Three killed in explosion at US police training facility

Three people died Friday in an explosion at a police training facility in Los Angeles, in what one local official called an accident.”Tragically, they were three sworn members who were fatally killed,” Los Angeles County Sheriff Robert Luna said. “No other department members were injured or transported to any hospitals.”Speaking to reporters hours after the incident, Luna stressed that authorities had yet to determine the cause of the blast, but that there was no threat to the community.”Within the last 30 minutes, the LAPD bomb squad rendered the scene safe,” the sheriff said. “We have to go back and investigate what happened from the very beginning. I don’t have the facts at this point.”Homicide detectives and personnel from the FBI and the Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives were at the scene, along with a bomb disposal unit from the Los Angeles Police Department.An elected city official from the area where the blast took place ruled out terrorism and called it “a tragic accident.””Early on, there were people speculating that this was intentional by, you know, some terrorists, but it was not, is what I’m hearing. It was a tragic accident,” Supervisor Kathryn Barger said.The Los Angeles Times newspaper quoted unnamed sources as saying that the facility’s bomb squad was moving explosives following a bomb alert when the blast took place. Law enforcement personnel enforced a large security perimeter around the parking lot where the explosion occurred, an AFP photographer saw.- ‘Horrific incident’ -Sheriff Luna said it was the largest loss of life for his department since 1857 and that the three people killed had served the country for a total of 74 years. Their names have not yet been released. US Attorney General Pam Bondi posted on X that there “appears to be a horrific incident that killed at least three at a law enforcement training facility” and that investigators were on-site “working to learn more.”Mayor Karen Bass said “arson investigators and members of the LAPD bomb squad are assisting” at the scene in the Biscailuz Training Center in the Monterey Park area.”The thoughts of all Angelenos are with all of those impacted by this blast,” she said on X. California Governor Gavin Newsom’s office said he had been briefed, and was “closely monitoring the situation.”Footage from local station KTLA, which helicoptered over the training center, showed a person in bomb disposal gear working around a truck believed to contain explosives, which law enforcement personnel had covered with a large tent.

La police britannique sur le qui-vive après des heurts devant un hôtel hébergeant des demandeurs d’asile

La police d’une ville de la grande banlieue de Londres était sur le qui-vive vendredi, après des violences durant lesquelles huit policiers ont été blessés jeudi soir devant un hôtel hébergeant des demandeurs d’asile.Trois véhicules ont été endommagés durant ces violences qui ont duré plusieurs heures dans la ville d’Epping (sud-est de l’Angleterre), selon la police locale.Selon la police, les heurts ont eu lieu près d’un hôtel connu pour accueillir des demandeurs d’asile, ciblé ces derniers jours par plusieurs manifestations après la mise en examen d’un demandeur d’asile de 38 ans accusé de trois agressions sexuelles.La police de l’Essex, où se trouve Epping, a attribué ces violences à des individus “venus de l’extérieur” de la région, alors que des vidéos appelant à rejoindre la manifestation circulaient en ligne. Plusieurs influenceurs d’extrême droite étaient présents sur place.”Nous avons monté une équipe de détectives chargée d’analyser les images de vidéosurveillance et les caméras-piétons pour identifier les responsables”, a indiqué à l’AFP un responsable de la police locale, Stuart Hooper. “Ceux qui ont participé peuvent s’attendre à ce qu’on toque à leur porte”, a-t-il prévenu.Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des manifestants masqués lançant des projectiles, escaladant des fourgons de police et s’en prenant aux forces de l’ordre.La police a annoncé qu’elle resterait fortement mobilisée tout le week-end pour prévenir de nouveaux débordements.Elle a rappelé qu’elle soutenait le droit de manifester pacifiquement, mais qu’elle ne tolérerait pas les “actes de violence et de vandalisme”.Ces tensions rappellent les émeutes anti-immigration qui avaient secoué le pays l’été dernier après le meurtre de trois fillettes par un jeune Britannique d’origine rwandaise dans la ville de Southport (nord-ouest).Des émeutiers s’en étaient pris à des hôtels hébergeant des demandeurs d’asile dans plusieurs villes, tentant notamment d’incendier un de ces établissements à Rotherham, dans le nord-est de l’Angleterre.

Wall Street reste prudente après une semaine marquée par des records

La Bourse de New York a terminé sur une note prudente vendredi, subissant quelques prises de bénéfices après de nouveaux sommets, les investisseurs attendant par ailleurs des précisions sur la politique monétaire privilégiée par la banque centrale américaine (Fed).L’indice Nasdaq a atteint un record pour la quatrième séance d’affilée, grappillant 0,05% à 20.895,66 points. L’indice élargi S&P 500 a terminé proche de l’équilibre (-0,01%) tandis que le Dow Jones a reculé de 0,32%.

Venezuela receives 7 kids left behind in US after parents deported

Venezuela on Friday received seven children who had been left behind in the United States after their parents were deported by the Donald Trump administration.Seven boys and girls have been “rescued from the kidnapping to which they were being subjected,” Interior Minister Diosdado Cabello said at Maiquetia International Airport that serves Caracas.Cabello and First Lady Cilia Flores received the flight from Houston that also brought back 244 Venezuelans.Hundreds of people protested in Caracas last week demanding the return of at least 30 children the government says remained in the United States after their Venezuelan parents were expelled.Last month, parliamentary president Jorge Rodriguez said the children were “separated from their mothers, their fathers, their family, their grandparents” and “taken to institutions where they don’t belong.”Cabello said Friday the government was working hard “to bring the children back.”He did not say when the seven were separated from their parents. Official figures show that since February, more than 8,200 people, including many children, have been repatriated to Venezuela from the United States and Mexico. 

Le Venezuela rapatrie 7 enfants séparés de leurs parents expulsés des Etats-Unis

Le Venezuela a rapatrié vendredi sept enfants qui avaient été séparés de leurs parents lors de l’expulsion de ces derniers des Etats-Unis, a annoncé le gouvernement de Nicolas Maduro. “Sept garçons et filles” sont arrivés au Venezuela, a déclaré le ministre vénézuélien de l’Intérieur, Diosdado Cabello en les accueillant avec la première dame, Cilia Flores, à l’aéroport international de Maiquetia, qui dessert Caracas. Ils ont été “sauvés de l’enlèvement dont ils étaient victimes”, a-t-il ajouté. Les sept enfants sont arrivés à bord d’un vol sous bannière américaine avec à bord 244 autres Vénézuéliens expulsés depuis Houston, au Texas. On ignore quand ces enfants avaient été séparés de leurs parents. Selon Caracas, 30 enfants vénézuéliens ont été séparés de leurs parents aux États-Unis lors des expulsions menées par Washington. Le président de l’Assemblée nationale, Jorge Rodriguez, avait déclaré le 30 juin que les enfants avaient été “séparés de leurs mères, de leurs pères, de leur famille, de leurs grands-parents” et “emmenés dans des institutions où ils ne devraient pas être”. Nicolas Maduro avait demandé le même jour l’aide du pape Léon XIV. Lundi, le président vénézuélien a indiqué que l’Église catholique effectuait des démarches pour leur retour. Selon les chiffres officiels vénézuéliens, depuis février, un peu plus de 8.200 personnes ont été rapatriées au Venezuela depuis les États-Unis et le Mexique.

Dermatose des bovins: l’Etat démarre ce week-end la vaccination de 285.000 bovins

La France doit débuter ce week-end la vaccination de près de 285.000 bovins pour stopper la propagation de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) dans les Alpes, a annoncé vendredi le ministère de l’Agriculture.”Le maximum de doses disponibles” a été commandé auprès de la banque de vaccins de l’Union européenne afin de faire face à l’épizootie et ils sont “en cours de distribution”, a indiqué le ministère dans un communiqué. Ces doses de vaccins, prises en charge par l’Etat, permettront de vacciner des bovins dans des rayons de 50 kilomètres autour des foyers déclarés, dans quatre départements: la Savoie, la Haute-Savoie, l’Ain et l’Isère.La campagne de vaccination doit débuter dans un périmètre situé à 20 kilomètres autour des foyers (zone de protection), en direction du centre de cette zone de protection pour limiter l’extension de la maladie, mais aussi en direction de l’extérieur de cette zone pour un “effet barrière”, selon le ministère.Une deuxième ligne de vaccination des élevages situés à proximité des foyers doit également être engagée. La campagne “s’amplifiera dès le début de la semaine prochaine”, a indiqué le ministère.Après l’apparition d’un premier cas en Italie, le 20 juin en Sardaigne, un premier cas de dermatose nodulaire en France a été détecté le 29 juin à Entrelacs, en Savoie. Cette maladie virale conduit à “des pertes de production importantes” qui peuvent aller “jusqu’à la mort d’une partie du cheptel infecté”, selon le ministère.Depuis, la propagation a été rapide: au 16 juillet, 26 foyers avaient été détectés dans deux départements, la Savoie et la Haute-Savoie, selon le site du ministère.Le ministère de l’Agriculture avait annoncé mercredi que la détection d’un cas de DNC dans un élevage de bovins entraînerait l’abattage total des animaux dans le foyer d’infection et une campagne de vaccination obligatoire dans la zone autour. L’Etat doit indemniser les propriétaires d’animaux euthanasiés et prendra en charge l’élimination des carcasses en cas d’abattage de bovins, selon un arrêté publié au Journal officiel vendredi.La Confédération paysanne, 3e syndicat de la profession, a réaffirmé jeudi son “opposition aux abattages totaux des troupeaux dès la première analyse positive à la DNC”. Plusieurs de ses membres se relaient dans deux fermes pour faire barrage aux abattages.