Ghana’s ex-president Mahama returns with election winSun, 08 Dec 2024 19:34:51 GMT

Ghana’s former president John Drahami Mahama won a historic comeback election victory on Sunday after the ruling party accepted defeat with voters appearing to punish them for the government’s handling of an economic crisis. Ghana’s election agency has yet to release official results, but New Patriotic Party candidate Vice President Mahamudu Bawumia conceded Ghanaians wanted change …

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Macron sous pression pour nommer un Premier ministre, Mélenchon met en garde les socialistes

À la veille de nouvelles consultations politiques à l’Élysée, Emmanuel Macron est sous la pression de son camp : la présidente de l’Assemblée lui demande de nommer un nouveau Premier ministre “dans les prochaines heures”, et François Bayrou se dit prêt “à aider” – sans se déclarer formellement pour Matignon.La France insoumise dénonce, de son côté, une “trahison” des socialistes s’ils rejoignaient le futur gouvernement.La parenthèse, ouverte samedi avec la réouverture de Notre-Dame devant un parterre de chefs d’Etat et de gouvernement, n’aura pas duré longtemps pour Emmanuel Macron.”On ne peut pas continuer comme ça”, a averti dimanche le président du MoDem François Bayrou, resté silencieux depuis la censure du gouvernement Barnier.”Si je peux aider à ce qu’on sorte de tout ça, je le ferai”, a ajouté sur France Bleu Béarn le maire de Pau, pressenti – parmi d’autres – pour Matignon.La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a, de son côté, exhorté le chef de l’État à nommer un nouveau Premier ministre “dans les prochaines heures”, alors qu’Emmanuel Macron doit encore recevoir lundi matin à l’Élysée le groupe indépendant Liot, les communistes et les écologistes, mais pas les Insoumis qui ont décliné l’invitation.- Main tendue -À l’instar de plusieurs macronistes, dont le chef de file des députés Gabriel Attal, la titulaire du perchoir milite pour constituer un bloc central élargi allant des Républicains aux socialistes.”Si on additionne le socle commun, Liot et le PS, on arrive à 299″ députés, a-t-elle relevé devant le Grand Jury RTL-M6-Le Figaro-Public Sénat. “Là vous avez une majorité, et donc il n’y a plus de censure possible”. Et d’appeler à “un programme d’action” commun entre ces groupes politiques, autour notamment de la question des soins, l’agriculture, la simplification, la décentralisation et “pourquoi pas” la proportionnelle.Cette main tendue à gauche n’est pas du goût du président du Rassemblement national Jordan Bardella. Ce sera “l’alliance de tout et son contraire. Tout ça pour empêcher des millions d’électeurs qui ont voté pour le RN de voir leurs idées exprimées”, a-t-il commenté sur France 3.Le parti lepéniste n’a pas été convié à l’Élysée, mais Jordan Bardella demande à être reçu par le prochain locataire de Matignon afin d'”exprimer clairement les lignes rouges” de son parti.”Vous ne pouvez pas faire comme si on n’était pas là”, a-t-il mis en garde. Marine Le Pen a déjà prévenu qu’elle pourrait voter à nouveau une motion de censure.- “Fait accompli” -À gauche, deux lignes s’affrontent depuis la chute de Michel Barnier. D’un côté, socialistes, écologistes et communistes appellent, à des degrés divers, à la discussion. De l’autre, La France insoumise brandit la menace de l’explosion du Nouveau Front populaire (NFP). Si les socialistes rejoignent le futur gouvernement, “le Nouveau Front populaire continuera sans eux. Nous refusons de gouverner avec ce bloc de droite à la dérive”, avertit Jean-Luc Mélenchon dans un entretien aux quotidiens italien La Repubblica et espagnol El Pais.Le tribun ne ménage pas ses attaques contre Olivier Faure. Il “ne décide pas tout seul”, assène-t-il, fustigeant la démarche du Premier secrétaire du PS, qui a rencontré vendredi le chef de l’État pour lui proposer des “concessions réciproques”.”Nous avons été mis devant le fait accompli”, déplore Jean-Luc Mélenchon, dénonçant la “méthode extrêmement brutale” et “personnelle” d’un homme qui “veut être Premier ministre pour la gauche” alors que son parti, le PS, “a fait 1,67% à l’élection présidentielle” de 2022.Même réserve du côté du président insoumis de la commission des Finances de l’Assemblée, Éric Coquerel.”Je pense qu’Emmanuel Macron balade tout le monde. Il ne nommera pas un Premier ministre de gauche”, prévient-il sur franceinfo. Le député dénonce une stratégie du chef de l’État visant uniquement à “diviser” le NFP et refuse, comme la cheffe de file des députés LFI Mathilde Panot, de “trahir les électeurs”. “Il n’y a aucun compromis possible”, martèle l’élue du Val-de-Marne.À droite, Les Républicains maintiennent aussi leurs lignes rouges: “ni LFI au gouvernement, ni le programme du Nouveau Front Populaire”, a répété dans Le Figaro le chef de file des LR à l’Assemblée, Laurent Wauquiez. Quant à un socialiste à Matignon, cette hypothèse “n’est pas crédible”, à ses yeux, car il souhaite “un programme de travail clairement à droite”.

Sri Lanka battle hard to stay in second Test against South AfricaSun, 08 Dec 2024 16:39:30 GMT

Dhananjaya de Silva and Kusal Mendis kept Sri Lanka’s hopes alive on the fourth day of the second Test against South Africa at St George’s Park on Sunday.Captain De Silva and Mendis, Sri Lanka’s last recognised batsmen, shared an unbeaten partnership of 83 as Sri Lanka, set 348 to win, reached 205 for five at …

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‘Indescribable’ European Tour win for American VeermanSun, 08 Dec 2024 15:11:11 GMT

American Johannes Veerman fired a final-round 69 for an “indescribable” one-shot victory in a European Tour event at sweltering South African resort Sun City on Sunday.   South African Aldrich Potgieter needed a final-hole par to force a play-off in a tense finish at the Gary Player Country Club 170 kilometres (105 miles) northwest of Johannesburg.But …

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“Je serai toujours libre”: Gabriel Attal s’empare de Renaissance

“Nous ne serons jamais un parti comme les autres”. Gabriel Attal a été officiellement élu dimanche secrétaire général de Renaissance, après avoir dissuadé la concurrence au sein du parti d’Emmanuel Macron, qui doit se réinventer en pleine crise politique.L’ancien Premier ministre a remporté 94,9% des voix du Conseil national, sorte de Parlement du parti, qui s’est réuni dimanche dans un hôtel du quartier Montparnasse à Paris.M. Attal était seul en lice pour succéder à Stéphane Séjourné, après le retrait de la candidature d’Élisabeth Borne.Les deux anciens Premiers ministres ont finalement fait liste commune et se sont accordés sur la répartition des tendances au sein du bureau exécutif, le gouvernement du parti, qui sera installé “dans quelques semaines”.”Nous ne serons jamais un parti comme les autres”, “une association de rentiers de la politiques avides de pouvoir et dénoué de valeurs”, a lancé Gabriel Attal en clôture du Conseil national.Ayant pris ses distances avec le président Emmanuel Macron après une dissolution de l’Assemblée nationale à laquelle il n’a pas été associé et qui a mis un terme brutal à son bref bail à Matignon, M. Attal parachève ainsi sa prise de contrôle de l’appareil militant macroniste, après s’être déjà fait élire à la présidence du groupe des députés en juillet, malgré la volonté de l’Élysée.La tâche est redoutable tant le parti semble affaibli après sept ans d’exercice du pouvoir, et alors qu’au sein du bloc central, Édouard Philippe, qui a fondé son parti Horizons, a d’ores et déjà annoncé sa candidature à l’Élysée.D’Emmanuel Macron, il a été relativement peu question pendant cette réunion des quelque 300 à 400 cadres du parti qu’il a fondé en 2016.Pas plus que de la crise politique, alors que le chef de l’Etat doit nommer un Premier ministre dans les prochains jours après la chute du gouvernement Barnier. Sollicité par la presse sur ce sujet, M. Attal n’a pas souhaité répondre.La fin de l’ère Macron à Renaissance ? “Si je suis là, c’est grâce à lui”. “Je sais ce que je lui dois, je sais ce que je vous dois”, a dit M. Attal sous les ovations.-“États généraux”-Mais “je serai toujours libre, nous serons toujours libres”, a lancé l’élu des Hauts-de-Seine, bien décidé à relancer ce parti au moyen d’un vaste programme de travail pour le début d’année 2025. Il entend ainsi initier “la plus vaste mobilisation depuis la grande marche” de 2016 et “lancer des états généraux”. Charge aux comités locaux et à leurs adhérents de faire remonter la parole militante, y compris en allant solliciter les ex-marcheurs.”Nous nous retrouverons ensemble d’ici mars pour un grand rassemblement” qui servira à “restituer le verdict de nos militants, fixer des orientations nouvelles, affirmer des lignes fortes et des valeurs claires”.M. Attal entend également lancer des “conventions thématiques” autour de “trois grands sujets”: travail, “fermeté républicaine” et transition écologique.La “parole de nos adhérents doit être au centre de tout”, a-t-il martelé. Ce qui doit convenir à Élisabeth Borne, élue dimanche matin présidente du Conseil national, une instance à laquelle elle entend bien faire jouer “pleinement le rôle de parlement de Renaissance”.Mme Borne a également annoncé un programme de travail pour cette instance, avec la création de commissions calquées sur les commissions parlementaires.Le Conseil national a, par ailleurs, adopté deux motions thématiques, une sur les violences sexistes et sexuelles présentée par l’ex-ministre Aurore Bergé, l’autre portée par le président des Jeunes avec Macron, Ambroise Méjean, réaffirmant l’attachement du parti à la “moralisation de la vie politique”.M. Méjean a notamment dit regretter que des dirigeants “y compris au sein de (sa) famille politique” aient critiqué les réquisitions, particulièrement le risque d’une inéligibilité immédiatement exécutoire, contre Marine Le Pen (RN) dans le procès des assistants parlementaires au Parlement européen. Visant sans le nommer Gérald Darmanin, absent de ce Conseil national auquel ont en revanche assisté Bruno Le Maire ou encore Richard Ferrand.

Censure: “Pas le chaos” mais attention à “une perte de crédibilité progressive” de la France, estime Moscovici

La censure du gouvernement Barnier “n’est pas le chaos” mais il faut éviter “une perte de crédibilité progressive” de la France en raison notamment d’une “dette trop importante”, a estimé dimanche le premier président de la Cour des Comptes, Pierre Moscovici, sur LCI.La censure “n’est ni une catastrophe ni quelque chose d’anodin. (…) Les marchés n’ont pas frémi, le +spread+ (écart de taux, NLDR) a plutôt un tout petit peu diminué avec l’Allemagne. Notre crédit est surveillé, il est sans doute atteint, on se dit que la France est entrée dans une phase d’incertitude politique, on attend des réponses mais sans pour autant frémir, sans se dire que le pays est tombé”, a résumé M. Moscovici.”Ce n’est pas le chaos et ce ne sera pas le chaos, ce que je crains beaucoup plus, c’est une forme d’enfoncement”, a-t-il mis en avant.”Nous ne sommes pas menacés par une situation à la grecque, en revanche nous devons être extrêmement vigilants par ce qui nous menace”, a souligné Pierre Moscovici en mettant en avant “une dette trop importante qui nous empêche d’agir” et “une perte de crédibilité progressive, comme si on s’enfonçait doucement, comme si on sortait des radars”.Le gouvernement de Michel Barnier s’était fixé l’objectif de réduire le déficit public à 5% du PIB l’an prochain. Le déficit est attendu à 6,1% du PIB en 2024, contre 4,4% prévus initialement.Le premier président de la Cour des Comptes estime que “l’objectif du prochain gouvernement doit être de réduire nettement le déficit et d’aller vers les 5%”, notamment pour avoir “de la capacité à agir dans le futur”. “Nous n’allons pas avoir un budget tout de suite, pour faire en sorte d’éviter le +shutdown+, on va voter une loi spéciale qui sera extrêmement étroite et réduite, et qui permettra la continuité des services publics actuels. Ensuite, il faudra voter un budget, qui ira vers les 5%” de déficit public, a estimé M. Moscovici. “Personne ne pourrait dire quel serait le déficit si on se contentait de la loi spéciale, mais probable que ce serait autour de 6%, un tout petit peu moins que 6%”, a-t-il poursuivi.”Je n’ai pas la sensation qu’on soit dans une phase de récession” même s'”il est certain qu’aujourd’hui la pente est un peu plus sévère”, a-t-il également indiqué, interrogé sur les propos du président du Medef, Patrick Martin, qui “pense” que la France est “déjà rentrée en légère récession”.

Braun-Pivet demande la nomination d’un gouvernement “dans les prochaines heures”

La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a exhorté dimanche Emmanuel Macron à nommer un nouveau Premier ministre “dans les prochaines heures”, appelant le bloc central à s’ouvrir aux socialistes.”Il faut rapidement nommer un nouveau Premier ministre (…) dans les prochaines heures”, a fait valoir la titulaire du perchoir alors que le président de la République Emmanuel Macron doit poursuivre lundi ses consultations à l’Elysée en rencontrant les communistes et les écologistes, mais pas La France insoumise qui a décliné l’invitation.Yaël Braun-Pivet a appelé à s’élargir vers les socialistes.”Si on additionne le socle commun (…), si on y ajoute le groupe (indépendant) Liot et le Parti socialiste, on arrive à 299 (députés). Là vous avez une majorité, et donc il n’y a plus de censure possible”, a-t-elle relevé au Grand Jury RTL-M6-Le Figaro-Public Sénat.”Est-ce qu’on est aujourd’hui capable avec (ces) groupes politiques de s’entendre sur un programme d’action, je crois que oui”, a-t-elle ajouté, en citant la question des soins, l’agriculture, la simplification, la décentralisation et “pourquoi pas” la proportionnelle.Sur la question des finances publiques, Yaël Braun-Pivet estime qu’il peut encore “y avoir un budget au 31 décembre”. Malgré l’urgence budgétaire, elle ne se montre pas favorable à la loi spéciale évoquée par Emmanuel Macron, qui permet à l’État de maintenir les recettes fiscales et d’assurer son fonctionnement.”Si on adopte une loi spéciale, un nouveau budget devra être présenté par le gouvernement. Moi, je n’étais pas sur cette position”, a déclaré la présidente de l’Assemblée.Elle souhaite que les députés “reprennent les débats budgétaires là ou ils se sont arrêtés” afin de tenter de trouver rapidement un compromis.