Berlin suspend les exportations des armes qu’Israël pourrait utiliser à Gaza
Berlin a amorcé vendredi un changement de cap majeur vis-à -vis d’Israël dont il était jusqu’ici l’un des plus fidèles alliés, en annonçant suspendre les exportations d’armes que ce pays pourrait utiliser à Gaza.C’est par cette mesure forte que le gouvernement allemand a réagi à l’approbation par le cabinet de sécurité israélien du plan présenté par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, visant à prendre le contrôle de la ville de Gaza, dévastée par la guerre et en proie à une crise humanitaire. Il devient “de plus en plus difficile de comprendre” en quoi le plan militaire israélien permettrait d’atteindre ses objectifs dans la bande de Gaza, a asséné dans un communiqué le chancelier allemand Friedrich Merz.”Dans ces circonstances, le gouvernement allemand n’autorise pas, jusqu’à nouvel ordre, les exportations d’équipements militaires susceptibles d’être utilisés dans la bande de Gaza”, a ajouté M. Merz, officiellement parti en vacances mercredi.Depuis le début de la guerre à Gaza, déclenchée par l’attaque du Hamas en octobre 2023, jusqu’au mois de mai de cette année, Berlin avait autorisé l’export d’au moins 485 millions d’euros d’armement vers Israël.Ces livraisons comprenaient des armes à feu, des munitions, des pièces d’armes, des équipements spéciaux pour l’armée et la marine, des équipements électroniques et des véhicules blindés spéciaux, selon une réponse récente du gouvernement allemand à une demande parlementaire.Dans le communiqué de vendredi, le chancelier Merz a insisté sur la “profonde inquiétude” du gouvernement allemand face à “la souffrance continue de la population civile dans la bande de Gaza”.”Avec l’offensive prévue, le gouvernement israélien porte une responsabilité encore plus grande” en ce qui concerne l’aide aux civils dans le territoire palestinien, a-t-il continué, réitérant son appel en faveur d’un accès complet pour “les organisations de l’ONU et d’autres institutions non gouvernementales”.  “Le gouvernement allemand demande instamment au gouvernement israélien de ne pas prendre de nouvelles mesures en vue d’annexer la Cisjordanie”, a ajouté le chancelier.- Pression de la société civile -En raison de sa responsabilité historique vis-à -vis de l’extermination de six millions de juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne était jusqu’ici avec les Etats-Unis l’un des plus grands soutiens d’Israël. Ainsi, contrairement à la France, au Royaume-Uni et au Canada, elle n’avait pas promis de reconnaître un Etat palestinien en septembre à l’ONU. Lors d’une visite en Israël la semaine dernière, le ministre allemand des Affaires étrangères, Johann Wadephul, avait réaffirmé la position de longue date de Berlin, selon laquelle la reconnaissance ne pourrait intervenir qu’après un processus de négociation entre Israël et les Palestiniens. Il avait toutefois ajouté que ce processus “devait commencer rapidement”. Berlin s’était également opposé à la suspension ou à la résiliation de l’accord d’association UE-Israël, qui faisait l’objet d’un réexamen par les 27.Mais devant les souffrances de plus en plus grandes des Palestiniens à Gaza, où une évaluation soutenue par les Nations unies a mis en garde contre la famine, la pression sur le gouvernement de Friedrich Merz s’était faite de plus en plus grande au sein de la société allemande.Selon un sondage publié jeudi par la chaîne publique ARD, 66% des Allemands attendaient de leur gouvernement qu’il exerce une influence plus grande sur Benjamin Netanyahu, afin de changer la politique israélienne vis-à -vis de Gaza.Récemment, la presse allemande s’était également fait l’écho de dissensions au sein de la coalition du conservateur Friedrich Merz, certains ministres sociaux-démocrates prônant une attitude plus dure vis-à -vis du gouvernement israélien.Vendredi, le vice-chancelier, le social-démocrate Lars Klingbeil, également ministre des Finances, s’est empressé de saluer cette “décision juste”.”La souffrance humanitaire à Gaza est insupportable”, a-t-il déclaré.
Berlin suspend les exportations des armes qu’Israël pourrait utiliser à Gaza
Berlin a amorcé vendredi un changement de cap majeur vis-à -vis d’Israël dont il était jusqu’ici l’un des plus fidèles alliés, en annonçant suspendre les exportations d’armes que ce pays pourrait utiliser à Gaza.C’est par cette mesure forte que le gouvernement allemand a réagi à l’approbation par le cabinet de sécurité israélien du plan présenté par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, visant à prendre le contrôle de la ville de Gaza, dévastée par la guerre et en proie à une crise humanitaire. Il devient “de plus en plus difficile de comprendre” en quoi le plan militaire israélien permettrait d’atteindre ses objectifs dans la bande de Gaza, a asséné dans un communiqué le chancelier allemand Friedrich Merz.”Dans ces circonstances, le gouvernement allemand n’autorise pas, jusqu’à nouvel ordre, les exportations d’équipements militaires susceptibles d’être utilisés dans la bande de Gaza”, a ajouté M. Merz, officiellement parti en vacances mercredi.Depuis le début de la guerre à Gaza, déclenchée par l’attaque du Hamas en octobre 2023, jusqu’au mois de mai de cette année, Berlin avait autorisé l’export d’au moins 485 millions d’euros d’armement vers Israël.Ces livraisons comprenaient des armes à feu, des munitions, des pièces d’armes, des équipements spéciaux pour l’armée et la marine, des équipements électroniques et des véhicules blindés spéciaux, selon une réponse récente du gouvernement allemand à une demande parlementaire.Dans le communiqué de vendredi, le chancelier Merz a insisté sur la “profonde inquiétude” du gouvernement allemand face à “la souffrance continue de la population civile dans la bande de Gaza”.”Avec l’offensive prévue, le gouvernement israélien porte une responsabilité encore plus grande” en ce qui concerne l’aide aux civils dans le territoire palestinien, a-t-il continué, réitérant son appel en faveur d’un accès complet pour “les organisations de l’ONU et d’autres institutions non gouvernementales”.  “Le gouvernement allemand demande instamment au gouvernement israélien de ne pas prendre de nouvelles mesures en vue d’annexer la Cisjordanie”, a ajouté le chancelier.- Pression de la société civile -En raison de sa responsabilité historique vis-à -vis de l’extermination de six millions de juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne était jusqu’ici avec les Etats-Unis l’un des plus grands soutiens d’Israël. Ainsi, contrairement à la France, au Royaume-Uni et au Canada, elle n’avait pas promis de reconnaître un Etat palestinien en septembre à l’ONU. Lors d’une visite en Israël la semaine dernière, le ministre allemand des Affaires étrangères, Johann Wadephul, avait réaffirmé la position de longue date de Berlin, selon laquelle la reconnaissance ne pourrait intervenir qu’après un processus de négociation entre Israël et les Palestiniens. Il avait toutefois ajouté que ce processus “devait commencer rapidement”. Berlin s’était également opposé à la suspension ou à la résiliation de l’accord d’association UE-Israël, qui faisait l’objet d’un réexamen par les 27.Mais devant les souffrances de plus en plus grandes des Palestiniens à Gaza, où une évaluation soutenue par les Nations unies a mis en garde contre la famine, la pression sur le gouvernement de Friedrich Merz s’était faite de plus en plus grande au sein de la société allemande.Selon un sondage publié jeudi par la chaîne publique ARD, 66% des Allemands attendaient de leur gouvernement qu’il exerce une influence plus grande sur Benjamin Netanyahu, afin de changer la politique israélienne vis-à -vis de Gaza.Récemment, la presse allemande s’était également fait l’écho de dissensions au sein de la coalition du conservateur Friedrich Merz, certains ministres sociaux-démocrates prônant une attitude plus dure vis-à -vis du gouvernement israélien.Vendredi, le vice-chancelier, le social-démocrate Lars Klingbeil, également ministre des Finances, s’est empressé de saluer cette “décision juste”.”La souffrance humanitaire à Gaza est insupportable”, a-t-il déclaré.
Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride
Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.
Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride
Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.
Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride
Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.
Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride
Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.
Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride
Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.