Euro-2025: face au Portugal, l’Espagne pied au plancher

Même en ménageant Aitana Bonmati après sa méningite, l’Espagne a étrillé le Portugal (5-0) jeudi à Berne pour son entrée en lice dans l’Euro féminin de football, lançant idéalement sa quête d’un premier titre continental.Avec deux premiers buts inscrits au bout de sept minutes, les championnes du monde en titre prennent la tête du groupe B, à la même hauteur que l’Italie, qui a battu un peu plus tôt la Belgique (1-0).Dans un Wankdorf bouillant, devant près de 30.000 spectateurs, la pelouse synthétique n’a nullement perturbé les favorites du tournoi, supérieures techniquement, agressives au pressing et très organisées.Il faudra une autre adversité que les Navigatrices, déjà nettement dominées par leurs rivales ibériques en avril en Ligue des Nations (7-1, 4-2), pour tester la solidité de la défense espagnole, peu bousculée jeudi.Dès leur premier mouvement collectif, les joueuses de Montsé Tomé ont marqué grâce à une longue ouverture d’Olga Carmona vers Esther Gonzalez, qui concluait du bout du pied (1-0, 2e). Cinq minutes après l’expérimentée buteuse de Gotham (Etats-Unis), 32 ans, c’est la prodige de 18 ans Vicky Lopez, incarnation très attendue de la future Roja, qui alourdissait la marque en coupant un ballon de Caldentey (2-0, 7e).Guère inhibée par sa titularisation à la place de la double Ballon d’or Aitana Bonmati, qui récupère d’une méningite virale contractée la semaine dernière et est entrée à la 81e minute, Lopez a illuminé l’entrejeu espagnol par ses dribbles et la justesse de ses remises.”Nous devons être patients avec elle”, a tempéré après la rencontre Montse Tomé, jugeant néanmoins le moment venu pour que la jeune milieu “ait des minutes de jeu”. Quant à Aitana Bonmati, “elle voulait jouer plus longtemps, elle me l’a dit à la fin du match”, a poursuivi la sélectionneuse.- Banderole contre le sexisme -Si Ines Pereira a sauvé ses cages face à Vicky Lopez (24e) puis Claudia Pina (35e), Alexia Putellas a ensuite aggravé la marque après un numéro dans la surface: contrôle de la poitrine, feinte du droit, frappe du gauche (3-0, 41e).La milieu barcelonaise, double Ballon d’or en 2021 et 2022 mais privée du dernier Euro par une grave blessure au genou gauche, arborait le brassard de capitaine en remplacement d’Irene Paredes, suspendue.Juste avant la pause, Esther Gonzalez s’offrait un doublé plein de réussite en reprenant du gauche un ballon de Claudia Pina qui avait d’abord touché le poteau (4-0, 43e).Et après une seconde mi-temps moins animée, Cristina Martin-Prieto inscrivait un ultime but en reprenant de la tête un centre de Salma Paralluelo, à quelques secondes du terme (5-0, 90e+3).Déployée avant même l’échauffement des joueuses, une banderole “Combattre le sexisme”, flanquée du mot d’ordre #seacabo (“ça suffit”) a cependant rappelé la tourmente extrasportive subie depuis deux ans par les Espagnoles, ombre qu’elles s’efforcent toujours de dissiper.Leur triomphe au Mondial-2023 avait été terni par le baiser imposé par l’ex-président de la Fédération Luis Rubiales à l’attaquante Jenni Hermoso, meilleure buteuse de l’histoire de la sélection, non retenue pour cet Euro.Les deux rencontres de l’Euro jouées jeudi ont par ailleurs débuté par un moment de silence en hommage à l’international portugais de Liverpool Diogo Jota et à son frère André, lui aussi footballeur, morts dans la nuit dans un accident de la route en Espagne. Face à la presse, les deux sélectionneurs ont également commencé par une pensée pour les deux hommes.

Trump wins major victory as Congress passes flagship bill

US President Donald Trump on Thursday secured a major political victory when Congress narrowly passed his signature tax and spending bill, cementing his radical second-term agenda and boosting funds for his anti-immigration drive.A jubilant Trump said the bill’s passage would supercharge the US economy “into a rocket ship” — glossing over deep concerns within his own Republican Party that it will balloon the national debt and gut health and welfare support.Speaking to reporters as he headed for a rally in Iowa to kick off America’s 250th birthday celebrations, the president called the spending package “the biggest bill of its kind ever signed.”A small group of Republican opponents finally fell into line after Speaker Mike Johnson worked through the night to corral dissenters in the House of Representatives behind the “One Big Beautiful Bill.”The bill squeezed past a final vote, 218-214. The White House declared “VICTORY” on social media and said Trump would sign the bill into law on Friday, the July 4th Independence Day holiday.The timing of the vote had slipped back to Thursday as Democratic House minority leader Hakeem Jeffries spoke against the bill for nearly nine hours to delay proceedings.- Mass deportations, tax breaks -The legislation is the latest in a series of big wins for Trump, including a Supreme Court ruling last week that curbed lone federal judges from blocking his policies, and US air strikes that led to a ceasefire between Israel and Iran.His sprawling mega-bill narrowly passed the Senate on Tuesday and had to return to the lower chamber for a rubber stamp of the senators’ revisions.The package honors many of Trump’s campaign promises: boosting military spending, funding a mass migrant deportation drive and committing $4.5 trillion to extend his first-term tax relief.”Everything was an absolute disaster under the Biden-Harris radical regime, and we took the best effort that we could, in one big, beautiful bill, to fix as much of it as we could,” Johnson said.”And I am so grateful that we got that done.”But it is expected to pile an extra $3.4 trillion over a decade onto the country’s fast-growing deficits, while shrinking the federal food assistance program and forcing through the largest cuts to the Medicaid health insurance scheme for low-income Americans since its 1960s launch.Some estimates put the total number of recipients set to lose their insurance coverage under the bill at 17 million. Scores of rural hospitals are expected to close.While Republican moderates in the House fear the cuts will damage their prospects of reelection next year, fiscal hawks chafed over savings that they say fall far short of what was promised.Johnson had to negotiate tight margins, and could only lose a handful of lawmakers in the final vote, among more than two dozen who had earlier declared themselves open to rejecting Trump’s 869-page text.Trump spent weeks hitting the phones and hosting White House meetings to cajole lawmakers torn between angering welfare recipients at home and incurring the president’s wrath.Democrats hope public opposition to the bill will help them flip the House in the 2026 midterm election, pointing to data showing that it represents a huge redistribution of wealth from the poorest Americans to the richest.Jeffries held the floor for his Democrats ahead of the final vote, as he told stories of everyday Americans who he argued would be harmed by Trump’s legislation. “This bill, this one big, ugly bill — this reckless Republican budget, this disgusting abomination — is not about improving the quality of life of the American people,” he said.  After the bill was passed, Trump predecessor’s Joe Biden said it was “not only reckless — it’s cruel.”Extra spending on the military and border security will be paid in part through ending clean energy and electric vehicle subsidies — a factor triggering a bitter public feud between Trump and former key advisor Elon Musk.

Gaza: Netanyahu promet de ramener “tous” les otages

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a promis jeudi de ramener “tous” les otages, “sans exception”, encore retenus dans le territoire palestinien dévasté, où la Défense civile de Gaza a rapporté la mort de 73 personnes dans des opérations militaires israéliennes. Le dirigeant israélien s’exprimait depuis le kibboutz de Nir Oz, qui a payé un lourd tribut à l’attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023, à l’origine de la guerre.Sa visite, la première sur place, intervient avant sa rencontre prévue la semaine prochaine à Washington avec le président américain, Donald Trump, qui presse pour un arrêt des hostilités à Gaza et s’est prévalu d’un accord israélien pour finaliser les termes d’une trêve de 60 jours. “Je suis profondément engagé avant tout à garantir le retour de tous nos otages, tous, sans exception”, a déclaré M. Netanyahu.- “Ils ont vécu l’enfer” -“Je veux surtout que les habitants de Gaza soient en sécurité. Ils ont vécu l’enfer”, a affirmé Donald Trump à des journalistes jeudi.Il répondait à des journalistes qui lui demandaient s’il voulait toujours que les Etats-Unis prennent le contrôle du territoire palestinien, comme il l’avait annoncé en février. Le Hamas a de son côté affirmé étudier des “propositions” pour une trêve. Selon une source palestinienne, celle-ci serait assortie de la libération de la moitié des otages encore vivants, en échange de prisonniers palestiniens. Sur les 251 personnes enlevées le 7-Octobre sur le sol israélien, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 déclarées mortes par l’armée israélienne.  La Défense civile de Gaza a pour sa part indiqué à l’AFP qu’une frappe aérienne nocturne sur l’école Moustafa Hafez de Gaza-ville (nord), qui abritait des déplacés, avait fait 15 morts, dont “une majorité d’enfants et de femmes”.Contactée par l’AFP, l’armée israélienne a affirmé avoir visé un combattant du Hamas “de premier plan” et avoir pris “de nombreuses mesures pour réduire le risque de toucher des civils”.- “Système militarisé” d’aide – Selon Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile, une organisation de premiers secours, 38 personnes ont également été tuées par des tirs israéliens alors qu’elles attendaient pour recevoir de l’aide humanitaire sur divers sites.Le mécanisme de distribution de l’aide est dénoncé par la communauté humanitaire internationale depuis sa prise en main, fin mai, par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une organisation soutenue par les Etats-Unis et Israël avec laquelle l’ONU refuse de collaborer.Amnesty International a fustigé un “système militarisé” à travers lequel “Israël continue d’utiliser la famine des civils comme arme de guerre contre les Palestiniens”.La Défense civile, par la voix de Mahmoud Bassal, a par ailleurs accusé l’armée de l’empêcher d’accéder à plusieurs quartiers de la ville de Gaza, où des dizaines de personnes seraient piégées sous les décombres.”Nous détruisons systématiquement et en profondeur les infrastructures terroristes, tout en maintenant une emprise stable sur le terrain”, a déclaré le porte-parole de l’armée israélienne, Effie Defrin, évoquant des opérations de “haute intensité” dans des quartiers de l’est de Gaza-ville.Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège la bande de Gaza, et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations des organisations opérant sur le territoire palestinien. – “Nos enfants en souffriront” -En Israël, la classe politique continue de se diviser entre les partisans d’une trêve permettant la libération d’otages et ceux d’une poursuite des combats tant que le Hamas n’est pas anéanti.”Si nous ne parvenons pas à faire disparaître le Hamas, nos enfants en souffriront!”, a estimé dans un entretien à la chaîne 14 le ministre d’extrême droite de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir.Des proches d’otages encore retenus à Gaza ont envoyé une lettre à Benjamin Netanyahu l’exhortant à “signer un accord garantissant le retour de tous les otages” et à mettre un terme à la guerre.Les négociations indirectes pour une trêve et la libération des otages retenus à Gaza ont jusqu’à achoppé principalement sur l’exigence posée par le Hamas d’un cessez-le-feu permanent.    M. Netanyahu a juré mercredi d’éliminer “jusqu’à la racine” le Hamas, réaffirmant le but affiché par Israël d’éradiquer le mouvement palestinien. L’attaque du 7-Octobre a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Plus de 57.130 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles militaires israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

Gaza: Netanyahu promet de ramener “tous” les otages

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a promis jeudi de ramener “tous” les otages, “sans exception”, encore retenus dans le territoire palestinien dévasté, où la Défense civile de Gaza a rapporté la mort de 73 personnes dans des opérations militaires israéliennes. Le dirigeant israélien s’exprimait depuis le kibboutz de Nir Oz, qui a payé un lourd tribut à l’attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023, à l’origine de la guerre.Sa visite, la première sur place, intervient avant sa rencontre prévue la semaine prochaine à Washington avec le président américain, Donald Trump, qui presse pour un arrêt des hostilités à Gaza et s’est prévalu d’un accord israélien pour finaliser les termes d’une trêve de 60 jours. “Je suis profondément engagé avant tout à garantir le retour de tous nos otages, tous, sans exception”, a déclaré M. Netanyahu.- “Ils ont vécu l’enfer” -“Je veux surtout que les habitants de Gaza soient en sécurité. Ils ont vécu l’enfer”, a affirmé Donald Trump à des journalistes jeudi.Il répondait à des journalistes qui lui demandaient s’il voulait toujours que les Etats-Unis prennent le contrôle du territoire palestinien, comme il l’avait annoncé en février. Le Hamas a de son côté affirmé étudier des “propositions” pour une trêve. Selon une source palestinienne, celle-ci serait assortie de la libération de la moitié des otages encore vivants, en échange de prisonniers palestiniens. Sur les 251 personnes enlevées le 7-Octobre sur le sol israélien, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 déclarées mortes par l’armée israélienne.  La Défense civile de Gaza a pour sa part indiqué à l’AFP qu’une frappe aérienne nocturne sur l’école Moustafa Hafez de Gaza-ville (nord), qui abritait des déplacés, avait fait 15 morts, dont “une majorité d’enfants et de femmes”.Contactée par l’AFP, l’armée israélienne a affirmé avoir visé un combattant du Hamas “de premier plan” et avoir pris “de nombreuses mesures pour réduire le risque de toucher des civils”.- “Système militarisé” d’aide – Selon Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile, une organisation de premiers secours, 38 personnes ont également été tuées par des tirs israéliens alors qu’elles attendaient pour recevoir de l’aide humanitaire sur divers sites.Le mécanisme de distribution de l’aide est dénoncé par la communauté humanitaire internationale depuis sa prise en main, fin mai, par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une organisation soutenue par les Etats-Unis et Israël avec laquelle l’ONU refuse de collaborer.Amnesty International a fustigé un “système militarisé” à travers lequel “Israël continue d’utiliser la famine des civils comme arme de guerre contre les Palestiniens”.La Défense civile, par la voix de Mahmoud Bassal, a par ailleurs accusé l’armée de l’empêcher d’accéder à plusieurs quartiers de la ville de Gaza, où des dizaines de personnes seraient piégées sous les décombres.”Nous détruisons systématiquement et en profondeur les infrastructures terroristes, tout en maintenant une emprise stable sur le terrain”, a déclaré le porte-parole de l’armée israélienne, Effie Defrin, évoquant des opérations de “haute intensité” dans des quartiers de l’est de Gaza-ville.Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège la bande de Gaza, et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations des organisations opérant sur le territoire palestinien. – “Nos enfants en souffriront” -En Israël, la classe politique continue de se diviser entre les partisans d’une trêve permettant la libération d’otages et ceux d’une poursuite des combats tant que le Hamas n’est pas anéanti.”Si nous ne parvenons pas à faire disparaître le Hamas, nos enfants en souffriront!”, a estimé dans un entretien à la chaîne 14 le ministre d’extrême droite de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir.Des proches d’otages encore retenus à Gaza ont envoyé une lettre à Benjamin Netanyahu l’exhortant à “signer un accord garantissant le retour de tous les otages” et à mettre un terme à la guerre.Les négociations indirectes pour une trêve et la libération des otages retenus à Gaza ont jusqu’à achoppé principalement sur l’exigence posée par le Hamas d’un cessez-le-feu permanent.    M. Netanyahu a juré mercredi d’éliminer “jusqu’à la racine” le Hamas, réaffirmant le but affiché par Israël d’éradiquer le mouvement palestinien. L’attaque du 7-Octobre a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Plus de 57.130 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles militaires israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

Michael Madsen, ‘Reservoir Dogs’ and ‘Kill Bill’ actor, dies at 67

US actor Michael Madsen — best known for his frequent collaborations with director Quentin Tarantino including “Reservoir Dogs” and “Kill Bill” — died Thursday at age 67 after suffering cardiac arrest, his management team said.The actor was found unresponsive early Thursday at his home in Malibu, they said.”Michael Madsen was one of Hollywood’s most iconic actors, who will be missed by many,” his managers Susan Ferris and Ron Smith said in a joint statement with his publicist, Liz Rodriguez.Madsen’s most iconic performances include Mr. Blonde, a psychopathic criminal in the 1992 crime thriller “Reservoir Dogs,” and Budd, the younger brother of the antagonist in the “Kill Bill” movies, both directed by Tarantino.In addition to his appearances in other Tarantino films like “The Hateful Eight” and “Once Upon a Time… in Hollywood,” Madsen’s prolific career saw him play more than 300 roles over the course of 40 years.Among his other notable films are “Thelma & Louise,” “Free Willy,” “Donnie Brasco” and the 2002 James Bond flick “Die Another Day.”Madsen also did voiceovers for several video games, including “Grand Theft Auto III,” and published several volumes of poetry.Madsen was born on September 25, 1957 in Chicago to a firefighter father and a filmmaker mother. His sister, Virginia Madsen, is also an actress.He married three times over the course of his life and had six children, one of whom died by suicide in 2022.

Not tired of winning: Trump on a roll, for now

Even for a man who once boasted that his supporters would get “tired of winning,” US President Donald Trump is on a roll.The 79-year-old’s victory on his “One Big, Beautiful” bill is the latest in a series of consequential successes at home and abroad in the past two weeks.From US airstrikes that led to an Iran-Israel ceasefire, to a NATO spending deal and a massive Supreme Court win, they have underscored Trump’s growing power.The Republican will now take a victory lap wrapped up in the US flag after Congress passed the tax and spending bill that embodies the political goals of his second term. He will sign it at an Independence Day event at the White House on Friday featuring a flyover by a B-2 stealth bomber, the type of aircraft used in the US raids on Iranian nuclear sites.”It’s going to be a HOT TRUMP SUMMER,” the White House said on social media.After the bill passed, White House Deputy Chief of Staff, Dan Scavino, posted a video of Trump telling a campaign rally during his first presidential run in 2016 that “we’re going to win so much, you may even get tired of winning. And you’ll say, ‘Please, please. It’s too much winning.”- ‘Work just beginning’ -The author of the book “Trump: The Art of the Deal” has bragged of several in recent weeks, but the bill is arguably the biggest. It honors many of the pledges he made in the 2024 election with its tax cuts and funding for his mass migrant deportation program. It also showed his ability to get his Republican party to fall in line despite bruising infighting — and a major row with his billionaire former ally Elon Musk.But more importantly for a man who openly wants to join the pantheon of US presidents whose faces are carved into Mount Rushmore, it promises to consolidate his legacy.The bill seals Trump’s hard-line US domestic policy into law — in contrast to the rash of presidential executive orders he has signed that can be overturned by his successors.Yet Trump still faces a series of challenges.They start with selling a bill that polls show is deeply unpopular among Americans due to its huge cuts to welfare and tax breaks for the rich.”The president needs to lead the effort to go out and explain it, he has the biggest megaphone in America,” Karl Rove, the White House deputy chief of staff under president George W. Bush, told Fox News.Rove added that it would have a “huge impact” on the US midterm elections in 2026, as Democrats pounce on it and people realize that they are losing healthcare coverage.”The work is just beginning.”Trump was talking about the bill at a campaign-style rally in Iowa on Thursday that was also kicking off celebrations for America’s 250th anniversary year.- ‘Win after win’ -Trump’s winning streak has meanwhile fueled the self-belief of a man who said he had been “saved by God to make America great again” after he survived an assassination attempt last year.But the next prizes could be far harder to obtain. After the Iran-Israel ceasefire, Trump has stepped up his search for a deal to end to the brutal war in Gaza between Israel and Hamas.He will host Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu at the White House on Monday in push him — but peace has proven cruelly elusive in the 22-month conflict.Trump’s election campaign promise to end Russia’s war in Ukraine within 24 hours has also stalled, despite him having his sixth call with Russian President Vladimir Putin earlier on Thursday.The US president is meanwhile due to reimpose steep tariffs on dozens of economies next week. He has insisted that countries will either bow to him and reach a deal or face sweeping levies, but global markets remain gripped by uncertainty. White House Press Secretary Karoline Leavitt however insisted that Trump would do what he had promised.”Despite the doubters and the Panicans, President Trump has delivered win after win for the American people,” Leavitt told reporters.

Former Nigeria goalkeeper Peter Rufai dies aged 61Thu, 03 Jul 2025 21:03:39 GMT

Former Nigeria international goalkeeper Peter Rufai has died aged 61 following an illness, the national football federation said on Thursday.Popularly known as Dodomayana, Rufai earned 65 caps for Nigeria and featured at the 1994 and 1998 FIFA World Cup finals.He also was part of the Super Eagles squad when Nigeria won a second Africa Cup …

Former Nigeria goalkeeper Peter Rufai dies aged 61Thu, 03 Jul 2025 21:03:39 GMT Read More »