Zimbabwe’s sick turn to herbalists over ailing health systemMon, 09 Dec 2024 14:43:45 GMT

When Agnes Kativhu could not get treatment for breast cancer from Harare’s main public hospital, she checked in to one of the many self-styled herbal clinics opening up across Zimbabwe’s capital.”I was a moving grave but am now well,” Kativhu claimed in an interview at the centre, where she spent around a month. “I never want …

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Macron et la longue quête d’un Premier ministre, une sensation de déjà vu

Le même ballet dans la cour de l’Elysée, le même temps qui s’étire : comme cet été, les consultations s’enchaînent, les noms fusent mais aucun ne s’impose pour Matignon. Lundi, Emmanuel Macron était toujours en quête d’un Premier ministre, cinq jours après la censure du gouvernement Barnier.Cette fois, le chef de l’Etat avait pourtant promis d’aller vite, selon plusieurs proches. Le budget 2025, à l’origine de toutes les crispations, ne peut pas attendre indéfiniment une sortie de crise.Et le chef de l’Etat, à trop procrastiner, risque de laisser s’installer un peu plus la petite musique des deux extrêmes sur l’inéluctabilité de sa démission, faute de stabilité gouvernementale.La réouverture de Notre-Dame lui a certes offert une parenthèse enchantée. Le temps d’un week-end, le monde a pu savourer la renaissance d’un des symboles de Paris et de la France, ravagé en 2019 par un incendie.Après ce moment de “communion” nationale, retour lundi aux affaires courantes pour le gouvernement sortant de Michel Barnier et pour le président, avec à ce stade aucune fumée blanche en perspective. “C’est le brouillard total pour le président. Il atterrit à peine” après Notre-Dame et “se sert des consultations pour gagner du temps”, résume un proche.- Plus de consultations -Après les socialistes et les Républicains (LR) vendredi, Emmanuel Macron a reçu lundi matin les indépendants (Liot), les communistes et les écologistes.Et il est susceptible de reconvoquer mardi les forces politiques – hors Rassemblement national –  pour une consultation plus large, ont indiqué les trois délégations à l’issue de leurs échanges avec le président. “Il fera une proposition là, peut-être dans la journée, demain, de méthode (…) Il continue de consulter aujourd’hui pour envisager une rencontre de l’ensemble des forces et des groupes qui veulent trouver une solution”, a déclaré le patron du PCF Fabien Roussel.Après le précédent Barnier, le président a également indiqué, selon la patronne des Ecologistes Marine Tondelier, que “la solution ne pourrait plus reposer sur un accord avec le Rassemblement national”.En attendant, les noms continuent de s’égrener pour Matignon, Sébastien Lecornu jeudi, François Bayrou vendredi, Catherine Vautrin, voire Jean-Yves Le Drian lundi sans que la roulette ne semble vouloir arrêter sa course. Ils sont tous confrontés au même défi, l’entêtante arithmétique issue des législatives post-dissolution qui contrarie toute quête d’une majorité susceptible d’échapper à la censure, de la droite modérée aux sociaux-démocrates.- “Pas de délai” -Avec une sensation de déjà vu après la succession d’Elisabeth Borne en janvier, puis celle de Gabriel Attal au lendemain de la dissolution de l’Assemblée le 9 juin et des législatives cet été.Deux noms avaient circulé avec insistance en janvier, celui du ministre des Armées Sébastien Lecornu et celui d’un proche de la première heure d’Emmanuel Macron, Julien Denormandie, avant que le choix du président ne s’arrête sur Gabriel Attal, devenu le plus jeune Premier ministre de la Ve République.Après une autre parenthèse enchantée, celle des Jeux olympiques en juillet-août, le chef de l’Etat a aussi multiplié les consultations pour lui trouver un successeur, avant de nommer Michel Barnier le 5 septembre.Gabriel Attal, démissionnaire dès le 8 juillet après la défaite du camp présidentiel aux législatives, aura donc géré pendant 51 jours les affaires courantes, un record sous la Ve, ajoutant au sentiment de transition sans fin.Si ce record a peu de chances d’être battu, le calendrier restait incertain lundi. “Je ne donne pas de délai, ni dans un sens ni dans l’autre”, martèle ainsi un proche du président.Pendant ce temps, Emmanuel Macron ne laisse guère entrevoir devant ses interlocuteurs le fond de sa pensée. “Les voies du seigneur ne sont pas toujours pénétrables”, pointait le président du groupe communiste à l’Assemblée, André Chassaigne, à sa sortie de l’Elysée.

African players in Europe: Mbeumo, Wissa sting NewcastleMon, 09 Dec 2024 14:01:42 GMT

Brentford duo Bryan Mbeumo and Yoane Wissa scored their ninth goals of the Premier League season at the weekend as the Bees stung Newcastle United 4-2 to go ninth.Cameroon winger Mbeumo and Democratic Republic of Congo forward Wissa are among four Africans within the top seven Premier League scorers. Egypt and Liverpool star Mohamed Salah shares …

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Toujours en quête d’un Premier ministre, Macron veut réunir les partis

Emmanuel Macron a annoncé lundi son intention de réunir toutes les forces politiques pour former un nouveau gouvernement, dont il souhaite qu’il ne soit pas dépendant du Rassemblement national, selon la patronne des Ecologistes Marine Tondelier.”La solution ne pourrait plus reposer sur un accord avec le Rassemblement national”, a déclaré Marine Tondelier, à l’issue d’un échange avec le président de la République, qui multiplie les consultations avant la nomination d’un Premier ministre.”Il a été très clair sur le fait que le Rassemblement national, pour lui, n’était pas dans le périmètre des partis qui souhaitaient discuter”, a-t-elle ajouté.Cette “nouvelle méthode” pour construire le futur gouvernement passerait par l’organisation d’une “réunion des différentes forces politiques pour échanger sur une plateforme programmatique”, ont indiqué les responsables des Ecologistes. Une telle réunion pourrait avoir lieu dès mardi, a indiqué Marine Tondelier.Après une courte trêve consacrée à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame, le président français Emmanuel Macron a repris lundi ses consultations afin de nommer un nouveau Premier ministre, cinq jours après le vote de censure contre Michel Barnier.M. Macron a reçu tour à tour des députés indépendants du groupe Liot (Libertés, Indépendants, Outre-mer, Territoires), les écologistes et les communistes lundi matin.- “Consentir à l’alternance” -“On a fait un pas ce matin”, a affirmé à la sortie le patron du PCF Fabien Roussel, venu avec la “volonté de trouver des solutions” mais sans “mettre des préalables”. Pas même celui d’un Premier ministre de gauche, seulement “préférable”, ou d’une abrogation de la réforme des retraites – qui pourrait être renvoyée à une “conférence sociale”.Moins antagoniques, les députés Liot ont seulement demandé “quelque chose qui regroupe les différentes sensibilités”, et surtout “que ça soit rapide, parce que le pays est dans une situation d’urgence”, a résumé leur vice-président Christophe Naegelen.Toutes les forces politiques, y compris le chef de l’Etat, souhaitent une solution rapide. Mais les précédents incitent à la prudence: il avait fallu 51 jours cet été au locataire de l’Elysée pour choisir Michel Barnier, et plusieurs semaines également dans le cas de ses prédécesseurs Gabriel Attal et Elisabeth Borne.- Calculs et boucliers -La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a ainsi plaidé pour aller “rapidement” et désigner un nouveau chef de gouvernement “dans les prochaines heures”.Son calcul est simple: “additionner” les députés du “socle commun” (Renaissance, LR, MoDem, Horizons), de Liot et du parti socialiste pour obtenir une majorité absolue au Palais Bourbon. “Et donc il n’y a plus de censure possible”.Le patron du MoDem, François Bayrou, se dit pour sa part préoccupé par “une situation que pas un citoyen français ne peut accepter de voir perdurer ou se complexifier”.Pressenti, parmi d’autres, pour Matignon, l’allié historique de M. Macron ne revendique pas le poste mais presque: “Si je peux aider à ce qu’on sorte de tout ça, je le ferai”, a-t-il lancé dimanche depuis sa ville de Pau.Offre de service accueillie par une levée de boucliers à gauche. “La ligne politique de M. Bayrou n’a pas gagné les élections législatives”, a souligné Mme Tondelier sur RTL, tandis que le social-démocrate Raphaël Glucksmann a jugé sur France 2 que le centriste “enverrait le message de la continuité politique”.Or la gauche réclame sa part du pouvoir. “Si ce n’est pas un Premier ministre de gauche, nous ne participerons pas à ce gouvernement”, a averti le chef des députés socialistes Boris Vallaud sur France Inter.- “Lignes rouges” et “trahison” -Ce scénario se heurte toutefois à plusieurs “lignes rouges”. A commencer par celles de l’homme fort de la droite Laurent Wauquiez, qui balaye dans Le Figaro “une hypothèse pas crédible”.Le numéro un du PS Olivier Faure a pourtant proposé vendredi des “concessions réciproques” au président de la République.Mais ce début d’ouverture a réveillé l’ire des Insoumis, qui ont refusé l’invitation au Palais et ont instruit tout le week-end le procès en déloyauté de leurs alliés. “Faure ne décide pas tout seul”, a tonné Jean-Luc Mélenchon dans la presse italienne et espagnole, martelant son refus “de trahir (ses) électeurs pour des postes”.A l’autre bout de l’échiquier politique, le Rassemblement national reste à l’affût. Pas convié à l’Elysée, son président Jordan Bardella demande déjà “à être reçu avec Marine Le Pen” par le futur Premier ministre “de manière à pouvoir exprimer très clairement (leurs) lignes rouges”, qui n’ont “pas varié”: pouvoir d’achat, sécurité, immigration et scrutin proportionnel.

Cash crunch fuels rising misgivings against Nigeria’s money agentsMon, 09 Dec 2024 13:15:53 GMT

Mobile money agents have become a familiar sight across Nigeria, using handy point-of-sale machines to provide essential services to millions of people without access to banking, particularly in hard-to-reach rural areas.Even on the streets of major cities they have become a go-to, due to an ongoing shortage of cash at ATMs since a much-vilified redesign …

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Air India buys 100 more Airbus aircraft

Air India has placed an order to buy 100 more Airbus aircraft, the Tata Group-owned carrier said Monday, in a deal aimed at bolstering its fleet and winning over flyers.The airline said the deal consisted of 10 widebody A350 and 90 narrowbody A320 family aircraft.The new purchase, the company said in a statement, is “in addition” to the orders for 470 aircraft Air India placed with Airbus and Boeing last year.When the two deals were announced, it was the largest order unveiled at the same time by a commercial carrier, with list price calculations for the jets suggesting an estimated value north of $70 billion.”The latest order takes the total number of aircraft that Air India ordered with Airbus in 2023 from 250 aircraft, comprising 40 A350 and 210 A320 family aircraft, to 350,” the carrier said in a statement, without giving price details on the latest order.Since taking over the former national carrier in 2022, the sprawling Tata Group conglomerate has sought to turn around the loss-making airline by ordering new aircraft and upgrading its existing fleet.Tata Sons chairman Natarajan Chandrasekaran said the airline saw a “clear case” for Air India to expand its future fleet beyond the 470 aircraft ordered in 2023.”These additional 100 Airbus aircraft will help to position Air India on the path to greater growth and contribute to our mission of building Air India into a world-class airline that connects India to every corner of the world,” Chandrasekaran said in a statement.Airbus CEO Guillaume Faury said in a statement that he was pleased by Air India’s latest investment.”Having personally witnessed the formidable growth of the Indian aviation sector… I am glad to see Air India renew its trust in Airbus with this additional order,” he said.

Un Premier ministre de gauche “préférable” mais pas un “préalable” pour Roussel

Le secrétaire national du Parti communiste Fabien Roussel a estimé lundi qu’un Premier ministre issu de la gauche était “préférable” mais pas un “préalable” à l’issue d’un échange avec Emmanuel Macron, qui multiplie les consultations avant la nomination d’un Premier ministre.”Nous avons dit que bien sûr il était préférable qu’il y ait un Premier ministre de gauche, de sensibilité de gauche, pour pouvoir préserver le pouvoir d’achat, les services publics, notre industrie, nos collectivités, c’est notre combat. Nous avons exprimé une préférence”, a déclaré Fabien Roussel, “sans donner de nom”.”Ce qui compte, c’est que l’on avance, et pour avancer, on ne vient pas en mettant des préalables sur des noms, sur des propositions, des lignes rouges”, a-t-il cependant ajouté. “On est dans une situation qui est extrêmement compliquée dans notre pays aujourd’hui (…) Il faut que chacun fasse un pas, nous en tout cas, on a fait un pas ce matin et on a dit au président de la République: Et vous, est-ce que vous êtes prêt à en faire un de votre côté ? Est-ce que vous êtes prêt à accepter à ce qu’il y ait des changements dans la politique à mener dans notre pays”, a dit Fabien Roussel.Après une courte trêve consacrée à Notre-Dame, Emmanuel Macron a repris lundi matin ses consultations à l’Elysée, cinq jours après le vote de censure contre Michel Barnier. Le chef de l’Etat recevait tour à tour depuis 9H00 les députés indépendants du groupe Liot, puis les chefs de file communistes emmenés par Fabien Roussel.Le premier secrétaire du parti socialiste Olivier Faure a réclamé vendredi “un Premier ministre de gauche” et “un changement de cap” politique, avant de rencontrer Emmanuel Macron à l’Elysée pour discuter de la formation d’un nouveau gouvernement. Il avait aussi estimé que des “concessions réciproques” étaient possibles avec le centre et la droite. 

Toujours en quête d’un Premier ministre, Macron reprend ses bons offices

Après une courte trêve consacrée à Notre-Dame, Emmanuel Macron a repris lundi ses consultations politiques à l’Elysée, cinq jours après la censure de Michel Barnier, afin de nommer au plus vite un nouveau Premier ministre, mais de nombreux écueils demeurent.Dernières tractations avant l’annonce ? Le chef de l’Etat a reçu tour à tour lundi matin les représentants des députés indépendants Liot, du parti communiste et des écologistes.”On a fait un pas ce matin”, a affirmé à la sortie le patron du PCF Fabien Roussel, venu avec la “volonté de trouver des solutions” mais sans “mettre des préalables”. Pas même celui d’un Premier ministre de gauche, seulement “préférable”, ou d’une abrogation de la réforme des retraites – qui pourrait être renvoyée à une “conférence sociale”. A condition toutefois que “chacun s’y retrouve”, notamment sur le sujet du “pouvoir d’achat”.”Chacun doit faire un pas vers l’autre”, a également déclaré Marine Tondelier, à son arrivée. Mais pour la cheffe de file des Verts, c’est au président “de proposer quelque chose qui ne soit pas juste la continuité de sa politique”, afin de “consentir à (l’)alternance” réclamée selon elle par les électeurs aux dernières législatives.Moins antagoniques, les députés Liot (Liberté, Indépendants, Outre-mer, Territoires) ont seulement demandé “quelque chose qui regroupe les différentes sensibilités”, et surtout “que ça soit rapide, parce que le pays est dans une situation d’urgence”, a résumé leur vice-président Christophe Naegelen.Verra-t-on pour autant une fumée blanche au palais présidentiel avant la fin de journée ? Les précédents incitent à la prudence: il avait fallu 51 jours cet été au locataire de l’Elysée pour choisir Michel Barnier, et plusieurs semaines également dans le cas de ses prédécesseurs Gabriel Attal et Elisabeth Borne.- Calculs et boucliers -Cette fois-ci, Emmanuel Macron est pourtant pressé de trancher par son propre camp. La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, plaide ainsi pour aller “rapidement” et désigner un nouveau chef de gouvernement “dans les prochaines heures”.Son calcul est simple: “additionner” les députés du “socle commun” (Renaissance, LR, MoDem, Horizons), de Liot et du parti socialiste pour obtenir une majorité absolue au Palais Bourbon. “Et donc il n’y a plus de censure possible”.Le patron du MoDem, François Bayrou, se dit pour sa part préoccupé par “une situation que pas un citoyen français ne peut accepter de voir perdurer ou se complexifier”.Pressenti, parmi d’autres, pour Matignon, l’allié historique de M. Macron ne revendique pas le poste mais presque: “Si je peux aider à ce qu’on sorte de tout ça, je le ferai”, a-t-il lancé dimanche depuis sa ville de Pau.Offre de service accueillie par une levée de boucliers à gauche. “La ligne politique de M. Bayrou n’a pas gagné les élections législatives”, a souligné Mme Tondelier sur RTL, tandis que le social-démocrate Raphaël Glucksmann a jugé sur France 2 que le centriste “enverrait le message de la continuité politique”.Or la gauche réclame sa part du pouvoir. “Si ce n’est pas un Premier ministre de gauche, nous ne participerons pas à ce gouvernement”, a averti le chef des députés socialistes Boris Vallaud sur France Inter.- “Lignes rouges” et “trahison” -Ce scénario se heurte toutefois à plusieurs “lignes rouges”. A commencer par celles de l’homme fort de la droite Laurent Wauquiez, qui balaye dans Le Figaro “une hypothèse pas crédible” au regard de ses propres “conditions”: “Ni LFI au gouvernement, ni le programme du Nouveau Front populaire”.Le numéro un du PS Olivier Faure a pourtant proposé vendredi des “concessions réciproques” au président de la République.Mais ce début d’ouverture a réveillé l’ire des Insoumis, qui ont refusé l’invitation au Palais et ont instruit tout le week-end le procès en déloyauté de leurs alliés. “Faure ne décide pas tout seul”, a tonné Jean-Luc Mélenchon dans la presse italienne et espagnole, martelant son refus “de trahir (ses) électeurs pour des postes”.Et si les socialistes font quand même alliance avec les macronistes voire la droite, alors “le Nouveau Front populaire continuera sans eux”, menace le patriarche de La France insoumise.A l’autre bout de l’échiquier politique, le Rassemblement national reste à l’affût. Pas convié à l’Elysée, son président Jordan Bardella demande déjà “à être reçu avec Marine Le Pen” par le futur Premier ministre “de manière à pouvoir exprimer très clairement (leurs) lignes rouges”, qui n’ont “pas varié”: pouvoir d’achat, sécurité, immigration et scrutin proportionnel.Arbitre de la censure du gouvernement Barnier, le parti à la flamme prévient d’avance: “Vous ne pouvez pas faire comme si on n’était pas là”.