Trump signals relief on auto tariffs as industry awaits details

The White House said Tuesday it will soften tariffs on automakers, sparking optimism in Detroit whose car manufacturing industry has been on tenterhooks awaiting details on President Donald Trump’s fast-evolving policy.The measures, which include a guarantee that a carmaker wouldn’t face multiple tariffs on the same vehicle, are designed to prod US and foreign companies to expand or build new factories to support domestic manufacturing.Automakers have been among the hardest-hit sectors by Trump’s multi-pronged assault on free trade. The announcement of relief is being timed in parallel with a visit by the president later Tuesday to the Detroit area to celebrate his 100th day in office.”The president will sign the executive order on auto tariffs later today,” White House Press Secretary Karoline Leavitt told reporters.Analysts have warned that the myriad levies could result in higher prices, denting US car sales and threatening jobs.But Trump, who has slammed free trade deals from his first presidential campaign in 2016, has embraced tariffs as necessary to spur more auto manufacturing in the United States.But the administration determined that some relief was needed to give companies enough time to move supply chains to the country, a senior Commerce Department official said in a briefing.”You’re going to see a massive resurgence of domestic auto manufacturing,” the official said. – Grace period -Besides a 25 percent tariff on finished imported cars, the industry has also been affected by Trump’s 25 percent tariff on steel and aluminum. Automakers are also set to face new tariffs on foreign auto parts expected to take effect on May 3.Trump’s new policy includes a guarantee that a company wouldn’t face both a 25 percent levy for an imported vehicle and 25 percent on steel or aluminum; the importer would pay the higher of the two levies, but not both, a Commerce official said.The other change is that companies that import parts for vehicles assembled in the United States would be able to offset 15 percent of the vehicles list price in the first year and 10 percent in the second year. That modification is designed to give companies two years to move supply chains to the United States.Automakers told the Trump administration there would be “dramatic increases in production… as the payoff to America” from a two-year grace period, a Commerce official said.Roughly half the cars sold in the United States are assembled within the country, with another 25 percent coming from Mexico and Canada and the remainder from a broader swath of nations including Germany, Japan and South Korea.Automakers have already announced some investment decisions in light of the tariffs. But analysts have cautioned that Trump’s approach will not incentivize multi-billion-dollar investments if the industry does not believe the tariffs will last throughout Trump’s administration and beyond.General Motors said earlier this month that it plans to boost truck production at its plant in Fort Wayne, Indiana.GM is looking at other actions “we could implement quickly, efficiently and with low near-term costs,” Chief Financial Officer Paul Jacobson said Monday.Jacobson declined to comment on GM’s plans for South Korea, where it builds a number of low-cost vehicles that have become popular with US consumers focused on price. Ford CEO Jim Farley said the company “welcomes and appreciates these decisions by President Trump, which will help mitigate the impact of tariffs on automakers, suppliers and consumers,” according to a statement.”Ford sees policies that encourage exports and ensure affordable supply chains to promote more domestic growth as essential,” said Farley, who estimated that US factories could build four million more cars annually, supporting hundreds of thousands of new jobs.Nissan, Honda and Volvo have been among the foreign automakers that have announced steps to boost investment in the United States.

La loi narcotrafic définitivement approuvée, avec un large soutien du Parlement

Priorité de la politique sécuritaire du gouvernement, une proposition de loi très attendue pour lutter contre le narcotrafic a été adoptée définitivement mardi, un succès rare pour le gouvernement et le duo Gérald Darmanin-Bruno Retailleau, qui a obtenu un large soutien des députés.L’Assemblée nationale a approuvé le texte par 396 voix contre 68, seule La France insoumise votant contre, tout comme les ex-Insoumis au sein du groupe Ecologiste et social et quatre communistes. Les socialistes ont voté pour, tandis que la majorité des écologistes et des communistes se sont abstenus. Le Sénat avait approuvé à l’unanimité le texte lundi.La loi issue d’un accord entre les deux chambres est globalement assez consensuelle, malgré plusieurs mesures irritantes pour la gauche, qui s’inquiète d’atteintes excessives aux libertés publiques ou aux droits de la défense et promet de saisir le Conseil constitutionnel.Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est félicité de cette “étape décisive”, qui permettra aux autorités de lutter “à armes égales contre ceux qui empoisonnent la vie de nos concitoyens”. “Un grand pas de franchi !”, a aussi tweeté le garde des Sceaux Gérald Darmanin.Dans l’hémicycle mardi, M. Retailleau a évoqué un “texte puissant” qui a pu être voté largement malgré l’absence de majorité à l’Assemblée.Lorsqu’il dirigeait encore les sénateurs Les Républicains (LR), il avait lui-même activement participé à la mise en chantier du texte, issu d’une commission d’enquête transpartisane sur les ravages du trafic de drogue et de la criminalité organisée.- Viser le “haut du spectre” -L’aboutissement de la proposition de loi, portée par deux sénateurs de bords politiques opposés – Etienne Blanc (Les Républicains) et Jérôme Durain (Parti socialiste) -, doit beaucoup à son caractère transpartisan.Il récompense aussi la stratégie gouvernementale de “laisser la main aux parlementaires”, une volonté régulièrement assumée par le Premier ministre François Bayrou, souvent mis en difficulté lorsqu’il propose lui-même des projets de loi sur des sujets sensibles.”Unie, la France avance”, s’est réjoui le Premier ministre sur X.Mais ce succès fait aussi figure d’exception, alors que de nombreux autres dossiers patinent devant les députés, entre une réforme de l’audiovisuel public avortée, un projet de loi “simplification” de l’économie dont l’examen s’éternise, ou encore des désaccords sur les déserts médicaux et la liberté d’installation des médecins.L’adoption définitive de ce texte offre aussi un peu d’oxygène à Gérald Darmanin et surtout à Bruno Retailleau, ministre LR constamment mis au défi d’obtenir des résultats dans un gouvernement partiellement macroniste alors qu’il brigue la présidence du parti gaulliste.- Parquet spécialisé -Mesure phare – et consensuelle – de la réforme: la création en janvier 2026 d’un parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), compétent sur les dossiers les plus graves et complexes sur le modèle du parquet national antiterroriste (Pnat). Ce parquet spécialisé, chargé de coordonner les juridictions locales, serait adossé à une nouvelle ossature des services d’enquête regroupés au sein d’un futur “état-major” interministériel basé à Nanterre (Hauts-de-Seine). Dans la même logique d’une réponse spécifique au “piège du narcotrafic”, Gérald Darmanin a défendu la création de quartiers de haute sécurité dans les prisons pour les trafiquants les plus dangereux, un régime inspiré des lois antimafia italiennes et dont le premier exemple verra le jour fin juillet à Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais). Un dispositif controversé permettant la création d’un “dossier-coffre” ou “procès-verbal distinct”, pour ne pas divulguer certaines informations relatives à des techniques spéciales d’enquête aux trafiquants et à leurs avocats, va également voir le jour avec cette loi, tout comme diverses dispositions renforçant l’arsenal de lutte contre le blanchiment ou facilitant le travail des enquêteurs. Autant de mesures dénoncées par les députés LFI, qui regrettent l’option répressive privilégiée par le texte. “Vous ne réglerez rien avec cette loi sur le narcotrafic”, a fustigé Antoine Léaument, appelant plutôt à “renforcer la police judiciaire et la justice”, et préconisant la prévention et la légalisation du cannabis pour dévitaliser les trafics.Les députés LFI comme ceux des groupes PS et écologiste ont annoncé leur intention de saisir le Conseil constitutionnel. Dans un communiqué, le PS a salué une loi qui est une “première étape”, tout en continuant de fustiger le nouveau régime carcéral proposé par M. Darmanin.

La loi narcotrafic définitivement approuvée, avec un large soutien du Parlement

Priorité de la politique sécuritaire du gouvernement, une proposition de loi très attendue pour lutter contre le narcotrafic a été adoptée définitivement mardi, un succès rare pour le gouvernement et le duo Gérald Darmanin-Bruno Retailleau, qui a obtenu un large soutien des députés.L’Assemblée nationale a approuvé le texte par 396 voix contre 68, seule La France insoumise votant contre, tout comme les ex-Insoumis au sein du groupe Ecologiste et social et quatre communistes. Les socialistes ont voté pour, tandis que la majorité des écologistes et des communistes se sont abstenus. Le Sénat avait approuvé à l’unanimité le texte lundi.La loi issue d’un accord entre les deux chambres est globalement assez consensuelle, malgré plusieurs mesures irritantes pour la gauche, qui s’inquiète d’atteintes excessives aux libertés publiques ou aux droits de la défense et promet de saisir le Conseil constitutionnel.Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est félicité de cette “étape décisive”, qui permettra aux autorités de lutter “à armes égales contre ceux qui empoisonnent la vie de nos concitoyens”. “Un grand pas de franchi !”, a aussi tweeté le garde des Sceaux Gérald Darmanin.Dans l’hémicycle mardi, M. Retailleau a évoqué un “texte puissant” qui a pu être voté largement malgré l’absence de majorité à l’Assemblée.Lorsqu’il dirigeait encore les sénateurs Les Républicains (LR), il avait lui-même activement participé à la mise en chantier du texte, issu d’une commission d’enquête transpartisane sur les ravages du trafic de drogue et de la criminalité organisée.- Viser le “haut du spectre” -L’aboutissement de la proposition de loi, portée par deux sénateurs de bords politiques opposés – Etienne Blanc (Les Républicains) et Jérôme Durain (Parti socialiste) -, doit beaucoup à son caractère transpartisan.Il récompense aussi la stratégie gouvernementale de “laisser la main aux parlementaires”, une volonté régulièrement assumée par le Premier ministre François Bayrou, souvent mis en difficulté lorsqu’il propose lui-même des projets de loi sur des sujets sensibles.”Unie, la France avance”, s’est réjoui le Premier ministre sur X.Mais ce succès fait aussi figure d’exception, alors que de nombreux autres dossiers patinent devant les députés, entre une réforme de l’audiovisuel public avortée, un projet de loi “simplification” de l’économie dont l’examen s’éternise, ou encore des désaccords sur les déserts médicaux et la liberté d’installation des médecins.L’adoption définitive de ce texte offre aussi un peu d’oxygène à Gérald Darmanin et surtout à Bruno Retailleau, ministre LR constamment mis au défi d’obtenir des résultats dans un gouvernement partiellement macroniste alors qu’il brigue la présidence du parti gaulliste.- Parquet spécialisé -Mesure phare – et consensuelle – de la réforme: la création en janvier 2026 d’un parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), compétent sur les dossiers les plus graves et complexes sur le modèle du parquet national antiterroriste (Pnat). Ce parquet spécialisé, chargé de coordonner les juridictions locales, serait adossé à une nouvelle ossature des services d’enquête regroupés au sein d’un futur “état-major” interministériel basé à Nanterre (Hauts-de-Seine). Dans la même logique d’une réponse spécifique au “piège du narcotrafic”, Gérald Darmanin a défendu la création de quartiers de haute sécurité dans les prisons pour les trafiquants les plus dangereux, un régime inspiré des lois antimafia italiennes et dont le premier exemple verra le jour fin juillet à Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais). Un dispositif controversé permettant la création d’un “dossier-coffre” ou “procès-verbal distinct”, pour ne pas divulguer certaines informations relatives à des techniques spéciales d’enquête aux trafiquants et à leurs avocats, va également voir le jour avec cette loi, tout comme diverses dispositions renforçant l’arsenal de lutte contre le blanchiment ou facilitant le travail des enquêteurs. Autant de mesures dénoncées par les députés LFI, qui regrettent l’option répressive privilégiée par le texte. “Vous ne réglerez rien avec cette loi sur le narcotrafic”, a fustigé Antoine Léaument, appelant plutôt à “renforcer la police judiciaire et la justice”, et préconisant la prévention et la légalisation du cannabis pour dévitaliser les trafics.Les députés LFI comme ceux des groupes PS et écologiste ont annoncé leur intention de saisir le Conseil constitutionnel. Dans un communiqué, le PS a salué une loi qui est une “première étape”, tout en continuant de fustiger le nouveau régime carcéral proposé par M. Darmanin.

La loi narcotrafic définitivement approuvée, avec un large soutien du Parlement

Priorité de la politique sécuritaire du gouvernement, une proposition de loi très attendue pour lutter contre le narcotrafic a été adoptée définitivement mardi, un succès rare pour le gouvernement et le duo Gérald Darmanin-Bruno Retailleau, qui a obtenu un large soutien des députés.L’Assemblée nationale a approuvé le texte par 396 voix contre 68, seule La France insoumise votant contre, tout comme les ex-Insoumis au sein du groupe Ecologiste et social et quatre communistes. Les socialistes ont voté pour, tandis que la majorité des écologistes et des communistes se sont abstenus. Le Sénat avait approuvé à l’unanimité le texte lundi.La loi issue d’un accord entre les deux chambres est globalement assez consensuelle, malgré plusieurs mesures irritantes pour la gauche, qui s’inquiète d’atteintes excessives aux libertés publiques ou aux droits de la défense et promet de saisir le Conseil constitutionnel.Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est félicité de cette “étape décisive”, qui permettra aux autorités de lutter “à armes égales contre ceux qui empoisonnent la vie de nos concitoyens”. “Un grand pas de franchi !”, a aussi tweeté le garde des Sceaux Gérald Darmanin.Dans l’hémicycle mardi, M. Retailleau a évoqué un “texte puissant” qui a pu être voté largement malgré l’absence de majorité à l’Assemblée.Lorsqu’il dirigeait encore les sénateurs Les Républicains (LR), il avait lui-même activement participé à la mise en chantier du texte, issu d’une commission d’enquête transpartisane sur les ravages du trafic de drogue et de la criminalité organisée.- Viser le “haut du spectre” -L’aboutissement de la proposition de loi, portée par deux sénateurs de bords politiques opposés – Etienne Blanc (Les Républicains) et Jérôme Durain (Parti socialiste) -, doit beaucoup à son caractère transpartisan.Il récompense aussi la stratégie gouvernementale de “laisser la main aux parlementaires”, une volonté régulièrement assumée par le Premier ministre François Bayrou, souvent mis en difficulté lorsqu’il propose lui-même des projets de loi sur des sujets sensibles.”Unie, la France avance”, s’est réjoui le Premier ministre sur X.Mais ce succès fait aussi figure d’exception, alors que de nombreux autres dossiers patinent devant les députés, entre une réforme de l’audiovisuel public avortée, un projet de loi “simplification” de l’économie dont l’examen s’éternise, ou encore des désaccords sur les déserts médicaux et la liberté d’installation des médecins.L’adoption définitive de ce texte offre aussi un peu d’oxygène à Gérald Darmanin et surtout à Bruno Retailleau, ministre LR constamment mis au défi d’obtenir des résultats dans un gouvernement partiellement macroniste alors qu’il brigue la présidence du parti gaulliste.- Parquet spécialisé -Mesure phare – et consensuelle – de la réforme: la création en janvier 2026 d’un parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), compétent sur les dossiers les plus graves et complexes sur le modèle du parquet national antiterroriste (Pnat). Ce parquet spécialisé, chargé de coordonner les juridictions locales, serait adossé à une nouvelle ossature des services d’enquête regroupés au sein d’un futur “état-major” interministériel basé à Nanterre (Hauts-de-Seine). Dans la même logique d’une réponse spécifique au “piège du narcotrafic”, Gérald Darmanin a défendu la création de quartiers de haute sécurité dans les prisons pour les trafiquants les plus dangereux, un régime inspiré des lois antimafia italiennes et dont le premier exemple verra le jour fin juillet à Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais). Un dispositif controversé permettant la création d’un “dossier-coffre” ou “procès-verbal distinct”, pour ne pas divulguer certaines informations relatives à des techniques spéciales d’enquête aux trafiquants et à leurs avocats, va également voir le jour avec cette loi, tout comme diverses dispositions renforçant l’arsenal de lutte contre le blanchiment ou facilitant le travail des enquêteurs. Autant de mesures dénoncées par les députés LFI, qui regrettent l’option répressive privilégiée par le texte. “Vous ne réglerez rien avec cette loi sur le narcotrafic”, a fustigé Antoine Léaument, appelant plutôt à “renforcer la police judiciaire et la justice”, et préconisant la prévention et la légalisation du cannabis pour dévitaliser les trafics.Les députés LFI comme ceux des groupes PS et écologiste ont annoncé leur intention de saisir le Conseil constitutionnel. Dans un communiqué, le PS a salué une loi qui est une “première étape”, tout en continuant de fustiger le nouveau régime carcéral proposé par M. Darmanin.

Narine leads from the front as Kolkata trump Delhi in IPL

West Indies’ Sunil Narine put in a fine all-round performance to keep holders Kolkata Knight Riders alive in the IPL with a tense 14-run win over Delhi Capitals on Tuesday.Narine smashed 27 off 16 balls in Kolkata’s 204-9 and then returned figures of 3-29 with his mystery spin to restrict the opposition to 190-9 at Delhi’s Feroz Shah Kotla ground.Delhi’s South African star Faf du Plessis top-scored with 62 off 45 balls, but his knock was in vain as the hosts regularly lost wickets.Delhi are fourth in the 10-team table. Kolkata, who won their third title last year, stay seventh with four wins and five defeats.The top four teams at the end of the league phase will move into the play-offs of the popular and lucrative T20 tournament.Du Plessis hit back for Delhi after Abishek Porel’s early departure, but Kolkata had the opposition in trouble at 60-3 when KL Rahul was run out off a direct hit by Narine.Du Plessis, who returned to the team in the previous match after missing four games due to injury, raised his fifty in 31 balls and put on 76 runs with skipper Axar Patel, who hit a quickfire 43.Narine broke the stand to get Axar back in the dugout and five balls later bowled Tristan Stubbs for one to tilt the game in KKR’s favour.He then got the prized wicket of Du Plessis in his final over to dim Delhi’s hopes, but Vipraj Nigam smashed 38 off 19 balls to keep the chase alive until the last over when he fell to Andre Russell.Earlier, Narine and fellow opener Rahmanullah Gurbaz set it up for Kolkata in their brisk stand of 48 from 18 balls.Narine got off the mark with a first-ball six off Sri Lankan pace bowler Dushmantha Chameera and along with Gurbaz got 25 runs from the second over.Starc got Afghanistan’s Gurbaz caught behind for 26.Delhi struck back when leg-spinner Nigam trapped Narine lbw in his first over and Axar had skipper Ajinkya Rahane, who made a 14-ball 26, lbw with his left-arm spin.Angkrish Raghuvanshi, a 20-year-old up and coming batter who made 44, stood firm and, with Rinku Singh, added 61 runs.Chameera denied Raghuvanshi his fifty and Nigam cut short Rinku’s knock on 36 in the next over.Russell, who turned 37 on Tuesday, took the team past 200 with a six off Mitchell Starc, who roared back with two wickets in two balls in the 20th over but the hat-trick was avoided.Australia’s left-arm quick Starc trapped Rovman Powell lbw and then dismissed Anukul Roy for a duck with Chameera taking a stunner in the deep as he dived full length to take the catch.

Amazon says never planned to show tariff costs, after White House backlash

Retail giant Amazon insisted Tuesday it had never approved a proposal — slammed by the White House — to show consumers how much US tariffs add to each price tag.”The team that runs our ultra low cost Amazon Haul store considered the idea of listing import charges on certain products. This was never approved and is not going to happen,” said Amazon spokesperson Tim Doyle.Earlier Tuesday, Punchbowl News reported that the e-commerce site would show “how much Trump’s tariffs are adding to the price of each product,” citing a person familiar with the matter.According to CNN and the Wall Street Journal, citing several sources, Trump called Bezos to raise concerns after being told about the report.White House Press Secretary Karoline Leavitt called the reported plan “a hostile and political act by Amazon.” “Why didn’t Amazon do this when the Biden administration hiked inflation to the highest level in 40 years?” she added during a briefing in Washington.Saying he would take Amazon’s statement at “face value,” top Trump advisor Stephen Miller, told Fox News that Amazon customers “complain all the time they can’t see where products are coming from and where they’re made.””A lot of American consumers want to buy products from America,” he added.After taking office in January, Trump slapped a 10 percent baseline tariff on most countries, along with higher levies on dozens of countries — only to then pause the elevated rates for 90 days to allow for trade talks. The White House has also imposed steep duties on China, and additional sector-specific measures — leading Beijing to impose its own retaliatory tariffs on US goods.Trump’s tariffs already starting to have an impact on businesses in the United States. Package delivery giant UPS said Tuesday it plans to cut 20,000 positions worldwide in 2025 following a significant drop in business for Amazon, its largest customer.UPS Chief Executive Carol Tome said the firm, which had around 490,000 employees at the end of 2024, was reacting to a “changing trade environment.”