Gaza mediators ‘working very hard’ to revive truce plan: Egypt
Egypt said Tuesday it was working with fellow Gaza mediators Qatar and the United States to broker a 60-day truce, as part of a renewed push to end the Israel-Hamas war.Foreign Minister Badr Abdelatty made the announcement at a press conference in Cairo, as two Palestinian sources told AFP that a senior Hamas delegation was due to meet Egyptian officials for talks on Wednesday.Diplomacy aimed at securing an elusive ceasefire and hostage release deal in the 22-month-old war has stalled for weeks, after the latest round of negotiations broke down in July.Abdelatty said that “we are working very hard now in full cooperation with the Qataris and Americans”, aiming for “a ceasefire for 60 days, with the release of some hostages and some Palestinian detainees, and the flow of humanitarian and medical assistance to Gaza without restrictions, without conditions”.One of the Palestinian sources earlier told AFP that the mediators were working “to formulate a new comprehensive ceasefire agreement proposal” that would include the release of all remaining hostages in Gaza “in one batch”.Mediation efforts led by Qatar, Egypt and the United States have failed to secure a breakthrough since a short-lived truce earlier this year.The Hamas delegation expected in Cairo, led by the group’s chief negotiator Khalil al-Hayya, is scheduled to meet Egyptian officials on Wednesday to “discuss the latest developments” in negotiations, said the second Palestinian source.News of the potential truce talks came as Gaza’s civil defence agency said Israel has intensified its air strikes on Gaza City in recent days, following a government decision to expand the war there.- Intensified strikes -Prime Minister Benjamin Netanyahu’s government has not provided an exact timetable on when forces may enter the area, but civil defence spokesman Mahmud Bassal said on Tuesday that air raids had already begun increasing over the past three days.Bassal said the neighbourhoods of Zeitun and Sabra have been hit “with very heavy air strikes targeting civilian homes”.”For the third consecutive day, the Israeli occupation is intensifying its bombardment” using “bombs, drones, and also highly explosive munitions that cause massive destruction”, he said.Bassal said that Israeli strikes across the territory, including on Gaza City, killed at least 33 people on Tuesday.”The bombardment has been extremely intense for the past two days. With every strike, the ground shakes,” said Majed al-Hosary, a resident of Gaza City’s Zeitun.”There are martyrs under the rubble that no one can reach because the shelling hasn’t stopped.”An Israeli air strike on Sunday killed five Al Jazeera employees and a freelance reporter outside a Gaza City hospital, with Israel accusing one of the slain Al Jazeera correspondents of being a Hamas militant.Israel has faced mounting criticism over the war, which was triggered by Palestinian militant group Hamas’s October 2023 attack.UN-backed experts have warned of widespread famine unfolding in the territory, where Israel has drastically curtailed the amount of humanitarian aid it allowed in.Netanyahu is under mounting pressure to secure the release of the remaining hostages — 49 people including 27 the Israeli military says are dead — as well as over his plans to expand the war.The Israeli premier has vowed to keep on with or without the backing of Israel’s allies.Hamas’s 2023 attack resulted in the deaths of 1,219 people, according to an AFP tally based on official figures.Israel’s offensive has killed at least 61,599 Palestinians, according to the health ministry in Hamas-run Gaza, whose toll the United Nations considers reliable.
La Bourse de Paris portée par la perspective de baisse des taux aux Etats-Unis
La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,71% mardi, portée par la publication d’un indice d’inflation aux Etats-Unis qui soutient la perspective de baisses des taux de la banque centrale américaine (Fed) dans l’année.L’indice vedette de la Bourse de Paris, le CAC 40, a gagné 54,90 points, terminant à 7.753,42 points. La veille, il avait fini en baisse de 0,57%.”Le marché a été assez rassuré par l’inflation aux Etats-Unis, qui devrait permettre à la banque centrale américaine de baisser ses taux en septembre, mais aussi en décembre”, commente Philippe Cohen, gestionnaire de portefeuilles chez Kiplink Finance. Dans le détail, hors prix volatils de l’énergie et de l’alimentation, l’inflation aux Ettas-Unis marque une nette accélération à +3,1% en juillet sur un an, ce qui reste toutefois dans la lignée des attentes des analystes, selon le consensus publié par MarketWatch. Sur un mois, l’indice affiche même un ralentissement, à +0,2% après +0,3% en juin, là aussi dans la lignée des attentes des analystes.Surtout, “on ne constate pas d’envolée des prix aussi importante que ce qui était craint à cause des droits de douane. Par déduction, cela signifie que les entreprises font un effort pour rogner une partie de leurs marges pour que cela ne se reflète pas sur le consommateur”, explique M. Cohen.Après des mois de politique commerciale erratique de l’administration Trump aux Etats-Unis, “l’inflation reste encore jugulée, malgré des droits de douane en moyenne multiplié par cinq”, précise aussi M. Cohen.Valneva saluéLe laboratoire franco-autrichien Valneva, spécialisé dans les vaccins, a grimpé de 8,74% à 3,78 euros, après avoir fait état mardi d’un chiffre d’affaires de 97,6 millions d’euros contre 70,8 millions d’euros au premier semestre 2024 et confirmé ses perspectives 2025 dans un communiqué.
Le patron de l’Ina suspendu après avoir acheté de la cocaïne
Interpellé fin juillet à Paris après s’être fait livrer de la cocaïne chez lui, le président de l’Institut national de l’audiovisuel (Ina), Laurent Vallet, a été suspendu de ses fonctions mardi par la ministre de la Culture, Rachida Dati.”Ayant pris connaissance par la presse de la mise en cause de Laurent Vallet (…) dans une affaire d’achat de stupéfiants, j’ai décidé pour la sérénité de l’institution de le suspendre immédiatement de ses fonctions en attendant de plus amples informations”, a indiqué Mme Dati sur X.Dans un communiqué transmis par l’Ina, M. Vallet a dit “prendre acte” de cette décision “pleinement respectueuse de l’institution” qu’il dirige.Selon lui, cette suspension a été prononcée “en vue de l’audience à laquelle (il est) convoqué début septembre au tribunal judiciaire de Paris pour une injonction thérapeutique”.Un peu plus tôt, une source judiciaire avait indiqué à l’AFP que M. Vallet avait été “orienté vers une injonction thérapeutique” car il s’agissait d’une première interpellation.”J’ai conscience du caractère à tous égards néfaste et condamnable de la consommation de stupéfiants. J’ai mis en place le dispositif indispensable visant à y mettre un terme définitif et me soumettrai à toute obligation que la justice estimera nécessaire”, a assuré le dirigeant.- Filature -M. Vallet a été interpellé le 29 juillet à son domicile par la police, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information de Valeurs Actuelles.Tout a débuté par une filature d’un jeune homme de 17 ans par des policiers de la BAC (brigade anticriminalité), qui l’ont suivi jusque dans la cour intérieure d’un bâtiment, a relaté à l’AFP une source policière. A sa sortie, ils l’interpellent et découvrent qu’il transporte la somme de 600 euros. Le jeune homme leur affirme être allé voir un ami.Les policiers prennent alors contact avec “l’ami”, qui est en fait le président de l’Ina. Celui-ci reconnaît avoir acheté au jeune homme de la cocaïne pour un montant de 600 euros et remet la drogue aux policiers. La cocaïne se vend généralement autour de 60 euros le gramme, au détail, en France.Laurent Vallet, 55 ans, a été reconduit en mai pour un troisième mandat de cinq ans à la tête de l’Ina, sur proposition de Mme Dati.Il occupe la présidence de cette structure publique depuis mai 2015. Il avait alors succédé à Agnès Saal, restée moins d’un an en poste. Elle avait dû démissionner à la demande de la ministre de la Culture de l’époque, Fleur Pellerin, après la révélation de frais de taxi dépassant 40.000 euros en dix mois.- Réforme de l’audiovisuel -Sous la présidence de Laurent Vallet, l’Ina s’est transformé: en plus de son rôle traditionnel d’archiver les images et sons de la télé et de la radio, l’institut est devenu un média à part entière, en exploitant ses archives.Cette stratégie s’est traduite par une politique très active sur les réseaux sociaux, la création de plusieurs émissions de télé et chaînes YouTube, et le lancement en 2020 de l’offre payante de streaming vidéo Madelen.Dans un message aux quelque 900 salariés après sa reconduction, M. Vallet avait estimé que cette dernière traduisait “la volonté d’une stabilité renforcée de la gouvernance des entreprises audiovisuelles publiques françaises”.La suspension du dirigeant est un nouvel épisode inattendu dans la saga de la réforme de l’audiovisuel public voulue par Mme Dati.Après un parcours parlementaire heurté, ce texte devrait revenir à l’automne à l’Assemblée nationale. Il a été adopté en juillet par le Sénat, où les débats ont été écourtés par le choix de la ministre d’employer l’arme constitutionnelle du vote bloqué.Contesté par les syndicats des entreprises, le projet prévoit de créer une holding, France Médias, qui chapeauterait France Télévisions, Radio France et l’Ina. M. Vallet y est favorable.Avant de diriger l’Ina, il était depuis 2002 directeur général de l’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (Ifcic), un établissement de crédit. Il est diplômé de Sciences Po, HEC et l’Ena.
Le patron de l’Ina suspendu après avoir acheté de la cocaïne
Interpellé fin juillet à Paris après s’être fait livrer de la cocaïne chez lui, le président de l’Institut national de l’audiovisuel (Ina), Laurent Vallet, a été suspendu de ses fonctions mardi par la ministre de la Culture, Rachida Dati.”Ayant pris connaissance par la presse de la mise en cause de Laurent Vallet (…) dans une affaire d’achat de stupéfiants, j’ai décidé pour la sérénité de l’institution de le suspendre immédiatement de ses fonctions en attendant de plus amples informations”, a indiqué Mme Dati sur X.Dans un communiqué transmis par l’Ina, M. Vallet a dit “prendre acte” de cette décision “pleinement respectueuse de l’institution” qu’il dirige.Selon lui, cette suspension a été prononcée “en vue de l’audience à laquelle (il est) convoqué début septembre au tribunal judiciaire de Paris pour une injonction thérapeutique”.Un peu plus tôt, une source judiciaire avait indiqué à l’AFP que M. Vallet avait été “orienté vers une injonction thérapeutique” car il s’agissait d’une première interpellation.”J’ai conscience du caractère à tous égards néfaste et condamnable de la consommation de stupéfiants. J’ai mis en place le dispositif indispensable visant à y mettre un terme définitif et me soumettrai à toute obligation que la justice estimera nécessaire”, a assuré le dirigeant.- Filature -M. Vallet a été interpellé le 29 juillet à son domicile par la police, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information de Valeurs Actuelles.Tout a débuté par une filature d’un jeune homme de 17 ans par des policiers de la BAC (brigade anticriminalité), qui l’ont suivi jusque dans la cour intérieure d’un bâtiment, a relaté à l’AFP une source policière. A sa sortie, ils l’interpellent et découvrent qu’il transporte la somme de 600 euros. Le jeune homme leur affirme être allé voir un ami.Les policiers prennent alors contact avec “l’ami”, qui est en fait le président de l’Ina. Celui-ci reconnaît avoir acheté au jeune homme de la cocaïne pour un montant de 600 euros et remet la drogue aux policiers. La cocaïne se vend généralement autour de 60 euros le gramme, au détail, en France.Laurent Vallet, 55 ans, a été reconduit en mai pour un troisième mandat de cinq ans à la tête de l’Ina, sur proposition de Mme Dati.Il occupe la présidence de cette structure publique depuis mai 2015. Il avait alors succédé à Agnès Saal, restée moins d’un an en poste. Elle avait dû démissionner à la demande de la ministre de la Culture de l’époque, Fleur Pellerin, après la révélation de frais de taxi dépassant 40.000 euros en dix mois.- Réforme de l’audiovisuel -Sous la présidence de Laurent Vallet, l’Ina s’est transformé: en plus de son rôle traditionnel d’archiver les images et sons de la télé et de la radio, l’institut est devenu un média à part entière, en exploitant ses archives.Cette stratégie s’est traduite par une politique très active sur les réseaux sociaux, la création de plusieurs émissions de télé et chaînes YouTube, et le lancement en 2020 de l’offre payante de streaming vidéo Madelen.Dans un message aux quelque 900 salariés après sa reconduction, M. Vallet avait estimé que cette dernière traduisait “la volonté d’une stabilité renforcée de la gouvernance des entreprises audiovisuelles publiques françaises”.La suspension du dirigeant est un nouvel épisode inattendu dans la saga de la réforme de l’audiovisuel public voulue par Mme Dati.Après un parcours parlementaire heurté, ce texte devrait revenir à l’automne à l’Assemblée nationale. Il a été adopté en juillet par le Sénat, où les débats ont été écourtés par le choix de la ministre d’employer l’arme constitutionnelle du vote bloqué.Contesté par les syndicats des entreprises, le projet prévoit de créer une holding, France Médias, qui chapeauterait France Télévisions, Radio France et l’Ina. M. Vallet y est favorable.Avant de diriger l’Ina, il était depuis 2002 directeur général de l’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (Ifcic), un établissement de crédit. Il est diplômé de Sciences Po, HEC et l’Ena.
Stocks rise on restrained US inflation
Stock markets rose on Tuesday as US inflation data showed a still-subdued impact from US President Donald Trump’s tariffs.That, combined with Trump extending by 90 days a trade truce with China, cheered investors.New York jumped after the US consumer price index (CPI) reading for July showed annualised inflation at 2.7 percent, unchanged from a month earlier.European markets were likewise boosted by the US inflation numbers, with all but Frankfurt rising.While the headline CPI figure was lower than expected, underlying price increases indicated that Trump’s tariffs were nevertheless starting to ripple through the US economy.Core inflation, which strips out volatile costs such as food and energy, accelerated in July to the fastest pace in six months.”Inflation from tariffs is beginning to feed into the core figure but not yet at the stage that is a major concern for markets,” said Lindsay James, investment strategist at Quilter, a wealth management firm.The dollar slipped against major currencies.Investors calculated that the CPI data was not enough to sway the US Federal Reserve away from an expected interest rate cut next month.The US central bank, which has an inflation target of two percent, also has to weigh other recent data, including signs in the labour market of slower economic growth.Trump has been pressuring Fed chief Jerome Powell to cut rates, and on Monday he renewed his attack.The US leader accused Powell of causing “incalculable” damage by keeping interest rates steady. Trump said he may allow “a major lawsuit” against Powell for his oversight of renovations of Federal Reserve buildings.Katy Stoves, investment manager at Mattioli Woods, warned however: “This gentle cooling of the economy will certainly not justify a cut of interest rates to one percent as President Donald Trump is calling for.”Oil prices were lower, after OPEC’s latest growth projections maintained estimates for 2025. The oil cartel raised its demand forecast for 2026, signalling it expected stronger global activity next year.Trump’s announcement on Monday that he would put off reimposing sky-high levies on China to November, to give more time for talks, buoyed market sentiment.Stock markets in Asia rose on the news, with Tokyo hitting a record.Investors are also awaiting a summit between Trump and Russian leader Vladimir Putin on Friday, with the US president playing down the possibility of a breakthrough in ending the war in Ukraine.In corporate news, China’s real estate giant Evergrande Group said on Tuesday it will delist from Hong Kong Stock Exchange in the wake of its 2021 default. The company is emblematic of a years-long crisis in China’s property market.- Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: UP 1.0 percent at 44,412.68 pointsNew York – S&P 500: UP 0.7 percent at 6,420.90New York – Nasdaq: UP 0.8 percent at 21,556.82London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,149.28 (close)Paris – CAC 40: UP 0.8 percent at 7,757.59 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 24,050.12 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 2.2 percent at 42,718.17 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.3 percent at 24,968.68 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,665.92 (close)Euro/dollar: UP at $1.1680 from $1.1617 on MondayPound/dollar: UP at $1.3507 from $1.3435 Dollar/yen: DOWN at 147.88 yen from 148.12 yenEuro/pound: DOWN at 86.44 pence from 86.47 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $66.57 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.3 percent at $63.75 per barrel
Stocks rise on restrained US inflation
Stock markets rose on Tuesday as US inflation data showed a still-subdued impact from US President Donald Trump’s tariffs.That, combined with Trump extending by 90 days a trade truce with China, cheered investors.New York jumped after the US consumer price index (CPI) reading for July showed annualised inflation at 2.7 percent, unchanged from a month earlier.European markets were likewise boosted by the US inflation numbers, with all but Frankfurt rising.While the headline CPI figure was lower than expected, underlying price increases indicated that Trump’s tariffs were nevertheless starting to ripple through the US economy.Core inflation, which strips out volatile costs such as food and energy, accelerated in July to the fastest pace in six months.”Inflation from tariffs is beginning to feed into the core figure but not yet at the stage that is a major concern for markets,” said Lindsay James, investment strategist at Quilter, a wealth management firm.The dollar slipped against major currencies.Investors calculated that the CPI data was not enough to sway the US Federal Reserve away from an expected interest rate cut next month.The US central bank, which has an inflation target of two percent, also has to weigh other recent data, including signs in the labour market of slower economic growth.Trump has been pressuring Fed chief Jerome Powell to cut rates, and on Monday he renewed his attack.The US leader accused Powell of causing “incalculable” damage by keeping interest rates steady. Trump said he may allow “a major lawsuit” against Powell for his oversight of renovations of Federal Reserve buildings.Katy Stoves, investment manager at Mattioli Woods, warned however: “This gentle cooling of the economy will certainly not justify a cut of interest rates to one percent as President Donald Trump is calling for.”Oil prices were lower, after OPEC’s latest growth projections maintained estimates for 2025. The oil cartel raised its demand forecast for 2026, signalling it expected stronger global activity next year.Trump’s announcement on Monday that he would put off reimposing sky-high levies on China to November, to give more time for talks, buoyed market sentiment.Stock markets in Asia rose on the news, with Tokyo hitting a record.Investors are also awaiting a summit between Trump and Russian leader Vladimir Putin on Friday, with the US president playing down the possibility of a breakthrough in ending the war in Ukraine.In corporate news, China’s real estate giant Evergrande Group said on Tuesday it will delist from Hong Kong Stock Exchange in the wake of its 2021 default. The company is emblematic of a years-long crisis in China’s property market.- Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: UP 1.0 percent at 44,412.68 pointsNew York – S&P 500: UP 0.7 percent at 6,420.90New York – Nasdaq: UP 0.8 percent at 21,556.82London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,149.28 (close)Paris – CAC 40: UP 0.8 percent at 7,757.59 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 24,050.12 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 2.2 percent at 42,718.17 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.3 percent at 24,968.68 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,665.92 (close)Euro/dollar: UP at $1.1680 from $1.1617 on MondayPound/dollar: UP at $1.3507 from $1.3435 Dollar/yen: DOWN at 147.88 yen from 148.12 yenEuro/pound: DOWN at 86.44 pence from 86.47 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $66.57 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.3 percent at $63.75 per barrel






