Trump says any ‘credible’ Epstein files should be released

President Donald Trump said Tuesday the US Justice Department should release all “credible” information from its probe into notorious sex criminal Jeffrey Epstein as he sought to douse a firestorm of criticism from his supporters over his handling of the case.Trump is facing the most serious split of his political career from his famously loyal right-wing base over suspicions that his administration is covering up lurid details of Epstein’s crimes to protect rich and powerful figures they say are implicated. “The attorney general has handled that very well,” the Republican leader said of Pam Bondi, who leads the Justice Department, when he was asked about the case at the White House.Trump repeated his claim that the Epstein files were “made up” by his Democratic predecessors in the White House — even though he said multiple times during the election campaign that he would “probably” release them.”She’s handled it very well, and it’s going to be up to her,” Trump said. “Whatever she thinks is credible, she should release.”Trump’s latest comments mark a softening of his stance — he had voiced frustration in the Oval Office and online about his supporters’ fixation on Epstein and pleaded with them to move on.”I don’t understand why the Jeffrey Epstein case would be of interest to anybody,” Trump told reporters Tuesday night, adding: “It’s pretty boring stuff.”The president’s “Make America Great Again” (MAGA) movement has long held as an article of faith that “Deep State” elites are protecting Epstein’s most powerful associates in the Democratic Party and Hollywood.Trump has faced growing outrage since his administration effectively shut down Epstein-related conspiracy theories, which have become MAGA obsessions.The Justice Department and FBI said in a memo made public earlier this month there is no evidence that the disgraced financier kept a “client list” or was blackmailing powerful figures.They also dismissed the claim that Epstein was murdered in jail, confirming his death by suicide, and said they would not be releasing any more information on the probe.- ‘Let the people decide’ -It marked the first time Trump’s officials had publicly refuted the stories — pushed for years by numerous right-wing figures, notably including the FBI’s top two officials, before Trump hired them.Beyond angering supporters, the issue has opened a schism within his administration, sparking a fiery blow-up between Bondi and Deputy FBI Director Dan Bongino, who is said to be considering resigning.Trump’s attempts to take the sting out of the controversy have largely failed, with far right influencers continuing to criticize him online.Even his daughter-in-law, Lara Trump, a Fox News host, has called for “more transparency” from the administration.Trump’s most powerful ally in the US Congress, House Speaker Mike Johnson, pushed Tuesday for the administration to release more information about the case, and his stance has been echoed by multiple Republicans. “We should put everything out there and let the people decide,” he told MAGA influencer Benny Johnson’s internet show, calling on Bondi to “come forward and explain” apparent discrepancies in her statements about the case.Bondi told Fox News in February a list of Epstein clients was on her desk for review, before backtracking and saying that no such list existed. Epstein died by suicide in a New York prison in 2019 after being charged with sex trafficking.Trump — who has denied visiting the US Virgin Islands home where prosecutors say Epstein sex trafficked underage girls — said ahead of his election he would have “no problem” releasing files related to the case.Asked whether Bondi had told him if his name appeared in a file related to Epstein, Trump said “no,” adding that Bondi has “given us just a very quick briefing.”

Trump dévoile des investissements pour alimenter l’IA en électricité

Donald Trump a annoncé mardi des investissements d’entreprises privées dans l’énergie et les infrastructures en Pennsylvanie, Etat industriel de l’est des Etats-Unis, au moment où le secteur de la tech est confronté aux besoins toujours croissants en électricité de l’intelligence artificielle (IA).En tout, plusieurs organisations vont injecter environ 92 milliards de dollars dans des projets de centres de données (36 milliards) et de sites de production d’énergie (56 milliards).Le secteur des technologies s’est jeté à corps perdu dans le développement de l’IA générative, mais craint que les besoins massifs en électricité ne puissent être satisfaits par l’infrastructure existante, en particulier aux Etats-Unis.L’IA générative demande d’énormes capacités de calcul informatique, principalement pour faire fonctionner les processeurs voraces en énergie de Nvidia, cette entreprise californienne de puces électroniques devenue la plus grosse capitalisation boursière au monde en surfant très tôt sur la vague de l’IA.Les autorités américaines s’attendent à ce que d’ici à 2028, les besoins en électricité des entreprises de la tech pour l’IA soient équivalents à ceux de 5 millions de foyers.”Nous sommes ici aujourd’hui parce que nous pensons que c’est le destin de l’Amérique de dominer toutes les industries et d’être la première dans toutes les technologies, y compris la première super puissance au monde dans l’IA”, a déclaré Donald Trump sur scène.”Et nous sommes largement en avance sur la Chine, je dois le dire. Et les usines arrivent, la construction commence”, a ajouté le président américain, lors du premier Sommet sur l’énergie et l’innovation de Pennsylvanie à l’université Carnegie Mellon de Pittsburgh.- Rester “leader” -Parmi les groupes présents, Google a annoncé un investissement sur deux ans de 25 milliards de dollars dans des centres de données et infrastructures d’IA dans des Etats du nord-est du pays, ainsi que 3 milliards de dollars pour moderniser deux centrales hydroélectriques en Pennsylvanie.”Nous soutenons l’appel clair et urgent du président Trump à investir dans les infrastructures, les technologies et la production d’énergie nécessaires à l’essor de l’IA, afin que les États-Unis restent leader dans ce domaine”, a déclaré Ruth Porat, directrice des investissements d’Alphabet et Google.”Alors que les États-Unis et la Chine se livrent une course pour dominer la guerre de l’intelligence artificielle, les géants technologiques investissent massivement pour gagner des parts dans cette quatrième révolution industrielle”, a commenté l’analyste Dan Ives de Wedbush.Il estime qu’environ 15 % des budgets informatiques sont désormais réservés à l’IA ou influencés par cette technologie.D’autres entreprises technologiques, sociétés énergétiques et firmes financières étaient présentes à Pittsburgh, dont Blackstone, qui a aussi promis 25 milliards de dollars pour des centres de données et infrastructures.Les groupes comptent en outre investir dans des programmes d’apprentissage. Pour le sénateur républicain David McCormick, ces investissements sont d’une “importance énorme” pour son Etat de Pennsylvanie, mais ils sont aussi “cruciaux pour le futur du pays”.- Course avec Pékin -Ses déclarations reflètent la tendance partagée par les deux bords politiques à Washington que les Etats-Unis doivent en faire davantage pour ne pas perdre du terrain face à la Chine dans cette course à l’intelligence artificielle.”Si les Etats-Unis ne mènent pas cette révolution sous nos propres conditions, nous céderons le contrôle de notre infrastructure, de nos données, de notre leadership, et de notre mode de vide à la Chine communiste”, a déclaré le sénateur McCormick dans une tribune à Fox News.Donald Trump a lancé le projet “Stargate” en janvier, qui vise jusqu’à 500 milliards de dollars d’investissements dans les infrastructures d’IA.La firme japonaise d’investissements dans la tech SoftBank, ainsi que les entreprises américaines de la Silicon Valley OpenAI (ChatGPT) et Oracle, ont décidé d’investir 100 milliards de dollars dans la phase initiale du projet.Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a fait machine arrière sur de nombreuses réglementations adoptées sous Joe Biden pour cadrer le développement des puissants algorithmes d’IA et limiter les exportations de certaines technologies avancées à des pays alliés.Le président américain devrait dévoiler son propre programme-cadre pour le développement de l’intelligence artificielle au cours du mois de juillet.

Trump dévoile des investissements pour alimenter l’IA en électricité

Donald Trump a annoncé mardi des investissements d’entreprises privées dans l’énergie et les infrastructures en Pennsylvanie, Etat industriel de l’est des Etats-Unis, au moment où le secteur de la tech est confronté aux besoins toujours croissants en électricité de l’intelligence artificielle (IA).En tout, plusieurs organisations vont injecter environ 92 milliards de dollars dans des projets de centres de données (36 milliards) et de sites de production d’énergie (56 milliards).Le secteur des technologies s’est jeté à corps perdu dans le développement de l’IA générative, mais craint que les besoins massifs en électricité ne puissent être satisfaits par l’infrastructure existante, en particulier aux Etats-Unis.L’IA générative demande d’énormes capacités de calcul informatique, principalement pour faire fonctionner les processeurs voraces en énergie de Nvidia, cette entreprise californienne de puces électroniques devenue la plus grosse capitalisation boursière au monde en surfant très tôt sur la vague de l’IA.Les autorités américaines s’attendent à ce que d’ici à 2028, les besoins en électricité des entreprises de la tech pour l’IA soient équivalents à ceux de 5 millions de foyers.”Nous sommes ici aujourd’hui parce que nous pensons que c’est le destin de l’Amérique de dominer toutes les industries et d’être la première dans toutes les technologies, y compris la première super puissance au monde dans l’IA”, a déclaré Donald Trump sur scène.”Et nous sommes largement en avance sur la Chine, je dois le dire. Et les usines arrivent, la construction commence”, a ajouté le président américain, lors du premier Sommet sur l’énergie et l’innovation de Pennsylvanie à l’université Carnegie Mellon de Pittsburgh.- Rester “leader” -Parmi les groupes présents, Google a annoncé un investissement sur deux ans de 25 milliards de dollars dans des centres de données et infrastructures d’IA dans des Etats du nord-est du pays, ainsi que 3 milliards de dollars pour moderniser deux centrales hydroélectriques en Pennsylvanie.”Nous soutenons l’appel clair et urgent du président Trump à investir dans les infrastructures, les technologies et la production d’énergie nécessaires à l’essor de l’IA, afin que les États-Unis restent leader dans ce domaine”, a déclaré Ruth Porat, directrice des investissements d’Alphabet et Google.”Alors que les États-Unis et la Chine se livrent une course pour dominer la guerre de l’intelligence artificielle, les géants technologiques investissent massivement pour gagner des parts dans cette quatrième révolution industrielle”, a commenté l’analyste Dan Ives de Wedbush.Il estime qu’environ 15 % des budgets informatiques sont désormais réservés à l’IA ou influencés par cette technologie.D’autres entreprises technologiques, sociétés énergétiques et firmes financières étaient présentes à Pittsburgh, dont Blackstone, qui a aussi promis 25 milliards de dollars pour des centres de données et infrastructures.Les groupes comptent en outre investir dans des programmes d’apprentissage. Pour le sénateur républicain David McCormick, ces investissements sont d’une “importance énorme” pour son Etat de Pennsylvanie, mais ils sont aussi “cruciaux pour le futur du pays”.- Course avec Pékin -Ses déclarations reflètent la tendance partagée par les deux bords politiques à Washington que les Etats-Unis doivent en faire davantage pour ne pas perdre du terrain face à la Chine dans cette course à l’intelligence artificielle.”Si les Etats-Unis ne mènent pas cette révolution sous nos propres conditions, nous céderons le contrôle de notre infrastructure, de nos données, de notre leadership, et de notre mode de vide à la Chine communiste”, a déclaré le sénateur McCormick dans une tribune à Fox News.Donald Trump a lancé le projet “Stargate” en janvier, qui vise jusqu’à 500 milliards de dollars d’investissements dans les infrastructures d’IA.La firme japonaise d’investissements dans la tech SoftBank, ainsi que les entreprises américaines de la Silicon Valley OpenAI (ChatGPT) et Oracle, ont décidé d’investir 100 milliards de dollars dans la phase initiale du projet.Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a fait machine arrière sur de nombreuses réglementations adoptées sous Joe Biden pour cadrer le développement des puissants algorithmes d’IA et limiter les exportations de certaines technologies avancées à des pays alliés.Le président américain devrait dévoiler son propre programme-cadre pour le développement de l’intelligence artificielle au cours du mois de juillet.

Trump unveils investments to power AI boom

US President Donald Trump went to Pennsylvania on Tuesday to announce $92 billion in energy and infrastructure deals intended to meet big tech’s soaring demand for electricity to fuel the AI boom.Trump made the announcement at the inaugural Pennsylvania Energy and Innovation Summit at Carnegie Mellon University, with much of the talk about beating China in the global AI race.”Today’s commitments are ensuring that the future is going to be designed, built and made right here in Pennsylvania and right here in Pittsburgh, and I have to say, right here in the United States of America,” Trump said at the event.The tech world has fully embraced generative AI as the next wave of technology, but fears are growing that its massive electricity needs cannot be met by current infrastructure, particularly in the United States.Generative AI requires enormous computing power, mainly to run the energy-hungry processors from Nvidia, the California-based company that has become the world’s most valuable company by market capitalization.Officials expect that by 2028, tech companies will need as much as five gigawatts of power for AI — enough electricity to power roughly five million homes.Top executives from Palantir, Anthropic, Exxon and Chevron attended the event.The funding will cover new data centers, power generation, grid infrastructure, AI training, and apprenticeship programs.- Race to beat China -Among investments, Google committed $25 billion to build AI-ready data centers in Pennsylvania and surrounding regions.”We support President Trump’s clear and urgent direction that our nation invest in AI… so that America can continue to lead in AI,” said Ruth Porat, Google’s president and chief investment officer.The search engine giant also announced a partnership with Brookfield Asset Management to modernize two hydropower facilities in Pennsylvania, representing 670 MW of capacity on the regional grid.Investment group Blackstone pledged more than $25 billion to fund new data centers and energy infrastructure.US Senator David McCormick, from Pennsylvania, said the investments “are of enormous consequence to Pennsylvania, but they are also crucial to the future of the nation.”His comments reflect the growing sentiment in Washington that the United States must not lose ground to China in the race to develop AI.”We are way ahead of China and the plants are starting up, the construction is starting up,” Trump said.The US president launched the “Stargate” project in January, aimed at investing up to $500 billion in US AI infrastructure — primarily in response to growing competition with China.Japanese tech investor SoftBank, ChatGPT-maker OpenAI, and Oracle are investing $100 billion in the initial phase.Trump has also reversed many policies adopted by the previous Biden administration that imposed checks on developing powerful AI algorithms and limits on exports of advanced technology to certain allied countries.He is expected to outline his own blueprint for AI advancement later this month.

Wall Street termine sans direction claire, entre droits de douane et inflation

La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé mardi, minée par les derniers développements sur le front commercial et par les chiffres de l’inflation américaine, le Nasdaq profitant pour sa part de la montée de Nvidia.L’indice Nasdaq, qui concentre les valeurs technologiques, a gagné 0,18% et a atteint un nouveau record, à 20.677,80 points. L’indice élargi S&P 500 a perdu 0,40% et le Dow Jones a reculé de 0,98%.Les actions “ont reculé en raison de nouvelles inquiétudes concernant les surtaxes douanières”, commente dans une note Jose Torres, d’Interactive Brokers.Donald Trump a annoncé mardi être parvenu à un accord commercial avec l’Indonésie, qui pourrait permettre au pays d’Asie du Sud-Est d’éviter de se voir imposer des droits de douane au-delà du plancher de 10% imposé par Washington.Le président américain a annoncé vouloir obtenir plusieurs dizaines d’accords commerciaux avant le 1er août, mais jusqu’ici, seulement trois accords (Royaume-Uni, Vietnam et Indonésie) ont été annoncés, alors que la Maison Blanche avait assuré être en capacité d’en signer jusqu’à 90.Les changements de cap de l’administration en matière de commerce ont été “assez chaotiques”, résume auprès de l’AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management.”Les marchés sont déstabilisés par les mesures commerciales prises par Trump, avec plus de nouvelles négatives que positives ces derniers temps”, ajoute l’analyste.Côté indicateurs, les investisseurs ont digéré de nouvelles données sur l’inflation côté consommateurs qui a progressé en juin de 2,7% sur un an, contre 2,4% en mai, selon l’indice CPI.Si cette accélération est en ligne avec les attentes des analystes, c’est le deuxième mois consécutif de hausse sur un an, alors qu’elle avait eu tendance à se rapprocher auparavant de la cible de 2% de hausse sur un an, visée par la banque centrale américaine (Fed).”Le rapport est meilleur que ce que l’on craignait, mais pas assez pour dissiper la crainte que les droits de douane n’entraînent une hausse de l’inflation”, expliquent dans une note les analystes de Briefing.com.”Les attentes en matière de réduction des taux d’intérêt ont diminué de manière significative” après ces données, ajoutent-ils.Alors que l’essentiel des investisseurs anticipait une baisse lors de la réunion de septembre de la Fed, ils sont désormais presque autant à estimer que l’institution pourrait à nouveau prolonger son statu quo, selon l’outil CME, Fedwatch.La publication de l’indice a provoqué une hausse des taux obligataires américains: le rendement de l’emprunt à dix ans est passé de 4,43% à la clôture lundi à 4,48% vers 20H15 GMT.Mercredi est attendue l’inflation côté producteurs, là aussi pour le mois de juin.Ailleurs, à la cote, le géant des semiconducteurs Nvidia (+4,04% à 170,70 dollars) a soutenu le Nasdaq après avoir annoncé mardi reprendre les ventes à la Chine d’un modèle de puces électroniques avancées pour l’intelligence artificielle (IA).Début juillet, Nvidia a été la première entreprise à franchir le seuil historique de 4.000 milliards de dollars de valorisation. Cette annonce pourrait encore pousser le titre, selon les analystes.Les résultats trimestriels des banques n’ont pas tous convaincu Wall Street: JPMorgan Chase (-0,83% à 286,30 dollars) et Wells Fargo (-5,49% à 78,85 dollars) ont reculé malgré de meilleures performances qu’attendu. Blackrock, le plus gros gestionnaire d’actifs au monde, a reculé de 5,87% à 1.040,52 dollars, malgré un chiffre d’affaires et des bénéfices en hausse au deuxième trimestre.La banque américaine Citigroup a, elle, avancé (+3,61% à 90,66 dollars) après avoir dépassé les attentes des analystes grâce aux activités de marché et de gestion de fortune.Boeing a brièvement pris de la vitesse, avant de retomber (-0,23% à 229,98 dollars) après que Donald Trump a annoncé que l’accord commercial entre les Etats-Unis et l’Indonésie prévoit, entre autres, l’achat de cinquante avions du constructeur américain par le pays d’Asie du Sud-Est.

Nasdaq gains while Dow, S&P 500 fall as US inflation ticks higher

Most US and European share indices slid on Tuesday, as US inflation data indicated President Donald Trump’s tariffs could be feeding into his country’s economy.In New York, the Nasdaq edged higher to close at another record, propelled by buoyant news from tech darling Nvidia. But the blue-chip Dow and broader S&P 500 both retreated.The US consumer price index for June showed inflation rose 2.7 percent compared with a year earlier.Though in line with economists’ forecasts, the rate was above the Federal Reserve’s two-percent target and marked an acceleration from the prior month.Jochen Stanzl, an analyst at CMC Markets, said detail in the CPI report “points to a trend toward stagflation — an unwelcome topic for investors in an increasingly overvalued market.”Stephen Innes, managing partner at SPI Asset Management, said that “the CPI release showed some early signs of tariff pass-through but underlying inflation remains muted.”Since April, the United States has imposed a baseline 10-percent tariff on goods imported from most of its main trading partners, with steeper levies on steel, aluminum and cars. Trump has threatened big tariff hikes on August 1 on numerous countries if they do not reach deals.On Tuesday, Trump announced a trade agreement with Indonesia. Indonesian goods entering the United States would encounter a 19 percent tariff, below the 32 percent previously threatened.The Indonesia accord, however, comes as US negotiations remain unresolved with around two dozen other trading partners.High stock market prices “may be emboldening the administration to keep up the bluster on tariffs,” said Art Hogan of B. Riley Wealth Management.- Tariff threat to Russia -Most Asian indices closed higher before the US inflation report came out, except for those in Shanghai and Mumbai.China and India are both major trading partners of Russia — which Trump said would be hit with tariffs of up to 100 percent within 50 days if President Vladimir Putin did not end his war on Ukraine.China, which has negotiated a US tariff truce, had on Tuesday issued economic growth data that met expectations, largely thanks to an April-June export surge to get ahead of Trump’s levies.Even though Russia is a major crude producer, oil traders bid prices lower, not higher, following Trump’s announcement.”The fact that oil prices fell suggests investors are relieved that Trump has allowed sufficiently enough time for Putin to agree to a ceasefire,” said Fawad Razaqzada, analyst at Forex.com.”They are also getting used to Trump threatening tariffs, only to change his mind in the last minute and extend deadlines,” he said. In corporate news, US banks JPMorgan Chase, Wells Fargo and Citi posted strong second-quarter results.And Nvidia’s share price jumped after it said US export restrictions will be eased to allow it to sell its H20 artificial intelligence chips to China.- Key figures at around 2030 GMT -New York – Dow: DOWN 1.0 percent at 44,023.29 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.4 percent at 6,243.76 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.2 percent at 20,677.80 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.7 percent at 8,938.32 (close) Paris – CAC 40: DOWN 0.5 percent at 7,766.21 (close) Frankfurt – DAX: DOWN 0.4 percent at 24,060.29 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.6 percent at 39,678.02 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.6 percent at 24,590.12 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.4 percent at 3,505.00 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1606 from $1.1664Pound/dollar: DOWN at $1.3383 from $1.3427Dollar/yen: UP at 148.85 yen from 147.72 yenEuro/pound: DOWN at 86.69 pence from 86.87 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.7 percent at $68.71 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.7 percent at $66.52 per barrelburs-jmb/aha

Trump envoy demands Israel action on killing of American

The US ambassador to Israel on Tuesday demanded an aggressive investigation and consequences after settlers beat to death a Palestinian-American, in rare public pressure against the ally by President Donald Trump’s administration.Ambassador Mike Huckabee, an outspoken supporter for years of Jewish settlement in the Palestinian territories, spoke out after an initial muted US official reaction to the death of Saif al-Din Abdul Karim Musalat.”I have asked Israel to aggressively investigate the murder of Saif Mussallet, an American citizen who was visiting family in Sinjil when he was beaten to death,” Huckabee wrote on X, using an alternative spelling.”There must be accountability for this criminal and terrorist act. Saif was just 20 yrs old,” Huckabee wrote.Musalat, who was born and raised in Florida and ran an ice cream parlor in Tampa, had planned to spend the summer in an area of the West Bank known for residents from the Palestinian diaspora in North America.Israeli settlers beat him to death on Friday, according to the Palestinian health ministry, amid a surge in violence by extremists in the West Bank in parallel to the Israeli offensive in Gaza.Musalat’s family said he was “protecting his family’s land from settlers who were attempting to steal it” and that settlers blocked an ambulance, with the young man dying before he could reach a hospital.Trump has staunchly supported Israel and in his first term the United States walked away from the international consensus that settlements on occupied land were illegal.Huckabee, a former governor of Arkansas and evangelical Christian, has previously rejected the idea of an occupation and had voiced support for settlements.Huckabee has said that Israel has “title deed to Judea and Samaria,” using a biblical term for the West Bank.Hakeem Jeffries, the top House lawmaker from the rival Democratic Party, early Tuesday also demanded action from Israel over the death of Musalat and called for a tougher response from Trump.”The Trump administration cannot continue to turn a blind eye to what is happening in the West Bank if it is truly committed to finding a just and lasting peace between Israel and the Palestinian people,” Jeffries said in a statement.

US banks see lower recession risk despite tariff fog

Large US banks reported results that topped estimates Tuesday as executives pointed to American economic resilience and said businesses were adapting to tariff uncertainty.Executives from JPMorgan Chase and Citigroup described US consumers as still fundamentally in good shape despite continued risks to the outlook. Both banks now see a lower risk of recession compared with April, when they last reported results.Top officials with the banks also characterized clients as less frazzled by President Donald Trump constantly changing trade policy compared with April, when financial markets were in turmoil.In the last week alone, Trump has threatened deep tariffs on some two dozen countries and spoken of new levies on copper and pharmaceuticals — announcements that many market watchers remain skeptical will be enacted in light of previous tariff pivots by the US president.”The corporate community … has sort of accepted that they just need to navigate through this and are kind of getting on with it,” JPMorgan Chief Financial Officer Jeremy Barnum told reporters on a conference call.Later on a call with Wall Street analysts, Barnum described US consumer spending as still fairly robust. “We continue to struggle to see signs of weakness,” Barnum said. “The consumer basically seems to be fine.”Citigroup CFO Mark Mason said businesses had acquired more “comfort with the uncertainty” compared to earlier in the year.”The general sentiment has improved a bit if you look at things like the prospect of a recession, that has fallen significantly from what it was earlier in the second quarter,” Mason told reporters on a conference call.- Soft landing eyed -At JPMorgan, second-quarter profits came in at $15 billion, down 17 percent from the year-ago period when results were boosted by a one-time equity item.But that translated into $4.96 per share, compared with $4.49 projected by analysts behind higher profits in operating divisions.Revenues were $44.9 billion, down 11 percent from the year-ago period.In the most recent quarter, JPMorgan benefited from higher asset management fees, as well as increased trading revenues amid financial market volatility during stretches of the quarter. These aspects helped offset higher technology expenses.JPMorgan chief executive Jamie Dimon said investment banking activity had started slowly in the quarter, “but gained momentum as market sentiment improved,” resulting in a seven percent gain.Dimon described the tax cut extensions Trump recently signed into law as “positive” for the economic outlook, along with “potential deregulation,” according to a statement.”However, significant risks persist –- including from tariffs and trade uncertainty, worsening geopolitical conditions, high fiscal deficits and elevated asset prices,” Dimon said. “As always, we hope for the best but prepare the firm for a wide range of scenarios.”During a conference call with reporters, Dimon said the cautious comments related to possible outcomes and were not a prediction.”The world is kind of pricing in a soft landing,” he said. “We’ve been in that soft landing and it may very well continue.”At Citi, profits came in at $4.0 billion, up 25 percent from the year-ago level, while revenues rose eight percent to $21.7 billion. Profits were boosted by higher markets revenue and investment banking fees, among other areas.Mason described the macroeconomic outlook as improved from April, which points to the “underlying strength” of the US private sector and capital markets.”We do anticipate further consumer cooling the second half (of 2025) as tariff effects play through,” Mason said, while adding that “the global economic performance has been quite resilient.”Shares of JPMorgan were decline 0.8 percent, while Citigroup rose 3.6 percent.

Les forces syriennes accusées d’avoir exécuté une vingtaine de civils druzes

Une ONG a accusé mardi les forces gouvernementales d’avoir exécuté une vingtaine de civils druzes après leur déploiement dans la ville de Soueida, dans le sud de la Syrie, où des habitants terrorisés ont témoigné de nombreuses exactions.Les forces syriennes se sont déployées mardi matin dans cette ville jusque là tenue par des combattants druzes locaux, dans une claire volonté du pouvoir islamiste d’y étendre son autorité après des violences entre groupes druzes et bédouins qui ont fait plus de cent morts depuis dimanche.Israël, pays voisin qui assure vouloir défendre la communauté druze, majoritaire dans cette ville d’environ 150.000 habitants, a bombardé les forces gouvernementales après leur entrée à Soueida. La Syrie a dénoncé ces frappes.L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) a affirmé que 21 civils druzes avaient été “exécutés” par les forces gouvernementales, parmi lesquels douze personnes tuées après la “prise d’assaut” d’une maison d’hôtes de la ville.Une vidéo non authentifiée circulant sur les réseaux sociaux montrait au moins 10 personnes en civil couvertes de sang à l’intérieur de la maison d’hôtes, certaines allongées au sol. L’ONG a également rapporté qu’un groupe armé lié aux forces gouvernementales avait exécuté “quatre civils druzes, dont une femme”, dans un village voisin, et qu’un autre groupe avait abattu trois hommes en présence de leur mère.Un correspondant de l’AFP, entré à Soueida peu après les forces gouvernementales, a vu des corps gisant au sol alors que des coups de feu résonnaient par intermittence dans la ville déserte, placée sous couvre-feu.- “Pratiques sauvages” -“Je me trouve dans le centre de Soueida”, a déclaré au téléphone à l’AFP un habitant terré chez lui, qui n’a pas dévoilé son identité. “Il y a des exécutions, des maisons et des magasins qui sont brûlés, des vols et des pillages”.”Les forces gouvernementales sont entrées dans la ville sous prétexte de rétablir la sécurité (…) mais malheureusement elles se sont livrées à des pratiques sauvages”, a affirmé à l’AFP Rayan Maarouf, rédacteur en chef du site local Suwayda 24, parlant de “dizaines” de civils tués.L’émissaire américain en Syrie, Tom Barrack, a jugé “inquiétantes” ces violences et dit oeuvrer “avec toutes les parties” pour un retour au calme.Ces violences illustrent les défis auxquels fait face le pouvoir intérimaire d’Ahmad al-Chareh depuis qu’il a renversé, avec une coalition de groupes rebelles sunnites, le président Bachar al-Assad en décembre, dans un pays meurtri par près de 14 ans de guerre civile.La province de Soueida abrite la plus importante communauté druze du pays, une minorité ésotérique issue de l’islam qui comptait quelque 700.000 membres en Syrie avant la guerre civile, et est aussi implantée au Liban et en Israël.Israël, qui bombarde depuis lundi des positions des forces gouvernementales syriennes dans la région de Soueida, a affirmé qu’il ne permettrait pas de présence militaire dans le sud de la Syrie, à proximité de leur frontière commune.  “Nous agissons pour empêcher le régime syrien de leur nuire (aux druzes, ndlr) et pour garantir la démilitarisation de la zone adjacente à notre frontière avec la Syrie”, ont déclaré conjointement mardi le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et le ministre de la Défense, Israël Katz.”Nous ne permettrons pas le retour à une situation où un +second Liban+ est établi” dans cette région, a affirmé plus tard Benjamin Netanyahu, faisant référence aux conflits qui ont opposé son pays au Hezbollah libanais. – Confusion -Les violences avaient éclaté dimanche entre des combattants druzes et des tribus bédouines, aux relations tendues depuis des décennies. Selon l’OSDH, ces violences ont fait 203 morts, parmi lesquels 71 druzes, dont deux femmes et deux enfants, 93 membres de forces gouvernementales et 18 bédouins, outre les 21 civils druzes exécutés.Après avoir déployé d’importants renforts et pris lundi le contrôle de plusieurs localités druzes aux abords de Soueida, les forces syriennes sont entrées mardi matin dans la ville, où des affrontements avec des combattants druzes ont éclaté.Malgré un cessez-le-feu annoncé par les autorités, la situation restait confuse dans la ville.Le ministère de l’Intérieur a annoncé dans la soirée que des affrontements se poursuivaient “dans certains quartiers” de Soueida et affirmé que les accords passés avec les chefs religieux pour rétablir le calme avaient été “violés”.Après la chute de Bachar al-Assad, les violences meurtrières en mars contre la communauté alaouite, dont est issu l’ex-président, puis contre les druzes, ainsi qu’un attentat contre une église à Damas en juin, ont ébranlé la confiance dans la capacité du nouveau pouvoir syrien à protéger les minorités.