Ligue des champions: pas de miracle pour Monaco, soirée noire pour l’Italie

Monaco n’a pas réussi à renverser la situation mardi à Lisbonne où son aventure en Ligue des champions a pris fin aux portes des huitièmes sur un nul frustrant face à Benfica (3-3), alors que l’Italie a connu une soirée cauchemardesque avec les éliminations de l’AC Milan et de l’Atalanta Bergame. Battus 1-0 au stade Louis-II, les Monégasques devaient réaliser un exploit dans l’ambiance surchauffée de l’Estadio da Luz. Mais comme à l’aller, ils ont été plombés par leurs incroyables errements défensifs malgré une assez belle prestation. Amoindri par une cascade de blessures (Balogun, Teze, Magassa et Golovin) et de suspensions (Vanderson, Zakaria, Al-Musrati) et rapidement devancé au score sur un but de Kerem Akturkoglu (22e), Monaco a mené à deux reprises après deux buts de Takumi Minamino (32e) et Eliesse Ben Seghir (51e), puis grâce à Ilenikhena (81). Mais il s’est à chaque fois sabordé sur des erreurs monumentales de son arrière-garde, qui a cédé devant Vangelis Pavlidis (76e sur penalty) et Orkun Kokçu (84e).Cette sortie de route prématurée en C1 constitue un gros échec pour le club de la Principauté et fragilise forcément la direction, du directeur général Thiago Scuro jusqu’à l’entraîneur Adi Hütter, dont le contrat a pourtant été prolongé en janvier.- Le Bayern Munich in extremis -Il ne restera plus que deux clubs tricolores en huitièmes de finale puisque le vainqueur du duel franco-français entre le PSG et Brest rejoindra Lille au prochain tour. Les Parisiens, qui se sont imposés facilement en Bretagne la semaine dernière (3-0), ont déjà fait le plus dur avant de recevoir les Brestois au Parc des Princes mercredi. L’Italie, elle, broie du noir avec les chutes à domicile de l’AC Milan et de l’Atalanta Bergame. Les Milanais, qui avaient un but de retard à rattraper, ont été incapables de battre le Feyenoord Rotterdam dans leur antre de San Siro (1-1) et quittent la Ligue des champions sur une énorme désillusion.Les Rossoneri n’ont pas été aidés par l’international français Théo Hernandez, bêtement exclu après un deuxième carton jaune pour une grossière simulation dans la surface adverse juste après la pause (51e).   L’Atalanta, lauréat de la Ligue Europa en 2024, a fait encore pire en étant surclassé à Bergame (3-1) par le Club Bruges, déjà victorieux en Belgique (2-1) et qui a pu compter sur l’adresse de Chemsdine Talbi, auteur d’un doublé. Le Bayern Munich, seul cador européen en lice mardi, s’est fait très peur face au Celtic (1-1) mais a fini par passer in extremis sur un but égalisateur d’Alphonso Davies dans le temps additionnel (90e+4) après son succès étriqué à Glasgow à l’aller (2-1). 

Ligue des champions: Bruges donne une leçon à l’Atalanta

Bruges a donné une leçon à l’Atalanta Bergame, qui dispose pourtant d’une des attaques les plus prolifiques d’Europe, mais le club italien a été pris à son propre jeu et s’est incliné 3 à 1 devant son public, mardi en barrage retour de Ligue des champions.Moins d’une semaine après un match aller décidé en faveur des “Blauw en Zwart” (Bleu et Noir) par un penalty controversé (2-1), il n’y a cette fois pas eu de discussion entre les deux équipes. Le Club Bruges a dominé et s’est logiquement qualifié pour les 8e de finale.La formation belge a pris l’avantage dès la troisième minute grâce à Chemsdine Talbi. Face à une Atalanta, lauréate de la dernière Ligue Europa et 3ème du Championnat d’Italie, complètement déboussolée, l’attaquant belge de 19 ans a doublé la mise à la 27ème minute en profitant d’une défense italienne trop passive.Alors que la “Dea” manquait de peu de réduire la marque en fin de première période, Bruges a alourdi la marque à 3-0 sur un contre conclu par Ferran Jutglà (45+3).Au retour des vestiaires, l’Atalanta a brièvement repris espoir grâce à son attaquant nigérian Ademola Lookman qui, pour son retour en compétition après trois semaines d’absence pour blessure, a ramené le score à 3-1. Lookman a même eu l’occasion de s’offrir un doublé, mais sa tentative de penalty a été stoppée par Simon Mignolet à la 60ème minute.La “Dea” a terminé la rencontre à dix après l’exclusion de son capitaine Rafael Tolói, qui, frustré par le déroulement du match, s’en est pris physiquement à un joueur adverse. Au prochain tour, le Club Bruges sera opposé soit aux Anglais d’Aston Villa, soit aux Français de Lille.

Ligue des champions: Monaco tombe avec les honneurs après son nul à Lisbonne contre Benfica

Monaco n’est pas parvenu à combler son retard de l’aller (1-0) lors du barrage retour de Ligue des champions à Lisbonne contre le Benfica, et son match nul (3-3), aussi héroïque a-t-il été, n’a servi à rien.Ce sont donc les Portugais, pourtant longtemps secoués par une vaillante formation de Monaco, qui défieront en 8e de finale de la compétition les Anglais de Liverpool ou les Catalans de Barcelone. Mais mardi soir, Maghnès Akliouche et ses partenaires ont montré qu’ils auraient pu mériter mieux.Il aurait fallu que le sort ne soit pas contraire à l’aller. Et qu’ils tiennent plus longtemps après avoir inscrit le 3-2, par l’intermédiaire de George Ilenikhena (81e), sur son premier ballon après son entrée en jeu. Comme contre Barcelone lors de la première journée de la compétition, il a marqué d’une frappe puissante, mal négociée cette fois par Trubin.Mais Monaco n’a pas tenu. Sur un centre d’Alvaro Carreras, Orkun Kökcü a devancé Kassoum Ouattara, entré en jeu en même temps que Ilenikhena mais pas avec la même efficience. Le Turc a offert une qualification presque inespérée à un Benfica balloté et souvent sous pression (3-3, 84e).-Folle fin de match-La fin de rencontre a été folle. Pourtant, les sept minutes de temps additionnel n’ont pas permis aux joueurs de la Principauté d’inscrire un quatrième but synonyme de  prolongations. Et le parcours européen monégasque se termine donc dans la capitale portugaise.En l’absence de Zakaria, Al-Musrati, et Vanderson, suspendus, mais aussi des blessés Balogun, Teze, Magassa et Golovin, Adi Hütter a innové. Il a titularisé le défenseur ivoirien Wilfried Singo dans une défense à trois aux côtés de Thilo Kehrer et de Christian Mawissa. La dernière fois que les trois avaient été alignés ainsi ensemble, c’était à Reims (0-0) en L1, le 14 décembre dernier. Et ce schéma a bien fonctionné durant 21 minutes. Jusqu’à ce que, pressé dans son camp, Singo se fasse déposséder du ballon par Leandro Barreiro, et que Vangelis Pavlidis se joue de Kehrer dans la surface. Le Grec a parfaitement centré pour Kerem Aktürkoglu, abandonné par Caio Henrique, auteur de son quatrième but en Ligue des champions cette saison (1-0, 22e).Touchés alors qu’il avaient bien entamé la rencontre, et qu’ils s’étaient créés une belle opportunité par Krepin Diatta, repoussée par Anatoliy Trubin (7e), les Monégasques ont mis dix minutes à récupérer.Sur un centre de Diatta, Embolo a vu sa tête rageuse frapper le poteau d’un Trubin battu (32e). Mais dans la foulée, Takumi Minamino a frappé fort du droit pour égaliser (1-1, 32e). -Akliouche haut-de-gamme-Emmenés par un excellent Akliouche, capable de faire aussi bien de réelles différences balle au pied que de décaler ses partenaires, les Rouge et Blanc, en vert pour l’occasion sous la pluie de Lisbonne, ont poursuivi leurs tentatives.Ils auraient d’ailleurs même pu avoir déjà refait le retard à la pause si Embolo n’avait pas vendangé une offrande d’Akliouche. Le combattant suisse, seul face à Trubin, a maladroitement raté sa reprise (45e+4).Supérieurs en première mi-temps, les hommes de Hütter ont rapidement et logiquement pris les devant après la pause. Si Eliesse Ben Seghir a vu un premier essai détourné en corner par Trubine (57e), il a été létal. Sur la passe ciselée d’un Akliouche en grand forme, et après l’effacement fin et volontaire de Embolo, en rédemption après son geste raté de la première période, Ben Seghir a glacé les 64.000 spectateurs -moins les 500 Monégasques-, présents au Stade de la Luz (2-1, 51e).Dès lors, les Lisboètes ont poussé. Et obtenu un pénalty à la suite d’un faute de Kehrer sur le Norvégien Aursnes (71e), que l’arbitre suédois M. Glenn Nyberg a dû revisionner après une séquence qui a duré quatre minutes. Pavlidis a égalisé (2-2, 76e). La fin de match a été pleine de revirements. Mais elle a été fatale à Monaco.

C1: un Bayern inquiétant arrache sa qualification au bout du suspense face au Celtic

Vainqueur à l’aller à Glasgow (2-1) il y a une semaine, le Bayern s’en est miraculeusement sorti avec un match nul (1-1) contre le Celtic mardi, pour arracher sa place en huitièmes de finale de la Ligue des champions.Alors que les 75.000 spectateurs de l’Allianz Arena s’apprêtaient à prolonger d’une demi-heure au moins leur expérience dans le glaçon munichois (-4 degrés et vent glacial), Alphonso Davies a repris une balle mal renvoyée par Kasper Schmeichel sur une tête de Leon Goretzka pour égaliser dans la dernière des quatre minutes du temps additionnel.Ça faisait bien 20 minutes que les joueurs de Vincent Kompany faisaient le siège du but du Celtic, qui avait ouvert le score à la 63e minute par Nicolas Kühn, profitant d’une énième erreur de relance des Munichois, incroyablement brouillons en première période.Jusqu’à l’égalisation de Davies, les Munichois ont soit manqué de chance, avec Harry Kane (sorti à la pause) qui a trouvé la barre transversale adverse en fin de première période, soit manqué de précision, à l’image des nombreux tirs non cadrés, comme celui de Joshua Kimmich (38e), ou de Leroy Sané (69e). Goretzka avait lui aussi manqué le cadre de la tête (73e).La prestation munichoise n’a pas vraiment rassuré les supporters du Bayern, trois jours après un match à Leverkusen samedi en championnat incroyablement pauvre en attaque (aucun tir cadré, aucun corner).- Huitième compliqué en perspective -Vendredi à la mi-journée, avant de préparer un nouveau choc de Bundesliga contre l’Eintracht Francfort (dimanche, 17h30) actuel troisième du championnat d’Allemagne, Vincent Kompany aura forcément une oreille attentive à ce qui sortira du tirage au sort à Nyon, siège de l’UEFA.Pour une place en quarts de finale, stade de la compétition reine du football européen que le Bayern n’a manqué qu’à six reprises en 40 participations, ses joueurs devront se défaire du Bayer Leverkusen ou de l’Atlético Madrid, avec un retour à l’extérieur alors que les Munichois voyagent mal à l’extérieur cette saison (3 défaites).Sur la scène nationale, le Bayer Leverkusen pose de gros problèmes aux Munichois depuis l’arrivée de Xabi Alonso sur le banc du Werkself, le onze de l’usine (surnom de l’équipe du club fondé en 1904 par le chimiste Bayer) avec trois matches nuls et trois revers.La partie ne s’annonce pas plus facile face à l’Atlético Madrid de Diego Simeone, 3e du championnat d’Espagne et habitué récemment aux joutes européennes à ce stade de la compétition, avec une présence au moins en quarts de finale à sept reprises lors des onze derniers exercices, dont deux finales.D’ici le double affrontement début mars en huitièmes de finale de la Ligue des champions, les Munichois auront encore au programme en championnat Francfort dimanche, avant un déplacement dans dix jours à Stuttgart, pour conserver ou conforter leur actuelle avance de huit points en tête de la Bundesliga.

Audience décisive mercredi dans l’affaire de corruption visant le maire de New York

Le juge en charge des poursuites pour corruption visant le maire de New York a convoqué le ministère de la Justice, sommé de venir expliquer mercredi les raisons pour lesquelles il a ordonné de classer l’affaire, provoquant un séisme politico-judiciaire dans la plus grande ville des Etats-Unis.L’injonction faite la semaine dernière par l’administration du président Donald Trump, perçue comme une ingérence du nouveau pouvoir sur une juridiction de Manhattan rompue aux affaires sensibles, a provoqué une cascade de démissions parmi au moins sept procureurs de New York et de Washington, qui ont refusé de se plier aux ordres du ministère.En substance, l’administration Trump argue que les poursuites dans cette vaste affaire de financement illégal de campagne et de pots-de-vin visant le maire démocrate Eric Adams sont motivées politiquement et qu’elles empêchent l’édile d’appliquer dans la ville de 8 millions d’habitants la nouvelle politique en matière de lutte contre l’immigration clandestine.Le numéro deux du ministère et ancien avocat de Donald Trump, Emil Bove, a lui-même formellement transmis la demande afin de lever les poursuites auprès du juge fédéral de New York chargé du dossier, Dale Ho.Ce dernier a notamment convoqué le ministère de la Justice et le maire, sommés de comparaître mercredi à 14H00 locales (19H00 GMT) dans un tribunal de Manhattan.”Les parties doivent être prêtes à aborder, entre autres, les motifs de la requête du gouvernement (…) et la procédure de résolution de la requête”, a-t-il écrit dans un document ajouté mardi au dossier.   “Etant donné que le tribunal doit exercer son pouvoir discrétionnaire lorsqu’il examine une demande de rejet, il doit disposer de suffisamment d’informations factuelles à l’appui” de l’injonction, a écrit le juge Ho.Depuis son inculpation en septembre dernier, l’ancien capitaine de police devenu maire de la plus grande ville des Etats-Unis ne cesse de clamer son innocence.- “Objectifs politiques” -“Je veux être très clair avec les New-Yorkais: je n’ai jamais offert – et personne ne l’a fait en mon nom – mon autorité de maire contre la fin de mon dossier judiciaire”, a-t-il par ailleurs assuré la semaine dernière, alors que ses détracteurs laissaient entendre que l’ordre venu de Washington n’était qu’une contre-partie à un virage droitier de la mégalopole, traditionnellement un bastion progressiste et terre d’accueil des immigrés.D’autant que l’ordre du ministère est juridiquement formulé de telle manière qu’il offre la possibilité de rouvrir l’enquête ultérieurement.Depuis le tournant qu’a pris l’affaire avec les demandes de l’administration Trump, Eric Adams se retrouve plus isolé que jamais et les appels à sa démission se multiplient.Lundi, c’est son conseil municipal qui a estimé par un communiqué de sa présidente Adrienne Adams qu’il devait “se mettre de côté et démissionner”.Prenant acte de la démission également lundi de quatre des principaux adjoints au maire, la gouverneure de l’Etat de New York Kathy Hochul, qui a la possibilité de destituer l’édile, s’est réunie avec les “principaux responsables” new-yorkais mardi à la mi-journée pour évoquer son avenir.”Les faits reprochés à l’Hôtel de Ville ces deux dernières semaines sont troublants et ne peuvent être ignorés”, a-t-elle indiqué dans un communiqué.A l’issue de l’audience décisive de mercredi, deux choix s’offriront au juge Dale Ho: mener l’inculpation jusqu’au procès, pour l’instant fixé en avril, ou classer l’affaire s’il estime les justifications suffisantes.Dans une lettre ouverte publiée lundi, plus de 800 avocats et anciens procureurs fédéraux ont dit “observer avec fierté et admiration” les juges et procureurs qui font valoir le droit plutôt que des “ordres” qui ont pour but de “servir des objectifs purement politiques”.

Wall Street termine en légère hausse, nouveau record du S&P 500

La Bourse de New York a terminé en légère hausse mardi, parvenant à clôturer sur une note positive malgré une séance sans grande conviction, les investisseurs ayant désormais le regard tourné vers la Fed et les évolutions géopolitiques.Le Dow Jones (+0,02%) et l’indice Nasdaq (+0,07%) ont terminé proche de l’équilibre, tandis que l’indice élargi S&P 500 s’est octroyé 0,24% et a atteint un nouveau record en clôture, pour culminer à 6.129,58 points.Durant la majeure partie de la séance, les indices ont évolué en ordre dispersé, puis ont entamé un rebond quelques minutes avant la clôture.Les investisseurs “tentent de se faire une idée de ce que sera le prochain catalyseur qui fera monter ou baisser les cours des actions”, a commenté auprès de l’AFP Sam Stovall, de CFRA. Côté géopolitique, la place américaine garde un oeil attentif sur les pourparlers russo-américains, selon l’analyste.Les deux pays se sont entendus mardi à Ryad pour établir un “mécanisme de consultation” pour régler leurs contentieux et vont nommer des négociateurs pour le règlement de la guerre en Ukraine.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui s’entretenait de son côté à Ankara avec le président turc Recep Tayyip Erdogan, a dénoncé des pourparlers “au sujet de l’Ukraine sans l’Ukraine”.Les acteurs du marché “essaient de déterminer” les possibles conséquences de ces évolutions géopolitiques, selon M. Stovall.”Le marché reflète l’incertitude des investisseurs, non seulement en ce qui concerne les investissements, mais aussi en ce qui concerne la gestion des affaires intérieures et internationales des États-Unis”, a ajouté l’analyste.Wall Street attend par ailleurs la publication mercredi du compte rendu (“minutes”) de la dernière réunion du comité monétaire de la banque centrale américaine (FOMC), qui pourrait donner des indications sur le cap privilégié par le Réserve fédérale.Le 29 janvier dernier, la Fed a maintenu ses taux inchangés, dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%.A la cote, le secteur de l’énergie a été recherché, à l’image d’Exxon Mobil (+1,76%), de ConocoPhillips (+1,24%) ou de EOG Resources (+1,26%).Intel s’est envolé (+16,06%) après des informations de presse selon lesquelles Broadcom (-1,94%) et TSMC étudient la possibilité de conclure des accords avec le fabricant de puces.La compagnie aérienne Delta Air Lines a reculé (-1,61%) après qu’un de ses avions s’est retourné de manière spectaculaire en phase d’atterrissage lundi, s’immobilisant sens dessus dessous sur le tarmac de l’aéroport canadien de Toronto et faisant 18 blessés dont trois graves.La compagnie aérienne à bas prix Southwest Airlines a terminé dans le rouge (-0,92%) après avoir annoncé vouloir réduire de 15% ses effectifs, soit la suppression d’environ 1.750 postes, d’ici fin juin. Grâce à cette décision “difficile” et “sans précédent”, l’entreprise estime pouvoir économiser 300 millions de dollars pour l’année 2026.

Global stocks unfazed as US and Russia hold talks

Global stock markets held largely steady on Tuesday as top US and Russian diplomats held their first high-level discussions since Russia invaded Ukraine. The talks, which excluded Europe and Ukraine, ended with Moscow and Washington agreeing to appoint teams to negotiate an end to the Ukraine war.”Donald Trump continues to be the dominant force for financial markets,” said Kathleen Brooks, research director at XTB. “Trump has ripped up the playbook when it comes to dealing with Russia, and the markets are keeping the faith with the US President for now,” she added.While the Dow finished flat, the S&P 500 nudged to a fresh record following a late-afternoon rally.”It was a mostly lackluster day until the final 10 minutes of trading,” said Briefing.com. “There was a positive bias under the index surface even as major indices traded lower, which acted as an upside catalyst and invited more buying in the final moments of the day.”Europe’s main markets were flat or edged higher, with Frankfurt’s DAX index striking another all-time high as elections approach, with investors hoping a ruling coalition better able to act will emerge.”There seems to be a widespread belief that a global recession will not occur and that the trade war is merely a ‘residual risk’,” CMC Markets analyst Konstantin Oldenburger said in a note to clients, pointing out that cash reserves of funds and asset managers have fallen to their lowest levels since 2010.Defense stocks mostly added to gains after having soared the previous day as European leaders held an informal summit to discuss Ukraine and signaled more financial and military support ahead. Danish Prime Minister Mette Frederiksen said her government would announce plans later Wednesday for a “massive” rearming of Denmark’s military due to the growing threat posed by Russia.Intel surged 16.1 percent following a Wall Street Journal report that rivals Broadcom and Taiwan Semiconductor Manufacturing Co. were considering bids to purchase key assets from the chip company. Nike was another big winner, gaining 6.2  percent as it announced a joint venture with Kim Kardashian under the NikeSKIMS brand.But US homebuilder stocks retreated following a survey that showed industry sentiment fell sharply in February due to worry about tariffs.Over in Asia, Hong Kong’s stock market soared Tuesday, thanks to a recovery in Chinese tech stocks. That came after a meeting between President Xi Jinping and China’s top business leaders fanned hopes that a long-running crackdown on the private sector is coming to an end.- Key figures around 2130 GMT -New York – Dow: FLAT at 44,556.34 (close)New York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,129.58 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.1 percent at 20,041.26 (close)London – FTSE 100: FLAT at 8,766.73 (close)Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 8,206.56 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.2 percent at 22,844.50 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 39,270.40 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.6 percent at 22,976.81 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.9 percent at 3,324.49 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0445 from $1.0484 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.2608 from $1.2623Dollar/yen: UP at 152.09 from 151.51 yenEuro/pound: DOWN at 82.85 pence from 83.04 penceWest Texas Intermediate: UP 1.6 percent at $71.85 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.8 percent at $75.84 per barrelburs-jmb/md

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Global stock markets held largely steady on Tuesday as top US and Russian diplomats held their first high-level discussions since Russia invaded Ukraine. The talks, which excluded Europe and Ukraine, ended with Moscow and Washington agreeing to appoint teams to negotiate an end to the Ukraine war.”Donald Trump continues to be the dominant force for financial markets,” said Kathleen Brooks, research director at XTB. “Trump has ripped up the playbook when it comes to dealing with Russia, and the markets are keeping the faith with the US President for now,” she added.While the Dow finished flat, the S&P 500 nudged to a fresh record following a late-afternoon rally.”It was a mostly lackluster day until the final 10 minutes of trading,” said Briefing.com. “There was a positive bias under the index surface even as major indices traded lower, which acted as an upside catalyst and invited more buying in the final moments of the day.”Europe’s main markets were flat or edged higher, with Frankfurt’s DAX index striking another all-time high as elections approach, with investors hoping a ruling coalition better able to act will emerge.”There seems to be a widespread belief that a global recession will not occur and that the trade war is merely a ‘residual risk’,” CMC Markets analyst Konstantin Oldenburger said in a note to clients, pointing out that cash reserves of funds and asset managers have fallen to their lowest levels since 2010.Defense stocks mostly added to gains after having soared the previous day as European leaders held an informal summit to discuss Ukraine and signaled more financial and military support ahead. Danish Prime Minister Mette Frederiksen said her government would announce plans later Wednesday for a “massive” rearming of Denmark’s military due to the growing threat posed by Russia.Intel surged 16.1 percent following a Wall Street Journal report that rivals Broadcom and Taiwan Semiconductor Manufacturing Co. were considering bids to purchase key assets from the chip company. Nike was another big winner, gaining 6.2  percent as it announced a joint venture with Kim Kardashian under the NikeSKIMS brand.But US homebuilder stocks retreated following a survey that showed industry sentiment fell sharply in February due to worry about tariffs.Over in Asia, Hong Kong’s stock market soared Tuesday, thanks to a recovery in Chinese tech stocks. That came after a meeting between President Xi Jinping and China’s top business leaders fanned hopes that a long-running crackdown on the private sector is coming to an end.- Key figures around 2130 GMT -New York – Dow: FLAT at 44,556.34 (close)New York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,129.58 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.1 percent at 20,041.26 (close)London – FTSE 100: FLAT at 8,766.73 (close)Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 8,206.56 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.2 percent at 22,844.50 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 39,270.40 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.6 percent at 22,976.81 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.9 percent at 3,324.49 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0445 from $1.0484 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.2608 from $1.2623Dollar/yen: UP at 152.09 from 151.51 yenEuro/pound: DOWN at 82.85 pence from 83.04 penceWest Texas Intermediate: UP 1.6 percent at $71.85 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.8 percent at $75.84 per barrelburs-jmb/md