La Bourse de Paris prudente face aux discussions commerciales entre les Etats-Unis et leurs partenaires

La Bourse de Paris a fini en légère baisse lundi, attentives aux évolutions des négociations commerciales entre les États-Unis et leurs partenaires, avant la date fatidique du 9 juillet, fixée par Donald Trump.Le CAC 40 a cédé 0,33% à 7.665,91 points, reculant de 25,64 points.”Les négociations commerciales restent au centre de l’attention à l’approche de la date limite du 9 juillet”, à partir de laquelle des droits de douane plus élevés aux États-Unis devraient entrer en vigueur, souligne Neil Wilson, analyste de Saxo Markets.”Il y a une inquiétude quant à ce qui va attendre les pays qui n’auront pas signé d’accord. Y aura-t-il un délai supplémentaire, ou seront-ils frappés de plein fouet par de nouveaux droits de douane?”, s’interroge Pierre-Alexis Dumont, directeur des investissements chez Sycomore.Côté obligataire, l’emprunt à dix ans français a atteint 3,28%, contre 3,26% la veille en clôture. Son équivalent allemand, référence en Europe, a atteint 2,60%.Chassé croisé entre Wall Street et l’EuropeDepuis l’arrivée de Donald Trump au pouvoir aux Etats-Unis, la plupart des indices boursiers européens ont davantage grimpé que les américains, une situation inédite depuis plusieurs années, tant la force d’attraction de Wall Street est d’ordinaire puissante. Les incertitudes liés aux revirements du président américain sur sa politique commerciale, et la crainte de l’impact des droits de douane sur la croissance et l’inflation aux États-Unis, ont poussé les investisseurs à placer une partie de leur argent ailleurs.D’autant que le continent bénéficie de meilleures perspectives de croissance, grâce aux baisses des taux menées par la Banque centrale européenne, et aux projets de dépense d’investissements publics dans la défense et les infrastructures, en Allemagne notamment.Toutefois, la dynamique s’est retournée au cours du mois de juin.Si les autres indices européens bénéficient toujours d’une meilleure performance sur les six premiers mois de l’année, le CAC 40 (+3,86%) fait, lui, désormais moins bien que l’indice américain S&P 500, qui grimpe de 5%.”Les investisseurs reviennent vers la thématique de l’IA, porteuse de croissance aux Etats-Unis”, commente Pierre-Alexis Dumont, directeur des investissements chez Sycomore. “Quant aux plans d’investissement en Europe, on a salué les annonces, mais on attend désormais leur exécution”, ajoute-t-il.Carmat suspenduLe fabricant français d’un cœur artificiel temporaire destiné à des malades souffrant d’insuffisance cardiaque sévère a annoncé lundi être en cessation des paiements et demander l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire. L’entreprise a aussi annoncé demander “la suspension de son cours de Bourse à partir du 30 juin 2025”, selon un communiqué.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

L’incendie dans l’Aude sous contrôle

L’incendie ayant détruit environ 400 hectares de végétation dans l’Aude, déclenché dimanche par un brasero mal éteint, était sous contrôle lundi en fin de journée, après quelques reprises désormais maîtrisées, selon les pompiers. “On a quelques reprises qui sont traitées actuellement et ça va être ça pendant quelques jours, avec cette sécheresse, ça redémarre assez rapidement”, a dit à l’AFP le colonel Christophe Magny, qui commande les 200 pompiers encore mobilisés lundi en fin de journée sur la commune de Bizanet (Aude), près de Narbonne.”On a eu quatre reprises, dont une seule un peu inquiétante, mais elles sont toutes maîtrisées”, a-t-il ajouté.”L’avant du feu est stoppé mais il y a toujours des foyers actifs, on savait que cet après-midi, on allait avoir des vents qui allaient se réveiller (…) du coup, on a des foyers qui se réactivent”, avait-t-il détaillé plus tôt.- Canicule, vent -Dans la matinée, tout en assurant que les incendies étaient fixés, la préfecture avait prévenu que la vigilance restait de mise en raison de craintes liées à une météo favorable au feu: canicule, taux d’humidité en baisse et vent.Lundi matin, les pompiers, soutenus par des avions bombardiers d’eau, s’étaient appliqués à “noyer le feu” qu’ils étaient parvenus à fixer dans la nuit alors qu’il avait déjà détruit environ 400 hectares de végétation.L’autoroute A61 entre Toulouse et la Méditerranée, coupée dimanche entre Lézignan et Narbonne en raison de la virulence des flammes, a été rouverte à la circulation lundi matin. Environ 30 personnes ont été évacués dimanche d’un camping à Bizanet, endommagé par le feu, de même que 60 habitants d’un lotissement.- Barbecue mal éteint -Dans le camping, l’incendie a détruit “sept bungalows”, “deux hébergements insolites”, “trois installations techniques” et “un fourgon”, tandis qu’une “maison située à proximité a également été touchée par les flammes”, a précisé la préfecture.La directrice de cabinet du préfet a salué “le bel élan de solidarité” dont ont fait preuve les habitants de Bizanet pour se soutenir mutuellement.Plus de 600 pompiers ont été mobilisés “au plus fort de l’incendie”, a souligné le SDIS, précisant que neuf sapeurs-pompiers ont été légèrement blessés, victimes de coups de chaud, des fumées et pour l’un d’entre eux d’une chute.Le feu est parti “d’un barbecue, qui était transporté sur l’autoroute, derrière un véhicule, sur une remorque”, a informé dimanche le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau.Un suspect a été interpellé et placé en garde à vue pour “destruction involontaire par incendie de bois et forêt”, a précisé à l’AFP le procureur de la République de Narbonne, Eric Camous. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un commerçant qui, au retour d’un marché, ne s’est pas rendu compte que son brasero n’était pas éteint.

L’incendie dans l’Aude sous contrôle

L’incendie ayant détruit environ 400 hectares de végétation dans l’Aude, déclenché dimanche par un brasero mal éteint, était sous contrôle lundi en fin de journée, après quelques reprises désormais maîtrisées, selon les pompiers. “On a quelques reprises qui sont traitées actuellement et ça va être ça pendant quelques jours, avec cette sécheresse, ça redémarre assez rapidement”, a dit à l’AFP le colonel Christophe Magny, qui commande les 200 pompiers encore mobilisés lundi en fin de journée sur la commune de Bizanet (Aude), près de Narbonne.”On a eu quatre reprises, dont une seule un peu inquiétante, mais elles sont toutes maîtrisées”, a-t-il ajouté.”L’avant du feu est stoppé mais il y a toujours des foyers actifs, on savait que cet après-midi, on allait avoir des vents qui allaient se réveiller (…) du coup, on a des foyers qui se réactivent”, avait-t-il détaillé plus tôt.- Canicule, vent -Dans la matinée, tout en assurant que les incendies étaient fixés, la préfecture avait prévenu que la vigilance restait de mise en raison de craintes liées à une météo favorable au feu: canicule, taux d’humidité en baisse et vent.Lundi matin, les pompiers, soutenus par des avions bombardiers d’eau, s’étaient appliqués à “noyer le feu” qu’ils étaient parvenus à fixer dans la nuit alors qu’il avait déjà détruit environ 400 hectares de végétation.L’autoroute A61 entre Toulouse et la Méditerranée, coupée dimanche entre Lézignan et Narbonne en raison de la virulence des flammes, a été rouverte à la circulation lundi matin. Environ 30 personnes ont été évacués dimanche d’un camping à Bizanet, endommagé par le feu, de même que 60 habitants d’un lotissement.- Barbecue mal éteint -Dans le camping, l’incendie a détruit “sept bungalows”, “deux hébergements insolites”, “trois installations techniques” et “un fourgon”, tandis qu’une “maison située à proximité a également été touchée par les flammes”, a précisé la préfecture.La directrice de cabinet du préfet a salué “le bel élan de solidarité” dont ont fait preuve les habitants de Bizanet pour se soutenir mutuellement.Plus de 600 pompiers ont été mobilisés “au plus fort de l’incendie”, a souligné le SDIS, précisant que neuf sapeurs-pompiers ont été légèrement blessés, victimes de coups de chaud, des fumées et pour l’un d’entre eux d’une chute.Le feu est parti “d’un barbecue, qui était transporté sur l’autoroute, derrière un véhicule, sur une remorque”, a informé dimanche le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau.Un suspect a été interpellé et placé en garde à vue pour “destruction involontaire par incendie de bois et forêt”, a précisé à l’AFP le procureur de la République de Narbonne, Eric Camous. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un commerçant qui, au retour d’un marché, ne s’est pas rendu compte que son brasero n’était pas éteint.

Jury considers verdict in Sean Combs sex trafficking trial

Jurors on Monday started deliberating on whether Sean “Diddy” Combs used his celebrity, wealth and business empire to set up a decades-long criminal ring that allegedly saw him force women into drug-fueled sexual performances with escorts.After the judge completed his instructions, the jury in New York began the task of weighing evidence from phone and financial records, and 34 people who testified against Combs over the past seven weeks.Combs, 55, faces life in prison if convicted on five federal charges that include racketeering, sex trafficking and transportation for purposes of prostitution.The producer and entrepreneur, once one of the most powerful people in the music industry, denies the charges.On Friday, his lawyer vied to skewer the credibility of his accusers — namely two women he dated for years — saying they were out for money, while rejecting any notion that the musician led a criminal ring.But in their final argument, prosecutors tore into the defense, saying Combs’s team had “contorted the facts endlessly.”Prosecutor Maurene Comey told jurors that by the time Combs had committed his clearest-cut offenses, “he was so far past the line he couldn’t even see it.””In his mind he was untouchable,” she told the court. “The defendant never thought that the women he abused would have the courage to speak out loud what he had done to them.””That ends in this courtroom,” she said. “The defendant is not a god.”Defense attorney Marc Agnifilo scoffed at the picture painted by prosecutors of a violent, domineering man who fostered “a climate of fear.”Combs is a “self-made, successful Black entrepreneur” who had romantic relationships that were “complicated” but consensual, Agnifilo said.- Manipulation -The defense has conceded that Combs at times beat his partners — but insisted the domestic violence does not amount to the sex trafficking or racketeering he is charged with.Key to the prosecution’s case were witnesses Casandra Ventura and a woman who testified under the pseudonym Jane, both of whom described abuse, threats and coercive sex in wrenching detail.In their closing arguments the defense dissected their accounts and at times even mocked them, insisting the women were adults making choices that were best for them.Prosecutor Comey snapped back at that notion, saying the women were “manipulated” into “brazen” acts of sex trafficking.Ventura and Jane both said they experienced emotional manipulation and threats that made them feel obliged to meet Combs’s sexual demands.Throughout the trial, jurors were shown voluminous phone records, including messages from both women that Agnifilo argued implied consent.But prosecutors said those messages did not paint the whole picture, and referenced testimony from a forensic psychologist who explained to jurors how victims become ensnared by abusers.Central to their case is the claim that Combs led a criminal enterprise of senior employees who “existed to serve his needs” and enforced his power with offenses including forced labor, kidnapping, bribery, witness tampering and arson.But Agnifilo underscored that none of those individuals testified against Combs, nor were they named as co-conspirators.Many witnesses were given immunity orders so they could speak without fear of incriminating themselves.To convict Combs on racketeering, jurors must find that prosecutors showed beyond reasonable doubt that he agreed with people within his organization to commit at least two of the eight crimes forming the racketeering charge.The eight men and four women must reach a unanimous decision, reaching either a guilty or not guilty verdict on each count.

Euro féminin: l’Angleterre, championne d’Europe en délicatesse

L’Angleterre a perdu sa majesté sur le terrain et sa sérénité en dehors entre résultats décevants, défection surprise de l’icône Mary Earps et retrait d’une autre cadre, Millie Bright, mais elle conserve des atouts pour conserver son titre à l’Euro (2-27 juillet).Les “Lionesses” débarquent en bêtes blessées et avec des griffes élimées en Suisse, où elles lanceront leur campagne contre la France, samedi à Zürich.Sarina Wiegman a beau répéter que tout va bien, ou presque, la sélectionneuse traverse la période la plus délicate de son mandat sur le banc anglais, débuté en 2021 et magnifié par le titre européen de 2022, contre l’Allemagne (2-1 a.p.) devant 87.000 spectateurs à Wembley.Son équipe a gardé un bel élan jusqu’en août 2023 et la finale du Mondial, perdue de justesse (1-0) contre les Espagnoles à Sydney, mais pas après.Avant la défaite à Sydney, Wiegman n’avait perdu qu’une fois avec l’Angleterre, un match amical 2-0 contre l’Australie. Après, elle a subi six défaites en dix-neuf matches et manqué la qualification pour les JO à Paris, entre autres.- Earps, l’onde de choc -A ces nuages sportifs se sont greffées quelques tempêtes internes, dont la plus grosse a soufflé récemment autour du cas Mary Earps.A 32 ans, la gardienne aux 53 sélections a claqué la porte au début du rassemblement de mai-juin, le dernier avant l’Euro, après la confirmation de son déclassement au poste de numéro deux.”J’ai pris la difficile décision d’arrêter ma carrière internationale”, a annoncé sur Instagram la très populaire gardienne du Paris Saint-Germain, sans s’épancher sur les “multiples dimensions” de son choix.Les médias britanniques, comme The Telegraph, ont dénoncé la “décision égoïste” de la gardienne, et même Wiegman a eu du mal à cacher sa colère: “je suis déçue, je suis triste”, a-t-elle euphémisé devant la presse.La Néerlandaise a dû également avaler la retraite internationale de l’attaquante Fran Kirby (77 sél.), à qui elle n’avait pas garanti une place à l’Euro, et la pause de la défenseuse Millie Bright (88 sél.), sa capitaine en 2023, épuisée mentalement par une saison à rallonge.- “Pas l’impression d’être en crise” -“Il faut aller de l’avant”, a tenté d’évacuer Wiegman, solide sur ses appuis: “nous n’avons pas du tout l’impression d’être en crise”, d’ailleurs “il y a toujours du bruit avant les tournois”.Son discours a déteint sur Alessia Russo. “Il y a toujours de la pression et des cibles dans notre dos, surtout en tant que tenantes du titre”, a clamé l’attaquante auprès de l’AFP. “Je pense qu’il y a beaucoup de talent dans le football féminin en ce moment et nous en faisons partie”.Russo fait partie de l’équipe d’Arsenal qui a surpris les favorites du FC Barcelone en finale de la Ligue des champions, en mai en compagnie de Beth Mead, Chloe Kelly et Leah Williamson, désignée capitaine anglaise à l’Euro.En Suisse, les “Lionesses” pourront aussi compter sur le contingent de Chelsea, l’équipe-phare du championnat, avec la gardienne Hannah Hampton, la défenseuse Lucy Bronze, la milieu Keira Walsh et la N.10 Lauren James, revenue à temps d’une longue blessure.Les Bleues pourraient aussi avoir affaire à Michelle Agyemang, buteuse d’Arsenal qui a crevé l’écran la saison dernière en prêt à Brighton, mais aussi en avril en marquant 41 secondes après ses débuts internationaux.Bref, l’Angleterre a des failles et des forces, il reste à voir quel camp l’emportera.

Le jury délibère du sort de P. Diddy, accusé de trafic sexuel

Après des semaines de témoignages et des plaidoiries musclées, les jurés ont commencé lundi à délibérer dans le procès du magnat du hip-hop P. Diddy accusé notamment d’avoir contraint des ex-petites amies à participer à des marathons sexuels avec des escorts masculins.Lundi matin, au tribunal pénal de Manhattan, le juge Arun Subramanian a donné pendant plus de deux heures ses instructions aux 12 jurés en leur expliquant entre autres la notion de doute raisonnable et les différents types de preuves pour déterminer le sort du rappeur de 55 ans, passible de la prison à vie.Puis, les jurés se sont retirés pour entamer leurs délibérations après avoir écouté une trentaine de témoins, épluché des milliers de pages de retranscription de conversations téléphoniques ou d’échanges de SMS, de documents financiers, au cours des sept semaines de procès.P. Diddy est accusé d’avoir forcé des femmes – dont sa petite amie de 2007 à 2018, la chanteuse Cassie, et une ex plus récente ayant témoigné sous le pseudonyme de “Jane” – à se livrer à des marathons sexuels avec des hommes prostitués pendant qu’il se masturbait ou filmait. Et aussi d’avoir mis en place un réseau criminel, dont il était le maître, pour organiser ces marathons nommés “freak-offs”. “Il ne s’agissait absolument pas de choix libres”, avait répété dans son réquisitoire la procureure Christy Slavik, précisant que les victimes présumées “étaient droguées, badigeonnées d’huile, épuisées et avaient mal”.- Très médiatisé -P. Diddy, de son vrai nom Sean Combs, “n’acceptait pas le +non+ comme une réponse possible”, avait-elle insisté, en rappelant le contrôle qu’il exerçait sur son ex-compagne “Cassie” et les loyers payés pour son autre ex, qui a témoigné sous le pseudonyme de Jane, devenue financièrement dépendante de lui.”Elle (Cassie) a toujours été libre de partir. Elle avait choisi de rester parce qu’elle était amoureuse de lui et qu’il était amoureux d’elle (…), elle aime le sexe et grand bien lui fasse”, avait rétorqué Marc Agnifilo, l’avocat du rappeur.Les jurés avaient reçu l’instruction de ne pas suivre l’actualité entourant l’affaire, une vaste tâche alors que le procès inonde les médias traditionnels ou les réseaux sociaux avec des influenceurs sur place qui en décortiquent à leur manière chaque détail.P. Diddy a plaidé non coupable et choisi de ne pas témoigner, une stratégie courante de la défense aux Etats-Unis. Ses avocats n’ont pas à prouver l’innocence de leur client, mais plutôt à semer un doute raisonnable chez les membres du jury quant aux accusations des procureurs.- “Pas Dieu” -Durant le procès, ils ont tout fait pour discréditer les témoins à charge à coups de contre-interrogatoires musclés et tenté de montrer que leur client avait un style de vie “polyamoureux” qui ne tombe pas sous le coup du droit pénal.Cassie a été soumise à un feu roulant de questions, visant à lui faire concéder qu’elle participait de son plein gré aux parties sexuelles avec d’autres hommes.”Je suis toujours prête” pour un “freak-off”, avait-elle écrit à son compagnon en 2009. La chanteuse n’a pas contesté, tout en expliquant qu’elle était sous l’emprise du fondateur du label Bad Boy Records dont la fortune est évaluée à 700 millions de dollars selon le magazine Forbes.Cassie et “Jane” ont admis que leur relation respective impliquait de l’amour, mais qu’elles étaient dans le même temps soumises à des menaces liées à leur réputation, à leur situation financière et à leur intégrité physique.”Il (P. Diddy) avait tellement dépassé les bornes qu’il ne pouvait même plus les voir”, avait déclaré une autre procureure, Maurene Comey, disant que le rappeur se sentait “intouchable”. “Mais l’accusé n’est pas Dieu”, avait-elle dit aux jurés. 

Bosch breaks through as South Africa set Zimbabwe huge targetMon, 30 Jun 2025 15:49:04 GMT

South African fast bowler Corbin Bosch ended stubborn resistance by Zimbabwe’s opening batsmen with a wicket in the last over of the third day of the first Test at Queens Sports Club on Monday.Zimbabwe, set a near-impossible target of 537 runs to win, were 32 for one at the close after Takudzwanashe Kaitano was caught …

Bosch breaks through as South Africa set Zimbabwe huge targetMon, 30 Jun 2025 15:49:04 GMT Read More »