Incendie de l’Aude: les pompiers sous tension à cause de la météo

Avec ses cendres encore fumantes par endroits, l’incendie d’une ampleur exceptionnelle, qui a ravagé le massif des Corbières, préoccupe les autorités samedi soir en raison des fortes rafales de vent et des températures caniculaires attendues dimanche.Les conditions climatiques “extrêmes” vont mettre les pompiers “sous tension” pour protéger la zone du feu mais aussi l’ensemble du département, a déclaré devant la presse le commandant Michael Sabot, directeur départemental adjoint du Service d’incendies et de secours de l’Aude.”On met en place des dispositifs (…) au plus près des massifs pour pouvoir réduire les délais d’intervention et pouvoir assurer une attaque efficace et rapide aéroterrestre pour pouvoir éviter d’avoir un deuxième feu catastrophique”, a-t-il souligné, évoquant d’autres secteurs de l’Aude en risque très sévère.Météo-France a placé l’Aude sous vigilance orange canicule tout le weekend, avec des températures prévues entre 38 et 40 degrés.En outre, la tramontane, un vent sec et chaud, reviendra en rafales jusqu’à 55 km/h sur les terres, en direction du littoral méditerranéen, recréant les conditions du départ de l’incendie, a-t-il ajouté, précisant que le taux d’humidité serait également très bas, de l’ordre de 20%.”Le feu est fixé mais non maîtrisé”, a rappelé samedi matin le colonel Christophe Magny, qui dirige les opérations. “Jusqu’à dimanche soir le feu ne sera pas maîtrisé”, a-t-il prévenu, ajoutant qu’il ne serait “pas éteint avant plusieurs semaines”.Dans une végétation noircie par les flammes, les sapeurs-pompiers continuent, sous une chaleur écrasante, de lutter contre les reprises de feu. A Durban-Corbières, Jonquières ou encore Coustouge, les soldats du feu, réservoirs sur le dos, aspergent avec une lance la terre de cendres, a constaté un journaliste de l’AFP.- Sur le qui-vive -Les soldats du feu, sur le qui-vive, surveillent et sécurisent les 90 kilomètres de bordures pour “éviter que le feu reprenne à l’avant”, dans la partie la plus proche du littoral méditerranéen et de l’autoroute A9 qu’il avait failli atteindre mercredi.Aidés de deux détachements militaires, quelque 1.400 pompiers venus de toute la France vont ainsi quadriller les villages à l’avant du feu autour de Roquefort-des-Corbières avec toujours “la protection des personnes pour priorité”, a ajouté le commandant Sabot. Grâce à des bulldozers, 10 km de pistes ont été créés pour ouvrir de nouveaux accès et faciliter l’intervention des pompiers dans des zones escarpées, où la végétation est dense.”Le combat continue, les pompiers travaillent toujours sur des reprises de feu (…) les sinistrés ont pu regagner leur domicile. Les solutions d’hébergement sont en place en lien avec les municipalités”, a ajouté le préfet de l’Aude Christian Pouget.Samedi, quatre reprises de feu n’ont pas nécessité l’intervention des moyens aériens.- “Solidarité nationale” -Le commandant a salué “le formidable élan de solidarité national depuis le début de la crise”.Après avoir quitté leur logement dans la précipitation mardi, les dernières personnes évacuées ont été autorisées vendredi soir à regagner les 16 villages impactés par l’incendie, le plus important depuis un demi-siècle sur l’arc méditerranéen français.Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une vingtaine de hangars agricoles brûlés, sur les 3.000 bâtis qui ont été défendus par les pompiers, a souligné Amélie Trioux, directrice de cabinet du préfet de l’Aude. L’électricité a été rétablie partout et trois communes restent privés de réseau téléphonique.Le bilan humain n’a pas évolué. Une femme est morte dans sa maison de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, tandis qu’une habitante a été grièvement brûlée. Quatre autres personnes ont été légèrement blessées.Dans les rangs des pompiers, 19 ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien.- “Cicatrice durable” -Parti mardi vers 16H00 de la commune de Ribaute, à une quarantaine de kilomètres à équidistance de Narbonne et de Carcassonne, l’incendie a parcouru 16.000 hectares de végétation, dont 13.000 ont brûlé, selon la sécurité civile.Au coeur des forêts traversées par le feu, la biodiversité a été considérablement affectée.  “Les insectes, amphibiens, reptiles, les micro-mammifères ont disparu, toute la biodiversité dans le sol a cramé, seuls ceux qui courent vite et sentent la fumée, les chevreuils et les sangliers, ont pu se sauver. La cicatrice va être durable”, a expliqué à l’AFP Stéphane Villarubias, directeur de l’ONF dans l’Aude, les Pyrénées-Orientales et l’Ariège. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Le parquet de Carcassonne a indiqué à l’AFP ne pas connaître encore son origine.

Bretagne: un homme tue son ex-compagne avant d’être abattu par un gendarme

Un homme de 38 ans a tué son ex-conjointe dans la nuit de vendredi à samedi à Saint-Jouan-des-Guérets (Ille-et-Vilaine) et a ensuite pris la fuite avant d’être tué par balles par un gendarme dans les Côtes-d’Armor, a annoncé samedi le parquet de Saint-Malo.Dans la nuit de vendredi à samedi, “la compagnie de gendarmerie de Saint-Malo a été requise peu après minuit afin d’intervenir sur la commune de Saint-Jouan-des-Guérets pour une femme, âgée de 36 ans, agressée en pleine rue au niveau du cou à l’aide d’une arme blanche”, a indiqué le parquet de la ville bretonne dans un communiqué de presse transmis samedi soir. Les gendarmes “constataient le décès de cette femme et la fuite de l’auteur, identifié comme étant un ancien concubin, âgé de 38 ans”.Une enquête a été immédiatement ouverte en flagrance du chef d’assassinat.Vers 03H00, les militaires de la gendarmerie sont parvenus à localiser le suspect à son domicile à Taden (Côtes-d’Armor), à une vingtaine de kilomètres de Saint-Jouan-des-Guérets, et ont tenté de procéder à son interpellation.”Les premières investigations relevaient que le mis en cause, à la vue des gendarmes, s’était saisi d’une arme blanche et avait adopté un comportement très menaçant à leur égard”, a indiqué le parquet.Un gendarme “faisait alors usage de son arme de service à plusieurs reprises, le taser n’ayant pas suffi à repousser cet homme” et “malgré l’intervention des services de secours, l’individu décédait quelques minutes plus tard”, d’après la même source.Le parquet de Saint-Malo a prescrit l’ouverture d’une seconde enquête de flagrance, du chef de violences avec usage d’une arme ayant entrainé la mort sans l’intention de la donner. Cette seconde enquête a été confiée à l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) et le militaire ayant fait usage de son arme de service a été placé en garde à vue. Les autopsies des corps des deux personnes décédées doivent être pratiquées lundi, a précisé le parquet. En 2023, 96 femmes ont été victimes de féminicide conjugal en France, un chiffre en baisse de 19% par rapport à 2022, selon le dernier bilan du ministère de l’Intérieur publié fin novembre 2024.

Des taux “incommensurables” de microplastiques retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, révèle Mediapart

Des taux de pollution de microplastiques “incommensurables” ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l’enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters concernant des décharges sauvages de déchets polluants dans les Vosges, révèle samedi Mediapart.Nestlé Waters est poursuivi pour avoir stocké des déchets et maintenu quatre décharges sauvages à Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers, représentant un volume cumulé de 473.700 mètres cubes, l’équivalent de 126 piscines olympiques.Le procès, décidé après une enquête du pôle régional environnement du parquet de Nancy, se tiendra du 24 au 28 novembre.Nestlé est notamment poursuivi pour avoir, autour de ces décharges, “laissé s’écouler dans les eaux superficielles et souterraines” des “particules de microplastiques” à des concentrations “rendant toute vie aquatique impossible et ayant des effets nuisibles sur la santé, la flore et la faune”.Les révélations de Mediapart, qui a contribué avec Le Monde et Radio France aux révélations sur les traitements illégaux utilisés par le passé par Nestlé Waters sur ses eaux, indiquent que les décharges de plastique “sont (à) l’origine” de taux élevés de microplastiques retrouvés à la sortie des forages des eaux ensuite embouteillées sous les marques Contrex et Hépar.Le média s’appuie notamment sur une enquête de l’Office français de la biodiversité (OFB) et de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp). “Une analyse chiffrée illustre que les proportions sont incommensurables s’agissant de l’introduction de microplastiques dans les sols vosgiens par Nestlé aux lieux des décharges, sur les terres et les eaux situées en aval”, indique le magistrat chargé de l’enquête, selon Mediapart, alertant sur “leurs effets nuisibles sur la santé humaine”.Les taux de microplastiques sont de 515 particules de microplastique par litre (mp/L) pour Contrex, et 2.096 pour Hépar, soit des concentrations 51.000 à 1,3 million de fois supérieures à celles retrouvées dans des lacs, fleuves et rivières par deux études sur lesquelles s’appuient les enquêteurs.Et de 5 à 2.952 fois supérieurs aux taux moyens dans les nappes phréatiques du monde, selon d’autres études. Ces taux sont également supérieurs à ceux retrouvés dans d’autres eaux en bouteille par des chercheurs.”La dégradation est substantielle en ce qu’ils sont fragmentés en micro voire nanoplastiques, imprégnés et diffusés dans les sols et les réseaux d’eaux souterraines, de sorte qu’aucune dépollution n’est envisageable”, ajoutent les enquêteurs.Contacté par Mediapart, Nestlé Waters affirme “qu’aucune pollution n’est avérée aux termes des analyses environnementales partagées avec les autorités. Toutes nos eaux peuvent être bues en toute sécurité”.Le média indique avoir consulté une note confidentielle dans laquelle Nestlé affirme en 2022 que les décharges pourraient avoir “un impact sur la qualité des eaux”.Selon l’entreprise, les décharges incriminées datent des années 1960, avant qu’elle ne soit propriétaire des terrains pollués.Les taux de microplastiques dans les eaux minérales naturelles ne sont pas réglementés. Omniprésentes dans l’environnement, ces substances sont au coeur des négociations en cours à Genève pour élaborer un traité contre la pollution plastique.

Des taux “incommensurables” de microplastiques retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, révèle Mediapart

Des taux de pollution de microplastiques “incommensurables” ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l’enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters concernant des décharges sauvages de déchets polluants dans les Vosges, révèle samedi Mediapart.Nestlé Waters est poursuivi pour avoir stocké des déchets et maintenu quatre décharges sauvages à Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers, représentant un volume cumulé de 473.700 mètres cubes, l’équivalent de 126 piscines olympiques.Le procès, décidé après une enquête du pôle régional environnement du parquet de Nancy, se tiendra du 24 au 28 novembre.Nestlé est notamment poursuivi pour avoir, autour de ces décharges, “laissé s’écouler dans les eaux superficielles et souterraines” des “particules de microplastiques” à des concentrations “rendant toute vie aquatique impossible et ayant des effets nuisibles sur la santé, la flore et la faune”.Les révélations de Mediapart, qui a contribué avec Le Monde et Radio France aux révélations sur les traitements illégaux utilisés par le passé par Nestlé Waters sur ses eaux, indiquent que les décharges de plastique “sont (à) l’origine” de taux élevés de microplastiques retrouvés à la sortie des forages des eaux ensuite embouteillées sous les marques Contrex et Hépar.Le média s’appuie notamment sur une enquête de l’Office français de la biodiversité (OFB) et de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp). “Une analyse chiffrée illustre que les proportions sont incommensurables s’agissant de l’introduction de microplastiques dans les sols vosgiens par Nestlé aux lieux des décharges, sur les terres et les eaux situées en aval”, indique le magistrat chargé de l’enquête, selon Mediapart, alertant sur “leurs effets nuisibles sur la santé humaine”.Les taux de microplastiques sont de 515 particules de microplastique par litre (mp/L) pour Contrex, et 2.096 pour Hépar, soit des concentrations 51.000 à 1,3 million de fois supérieures à celles retrouvées dans des lacs, fleuves et rivières par deux études sur lesquelles s’appuient les enquêteurs.Et de 5 à 2.952 fois supérieurs aux taux moyens dans les nappes phréatiques du monde, selon d’autres études. Ces taux sont également supérieurs à ceux retrouvés dans d’autres eaux en bouteille par des chercheurs.”La dégradation est substantielle en ce qu’ils sont fragmentés en micro voire nanoplastiques, imprégnés et diffusés dans les sols et les réseaux d’eaux souterraines, de sorte qu’aucune dépollution n’est envisageable”, ajoutent les enquêteurs.Contacté par Mediapart, Nestlé Waters affirme “qu’aucune pollution n’est avérée aux termes des analyses environnementales partagées avec les autorités. Toutes nos eaux peuvent être bues en toute sécurité”.Le média indique avoir consulté une note confidentielle dans laquelle Nestlé affirme en 2022 que les décharges pourraient avoir “un impact sur la qualité des eaux”.Selon l’entreprise, les décharges incriminées datent des années 1960, avant qu’elle ne soit propriétaire des terrains pollués.Les taux de microplastiques dans les eaux minérales naturelles ne sont pas réglementés. Omniprésentes dans l’environnement, ces substances sont au coeur des négociations en cours à Genève pour élaborer un traité contre la pollution plastique.

Des taux “incommensurables” de microplastiques retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, révèle Mediapart

Des taux de pollution de microplastiques “incommensurables” ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l’enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters concernant des décharges sauvages de déchets polluants dans les Vosges, révèle samedi Mediapart.Nestlé Waters est poursuivi pour avoir stocké des déchets et maintenu quatre décharges sauvages à Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers, représentant un volume cumulé de 473.700 mètres cubes, l’équivalent de 126 piscines olympiques.Le procès, décidé après une enquête du pôle régional environnement du parquet de Nancy, se tiendra du 24 au 28 novembre.Nestlé est notamment poursuivi pour avoir, autour de ces décharges, “laissé s’écouler dans les eaux superficielles et souterraines” des “particules de microplastiques” à des concentrations “rendant toute vie aquatique impossible et ayant des effets nuisibles sur la santé, la flore et la faune”.Les révélations de Mediapart, qui a contribué avec Le Monde et Radio France aux révélations sur les traitements illégaux utilisés par le passé par Nestlé Waters sur ses eaux, indiquent que les décharges de plastique “sont (à) l’origine” de taux élevés de microplastiques retrouvés à la sortie des forages des eaux ensuite embouteillées sous les marques Contrex et Hépar.Le média s’appuie notamment sur une enquête de l’Office français de la biodiversité (OFB) et de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp). “Une analyse chiffrée illustre que les proportions sont incommensurables s’agissant de l’introduction de microplastiques dans les sols vosgiens par Nestlé aux lieux des décharges, sur les terres et les eaux situées en aval”, indique le magistrat chargé de l’enquête, selon Mediapart, alertant sur “leurs effets nuisibles sur la santé humaine”.Les taux de microplastiques sont de 515 particules de microplastique par litre (mp/L) pour Contrex, et 2.096 pour Hépar, soit des concentrations 51.000 à 1,3 million de fois supérieures à celles retrouvées dans des lacs, fleuves et rivières par deux études sur lesquelles s’appuient les enquêteurs.Et de 5 à 2.952 fois supérieurs aux taux moyens dans les nappes phréatiques du monde, selon d’autres études. Ces taux sont également supérieurs à ceux retrouvés dans d’autres eaux en bouteille par des chercheurs.”La dégradation est substantielle en ce qu’ils sont fragmentés en micro voire nanoplastiques, imprégnés et diffusés dans les sols et les réseaux d’eaux souterraines, de sorte qu’aucune dépollution n’est envisageable”, ajoutent les enquêteurs.Contacté par Mediapart, Nestlé Waters affirme “qu’aucune pollution n’est avérée aux termes des analyses environnementales partagées avec les autorités. Toutes nos eaux peuvent être bues en toute sécurité”.Le média indique avoir consulté une note confidentielle dans laquelle Nestlé affirme en 2022 que les décharges pourraient avoir “un impact sur la qualité des eaux”.Selon l’entreprise, les décharges incriminées datent des années 1960, avant qu’elle ne soit propriétaire des terrains pollués.Les taux de microplastiques dans les eaux minérales naturelles ne sont pas réglementés. Omniprésentes dans l’environnement, ces substances sont au coeur des négociations en cours à Genève pour élaborer un traité contre la pollution plastique.

UK arrests 200 backing banned pro-Palestine group

Police in London arrested at least 200 people Saturday for supporting Palestine Action at the latest and largest protest backing the group since the government banned it last month under anti-terror laws.The UK capital’s Metropolitan Police said it expected to make further arrests at the demonstration in Parliament Square, as organisers claimed only a “fraction” of the hundreds who turned out had been detained.”That claim simply isn’t true,” the Met said in a statement, noting some of those there were onlookers or not visibly supporting Palestine Action. “We are confident that anyone who came to Parliament Square today to hold a placard expressing support for Palestine Action was either arrested or is in the process of being arrested.”The government banned the group days after several of its activists broke into an air force base in southern England, causing an estimated £7 million ($9.3 million) of damage to two aircraft.Britain’s interior ministry reiterated ahead of Saturday’s protests that its members were also suspected of other “serious attacks” that involved “violence, significant injuries and extensive criminal damage”.But critics, including the United Nations and NGOs like Amnesty International and Greenpeace, have lambasted the move as legal overreach and a threat to free speech.- ‘Unprecedented’ -A group called Defend our Juries, which organised Saturday’s protests and previous demonstrations against the ban, said “unprecedented numbers” had risked “arrest and possible imprisonment” to “defend this country’s ancient liberties”.”We will keep going. Our numbers are already growing for the next wave of action in September,” it added.Attendees began massing near parliament at lunchtime bearing signs saying “oppose genocide, support Palestine Action” and other slogans, and waving Palestinian flags.Psychotherapist Craig Bell, 39, was among those holding a placard.He branded the ban “absolutely ridiculous”. “When you compare Palestine Action with an actual terrorist group who are killing civilians and taking lives, it’s just a joke that they’re being prescribed a terrorist group,” he told AFP.As police moved in on the demonstrators, they applauded those being arrested and shouted “shame on you” at officers.”Let them arrest us all,” said Richard Bull, 42, a wheelchair-user in attendance.”This government has gone too far. I have nothing to feel ashamed of.”- NGOs opposed -London’s Met Police and other UK forces have made scores of similar arrests on previous weekends since the government outlawed Palestine Action on July 5. Anyone expressing support for a proscribed group risks arrest under UK anti-terror laws. Police announced this week that the first three people had been charged in the English and Welsh criminal justice system with supporting Palestine Action following their arrests at a July 5 demo.Being a member or supporting the group is now a criminal offence punishable by up to 14 years in prison.Seven people have so far been charged in Scotland, which has a separate legal system.Amnesty International UK Chief Executive Sacha Deshmukh wrote to Met Police chief Mark Rowley this week urging restraint be exercised when policing people holding placards expressing support for Palestine Action.The NGO has argued arrests of such people are in breach of international human rights law.A UK court challenge against the decision to proscribe Palestine Action will be heard later this year.

Foot: le PSG d’accord avec Bournemouth pour la venue du défenseur ukrainien Illia Zabarnyi (médias)

Le Paris SG s’est mis d’accord avec le club anglais de Bournemouth pour le transfert du défenseur central ukrainien Illia Zabarnyi, âgé de 22 ans, rapportent samedi plusieurs médias français.Après le jeune gardien lillois Lucas Chevalier, le PSG, jusque-là bien calme sur le marché des transferts, tient sa deuxième recrue majeure de l’été.D’après L’Équipe, Zabarnyi va s’engager pour cinq ans à Paris, où il percevra un salaire annuel net évalué à 4,5 millions d’euros la première saison. Les champions d’Europe parisiens verseront 63 millions d’euros au club anglais de Bournemouth, auxquels s’ajoutent trois millions de bonus.Le défenseur ukrainien pourrait signer son contrat lundi, indique pour sa part RMC Sport.Né à Kiev en 2002, passé par le centre de formation du Dynamo Kiev, Zabarnyi, qui fêtera ses 23 ans début septembre, a fait ses débuts professionnels à l’âge de 17 ans. Appelé en sélection en 2020 (il compte 49 sélections), champion d’Ukraine en 2021 avec le Dynamo, il a été transféré en janvier 2023 à Bournemouth, où son contrat courait jusqu’en juin 2029.Zabarnyi a participé à toute la préparation estivale des Cherries, disputant notamment le dernier match de la tournée américaine du club perdu face à West Ham le week-end dernier à Atlanta. En revanche, il ne figurait pas sur la feuille de match de la rencontre entre Bournemouth et la Real Sociedad samedi après-midi.Le Paris SG, jusqu’alors très discret sur le marché des transferts, travaillait sur ce dossier depuis des mois. Zabarnyi renforcera l’axe central du club qui s’apprête à défendre ses titres de champion de France et de champion d’Europe.Cet accord intervient au lendemain de l’accord trouvé avec Lille pour la venue du gardien Lucas Chevalier, 23 ans.Selon le spécialiste des transferts Fabrizio Romano, “tous les documents ont été signés et entérinés de club à club pour les deux transactions concernant Illia Zabarnyi et Lucas Chevalier”.Ces deux recrues annoncées pourraient être alignées dès mercredi prochain face à Tottenham en Supercoupe puis dimanche soir à Nantes pour l’entrée en lice du PSG en Ligue 1.Le PSG avait annoncé en juillet le recrutement de Renato Marin, jeune gardien italo-brésilien de 19 ans qui jouait avec l’équipe réserve de l’AS Rome.