More deaths reported in Angola unrest after fuel hike protestsTue, 29 Jul 2025 20:34:14 GMT

At least three people were killed and over a thousand arrested on a second day of looting and protest in Angola Tuesday, a day after four died in violence during a strike against fuel price hikes.Transport in the capital Luanda remained suspended and shops closed after Monday’s unrest, while sporadic gunfire was heard throughout the …

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Le Portugal lutte contre plusieurs feux de forêt

Le Portugal continuait de lutter mardi soir contre plusieurs incendies, dans les régions nord et centre du pays, attisés par des conditions météorologiques défavorables, avec des températures élevées et des vents soutenus, selon la protection civile.Près de 2.700 pompiers, aidés de 29 moyens aériens, restaient mobilisés en fin de journée à travers le pays pour combattre des feux de forêt et de broussailles, selon le dernier point de l’Autorité nationale de la protection civile.”C’est le jour où nous avons enregistré le plus grand nombre d’alertes depuis le début de l’année, avec un total de 132 signalements jusqu’à présent”, a indiqué le commandant national de l’Autorité nationale de la protection civile Mario Silvestre lors d’une conférence de presse.Dix-sept foyers, actifs notamment à Penafiel, Ponte de Lima (nord) ou encore à Nisa (centre), “suscitent une plus grande inquiétude”, a-t-il ajouté. Dans certaines localités, des habitants ont dû être évacués préventivement.Le feu qui mobilise le plus de moyens reste celui d’Arouca (centre), où près de 750 pompiers étaient toujours déployés mardi soir.Les incendies de Penamacor (centre) et de Ponte da Barca (nord), qui semblaient stabilisés en milieu de journée, se sont réactivés sur certains fronts dans l’après-midi.Vingt personnes, dont quatorze pompiers, ont été prises en charge par les secours ce mardi, a indiqué le responsable de la protection civile, ajoutant toutefois qu’aucun blessé grave n’était à déplorer.Les autorités prévoyaient mardi une aggravation de la situation sur le front des incendies en raison de la chaleur persistante et appellent la population à la plus grande vigilance.L’ensemble du territoire se trouvait mardi en état d’alerte, en raison d’un risque incendie “maximal ou très élevé”, selon les prévisions de l’Institut portugais de la mer et de l’atmosphère (IPMA).Face à la détériorations des conditions météorologiques, le Portugal a renforcé les moyens de lutte contre les feux de forêt surtout dans le nord et le centre du pays.”Nous traversons un moment difficile”, a reconnu le Premier ministre Luis Montenegro après une visite au siège nationale de l’Autorité de la protection civile.Mais “l’ensemble de notre dispositif est opérationnel afin d’intervenir le plus rapidement possible”, a-t-il assuré.D’après des données encore provisoire de l’Institut des forêts (ICNF), plus de 22.000 hectares sont déjà partis en fumée depuis le début de l’année. Après les incendies meurtriers de 2017, qui ont fait plus d’une centaine de morts, le Portugal a multiplié par dix l’investissement dans la prévention et doublé son budget de lutte contre les feux de forêt.Le pays ibérique était ainsi parvenu à diminuer la surface brûlée chaque année en moyenne sur la période 2018-2023 à 54.500 hectares, selon l’agence gouvernementale pour la gestion des feux de forêt (Agif).Les experts considèrent que la multiplication des vagues de chaleur, sont des conséquences du changement climatique.La péninsule ibérique est fortement frappée par ce réchauffement climatique, provoquant canicules et sécheresses qui favorisent les feux de forêt.

Wall Street termine en baisse, prudente avant une cascade de données

La Bourse de New York a clôturé en baisse mardi, s’accordant une pause avant une fin de semaine particulièrement chargée, entre décision de la Fed, résultats d’entreprises et indicateurs économiques majeurs. Le Dow Jones a reculé de 0,46%, l’indice Nasdaq a perdu 0,38% et l’indice élargi S&P 500 a lâché 0,30%.”Après avoir atteint des sommets historiques, le marché adopte une attitude attentiste”, explique auprès de l’AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management. En cause: “les investisseurs se préparent à vivre trois jours très mouvementés”, commente Steve Sosnick, d’Interactive Brokers.La place américaine s’apprête à accueillir mercredi les conclusions de la réunion du comité de politique monétaire de la banque centrale américaine (FOMC), à l’issue de laquelle un maintien des taux d’intérêt à leur niveau actuel est une nouvelle fois attendu.”Le marché va surtout être à l’écoute des prévisions concernant les prochaines réunions”, estime M. Sosnick.Selon l’analyste, le marché surveillera par ailleurs si la décision a été prise à l’unanimité, alors que deux responsables de l’institution ont fait savoir qu’ils étaient enclins à baisser les taux dès ce mois-ci.En parallèle, côté entreprises, les résultats des géants Meta (maison mère de Facebook) et Microsoft sont attendus mercredi après la clôture de la Bourse.”Tant sur le plan mathématique que psychologique, ces performances sont très importantes pour la mentalité du marché”, souligne Steve Sosnick.Côté indicateurs, le rapport JOLTS du ministère américain du Travail a mis en évidence mardi une baisse plus marquée que prévu du nombre d’offres d’emplois au mois de juin.La confiance des consommateurs s’est quant à elle légèrement redressée en juillet aux Etats-Unis, un résultat meilleur que ce qui était anticipé par les marchés.Les investisseurs attendent désormais le PIB au deuxième trimestre mercredi, l’inflation PCE en juin jeudi et plusieurs rapports sur l’emploi aux États-Unis — particulièrement le chômage pour juillet publié vendredi.Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à 10 ans se détendait très nettement vers 20H10 GMT, à 4,32% contre 4,41% à la clôture la veille. A la cote, le constructeur aéronautique américain Boeing (-4,32% à 226,19 dollars) a glissé malgré l’annonce d’une perte moins creusée que prévu au deuxième trimestre, à 697 millions de dollars, dans un “environnement mondial changeant”.L’assureur santé UnitedHealth (-6,94% à 261,38 dollars) a franchement reculé après avoir annoncé des résultats trimestriels inférieurs aux attentes et des prévisions de annuelles moins bonne que prévu.Union Pacific (-2,34% à 223,87 dollars) a reculé après avoir annoncé l’acquisition de son concurrent Norfolk Southern (-3,03% à 277,75 dollars) pour créer le premier exploitant de fret ferroviaire aux Etats-Unis, une opération qui valorise la cible à 85 milliards de dollars.Le groupe pharmaceutique américain Merck (-1,64% à 82,68 dollars), aussi connu sous le nom de MSD hors Amérique du Nord, a été boudé après avoir annoncé mardi des suppressions d’emplois dans le cadre d’un plan d’économies visant à réduire ses coûts de trois milliards de dollars par an d’ici 2027, sans préciser le nombre de postes visés.Le groupe américain Procter & Gamble (P&G), spécialiste des produits ménagers et d’hygiène, a terminé dans le rouge (-0,31% à 156,62 dollars). P&G a dépassé les attentes au quatrième trimestre, mais a annoncé mardi que la mise en place de droits de douane affectera sa croissance pour l’exercice 2025/2026.

Trump aura le dernier mot sur une trêve commerciale avec la Chine, affirment les Américains à Stockholm

Pékin et Washington se sont félicités mardi de discussions “constructives” après deux jours de négociations commerciales à Stockholm, mais c’est Donald Trump qui aura le dernier mot sur l’extension de la trêve sur les taxes douanières entre les deux pays, ont insisté les Américains.”Rien n’est encore décidé jusqu’à ce que nous parlions au président Trump”, a affirmé le secrétaire au Trésor Scott Bessent lors d’une conférence de presse. Il a précisé que lui et le représentant au Commerce Jamieson Greer, qui représentaient les Etats-Unis aux discussions de Stockholm, verraient Donald Trump mercredi pour en discuter avec lui.Le président aura “le dernier mot”, a insisté Jamieson Greer devant les journalistes, précisant qu’une éventuelle nouvelle pause courrait sur 90 jours.Un peu plus tôt, le représentant au commerce international Li Chenggang, qui emmenait la délégation chinoise, avait indiqué que Washington et Pékin allaient “continuer à oeuvrer” en faveur d’une prolongation de la trêve commerciale, selon l’agence de presse officielle Xinhua.Les discussions dans la capitale suédoise visaient entre autres à prolonger la pause de 90 jours négociée en mai à Genève et courant jusqu’au 12 août, qui avait mis fin aux représailles des deux côtés du Pacifique à l’origine de surtaxes prohibitives.Cela avait permis de ramener les droits de douane sur les produits américains et chinois, respectivement à 125% et 145%, à un niveau plus modeste de 10% et 30%, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants sur un certain nombre de produits, avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche fin janvier.- “Constructives” -Les deux parties ont fait état de discussions “constructives” à Stockholm.Les Etats-Unis et la Chine ont échangé leurs points de vue sur les principales questions économiques et commerciales, et comptent maintenir une communication étroite, a déclaré Li Chenggang, cité par Xinhua. Les Américains ont précisé avoir, sans surprise, soulevé la question de l’achat par la Chine de larges volumes de pétrole russe et iranien. “Nous avons fait part de notre préoccupation”, a dit Scott Bessent.Les pourparlers en Suède ont eu lieu au début d’une semaine décisive pour la politique commerciale du président Donald Trump, les droits de douane appliqués à la plupart des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis devant connaître une brusque hausse le 1er août.Face à cette échéance imminente, plusieurs pays se précipitent pour conclure un accord avec Washington.Dimanche, Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé en Ecosse un accord commercial prévoyant que les produits européens exportés aux Etats-Unis soient taxés à 15%.Washington n’est pour l’heure parvenu à décrocher que cinq autres accords commerciaux – et plus souvent des déclarations d’intention que des accords formels.L’Indonésie, le Japon, les Philippines, le Royaume-Uni et le Vietnam ont jusqu’ici pu s’entendre avec les Etats-Unis et vu leurs droits de douane potentiels réduits, généralement entre 10% et 20% pour la plupart d’entre eux.Pour les autres pays, le 1er août devra bien marquer l’entrée en vigueur des surtaxes annoncées par Donald Trump.A ce jour, aucun accord durable sur le fond n’a été trouvé entre Pékin et Washington, mais des progrès ont été réalisés sur des sujets jugés essentiels de part et d’autre.Les Etats-Unis ont ainsi obtenu un relâchement des restrictions d’exportation des terres rares chinoises tandis que la Chine a vu son accès aux semi-conducteurs américains les plus performants être en partie rétabli.

Trump aura le dernier mot sur une trêve commerciale avec la Chine, affirment les Américains à Stockholm

Pékin et Washington se sont félicités mardi de discussions “constructives” après deux jours de négociations commerciales à Stockholm, mais c’est Donald Trump qui aura le dernier mot sur l’extension de la trêve sur les taxes douanières entre les deux pays, ont insisté les Américains.”Rien n’est encore décidé jusqu’à ce que nous parlions au président Trump”, a affirmé le secrétaire au Trésor Scott Bessent lors d’une conférence de presse. Il a précisé que lui et le représentant au Commerce Jamieson Greer, qui représentaient les Etats-Unis aux discussions de Stockholm, verraient Donald Trump mercredi pour en discuter avec lui.Le président aura “le dernier mot”, a insisté Jamieson Greer devant les journalistes, précisant qu’une éventuelle nouvelle pause courrait sur 90 jours.Un peu plus tôt, le représentant au commerce international Li Chenggang, qui emmenait la délégation chinoise, avait indiqué que Washington et Pékin allaient “continuer à oeuvrer” en faveur d’une prolongation de la trêve commerciale, selon l’agence de presse officielle Xinhua.Les discussions dans la capitale suédoise visaient entre autres à prolonger la pause de 90 jours négociée en mai à Genève et courant jusqu’au 12 août, qui avait mis fin aux représailles des deux côtés du Pacifique à l’origine de surtaxes prohibitives.Cela avait permis de ramener les droits de douane sur les produits américains et chinois, respectivement à 125% et 145%, à un niveau plus modeste de 10% et 30%, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants sur un certain nombre de produits, avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche fin janvier.- “Constructives” -Les deux parties ont fait état de discussions “constructives” à Stockholm.Les Etats-Unis et la Chine ont échangé leurs points de vue sur les principales questions économiques et commerciales, et comptent maintenir une communication étroite, a déclaré Li Chenggang, cité par Xinhua. Les Américains ont précisé avoir, sans surprise, soulevé la question de l’achat par la Chine de larges volumes de pétrole russe et iranien. “Nous avons fait part de notre préoccupation”, a dit Scott Bessent.Les pourparlers en Suède ont eu lieu au début d’une semaine décisive pour la politique commerciale du président Donald Trump, les droits de douane appliqués à la plupart des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis devant connaître une brusque hausse le 1er août.Face à cette échéance imminente, plusieurs pays se précipitent pour conclure un accord avec Washington.Dimanche, Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé en Ecosse un accord commercial prévoyant que les produits européens exportés aux Etats-Unis soient taxés à 15%.Washington n’est pour l’heure parvenu à décrocher que cinq autres accords commerciaux – et plus souvent des déclarations d’intention que des accords formels.L’Indonésie, le Japon, les Philippines, le Royaume-Uni et le Vietnam ont jusqu’ici pu s’entendre avec les Etats-Unis et vu leurs droits de douane potentiels réduits, généralement entre 10% et 20% pour la plupart d’entre eux.Pour les autres pays, le 1er août devra bien marquer l’entrée en vigueur des surtaxes annoncées par Donald Trump.A ce jour, aucun accord durable sur le fond n’a été trouvé entre Pékin et Washington, mais des progrès ont été réalisés sur des sujets jugés essentiels de part et d’autre.Les Etats-Unis ont ainsi obtenu un relâchement des restrictions d’exportation des terres rares chinoises tandis que la Chine a vu son accès aux semi-conducteurs américains les plus performants être en partie rétabli.

Trump aura le dernier mot sur une trêve commerciale avec la Chine, affirment les Américains à Stockholm

Pékin et Washington se sont félicités mardi de discussions “constructives” après deux jours de négociations commerciales à Stockholm, mais c’est Donald Trump qui aura le dernier mot sur l’extension de la trêve sur les taxes douanières entre les deux pays, ont insisté les Américains.”Rien n’est encore décidé jusqu’à ce que nous parlions au président Trump”, a affirmé le secrétaire au Trésor Scott Bessent lors d’une conférence de presse. Il a précisé que lui et le représentant au Commerce Jamieson Greer, qui représentaient les Etats-Unis aux discussions de Stockholm, verraient Donald Trump mercredi pour en discuter avec lui.Le président aura “le dernier mot”, a insisté Jamieson Greer devant les journalistes, précisant qu’une éventuelle nouvelle pause courrait sur 90 jours.Un peu plus tôt, le représentant au commerce international Li Chenggang, qui emmenait la délégation chinoise, avait indiqué que Washington et Pékin allaient “continuer à oeuvrer” en faveur d’une prolongation de la trêve commerciale, selon l’agence de presse officielle Xinhua.Les discussions dans la capitale suédoise visaient entre autres à prolonger la pause de 90 jours négociée en mai à Genève et courant jusqu’au 12 août, qui avait mis fin aux représailles des deux côtés du Pacifique à l’origine de surtaxes prohibitives.Cela avait permis de ramener les droits de douane sur les produits américains et chinois, respectivement à 125% et 145%, à un niveau plus modeste de 10% et 30%, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants sur un certain nombre de produits, avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche fin janvier.- “Constructives” -Les deux parties ont fait état de discussions “constructives” à Stockholm.Les Etats-Unis et la Chine ont échangé leurs points de vue sur les principales questions économiques et commerciales, et comptent maintenir une communication étroite, a déclaré Li Chenggang, cité par Xinhua. Les Américains ont précisé avoir, sans surprise, soulevé la question de l’achat par la Chine de larges volumes de pétrole russe et iranien. “Nous avons fait part de notre préoccupation”, a dit Scott Bessent.Les pourparlers en Suède ont eu lieu au début d’une semaine décisive pour la politique commerciale du président Donald Trump, les droits de douane appliqués à la plupart des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis devant connaître une brusque hausse le 1er août.Face à cette échéance imminente, plusieurs pays se précipitent pour conclure un accord avec Washington.Dimanche, Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé en Ecosse un accord commercial prévoyant que les produits européens exportés aux Etats-Unis soient taxés à 15%.Washington n’est pour l’heure parvenu à décrocher que cinq autres accords commerciaux – et plus souvent des déclarations d’intention que des accords formels.L’Indonésie, le Japon, les Philippines, le Royaume-Uni et le Vietnam ont jusqu’ici pu s’entendre avec les Etats-Unis et vu leurs droits de douane potentiels réduits, généralement entre 10% et 20% pour la plupart d’entre eux.Pour les autres pays, le 1er août devra bien marquer l’entrée en vigueur des surtaxes annoncées par Donald Trump.A ce jour, aucun accord durable sur le fond n’a été trouvé entre Pékin et Washington, mais des progrès ont été réalisés sur des sujets jugés essentiels de part et d’autre.Les Etats-Unis ont ainsi obtenu un relâchement des restrictions d’exportation des terres rares chinoises tandis que la Chine a vu son accès aux semi-conducteurs américains les plus performants être en partie rétabli.

Vatican: le pape s’offre un bain de foule surprise auprès de 120.000 jeunes

Le pape Léon XIV s’est offert mardi soir à Rome un bain de foule surprise auprès de quelque 120.000 jeunes catholiques de tous les continents réunis pour une semaine de pèlerinage dans le cadre du Jubilé, “Année sainte” de l’Eglise.Le Vatican a annoncé la participation de quelque 500.000 personnes de 146 pays pour cette semaine d’évènements culturels, religieux et festifs consacrée aux étudiants et jeunes professionnels, et jusqu’à un million pour le week-end de clôture avec le pape Léon XIV. Mardi soir, environ 120.000 personnes selon le Vatican ont participé à la messe d’ouverture sur la place Saint-Pierre, où le responsable de l’organisation du Jubilé a souhaité la bienvenue aux jeunes “du monde entier”, notamment de régions touchées par la guerre, comme “l’Ukraine et la Palestine”. A l’issue de la messe, le pape Léon XIV a fait une apparition surprise avant de bénir les fidèles à bord de sa “Papamobile”, sous les vivats de la foule. Dans une ambiance survoltée, il a parcouru au crépuscule les allées de la célèbre place et descendu la Via della Conciliazione, l’artère principale menant au Vatican, noyée sous les drapeaux de différents pays.Il s’agit de la première rencontre majeure entre les jeunes catholiques et Robert Francis Prevost, qui a succédé le 8 mai au pape François, très populaire auprès de la jeune génération.Depuis lundi, les groupes de fidèles, laïcs et religieux, inondent les rues de la capitale italienne pour cet évènement surnommé les “Petites journées mondiales de la Jeunesse” (JMJ), fondées par le pape Jean-Paul II.- Influenceurs -Pour la première fois, le Vatican a choisi de consacrer une série d’évènements aux influenceurs catholiques, signe de l’importance croissante des réseaux sociaux pour l’Eglise catholique, dont une messe mardi matin avec le pape.Accueilli par une nuée de smartphones dans une ambiance chaleureuse, Léon XIV les a mis en garde contre le danger de porter atteinte à la “dignité humaine” dans un contexte croissant d’utilisation de l’IA et la propagation de fausses informations.Francesca Parisi, influenceuse de 31 ans qui se présente comme “missionnaire numérique” sur Tiktok et Instagram, a expliqué à l’AFP considérer son activité en ligne comme “une forme d’apostolat plutôt qu’un travail”. “J’aime parler de manière légère, surtout parce que nous sommes de toute façon sur les réseaux sociaux, qui ont leur propre registre linguistique”, a-t-elle déclaré. Parmi les sujets de préoccupation les plus cités par les participants figurent les conflits dans le monde, les dangers liés à l’IA ou le réchauffement climatique.”Le sujet le plus important pour moi c’est la guerre, tout le monde ici en parle, y pense, nous voulons vraiment savoir ce que le pape pense et ce qu’il attend de nous”, a expliqué à l’AFP Tiago Santos, jeune Portugais de 25 ans.Malgré la guerre au Proche-Orient et les récentes attaques meurtrières contre des églises, “voir autant de jeunes venir pour ce même but me donne foi en l’humanité”, a pour sa part confié Theophanie Nasta, 26 ans, une Libanaise qui voyage pour la première fois à l’étranger.Plus tôt mardi, quelque 600 catéchumènes (futurs baptisés) et néophytes français ont été reçus au Vatican par le pape américain, qui les a invités à “renoncer à une culture de la mort très présente dans notre société”.Ce rassemblement international est présenté comme le point d’orgue du Jubilé lors duquel les pèlerins peuvent recevoir l'”indulgence plénière”, le pardon des péchés selon la tradition.

Vatican: le pape s’offre un bain de foule surprise auprès de 120.000 jeunes

Le pape Léon XIV s’est offert mardi soir à Rome un bain de foule surprise auprès de quelque 120.000 jeunes catholiques de tous les continents réunis pour une semaine de pèlerinage dans le cadre du Jubilé, “Année sainte” de l’Eglise.Le Vatican a annoncé la participation de quelque 500.000 personnes de 146 pays pour cette semaine d’évènements culturels, religieux et festifs consacrée aux étudiants et jeunes professionnels, et jusqu’à un million pour le week-end de clôture avec le pape Léon XIV. Mardi soir, environ 120.000 personnes selon le Vatican ont participé à la messe d’ouverture sur la place Saint-Pierre, où le responsable de l’organisation du Jubilé a souhaité la bienvenue aux jeunes “du monde entier”, notamment de régions touchées par la guerre, comme “l’Ukraine et la Palestine”. A l’issue de la messe, le pape Léon XIV a fait une apparition surprise avant de bénir les fidèles à bord de sa “Papamobile”, sous les vivats de la foule. Dans une ambiance survoltée, il a parcouru au crépuscule les allées de la célèbre place et descendu la Via della Conciliazione, l’artère principale menant au Vatican, noyée sous les drapeaux de différents pays.Il s’agit de la première rencontre majeure entre les jeunes catholiques et Robert Francis Prevost, qui a succédé le 8 mai au pape François, très populaire auprès de la jeune génération.Depuis lundi, les groupes de fidèles, laïcs et religieux, inondent les rues de la capitale italienne pour cet évènement surnommé les “Petites journées mondiales de la Jeunesse” (JMJ), fondées par le pape Jean-Paul II.- Influenceurs -Pour la première fois, le Vatican a choisi de consacrer une série d’évènements aux influenceurs catholiques, signe de l’importance croissante des réseaux sociaux pour l’Eglise catholique, dont une messe mardi matin avec le pape.Accueilli par une nuée de smartphones dans une ambiance chaleureuse, Léon XIV les a mis en garde contre le danger de porter atteinte à la “dignité humaine” dans un contexte croissant d’utilisation de l’IA et la propagation de fausses informations.Francesca Parisi, influenceuse de 31 ans qui se présente comme “missionnaire numérique” sur Tiktok et Instagram, a expliqué à l’AFP considérer son activité en ligne comme “une forme d’apostolat plutôt qu’un travail”. “J’aime parler de manière légère, surtout parce que nous sommes de toute façon sur les réseaux sociaux, qui ont leur propre registre linguistique”, a-t-elle déclaré. Parmi les sujets de préoccupation les plus cités par les participants figurent les conflits dans le monde, les dangers liés à l’IA ou le réchauffement climatique.”Le sujet le plus important pour moi c’est la guerre, tout le monde ici en parle, y pense, nous voulons vraiment savoir ce que le pape pense et ce qu’il attend de nous”, a expliqué à l’AFP Tiago Santos, jeune Portugais de 25 ans.Malgré la guerre au Proche-Orient et les récentes attaques meurtrières contre des églises, “voir autant de jeunes venir pour ce même but me donne foi en l’humanité”, a pour sa part confié Theophanie Nasta, 26 ans, une Libanaise qui voyage pour la première fois à l’étranger.Plus tôt mardi, quelque 600 catéchumènes (futurs baptisés) et néophytes français ont été reçus au Vatican par le pape américain, qui les a invités à “renoncer à une culture de la mort très présente dans notre société”.Ce rassemblement international est présenté comme le point d’orgue du Jubilé lors duquel les pèlerins peuvent recevoir l'”indulgence plénière”, le pardon des péchés selon la tradition.

L’ONU appelle à “inonder” Gaza d’aide alimentaire pour éviter la famine

Les agences de l’ONU ont appelé mardi à “inonder” d’aide alimentaire la bande de Gaza, menacée d’une “famine généralisée”, où le ministère de la Santé du Hamas a annoncé que la guerre avec Israël avait déjà fait plus de 60.000 morts.A la faveur d’une pause partielle dans les bombardements annoncée par Israël, de nouvelles cargaisons d’aide humanitaire ont été acheminées mardi dans le territoire palestinien assiégé, jugées insuffisantes par les organisations internationales. “Le filet d’aide doit devenir un océan”, a lancé le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.Dans les airs, les parachutages de vivres, autorisés depuis dimanche par Israël, se multiplient, menés par la Jordanie, les Emirats arabes unis et pour la première fois mardi par le Royaume-Uni, tandis que la France a annoncé qu’elle larguerait 40 tonnes d’aide sur Gaza à partir de vendredi.Sur une plage proche de Deir el-Balah, dans le centre de Gaza, des Palestiniens ont dû se jeter dans la mer pour sauver ce qu’ils pouvaient quand des parachutes sont tombés dans l’eau.”Nous avons dû nager pour récupérer de la nourriture pour nos enfants. La plupart des denrées tombées dans la mer sont perdues”, a raconté à l’AFP un père de famille, Ismaïl al-Aqraa.Malgré la pause des combats, la Défense civile a fait état de 30 morts, “des femmes et des enfants pour la plupart”, dans des raids israéliens sur le camp de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza.L’armée israélienne a affirmé avoir visé “plusieurs cibles terroristes” dans cette région.- L’Ethiopie et le Biafra -“Nous devons inonder Gaza, immédiatement et sans entrave, d’aide alimentaire massive, et la maintenir chaque jour afin d’éviter une famine généralisée”, a déclaré Cindy McCain, directrice du Programme alimentaire mondial (PAM), dans un appel conjoint avec l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Unicef.Un organisme international de surveillance de la faim soutenu par l’ONU a averti que le “pire scénario de famine est en cours à Gaza”, en raison de la guerre, des déplacements massifs de populations et des restrictions à l’aide humanitaire.”Plus de 20.000 enfants ont été traités contre la malnutrition aiguë entre avril et mi-juillet” et les hôpitaux ont signalé au moins 16 décès d’enfants de moins de cinq ans depuis le 17 juillet, souligne ce rapport.Pour le PAM, la catastrophe humanitaire à Gaza rappelle les famines en Ethiopie et au Biafra, au Nigeria, au siècle dernier.Le président turc Recep Tayyip Erdogan a lui accusé Israël de “tuer par la faim” la population de Gaza, affirmant que les images provenant du territoire palestinien étaient “plus brutales” que celles des camps nazis. Prenant le contre-pied des affirmations du Premier ministre Benjamin Netanyahu, le président américain Donald Trump a lui-même affirmé lundi qu’il y avait des signes d’une “vraie famine” à Gaza.”Nous autorisons déjà des quantités importantes d’aide humanitaire à entrer à Gaza (…) Malheureusement, le Hamas (…) a volé l’aide destinée à la population, souvent en tirant sur des Palestiniens”, s’est défendu mardi le bureau de Benjamin Netanyahu.Les autorités israéliennes ont annoncé que l’aide transportée par plus de 200 camions avait été distribuée lundi par l’ONU et des agences humanitaires et qu’environ 260 autres camions avaient été autorisés à entrer à Gaza, ainsi que quatre camions-citernes de l’ONU transportant du carburant.Mais l’ONU estime qu’il faudrait chaque jour au moins 500 à 600 camions de nourriture, de médicaments et de produits d’hygiène pour subvenir aux besoins immenses des plus de deux millions d’habitants de Gaza.- Plus de 60.000 morts -Début mars, Israël avait totalement interdit l’entrée de l’aide à Gaza, avant d’autoriser fin mai des quantités très limitées.Mais face à une forte pression internationale, Israël a annoncé dimanche une pause des hostilités durant la journée dans certains secteurs, à des fins humanitaires.Ajoutant à l’isolement d’Israël, le Royaume-Uni a rejoint la France mardi en annonçant qu’il reconnaîtrait en septembre l’Etat de Palestine, sauf si Israël prenait un certain nombre d’engagements dont celui d’un cessez-le-feu à Gaza.Israël a rejeté cette annonce et dénoncé une “récompense pour le Hamas”.L’attaque menée par le Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre, a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles. L’offensive israélienne menée en représailles à Gaza a fait au moins 60.034 morts, en majorité des civils, a annoncé mardi le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, dont les chiffres sont jugés fiables par l’ONU.Le ministre israélien des Affaires étrangères Gideon Saar a rejeté les pressions internationales pour un cessez-le-feu. Si Israël cessait la guerre alors que le Hamas est toujours au pouvoir à Gaza et détient des otages, ce serait une “tragédie”. “Cela n’arrivera pas”, a-t-il déclaré.

L’ONU appelle à “inonder” Gaza d’aide alimentaire pour éviter la famine

Les agences de l’ONU ont appelé mardi à “inonder” d’aide alimentaire la bande de Gaza, menacée d’une “famine généralisée”, où le ministère de la Santé du Hamas a annoncé que la guerre avec Israël avait déjà fait plus de 60.000 morts.A la faveur d’une pause partielle dans les bombardements annoncée par Israël, de nouvelles cargaisons d’aide humanitaire ont été acheminées mardi dans le territoire palestinien assiégé, jugées insuffisantes par les organisations internationales. “Le filet d’aide doit devenir un océan”, a lancé le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.Dans les airs, les parachutages de vivres, autorisés depuis dimanche par Israël, se multiplient, menés par la Jordanie, les Emirats arabes unis et pour la première fois mardi par le Royaume-Uni, tandis que la France a annoncé qu’elle larguerait 40 tonnes d’aide sur Gaza à partir de vendredi.Sur une plage proche de Deir el-Balah, dans le centre de Gaza, des Palestiniens ont dû se jeter dans la mer pour sauver ce qu’ils pouvaient quand des parachutes sont tombés dans l’eau.”Nous avons dû nager pour récupérer de la nourriture pour nos enfants. La plupart des denrées tombées dans la mer sont perdues”, a raconté à l’AFP un père de famille, Ismaïl al-Aqraa.Malgré la pause des combats, la Défense civile a fait état de 30 morts, “des femmes et des enfants pour la plupart”, dans des raids israéliens sur le camp de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza.L’armée israélienne a affirmé avoir visé “plusieurs cibles terroristes” dans cette région.- L’Ethiopie et le Biafra -“Nous devons inonder Gaza, immédiatement et sans entrave, d’aide alimentaire massive, et la maintenir chaque jour afin d’éviter une famine généralisée”, a déclaré Cindy McCain, directrice du Programme alimentaire mondial (PAM), dans un appel conjoint avec l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Unicef.Un organisme international de surveillance de la faim soutenu par l’ONU a averti que le “pire scénario de famine est en cours à Gaza”, en raison de la guerre, des déplacements massifs de populations et des restrictions à l’aide humanitaire.”Plus de 20.000 enfants ont été traités contre la malnutrition aiguë entre avril et mi-juillet” et les hôpitaux ont signalé au moins 16 décès d’enfants de moins de cinq ans depuis le 17 juillet, souligne ce rapport.Pour le PAM, la catastrophe humanitaire à Gaza rappelle les famines en Ethiopie et au Biafra, au Nigeria, au siècle dernier.Le président turc Recep Tayyip Erdogan a lui accusé Israël de “tuer par la faim” la population de Gaza, affirmant que les images provenant du territoire palestinien étaient “plus brutales” que celles des camps nazis. Prenant le contre-pied des affirmations du Premier ministre Benjamin Netanyahu, le président américain Donald Trump a lui-même affirmé lundi qu’il y avait des signes d’une “vraie famine” à Gaza.”Nous autorisons déjà des quantités importantes d’aide humanitaire à entrer à Gaza (…) Malheureusement, le Hamas (…) a volé l’aide destinée à la population, souvent en tirant sur des Palestiniens”, s’est défendu mardi le bureau de Benjamin Netanyahu.Les autorités israéliennes ont annoncé que l’aide transportée par plus de 200 camions avait été distribuée lundi par l’ONU et des agences humanitaires et qu’environ 260 autres camions avaient été autorisés à entrer à Gaza, ainsi que quatre camions-citernes de l’ONU transportant du carburant.Mais l’ONU estime qu’il faudrait chaque jour au moins 500 à 600 camions de nourriture, de médicaments et de produits d’hygiène pour subvenir aux besoins immenses des plus de deux millions d’habitants de Gaza.- Plus de 60.000 morts -Début mars, Israël avait totalement interdit l’entrée de l’aide à Gaza, avant d’autoriser fin mai des quantités très limitées.Mais face à une forte pression internationale, Israël a annoncé dimanche une pause des hostilités durant la journée dans certains secteurs, à des fins humanitaires.Ajoutant à l’isolement d’Israël, le Royaume-Uni a rejoint la France mardi en annonçant qu’il reconnaîtrait en septembre l’Etat de Palestine, sauf si Israël prenait un certain nombre d’engagements dont celui d’un cessez-le-feu à Gaza.Israël a rejeté cette annonce et dénoncé une “récompense pour le Hamas”.L’attaque menée par le Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre, a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles. L’offensive israélienne menée en représailles à Gaza a fait au moins 60.034 morts, en majorité des civils, a annoncé mardi le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, dont les chiffres sont jugés fiables par l’ONU.Le ministre israélien des Affaires étrangères Gideon Saar a rejeté les pressions internationales pour un cessez-le-feu. Si Israël cessait la guerre alors que le Hamas est toujours au pouvoir à Gaza et détient des otages, ce serait une “tragédie”. “Cela n’arrivera pas”, a-t-il déclaré.