Peinture rouge et tags hostiles sur les locaux de la compagnie israélienne El Al à Paris

L’entrée des locaux de la compagnie aérienne israélienne El Al à Paris a été recouverte de peinture rouge et de tags hostiles dans la nuit de mercredi à jeudi, Israël condamnant un “acte barbare”.Des journalistes de l’AFP ont constaté jeudi matin des inscriptions “Palestine vivra, Palestine vaincra”, “Fuck zionism” ou encore “El Al Genocide Airline” sur les murs entourant la porte d’entrée de l’immeuble abritant les locaux de la compagnie, rue de Turbigo (IIIe arrondissement), dans le centre de la capitale.La façade et le sol avaient été aspergés de peinture rouge.Des inscriptions rouges en arabe ont également été découvertes sur la façade de la banque voisine de l’immeuble, selon une source policière.Le parquet de Paris a indiqué à l’AFP avoir ouvert une enquête pour des faits de dégradation ou de détérioration du bien d’autrui commis en réunion en raison de la race, de l’ethnie, de la nation ou de la religion. Elle a été confiée au commissariat local.La ministre israélienne des Transports, Miri Regev, a condamné sur X un “acte barbare et violent contre El Al”.”J’attends des autorités françaises chargées de l’application de la loi qu’elles localisent les criminels et prennent des mesures fortes à leur encontre”, a-t-elle ajouté.”Aujourd’hui c’est El Al, demain c’est Air France. Lorsque le président français Macron annonce des cadeaux au Hamas, voici le résultat”, a aussi écrit la ministre. Emmanuel Macron a annoncé fin juillet que la France reconnaîtrait l’Etat de Palestine en septembre à l’ONU.L’ambassadeur d’Israël en France, Joshua Zarka, s’est quant à lui rendu devant la façade dégradée en fin de matinée.”C’est un acte de terrorisme parce que ça a pour but de terroriser, de terroriser les employés d’El Al, de terroriser les citoyens israéliens, de leur faire peur et d’essayer de leur faire sentir qu’ils ne sont pas les bienvenus, que ce soit en France ou en dehors de leur pays”, a déclaré à la presse le diplomate.Selon la compagnie, citée par la chaîne de télévision israélienne N12, “l’incident s’est produit alors que le bâtiment était vide et qu’il n’y avait aucun danger pour les employés de l’entreprise”.”El Al arbore fièrement le drapeau israélien sur la queue de ses avions et condamne toute forme de violence, en particulier celle fondée sur l’antisémitisme”, a ajouté la compagnie nationale.Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a dénoncé sur X “une nouvelle manifestation d’antisémitisme décomplexé”, qu’il a qualifiée d'”inadmissible”. Son collègue des Transports, Philippe Tabarot, a lui condamné également sur X des “actes de vandalisme”, soulignant que “les actes de haine et d’antisémitisme n’ont pas leur place dans notre République”.Début juin, plusieurs lieux juifs à Paris avaient été aspergés de peinture verte, et trois Serbes ont été mis en examen et écroués, suspectés par les enquêteurs d’avoir agi dans le but de servir les intérêts d’une puissance étrangère, possiblement la Russie.Israël est en guerre dans la bande de Gaza contre le Hamas depuis l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur son sol le 7 octobre 2023.Cette attaque a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.L’offensive israélienne menée en représailles a fait au moins 61.158 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.dmv-bla-sm-mvn-cco/asl/dch   

Peinture rouge et tags hostiles sur les locaux de la compagnie israélienne El Al à Paris

L’entrée des locaux de la compagnie aérienne israélienne El Al à Paris a été recouverte de peinture rouge et de tags hostiles dans la nuit de mercredi à jeudi, Israël condamnant un “acte barbare”.Des journalistes de l’AFP ont constaté jeudi matin des inscriptions “Palestine vivra, Palestine vaincra”, “Fuck zionism” ou encore “El Al Genocide Airline” sur les murs entourant la porte d’entrée de l’immeuble abritant les locaux de la compagnie, rue de Turbigo (IIIe arrondissement), dans le centre de la capitale.La façade et le sol avaient été aspergés de peinture rouge.Des inscriptions rouges en arabe ont également été découvertes sur la façade de la banque voisine de l’immeuble, selon une source policière.Le parquet de Paris a indiqué à l’AFP avoir ouvert une enquête pour des faits de dégradation ou de détérioration du bien d’autrui commis en réunion en raison de la race, de l’ethnie, de la nation ou de la religion. Elle a été confiée au commissariat local.La ministre israélienne des Transports, Miri Regev, a condamné sur X un “acte barbare et violent contre El Al”.”J’attends des autorités françaises chargées de l’application de la loi qu’elles localisent les criminels et prennent des mesures fortes à leur encontre”, a-t-elle ajouté.”Aujourd’hui c’est El Al, demain c’est Air France. Lorsque le président français Macron annonce des cadeaux au Hamas, voici le résultat”, a aussi écrit la ministre. Emmanuel Macron a annoncé fin juillet que la France reconnaîtrait l’Etat de Palestine en septembre à l’ONU.L’ambassadeur d’Israël en France, Joshua Zarka, s’est quant à lui rendu devant la façade dégradée en fin de matinée.”C’est un acte de terrorisme parce que ça a pour but de terroriser, de terroriser les employés d’El Al, de terroriser les citoyens israéliens, de leur faire peur et d’essayer de leur faire sentir qu’ils ne sont pas les bienvenus, que ce soit en France ou en dehors de leur pays”, a déclaré à la presse le diplomate.Selon la compagnie, citée par la chaîne de télévision israélienne N12, “l’incident s’est produit alors que le bâtiment était vide et qu’il n’y avait aucun danger pour les employés de l’entreprise”.”El Al arbore fièrement le drapeau israélien sur la queue de ses avions et condamne toute forme de violence, en particulier celle fondée sur l’antisémitisme”, a ajouté la compagnie nationale.Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a dénoncé sur X “une nouvelle manifestation d’antisémitisme décomplexé”, qu’il a qualifiée d'”inadmissible”. Son collègue des Transports, Philippe Tabarot, a lui condamné également sur X des “actes de vandalisme”, soulignant que “les actes de haine et d’antisémitisme n’ont pas leur place dans notre République”.Début juin, plusieurs lieux juifs à Paris avaient été aspergés de peinture verte, et trois Serbes ont été mis en examen et écroués, suspectés par les enquêteurs d’avoir agi dans le but de servir les intérêts d’une puissance étrangère, possiblement la Russie.Israël est en guerre dans la bande de Gaza contre le Hamas depuis l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur son sol le 7 octobre 2023.Cette attaque a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.L’offensive israélienne menée en représailles a fait au moins 61.158 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.dmv-bla-sm-mvn-cco/asl/dch   

Une rencontre Trump-Poutine prévue pour “dans les prochains jours”, selon le Kremlin

Le Kremlin a annoncé jeudi un “accord de principe” pour une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump “dans les prochains jours”, tout en écartant dans l’immédiat un sommet à trois avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui insiste pour négocier directement avec son homologue russe.M. Poutine a estimé que les “conditions” n’étaient pas réunies pour un tête-à-tête avec M. Zelensky. Moscou avait précédemment fait savoir qu’un tel scénario n’avait de sens qu’en phase finale des négociations de paix.Donald Trump avait lui aussi évoqué mercredi une possible réunion “très bientôt” avec le chef de l’Etat russe, ce qui constituerait une première depuis son retour à la Maison Blanche en janvier.- “Accord de principe” -Le président américain avait repris contact avec M. Poutine dans l’espoir de mettre rapidement fin à l’offensive russe en Ukraine déclenchée en 2022 mais s’est montré de plus en plus frustré ces dernières semaines. Il a lancé à la Russie un ultimatum qui expire vendredi, la sommant de trouver un accord avec Kiev sous peine de sanctions sévères.”Sur la suggestion de la partie américaine, un accord de principe a été conclu pour organiser un sommet bilatéral dans les prochains jours”, a assuré jeudi le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov.Selon lui, cette rencontre pourrait se dérouler “la semaine prochaine” et M. Poutine a précisé que les Emirats arabes unis étaient l’un des endroits envisagés pour l’accueillir.”Nous avons beaucoup d’amis qui sont prêts à nous aider à organiser ce type d’événements. L’un d’entre eux est le président des Emirats arabes unis”, a déclaré le président russe aux côtés de son homologue émirati, Mohammed ben Zayed, qu’il recevait au Kremlin.Un responsable américain à la Maison Blanche, s’exprimant sous couvert d’anonymat, a, quant à lui, affirmé que le lieu de la réunion n’avait pas encore été convenu entre Moscou et Washington et que cette dernière pourrait intervenir la semaine prochaine.- Pas de rencontre avec Zelensky -M. Ouchakov a en revanche souligné que Moscou n’envisageait pas pour l’heure de sommet à trois entre Donald Trump, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, un format qui a été proposé par Washington.Et concernant une rencontre Poutine-Zelensky, le chef de l’Etat russe a dit “n’avoir rien contre” si “certaines conditions” sont réunies. “Or, malheureusement, nous sommes encore loin de ces conditions”, a-t-il affirmé.M. Zelensky avait encore insisté jeudi matin pour qu’une telle réunion soit organisée, la qualifiant de “priorité claire” pour l’Ukraine.Cette accélération diplomatique intervient à la suite de la visite à Moscou mercredi de l’émissaire spécial du président américain, Steve Witkoff, qui s’est entretenu avec Vladimir Poutine.Le chef de l’Etat ukrainien s’est de son côté entretenu mercredi soir au téléphone avec Donald Trump, une conversation à laquelle ont pris part plusieurs dirigeants européens.M. Zelensky a demandé que les Européens soient inclus dans les négociations de paix sur l’Ukraine, desquelles ils ont jusqu’à présent été tenus à l’écart malgré les tentatives de Paris, Berlin et Londres d’influer sur elles.”L’Europe doit donc participer au processus”, a-t-il plaidé jeudi.Le président ukrainien et le chancelier allemand Friedrich Merz ont néanmoins “loué” au cours d’une conversation téléphonique “les efforts de médiation” de Donald Trump, selon Berlin.M. Zelensky a également dit avoir informé au téléphone jeudi le président français Emmanuel Macron des derniers évènements.- Menace de sanctions -La dernière réunion en chair et en os entre Donald Trump et Vladimir Poutine a eu lieu en 2019 en marge d’un sommet du G20 au Japon mais c’est surtout leur sommet de juillet 2018 à Helsinki qui est resté dans les mémoires.Agacé par le blocage des pourparlers entre Moscou et Kiev, le président américain a donné à la Russie jusqu’à ce vendredi pour cesser les hostilités, sous peine de nouvelles sanctions. Un ultimatum dont on ignore pour le moment s’il est toujours d’actualité compte tenu de l’annonce d’un prochain sommet.Les pays qui commercent avec la Russie sont notamment visés, comme l’Inde et la Chine. M. Trump a déjà dit porter à 50% au lieu de 25% les droits de douane sur les importations en provenance d’Inde, en raison des achats indiens de pétrole russe.Vladimir Poutine a à cet égard reçu jeudi le conseiller à la sécurité nationale du Premier ministre indien Narendra Modi, Ajit Doval, selon les agences de presse russes.Malgré les efforts diplomatiques américains, rien n’indique que la Russie est revenue sur les conditions qu’elle pose pour mettre fin à son assaut en Ukraine.Elle réclame que ce pays lui cède quatre régions partiellement occupées (celles de Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev.

Une rencontre Trump-Poutine prévue pour “dans les prochains jours”, selon le Kremlin

Le Kremlin a annoncé jeudi un “accord de principe” pour une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump “dans les prochains jours”, tout en écartant dans l’immédiat un sommet à trois avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui insiste pour négocier directement avec son homologue russe.M. Poutine a estimé que les “conditions” n’étaient pas réunies pour un tête-à-tête avec M. Zelensky. Moscou avait précédemment fait savoir qu’un tel scénario n’avait de sens qu’en phase finale des négociations de paix.Donald Trump avait lui aussi évoqué mercredi une possible réunion “très bientôt” avec le chef de l’Etat russe, ce qui constituerait une première depuis son retour à la Maison Blanche en janvier.- “Accord de principe” -Le président américain avait repris contact avec M. Poutine dans l’espoir de mettre rapidement fin à l’offensive russe en Ukraine déclenchée en 2022 mais s’est montré de plus en plus frustré ces dernières semaines. Il a lancé à la Russie un ultimatum qui expire vendredi, la sommant de trouver un accord avec Kiev sous peine de sanctions sévères.”Sur la suggestion de la partie américaine, un accord de principe a été conclu pour organiser un sommet bilatéral dans les prochains jours”, a assuré jeudi le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov.Selon lui, cette rencontre pourrait se dérouler “la semaine prochaine” et M. Poutine a précisé que les Emirats arabes unis étaient l’un des endroits envisagés pour l’accueillir.”Nous avons beaucoup d’amis qui sont prêts à nous aider à organiser ce type d’événements. L’un d’entre eux est le président des Emirats arabes unis”, a déclaré le président russe aux côtés de son homologue émirati, Mohammed ben Zayed, qu’il recevait au Kremlin.Un responsable américain à la Maison Blanche, s’exprimant sous couvert d’anonymat, a, quant à lui, affirmé que le lieu de la réunion n’avait pas encore été convenu entre Moscou et Washington et que cette dernière pourrait intervenir la semaine prochaine.- Pas de rencontre avec Zelensky -M. Ouchakov a en revanche souligné que Moscou n’envisageait pas pour l’heure de sommet à trois entre Donald Trump, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, un format qui a été proposé par Washington.Et concernant une rencontre Poutine-Zelensky, le chef de l’Etat russe a dit “n’avoir rien contre” si “certaines conditions” sont réunies. “Or, malheureusement, nous sommes encore loin de ces conditions”, a-t-il affirmé.M. Zelensky avait encore insisté jeudi matin pour qu’une telle réunion soit organisée, la qualifiant de “priorité claire” pour l’Ukraine.Cette accélération diplomatique intervient à la suite de la visite à Moscou mercredi de l’émissaire spécial du président américain, Steve Witkoff, qui s’est entretenu avec Vladimir Poutine.Le chef de l’Etat ukrainien s’est de son côté entretenu mercredi soir au téléphone avec Donald Trump, une conversation à laquelle ont pris part plusieurs dirigeants européens.M. Zelensky a demandé que les Européens soient inclus dans les négociations de paix sur l’Ukraine, desquelles ils ont jusqu’à présent été tenus à l’écart malgré les tentatives de Paris, Berlin et Londres d’influer sur elles.”L’Europe doit donc participer au processus”, a-t-il plaidé jeudi.Le président ukrainien et le chancelier allemand Friedrich Merz ont néanmoins “loué” au cours d’une conversation téléphonique “les efforts de médiation” de Donald Trump, selon Berlin.M. Zelensky a également dit avoir informé au téléphone jeudi le président français Emmanuel Macron des derniers évènements.- Menace de sanctions -La dernière réunion en chair et en os entre Donald Trump et Vladimir Poutine a eu lieu en 2019 en marge d’un sommet du G20 au Japon mais c’est surtout leur sommet de juillet 2018 à Helsinki qui est resté dans les mémoires.Agacé par le blocage des pourparlers entre Moscou et Kiev, le président américain a donné à la Russie jusqu’à ce vendredi pour cesser les hostilités, sous peine de nouvelles sanctions. Un ultimatum dont on ignore pour le moment s’il est toujours d’actualité compte tenu de l’annonce d’un prochain sommet.Les pays qui commercent avec la Russie sont notamment visés, comme l’Inde et la Chine. M. Trump a déjà dit porter à 50% au lieu de 25% les droits de douane sur les importations en provenance d’Inde, en raison des achats indiens de pétrole russe.Vladimir Poutine a à cet égard reçu jeudi le conseiller à la sécurité nationale du Premier ministre indien Narendra Modi, Ajit Doval, selon les agences de presse russes.Malgré les efforts diplomatiques américains, rien n’indique que la Russie est revenue sur les conditions qu’elle pose pour mettre fin à son assaut en Ukraine.Elle réclame que ce pays lui cède quatre régions partiellement occupées (celles de Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev.

Stock markets brush aside higher US tariffs

Most stock markets climbed Thursday even as US President Donald Trump’s new tariffs on dozens of countries took effect, with investors eyeing exemptions from his threatened 100-percent levy on semiconductors.Sentiment was also lifted by hopes of easing geopolitical tensions after the Kremlin said Trump and Russia’s leader Vladimir Putin were set to meet for talks in the coming days.Wall Street’s main indices climbed as trading got underway, but the blue-chip Dow slipped into the red during morning trading and the S&P 500 was flat.Tech stocks were lifted by Trump’s pledge of chip-tariff exemptions for companies that invest heavily in the United States or commit to do so.”Donald Trump’s latest tariff move was taken with a positive twist after the president confirmed a 100-percent levy on imported semiconductors, but threw a lifeline to firms like Apple, saying US-based manufacturers would be exempt,” said City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada.Shares in Apple climbed 2.9 percent, adding to a gain of more than five percent on Wednesday.Shares in AI chipmaker Nvidia rose 1.0 percent. Some Asian semiconductor firms also got a boost.Taiwanese chip-making giant TSMC climbed five percent as Taipei said it would be exempt from Trump’s threatened levies on the sector.Seoul-listed Samsung, which is also pumping billions into the world’s number-one economy, rose more than two percent while South Korean rival SK Hynix was up more than one percent.Analysts said that while the chip tariff threat was steep, there was optimism the final level would be lower.And the entry into force of new US tariffs on many of its key trading partners as part of Trump’s efforts to reshape the global economy did not spook investors.”Trump’s global web of tariffs is now in place, but the stock market appears largely unfazed,” said Jochen Stanzl, chief market analyst at CMC Markets.Even Switzerland’s stock market rose 0.9 percent despite top officials failing to convince Washington not to impose a 39-percent tariff on Swiss goods.Stanzl added that buying was driven by “the potential for an interest rate cut by the Federal Reserve in just over a month and a possible meeting between Trump, (Ukraine leader Volodymyr) Zelensky, and Putin as early as next week”.In Europe, London was a rare faller despite the Bank of England cutting interest rates as expected and raising its growth forecast for the British economy.The decision to cut was split and the BoE made clear that bringing down inflation is its main concern, putting in doubt further rate cuts in the immediate future and sending the pound higher.Shares in chip maker Intel fell 3.3 percent after Trump demanded its new boss resign after a Republican Senator reportedly raised national security concerns over his links to firms in China.The price of bitcoin rose to near its record high on reports that Trump was about to sign an order that would allow US 401k pension savings accounts to use the cryptocurrency as an asset. – Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: DOWN 0.6 percent at 43,909.88 pointsNew York – S&P 500: FLAT at 6,340.70New York – Nasdaq Composite: UP 0.4 percent at 21,262.39London – FTSE 100: DOWN 0.7 percent at 9,100.77 (close)Paris – CAC 40: UP 1.0 percent at 7,709.32 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.1 percent at 24,192.50 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.7 percent at 41,059.15 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 25,081.63 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,639.67 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1630 from $1.1659 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.3413 from $1.3358Dollar/yen: UP at 147.45 yen from 147.38 yenEuro/pound: DOWN at 86.72 pence from 87.23 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.3 percent at $66.68 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.3 percent at $64.13 per barrelburs-rl/rlp

Les Bourses européennes terminent majoritairement en hausse

Les Bourses européennes ont terminé dans le vert jeudi, portées par les espoirs de désescalade géopolitique en Ukraine et les anticipations d’une baisse des taux de la Fed en septembre, à l’exception de Londres où les investisseurs craignent que la Banque d’Angleterre n’abaisse plus ses taux avant plusieurs mois.En Europe, la Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,97%, Francfort de 1,12% et Milan de 0,93%. Seule Londres a reculé (-0,69%).

Journée décisive dans l’Aude pour combattre l’incendie d’une ampleur inédite

Les soldats du feu veulent “taper vite et fort” jeudi, une journée “décisive de bascule” pour venir à bout de l’incendie d’une ampleur inédite, qui ravage l’Aude depuis près de 48 heures.En parcourant 17.000 hectares, le feu de forêt est d’ores et déjà le pire incendie depuis au moins 50 ans sur le pourtour méditerranéen français, selon une base de données gouvernementale répertoriant les feux de forêt depuis 1973.”L’objectif est de pouvoir fixer” le feu d’ici la fin de journée, a indiqué à l’AFP le colonel Christophe Magny, chef des pompiers de l’Aude, à la tête des opérations.En début d’après-midi, l’incendie n’était “pas encore fixé”, mais avait cessé de s’étendre, a déclaré à la presse le préfet de l’Aude, Christian Pouget.Cependant, “la bataille n’est pas encore terminée, le feu peut repartir de manière plus importante”, a-t-il ajouté, précisant que quelque 2.000 personnes évacuées n’avaient pas encore pu regagner leur domicile.Jeudi matin, 2.000 foyers étaient encore privés d’électricité, a fait savoir Enedis à l’AFP, indiquant que “la priorité immédiate (…) est d’assurer la continuité des services essentiels”, comme l’accès à l’eau ou aux réseaux de télécommunications.Parti mardi après-midi du village de Ribaute, entre Carcassonne et Narbonne, le sinistre géant a parcouru 17.000 hectares de végétation et de pinède, dont 13.000 brûlés, selon la sécurité civile. Il a aussi détruit ou endommagé 36 habitations et brûlé une quarantaine de véhicules, selon le bilan provisoire de la préfecture.À Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, une dame de 65 ans qui avait refusé de quitter sa maison a été retrouvée morte mercredi à son domicile dévasté par les flammes. La préfecture a également décompté 13 blessés: deux habitants hospitalisés, dont un grièvement brûlé, et onze sapeurs-pompiers, dont un souffre d’un traumatisme crânien, selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.- “On se relèvera pas” -Dans cette commune, la plus affectée par l’incendie, une épaisse fumée se dégageait jeudi des collines de pins surplombant les vignobles où les herbes sèches s’embrasaient, a constaté un journaliste de l’AFP.Le préfet a évalué “de 800 à 900 hectares” les vignobles perdus.”Si on n’est pas aidés, on ne se relèvera pas. On perd gros. C’est un désespoir complet. Ça m’écÅ“ure, cette vigne, toutes ces années de travail, c’est parti en fumée en une heure”, confie à l’AFP Fabien Vergnes, 52 ans, dans sa propriété de 20 hectares à Tournissan, à quelques kilomètres de Saint-Laurent.-Météo “plutôt favorable”-Les conditions météo jeudi “sont plutôt favorables”, selon les pompiers de l’Aude. La tramontane, un vent sec et chaud qui renforce le feu, a été supplantée par un vent marin qui “va apporter de l’air plus humide qu’avant, ce qui est moins favorable à la propagation du feu”, a déclaré à l’AFP François Gourand, prévisionniste à Météo-France.”Notre stratégie c’est de taper vite et fort avant que ce vent ne se relève”, ont précisé les pompiers à l’AFP.Le vent qui poussait les flammes vers le littoral méditerranéen a tourné mercredi après-midi, redirigeant le danger vers le massif des Corbières et quinze communes déjà directement ou indirectement impactées par le sinistre.Le vent et “les températures de 32°C”, attendues dans l’après-midi, “nous amènent à rester prudents”, tempère le colonel Magny.- Stratégie militaire de lutte -Le dispositif aérien de quatre Canadair et trois hélicoptères bombardiers d’eau est mobilisé “toute la journée”, pour traiter le feu toujours actif sur divers secteurs, précisent les pompiers du département.  Le Premier ministre François Bayrou a qualifié l’incendie de “catastrophe d’une ampleur inédite” en estimant que l’épisode était “lié au “réchauffement climatique” et “à la sécheresse”. Dans un message de solidarité sur X, le chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a prévenu: “La crise climatique est à nos portes. Si aucune action n’est prise rapidement et collectivement, une catastrophe va arriver, c’est une question de +quand+ et non pas de +si+”.Au troisième jour de combat contre le feu, plus de 2.000 pompiers et 500 engins restent mobilisés jeudi. L’Union européenne a également annoncé se tenir “prête à mobiliser” des ressources. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du feu, encore inconnues. Le Premier ministre a évoqué un départ de feu en bord de route.Fin juillet, à la moitié de la saison estivale, la sécurité civile avait comptabilisé plus de 15.000 hectares brûlés sur le territoire national pour 9.000 départs de feu, principalement sur le littoral méditerranéen.bur-chv-skh-dmc/dch/abl  

Journée décisive dans l’Aude pour combattre l’incendie d’une ampleur inédite

Les soldats du feu veulent “taper vite et fort” jeudi, une journée “décisive de bascule” pour venir à bout de l’incendie d’une ampleur inédite, qui ravage l’Aude depuis près de 48 heures.En parcourant 17.000 hectares, le feu de forêt est d’ores et déjà le pire incendie depuis au moins 50 ans sur le pourtour méditerranéen français, selon une base de données gouvernementale répertoriant les feux de forêt depuis 1973.”L’objectif est de pouvoir fixer” le feu d’ici la fin de journée, a indiqué à l’AFP le colonel Christophe Magny, chef des pompiers de l’Aude, à la tête des opérations.En début d’après-midi, l’incendie n’était “pas encore fixé”, mais avait cessé de s’étendre, a déclaré à la presse le préfet de l’Aude, Christian Pouget.Cependant, “la bataille n’est pas encore terminée, le feu peut repartir de manière plus importante”, a-t-il ajouté, précisant que quelque 2.000 personnes évacuées n’avaient pas encore pu regagner leur domicile.Jeudi matin, 2.000 foyers étaient encore privés d’électricité, a fait savoir Enedis à l’AFP, indiquant que “la priorité immédiate (…) est d’assurer la continuité des services essentiels”, comme l’accès à l’eau ou aux réseaux de télécommunications.Parti mardi après-midi du village de Ribaute, entre Carcassonne et Narbonne, le sinistre géant a parcouru 17.000 hectares de végétation et de pinède, dont 13.000 brûlés, selon la sécurité civile. Il a aussi détruit ou endommagé 36 habitations et brûlé une quarantaine de véhicules, selon le bilan provisoire de la préfecture.À Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, une dame de 65 ans qui avait refusé de quitter sa maison a été retrouvée morte mercredi à son domicile dévasté par les flammes. La préfecture a également décompté 13 blessés: deux habitants hospitalisés, dont un grièvement brûlé, et onze sapeurs-pompiers, dont un souffre d’un traumatisme crânien, selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.- “On se relèvera pas” -Dans cette commune, la plus affectée par l’incendie, une épaisse fumée se dégageait jeudi des collines de pins surplombant les vignobles où les herbes sèches s’embrasaient, a constaté un journaliste de l’AFP.Le préfet a évalué “de 800 à 900 hectares” les vignobles perdus.”Si on n’est pas aidés, on ne se relèvera pas. On perd gros. C’est un désespoir complet. Ça m’écÅ“ure, cette vigne, toutes ces années de travail, c’est parti en fumée en une heure”, confie à l’AFP Fabien Vergnes, 52 ans, dans sa propriété de 20 hectares à Tournissan, à quelques kilomètres de Saint-Laurent.-Météo “plutôt favorable”-Les conditions météo jeudi “sont plutôt favorables”, selon les pompiers de l’Aude. La tramontane, un vent sec et chaud qui renforce le feu, a été supplantée par un vent marin qui “va apporter de l’air plus humide qu’avant, ce qui est moins favorable à la propagation du feu”, a déclaré à l’AFP François Gourand, prévisionniste à Météo-France.”Notre stratégie c’est de taper vite et fort avant que ce vent ne se relève”, ont précisé les pompiers à l’AFP.Le vent qui poussait les flammes vers le littoral méditerranéen a tourné mercredi après-midi, redirigeant le danger vers le massif des Corbières et quinze communes déjà directement ou indirectement impactées par le sinistre.Le vent et “les températures de 32°C”, attendues dans l’après-midi, “nous amènent à rester prudents”, tempère le colonel Magny.- Stratégie militaire de lutte -Le dispositif aérien de quatre Canadair et trois hélicoptères bombardiers d’eau est mobilisé “toute la journée”, pour traiter le feu toujours actif sur divers secteurs, précisent les pompiers du département.  Le Premier ministre François Bayrou a qualifié l’incendie de “catastrophe d’une ampleur inédite” en estimant que l’épisode était “lié au “réchauffement climatique” et “à la sécheresse”. Dans un message de solidarité sur X, le chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a prévenu: “La crise climatique est à nos portes. Si aucune action n’est prise rapidement et collectivement, une catastrophe va arriver, c’est une question de +quand+ et non pas de +si+”.Au troisième jour de combat contre le feu, plus de 2.000 pompiers et 500 engins restent mobilisés jeudi. L’Union européenne a également annoncé se tenir “prête à mobiliser” des ressources. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du feu, encore inconnues. Le Premier ministre a évoqué un départ de feu en bord de route.Fin juillet, à la moitié de la saison estivale, la sécurité civile avait comptabilisé plus de 15.000 hectares brûlés sur le territoire national pour 9.000 départs de feu, principalement sur le littoral méditerranéen.bur-chv-skh-dmc/dch/abl  

Journée décisive dans l’Aude pour combattre l’incendie d’une ampleur inédite

Les soldats du feu veulent “taper vite et fort” jeudi, une journée “décisive de bascule” pour venir à bout de l’incendie d’une ampleur inédite, qui ravage l’Aude depuis près de 48 heures.En parcourant 17.000 hectares, le feu de forêt est d’ores et déjà le pire incendie depuis au moins 50 ans sur le pourtour méditerranéen français, selon une base de données gouvernementale répertoriant les feux de forêt depuis 1973.”L’objectif est de pouvoir fixer” le feu d’ici la fin de journée, a indiqué à l’AFP le colonel Christophe Magny, chef des pompiers de l’Aude, à la tête des opérations.En début d’après-midi, l’incendie n’était “pas encore fixé”, mais avait cessé de s’étendre, a déclaré à la presse le préfet de l’Aude, Christian Pouget.Cependant, “la bataille n’est pas encore terminée, le feu peut repartir de manière plus importante”, a-t-il ajouté, précisant que quelque 2.000 personnes évacuées n’avaient pas encore pu regagner leur domicile.Jeudi matin, 2.000 foyers étaient encore privés d’électricité, a fait savoir Enedis à l’AFP, indiquant que “la priorité immédiate (…) est d’assurer la continuité des services essentiels”, comme l’accès à l’eau ou aux réseaux de télécommunications.Parti mardi après-midi du village de Ribaute, entre Carcassonne et Narbonne, le sinistre géant a parcouru 17.000 hectares de végétation et de pinède, dont 13.000 brûlés, selon la sécurité civile. Il a aussi détruit ou endommagé 36 habitations et brûlé une quarantaine de véhicules, selon le bilan provisoire de la préfecture.À Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, une dame de 65 ans qui avait refusé de quitter sa maison a été retrouvée morte mercredi à son domicile dévasté par les flammes. La préfecture a également décompté 13 blessés: deux habitants hospitalisés, dont un grièvement brûlé, et onze sapeurs-pompiers, dont un souffre d’un traumatisme crânien, selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.- “On se relèvera pas” -Dans cette commune, la plus affectée par l’incendie, une épaisse fumée se dégageait jeudi des collines de pins surplombant les vignobles où les herbes sèches s’embrasaient, a constaté un journaliste de l’AFP.Le préfet a évalué “de 800 à 900 hectares” les vignobles perdus.”Si on n’est pas aidés, on ne se relèvera pas. On perd gros. C’est un désespoir complet. Ça m’écÅ“ure, cette vigne, toutes ces années de travail, c’est parti en fumée en une heure”, confie à l’AFP Fabien Vergnes, 52 ans, dans sa propriété de 20 hectares à Tournissan, à quelques kilomètres de Saint-Laurent.-Météo “plutôt favorable”-Les conditions météo jeudi “sont plutôt favorables”, selon les pompiers de l’Aude. La tramontane, un vent sec et chaud qui renforce le feu, a été supplantée par un vent marin qui “va apporter de l’air plus humide qu’avant, ce qui est moins favorable à la propagation du feu”, a déclaré à l’AFP François Gourand, prévisionniste à Météo-France.”Notre stratégie c’est de taper vite et fort avant que ce vent ne se relève”, ont précisé les pompiers à l’AFP.Le vent qui poussait les flammes vers le littoral méditerranéen a tourné mercredi après-midi, redirigeant le danger vers le massif des Corbières et quinze communes déjà directement ou indirectement impactées par le sinistre.Le vent et “les températures de 32°C”, attendues dans l’après-midi, “nous amènent à rester prudents”, tempère le colonel Magny.- Stratégie militaire de lutte -Le dispositif aérien de quatre Canadair et trois hélicoptères bombardiers d’eau est mobilisé “toute la journée”, pour traiter le feu toujours actif sur divers secteurs, précisent les pompiers du département.  Le Premier ministre François Bayrou a qualifié l’incendie de “catastrophe d’une ampleur inédite” en estimant que l’épisode était “lié au “réchauffement climatique” et “à la sécheresse”. Dans un message de solidarité sur X, le chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a prévenu: “La crise climatique est à nos portes. Si aucune action n’est prise rapidement et collectivement, une catastrophe va arriver, c’est une question de +quand+ et non pas de +si+”.Au troisième jour de combat contre le feu, plus de 2.000 pompiers et 500 engins restent mobilisés jeudi. L’Union européenne a également annoncé se tenir “prête à mobiliser” des ressources. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du feu, encore inconnues. Le Premier ministre a évoqué un départ de feu en bord de route.Fin juillet, à la moitié de la saison estivale, la sécurité civile avait comptabilisé plus de 15.000 hectares brûlés sur le territoire national pour 9.000 départs de feu, principalement sur le littoral méditerranéen.bur-chv-skh-dmc/dch/abl Â