Chassé-croisé: plus de 1.000 km de bouchons sur la route des vacances

Plus de 1.000 km de bouchons cumulés ont été enregistrés, en milieu de journée samedi, avant de largement se résorber, pour ce traditionnel chassé-croisé de l’été entre juillettistes et aoûtiens.Le pic des embouteillages a été atteint à 12h05, avec un cumulé de 1.078,9 km, selon Bison futé, non loin du record de 1.086,5 km.Les congestions se sont depuis nettement amoindries : vers 17h00, elles n’étaient plus que de 520 km et elles devraient être plus ou moins résorbées d’ici à la soirée, selon Bison futé.L’agence publique d’information routière avait averti d’une circulation “extrêmement difficile” en ce samedi classé au niveau national noir dans le sens des départs et orange dans celui des retours. Il est classé rouge pour la zone Arc méditerranéen dans le sens des retours. Dans la longue file de voitures attendant d’entrer dans le tunnel du Mont-Blanc, on essaie de prendre son mal en patience: “On ne s’attendait pas à avoir deux heures de bouchon mais ça fait partie des vacances”, témoigne auprès de l’AFP Frédéric Raimbault, venu du Mans et bloqué dans les bouchons avant le tunnel pour l’Italie, où Bison Futé indiquait un temps d’attente de deux heures environ.”On sait que là où on va, on a du soleil donc c’est pas grave”, ajoute avec le même stoïcisme Sonia Zebboudj, venue de Chateauroux et en route pour l’Italie où elle célébrera son mariage. “On est parti à 1h du matin. Nuit blanche mais tout va bien”, raconte la future mariée, qui voyage avec enfants et amis.Pour ce premier weekend d’août, c’est une nouvelle fois la zone “Arc méditerranéen” qui a été la plus touchée avec un volume maximal de bouchons atteint vers 12h00 de 314 km cumulés. Les routes vers les plages de l’Atlantique étaient elles aussi largement encombrées, avec plus de 80 km d’embouteillages sur l’A10. Patientant sur une aire en Gironde, Valérie attendait “tout simplement que ça passe”. “On fait la petite pause pour le chien. On va pique-niquer tranquille”, expliquait cette entrepreneuse de 57 ans sur une aire d’autoroute à Cestas, à une vingtaine de kilomètre au sud de Bordeaux.”Parce que là, on est à l’arrêt, donc de toute façon, ça sert à rien d’être dans la voiture, on est mieux là, il y a des pins et ça commence à sentir bon les vacances”, ajoute-t-elle.Pour la zone Ile de France, le volume maximal de bouchons a été atteint vers 11h55 avec 38 km cumulés. Vers 17h00, la circulation s’était largement améliorée, les principaux points noirs restant comme à l’accoutumée en direction de la Méditerranée, avec environ 100 km de bouchons, sur l’A7, et 60 sur l’A9.- 3h05 de Lyon à Orange -L’A75, qui traverse le Massif Central, est également impactée, avec 40 km de bouchons environ.En fin d’après-midi, le temps de circulation sur l’A7 entre le sud de Lyon et Orange (Vaucluse) était de 3h05 au lieu d’1h35 en temps normal, et de 2h25 au lieu d’1h40 entre sur l’A9 entre Orange et Narbonne, selon le compte X de Vinci Autoroutes, qui gère ces axes.Les difficultés de ce chassé-croisé, qui doivent s’étaler jusqu’à lundi, avaient déjà commencé vendredi, journée classée rouge pour les départs, des Hauts-de-France à la Bretagne, en passant par la Normandie, l’Ile-de-France et la région Auvergne-Rhône-Alpes. La circulation a été dense vendredi du début de la matinée jusqu’en milieu de soirée.La journée de dimanche est classée jaune dans le sens des départs. burx-lv/hj

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

A Genève, une nouvelle chance pour un traité contre la pollution plastique jusqu’au 14 août

Des océans au corps humain, la planète va-t-elle commencer à se déplastifier au bord du lac Léman? Les représentants de près de 180 pays se retrouvent mardi à Genève pour une nouvelle séquence diplomatique cruciale, dans l’espoir d’élaborer le premier traité mondial pour éliminer la pollution plastique.Sur fond de tensions géopolitiques et commerciales exacerbées, cette session supplémentaire de négociations intergouvernementales de dix jours (baptisée CIN5-2) a été ajoutée après l’échec des discussions menées à Busan en Corée du Sud en décembre. Un groupe de pays producteurs de pétrole y a bloqué toute avancée.L’enjeu est énorme. Si rien n’est fait, la consommation mondiale de plastique pourrait tripler d’ici 2060, selon les projections de l’OCDE. Et la production de déchets plastique dans les sols, les cours d’eau, du sommet des montagnes aux océans, devrait bondir de 50% d’ici 2040, selon le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), qui assure le secrétariat des négociations onusiennes.La planète produit actuellement 460 millions de tonnes de plastique chaque année, dont la moitié à usage unique. Et moins de 10% des déchets plastiques est recyclé.En se décomposant en micro et nanoplastiques qui contaminent les écosystèmes, les polymères pénètrent jusque dans le sang et les organes humains, montrent des études récentes. Les conséquences, encore largement inconnues sur la santé des générations actuelles et à venir, sont dénoncées par une coordination de quelque 450 scientifiques de 65 pays qui suivent les débats.- “Squelette de traité” -Malgré l’extrême complexité de la négociation, qui touche des intérêts antagonistes de la société moderne (produits chimiques, développement économique versus environnement, santé), “il est très possible de quitter Genève avec un traité” a déclaré cette semaine à la presse la Danoise Inger Andersen, directrice exécutive du PNUE.Le diplomate qui préside les débats, l’Équatorien Luis Vayas Valdivieso, a publié après l’échec de Busan un projet de texte comportant plus de 300 points de désaccord qui devront être négociés jusqu’au 14 août, avant de parvenir à un traité.Le plus difficile concerne le fait d’inscrire (ou non) dans le traité une limitation de la production de plastiques neufs, note Saeed Hamid, d’une coalition regroupant 39 États insulaires. Des pays pétroliers comme l’Arabie Saoudite, l’Iran ou la Russie ne veulent pas en entendre parler.Autre point dur, l’établissement d’une liste de produits chimiques jugés “problématiques” pour la santé ou l’environnement: PFAS (polluants dits “éternels”), perturbateurs endocriniens, phtalates, bisphénols…”Personne ne veut voir une nouvelle prolongation de la négociation (…) Il est possible qu’un squelette de traité émerge des discussions, même s’il sera probablement sans financement, sans tripes et sans âme” relève auprès de l’AFP Bjorn Beeler, directeur du réseau d’ONG IPEN, basé en Suède.”Le contexte est difficile” ajoute une source diplomatique qui requiert l’anonymat “puisqu’on ne peut pas complétement écarter ce qui se passe ailleurs dans le multilatéralisme, et donc le nouveau rôle des États-Unis, ou les Brics qui travaillent à se réorganiser”.- Lobbyistes présents -Les enjeux “attirent beaucoup l’attention des pays en développement”, soit parce qu’ils sont producteurs de plastique avec un risque de fort impact sur leur économie si le traité est adopté, soit parce qu’ils subissent la pollution plastique et réclament des comptes”, souligne la même source.A Nice en juin, lors de la conférence onusienne sur les océans, 96 pays, allant de minuscules États insulaires au Zimbabwe en passant par les 27 de l’Union européenne, le Mexique ou le Sénégal, ont appelé à un traité ambitieux, incluant un objectif de réduction de la production et de la consommation de plastiques.”Cela ne doit pas être, comme le demandent certains dans l’industrie notamment, un traité portant uniquement sur le financement de la gestion des déchets plastiques”, s’inquiète Ilane Seid, présidente de l’alliance des petits États insulaires.”Lors de cette négociation finale, les gouvernements doivent agir dans l’intérêt des gens, pas des pollueurs”, ajoute Graham Forces de Greenpeace, qui dénonce la présence massive de lobbyistes de l’industrie fossile en marge des négociations.

At open-air Church party, many thousands of young Catholics eagerly await popeSat, 02 Aug 2025 14:59:13 GMT

Swarms of enthusiastic young Catholics gathered under the hot sun in Rome on Saturday in a festive, open-air celebration to be capped by an evening prayer vigil led by Pope Leo XIV.The Vatican said it was expecting up to one million young people for the vigil, which, together with a Sunday mass, marks the culmination …

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At open-air Church party, many thousands of young Catholics eagerly await pope

Swarms of enthusiastic young Catholics gathered under the hot sun in Rome on Saturday in a festive, open-air celebration to be capped by an evening prayer vigil led by Pope Leo XIV.The Vatican said it was expecting up to one million young people for the vigil, which, together with a Sunday mass, marks the culmination of the week-long youth pilgrimage — a key event in the Catholic Church’s Jubilee holy year. By Saturday afternoon, the vast open area on the outskirts of Rome — which at over 500,000 square metres was the size of around 70 football fields — was packed by young people. Crowds continued to arrive, music blared over loudspeakers, and a festive atmosphere prevailed. “I’m so happy to be here, even if I’m a bit far from the pope. I knew what to expect!” British student Andy Hewellyn told AFP.The massive stage with its golden arch and towering cross was not visible from his seat, but a video screen was nearby. “The main thing is that we’re all together,” he said, as other young people nearby played guitars, sang, or took a snooze in the sun.Italian broadcaster Rai dubbed the event a Catholic “Woodstock”, as nearly two dozen musical and dance groups, many of them religious, entertained the crowds ahead of the pope’s arrival. “The world needs you!” screamed a performer from the stage to the pilgrims who sprawled with blankets, cushions, umbrellas and flags across the dusty area. Most pilgrims said they planned to spend the night, to attend a final mass Sunday morning led by the pope. In a video message, Italian Prime Minister Giorgia Meloni welcomed pilgrims to the capital, which she said was “literally invaded by hundreds of thousands of young men and women” who were “praying, singing, joking amongst themselves, celebrating…in an extraordinary party”.- Water and suncream -The “Jubilee of Youth”, which began Monday, has seen young pilgrims from more than 146 countries flood the city.It comes nearly three months after Leo, 69, the first American pontiff, began his papacy, and 25 years after the last such massive youth gathering in Rome under Poland’s Pope John Paul II. Early Saturday, countless groups of young people set off for the venue in Tor Vergata east of Rome after filling water bottles, applying suncream and adjusting backpacks — ready to spend the next 24 hours surrounded by a crowd of people and then sleep under the stars.Victoria Perez, who carried a Spanish flag, could not contain her excitement at seeing “the pope up close”.”It’s the first time I’m going to see him, and I can’t wait,” the 21-year-old told AFP, looking forward to a “night of prayers under the stars”. French pilgrim Quentin Remaury, 26, said he had been inspired by the late pope Francis’s rousing message to youth during a 2016 visit to Krakow, Poland. “Pope Francis told us to ‘get off your couches,’ and that really gave me a boost,” he said. – Open-air confessional –  Throughout the week, attendees have participated in various Church-planned events, such as confession at Circus Maximus, one of Rome’s top tourist spots.On Friday, approximately 1,000 priests were on hand, with 200 white gazebos serving as makeshift confessionals lining the hippodrome where chariot races were once held in Ancient Rome.The pilgrimage unfolds as under-30s contemplate economic uncertainty and anxiety over climate change. Samarei Semos, 29, who said she had travelled three days from her native Belize to get to Rome, said she hoped Leo would have a strong say about “third world countries”. As Parisian student Alice Berry explained: “What does he have to say to us? What is his message for young people?”The Vatican said the pope on Saturday met and prayed with travellers accompanying an 18-year-old Egyptian pilgrim who died Friday night. Rai News reported that the young woman died of a heart attack on a bus while returning to her lodging from an event in Rome. 

At open-air Church party, many thousands of young Catholics eagerly await pope

Swarms of enthusiastic young Catholics gathered under the hot sun in Rome on Saturday in a festive, open-air celebration to be capped by an evening prayer vigil led by Pope Leo XIV.The Vatican said it was expecting up to one million young people for the vigil, which, together with a Sunday mass, marks the culmination of the week-long youth pilgrimage — a key event in the Catholic Church’s Jubilee holy year. By Saturday afternoon, the vast open area on the outskirts of Rome — which at over 500,000 square metres was the size of around 70 football fields — was packed by young people. Crowds continued to arrive, music blared over loudspeakers, and a festive atmosphere prevailed. “I’m so happy to be here, even if I’m a bit far from the pope. I knew what to expect!” British student Andy Hewellyn told AFP.The massive stage with its golden arch and towering cross was not visible from his seat, but a video screen was nearby. “The main thing is that we’re all together,” he said, as other young people nearby played guitars, sang, or took a snooze in the sun.Italian broadcaster Rai dubbed the event a Catholic “Woodstock”, as nearly two dozen musical and dance groups, many of them religious, entertained the crowds ahead of the pope’s arrival. “The world needs you!” screamed a performer from the stage to the pilgrims who sprawled with blankets, cushions, umbrellas and flags across the dusty area. Most pilgrims said they planned to spend the night, to attend a final mass Sunday morning led by the pope. In a video message, Italian Prime Minister Giorgia Meloni welcomed pilgrims to the capital, which she said was “literally invaded by hundreds of thousands of young men and women” who were “praying, singing, joking amongst themselves, celebrating…in an extraordinary party”.- Water and suncream -The “Jubilee of Youth”, which began Monday, has seen young pilgrims from more than 146 countries flood the city.It comes nearly three months after Leo, 69, the first American pontiff, began his papacy, and 25 years after the last such massive youth gathering in Rome under Poland’s Pope John Paul II. Early Saturday, countless groups of young people set off for the venue in Tor Vergata east of Rome after filling water bottles, applying suncream and adjusting backpacks — ready to spend the next 24 hours surrounded by a crowd of people and then sleep under the stars.Victoria Perez, who carried a Spanish flag, could not contain her excitement at seeing “the pope up close”.”It’s the first time I’m going to see him, and I can’t wait,” the 21-year-old told AFP, looking forward to a “night of prayers under the stars”. French pilgrim Quentin Remaury, 26, said he had been inspired by the late pope Francis’s rousing message to youth during a 2016 visit to Krakow, Poland. “Pope Francis told us to ‘get off your couches,’ and that really gave me a boost,” he said. – Open-air confessional –  Throughout the week, attendees have participated in various Church-planned events, such as confession at Circus Maximus, one of Rome’s top tourist spots.On Friday, approximately 1,000 priests were on hand, with 200 white gazebos serving as makeshift confessionals lining the hippodrome where chariot races were once held in Ancient Rome.The pilgrimage unfolds as under-30s contemplate economic uncertainty and anxiety over climate change. Samarei Semos, 29, who said she had travelled three days from her native Belize to get to Rome, said she hoped Leo would have a strong say about “third world countries”. As Parisian student Alice Berry explained: “What does he have to say to us? What is his message for young people?”The Vatican said the pope on Saturday met and prayed with travellers accompanying an 18-year-old Egyptian pilgrim who died Friday night. Rai News reported that the young woman died of a heart attack on a bus while returning to her lodging from an event in Rome. 

Mondiaux de natation: Maxime Grousset, papillon doré

Cinq jours après son titre sur 50 m papillon, Maxime Grousset a récidivé samedi en se couvrant d’or sur 100 m papillon aux Championnats du monde de natation de Singapour, signant une performance qui le place parmi les très grands de la discipline. Le Néo-Calédonien s’est imposé en 49 sec 62, pulvérisant son propre record de France (50 sec 11), devant le Suisse Noè Ponti (49 sec 83) et le Canadien Ilya Kharun (50 sec 07). Surtout, il signe là la troisième meilleure performance de l’histoire sur la distance; seul l’Américain Caeleb Dressel a nagé plus vite. “C’est fou! Je voulais taper un grand coup, je me suis senti vraiment bien en série puis en demie, et ce matin, je me suis senti encore mieux. Bien reposé, bien dormi, serein. J’avais envie de faire une belle course, de gagner, voilà c’est fait!”, a-t-il lancé. Malgré un temps de réaction moyen sur le plot, Grousset pointait en tête à mi-course, en avance sur le record du monde, avant d’être rattrapé par plusieurs adversaires après le virage. Mais il a ensuite fait parler sa puissance dans les 25 derniers mètres pour conserver la tête et s’envoler vers le titre. Euphorique, il a frappé l’eau de toute ses forces au moment de savourer sa victoire. “J’ai bien senti ce +flow+ surtout sur le premier 50. Sur le deuxième, c’était plutôt au mental car je commençais à craquer un peu à la fin. Je sentais que Noè me rattrapait donc ce n’était pas si évident que ça. Mais j’ai vraiment kiffé”, a-t-il ajouté, redescendu de ses émotions en fin de soirée. – Derrière Dressel, devant Phelps -À 26 ans, il devient au passage le deuxième meilleur performeur de tous les temps derrière la star Dressel, champion olympique en 2021 à Tokyo, et dépasse au classement le Hongrois Kristof Milak, sacré à Paris l’an dernier, ou encore la légende Michael Phelps. Plutôt spécialiste de la nage libre, Grousset était pourtant venu un peu par hasard au papillon, au détour d’une compétition de travail en 2023. “Je sens cette nage, je n’ai pas eu besoin de l’apprivoiser, c’est d’instinct, je me sens bien en papillon. Je suis un nageur qui a de la puissance et faire du papillon, cela m’aide à canaliser cette puissance”, a-t-il expliqué. Il décroche le troisième titre de sa carrière aux Mondiaux, lui qui s’était déjà couvert d’or sur cette distance en 2023, et sa septième médaille au total en individuel.Mais samedi, il a encore ajouté une autre médaille à son palmarès, en remportant une heure plus tard le bronze avec le relais bleu du 4×100 m nage libre mixte. À peine le temps de savourer sa deuxième “Marseillaise” de la semaine, qu’il s’est élancé dans la foulée en premier relayeur, lançant idéalement Yann Le Goff, Marie Wattel et Beryl Gastaldello. – La médaille du collectif -“Pas facile de se mettre derrière le plot et d’être concentré cinq minutes après”, a-t-il reconnu. “Cela s’est vu, c’était un peu dur. J’ai fait un bon chrono mais c’était plus dur qu’en individuel.”Propulsés au rang de favoris au podium après les éliminations surprise de l’Australie et de la Chine en séries, les Bleus se sont montrés au rendez-vous, concluant la course en 3 min 21 sec 35. “Le bronze fait plaisir au collectif, ça fait du bien, c’est autre chose de gagner une médaille en individuel et en collectif”, a-t-il apprécié. La victoire est allée au relais américain, qui a amélioré le record du monde en 3 min 18 sec 48, tandis que le relais russe a pris la médaille d’argent.Le relais apporte à la France sa sixième médaille depuis le début de ces Mondiaux. Pour la dernière journée de compétition dimanche, les Bleus devraient avoir deux dernières chances de podiums avec Léon Marchand, en lice dans le 400 m quatre nages et dans le relais 4×100 m quatre nages masculin.