En 2024, seulement 59.000 logements mis en vente pour les particuliers en France, moitié moins que la normale

En 2024, les promoteurs ont produit et mis en vente 59.000 nouveaux logements, soit moitié moins que deux ans auparavant, une baisse illustrant de nouveau la grave crise qui secoue l’immobilier neuf.  Hors année du Covid, environ 125.500 logements ont été mis en vente par an en moyenne entre 2017 et 2022. En 2024, ce chiffre n’atteint plus que 59.014, soit 29% de moins que l’année précédente et presque moitié moins qu’en 2022, selon les données publiées mercredi par le ministère de l’Aménagement du territoire.Les particuliers ont réservé 67.906 nouveaux logements l’année passée, soit 5% de moins qu’en 2023, année déjà catastrophique pour la production de nouveaux logements en raison de la hausse des coûts de construction et des taux d’intérêt qui ont bloqué les projets d’achat immobiliers de nombreux ménages. Le nombre de réservations est près de 40% inférieur au niveau de 2022, et est moitié moins élevé que le niveau moyen 2017-2022. S’ajoutent 52.500 logements réservés par des bailleurs sociaux, des banques, ou autres investisseurs institutionnels l’année passée. Un chiffre un peu supérieur à celui de 2023, année au cours de laquelle des entreprises avaient tenté de compenser la baisse du nombre d’acheteurs particuliers pour les promoteurs.  Au quatrième trimestre, les institutionnels, et en particulier les bailleurs sociaux, ont nettement freiné leurs réservations (10.055 logements), de 25% par rapport au trimestre précédent. “2024 est la pire année depuis plus de 50 ans et le début de nos statistiques”, a réagi auprès de l’AFP Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers. “La crise a nourri la crise: comme on ne vendait pas, on n’a pas produit (de nouveaux logements, NDLR), donc on n’a pas acheté de terrains et on a moins de collaborateurs”, poursuit-il. Optimiste pour 2025, M. Boulanger s’inquiète néanmoins du redémarrage “de la machine” qui pourrait provoquer des hausses de prix: en raison de salaires plus importants “pour faire revenir les 5.000 collaborateurs qui ont quitté le métier” et de surenchères sur les terrains à vendre si tous les promoteurs se remettent “tous à acheter du foncier”. Au quatrième trimestre, le prix moyen au mètre carré des appartements neufs commercialisés a été de 4.756 euros, en légère hausse de 0,5%, par rapport au trimestre précédent. – 2 à 3 ans pour se remettre -Le nombre de nouveaux logements commercialisés entre octobre et décembre a légèrement rebondi de 6,4% par rapport au trimestre précédent, à 14.335. Les réservations de logements par des individus ont reculé de 4,2% au dernier trimestre, par rapport au précédent, à 17.122. Le nombre de maisons réservées a de nouveau baissé au dernier trimestre et est tombé à un nouveau plus bas depuis au moins 2019.Le stock de logements proposés à la vente, qui atteint un plus haut au milieu de l’année 2023, se résorbe très lentement: 117.472 logements étaient disponibles au dernier trimestre, soit 3% de moins que lors des trois mois précédents. “On a plein de stock car on n’a plus du tout de réservations, mais si les réservations reprennent à une vitesse normale, on a deux fois moins d’offres que lors d’une année normale”, souligne M. Boulanger.Les mesures inscrites dans le budget 2025 de l’Etat pourraient relancer l’achat de logements chez les particuliers, selon le porte-parole des promoteurs, même s’il ne s’attend pas à “atteindre des sommets en 2025″.”Il faudra entre deux et trois ans pour remettre la machine en route”, prévient Pascal Boulanger.Sur le territoire, les zones les plus tendues en matière de logements disponibles (Paris, une grande partie de l’ÃŽle-de-France, la Côte d’Azur et la zone frontalière avec la Suisse) ont concentré 50,7% des réservations et 47,2% des mises en vente comptabilisées au quatrième trimestre. Les autres grandes agglomérations de plus de 250.000 habitants ont représenté 40,4% des réservations et 39,4% des mises en vente.Fin janvier, le ministère de l’Aménagement du territoire indiquait que 330.400 logements ont été autorisés à la construction en 2024, et 263.100 ont été mis en chantier, des chiffres inférieurs d’environ un tiers à ceux de l’année précédant la crise sanitaire.

La mort du rêve américain pour les migrants contraints de rebrousser chemin

Saudy Palacios a traversé la dangereuse jungle du Darien, située à cheval entre Panama et Colombie, dans l’espoir d’atteindre les Etats-Unis pour y commencer une nouvelle vie. Elle fait désormais le chemin inverse pour regagner le Venezuela, cette fois par la mer, ses rêves “brisés” par la politique migratoire du président Trump. Comme elle, des centaines de migrants, dont beaucoup d’enfants, embarquent ces derniers jours sur des bateaux à Carti, dans la région de Guna Yala, dans les Caraïbes panaméennes. Et mettent le cap sur le sud jusqu’au port de Necocli, en Colombie, pour ensuite continuer leur périple par voie terrestre, vers le Venezuela pour la plupart.Ils espèrent ainsi échapper aux contrôles terrestres qui tentent sans succès de juguler le flux migratoire inversé — du nord vers le sud –, mais surtout éviter une nouvelle traversée à pied de la périlleuse jungle du Darien, où sévissent des groupes criminels.Pourtant, le danger subsiste. Une fillette vénézuélienne de huit ans est morte vendredi dans le naufrage au large du Panama d’un bateau de migrants qui se rendaient en Colombie, après avoir été refoulés des Etats-Unis.Depuis le retour à la Maison Blanche le 20 janvier de Donald Trump, l’administration américaine a largement mis en scène et médiatisé les expulsions de sans-papiers, notamment par des vols militaires et pour certains à destination de la base américaine de Guantanamo, sur l’île de Cuba.Elle a également supprimé l’application mobile CBP One, qui permettait aux migrants de prendre des rendez-vous pour demander l’asile aux Etats-Unis.”C’est fini. Il n’y a plus de rêve américain. J’ai attendu le rendez-vous pendant neuf mois, on se lasse. Il n’y a plus d’espoir”, déclare à l’AFP Mme Palacios, 27 ans, qui a rebroussé chemin avec son fils de 11 ans et son mari. Comme d’autres, ils attendent un bateau sur le vieux quai délabré de Carti Sugdupu, une île dont la majorité des habitants ont été déplacés sur le continent l’année dernière en raison du risque de submersion lié au changement climatique.- “Le pire moment de ma vie” -Ces migrants arrivent pour la plupart du Mexique, sans papiers et endettés après avoir dépensé entre 5.000 et 10.000 dollars pour leur voyage. Ils ont dormi dans des refuges ou dans la rue, souffert de la faim…. Certains ont vendu des sucreries aux feux rouges afin de se nourrir et payer les trajets en bus ou bateaux pour rentrer dans leur pays.Lorsqu’Astrid Zapata a débarqué il y a quelques jours au refuge La Esperanza de San José, capitale du Costa Rica, avec son mari, sa fille de quatre ans et un cousin, elle s’est empressée d’accrocher le drapeau du Venezuela dans le petit espace où ils allaient dormir. “Il n’y a plus d’avenir aux Etats-Unis. Mais j’ai peur (…) C’est très difficile de retraverser la jungle. J’ai vu une mère perdre ses deux enfants là-bas, ils se sont noyés dans la rivière”, confie à l’AFP Mme Zapata.La jungle “a été la pire expérience de ma vie”, se remémore la Vénézuélienne Karla Peña dans un centre d’accueil à Tegucigalpa, au Honduras. Elle et ses proches font partie des 300.000 migrants ayant traversé la région du Darien en 2024.Pour ces femmes et leurs familles, qui ont fui le Venezuela comme huit millions de compatriotes au cours de la dernière décennie, il était inenvisageable de rester au Mexique, sous la menace de groupes criminels.- “Repartir de zéro” -Certains migrants s’arrêtent en route, comme Maria Aguillon, partie en décembre d’un petit village du sud de l’Equateur avec son mari, ses trois enfants et trois petits-enfants. “Nous devions partir parce qu’il y avait trop de massacres, j’ai perdu un fils”, explique-t-elle à l’AFP, depuis le refuge de San José. Ils ont traversé le Darien, mais son époux a été expulsé du Panama et elle a dû poursuivre le voyage sans lui. Mme Aguillon voulait atteindre les Etats-Unis pour retrouver deux de ses enfants. Cependant, cela n’a pas été possible et cette femme de 48 ans tente aujourd’hui de reconstruire sa vie au Costa Rica.”Repartir de zéro”, résume Yaniret Morales dans le centre d’accueil de Tegucigalpa. Cette mère de 38 ans veut retourner avec sa fille de dix ans au Venezuela, mais seulement “pour économiser un peu d’argent et émigrer vers un pays” qui ne sera pas les Etats-Unis.

G20 leaders say global stability threatened by declining cooperationWed, 26 Feb 2025 17:09:02 GMT

The erosion of multilateralism threatens global growth and stability, President Cyril Ramaphosa warned Wednesday at a G20 finance meeting in South Africa marked by the absence of the US treasury secretary.Two days of talks by finance ministers and central bank governors from the world’s leading economies opened a week after a meeting of G20 foreign …

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UN rejects ‘annexation’ proposals for Palestinian territories

The UN rights chief on Wednesday rejected as “unlawful” proposals for the annexation of or forced transfer from Palestinian territories, warning they posed a threat to the entire region.”We must resist any normalisation of unlawful conduct, including proposals for annexation or forced transfer,” Volker Turk told the United Nations Human Rights Council.Such proposals “could threaten the peace and security of Palestinians and Israelis, and of the wider region”, he warned, insisting that “this is the moment for voices of reason to prevail”.Turk did not give details, but there have been rising levels of violence by Israeli settlers in the West Bank and calls for annexation after Israel announced expanded military operations in the occupied Palestinian territory.US President Donald Trump has repeatedly proposed emptying war-ravaged Gaza of Palestinians.He has floated the idea of a US takeover of Gaza under which its Palestinian population would be relocated — a proposal met with widespread condemnation, but welcomed by Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu.Trump later appeared to soften his plan, saying he was only recommending the idea, and conceding that the leaders of Jordan and Egypt — the proposed destinations for relocated Gazans — had rejected any effort to move Palestinians against their will.But the US president’s official social media accounts on Wednesday posted an apparently AI-generated video depicting war-ravaged Gaza rebuilt into a seaside resort, replete with a towering golden statue of Trump himself.- ‘Impunity begets more violence’ -Presenting a fresh report on the rights situation in the Palestinian territories, Turk said Wednesday: “We urgently need to end the conflict.”To do so, he said it was vital to hold accountable perpetrators of a vast array of abuses committed since the war in Gaza erupted after Hamas’s deadly October 7, 2023 attacks inside Israel. “Israel’s means and methods of warfare have caused staggering levels of casualties and destruction, raising concerns over the commission of war crimes and other possible atrocity crimes,” he said.But he raised “serious doubts” about the Israeli justice system’s ability to deliver justice “notably in relation to the unlawful killing of Palestinians in Gaza or in the West Bank”.He also noted that “Hamas and other Palestinian armed groups have taken, held, and tortured hostages in Gaza, and have indiscriminately fired projectiles into Israeli territory, amounting to war crimes”.To his knowledge, none of these groups had taken measures to punish those responsible, he said, adding that such “impunity begets more violence”.So to did “delegitimising and threatening international institutions that are there to serve people and uphold international law also harms us all”, he warned.All violations and abuses need to be investigated independently, he said.While Turk mentioned no names, earlier this month Washington sanctioned the chief prosecutor at the International Criminal Court Karim Khan over the ICC’s investigations targeting US personnel as well as alleged Israeli war crimes in Gaza.Khan was responsible for the request that led the ICC to issue arrest warrants late last year for Netanyahu and his former defence minister Yoav Gallant. 

BP enterre son ambitieuse stratégie climat et remet les gaz sur les hydrocarbures

Le géant britannique des hydrocarbures BP a renoncé mercredi à une stratégie climatique autrefois ambitieuse pour se recentrer sur le pétrole et le gaz, avec l’espoir de doper ses bénéfices en berne et ses redistributions aux actionnaires.Le groupe, qui s’était distingué à partir de 2020 par un plan de neutralité carbone qui allait plus loin que ses principaux rivaux, était déjà largement revenu depuis deux ans sur ses objectifs climatiques.Il avait de nouveau prévenu en décembre qu’il comptait réduire “de manière significative” ses investissements dans les énergies renouvelables.”Nous allons accroître nos investissements et notre production” dans les hydrocarbures “pour pouvoir produire de l’énergie à forte marge dans les années à venir” et “nous serons très sélectifs dans nos investissements dans la transition”, a confirmé mercredi le directeur général Murray Auchincloss dans un communiqué.”Notre optimisme sur une transition rapide était mal placé et nous sommes allés trop loin, trop vite”, a-t-il ajouté un peu plus tard lors d’une présentation en ligne, affirmant que “le pétrole et le gaz seront nécessaires pendant des décennies à venir”.Après la publication voici deux semaines d’un bénéfice net réduit de 97% l’an dernier, le dirigeant s’est exprimé mercredi en début d’après-midi auprès d’investisseurs pour “remettre à zéro” la stratégie du groupe.BP a ainsi annoncé le retrait de “tous ses objectifs précédents”, notamment en termes de réduction d’émissions (il assure cependant viser toujours une réduction des émissions issues de ses opérations), pour se concentrer sur “la génération de retours plus élevés” pour ses actionnaires, trancher dans ses coûts, jusqu’à 5 milliards de dollars d’ici 2027, et réduire sa dette.BP avait déjà annoncé en janvier 4.700 suppressions d’emplois en interne, plus de 5% de ses effectifs.- Production en hausse -Le groupe prévoit désormais qu’il augmentera sa production d’hydrocarbures d’ici 2030, là où il visait précédemment une diminution de 25% par rapport à 2019 (un objectif déjà revu à la baisse précédemment).Il compte aussi augmenter ses investissements dans le pétrole et le gaz à 10 milliards de dollars par an, soit les deux tiers des investissements prévus en 2025.En parallèle, il réduira de 5 milliards de dollars par an ses investissements dans ses projets de transition (qui ne pèseront désormais plus que 1,5 à 2 milliards par an).BP a aussi annoncé un objectif de 20 milliards de dollars de cessions d’ici 2027, qui pourraient notamment concerner sa filiale de lubrifiants moteurs Castrol.”Les objectifs financiers sont ambitieux” mais “la réaction du marché laisse penser que les investisseurs vont avoir besoin d’être convaincus qu’ils peuvent être atteints”, selon Derren Nathan, analyste chez Hargreaves Lansdown.De fait, le titre de BP à la Bourse de Londres recule de près de 2% vers 16H00 GMT.- Sous pression -Pour Greenpeace, qui louait en 2022 “le plus ambitieux des géants pétroliers” pour sa transition, ces renoncements successifs ne passent pas.”C’est la preuve irréfutable que les entreprises du secteur des combustibles fossiles ne peuvent pas ou ne veulent pas participer aux solutions à la crise climatique”, a réagi peu après les annonces Charlie Kronick, un responsable de l’ONG au Royaume-Uni.Ces revirements successifs ont aussi échaudé certains actionnaires favorables à des objectifs climatiques ambitieux, dont des gros fonds de pension.Mais l’entreprise est également sous pression d’investisseurs activistes qui plaidaient pour des changements importants de stratégie: c’est le cas du fonds Bluebell, qui appelle depuis plus d’un an le groupe à revoir à la baisse ses ambitions jugées “irrationnelles” sur les énergies propres.Des informations de presse ont aussi fait état ces dernières semaines d’une prise de participation “significative” du fonds d’investissement activiste Elliott Management, connu pour demander des changements stratégiques au sein des groupes dans lesquels il investit.Le britannique n’est pas le seul à faire machine arrière sur ses objectifs climatiques pour doper sa rentabilité: c’est notamment le cas de Shell, groupe du même pays. Le français TotalEnergies maintient, lui, ses objectifs de réduction d’empreinte carbone, mais a annoncé récemment qu’il allait réduire de 500 millions de dollars, de 5 à 4,5 milliards de dollars, la part de ses investissements en 2025 dédiée aux “énergies bas carbone”.

Stock markets climb with tech in focus

Global stock markets climbed on Wednesday, helped by renewed interest in the tech sector.Shares in Nvidia, the world’s leading generative AI chipmaker, jumped around five percent in late morning trading with the company set to announce its results after the closing bell.Hong Kong closed up more than three percent, with investors snapping up tech stocks following a poor start to the week sparked by fresh concerns over US President Donald Trump’s tariff plans.In Europe, Paris and Frankfurt led the way with gains of over one percent.Wall Street pushed higher, with the tech-heavy Nasdaq Composite index rising 1.1 percent with traders looking keenly to Nvidia’s results.The company’s guidance “could be pivotal, not just for the company, but in setting overall market direction, at least in the short term”, said Trade Nation analyst David Morrison.”This will be the first earnings update from the company since Chinese upstart DeepSeek managed to upset the US’s generative AI industry by producing an assistant of equivalent quality but at a fraction of the cost,” he said.DeepSeek’s unveiling of its chatbot threw US tech titans into a tailspin as it undermined their massive AI investments and their high stock valuations.Nvidia’s shares have taken a beating in recent sessions and overall US tech shares, which helped drive the market to record highs at the end of last year, have stumbled in 2025.Hong Kong’s stock market rally came as investors snapped up long-neglected tech names, after DeepSeek sparked renewed interest in the sector.Beijing’s moves to bring the firms in from the cold after years of government crackdowns on the industry also boosted sentiment.E-commerce heavyweight Alibaba was again one of the major advancers, rallying 4.8 percent, with JD.com more than eight percent higher, Meituan up nearly 10 percent and Tencent up 3.4 percent.Sentiment took a knock at the start of the week from news that Trump had signed a memo over the weekend calling for curbs on Chinese investments in industries including technology, critical infrastructure, healthcare and energy.The move is aimed at promoting foreign investment in the United States, while protecting national security interests “particularly from threats posed by foreign adversaries” like China, the White House said.Tokyo was a rare decliner among major stock markets Wednesday, hit by recent strengthening of the yen amid expectations that the Bank of Japan would continue hiking interest rates this year.The yen has benefitted also from a pick-up in bets on cuts to US interest rates.Expectations for Federal Reserve reductions were boosted by a Conference Board survey showing US consumer confidence in February saw its largest monthly decline since August 2021.The reading came on the heels of other lacklustre US reports including on service sector activity, jobs and inflation.- Key figures around 1630 GMT -New York – Dow: UP 0.3 percent at 43,751.02 pointsNew York – S&P 500: UP 0.7 percent at 5,999.12New York – Nasdaq Composite: UP 1.1 percent at 19,243.51London – FTSE 100: UP 0.7 percent at 8,731.46 (close)Paris – CAC 40: UP 1.2 at 8,143.92 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.7 percent at 22,794.11 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.3 percent at 38,142.37 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 3.3 percent at 23,787.93 (close)Shanghai – Composite: UP 1.0 percent at 3,380.21 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0509 from $1.0517 on TuesdayPound/dollar: UP at $1.2693 from $1.2668Dollar/yen: UP at 149.30 from 149.00 yenEuro/pound: DOWN at 82.79 pence from 83.00 pence Brent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $72.41 per barrelWest Texas Intermediate: FLAT at $68.91 per barrelburs-rl/gv

Les Bourses européennes finissent en nette hausse

Les marchés boursiers européens ont terminé en fanfare mercredi, portés par des espoirs de trêve en Ukraine, quelques heures avant la publication des résultats très attendus du mastodonte des puces électroniques Nvidia, deuxième capitalisation mondiale.Paris a pris 1,15%, Francfort 1,71% et Milan 1,32%. Londres a gagné 0,72%.