bouquin a été soutenue à l’unanimité des membres du Conseil départemental, qui ont également adopté la résolution de l’association des départements de France alertant le gouvernement et les parlementaires sur “l’ampleur de l’effort demandé”.L’Assemblée nationale examine actuellement le PLF 2025, qui prévoit un plan massif d’économies et un effort de 60 milliards d’euros pour ramener le déficit à 5% du PIB – toujours loin au-dessus du seuil maximal de 3% autorisé par les règles budgétaires européennes.Sur ces 60 milliards d’euros, 20 milliards proviennent de hausses d’impôts et 40 milliards de réduction des dépenses, dont 5 milliards pour les collectivités.”Si par malheur, le Parlement validait en l’état le PLF 2025, et bien il nous appartiendra (…) d’adapter notre budget en prenant des mesures douloureuses”, a reconnu Mme Bouquin.