Stock markets slide over US inflation, tariff fears

Stock markets took a tumble Friday as a closely watched US inflation reading heated up, adding to concerns over the fallout from an incoming wave of tariffs by President Donald Trump.Shares in automakers fell further as they brace for 25-percent US levies due to kick in early next week along with a raft of “reciprocal” tariffs tailored to different countries.The market mood has soured over fears that Trump’s tactics will trigger tit-for-tat tariffs that would rekindle inflation, which could put the brakes on interest-rate cuts and spark a recession.”Investors remain nervous over the economic repercussions from President Trump’s tariff threats, just days before he unleashes his ‘reciprocal tariffs'” on April 2, said David Morrison, senior market analyst at financial services provider Trade Nation.In Europe, while London just about held the line, closing barely off in the week’s final session, Paris, Frankfurt and Milan all slid around one percent.But the red was all the more pronounced on Wall Street as the tech-heavy Nasdaq gave up 2.6 percent while the Dow and the broad-based S&P 500 both shed around 1.5 percent.The slide came after official data showed the Federal Reserve’s preferred inflation measure, the personal consumption expenditures (PCE) price index, remained unchanged last month at 2.5 percent.But another key figure, core inflation, which strips out volatile food and energy costs, rose more than expected at 2.8 percent in February on an annual basis, up from 2.6 percent the month before.”The (PCE) report isn’t devastating, but given the current economic uncertainty and market volatility, investors were looking for reassurance in this report — not something to fan the flames,” said Bret Kenwell, US investment analyst at trading platform eToro.Paris and Frankfurt stocks dropped, with automakers Volkswagen, Renault and Stellantis, whose brands include Jeep, Peugeot and Fiat, faring particularly badly.General Motors and Ford had more limited losses on Wall Street.London finished nearly flat after data showed the UK economy expanded more than initially estimated last year and retail sales rose. Tokyo’s stock market sank 1.8 percent as the world’s biggest carmaker Toyota fell, along with Honda, Nissan and Mazda.Seoul was off 1.9 percent as Hyundai gave up 2.6 percent.Uncertainty over Trump’s plans and long-term intentions has led investors to rush into safe havens such as gold, which hit a new record high of $3,085.96 an ounce on Friday.Governments around the world have hit out at Trump’s latest tariffs, with Canadian Prime Minister Mark Carney saying his country’s “old relationship” of deep economic, security and military ties with Washington “is over”.Tariff worries also saw Hong Kong and Shanghai stock markets fall.Bangkok was in the red when trading was suspended as the Thai capital was shaken by a powerful earthquake in neighbouring Myanmar.Investors also kept tabs on Beijing, where Chinese President Xi Jinping met business leaders, pledging the country’s door would “open wider and wider” — but also warning of “severe challenges” to the world trading system.- Key figures around 1645 GMT -New York – Dow: DOWN 1.5 percent at 41,671.29 pointsNew York – S&P 500: DOWN 1.8 percent at 5,593.87New York – Nasdaq: DOWN 2.6 percent at 17,338.65London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 8,658.85 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.9 percent at 7,916.08 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 1.0 percent at 22,461.52 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.8 percent at 37,120.33 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.7 percent at 23,426.60 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.7 percent at 3,351.31 (close)Euro/dollar: UP at $1.0823 from $1.0796 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.2934 from $1.2947Dollar/yen: DOWN at 150.11 yen from 151.04 yenEuro/pound: UP at 83.63 pence from 83.38 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.1 percent at $69.15 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.8 percent at $73.47 per barrel

Bayrou et Borne relancent la réforme de la formation des enseignants

Plusieurs fois annoncée puis laissée de côté, la réforme de la formation des enseignants, “priorité absolue” pour tenter d’enrayer la crise des vocations, a été remise sur les rails vendredi par François Bayrou et Elisabeth Borne, en visite dans une école des Hauts-de-Seine.”Notre idée, notre orientation, c’est de retrouver l’esprit” des anciennes “écoles normales, de redonner aux futurs enseignants une formation pluridisciplinaire axée sur les fondamentaux. Et pour cela va être engagée pour la rentrée 2025 une réforme profonde de la formation”, a déclaré le Premier ministre lors d’une visite dans une école primaire de Rueil-Malmaison.Une semaine après avoir promis quatre chantiers “d’ici le 15 avril”, notamment dans le domaine de l’éducation, le Premier ministre, lui-même ancien professeur et ex-ministre de l’Education de 1993 à 1997, a affiché son ambition de voir enfin aboutir ce chantier. La réforme avait été présentée par le président Emmanuel Macron il y a un an pour répondre à la crise de recrutement, mais mise de côté ensuite en raison de la dissolution de l’Assemblée nationale. Elisabeth Borne a fait part début 2025 de sa volonté de la relancer.La ministre de l’Education nationale, numéro 2 du gouvernement, l’a qualifiée vendredi de “priorité absolue” face au manque d’attractivité du métier enseignant, après plusieurs autres changements de la formation qui n’ont pas donné les résultats escomptés. Les concours enseignants avaient ainsi été déplacés de la première année de master à la seconde par une réforme de 2021.”Les concours (enseignants) ne font plus le plein (…) Et en 2024, ce sont près de 3.000 postes qui sont restés vacants à l’issue des concours” a rappelé la ministre, estimant qu’il faut “agir”.Principal changement, la nouvelle réforme ramènera les concours enseignants à bac+3 au lieu de bac+5 aujourd’hui et ce, à partir de la session du printemps 2026. A la rentrée 2025, de premiers modules préparatoires aux nouveaux concours seront instaurés.- “Ecrire tous les jours” -Les enseignants seront ensuite formés pendant deux ans, jusqu’à l’obtention de leur master 2, années pendant lesquelles ils seront rémunérés: 1.400 euros net la première année, et 1.800 la deuxième, pour les professeurs des écoles comme ceux du second degré (collège et lycée).Pour le concours du premier degré, une licence spécifique de préparation au professorat des écoles sera, par ailleurs, mise en place, accessible dès l’obtention du bac. Le coût supplémentaire lié à la mise en place de cette réforme est estimé à environ 500 millions d’euros par an à partir de 2028, a-t-on indiqué de source gouvernementale.Mais, alors que tout reste à faire du côté des universités pour mettre en place concrètement ces nouvelles licences et masters, les syndicats de l’enseignement supérieur (Snesup-FSU, CFDT Education, CGT Ferc sup, FO ESR, Sud Education…) se sont “alarmés” cette semaine “de ce qu’aucune concertation n’ait été entamée avec les partenaires sociaux”.”En reprenant le projet de (l’ex-ministre de l’Education nationale) Nicole Belloubet, sans avoir mené aucune concertation, Elisabeth Borne acte une déqualification du métier enseignant avec un recrutement à bac+3″, a jugé pour sa part Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU, principal syndicat du second degré. Elle juge “hasardeux” de “faire reposer la solution à la crise d’attractivité sur cette réforme”.Le SE-Unsa s’est, en revanche, montré “satisfait(…) que les arbitrages budgétaires aient enfin été rendus”, a indiqué sa secrétaire générale Elisabeth Allain-Moreno.M. Bayrou a aussi insisté vendredi sur l’importance d’une “reconquête de l’écrit” avec un plan en préparation pour la rentrée.”On ne peut pas accepter qu’au niveau du bac, il y ait 30% des élèves qui ne soient pas capables d’écrire convenablement”, a-t-il déclaré, après avoir assisté avec Mme Borne à un atelier d’écriture en CP.”Notre idée, notre programme, c’est qu’on ait à écrire et à lire tous les jours à l’école, au collège, au lycée”, “quelle que soit la discipline” ou le cours, a détaillé le Premier ministre, attendu mardi devant le Conseil économique, social et environnemental (Cese) pour exposer les prochains chantiers du gouvernement. 

Bayrou et Borne relancent la réforme de la formation des enseignants

Plusieurs fois annoncée puis laissée de côté, la réforme de la formation des enseignants, “priorité absolue” pour tenter d’enrayer la crise des vocations, a été remise sur les rails vendredi par François Bayrou et Elisabeth Borne, en visite dans une école des Hauts-de-Seine.”Notre idée, notre orientation, c’est de retrouver l’esprit” des anciennes “écoles normales, de redonner aux futurs enseignants une formation pluridisciplinaire axée sur les fondamentaux. Et pour cela va être engagée pour la rentrée 2025 une réforme profonde de la formation”, a déclaré le Premier ministre lors d’une visite dans une école primaire de Rueil-Malmaison.Une semaine après avoir promis quatre chantiers “d’ici le 15 avril”, notamment dans le domaine de l’éducation, le Premier ministre, lui-même ancien professeur et ex-ministre de l’Education de 1993 à 1997, a affiché son ambition de voir enfin aboutir ce chantier. La réforme avait été présentée par le président Emmanuel Macron il y a un an pour répondre à la crise de recrutement, mais mise de côté ensuite en raison de la dissolution de l’Assemblée nationale. Elisabeth Borne a fait part début 2025 de sa volonté de la relancer.La ministre de l’Education nationale, numéro 2 du gouvernement, l’a qualifiée vendredi de “priorité absolue” face au manque d’attractivité du métier enseignant, après plusieurs autres changements de la formation qui n’ont pas donné les résultats escomptés. Les concours enseignants avaient ainsi été déplacés de la première année de master à la seconde par une réforme de 2021.”Les concours (enseignants) ne font plus le plein (…) Et en 2024, ce sont près de 3.000 postes qui sont restés vacants à l’issue des concours” a rappelé la ministre, estimant qu’il faut “agir”.Principal changement, la nouvelle réforme ramènera les concours enseignants à bac+3 au lieu de bac+5 aujourd’hui et ce, à partir de la session du printemps 2026. A la rentrée 2025, de premiers modules préparatoires aux nouveaux concours seront instaurés.- “Ecrire tous les jours” -Les enseignants seront ensuite formés pendant deux ans, jusqu’à l’obtention de leur master 2, années pendant lesquelles ils seront rémunérés: 1.400 euros net la première année, et 1.800 la deuxième, pour les professeurs des écoles comme ceux du second degré (collège et lycée).Pour le concours du premier degré, une licence spécifique de préparation au professorat des écoles sera, par ailleurs, mise en place, accessible dès l’obtention du bac. Le coût supplémentaire lié à la mise en place de cette réforme est estimé à environ 500 millions d’euros par an à partir de 2028, a-t-on indiqué de source gouvernementale.Mais, alors que tout reste à faire du côté des universités pour mettre en place concrètement ces nouvelles licences et masters, les syndicats de l’enseignement supérieur (Snesup-FSU, CFDT Education, CGT Ferc sup, FO ESR, Sud Education…) se sont “alarmés” cette semaine “de ce qu’aucune concertation n’ait été entamée avec les partenaires sociaux”.”En reprenant le projet de (l’ex-ministre de l’Education nationale) Nicole Belloubet, sans avoir mené aucune concertation, Elisabeth Borne acte une déqualification du métier enseignant avec un recrutement à bac+3″, a jugé pour sa part Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU, principal syndicat du second degré. Elle juge “hasardeux” de “faire reposer la solution à la crise d’attractivité sur cette réforme”.Le SE-Unsa s’est, en revanche, montré “satisfait(…) que les arbitrages budgétaires aient enfin été rendus”, a indiqué sa secrétaire générale Elisabeth Allain-Moreno.M. Bayrou a aussi insisté vendredi sur l’importance d’une “reconquête de l’écrit” avec un plan en préparation pour la rentrée.”On ne peut pas accepter qu’au niveau du bac, il y ait 30% des élèves qui ne soient pas capables d’écrire convenablement”, a-t-il déclaré, après avoir assisté avec Mme Borne à un atelier d’écriture en CP.”Notre idée, notre programme, c’est qu’on ait à écrire et à lire tous les jours à l’école, au collège, au lycée”, “quelle que soit la discipline” ou le cours, a détaillé le Premier ministre, attendu mardi devant le Conseil économique, social et environnemental (Cese) pour exposer les prochains chantiers du gouvernement. 

Algues toxiques entre Vendée et Finistère: pêche aux coquillages interdite dans de nombreux secteurs

Le ramassage et la commercialisation des coquillages sont interdits dans de nombreux secteurs de la Vendée au Finistère en raison de la prolifération d’une algue toxique, ont averti les préfectures des départements concernés à la veille d’un week-end de grandes marées propices à la pêche à pied.Dès jeudi soir, la préfecture de Loire-Atlantique a pris un arrêté interdisant jusqu’à nouvel ordre sur l’ensemble du département “la pêche, le ramassage, le transport, le stockage et la commercialisation des coquillages à titre professionnel et de loisir destinés à la consommation humaine en provenance du littoral du département”.”Cette interdiction fait suite à la prolifération rapide et importante de l’algue pseudo-nitzschia australis qui produit une toxine amnésiante (…) susceptible de provoquer des troubles neurologiques potentiellement graves chez le consommateur de coquillages”, précise la préfecture dans son communiqué.Une interdiction similaire a été décrétée dans certaines zones des départements voisins de la Vendée (Baie de Bourgneuf, côte ouest de l’île de Noirmoutier et île d’Yeu) et du Morbihan (Baie de Plouharnel, rivière d’Etel, rade de Lorient, Belle-Ile, etc.)La côte sud du Finistère, notamment les baies de Concarneau et de Douarnenez, est également concernée par cette prolifération de ce phytoplancton potentiellement dangereux.L’ingestion de coquillages contaminés provoque des symptômes gastro-intestinaux suivis de désordres neurologiques plus ou moins graves: désorientation, confusion, perte de mémoire voire convulsions et coma, pouvant aller jusqu’au décès.Ces effets peuvent survenir entre 15 minutes et 48 heures après consommation. Les toxines produites par la micro-algue pseudo-nitzschia australis ne sont pas détruites par la cuisson, soulignent les préfectures.Appelée ASP (Amnesic Shellfish Poisoning), la maladie provoquée par cette micro-algue avait été mise en évidence en 1987 au Canada, après un épisode massif de 150 cas, dont 19 hospitalisations et quatre morts, à la suite de l’ingestion de moules contaminées.La toxine est surveillée depuis 1998 en France et “depuis qu’on la surveille, on la trouve”, a indiqué à l’AFP Phlipp Hess, directeur de l’unité Phytox de l’Ifremer (Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer).Ces micro-algues prolifèrent au printemps avec l’augmentation de la température et de l’ensoleillement, a-t-il décrit, car, “juste après l’hiver, l’eau de mer est naturellement assez riche en nutriments”. Les engrais agricoles qui ruissellent jusqu’à la mer peuvent aussi s’ajouter “aux nutriments naturellement présents”, a-t-il ajouté.En revanche, “on n’a pas dégagé de réelle tendance sur une durée de 30 ans de surveillance” en lien avec le changement climatique, a précisé le chercheur. “On n’a pas encore assez de données pour dire qu’il y a des tendances qui se dégagent”.Les grandes marées à venir, les samedi 29 mars (coefficient 109), dimanche 30 mars (coefficient 114), lundi 31 mars (coefficient 114) et mardi 1er avril (coefficient 107) sont propices à la pêche à pied sur le rivage.Les pouvoirs publics appellent les pêcheurs de loisirs à la plus grande prudence et les invitent à consulter le site internet https://www.pecheapied-responsable.fr pour les détails des interdictions.

Algues toxiques entre Vendée et Finistère: pêche aux coquillages interdite dans de nombreux secteurs

Le ramassage et la commercialisation des coquillages sont interdits dans de nombreux secteurs de la Vendée au Finistère en raison de la prolifération d’une algue toxique, ont averti les préfectures des départements concernés à la veille d’un week-end de grandes marées propices à la pêche à pied.Dès jeudi soir, la préfecture de Loire-Atlantique a pris un arrêté interdisant jusqu’à nouvel ordre sur l’ensemble du département “la pêche, le ramassage, le transport, le stockage et la commercialisation des coquillages à titre professionnel et de loisir destinés à la consommation humaine en provenance du littoral du département”.”Cette interdiction fait suite à la prolifération rapide et importante de l’algue pseudo-nitzschia australis qui produit une toxine amnésiante (…) susceptible de provoquer des troubles neurologiques potentiellement graves chez le consommateur de coquillages”, précise la préfecture dans son communiqué.Une interdiction similaire a été décrétée dans certaines zones des départements voisins de la Vendée (Baie de Bourgneuf, côte ouest de l’île de Noirmoutier et île d’Yeu) et du Morbihan (Baie de Plouharnel, rivière d’Etel, rade de Lorient, Belle-Ile, etc.)La côte sud du Finistère, notamment les baies de Concarneau et de Douarnenez, est également concernée par cette prolifération de ce phytoplancton potentiellement dangereux.L’ingestion de coquillages contaminés provoque des symptômes gastro-intestinaux suivis de désordres neurologiques plus ou moins graves: désorientation, confusion, perte de mémoire voire convulsions et coma, pouvant aller jusqu’au décès.Ces effets peuvent survenir entre 15 minutes et 48 heures après consommation. Les toxines produites par la micro-algue pseudo-nitzschia australis ne sont pas détruites par la cuisson, soulignent les préfectures.Appelée ASP (Amnesic Shellfish Poisoning), la maladie provoquée par cette micro-algue avait été mise en évidence en 1987 au Canada, après un épisode massif de 150 cas, dont 19 hospitalisations et quatre morts, à la suite de l’ingestion de moules contaminées.La toxine est surveillée depuis 1998 en France et “depuis qu’on la surveille, on la trouve”, a indiqué à l’AFP Phlipp Hess, directeur de l’unité Phytox de l’Ifremer (Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer).Ces micro-algues prolifèrent au printemps avec l’augmentation de la température et de l’ensoleillement, a-t-il décrit, car, “juste après l’hiver, l’eau de mer est naturellement assez riche en nutriments”. Les engrais agricoles qui ruissellent jusqu’à la mer peuvent aussi s’ajouter “aux nutriments naturellement présents”, a-t-il ajouté.En revanche, “on n’a pas dégagé de réelle tendance sur une durée de 30 ans de surveillance” en lien avec le changement climatique, a précisé le chercheur. “On n’a pas encore assez de données pour dire qu’il y a des tendances qui se dégagent”.Les grandes marées à venir, les samedi 29 mars (coefficient 109), dimanche 30 mars (coefficient 114), lundi 31 mars (coefficient 114) et mardi 1er avril (coefficient 107) sont propices à la pêche à pied sur le rivage.Les pouvoirs publics appellent les pêcheurs de loisirs à la plus grande prudence et les invitent à consulter le site internet https://www.pecheapied-responsable.fr pour les détails des interdictions.

Incendies en Corée du Sud: le bilan s’alourdit à 28 morts, les pluies offrent un peu de répit

Les pluies de la nuit ont permis d’éteindre certains des pires incendies de forêt que la Corée du Sud ait jamais connus, ont annoncé les autorités vendredi, selon qui le dernier bilan des feux qui font rage depuis près d’une semaine s’est alourdi à 28 morts.Plus d’une dizaine d’incendies ont réduit en cendres de vastes zones du sud-est du pays, détruisant un temple millénaire et forçant environ 37.000 personnes à évacuer.Les incendies ont coupé des routes et des lignes de communication, poussant les habitants à fuir dans la panique, les flammes menaçant les voitures bloquées dans les embouteillages pour sortir de la zone.Les feux ont été attisés par des vents violents et une sécheresse extrême, la région ayant connu des pluies inférieures à la moyenne pendant des mois. L’année 2024 a en outre été la plus chaude jamais enregistrée dans le pays.Mais dans la nuit de jeudi à vendredi, la pluie est tombée sur les zones touchées, ce qui a aidé les pompiers à circonscrire certains des incendies les plus importants.”La pluie qui est tombée de l’après-midi au début de la matinée a contribué aux efforts de lutte contre les incendies”, a déclaré Lim Sang-seop, chef du Service des forêts sud-coréen.La pluie “a dissipé la brume, améliorant la visibilité, et les températures plus fraîches que les autres jours créent des conditions très favorables aux efforts de lutte contre les incendies”, a-t-il expliqué.Le ministère sud-coréen de l’Intérieur a indiqué vendredi matin que 28 personnes avaient été tuées et que 37 autres avaient été blessées, dont neuf grièvement, dans les incendies. Un précédent bilan avait fait état de 27 morts.Parmi les victimes figurent un pilote dont l’hélicoptère s’est écrasé mercredi alors qu’il était engagé contre le feu, ainsi que quatre pompiers et d’autres intervenants qui ont perdu la vie après avoir été piégés par des flammes progressant rapidement.- 2024, année la plus chaude -Plus de 2.240 maisons ont été détruites dans la région, selon un dernier bilan, et un responsable a déclaré jeudi que quelque 35.000 hectares de forêt étaient partis en fumée.Il s’agit des l’incendie de forêt le plus destructeur jamais enregistré en Corée du Sud, après le brasier d’avril 2000 qui avait consumé 23.913 hectares sur la côte est.Les feux ont détruit plusieurs sites historiques, notamment le complexe du temple de Gounsa à Uiseong, dont on estime qu’il a été construit au VIIe siècle.L’année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée en Corée du Sud, bien que les températures des mois précédant l’incendie aient été plus fraiches que l’année dernière et conformes à la moyenne du pays sur 30 ans, selon les données de l’administration météorologique coréenne.Mais la région touchée par l’incendie a connu un temps exceptionnellement sec et des précipitations inférieures à la moyenne.Selon le ministère de l’intérieur, les incendies ont été déclenchés accidentellement par un visiteur de la tombe et par des “étincelles provenant d’une débroussailleuse”. Les feux dévastateurs qui ont ravagé la Californie en janvier et ceux de la Corée du Sud présentent des similitudes, a observé Kimberley Simpson, spécialiste des solutions climatiques basées sur la nature à l’école des biosciences de l’université de Sheffield.”Les deux événements ont été précédés par des conditions exceptionnellement chaudes et sèches qui ont rendu la végétation hautement inflammable, et ont été intensifiés par des vents forts qui ont propagé les flammes et entravé les efforts de lutte contre les incendies”, a-t-elle expliqué.”Trois mois seulement après le début de l’année 2025, nous avons déjà assisté à une activité record des feux de forêt dans de nombreuses régions”, a souligné Mme Simpson.”Alors que le changement climatique entraîne une hausse des températures et modifie les régimes de précipitations, les conditions à l’origine de ces incendies dévastateurs sont de plus en plus fréquentes.”

Iran, allies hold annual pro-Palestinian rallies

Large crowds took to the streets in the capitals of Iran, Iraq and Yemen on Friday for the annual show of support for Palestinians and denunciation of Israel.Quds (Jerusalem) Day commemorations were launched in 1979 by Ayatollah Ruhollah Khomeini, the founder of the Islamic republic, which has made support for the Palestinian cause a cornerstone of its foreign policy.The marches, which call for Jerusalem to be returned to the Palestinians, are traditionally held on the last Friday of the Muslim holy month of Ramadan.Crowds gathered in the streets of Tehran after supreme leader Ayatollah Ali Khamenei urged the Iranian people to protest against “the enemies’ tricks”.Demonstrators waved Iranian and Palestinian flags, as well as those of the Lebanese militant group Hezbollah.Many held placards reading “Death to America” and “Death to Israel”, and chanted anti-US and anti-Israel slogans, an AFP journalist reported.”I feel in the near future Gaza will be victorious and Israel, as history dictates, will face collapse and the flag of Islam’s might will be hoisted in Gaza,” Ahmad Reza Pourdastan, former commander of the army’s ground forces, told AFP.Keffiyeh-wearing 22-year-old student Fatemeh Mohebbi said she attended the event to “condemn the crimes that are happening”.Similar rallies were held across the country, state TV images showed.”Your march on Quds Day will nullify all the enemies’ tricks and false words,” Khamenei said in a video message on Thursday. – ‘Resistance will continue’ -The authorities had called on Iranians to come out in force for the demonstrations against arch foe Israel.Palestinian militant group Hamas — part of Iran’s so-called Axis of Resistance against Israel and the United States — said: “Jerusalem will remain at the heart of our battle against the occupation.”The enemy will not succeed in breaking the will of our people, who are making sacrifices for their Jerusalem and Al-Aqsa,” added the group, which has been at war with Israel in the Gaza Strip since October 2023.Thousands also gathered in the Yemeni capital Sanaa, held by the Iran-backed Huthi rebels, in demonstrations described by the rebels’ TV channel as “the largest in the Arab and Islamic world”.Demonstrations were also held in several other cities, coming shortly after dawn air strikes by the United States hit six Yemeni provinces, including Sanaa, according to Huthi-affiliated media.In the Iraqi capital, several hundred supporters of pro-Iran armed groups marched, waving flags in the colours of their factions, as well as Palestinian and Lebanese flags.”The Iraqi Islamic Resistance tells Palestine and its people that its right to land and its right to resistance is a natural right,” a leader of one of the armed groups, Qadhim al-Fartoussi, told the crowd.In Lebanon, Hezbollah leader Naim Qassem was due to give a speech that was called off after the cancellation of a demonstration scheduled to be held metres (yards) from a site struck by Israel on Friday. Demonstrators had gathered on Thursday at the Burj al-Barajneh camp for Palestinian refugees south of Beirut, holding Palestinian and Hezbollah flags, as well as pictures of Qassem’s predecessor Hassan Nasrallah, who was killed in an Israeli air strike last September.burs-jsa/kir

Le film inspiré du jeu vidéo “Zelda” sortira le 26 mars 2027, annonce Nintendo

Le film en prises de vue réelles tiré de l’univers du jeu vidéo “The Legend of Zelda” arrivera sur les écrans du monde entier le 26 mars 2027, a annoncé Nintendo vendredi.Le géant japonais des jeux vidéo a dévoilé cette date via sa nouvelle application lancée jeudi, “Nintendo Today!”.Une courte vidéo y indique la date de sortie de ce premier film issu de la saga créée en 1986 par Shigeru Miyamoto, le père d’un autre personnage de jeu vidéo célèbre, Mario.”The Legend of Zelda” relate les aventures de Link, un elfe en tunique armé d’une épée, et de la princesse Zelda dans un monde de fantaisie peuplé de monstres.Très populaire, la série s’est vendue à plus de 140 millions d’exemplaires à travers le monde, et le dernier opus majeur sorti en 2023, “Tears of the Kingdom”, est devenu le jeu le plus rapidement vendu de toute la saga.Annoncé en novembre 2023, le film doit être réalisé par Wes Ball, auteur de la trilogie “Maze Runner”, et coproduit par Avi Arad, qui a supervisé plusieurs grands films de la série “Spider-Man”, et impliquer également M. Miyamoto.Si la saga Zelda n’avait encore jamais eu les honneurs du grand écran, une série animée de 13 épisodes a vu le jour en 1989.”The Legend of Zelda” sera le deuxième univers de Nintendo à bénéficier d’une adaptation sur grand écran après “Super Mario Bros, le film”.Ce long-métrage d’animation mettant en vedette le pompier moustachu a récolté plus de 1,36 milliard de dollars de recettes dans les salles à travers le monde, se faisant seulement distancer par “Barbie” au box-office en 2023.Un deuxième opus est prévu pour le 3 avril 2026.Nintendo s’est longtemps méfié des adaptations hollywoodiennes de ses franchises, après le bide du film “Super Mario Bros.” en 1993: une dystopie ratée, où Mario se retrouve plongé dans une dimension apocalyptique peuplée de dinosaures.A l’époque, l’entreprise avait simplement vendu le nom de son héros à Hollywood, sans participer à la réalisation.Mais le carton de son dernier dessin animé dédié au plombier, pour lequel le géant japonais s’est impliqué dans le développement, a validé une refonte de son approche.