Nvidia to supply 260,000 cutting-edge chips to South Korea

US tech giant Nvidia said on Friday it will supply 260,000 of its most cutting-edge chips to South Korea, as CEO Jensen Huang met President Lee Jae Myung and the heads of the country’s biggest companies on the sidelines of the APEC summit. South Korea is home to two of the world’s leading memory chip makers — Samsung Electronics and SK hynix — which manufacture chips essential for artificial intelligence products and the data centres that the fast-evolving industry relies on.President Lee has also expressed his hope that the country can become the world’s third AI power after the United States and China.Speaking to media after the announcement, Huang said that goal was “ambitious”.But, he said, “there’s no reason why Korea cannot achieve it — you have the technology, you have the software expertise and you also have a natural ability to build manufacturing plants”.Nvidia has been caught in the middle of that geopolitical tussle.Its chips are currently not sold in China due to a combination of Beijing government bans, US national security concerns and ongoing trade tensions.Huang has urged the United States to allow the sale of US-made AI chips in China in order to ensure Silicon Valley companies remain a global powerhouse in providing artificial intelligence.”The US government and the Chinese government have to decide what role they would like Nvidia to play,” Huang told reporters on Friday. “I’ve been very clear that having Nvidia technology in China is in the best interest of the United States and in the best interest of China as well,” he said.”I’m optimistic,” he added.And asked if he wanted Nvidia’s most high-tech chip, the Blackwell, to be sold in China, he said: “I hope so”.”But that’s a decision for President Trump to make.”Nvidia’s chips featured in talks between US President Donald Trump and Chinese leader Xi Jinping in Gyeongju this week.Beijing has ramped up its chip industry to beat Washington’s export restrictions on the critical component used to power AI systems.- Chicken and chips -Under Friday’s deal, 50,000 of the graphics processing units will go towards a new “AI factory” being built by Samsung Electronics. “By deploying more than 50,000 Nvidia GPUs, AI will be embedded throughout Samsung’s entire manufacturing flow,” the Korean tech giant said.SK Group and Hyundai Motor Group will also receive 50,000 chips for use in AI facilities.NAVER Cloud — which operates South Korea’s largest search engine — will receive 60,000 to expand its AI infrastructure. A further 50,000 will be deployed across Seoul’s National AI Computing Center and to cloud service and IT providers.Huang has sought to forge closer ties with South Korean tech giants in his visit to the country this week.He met Samsung Chairman Lee Jae-yong and Hyundai Motor Group Executive Chair Chung Eui-sun on Thursday for “chimaek” — a beloved South Korean pairing of fried chicken and beer — in the capital Seoul.The restaurant, Kkanbu, was reportedly chosen by Nvidia because the term — popularised by Netflix’s megahit “Squid Game” and meaning “friend” — was intended to highlight the spirit of friendship underpinning their AI and chip collaborations.Nvidia in July became the first company to top $4 trillion in market capitalisation, and followed that up by becoming the first to hit $5 trillion following an event on Tuesday where it announced new ventures building on its AI technology.

Real Madrid: l’affaire Vinicius est “close”, pas de sanction (entraîneur)

L’entraîneur du Real Madrid Xabi Alonso a assuré vendredi que la polémique autour de la crise de nerfs de Vinicius Junior lors du Clasico face au Barça dimanche était “close” et que l’attaquant brésilien ne serait pas sanctionné.Remplacé par son compatriote Rodrygo à la 72e minute de jeu lors du Clasico remporté 2-1 par le Real, l’ailier gauche madrilène s’était emporté, avant de s’excuser mercredi.”Moi? Mister? Encore moi? Va te faire… ! C’est toujours moi! Je quitte l’équipe, c’est trop, c’est mieux que je m’en aille!”, avait-il pesté devant les caméras du monde entier, en rentrant directement aux vestiaires sans saluer son coach Xabi Alonso.Dans un message publié sur son compte X, Vinicius Junior avait presenté ses excuses “à tous les madrilènes”, expliquant que sa passion finissait parfois par l’emporter.L’entraîneur merengue, interrogé à plusieurs reprises vendredi en conférence de presse sur cette polémique qui a enflammé les médias espagnols, a estimé qu’elle était “close” depuis la prise de parole du joueur.”Mercredi dernier nous avons eu une réunion avec tout le staff, les joueurs, et Vinicius a tenu un discours irréprochable, il a parlé avec sincérité, du fond du coeur. Pour moi, cette affaire est close depuis mercredi”, a-t-il déclaré, assurant qu’il n’y aurait aucune “représaille” ou sanction disciplinaire à l’encontre de l’attaquant brésilien.Le technicien basque s’est dit “très satisfait” de la réaction “courageuse” de son N.7, qui ne semble pas accepter d’être privé de son statut d’intouchable et d’être remplacé en cours de match.”Nous sommes tous dans le même bateau et nous ramons dans la même direction. Je pense que toute l’équipe est concentrée sur le terrain, ce qui est le plus important. Nous sommes des compétiteurs, tous les joueurs veulent être sur le terrain, et c’est une bonne chose. Maintenant, nous voulons continuer d’avancer vers nos objectifs, un match après l’autre”, a conclu Xabi Alonso à la veille de la rencontre de Liga contre Valence.

Nucléaire: l’annonce de Trump provoque une levée de boucliers

L’annonce surprise de Donald Trump, qui prétend vouloir reprendre les essais d’armes nucléaires, continuait vendredi de susciter inquiétude et protestations dans le monde entier, sans même qu’ait été éclairci le sens réel de ses déclarations.Des survivants japonais des bombardements atomiques d’Hiroshima et Nagasaki en août 1945, uniques occurrences de l’usage de l’arme suprême et symbole depuis du tabou militaire absolu, se sont joints à moult protestations diplomatiques.La directive du président républicain “va à l’encontre des efforts déployés par les nations du monde entier pour construire un monde pacifique sans arme nucléaire et est absolument inacceptable”, a dénoncé l’organisation Nihon Hidankyo, dans une lettre à l’ambassade des Etats-Unis au Japon.Le maire de Nagasaki, Shiro Suzuki, a pour sa part regretté que l’ordre présidentiel “piétine les efforts des peuples (…) qui ont versé sang et larmes pour un monde” dénucléarisé.Jeudi, Donald Trump a annoncé vouloir tester les armes nucléaires américaines, laissant planer le doute – à dessein ou non – sur son propos : test d’explosion d’ogives nucléaires, ou essai d’armement capables de les transporter ?”En raison des programmes d’essais menés par d’autres pays, j’ai demandé au ministère (de la Défense) de commencer à tester nos armes nucléaires sur un pied d’égalité” avec la Russie et la Chine, a-t-il déclaré sur son réseau Truth Social.Or, nul pays n’a procédé à un essai nucléaire depuis trois décennies – à l’exception de la Corée du Nord (à six reprises entre 2006 et 2017). En revanche, de nombreuses puissances, Etats-Unis en tête, effectuent régulièrement des tests de vecteurs – missiles, sous-marins, avions de chasse ou autres.  L’Iran, accusé par les Occidentaux et Israël de développer l’arme atomique malgré ses démentis, a jugé que les Etats-Unis faisaient porter “le risque de prolifération le plus dangereux au monde”.- “Sous aucune circonstance” -L’annonce du président américain “est une mesure régressive et irresponsable” et une “menace grave pour la paix et la sécurité internationales”, a déclaré sur X le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi. “Le monde doit s’unir pour demander des comptes aux États-Unis”. Dans un contexte géopolitique incandescent, et alors que la rhétorique nucléaire revient périodiquement au premier plan depuis l’invasion russe en Ukraine, en février 2022, Donald Trump a versé de l’huile sur le feu.Les essais nucléaires “ne doivent jamais être permis, sous aucune circonstance”, a déclaré un porte-parole de l’ONU. “Nous ne devons pas oublier l’héritage désastreux des plus de 2.000 essais nucléaires menés ces 80 dernières années”, a ajouté Farhan Haq, porte-parole adjoint du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.Jeudi, le vice-président américain JD Vance a appuyé les propos du chef de l’Etat, arguant de la nécessité de s’assurer que l’arsenal nucléaire national “était en état de marche et fonctionnait bien”.Reste que Washington est signataire du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (Tice). Faire exploser des ogives en constituerait une violation flagrante.- Obligations internationales -La décision de Donald Trump a semblé répondre aux manoeuvres récentes de la Russie : cette semaine, le président russe Vladimir Poutine s’est félicité de l’essai final réussi d’un missile de croisière d'”une portée illimitée”, puis de celui d’un drone sous-marin.Mais le Kremlin a jugé bon jeudi de préciser qu’il s’agissait bien d’essais d’armes capables de porter une ogive nucléaire et non de bombes elles-mêmes. “Nous espérons que le président Trump en a été informé correctement”, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.Pékin, pour sa part, a émis le souhait que Washington respecte “sérieusement” ses obligations internationales et prenne “des mesures concrètes pour préserver le système mondial de désarmement et de non-prolifération nucléaires”.  Washington et Moscou restent liés en principe par le traité de désarmement New Start, qui limite chaque partie à 1.550 ogives stratégiques offensives déployées et prévoit un mécanisme de vérifications, interrompues depuis deux ans. Le traité doit expirer en février. A tout le moins, Donald Trump n’a semblé nullement ébranlé par les protestations qu’il a provoquées. Evoquant le blocage budgétaire qui paralyse actuellement son administration, il a réclamé un changement du règlement du Sénat pour sortir de l’impasse.”Il est temps pour les républicains de jouer leur +CARTE TRUMP+ et de mettre en œuvre ce qu’on appelle l’Option Nucléaire “, a-t-il écrit sur son Truth Social, comme une énième provocation.

Asia markets diverge on heels of Apple, Amazon earnings

Asian stock markets presented a mixed bag on Friday, with falls in China and gains in Japan and South Korea coming after better-than-expected earnings reports from US tech behemoths Apple and Amazon.Investor confidence in artificial intelligence has fuelled a rally in global stock markets this week that made California-based chip designer Nvidia the first $5 trillion firm.Rosy sentiment was further boosted by a detente in the US-China trade war, with leaders agreeing on Thursday to walk back punitive measures that had disrupted international supply chains and manufacturing sectors.But that boom showed signs of flagging on Thursday as investors processed comments by US Federal Reserve Chair Jerome Powell the previous day that cast doubt on another interest rate cut in December.The three major Wall Street indices retreated on Thursday, with the Nasdaq dropping the most at 1.6 percent.An earnings report released by Apple after US markets closed showed quarterly revenue that beat estimates, powered by iPhone and services revenue.Amazon also reported earnings that were better than expected, driven by surging demand for its cloud computing services.Tokyo’s main benchmark gained more than two percent on Friday while Seoul added half a percent, with both reaching record closes.Japan’s climb came despite a sharp plunge in Nissan shares after the automotive giant said it expected to suffer an operating loss in its current fiscal year ending in March.Trading in Seoul ended just after an announcement by Nvidia that it will supply 260,000 of its most cutting-edge chips to South Korea.The statement came as CEO Jensen Huang met South Korean President Lee Jae Myung on the sidelines of the APEC summit. Also in attendance on Friday were leaders including Chinese President Xi Jinping and Prime Minister Mark Carney of Canada.Taipei finished slightly down and Sydney closed flat.In Hong Kong, shares of Chinese electric vehicle powerhouse BYD tumbled after results announced on Thursday evening showed a 33 percent year-on-year slump in third-quarter profit.Hong Kong’s main benchmark closed the day down 1.4 percent, while Shanghai finished 0.8 percent lower.”While (BYD’s) near-term domestic growth may face headwinds from ongoing price discipline and evolving government policies, the international segment offers a robust counterbalance,” HSBC analyst Yuqian Ding said in a report.Challenges in the Chinese economy were further highlighted by official data on Friday that showed factory activity shrinking in October for the seventh successive month.Xi and US President Donald Trump struck several key deals during Thursday’s meeting that had been anticipated by observers.Washington agreed to cut some tariffs on Chinese goods, while Beijing committed to keeping supplies of critical rare earths flowing.Trump and Xi have not yet signed a comprehensive trade agreement, and experts say the meeting amounted to a tentative one-year truce in the trade war between the world’s top two economies.Europe opened lower Friday, with main benchmarks in London, Paris and Frankfurt slightly down in morning trading.- Key figures at around 0830 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 2.1 percent at 52,411.34 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.4 percent at 25,906.65 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.8 percent at 3,954.79 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.2 percent at 9,738.34West Texas Intermediate: DOWN 0.2 percent at $60.46 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $64.97 per barrelEuro/dollar: UP at $1.1566 from $1.1564 on ThursdayPound/dollar: FLAT at $1.3142 from $1.3142Dollar/yen: UP at 154.33 yen from 154.06 yenEuro/pound: UP at 88.01 from 87.98 penceNew York – Dow: DOWN 0.2 percent at 47,522.12 (close)

Grâce au changement climatique, le pari “pas si fou” de cultiver le riz en Angleterre

Grandes bottes en caoutchouc aux pieds, Nadine Mitschunas manipule avec une joie non dissimulée les plants de riz à maturité qui émergent de l’eau d’une petite parcelle qu’elle cultive dans les Fens, une région particulièrement fertile de l’est de l’Angleterre.”Faire pousser du riz n’avait jamais été fait au Royaume-Uni” et ces plants montrent que ce …

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Dans les élections en Afrique, il y a souvent un grand absent: l’opposition

Il y a souvent un absent de taille dans les élections africaines: l’opposition. De nombreux présidents rivalisent de moyens pour empêcher les opposants de défier leur pouvoir, s’assurant ainsi une victoire prévisible. Au risque d’embraser le pays et de saper la confiance dans la démocratie.En Tanzanie, les élection présidentielle et législatives ont dégénéré mercredi en …

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Charles III retire ses titres à son frère Andrew, emporté par l’affaire Epstein

Embourbé dans le scandale sans fin de ses relations avec le criminel sexuel américain Jeffrey Epstein, Andrew, frère du souverain britannique Charles III, va perdre son titre de prince et devra quitter son manoir royal, a annoncé jeudi le palais de Buckingham.Le roi a lancé jeudi “un processus formel” pour retirer ses “titres et honneurs” …

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Pour Faure (PS), l’accord franco-algérien de 1968 a “encore du sens”

Le Premier secrétaire du parti socialiste Olivier Faure a estimé vendredi que l’accord de 1968 régissant l’immigration des Algériens en France avait “encore du sens” et qu’il ne fallait “pas le changer”, au lendemain du vote d’une résolution du RN à l’Assemblée le dénonçant.”On ne le change pas et on cherche au contraire à entretenir une relation que j’espère apaisée avec l’Algérie”, a déclaré le responsable socialiste à RMC-BFMTV, fustigeant un Rassemblement national qui cherche “dans un moment où on parle beaucoup d’économie et de social” à revenir sur “les questions migratoires”, qui l’obsèdent”. Jeudi, lors d’une journée dédiée à l’examen de ses textes à l’Assemblée, le parti d’extrême droite a obtenu une première victoire qu’il a qualifiée d'”historique” avec l’adoption à une voix près, grâce à des suffrages de LR et d’Horizons, de sa résolution pour dénoncer cet accord. Dans la foulée, le Premier ministre Sébastien Lecornu a estimé qu’il fallait “renégocier” cet accord qui selon lui “appartient à une autre époque”.Avec l’Algérie, la France a “une histoire douloureuse”, a analysé Olivier Faure, “on ne répare pas forcément l’histoire en deux ans, en trois ans ou même en 50 ans”. Il a rappelé que le Premier ministre avait également assuré qu’une telle dénonciation ne devait pas dégrader les relations avec l’Algérie “parce qu’il y a des questions sécuritaires qui sont derrière, sur le renseignement, sur la lutte contre le terrorisme”. Cet accord, signé six ans après la fin de la guerre d’Algérie, crée un régime d’immigration favorable pour les Algériens, qui n’ont pas besoin de visa spécifique pour rester plus de trois mois en France et accèdent plus rapidement que les autres étrangers aux titres de séjour pour 10 ans, y compris dans le cadre du regroupement familial.L’accès est “facilité” car “au lieu d’avoir cinq ans à attendre, vous avez trois ans avant de pouvoir avoir un titre long séjour”, a insisté le patron socialiste.”Ce n’est pas parce que vous allez entraver la vie d’un certain nombre de gens qui sont ressortissants algériens que vous allez forcément, dans le même temps, faire en sorte que Christophe Gleizes et Boualem Sansal puissent revenir”, a-t-il développé, en référence au journaliste français et à l’écrivain franco-algérien actuellement détenus en Algérie.