Congo refugees recount death and chaos as war reignitesFri, 12 Dec 2025 08:09:21 GMT

Congolese refugees described neighbours being massacred and losing children in the chaos as they fled into Rwanda to escape a surge in fighting despite a peace deal brokered by US President Donald Trump.”I have 10 kids, but I’m here with only three. I don’t know what happened to the other seven, or their father,” Akilimali …

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Trump ‘pardons’ jailed US election denier

US President Donald Trump said Thursday he would “pardon” a Colorado official jailed on charges linked to efforts to overturn the 2020 presidential election. Tina Peters, a former official in Colorado’s Mesa County, was sentenced in October 2024 for allowing an unauthorized Trump supporter to access confidential voting information several months after the 2020 election won by Democrat Joe Biden. The man was seeking to prove election fraud as part of a conspiracy theory touted by Trump that the vote was rigged. “Democrats have been relentless in their targeting of TINA PETERS, a Patriot who simply wanted to make sure that our Elections were Fair and Honest,” Trump said in a post on social media Thursday. “I am granting Tina a full Pardon for her attempts to expose Voter Fraud in the Rigged 2020 Presidential Election!” Peters is jailed under state charges, making her ineligible for a presidential pardon. She was sentenced to nine years in prison. Democratic Colorado Governor Jared Polis criticized the move saying Peters “was convicted by a jury of her peers, prosecuted by a Republican District Attorney, and found guilty of violating Colorado state laws, including criminal impersonation.” “No President has jurisdiction over state law nor the power to pardon a person for state convictions,” Polis said in a social media post Thursday. “This is a matter for the courts to decide, and we will abide by court orders.” Shortly after his inauguration in January, Trump offered pardons to everybody convicted in the Capitol riot of January 6, 2021.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

A Rio de Janeiro, des palmiers fleurissent pour la première fois avant de mourir

Un spectacle botanique hors du commun captive les habitants de Rio de Janeiro : plusieurs palmiers talipot, plantés il y a plus de six décennies, fleurissent pour la première et dernière fois de leur vie.Ces arbres, âgés d’environ 65 ans et qui poussent dans l’immense parc de l’Aterro do Flamengo et au Jardin botanique, ont été introduits dans les années 1960 par l’architecte paysagiste Roberto Burle Marx.Le palmier talipot (Corypha umbraculifera), originaire du sud de l’Inde et du Sri Lanka, est l’une des plus grandes espèces de palmiers au monde, dont les spécimens les plus hauts dépassent 30 mètres.Sa caractéristique la plus emblématique est qu’il ne fleurit qu’une seule fois au cours de sa vie, entre 40 et 70 ans.”Le palmier talipot ne fructifie qu’une fois dans sa vie et peut produire jusqu’à 5 millions de fruits”, a expliqué à l’AFP Marcus Nadruz, de l’Institut de recherche du Jardin botanique de Rio de Janeiro.Les grappes de fleurs portées par des tiges ont commencé à se déployer en octobre, formant d’énormes couronnes au sommet des palmiers, grouillant de millions de minuscules fleurs jaunâtres.L’ensemble du processus, de l’ouverture des premières fleurs à la maturation des fruits, prendra environ un an, explique M. Nadruz.Et une fois les fruits tombés, les palmiers entreront dans un processus irréversible de mort.”Je suis née en 1961, donc il a mon âge et il est dans la fleur de l’âge”, s’enthousiasme Deborah Faride, qui vit à São Paulo et a fait le voyage spécialement pour assister au phénomène.Le Jardin botanique prévoit de collecter les graines pour cultiver de nouveaux plants afin de remplacer ces sujets plus âgés et les distribuera également pour des projets d’aménagement paysager dans les espaces publics.

Dermatose: les gendarmes contrôlent la ferme d’Ariège, abattage du troupeau à venir

Après deux jours de mobilisation d’agriculteurs contre la stratégie d’abattage du gouvernement, des gendarmes sont stationnés vendredi autour d’une ferme d’Ariège, où doit être abattu un troupeau de vaches en raison d’un cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC), a constaté l’AFP.Faisant usage de gaz lacrymogène, les gendarmes mobiles ont pris le contrôle de cette exploitation, située dans le village des Bordes-sur-Arize, jeudi en fin de soirée. Plusieurs centaines d’agriculteurs y étaient rassemblés depuis mercredi matin pour s’opposer à l’euthanasie des 207 bovins et bloquer l’accès aux services vétérinaires.Vendredi matin, il n’y avait plus qu’une dizaine de manifestants mais plus de tracteurs à proximité de la ferme, dont l’accès est toujours bloqué par plusieurs véhicules de la gendarmerie mobile.L’abattage des bovins devrait avoir lieu vendredi, l’accès aux services vétérinaire étant désormais possible. A 7h30, certaines des vaches de l’exploitation étaient toujours en vie, a observé un journaliste de l’AFP.Le préfet de l’Ariège a assuré jeudi que les deux frères propriétaires du troupeau lui avaient donné leur accord pour l’abattage, conformément au protocole sanitaire de lutte contre la DNC.Cette affirmation a été démentie par Pierre-Guillaume Mercadal, dirigeant de la CR du Tarn-et-Garonne, venu sur place. “Ils sont deux frères, un a cédé, l’autre non. Ils sont en train de déchirer cette famille, en plus de l’accabler du deuil de leurs vaches”, a-t-il répondu au préfet.L’abattage, seule méthode efficace pour éviter que “la maladie se diffuse dans l’ensemble du cheptel français”, se fera “dès que possible” puis une campagne de vaccination sera lancée dans le département, a annoncé jeudi le représentant de l’État.Les syndicats agricoles locaux et la chambre d’agriculture ont proposé en vain un protocole expérimental au ministère de l’Agriculture, demandant notamment que seules les vaches contaminées soient abattues et qu’une campagne de vaccination massive soit lancée.

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Île-de-France: baisse des émissions de gaz à effet de serre de 35% en 12 ans, selon Airparif

La région parisienne a enregistré, entre 2010 et 2022, “une diminution marquée” de ses émissions de gaz à effet de serre (-35%) et de particules fines PM2.5 (-43%), dont l’inhalation est nocive pour la santé, a annoncé vendredi Airparif.”Ces résultats témoignent de l’efficacité des politiques publiques engagées” tant au niveau local, national, qu’européen, se félicite dans un communiqué cette association de surveillance de la qualité de l’air qui compte parmi ses membres l’Etat et les collectivités locales d’Île-de-France.L’association appelle néanmoins à amplifier “ces efforts” afin de “consolider durablement les bénéfices pour la santé des Franciliens et pour l’atténuation du changement climatique”, dix ans après l’adoption de l’Accord de Paris sur le climat (12 décembre 2015).Si les énergies fossiles représentent toujours la part majoritaire de la consommation énergétique, leur consommation a chuté de 32% en 12 ans en Île-de-France, selon Airparif.    Dans le détail, les émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre (GES) ont diminué de 35% entre 2010 et 2022 (-39% entre 2005 et 2022). Cette chute s’explique, souligne Airparif, par “des baisses particulièrement fortes dans le secteur résidentiel (-44%), le transport routier (-22%) et le tertiaire (-38%), malgré un report partiel vers le gaz et l’électricité”.Sur la même période, poursuit l’association, “les émissions de particules fines PM2.5 ont diminué de 43%” (-46% entre 2005 et 2022). Airparif met en avant une baisse “très marquée” dans le transport routier (-64%) “grâce aux progrès technologiques et à la réduction du trafic, ainsi que dans le secteur résidentiel (-45 %), portée par la rénovation énergétique des bâtiments et l’amélioration des équipements de chauffage”.L’inhalation de particules fines (PM2.5) augmente le risque de maladies cardiovasculaires et respiratoires et impacte la santé périnatale.Malgré tout, le transport routier et le secteur résidentiel restent “les plus émetteurs de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre” en 2022 en région parisienne, précise l’organisme.Ainsi, le premier contribue à 33% des GES quand le second se hisse à 67% des émissions de particules fines PM2.5.Les plateformes aéroportuaires d’Île-de-France, elles, contribuent à 14% des émissions de dioxyde de souffre et 3% des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre. Comme les émissions de dioxyde de souffre (-84%), les émissions d’autres polluants ont largement chuté entre 2010 et 2022, selon Airparif. C’est notamment le cas des émissions d’oxydes d’azote, en baisse de 48%, des composés organiques volatils non méthaniques (-36%) et de l’ammoniac (-15%).

Île-de-France: baisse des émissions de gaz à effet de serre de 35% en 12 ans, selon Airparif

La région parisienne a enregistré, entre 2010 et 2022, “une diminution marquée” de ses émissions de gaz à effet de serre (-35%) et de particules fines PM2.5 (-43%), dont l’inhalation est nocive pour la santé, a annoncé vendredi Airparif.”Ces résultats témoignent de l’efficacité des politiques publiques engagées” tant au niveau local, national, qu’européen, se félicite dans un communiqué cette association de surveillance de la qualité de l’air qui compte parmi ses membres l’Etat et les collectivités locales d’Île-de-France.L’association appelle néanmoins à amplifier “ces efforts” afin de “consolider durablement les bénéfices pour la santé des Franciliens et pour l’atténuation du changement climatique”, dix ans après l’adoption de l’Accord de Paris sur le climat (12 décembre 2015).Si les énergies fossiles représentent toujours la part majoritaire de la consommation énergétique, leur consommation a chuté de 32% en 12 ans en Île-de-France, selon Airparif.    Dans le détail, les émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre (GES) ont diminué de 35% entre 2010 et 2022 (-39% entre 2005 et 2022). Cette chute s’explique, souligne Airparif, par “des baisses particulièrement fortes dans le secteur résidentiel (-44%), le transport routier (-22%) et le tertiaire (-38%), malgré un report partiel vers le gaz et l’électricité”.Sur la même période, poursuit l’association, “les émissions de particules fines PM2.5 ont diminué de 43%” (-46% entre 2005 et 2022). Airparif met en avant une baisse “très marquée” dans le transport routier (-64%) “grâce aux progrès technologiques et à la réduction du trafic, ainsi que dans le secteur résidentiel (-45 %), portée par la rénovation énergétique des bâtiments et l’amélioration des équipements de chauffage”.L’inhalation de particules fines (PM2.5) augmente le risque de maladies cardiovasculaires et respiratoires et impacte la santé périnatale.Malgré tout, le transport routier et le secteur résidentiel restent “les plus émetteurs de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre” en 2022 en région parisienne, précise l’organisme.Ainsi, le premier contribue à 33% des GES quand le second se hisse à 67% des émissions de particules fines PM2.5.Les plateformes aéroportuaires d’Île-de-France, elles, contribuent à 14% des émissions de dioxyde de souffre et 3% des émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre. Comme les émissions de dioxyde de souffre (-84%), les émissions d’autres polluants ont largement chuté entre 2010 et 2022, selon Airparif. C’est notamment le cas des émissions d’oxydes d’azote, en baisse de 48%, des composés organiques volatils non méthaniques (-36%) et de l’ammoniac (-15%).