Republicans skittish over Epstein votes close US House early

The Republican leadership in the House of Representatives on Wednesday sent lawmakers home early for a six-week summer break to avoid being forced into awkward votes on the probe into the late, politically connected sex offender Jeffrey Epstein.The furor around the disgraced financier, who died in prison in 2019 while awaiting trial for trafficking minors, is still roiling Donald Trump’s administration two weeks after his Justice Department effectively closed the case, announcing there was no more information to share.Democrats in the House — keen to capitalize on the simmering controversy — have been trying to force a vote that would compel the publication of the full Epstein case files.Desperate to avert the effort, the Republican leadership canceled votes scheduled for Thursday, sending lawmakers home for the August recess a day early.House Speaker Mike Johnson, a Trump loyalist, sought to frame the early finish as business-as-usual, insisting that many lawmakers would be continuing committee work rather than heading back to their districts, and denying claims of a cover-up.  “Democrats said nothing and did nothing — absolutely nothing — about bringing transparency for the entire four years of the Biden presidency,” Johnson told reporters at the US Capitol.”Now, all of a sudden, they want the American people to believe that they actually care. Their actions belie their words.”But Democrats accused the majority Republicans of running scared of their own voters, many of whom have been demanding more transparency.”As it relates to releasing the Epstein files that every single one of the top leaders of the Trump Justice Department — and the Trump FBI and the vice president and the president himself — promised to release, Republicans are on the run,” House Minority Leader Hakeem Jeffries told reporters.In a July 7 memo, the Justice Department said the Epstein “client list” that Attorney General Pam Bondi claimed to have been reviewing did not in fact exist, and reaffirmed that he died by suicide in his prison cell. It sparked a furious backlash from Trump’s “MAGA” support base, who have for years been told by their leaders that a “deep state” cover-up was protecting figures in the Democratic Party whom they accuse of being Epstein’s clients.- ‘Dirtbags’ -Trump’s MAGA lieutenants — including two allies who have since been hired to run the FBI — made careers of fanning the conspiracy theories, including that Epstein’s suicide was actually a murder ordered by his powerful clients.Prominent online influencers and media figures in the movement — as well as ordinary voters — have spoken of feeling betrayed after Trump began publicly castigating them for wanting answers. Further complicating the issue for Republicans, Trump’s own ties to Epstein are extensive.The pair were frequently pictured partying together during a 15-year friendship before they fell out in 2004 over a property deal.The White House has been furiously pushing back against a Wall Street Journal report that said Trump had contributed a “bawdy” letter with his signature for Epstein’s 50th birthday in 2003. Under the biggest political pressure in the first six months of his second presidential term, Trump has authorized Bondi to release “credible” Epstein information and has asked courts to unseal grand jury transcripts in the case. Bondi’s deputy Todd Blanche said this week he was seeking a meeting with Epstein accomplice Ghislaine Maxwell, 63, who is serving a 20-year sentence for sex trafficking and other crimes.With a Republican rebellion in the House gathering pace, the Oversight and Government Reform subcommittee had already voted to subpoena Maxwell to talk with lawmakers at her Florida prison.”We’ve got to send a message to these dirtbags that do this, that this is not acceptable behavior,” said Republican Tim Burchett, who introduced the motion.Epstein admitted two state felony prostitution charges in 2008 as part of a plea deal — arranged by a prosecutor who would go on to serve in Trump’s cabinet — that was widely criticized as being too lenient. 

Début des pourparlers entre Russes et Ukrainiens à Istanbul

Russes et Ukrainiens ont entamé mercredi soir une troisième session de négociations directes à Istanbul, des pourparlers de paix que le Kremlin qualifie de “très compliqués”, éloignant à nouveau la possibilité d’avancées diplomatiques rapides pour mettre fin à la guerre déclenchée en février 2022.”Notre objectif est de mettre fin à cette guerre sanglante le plus rapidement possible”, a déclaré Hakan Fidan, le ministre turc des Affaires étrangères et hôte des discussions, en ouvrant cette nouvelle session au palais de Çiragan. “Le but ultime est un cessez-le-feu qui ouvrira la voie à la paix”, a-t-il ajouté après un entretien avec les chefs des délégations russe et ukrainienne, Vladimir Medinski et Roustem Oumerov.Le Kremlin a un peu plus tôt relativisé les attentes quant à l’issue de ces discussions. “Personne ne s’attend à un chemin facile. Bien entendu, ce sera une discussion très compliquée”, a dit à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, répétant que les propositions respectives des belligérants pour arrêter le conflit étaient “diamétralement opposées”.Une source au sein de la délégation envoyée par Kiev a, quant à elle, dit à l’AFP espérer une “position constructive” de la Russie et qu’elle renonce à “ses ultimatums”.- Pressions de Trump -Les négociateurs ukrainiens ont avant cela vu à Ankara des hauts responsables turcs, notamment le président Recep Tayyip Erdogan, a raconté sur X le chef du cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, lui-même présent pendant ces échanges.Ces pourparlers directs interviennent une nouvelle fois à la suite de pressions exercées par le président américain Donald Trump qui a donné à Moscou, mi-juillet, 50 jours pour parvenir à un accord avec l’Ukraine, sous peine de sanctions sévères.Kiev et ses alliés occidentaux accusent le Kremlin de bloquer les négociations en maintenant des demandes maximalistes, tandis que l’armée russe, plus nombreuse et mieux équipée, poursuit ses attaques sur le front, où elle grignote chaque jour du terrain.Mercredi, le ministère russe de la Défense a ainsi revendiqué la conquête d’un nouveau village, Varatchyné, dans la région ukrainienne de Soumy (nord-est) où, au cours de la nuit, des frappes de drones russes ont entraîné des coupures d’électricité chez plus de 220.000 clients, selon M. Zelensky.  – “Mémorandums” et échanges de prisonniers -Les positions des deux camps semblent actuellement irréconciliables. Les discussions à Istanbul de mai et juin n’avaient débouché que sur des accords d’échanges de prisonniers et de corps de soldats tués.La délégation ukrainienne est conduite, comme les fois précédentes, par l’ex-ministre de la Défense Roustem Oumerov, qui passe pour être un fin diplomate.L’équipe russe est dirigée, comme auparavant, par un responsable de second plan, au grand dam des autorités ukrainiennes : l’ex-ministre de la Culture et historien nationaliste Vladimir Medinski.Selon le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, les pourparlers porteront principalement sur les “mémorandums” échangés en juin par les deux camps et comprenant leurs propositions de paix.Il sera également question “du processus très important” d’échange de prisonniers, a confirmé M. Peskov.Kiev, a déclaré une source au sein de la délégation ukrainienne à l’AFP, veut également discuter de l’échange de prisonniers, ainsi que du rapatriement d’enfants ukrainiens emmenés en Russie et d’une potentielle rencontre entre Volodymyr Zelensky et son homologue russe Vladimir Poutine.- Nouvelles frappes nocturnes -Sur le terrain, les opérations militaires se poursuivent. Dans la nuit, 71 drones russes ont visé l’Ukraine, selon l’armée de l’air. Trois personnes ont été tuées dans la région de Kherson (sud), d’après les autorités locales qui ont également fait état de neuf blessés.Pour sa part, l’armée russe a affirmé avoir neutralisé pendant la nuit 33 drones ukrainiens lancés contre la Russie. Moscou réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées de l’est et du sud de son territoire, en plus de la Crimée annexée en 2014, renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.Des conditions inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales dont la poursuite des livraisons d’armes et le déploiement d’un contingent européen, ce à quoi s’oppose la Russie.L’Ukraine réclame aussi, de concert avec ses alliés européens, un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes, dont les forces ont l’avantage sur le terrain.Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a quant à lui repris le contact avec Moscou pour tenter, sans grands résultats, d’arrêter la guerre, qui a fait a minima des dizaines de milliers de morts parmi les civils et les militaires dans les deux camps.Ces dernières semaines, le président américain a exprimé sa frustration à l’égard de la Russie et a affirmé que des équipements militaires américains, payés par des Etats européens membres de l’Otan, seraient envoyés à l’Ukraine.

Début des pourparlers entre Russes et Ukrainiens à Istanbul

Russes et Ukrainiens ont entamé mercredi soir une troisième session de négociations directes à Istanbul, des pourparlers de paix que le Kremlin qualifie de “très compliqués”, éloignant à nouveau la possibilité d’avancées diplomatiques rapides pour mettre fin à la guerre déclenchée en février 2022.”Notre objectif est de mettre fin à cette guerre sanglante le plus rapidement possible”, a déclaré Hakan Fidan, le ministre turc des Affaires étrangères et hôte des discussions, en ouvrant cette nouvelle session au palais de Çiragan. “Le but ultime est un cessez-le-feu qui ouvrira la voie à la paix”, a-t-il ajouté après un entretien avec les chefs des délégations russe et ukrainienne, Vladimir Medinski et Roustem Oumerov.Le Kremlin a un peu plus tôt relativisé les attentes quant à l’issue de ces discussions. “Personne ne s’attend à un chemin facile. Bien entendu, ce sera une discussion très compliquée”, a dit à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, répétant que les propositions respectives des belligérants pour arrêter le conflit étaient “diamétralement opposées”.Une source au sein de la délégation envoyée par Kiev a, quant à elle, dit à l’AFP espérer une “position constructive” de la Russie et qu’elle renonce à “ses ultimatums”.- Pressions de Trump -Les négociateurs ukrainiens ont avant cela vu à Ankara des hauts responsables turcs, notamment le président Recep Tayyip Erdogan, a raconté sur X le chef du cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, lui-même présent pendant ces échanges.Ces pourparlers directs interviennent une nouvelle fois à la suite de pressions exercées par le président américain Donald Trump qui a donné à Moscou, mi-juillet, 50 jours pour parvenir à un accord avec l’Ukraine, sous peine de sanctions sévères.Kiev et ses alliés occidentaux accusent le Kremlin de bloquer les négociations en maintenant des demandes maximalistes, tandis que l’armée russe, plus nombreuse et mieux équipée, poursuit ses attaques sur le front, où elle grignote chaque jour du terrain.Mercredi, le ministère russe de la Défense a ainsi revendiqué la conquête d’un nouveau village, Varatchyné, dans la région ukrainienne de Soumy (nord-est) où, au cours de la nuit, des frappes de drones russes ont entraîné des coupures d’électricité chez plus de 220.000 clients, selon M. Zelensky.  – “Mémorandums” et échanges de prisonniers -Les positions des deux camps semblent actuellement irréconciliables. Les discussions à Istanbul de mai et juin n’avaient débouché que sur des accords d’échanges de prisonniers et de corps de soldats tués.La délégation ukrainienne est conduite, comme les fois précédentes, par l’ex-ministre de la Défense Roustem Oumerov, qui passe pour être un fin diplomate.L’équipe russe est dirigée, comme auparavant, par un responsable de second plan, au grand dam des autorités ukrainiennes : l’ex-ministre de la Culture et historien nationaliste Vladimir Medinski.Selon le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, les pourparlers porteront principalement sur les “mémorandums” échangés en juin par les deux camps et comprenant leurs propositions de paix.Il sera également question “du processus très important” d’échange de prisonniers, a confirmé M. Peskov.Kiev, a déclaré une source au sein de la délégation ukrainienne à l’AFP, veut également discuter de l’échange de prisonniers, ainsi que du rapatriement d’enfants ukrainiens emmenés en Russie et d’une potentielle rencontre entre Volodymyr Zelensky et son homologue russe Vladimir Poutine.- Nouvelles frappes nocturnes -Sur le terrain, les opérations militaires se poursuivent. Dans la nuit, 71 drones russes ont visé l’Ukraine, selon l’armée de l’air. Trois personnes ont été tuées dans la région de Kherson (sud), d’après les autorités locales qui ont également fait état de neuf blessés.Pour sa part, l’armée russe a affirmé avoir neutralisé pendant la nuit 33 drones ukrainiens lancés contre la Russie. Moscou réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées de l’est et du sud de son territoire, en plus de la Crimée annexée en 2014, renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.Des conditions inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales dont la poursuite des livraisons d’armes et le déploiement d’un contingent européen, ce à quoi s’oppose la Russie.L’Ukraine réclame aussi, de concert avec ses alliés européens, un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes, dont les forces ont l’avantage sur le terrain.Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a quant à lui repris le contact avec Moscou pour tenter, sans grands résultats, d’arrêter la guerre, qui a fait a minima des dizaines de milliers de morts parmi les civils et les militaires dans les deux camps.Ces dernières semaines, le président américain a exprimé sa frustration à l’égard de la Russie et a affirmé que des équipements militaires américains, payés par des Etats européens membres de l’Otan, seraient envoyés à l’Ukraine.

Trump admin unveils AI strategy to maintain US dominance

President Donald Trump’s administration unveiled an aggressive, low-regulation strategy on Wednesday boosting big tech’s race to stay ahead of China on artificial intelligence and cement US dominance in the fast-expanding field.The 25-page “America’s AI Action Plan” outlines three aims: accelerating innovation, building infrastructure, and leading internationally on AI. Overall, the administration frames AI advancement as critical to maintaining economic and military supremacy. Environmental consequences in the planning document are sidelined.”We believe we’re in an AI race…and we want the United States to win that race,” said the White House’s AI point person David Sacks in a call with reporters.Trump was expected to formally announce the plan at an event later Wednesday and sign a series of executive orders to give key components of the strategy additional legal weight.In its collection of more than 90 government proposals, the plan calls for sweeping deregulation, with the administration promising to “remove red tape and onerous regulation” that could hinder private sector AI development.Much of that work has already been carried out through a Trump executive order repealing the AI policies of the Biden administration. The plan also asked the Federal Communications Commission to find ways to legally stop US states from implementing their own AI regulations and threatened to rescind federal aid to states that did so.The American Civil Liberties Union warned this would thwart “initiatives to uphold civil rights and shield communities from biased AI systems in areas like employment, education, health care, and policing.” The Trump action plan also calls for AI systems to be “free from ideological bias” and designed to pursue objective truth rather than what the administration calls “social engineering agendas.”This criterion would apply to AI companies wanting to do business with the US government.A senior White House official said the main target was AI models that gave attention to diversity and inclusion concerns in programming their model output — reflecting the Trump administration’s anti-“woke” agenda.A major focus in the plan involves building AI infrastructure, including streamlined permitting for data centers and energy facilities that would overlook environmental concerns to build as swiftly as possible.AI “challenges America to build vastly greater energy generation than we have today,” the plan said.The administration, which largely rejects international science showing a growing climate crisis, proposes creating new environmental review exemptions for data center construction and expanding access to federal lands for AI infrastructure development.- Job replacement -Addressing fears that AI will replace humans and create mass job losses across entire sectors, the administration’s plan says instead that “AI will improve the lives of Americans by complementing their work — not replacing it.”The strategy calls for efforts to “counter Chinese influence in international governance bodies” and strengthen export controls on advanced AI computing technology.The plan also proposes evaluating Chinese AI models “for alignment with Chinese Communist Party talking points and censorship.”At the same time, the strategy calls on the government to champion US technology in conquering overseas markets.These plans will help “ensure America sets the technological gold standard worldwide, and that the world continues to run on American technology,” US Secretary of State Marco Rubio said in a statement.Critics of the plan said the policies were a gift to US tech giants that were scaling back their goals for zero carbon emissions in order to meet the acute computing needs for AI.”The AI Action Plan is yet another gift to Big Tech that clearly shows the Trump administration is again placing corporate interests ahead of the needs of everyday Americans,” said Alan Butler of the Electronic Privacy Information Center.  

Gambians protest corruption following recent scandalsWed, 23 Jul 2025 18:06:05 GMT

Thousands of Gambians protested Wednesday in Banjul alleging government corruption and calling for justice over a number of scandals that have rocked the country.The protesters carried handwritten placards with slogans such as “Gambians are not slaves to corruption” as they chanted slogans such as “People! Power!””We have been living under pillage and plunder for so …

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Euro-2025: Agyemang et Kelly, les lionnes de la révolte

Déjà décisives et sonnant la révolte contre la Suède en quart de l’Euro, la jeune Michelle Agyemang et l’expérimentée Chloe Kelly ont récidivé mardi face à l’Italie pour tout renverser et envoyer l’Angleterre jouer dimanche sa troisième finale consécutive.Dès son entrée en jeu à la 77e minute, Chloe Kelly – buteuse lors de la finale victorieuse de l’Euro en 2022 – a donné un nouveau souffle à ses coéquipières et cela s’est vu dans son langage corporel, loin de l’attitude souvent nonchalante de Lauren James, sortie à la mi-temps.Avant même d’être décisive à la toute fin de la prolongation en reprenant, pleine de rage, son pénalty qui venait d’être repoussé (2-1, 119e), l’attaquante incarnait déjà la révolte, transformant un match assez terne contre les Italiennes en scenario fou.”Je fais simplement de mon mieux pour l’équipe. Ce pénalty n’était pas censé se passer comme ça, mais j’étais prête pour le rebond, et je suis prête à saisir toutes les occasions qui se présenteront à moi sous le maillot de l’Angleterre”, a réagi mardi soir la buteuse, déjà remplaçante et double passeuse sur ses deux premiers ballons contre la Suède en quart de finale (2-2, tab 3-2).L’attaquante d’Arsenal, élue meilleure joueuse du match, “est faite pour les grands moments. Tout le monde le sait depuis les tournois précédents, et elle s’est à nouveau illustrée”, a commenté la défenseuse Lucy Bronze. Comme onze autres coéquipières du groupe actuel, elles vont vivre leur troisième finale consécutive après l’Euro-2022 et le Mondial-2023.En 2022, Michelle Agyemang, l’autre héroïne anglaise, avait 16 ans et était encore très loin des “Lionesses”. Quelques mois avant la finale de 2022, elle était même ramasseuse de balles à Wembley et n’avait toujours pas signé chez les pro à Arsenal où elle a commencé quelques mois après, en novembre. Mais trois ans plus tard à Genève, c’est bien la plus jeune du groupe qui a sauvé les siennes pour sa quatrième sélection, en égalisant d’une frappe pleine de confiance au bout du temps additionnel (1-1, 90e+6), et apportant une fougue nouvelle.- “Le monde à ses pieds” -La joueuse d’Arsenal, fan d’Olivier Giroud quand elle était enfant, avait déjà été l’une des sauveuses face aux Suédoises. “Elle n’a que 19 ans et a rejoint notre équipe tardivement, juste avant l’Euro. Mais elle est déjà très mature et apporte quelque chose de différent”, a commenté la sélectionneuse Sarina Wiegman, qui l’a fait rentrer 5 minutes contre la France puis en fin de match contre la Suède et l’Italie.Et Michelle Agyemang a même été tout proche d’un doublé lors de la prolongation: “ce tir qu’elle a envoyé sur la barre transversale était magnifique, spectaculaire”, a souligné la coach.”Quelle joueuse, à 19 ans! Elle est tellement humble, tellement talentueuse, c’est une joueuse avec laquelle j’adore jouer. Je suis tellement contente qu’elle fasse désormais partie de notre équipe”, s’est réjoui Lucy Bronze, 33 ans.Celle qui a connu ses premiers moments avec les “Lionesses” en avril, à la suite du forfait d’Alessia Russo, et qui a marqué son premier but dès son entrée en jeu (au bout de 41 secondes), est pressée.Prêtée par Arsenal, après avoir joué à Watford en deuxième division en 2023/24, elle a impressionné à Brighton la saison dernière. Et alors qu’elle jouait encore avec les U19 en novembre dernier, elle est devenue l’héroïne anglaise en deux matches, figurant même sur une publication de la star de F1 Lewis Hamilton.”C’est tellement spécial de voir mon équipe célébrer avec moi – je ne connais la plupart de ces filles que depuis deux mois à peine – mais cela montre bien la cohésion qui règne au sein de notre équipe”, a-t-elle expliqué.”Elle a le monde à ses pieds. C’est une jeune joueuse promise à un brillant avenir”, prévoit Chloe Kelly.Remplaçantes, les deux joueuses d’Arsenal seront-elles alignées dès le début de la finale dimanche contre l’Espagne ou l’Allemagne ? Dimanche, Sarina Wiegman pourrait rester sur son coaching gagnant.

Disparition de Delphine Jubillar: l’ex-petite amie du mari auditionnée

L’ex-petite amie de Cédric Jubillar, qui affirme que le peintre-plaquiste lui a confié avoir tué son épouse Delphine, dont le corps n’a jamais été retrouvé, a été entendue par les enquêteurs mercredi à Auch, à deux mois de la date prévue de l’ouverture du procès.La présidente de la cour d’assises du Tarn, Hélène Ratinaud, avait ordonné lundi que cette audition ait lieu avant le 31 juillet, alors que le procès de Cédric Jubillar pour meurtre par conjoint doit s’ouvrir devant cette cour à Albi, le 22 septembre pour quatre semaines.”Après cette audition, je me sens soulagée d’avoir livré à la justice ce qui appartient à la justice et non à moi”, a déclaré la jeune femme de 31 ans à France 3. “Ce n’était pas facile, il fallait le faire, je pense”, a-t-elle ajouté, précisant avoir vu Cédric Jubillar pour la dernière fois au parloir le 18 juin. “C’est tout frais, mais une page se tourne”, a-t-elle dit. L’audition, qui a duré plusieurs heures à la gendarmerie d’Auch, a été menée par les enquêteurs de la section de recherches de Toulouse, a-t-on appris de sources proches de l’enquête. Cédric Jubillar, qui a toujours nié toute implication dans la disparition de sa femme infirmière à Cagnac-les-Mines (Tarn) dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, aurait confié à sa petite amie d’alors avoir étranglé son épouse.- “Préserver l’anonymat” -L’avocat de la jeune femme Joaquinito Maria Alogo de Obono a tenu à rappeler, dans un communiqué, que sa cliente, “depuis le début de ce dossier, a souhaité préserver son anonymat et a souhaité que sa parole – dont elle mesure aujourd’hui l’importance – soit réservée à la Justice”, fustigeant les médias qui avaient tenté de révéler son identité.La jeune femme a entretenu une relation avec Cédric Jubillar, alors déjà incarcéré, avant de prendre ses distances “après que M. Jubillar lui a fait ces révélations” au parloir de la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse, où il est détenu, avait auparavant rapporté l’avocat.L’accusé aurait, selon des documents judiciaires, déjà affirmé à un co-détenu ainsi qu’à une autre ex-compagne l’avoir tuée.Jean-Baptiste Alary, l’un des trois avocats de Cédric Jubillar, s’est dit étonné mercredi du fait que, contrairement à ce qui s’est produit dans le passé, on ait “attendu trois mois” pour interroger la jeune femme.”Je ne comprends pas. Cette information semble être connue depuis le 14 mai. Mais qu’est-ce qu’ils font? À l’époque du co-détenu, celui-ci était auditionné dans la journée. Et aujourd’hui, quelqu’un qui aurait reçu ces confidences, on attend trois mois pour l’auditionner. Je n’ai même plus d’explication”, a-t-il dit à l’AFP.Les services d’enquête avaient recueilli le 14 mai le témoignage d’un “individu qui rapportait avoir reçu les confidences de la compagne de Cédric Jubillar sur son implication dans les faits qui lui sont reprochés”, avant qu’un procès-verbal retranscrivant ces propos ne soit transmis début juillet à la présidente de la cour d’assises.- “Nouveaux détails” -“J’ai déjà tué une fois, ne me trompe pas et tout se passera bien”, lui aurait dit le peintre-plaquiste, incarcéré depuis sa mise en examen en juin 2021, selon des propos rapportés le 11 juillet à l’AFP par Me Alogo de Obono.Lors de son audition mercredi “elle a tenu les mêmes propos que lors des révélations (…) et elle a notamment donné de nouveaux détails qu’elle réservait uniquement à la justice”, a indiqué l’avocat à l’AFP, sans révéler lesquels.  Cédric Jubillar aurait également raconté avoir brûlé le corps, selon Me Alogo de Obono, dans une ferme située “dans un périmètre de 15 km de la maison” des Jubillar, à Cagnac-les-Mines. “Si ces propos ont été tenus, ils peuvent relever d’une provocation qui ne serait que la troisième. Je crois que, dans le caractère qui est le sien, il peut, peut-être de guerre lasse, à force d’entendre +mais qu’est-ce qui s’est passé ?+, par provocation, raconter n’importe quoi”, a estimé Me Alary.”Si on prend un peu de recul, les premières révélations ont fait l’objet d’investigations. Ça n’a strictement rien donné. Les deuxièmes révélations à son codétenu ont fait l’objet d’investigations, ça n’a strictement rien donné non plus”, a-t-il encore affirmé.À la suite des déclarations de cet homme qui a occupé une cellule à côté de celle de Cédric Jubillar, des recherches d’ampleur pour trouver le corps avaient été entreprises, en vain, début 2022. De nouvelles fouilles pourraient être ordonnées à la suite de l’audition de mercredi.

Disparition de Delphine Jubillar: l’ex-petite amie du mari auditionnée

L’ex-petite amie de Cédric Jubillar, qui affirme que le peintre-plaquiste lui a confié avoir tué son épouse Delphine, dont le corps n’a jamais été retrouvé, a été entendue par les enquêteurs mercredi à Auch, à deux mois de la date prévue de l’ouverture du procès.La présidente de la cour d’assises du Tarn, Hélène Ratinaud, avait ordonné lundi que cette audition ait lieu avant le 31 juillet, alors que le procès de Cédric Jubillar pour meurtre par conjoint doit s’ouvrir devant cette cour à Albi, le 22 septembre pour quatre semaines.”Après cette audition, je me sens soulagée d’avoir livré à la justice ce qui appartient à la justice et non à moi”, a déclaré la jeune femme de 31 ans à France 3. “Ce n’était pas facile, il fallait le faire, je pense”, a-t-elle ajouté, précisant avoir vu Cédric Jubillar pour la dernière fois au parloir le 18 juin. “C’est tout frais, mais une page se tourne”, a-t-elle dit. L’audition, qui a duré plusieurs heures à la gendarmerie d’Auch, a été menée par les enquêteurs de la section de recherches de Toulouse, a-t-on appris de sources proches de l’enquête. Cédric Jubillar, qui a toujours nié toute implication dans la disparition de sa femme infirmière à Cagnac-les-Mines (Tarn) dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, aurait confié à sa petite amie d’alors avoir étranglé son épouse.- “Préserver l’anonymat” -L’avocat de la jeune femme Joaquinito Maria Alogo de Obono a tenu à rappeler, dans un communiqué, que sa cliente, “depuis le début de ce dossier, a souhaité préserver son anonymat et a souhaité que sa parole – dont elle mesure aujourd’hui l’importance – soit réservée à la Justice”, fustigeant les médias qui avaient tenté de révéler son identité.La jeune femme a entretenu une relation avec Cédric Jubillar, alors déjà incarcéré, avant de prendre ses distances “après que M. Jubillar lui a fait ces révélations” au parloir de la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse, où il est détenu, avait auparavant rapporté l’avocat.L’accusé aurait, selon des documents judiciaires, déjà affirmé à un co-détenu ainsi qu’à une autre ex-compagne l’avoir tuée.Jean-Baptiste Alary, l’un des trois avocats de Cédric Jubillar, s’est dit étonné mercredi du fait que, contrairement à ce qui s’est produit dans le passé, on ait “attendu trois mois” pour interroger la jeune femme.”Je ne comprends pas. Cette information semble être connue depuis le 14 mai. Mais qu’est-ce qu’ils font? À l’époque du co-détenu, celui-ci était auditionné dans la journée. Et aujourd’hui, quelqu’un qui aurait reçu ces confidences, on attend trois mois pour l’auditionner. Je n’ai même plus d’explication”, a-t-il dit à l’AFP.Les services d’enquête avaient recueilli le 14 mai le témoignage d’un “individu qui rapportait avoir reçu les confidences de la compagne de Cédric Jubillar sur son implication dans les faits qui lui sont reprochés”, avant qu’un procès-verbal retranscrivant ces propos ne soit transmis début juillet à la présidente de la cour d’assises.- “Nouveaux détails” -“J’ai déjà tué une fois, ne me trompe pas et tout se passera bien”, lui aurait dit le peintre-plaquiste, incarcéré depuis sa mise en examen en juin 2021, selon des propos rapportés le 11 juillet à l’AFP par Me Alogo de Obono.Lors de son audition mercredi “elle a tenu les mêmes propos que lors des révélations (…) et elle a notamment donné de nouveaux détails qu’elle réservait uniquement à la justice”, a indiqué l’avocat à l’AFP, sans révéler lesquels.  Cédric Jubillar aurait également raconté avoir brûlé le corps, selon Me Alogo de Obono, dans une ferme située “dans un périmètre de 15 km de la maison” des Jubillar, à Cagnac-les-Mines. “Si ces propos ont été tenus, ils peuvent relever d’une provocation qui ne serait que la troisième. Je crois que, dans le caractère qui est le sien, il peut, peut-être de guerre lasse, à force d’entendre +mais qu’est-ce qui s’est passé ?+, par provocation, raconter n’importe quoi”, a estimé Me Alary.”Si on prend un peu de recul, les premières révélations ont fait l’objet d’investigations. Ça n’a strictement rien donné. Les deuxièmes révélations à son codétenu ont fait l’objet d’investigations, ça n’a strictement rien donné non plus”, a-t-il encore affirmé.À la suite des déclarations de cet homme qui a occupé une cellule à côté de celle de Cédric Jubillar, des recherches d’ampleur pour trouver le corps avaient été entreprises, en vain, début 2022. De nouvelles fouilles pourraient être ordonnées à la suite de l’audition de mercredi.

US bans vaccine ingredient targeted by anti-vaxxers

The US health department said Wednesday it would end the use of a vaccine ingredient long targeted by conspiracy theorists over debunked claims it causes autism.Thimerosal, a preservative that prevents bacterial and fungal contamination in multidose vials, has been extensively studied, with authorities including the World Health Organization finding no evidence of harm.The move follows a vote by a panel of outside experts convened by Kennedy last month that voted to end the use of thimerosal in influenza vaccines for adults, pregnant people and children.Although the substance is now rarely used in US vaccines, the recommendations by the influential Advisory Committee on Immunization Practices alarmed experts, who said the move has effectively embedded talking points championed by the anti-vaccine movement into national policy.While 96 percent of US flu vaccines in the 2024-2025 season did not contain thimerosal, the preservative remains important in lower-income countries because they are more likely to use lower-cost multidose vials that must be punctured repeatedly, raising the risk of contamination.Thimerosal contains an artificial form of mercury called ethylmercury that is cleared from the body far more quickly than the form of the chemical found in nature. A large body of peer-reviewed scientific studies conducted in the United States and other countries support the safety of thimerosal-containing vaccines, but US manufacturers voluntarily removed it from most pediatric vaccines in 2001 on a precautionary basis.”After more than two decades of delay, this action fulfills a long-overdue promise to protect our most vulnerable populations from unnecessary mercury exposure,” Secretary Robert F. Kennedy Jr. said. “Injecting any amount of mercury into children when safe, mercury-free alternatives exist defies common sense and public health responsibility. Today, we put safety first.”Vaccine manufacturers have confirmed they have the capacity to replace multi-dose vials containing thimerosal, ensuring supplies will remain uninterrupted, the statement added.”There is no evidence of harm from the use of thimerosal,” WHO vaccine chief Kate O’Brien told reporters last month after the US panel made its recommendations.”For some of the vaccine supply, this is a very important ingredient in order to assure that we have the doses that are needed to protect children from serious and life-threatening diseases,” she added.

US State Dept probes Harvard over visiting scholar program

US President Donald Trump’s administration on Wednesday launched an investigation into Harvard University’s ability to sponsor visiting students and academics, part of a continuing crackdown on the elite institution.Since taking office in January, Trump has repeatedly accused Harvard and other top US universities of having a “liberal” bias, accusing some of “antisemitism” to cut federal funding and demand greater oversight.Secretary of State Marco Rubio said the latest investigation would examine whether the university was complying with regulations in the Exchange Visitor Program.That included probing whether the university was “conducting their programs in a manner that does not undermine the foreign policy objectives or compromise the national security interests of the United States.””The American people have the right to expect their universities to uphold national security, comply with the law, and provide safe environments for all students,” he said in a statement.Harvard has so far defied Trump’s calls to submit to oversight of its curriculum, staffing, student recruitment and “viewpoint diversity.”Trump has cut federal grants for Harvard and tried a host of different tactics to block the institution from hosting international students.The administration has sought to remove Harvard from an electronic student immigration registry and instructed embassies to deny visas to international students hoping to attend the Massachusetts-based university.The administration insists its moves are legally justified over Harvard’s failure to protect Jewish students, particularly amid campus protests against Israel’s war in Gaza.Harvard has sued the Department of Homeland Security and other agencies to block the efforts, arguing they are illegal and unconstitutional.The Ivy League institution has also sued to restore more than $2 billion in frozen funds. A Harvard spokesman did not immediately respond to a request from AFP for its response to the State Department investigation.