Stocks and peso boosted by Trump’s Mexico, Canada tariff delay

Asian equities rose with the Mexican peso and Canadian dollar Tuesday after Donald Trump said he would delay the imposition of stiff tariffs on imports from the US neighbours, soothing trade war worries for now.But early euphoria was tempered somewhat after China announced levies on some imports of US goods as Washington’s measures kicked in, with no news that the two sides had reached an agreement to pause.Markets from Japan to New York were sent tumbling Monday after news at the weekend that Trump had signed off 25 percent duties against Mexico and Canada, fanning concerns for the stuttering global economy.Hours before the tariffs were due to take effect, Trump said he had struck deals with Canadian Prime Minister Justin Trudeau and Mexican President Claudia Sheinbaum on immigration and fentanyl, and would postpone the measures for a month.Talks on final deals would continue with both countries, he added.The tycoon added that he would hold talks with Beijing “probably in the next 24 hours” to avoid new 10 percent tariffs on Chinese imports.However, with the deadline for the tariffs passing at 0500 GMT, China unveiled tariffs on a range of US goods, including crude, coal, liquefied natural gas, agricultural machinery, large-displacement vehicles and pickup trucks.China, Canada and Mexico are the United States’ three biggest trading partners and had warned they would retaliate.News of the deals with Mexico and Canada saw the Mexican peso surge more than three percent — having tumbled to a three-year low on Monday — before paring the gains slightly. The Canadian dollar jumped more than one percent.Asian stock markets also advanced, though unease about the lack of movement on the Chinese tariffs saw traders’ early optimism fade.Hong Kong, which rose more than three percent in the morning, was up more than one percent, while Tokyo, Seoul, Manila, Sydney, Mumbai, Bangkok, Wellington and Taipei were also in the green.The euro and British pound extended losses after Trump warned the European Union would be next in the firing line, while he did not rule out tariffs against Britain.”A risk is that this is the beginning of a tit-for-tat trade war, which could result in lower GDP growth everywhere, higher US inflation, a stronger dollar and upside pressure on US interest rates,” said Stephen Dover, chief market strategist and head of Franklin Templeton Institute.”At the margin, these tariffs should encourage more domestic production of goods in the United States.  However, the uncertainty surrounding the permanence of these tariffs makes it challenging for companies to make informed capital investment decisions.”The volatile start to February on markets follows their rollercoaster ride last week after China’s DeepSeek unveiled a cheaper artificial intelligence model rivalling those of US tech giants, sparking questions over the vast sums invested in the sector in recent years.”One thing we can say for sure. Markets are going to remain subject to massive headline risk in coming hours… days… and years,” Ray Attrill at National Australia Bank warned.Gold spot prices held gains after spiking to a new record high of $2,830.74 on Monday, having retreated from last week’s all-time peak owing to the stronger dollar and as traders sought out the metal as a safe haven from uncertainty.- Key figures around 0530 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 0.7 percent at 38,796.51Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.6 percent at 20,533.16 Shanghai – Composite: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.0290 from $1.0302 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.2390 from $1.2407Dollar/yen: UP at 155.08 yen from 154.80 yenEuro/pound: DOWN at 83.00 pence from 83.03 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.6 percent at $72.00 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.0 percent at $75.21 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.3 percent at 44,421.91 (close)London – FTSE 100: DOWN 1.0 percent at 8,583.56 (close)

Juliette Binoche présidera le jury du 78e Festival de Cannes en mai

Le Festival de Cannes a choisi l’un des visages les plus connus du cinéma français dans le monde et une personnalité engagée, l’actrice Juliette Binoche, pour présider le jury de sa 78e édition, du 13 au 24 mai.L’actrice de 60 ans succède à la réalisatrice de “Barbie”, Greta Gerwig, présidente l’an dernier. Cette dernière avait décerné la Palme d’or au film américain “Anora” de Sean Baker.”Pour la deuxième fois dans l’histoire du festival, deux artistes féminines se transmettront ce prestigieux flambeau” de la présidence du jury, ont souligné les organisateurs dans un communiqué. Le précédent remontait aux années 1960, quand l’icône du cinéma italien Sophia Loren avait succédé à Olivia de Havilland (“Autant en emporte le vent”…).Six décennies plus tard, avec Juliette Binoche, le plus grand rendez-vous mondial du cinéma choisit l’une des stars françaises les plus connues à l’international, appréciée du public comme de la critique.Elle est l’une des rares à avoir réussi le triplé : primée à Cannes pour “Copie conforme” de l’Iranien Abbas Kiarostami, mais aussi à la Mostra de Venise et à la Berlinale. Elle fait également partie des quelques Français à avoir décroché un Oscar, en 1997 et dans un second rôle, pour “Le Patient anglais”.Juliette Binoche, qui a travaillé avec les Français Jean-Luc Godard et Leos Carax, mais aussi le Polonais Krzysztof Kieslowski, le Canadien David Cronenberg ou l’Autrichien Michael Haneke, est une habituée du Festival de Cannes, dont elle a foulé le tapis rouge dès 1985 pour “Rendez-vous” d’André Téchiné, qui l’a révélée.- Artiste engagée -“J’attends avec impatience le partage de ces moments de vie avec les membres du jury et le public. En 1985, je montais les marches pour la première fois avec l’enthousiasme et l’incertitude d’une jeune actrice. Je n’imaginais pas revenir 40 ans après dans ce rôle honorifique de présidente du jury. J’en pèse le privilège, la responsabilité et la nécessité absolue d’humilité”, a-t-elle déclaré dans le communiqué.Avec elle, le Festival fait le choix d’une artiste citoyenne engagée, qui n’hésite pas à multiplier les prises de position politique à gauche, pour les droits humains et les femmes en Iran, l’écologie ou les personnes sans-papiers.Ces derniers jours, elle signait encore un appel “Debout pour la culture” contre les coupes budgétaires prévues par le gouvernement français dans ce secteur.Dans le mouvement #MeToo qui rebat les cartes du cinéma mondial ces dernières années et n’épargne pas les festivals, elle se place du côté de ceux qui dénoncent les violences sexuelles. Celle qui a connu le cinéma des années 1980 et 1990, souvent marqué par la toute-puissance du réalisateur, a appelé récemment les hommes à briser aussi le silence sur ce sujet.A 99 jours de l’ouverture, le Festival doit constituer le restant du jury. L’annonce des films retenus en compétition officielle est attendue mi-avril.

Juliette Binoche présidera le jury du 78e Festival de Cannes en mai

Le Festival de Cannes a choisi l’un des visages les plus connus du cinéma français dans le monde et une personnalité engagée, l’actrice Juliette Binoche, pour présider le jury de sa 78e édition, du 13 au 24 mai.L’actrice de 60 ans succède à la réalisatrice de “Barbie”, Greta Gerwig, présidente l’an dernier. Cette dernière avait décerné la Palme d’or au film américain “Anora” de Sean Baker.”Pour la deuxième fois dans l’histoire du festival, deux artistes féminines se transmettront ce prestigieux flambeau” de la présidence du jury, ont souligné les organisateurs dans un communiqué. Le précédent remontait aux années 1960, quand l’icône du cinéma italien Sophia Loren avait succédé à Olivia de Havilland (“Autant en emporte le vent”…).Six décennies plus tard, avec Juliette Binoche, le plus grand rendez-vous mondial du cinéma choisit l’une des stars françaises les plus connues à l’international, appréciée du public comme de la critique.Elle est l’une des rares à avoir réussi le triplé : primée à Cannes pour “Copie conforme” de l’Iranien Abbas Kiarostami, mais aussi à la Mostra de Venise et à la Berlinale. Elle fait également partie des quelques Français à avoir décroché un Oscar, en 1997 et dans un second rôle, pour “Le Patient anglais”.Juliette Binoche, qui a travaillé avec les Français Jean-Luc Godard et Leos Carax, mais aussi le Polonais Krzysztof Kieslowski, le Canadien David Cronenberg ou l’Autrichien Michael Haneke, est une habituée du Festival de Cannes, dont elle a foulé le tapis rouge dès 1985 pour “Rendez-vous” d’André Téchiné, qui l’a révélée.- Artiste engagée -“J’attends avec impatience le partage de ces moments de vie avec les membres du jury et le public. En 1985, je montais les marches pour la première fois avec l’enthousiasme et l’incertitude d’une jeune actrice. Je n’imaginais pas revenir 40 ans après dans ce rôle honorifique de présidente du jury. J’en pèse le privilège, la responsabilité et la nécessité absolue d’humilité”, a-t-elle déclaré dans le communiqué.Avec elle, le Festival fait le choix d’une artiste citoyenne engagée, qui n’hésite pas à multiplier les prises de position politique à gauche, pour les droits humains et les femmes en Iran, l’écologie ou les personnes sans-papiers.Ces derniers jours, elle signait encore un appel “Debout pour la culture” contre les coupes budgétaires prévues par le gouvernement français dans ce secteur.Dans le mouvement #MeToo qui rebat les cartes du cinéma mondial ces dernières années et n’épargne pas les festivals, elle se place du côté de ceux qui dénoncent les violences sexuelles. Celle qui a connu le cinéma des années 1980 et 1990, souvent marqué par la toute-puissance du réalisateur, a appelé récemment les hommes à briser aussi le silence sur ce sujet.A 99 jours de l’ouverture, le Festival doit constituer le restant du jury. L’annonce des films retenus en compétition officielle est attendue mi-avril.

DR Congo, Rwanda leaders to join summit on crisis in war-torn eastTue, 04 Feb 2025 04:56:09 GMT

DRC President Felix Tshisekedi and Rwandan President Paul Kagame will attend a summit on Saturday as a Rwanda-backed armed group advances in the eastern Democratic Republic of Congo.M23 fighters and Rwandan soldiers have made substantial gains in the eastern DRC, taking the major city of Goma last week, and have vowed to march across the …

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Droits de douanes: la Chine toujours menacée par Trump, répit pour le Canada et le Mexique

Donald Trump a suspendu pour un mois son projet d’imposition de droits de douane au Canada et au Mexique et doit parler avec Pékin mardi, dans un contexte d’inquiétude quant à la perspective d’une guerre commerciale nuisible à l’économie mondiale.La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum et le Premier ministre canadien démissionnaire Justin Trudeau ont tous deux conclu lundi des accords de dernière minute avec M. Trump pour renforcer les contrôles aux frontières afin de limiter l’afflux de migrants et de fentanyl – un opioïde meurtrier – aux Etats-Unis.Le milliardaire républicain menaçait ses deux voisins d’instaurer des droits de douanes de 25% sur leurs produits s’ils n’entreprenaient rien dans ce domaine. Il a accepté de temporiser, en se disant “très satisfait” des négociations avec M. Trudeau et en saluant sa “conversation amicale” avec Mme Sheinbaum.Par ailleurs, concernant la Chine, “il est prévu qu’il s’entretienne avec le président Xi (Jinping) dans les prochaines 24 heures”, a assuré lundi la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.Dans ce contexte, les marchés asiatiques ont rebondi mardi matin, l’indice Nikkei gagnant 1,50% à 39.097 points à Tokyo et le Hang Seng de 3,11% à 20.846 points à Hong Kong.M. Trump menace d’imposer 10% supplémentaires sur les droits de douane déjà existants pour la Chine.”Les guerres commerciales ne font pas de gagnant”, a rappelé lundi l’ambassadeur chinois à l’ONU, Fu Cong, ajoutant qu’il ne pensait pas que rehausser les droits de douane “bénéficie aux Etats-Unis eux-mêmes”.- Soldats supplémentaires – Donald Trump, qui a déclaré à de nombreuses reprises que “tariff” (droit de douane) était l’un des plus beaux mots du dictionnaire, y a recours comme une arme de négociation pour obtenir des concessions politiques.Pour tenter de l’amener à de meilleurs sentiments, le Mexique s’est engagé à envoyer 10.000 soldats supplémentaires à la frontière avec les Etats-Unis.Le Canada a lui promis de nommer un responsable entièrement dédié à la lutte contre le trafic de fentanyl, de lancer une force d’intervention conjointe avec les Etats-Unis contre le crime organisé et d’inscrire les cartels mexicains sur sa liste des organisations terroristes.L’ampleur des changements concédés par le Canada n’était pas immédiatement claire. Car, outre ces annonces, M. Trudeau a simplement confirmé la mise en Å“uvre d’un plan annoncé depuis des semaines. Il prévoit 1,3 milliard de dollars canadiens pour renforcer les contrôles à la frontière, notamment avec “de nouveaux hélicoptères” et “plus de personnel”.Au final, “près de 10.000 agents sont et seront sur le terrain pour protéger notre frontière”, a assuré le Canadien.Les marchés financiers avaient terminé dans le rouge lundi, effrayés par la perspective d’une vaste guerre commerciale et les promesses de représailles du Canada et du Mexique.Un tel scenario fait craindre des pertes d’emplois et des augmentations de prix dans toute l’Amérique du nord. La tension était particulièrement vive au Canada, que M. Trump aimerait voir devenir le 51e Etat américain.- “Calmer les esprits” -M. Trudeau avait encouragé les Canadiens à acheter des produits locaux et à passer leurs vacances sur le sol national, et des listes de produits américains à boycotter circulent largement.Le compromis annoncé a convaincu la province de l’Ontario, poumon économique du Canada, de renoncer lundi soir à bannir les entreprises américaines des contrats publics.”Nous avons temporairement évité des droits de douane qui auraient gravement endommagé notre économie, donnant du temps aux négociations et pour permettre aux esprits de se calmer”, a déclaré Doug Ford, le Premier ministre de l’Ontario.Le Mexique, le Canada et la Chine sont les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis et représentent au total plus de 40% des importations du pays.Lundi, le conseiller économique de la Maison Blanche Kevin Hassett a indiqué sur CNBC que la question n’est pas celle d’une guerre commerciale mais d’une “guerre contre la drogue”.La production de précurseurs chimiques du fentanyl en Chine, ensuite utilisés par les cartels mexicains pour fabriquer cet opioïde de synthèse meurtrier, est un phénomène bien documenté.En revanche, le rôle du Canada dans ce trafic est extrêmement limité. Selon les chiffres officiels des services frontaliers américains, moins de 1% du fentanyl saisi aux Etats-Unis l’année dernière est arrivé du Canada.

Droits de douanes: la Chine toujours menacée par Trump, répit pour le Canada et le Mexique

Donald Trump a suspendu pour un mois son projet d’imposition de droits de douane au Canada et au Mexique et doit parler avec Pékin mardi, dans un contexte d’inquiétude quant à la perspective d’une guerre commerciale nuisible à l’économie mondiale.La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum et le Premier ministre canadien démissionnaire Justin Trudeau ont tous deux conclu lundi des accords de dernière minute avec M. Trump pour renforcer les contrôles aux frontières afin de limiter l’afflux de migrants et de fentanyl – un opioïde meurtrier – aux Etats-Unis.Le milliardaire républicain menaçait ses deux voisins d’instaurer des droits de douanes de 25% sur leurs produits s’ils n’entreprenaient rien dans ce domaine. Il a accepté de temporiser, en se disant “très satisfait” des négociations avec M. Trudeau et en saluant sa “conversation amicale” avec Mme Sheinbaum.Par ailleurs, concernant la Chine, “il est prévu qu’il s’entretienne avec le président Xi (Jinping) dans les prochaines 24 heures”, a assuré lundi la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.Dans ce contexte, les marchés asiatiques ont rebondi mardi matin, l’indice Nikkei gagnant 1,50% à 39.097 points à Tokyo et le Hang Seng de 3,11% à 20.846 points à Hong Kong.M. Trump menace d’imposer 10% supplémentaires sur les droits de douane déjà existants pour la Chine.”Les guerres commerciales ne font pas de gagnant”, a rappelé lundi l’ambassadeur chinois à l’ONU, Fu Cong, ajoutant qu’il ne pensait pas que rehausser les droits de douane “bénéficie aux Etats-Unis eux-mêmes”.- Soldats supplémentaires – Donald Trump, qui a déclaré à de nombreuses reprises que “tariff” (droit de douane) était l’un des plus beaux mots du dictionnaire, y a recours comme une arme de négociation pour obtenir des concessions politiques.Pour tenter de l’amener à de meilleurs sentiments, le Mexique s’est engagé à envoyer 10.000 soldats supplémentaires à la frontière avec les Etats-Unis.Le Canada a lui promis de nommer un responsable entièrement dédié à la lutte contre le trafic de fentanyl, de lancer une force d’intervention conjointe avec les Etats-Unis contre le crime organisé et d’inscrire les cartels mexicains sur sa liste des organisations terroristes.L’ampleur des changements concédés par le Canada n’était pas immédiatement claire. Car, outre ces annonces, M. Trudeau a simplement confirmé la mise en Å“uvre d’un plan annoncé depuis des semaines. Il prévoit 1,3 milliard de dollars canadiens pour renforcer les contrôles à la frontière, notamment avec “de nouveaux hélicoptères” et “plus de personnel”.Au final, “près de 10.000 agents sont et seront sur le terrain pour protéger notre frontière”, a assuré le Canadien.Les marchés financiers avaient terminé dans le rouge lundi, effrayés par la perspective d’une vaste guerre commerciale et les promesses de représailles du Canada et du Mexique.Un tel scenario fait craindre des pertes d’emplois et des augmentations de prix dans toute l’Amérique du nord. La tension était particulièrement vive au Canada, que M. Trump aimerait voir devenir le 51e Etat américain.- “Calmer les esprits” -M. Trudeau avait encouragé les Canadiens à acheter des produits locaux et à passer leurs vacances sur le sol national, et des listes de produits américains à boycotter circulent largement.Le compromis annoncé a convaincu la province de l’Ontario, poumon économique du Canada, de renoncer lundi soir à bannir les entreprises américaines des contrats publics.”Nous avons temporairement évité des droits de douane qui auraient gravement endommagé notre économie, donnant du temps aux négociations et pour permettre aux esprits de se calmer”, a déclaré Doug Ford, le Premier ministre de l’Ontario.Le Mexique, le Canada et la Chine sont les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis et représentent au total plus de 40% des importations du pays.Lundi, le conseiller économique de la Maison Blanche Kevin Hassett a indiqué sur CNBC que la question n’est pas celle d’une guerre commerciale mais d’une “guerre contre la drogue”.La production de précurseurs chimiques du fentanyl en Chine, ensuite utilisés par les cartels mexicains pour fabriquer cet opioïde de synthèse meurtrier, est un phénomène bien documenté.En revanche, le rôle du Canada dans ce trafic est extrêmement limité. Selon les chiffres officiels des services frontaliers américains, moins de 1% du fentanyl saisi aux Etats-Unis l’année dernière est arrivé du Canada.

Droits de douanes: la Chine toujours menacée par Trump, répit pour le Canada et le Mexique

Donald Trump a suspendu pour un mois son projet d’imposition de droits de douane au Canada et au Mexique et doit parler avec Pékin mardi, dans un contexte d’inquiétude quant à la perspective d’une guerre commerciale nuisible à l’économie mondiale.La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum et le Premier ministre canadien démissionnaire Justin Trudeau ont tous deux conclu lundi des accords de dernière minute avec M. Trump pour renforcer les contrôles aux frontières afin de limiter l’afflux de migrants et de fentanyl – un opioïde meurtrier – aux Etats-Unis.Le milliardaire républicain menaçait ses deux voisins d’instaurer des droits de douanes de 25% sur leurs produits s’ils n’entreprenaient rien dans ce domaine. Il a accepté de temporiser, en se disant “très satisfait” des négociations avec M. Trudeau et en saluant sa “conversation amicale” avec Mme Sheinbaum.Par ailleurs, concernant la Chine, “il est prévu qu’il s’entretienne avec le président Xi (Jinping) dans les prochaines 24 heures”, a assuré lundi la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.Dans ce contexte, les marchés asiatiques ont rebondi mardi matin, l’indice Nikkei gagnant 1,50% à 39.097 points à Tokyo et le Hang Seng de 3,11% à 20.846 points à Hong Kong.M. Trump menace d’imposer 10% supplémentaires sur les droits de douane déjà existants pour la Chine.”Les guerres commerciales ne font pas de gagnant”, a rappelé lundi l’ambassadeur chinois à l’ONU, Fu Cong, ajoutant qu’il ne pensait pas que rehausser les droits de douane “bénéficie aux Etats-Unis eux-mêmes”.- Soldats supplémentaires – Donald Trump, qui a déclaré à de nombreuses reprises que “tariff” (droit de douane) était l’un des plus beaux mots du dictionnaire, y a recours comme une arme de négociation pour obtenir des concessions politiques.Pour tenter de l’amener à de meilleurs sentiments, le Mexique s’est engagé à envoyer 10.000 soldats supplémentaires à la frontière avec les Etats-Unis.Le Canada a lui promis de nommer un responsable entièrement dédié à la lutte contre le trafic de fentanyl, de lancer une force d’intervention conjointe avec les Etats-Unis contre le crime organisé et d’inscrire les cartels mexicains sur sa liste des organisations terroristes.L’ampleur des changements concédés par le Canada n’était pas immédiatement claire. Car, outre ces annonces, M. Trudeau a simplement confirmé la mise en Å“uvre d’un plan annoncé depuis des semaines. Il prévoit 1,3 milliard de dollars canadiens pour renforcer les contrôles à la frontière, notamment avec “de nouveaux hélicoptères” et “plus de personnel”.Au final, “près de 10.000 agents sont et seront sur le terrain pour protéger notre frontière”, a assuré le Canadien.Les marchés financiers avaient terminé dans le rouge lundi, effrayés par la perspective d’une vaste guerre commerciale et les promesses de représailles du Canada et du Mexique.Un tel scenario fait craindre des pertes d’emplois et des augmentations de prix dans toute l’Amérique du nord. La tension était particulièrement vive au Canada, que M. Trump aimerait voir devenir le 51e Etat américain.- “Calmer les esprits” -M. Trudeau avait encouragé les Canadiens à acheter des produits locaux et à passer leurs vacances sur le sol national, et des listes de produits américains à boycotter circulent largement.Le compromis annoncé a convaincu la province de l’Ontario, poumon économique du Canada, de renoncer lundi soir à bannir les entreprises américaines des contrats publics.”Nous avons temporairement évité des droits de douane qui auraient gravement endommagé notre économie, donnant du temps aux négociations et pour permettre aux esprits de se calmer”, a déclaré Doug Ford, le Premier ministre de l’Ontario.Le Mexique, le Canada et la Chine sont les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis et représentent au total plus de 40% des importations du pays.Lundi, le conseiller économique de la Maison Blanche Kevin Hassett a indiqué sur CNBC que la question n’est pas celle d’une guerre commerciale mais d’une “guerre contre la drogue”.La production de précurseurs chimiques du fentanyl en Chine, ensuite utilisés par les cartels mexicains pour fabriquer cet opioïde de synthèse meurtrier, est un phénomène bien documenté.En revanche, le rôle du Canada dans ce trafic est extrêmement limité. Selon les chiffres officiels des services frontaliers américains, moins de 1% du fentanyl saisi aux Etats-Unis l’année dernière est arrivé du Canada.

OpenAI chief Altman inks deal with S. Korea’s Kakao after DeepSeek upset

OpenAI chief Sam Altman inked a deal with tech giant Kakao in South Korea on Tuesday as the US firm seeks new alliances after Chinese rival DeepSeek shook the global AI industry.Kakao, which owns an online bank, South Korea’s largest taxi-hailing app and KakaoTalk, announced a partnership allowing them to use ChatGPT for its new artificial intelligence services, joining a global alliance led by OpenAI amid intensifying competition in the sector.Altman’s company is part of the Stargate drive announced by US President Donald Trump to invest up to $500 billion in AI infrastructure in the United States.But AI newcomer DeepSeek has sent Silicon Valley into a frenzy, with some calling its high performance and supposed low cost a wake-up call for US developers.”We’re excited to bring advanced AI to Kakao’s millions of users and work together to integrate our technology into services that transform how Kakao’s users communicate and connect,” said Altman.”Kakao has a deep understanding of how technology can enrich everyday lives,” he added.Kakao’s CEO Shina Chung said the company was “thrilled” to establish a “strategic collaboration” with OpenAI.Also on Altman’s agenda were meetings with two top South Korean chipmakers, Samsung and SK hynix, both key suppliers of advanced semiconductors used in AI servers.Altman met with SK Group chairman Chey Tae-won and SK hynix CEO Kwak Noh-jung in Seoul to discuss collaboration on AI memory chips, including high bandwidth memory (HBM), and AI services.He is also expected to meet with Samsung Electronics chairman Lee Jae-yong later Tuesday. Jaejune Kim, executive vice president of Samsung’s memory business, said last week that the company was “monitoring industry trends considering various scenarios” when asked about DeepSeek.DeepSeek’s performance has sparked a wave of accusations that it has reverse-engineered the capabilities of leading US technology, such as the AI powering ChatGPT.OpenAI warned last week that Chinese companies are actively attempting to replicate its advanced AI models, prompting closer cooperation with US authorities.OpenAI says rivals are using a process known as distillation in which developers creating smaller models learn from larger ones by copying their behaviour and decision-making patterns — similar to a student learning from a teacher.The company is itself facing multiple accusations of intellectual property violations, primarily related to the use of copyrighted materials in training its generative AI models.

OpenAI chief Altman inks deal with S. Korea’s Kakao after DeepSeek upset

OpenAI chief Sam Altman inked a deal with tech giant Kakao in South Korea on Tuesday as the US firm seeks new alliances after Chinese rival DeepSeek shook the global AI industry.Kakao, which owns an online bank, South Korea’s largest taxi-hailing app and KakaoTalk, announced a partnership allowing them to use ChatGPT for its new artificial intelligence services, joining a global alliance led by OpenAI amid intensifying competition in the sector.Altman’s company is part of the Stargate drive announced by US President Donald Trump to invest up to $500 billion in AI infrastructure in the United States.But AI newcomer DeepSeek has sent Silicon Valley into a frenzy, with some calling its high performance and supposed low cost a wake-up call for US developers.”We’re excited to bring advanced AI to Kakao’s millions of users and work together to integrate our technology into services that transform how Kakao’s users communicate and connect,” said Altman.”Kakao has a deep understanding of how technology can enrich everyday lives,” he added.Kakao’s CEO Shina Chung said the company was “thrilled” to establish a “strategic collaboration” with OpenAI.Also on Altman’s agenda were meetings with two top South Korean chipmakers, Samsung and SK hynix, both key suppliers of advanced semiconductors used in AI servers.Altman met with SK Group chairman Chey Tae-won and SK hynix CEO Kwak Noh-jung in Seoul to discuss collaboration on AI memory chips, including high bandwidth memory (HBM), and AI services.He is also expected to meet with Samsung Electronics chairman Lee Jae-yong later Tuesday. Jaejune Kim, executive vice president of Samsung’s memory business, said last week that the company was “monitoring industry trends considering various scenarios” when asked about DeepSeek.DeepSeek’s performance has sparked a wave of accusations that it has reverse-engineered the capabilities of leading US technology, such as the AI powering ChatGPT.OpenAI warned last week that Chinese companies are actively attempting to replicate its advanced AI models, prompting closer cooperation with US authorities.OpenAI says rivals are using a process known as distillation in which developers creating smaller models learn from larger ones by copying their behaviour and decision-making patterns — similar to a student learning from a teacher.The company is itself facing multiple accusations of intellectual property violations, primarily related to the use of copyrighted materials in training its generative AI models.