Asian stocks rise on trade deal hopes, Tokyo hit by Trump warning

Asian stocks rose Tuesday amid optimism countries will strike US trade deals, but Tokyo’s Nikkei sank after Donald Trump threatened to impose a fresh tariff rate on Japan as he hit out at Japan over rice and autos.The dollar fell again as investors grow increasingly confident the Federal Reserve will cut rates at least twice this year, with keen interest in US jobs data due this week.Investors are also keeping an eye on the progress of the US president’s signature multi-trillion-dollar tax-cutting bill, which is being debated in the Senate.While few trade agreements have been reached as the White House’s July 9 deadline approaches, equity markets are enjoying a healthy run-up on expectations that breakthroughs will be made or the timeline will be pushed back.Comments from Trump and some of his top officials suggesting there could be some wiggle room have added to the positive mood, with National Economic Council director Kevin Hassett telling CNBC a “double digit” number of pacts, including frameworks, were near.News that Canada had rescinded a tax affecting US tech firms, which had prompted Trump to halt trade talks, and restarted negotiations fuelled optimism that other governments would make deals.All three main indexes on Wall Street rose again Monday, with the S&P 500 and Nasdaq each pushing to another record high, providing a springboard for Asia.Shanghai, Singapore, Seoul and Taipei led healthy gains across the region, while London, Paris and Frankfurt opened on the front foot.However, Tokyo, which has enjoyed a strong run in recent weeks, sank more than one percent after Trump threatened to impose a fresh levy on Japan over a row about the country accepting US rice exports.”I have great respect for Japan, they won’t take our RICE, and yet they have a massive rice shortage,” Trump wrote on his Truth Social platform. “In other words, we’ll just be sending them a letter, and we love having them as a Trading Partner for many years to come,” he added.Japan has seen rice prices double over the past year owing to supply issues caused by various factors, piling pressure on Prime Minister Shigeru Ishiba ahead of key elections this month.Trump’s outburst over the grain came after he had hit out at what he considered an unfair balance in the trade in cars between the two countries, and floated the idea of keeping 25 percent tariffs on autos in place.”Trump has been shaking things up by expressing dissatisfaction with issues such as automobiles and rice, signaling a stall in trade negotiations with Japan,” Hideyuki Ishiguro, at Nomura Asset Management, said.”If the negotiations with Japan were to be unilaterally terminated or break down, it could undermine the assumptions behind investing in Japanese stocks.”The Nikkei was also hit by a stronger yen as expectations for a series of Fed rate cuts weigh on the dollar.The greenback has been hammered by speculation Trump will install someone willing to reduce rates quickly when central bank boss Jerome Powell leaves his post next year.The prospect of lower borrowing costs has pushed the Dollar Index, which compares the greenback to a basket of major currencies, to its lowest level since February 2022. While most observers see the Fed moving in September or October, non-farm payrolls figures due Friday will be keenly watched, with a soft reading likely to boost the chances of an earlier cut.Gold prices rose more than one percent to sit around $3,330 as the cheaper dollar and prospect of lower rates make the commodity more attractive to investors.Senators continue to debate Trump’s so-called “Big Beautiful Bill”, with its passage on a knife’s edge owing to wavering Republicans amid warnings it will add more than $3 trillion to deficits.The president has called for lawmakers to get the mega-bill, which extends tax cuts and slashes spending on key entitlements, to his desk by July 4.- Key figures at around 0715 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.2 percent at 39,986.33 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,457.75 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 8,782.85Hong Kong – Hang Seng Index: Closed for holiday Euro/dollar: UP at $1.1788 from $1.1785 on MondayPound/dollar: UP at $1.3734 from $1.3732Dollar/yen: DOWN at 143.70 yen from 143.98 yenEuro/pound: DOWN at 85.70 pence from 85.82 penceWest Texas Intermediate: UP 0.2 percent at $65.25 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.3 percent at $66.92 per barrelNew York – Dow: UP 0.6 percent at 44,094.77 (close) 

Les Bourses européennes ouvrent sans entrain

Les Bourses européennes ont ouvert prudemment mardi, attentives à l’évolution des négociations commerciales entre les États-Unis et leurs partenaires, avant la date fatidique du 9 juillet.Vers 7H02 GMT, quelques instants après le début de la séance, Paris prenait 0,11%, Francfort 0,26% et Londres 0,25%. Milan cédait 0,24%.

Raw wounds and laughter as Rwanda genocide play taken to villagesTue, 01 Jul 2025 07:01:17 GMT

In a hilltop village in Rwanda, residents watch intently as a small troupe of actors perform a play adapted from a best-selling French novel — written far away but echoing a story that is painfully close to home.”Small Country” tells the story of Gaby, whose carefree childhood is torn apart by civil war in Burundi …

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Thaïlande: la justice suspend la Première ministre

La Cour constitutionnelle a suspendu mardi la Première ministre Paetongtarn Shinawatra, l’héritière de la dynastie qui polarise la Thaïlande depuis plus de vingt ans, ouvrant une nouvelle période d’incertitudes.Les juges ont décidé à une majorité de sept contre deux de suspendre la cheffe du gouvernement, accusée par des sénateurs conservateurs d’avoir enfreint les “standards éthiques” mentionnés dans la Constitution, dans sa gestion des tensions à la frontière avec le Cambodge.L’avenir de la plus jeune Première ministre qu’ait connue le royaume, aujourd’hui âgée de 38 ans, s’inscrit en pointillés le temps des délibérations de la Cour, qui peuvent durer des semaines, voire des mois.Ces prochaines semaines, les Shinawatra vont jouer leur survie politique devant les juges qui, par le passé, ont condamné ses membres les plus influents, et dissous leurs partis affiliés — d’autant qu’au même moment, s’est ouvert le procès du chef du clan, Thaksin, accusé de lèse-majesté.Depuis les années 2000, des troubles politiques à répétition secouent la deuxième économie d’Asie du Sud-Est, mais l’épisode à venir s’inscrit dans un paysage mondial en recomposition, lié à l’offensive douanière américaine, qui a placé le gouvernement dos au mur.- Tensions avec le Cambodge -A chaque cycle revient le même nom: Shinawatra, la richissime famille honnie par l’establishment conservateur, qui accuse ses membres de corruption et d’attiser les tensions dans un royaume proclamé indivisible derrière le roi.De leur opposition, ont découlé deux coups d’Etat, en 2006 et 2014; des manifestations géantes, certaines réprimées dans le sang; ainsi qu’une cascade de poursuites judiciaires.Troisième Shinawatra à occuper le poste de Premier ministre, après son père et sa tante Yingluck, Paetongtarn subit la crise la plus sévère depuis sa prise de fonctions, que ses rivaux ont mis sur le compte de son inexpérience et de son manque de poigne.La polémique enfle depuis un appel téléphonique avec l’ancien dirigeant cambodgien Hun Sen, que celui-ci a partagé en ligne à l’insu de sa cadette, censé faire retomber les tensions à la frontière. Un parti clé de sa coalition a claqué la porte, en l’accusant d’avoir manqué de respect à l’armée durant sa conversation privée — elle a notamment comparé un général chargé de surveiller la frontière à un “opposant”.Malgré ses excuses, une trentaine de sénateurs ont déposé une plainte auprès de la Cour constitutionnelle, en estimant qu’elle a enfreint les “standards éthiques” exigés dans la Constitution pour occuper son rôle.L’an dernier, pour un cas similaire, les délibérations ont pris environ trois mois, jusqu’à ce que la Cour décide de destituer le Premier ministre d’alors, Srettha Thavisin, en vertu du même article sur l’intégrité des ministres.- Lèse-majesté -Mardi matin, le roi a validé le remaniement attendu, dans lequel Paetongtarn doit occuper le poste de ministre de la Culture, mais désormais, sa présence semble compromise.Le même jour s’est ouvert le procès de lèse-majesté contre Thaksin, en présence de l’intéressé.L’analyste politique thaïlandais Thitinan Pongsudhirak a déclaré à l’AFP qu’il existait un lien direct et indéniable entre les deux affaires, la marque de la famille Shinawatra étant confrontée à une “dilution critiqu”.Thaksin, 75 ans, est accusé d’avoir insulté le roi et sa famille dans un entretien publié dans un journal sud-coréen en 2015, quelques mois après le putsch ayant visé sa sœur Yingluck.Les auditions de son procès sont programmées tout le long du mois de juillet. Le magnat des télécoms nie avoir tenu des propos diffamatoires.”Je ne peux pas parler pour lui sur son état d’esprit, mais je pense qu’il est détendu”, a déclaré à l’AFP son avocat Winyat Chatmontri.La justice a l’habitude d’avoir la main lourde pour faire respecter la loi sur la lèse-majesté, l’une des plus sévères au monde.Des groupes de juristes et des militants des droits humains ont régulièrement critiqué l’instrumentalisation de cette loi pour bâillonner les voix critiques de la monarchie et de ses alliés.Devant le tribunal, une dizaine de “rouges” — les pro-Thaksin, par opposition aux “jaunes” partisans de la monarchie — sont venus apporter leur soutien. “Je suis venue pour les injustices qu’il a affrontées pendant tellement d’années”, explique Wanlee Iamcharat, une physiothérapeute à la retraite de 79 ans.

Thaïlande: la justice suspend la Première ministre

La Cour constitutionnelle a suspendu mardi la Première ministre Paetongtarn Shinawatra, l’héritière de la dynastie qui polarise la Thaïlande depuis plus de vingt ans, ouvrant une nouvelle période d’incertitudes.Les juges ont décidé à une majorité de sept contre deux de suspendre la cheffe du gouvernement, accusée par des sénateurs conservateurs d’avoir enfreint les “standards éthiques” mentionnés dans la Constitution, dans sa gestion des tensions à la frontière avec le Cambodge.L’avenir de la plus jeune Première ministre qu’ait connue le royaume, aujourd’hui âgée de 38 ans, s’inscrit en pointillés le temps des délibérations de la Cour, qui peuvent durer des semaines, voire des mois.Ces prochaines semaines, les Shinawatra vont jouer leur survie politique devant les juges qui, par le passé, ont condamné ses membres les plus influents, et dissous leurs partis affiliés — d’autant qu’au même moment, s’est ouvert le procès du chef du clan, Thaksin, accusé de lèse-majesté.Depuis les années 2000, des troubles politiques à répétition secouent la deuxième économie d’Asie du Sud-Est, mais l’épisode à venir s’inscrit dans un paysage mondial en recomposition, lié à l’offensive douanière américaine, qui a placé le gouvernement dos au mur.- Tensions avec le Cambodge -A chaque cycle revient le même nom: Shinawatra, la richissime famille honnie par l’establishment conservateur, qui accuse ses membres de corruption et d’attiser les tensions dans un royaume proclamé indivisible derrière le roi.De leur opposition, ont découlé deux coups d’Etat, en 2006 et 2014; des manifestations géantes, certaines réprimées dans le sang; ainsi qu’une cascade de poursuites judiciaires.Troisième Shinawatra à occuper le poste de Premier ministre, après son père et sa tante Yingluck, Paetongtarn subit la crise la plus sévère depuis sa prise de fonctions, que ses rivaux ont mis sur le compte de son inexpérience et de son manque de poigne.La polémique enfle depuis un appel téléphonique avec l’ancien dirigeant cambodgien Hun Sen, que celui-ci a partagé en ligne à l’insu de sa cadette, censé faire retomber les tensions à la frontière. Un parti clé de sa coalition a claqué la porte, en l’accusant d’avoir manqué de respect à l’armée durant sa conversation privée — elle a notamment comparé un général chargé de surveiller la frontière à un “opposant”.Malgré ses excuses, une trentaine de sénateurs ont déposé une plainte auprès de la Cour constitutionnelle, en estimant qu’elle a enfreint les “standards éthiques” exigés dans la Constitution pour occuper son rôle.L’an dernier, pour un cas similaire, les délibérations ont pris environ trois mois, jusqu’à ce que la Cour décide de destituer le Premier ministre d’alors, Srettha Thavisin, en vertu du même article sur l’intégrité des ministres.- Lèse-majesté -Mardi matin, le roi a validé le remaniement attendu, dans lequel Paetongtarn doit occuper le poste de ministre de la Culture, mais désormais, sa présence semble compromise.Le même jour s’est ouvert le procès de lèse-majesté contre Thaksin, en présence de l’intéressé.L’analyste politique thaïlandais Thitinan Pongsudhirak a déclaré à l’AFP qu’il existait un lien direct et indéniable entre les deux affaires, la marque de la famille Shinawatra étant confrontée à une “dilution critiqu”.Thaksin, 75 ans, est accusé d’avoir insulté le roi et sa famille dans un entretien publié dans un journal sud-coréen en 2015, quelques mois après le putsch ayant visé sa sœur Yingluck.Les auditions de son procès sont programmées tout le long du mois de juillet. Le magnat des télécoms nie avoir tenu des propos diffamatoires.”Je ne peux pas parler pour lui sur son état d’esprit, mais je pense qu’il est détendu”, a déclaré à l’AFP son avocat Winyat Chatmontri.La justice a l’habitude d’avoir la main lourde pour faire respecter la loi sur la lèse-majesté, l’une des plus sévères au monde.Des groupes de juristes et des militants des droits humains ont régulièrement critiqué l’instrumentalisation de cette loi pour bâillonner les voix critiques de la monarchie et de ses alliés.Devant le tribunal, une dizaine de “rouges” — les pro-Thaksin, par opposition aux “jaunes” partisans de la monarchie — sont venus apporter leur soutien. “Je suis venue pour les injustices qu’il a affrontées pendant tellement d’années”, explique Wanlee Iamcharat, une physiothérapeute à la retraite de 79 ans.

Algeria court to rule on bid to double writer’s jail term

An Algerian court is expected to deliver a verdict Tuesday on prosecutors’ bid to double the jail term of a dual-national author whose conviction has strained ties with France.Boualem Sansal, 80, was first sentenced to five years behind bars on March 27 on charges related to undermining Algeria’s territorial integrity over comments made to a French media outlet.The prosecutor general appealed last month and is seeking a 10-year prison sentence.A prize-winning figure in North African modern francophone literature, Sansal is known for his criticism of Algerian authorities as well as of Islamists.The case against him arose after he told the far-right outlet Frontieres that France had unjustly transferred Moroccan territory to Algeria during the colonial period from 1830 to 1962 — a claim Algeria views as a challenge to its sovereignty and that aligns with longstanding Moroccan territorial assertions.Sansal was detained in November 2024 upon arrival at Algiers airport. On March 27, a court in Dar El Beida sentenced him to a five-year prison term and fined him 500,000 Algerian dinars ($3,730).Appearing in court without legal counsel on June 24, Sansal said the case against him “makes no sense” as “the Algerian constitution guarantees freedom of expression and conscience”.He defended his remarks by citing the African Union’s post-independence declaration that colonial borders should remain inviolable.When questioned about his writings, Sansal asked: “Are we holding a trial over literature? Where are we headed?”- Diplomatic rift -His family has expressed fears prison could jeopardise his health, noting he is receiving treatment for prostate cancer.French President Emmanuel Macron has appealed to his Algerian counterpart Abdelmadjid Tebboune to show “mercy and humanity” toward Sansal.Authorities in the North African country maintain that due process is being respected.The writer’s conviction further strained already tense France-Algeria relations, which have been complicated by issues such as migration and Macron’s recent recognition of Moroccan sovereignty over Western Sahara, a disputed territory claimed by the Algeria-backed Polisario Front.Last month, the French National Assembly passed a resolution calling for Sansal’s immediate release and linking future EU-Algeria cooperation to respect for human rights.While his case has become a cause celebre in France, among Algerians his past support for Israel has made him unpopular with a large segment of the population who back the Palestinian cause.Sansal faces charges including “undermining national unity”, “insulting state institutions”, “harming the national economy”, and “possessing media and publications threatening the country’s security and stability”.Sansal’s daughters, Nawel and Sabeha, told AFP in May they felt “a sense of total helplessness” over their father’s imprisonment “simply for expressing an opinion”.Some of the author’s relatives have expressed hope that he will be pardoned on July 5, the 63rd anniversary of Algeria’s independence.”Enough is enough. The Algerian authorities must now understand that France defends its citizens,” said the president of Sansal’s support committee, Noelle Lenoir, in an interview Tuesday.”We are outraged by the attitude of the Algerian government, which has nothing to gain — neither at the European level nor in its relations with France.”