Le Premier ministre indien Modi conclut des accords de défense et sur l’énergie avec le Sri Lanka

Le Premier ministre indien Narendra Modi a signé des accords de défense et sur l’énergie avec le Sri Lanka samedi, lors d’une visite sur l’île où la Chine étend son influence.M. Modi est le premier dirigeant étranger à se rendre au Sri Lanka depuis l’arrivée au pouvoir d’Anura Kumara Dissanayake, qui est lui le premier président de gauche du petit état insulaire.Les deux hommes ont conclu un accord de coopération en matière de défense sur cinq ans. Celui-ci doit permettre à des militaires srilankais de s’entraîner en Inde, en plus de prévoir des partages de renseignements et de technologies.”Nous croyons que nos intérêts sécuritaires sont alignés”, a réagi M. Modi depuis le bureau de M. Dissanayake à Colombo, au cours d’une cérémonie télévisée.”J’ai répété notre position au Premier ministre Modi, selon laquelle nous ne laisserons pas le territoire du Sri Lanka être utilisé par quiconque pour saper la sécurité de l’Inde”, a affirmé le président Dissanayake.New Delhi s’oppose notamment à ce que des navires de recherche chinois mouillent dans des ports du Sri Lanka, les accusant de se livrer à des activités d’espionnage militaire. Pékin a toujours démenti.L’Inde considère que le Sri Lanka tombe dans sa sphère d’influence géopolitique alors que la Chine, principal bailleur de fonds de l’île, y renforce sa présence.Pékin détenait plus de la moitié des 14 milliards de dollars (13 mds d’euros) de la dette publique bilatérale du Sri Lanka lorsque ce dernier a fait défaut en 2022, en pleine débâcle financière.Incapable de rembourser un prêt consenti par Pékin pour sa construction, le Sri Lanka a par ailleurs cédé en 2017 à la Chine son port de Hambantota (sud) pour 1,12 milliard de dollars (1 milliard d’euros), dans le cadre d’un bail de 99 ans.Samedi, MM. Modi et Dissanayake ont également lancé la construction d’une centrale solaire d’une capacité de 120 mégawatts.Le projet, à naître dans le district de Trinquemalay (nord-est), était à l’arrêt depuis plusieurs années, avant de redémarrer grâce à l’aide de New Delhi.Mais Pékin est lui aussi présent dans le secteur de l’énergie srilankais: Colombo a conclu en janvier un accord avec une entreprise publique chinoise qui investira 3,7 milliards de dollars dans une raffinerie de pétrole dans le sud de l’île, ce qui s’annonce comme l’investissement étranger le plus important de l’histoire du Sri Lanka.

Le Premier ministre indien Modi conclut des accords de défense et sur l’énergie avec le Sri Lanka

Le Premier ministre indien Narendra Modi a signé des accords de défense et sur l’énergie avec le Sri Lanka samedi, lors d’une visite sur l’île où la Chine étend son influence.M. Modi est le premier dirigeant étranger à se rendre au Sri Lanka depuis l’arrivée au pouvoir d’Anura Kumara Dissanayake, qui est lui le premier président de gauche du petit état insulaire.Les deux hommes ont conclu un accord de coopération en matière de défense sur cinq ans. Celui-ci doit permettre à des militaires srilankais de s’entraîner en Inde, en plus de prévoir des partages de renseignements et de technologies.”Nous croyons que nos intérêts sécuritaires sont alignés”, a réagi M. Modi depuis le bureau de M. Dissanayake à Colombo, au cours d’une cérémonie télévisée.”J’ai répété notre position au Premier ministre Modi, selon laquelle nous ne laisserons pas le territoire du Sri Lanka être utilisé par quiconque pour saper la sécurité de l’Inde”, a affirmé le président Dissanayake.New Delhi s’oppose notamment à ce que des navires de recherche chinois mouillent dans des ports du Sri Lanka, les accusant de se livrer à des activités d’espionnage militaire. Pékin a toujours démenti.L’Inde considère que le Sri Lanka tombe dans sa sphère d’influence géopolitique alors que la Chine, principal bailleur de fonds de l’île, y renforce sa présence.Pékin détenait plus de la moitié des 14 milliards de dollars (13 mds d’euros) de la dette publique bilatérale du Sri Lanka lorsque ce dernier a fait défaut en 2022, en pleine débâcle financière.Incapable de rembourser un prêt consenti par Pékin pour sa construction, le Sri Lanka a par ailleurs cédé en 2017 à la Chine son port de Hambantota (sud) pour 1,12 milliard de dollars (1 milliard d’euros), dans le cadre d’un bail de 99 ans.Samedi, MM. Modi et Dissanayake ont également lancé la construction d’une centrale solaire d’une capacité de 120 mégawatts.Le projet, à naître dans le district de Trinquemalay (nord-est), était à l’arrêt depuis plusieurs années, avant de redémarrer grâce à l’aide de New Delhi.Mais Pékin est lui aussi présent dans le secteur de l’énergie srilankais: Colombo a conclu en janvier un accord avec une entreprise publique chinoise qui investira 3,7 milliards de dollars dans une raffinerie de pétrole dans le sud de l’île, ce qui s’annonce comme l’investissement étranger le plus important de l’histoire du Sri Lanka.

Le Premier ministre indien Modi conclut des accords de défense et sur l’énergie avec le Sri Lanka

Le Premier ministre indien Narendra Modi a signé des accords de défense et sur l’énergie avec le Sri Lanka samedi, lors d’une visite sur l’île où la Chine étend son influence.M. Modi est le premier dirigeant étranger à se rendre au Sri Lanka depuis l’arrivée au pouvoir d’Anura Kumara Dissanayake, qui est lui le premier président de gauche du petit état insulaire.Les deux hommes ont conclu un accord de coopération en matière de défense sur cinq ans. Celui-ci doit permettre à des militaires srilankais de s’entraîner en Inde, en plus de prévoir des partages de renseignements et de technologies.”Nous croyons que nos intérêts sécuritaires sont alignés”, a réagi M. Modi depuis le bureau de M. Dissanayake à Colombo, au cours d’une cérémonie télévisée.”J’ai répété notre position au Premier ministre Modi, selon laquelle nous ne laisserons pas le territoire du Sri Lanka être utilisé par quiconque pour saper la sécurité de l’Inde”, a affirmé le président Dissanayake.New Delhi s’oppose notamment à ce que des navires de recherche chinois mouillent dans des ports du Sri Lanka, les accusant de se livrer à des activités d’espionnage militaire. Pékin a toujours démenti.L’Inde considère que le Sri Lanka tombe dans sa sphère d’influence géopolitique alors que la Chine, principal bailleur de fonds de l’île, y renforce sa présence.Pékin détenait plus de la moitié des 14 milliards de dollars (13 mds d’euros) de la dette publique bilatérale du Sri Lanka lorsque ce dernier a fait défaut en 2022, en pleine débâcle financière.Incapable de rembourser un prêt consenti par Pékin pour sa construction, le Sri Lanka a par ailleurs cédé en 2017 à la Chine son port de Hambantota (sud) pour 1,12 milliard de dollars (1 milliard d’euros), dans le cadre d’un bail de 99 ans.Samedi, MM. Modi et Dissanayake ont également lancé la construction d’une centrale solaire d’une capacité de 120 mégawatts.Le projet, à naître dans le district de Trinquemalay (nord-est), était à l’arrêt depuis plusieurs années, avant de redémarrer grâce à l’aide de New Delhi.Mais Pékin est lui aussi présent dans le secteur de l’énergie srilankais: Colombo a conclu en janvier un accord avec une entreprise publique chinoise qui investira 3,7 milliards de dollars dans une raffinerie de pétrole dans le sud de l’île, ce qui s’annonce comme l’investissement étranger le plus important de l’histoire du Sri Lanka.

Foot: l’Allemand Thomas Müller annonce son départ du Bayern Munich après 25 ans de présence

L’Allemand Thomas Müller, double vainqueur de la Ligue des champions (2013 et 2020), a annoncé samedi matin la fin de son aventure à la fin de la saison avec le Bayern Munich, club qu’il a rejoint à dix ans en 2000 au centre de formation.Dans un message posté sur son compte Instagram en forme de lettre envoyée aux supporters du Bayern, Thomas Müller, champion du monde 2014 avec l’Allemagne, explique à 35 ans qu’il aurait souhaité prolonger d’une saison avec son club de toujours, mais que la direction a décidé “délibérément” de ne pas lui proposer un nouveau contrat.”Même si cela ne correspond pas à mes souhaits personnels, il est important que le club suive ses convictions”, a ajouté Thomas Müller, passé professionnel au Bayern au 1er juillet 2009 et qui est le joueur le plus utilisé dans l’histoire du club munichois, avec 743 matches disputés pour 247 buts inscrits.”Le Bayern célèbrera sa magnifique carrière avec un match d’adieu”, a expliqué le club dans un communiqué publié quelques minutes après l’annonce du joueur. Thomas Müller disputera ses derniers matches avec le Bayern aux Etats-Unis du 15 juin au 13 juillet, lors du Mondial des clubs, a précisé le club.L’attaquant né à Weilheim in Oberbayern, à une trentaine de kilomètres au sud de Munich, n’a pas précisé s’il comptait poursuivre sa carrière autre part.Thomas Müller affiche l’un des plus beaux palmarès du foot allemand avec, en plus de ses deux Ligues des champions et de son sacre mondial, 12 titres de champion d’Allemagne (2010 et 2013-2023), six Coupes d’Allemagne, deux Supercoupes d’Europe et deux Coupes du monde des clubs.En sélection allemande, il a disputé le premier de ses 131 matches le 3 mars 2010 dans son jardin de l’Allianz Arena à Munich, une rencontre amicale contre l’Argentine perdue 1-0. Sa dernière apparition avec l’Allemagne remonte au quart de finale de l’Euro-2024 perdu contre l’Espagne à Stuttgart. Il avait annoncé quelques semaines plus tard sa retraite internationale.Lors du triomphe de la Mannschaft à la Coupe du monde 2014 au Brésil, il avait terminé le tournoi avec cinq réalisations, dont un but et une passe décisive lors de la mythique demi-finale contre le Brésil remportée 7 à 1. Quatre ans plus tôt, avec cinq buts aussi, il avait été meilleur buteur du Mondial-2010, conclu à la 3e place.

Kylian Mbappé fait son entrée chez Madame Tussauds à Londres

L’attaquant star du Real Madrid et de l’équipe de France Kylian Mbappé dispose désormais de sa statue de cire, particulièrement ressemblante, dans le célèbre musée Madame Tussauds à Londres.Elle représente le champion du monde 2018 souriant, adoptant sa célèbre pose, les bras croisés, vêtu du maillot blanc… des Bleus – la tenue extérieure de l’équipe de France à l’Euro-2024 -, avec le brassard de capitaine. “L’ensemble de la tenue (…) a été offerte par Mbappé lui-même”, précise le musée.La statue, exposée au public à partir de vendredi, avait été présentée à Mbappé à Madrid la semaine dernière. “Laissez-moi vous présenter mon jumeau”, avait-il commenté, tout sourire à côté de son clone de cire, le 27 mars sur Instagram.La directrice du studio du musée londonien, Jo Kinsey, s’est réjouie de la réaction enthousiaste de l’ex-vedette du PSG.”C’était fantastique. Il a dit qu’il était honoré, mais c’est nous qui sommes vraiment honorés. Oui, il a beaucoup aimé” la statue, a commenté Jo Kinsey, interrogée par l’AFP.Elle s’est aussi félicitée de la réaction du public sur les réseaux sociaux face à cette figure de cire “tellement réaliste”. “Il y a eu énormément de commentaires demandant lequel des deux était le vrai Mbappé!”Avant de réaliser la statue, une équipe d’artistes a rencontré la star du ballon rond pendant plusieurs heures, afin de prendre “des centaines” de mesures (tête, taille, yeux, oreilles…) et des photos pour traduire exactement la couleur des cheveux, de la peau, des yeux, explique Jo Kinsey, ajoutant qu’un scan dentaire a même été effectué.”Pendant cette rencontre, nous avons discuté de la pose, du look”, raconte encore la responsable, ajoutant que Mbappé, “superstar mondiale, icône, footballeur exceptionnel”, était “parfaitement à sa place” dans le musée.Kylian Mbappé, 26 ans, avait déjà sa statue au musée berlinois de Madame Tussauds et au musée Grévin à Paris.

India’s Modi clinches defence, energy deals in Sri Lanka

India secured defence and energy deals with neighbouring Sri Lanka on Saturday during Prime Minister Narendra Modi’s visit, seen as a move to counter rival China’s growing influence in the region.Sri Lankan President Anura Kumara Dissanayake rolled out the red carpet for Modi and conferred on him the country’s highest civilian honour for “the deep personal friendship” shown to the smaller neighbour.”We believe that our security interests are aligned,” Modi said during a televised ceremony from Dissanayake’s office in the capital.”Our security is interdependent and interconnected.”A five-year defence cooperation agreement provides training of Sri Lankan military personnel in India as well as information and technology sharing.Dissanayake applauded what he called “India’s rise as a world power, not just a regional power”.”I have reiterated our position to Prime Minister Modi that Sri Lankan territory will not be allowed to be used by anyone to undermine India’s security,” he added.India has previously objected to Chinese submarines and research vessels which have called at the main seaport in Colombo.Sri Lanka has not allowed Chinese submarines to dock since 2014, after India raised concerns over two such visits.Last year, Colombo imposed a ban on foreign research vessels following New Delhi’s accusations that Chinese ships were being used to spy on India.On Saturday, Dissanayake welcomed Modi — the first foreign dignitary to visit Colombo since the leftist leader swept to power last year — with a 19-gun salute.- Balancing China -The two leaders also celebrated the start of construction of a 120-megawatt solar power project, developed as a joint venture between the two nations.The solar plant, located in the island’s northeastern Trincomalee district, had been stalled for years but was reinvigorated with New Delhi’s backing.Modi’s visit comes as Colombo grapples with the competing interests of New Delhi and Beijing.India has become concerned about China’s influence in Sri Lanka, which it sees as falling within its sphere of interest.Dissanayake’s first foreign visit was to New Delhi in December, but he followed it with a visit to Beijing in January, underscoring Sri Lanka’s delicate balancing act.China has emerged as Sri Lanka’s largest single bilateral creditor, accounting for more than half of its $14 billion bilateral debt at the time the island defaulted on its sovereign debt in 2022.Beijing was also the first to restructure its loans to Sri Lanka, a move that helped pave the way for the island to emerge from its worst economic meltdown.In January, Colombo announced it had signed an agreement with a Chinese state-owned company to invest $3.7 billion in an oil refinery in the island’s south.The deal would mark Sri Lanka’s largest single foreign investment and is seen as crucial for its economic recovery.Modi’s visit to Sri Lanka followed a summit in Thailand and a string of meetings with leaders of neighbouring nations as he sought to shore up India’s regional ties.On the sidelines of the Bangkok BIMSTEC meeting — the grouping of seven nations on the Bay of Bengal — Modi held a rare face-to-face meeting with Myanmar’s junta chief, Min Aung Hlaing.He also held talks on Friday with the interim leader of Bangladesh, Muhammad Yunus — the first such meeting since a revolution in Dhaka ousted New Delhi’s long-time ally Sheikh Hasina and sent relations into a tailspin.India had been the biggest benefactor of Hasina’s government, and her overthrow prompted Yunus to make his first state visit last month to China.Modi also met on Friday in Bangkok with his Nepali counterpart, KP Sharma Oli — their first meeting since Oli returned to power last year — as well as Tshering Tobgay of Bhutan.