Retraites: le gouvernement espère un accord entre partenaires sociaux “à la mi-juillet”, affirme Primas

Le gouvernement espère un accord “à la mi-juillet” sur les points d’aménagement de la réforme des retraites sur lesquels les partenaires sociaux n’ont pu aboutir lors du conclave, la pénibilité et le financement des mesures, a indiqué vendredi sa porte-parole Sophie Primas.”A la mi-juillet, nous avons tous bon espoir que nous y arrivions”, a déclaré Mme Primas sur BFMTV/RMC au lendemain de la conférence de presse de François Bayrou dressant le bilan de quatre mois de “conclave” entre partenaires sociaux.”Nous avançons, le Premier ministre a raison de ne pas lâcher (…) Nous allons au bout de l’exercice. Il y a déjà des points d’accord que le Premier ministre s’est engagé à mettre au Parlement dans le cadre de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale”, a-t-elle affirmé en citant l’amélioration de la prise en compte de la carrière des femmes et l’abaissement de l’âge de départ sans décote.Selon le schéma retenu, la retraite serait calculée sur les 24 meilleures années (et non 25) pour les femmes ayant eu un enfant, sur les 23 meilleures années pour les femmes ayant eu deux enfants, avec pour effet d’augmenter légèrement leur pension.L’âge de départ sans décote est celui auquel il est possible de partir sans être pénalisé financièrement si l’on n’a pas cotisé tous les trimestres exigés (172 dans la réforme Borne). Cet âge pourrait être abaissé de 67 à 66,5 ans.En revanche, Mme Primas a reconnu “qu’il y avait encore des points de blocage”, notamment sur la prise en compte de la pénibilité.Les syndicats veulent obtenir que les salariés exposés longtemps à des travaux pénibles puissent partir en retraite anticipée, quel que soit leur état de santé constaté. Mais le patronat veut réserver ce départ anticipé aux seules personnes dont l’incapacité de travailler est établie par un médecin.Autre difficulté, l’équilibre financier. Selon François Bayrou, il manque encore 400 millions d’euros pour financer les diverses mesures sur la table, mais “on est tout près d’un accord pour y parvenir”.Mi-juillet, “au terme de ces négociations, ça sera sa responsabilité (au Premier ministre) de savoir s’il va au delà ou pas de l’accord qui sera trouvé sur les points sensibles”, a dit Sophie Primas. 

Retraites: le gouvernement espère un accord entre partenaires sociaux “à la mi-juillet”, affirme Primas

Le gouvernement espère un accord “à la mi-juillet” sur les points d’aménagement de la réforme des retraites sur lesquels les partenaires sociaux n’ont pu aboutir lors du conclave, la pénibilité et le financement des mesures, a indiqué vendredi sa porte-parole Sophie Primas.”A la mi-juillet, nous avons tous bon espoir que nous y arrivions”, a déclaré Mme Primas sur BFMTV/RMC au lendemain de la conférence de presse de François Bayrou dressant le bilan de quatre mois de “conclave” entre partenaires sociaux.”Nous avançons, le Premier ministre a raison de ne pas lâcher (…) Nous allons au bout de l’exercice. Il y a déjà des points d’accord que le Premier ministre s’est engagé à mettre au Parlement dans le cadre de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale”, a-t-elle affirmé en citant l’amélioration de la prise en compte de la carrière des femmes et l’abaissement de l’âge de départ sans décote.Selon le schéma retenu, la retraite serait calculée sur les 24 meilleures années (et non 25) pour les femmes ayant eu un enfant, sur les 23 meilleures années pour les femmes ayant eu deux enfants, avec pour effet d’augmenter légèrement leur pension.L’âge de départ sans décote est celui auquel il est possible de partir sans être pénalisé financièrement si l’on n’a pas cotisé tous les trimestres exigés (172 dans la réforme Borne). Cet âge pourrait être abaissé de 67 à 66,5 ans.En revanche, Mme Primas a reconnu “qu’il y avait encore des points de blocage”, notamment sur la prise en compte de la pénibilité.Les syndicats veulent obtenir que les salariés exposés longtemps à des travaux pénibles puissent partir en retraite anticipée, quel que soit leur état de santé constaté. Mais le patronat veut réserver ce départ anticipé aux seules personnes dont l’incapacité de travailler est établie par un médecin.Autre difficulté, l’équilibre financier. Selon François Bayrou, il manque encore 400 millions d’euros pour financer les diverses mesures sur la table, mais “on est tout près d’un accord pour y parvenir”.Mi-juillet, “au terme de ces négociations, ça sera sa responsabilité (au Premier ministre) de savoir s’il va au delà ou pas de l’accord qui sera trouvé sur les points sensibles”, a dit Sophie Primas. 

Retraites: le gouvernement espère un accord entre partenaires sociaux “à la mi-juillet”, affirme Primas

Le gouvernement espère un accord “à la mi-juillet” sur les points d’aménagement de la réforme des retraites sur lesquels les partenaires sociaux n’ont pu aboutir lors du conclave, la pénibilité et le financement des mesures, a indiqué vendredi sa porte-parole Sophie Primas.”A la mi-juillet, nous avons tous bon espoir que nous y arrivions”, a déclaré Mme Primas sur BFMTV/RMC au lendemain de la conférence de presse de François Bayrou dressant le bilan de quatre mois de “conclave” entre partenaires sociaux.”Nous avançons, le Premier ministre a raison de ne pas lâcher (…) Nous allons au bout de l’exercice. Il y a déjà des points d’accord que le Premier ministre s’est engagé à mettre au Parlement dans le cadre de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale”, a-t-elle affirmé en citant l’amélioration de la prise en compte de la carrière des femmes et l’abaissement de l’âge de départ sans décote.Selon le schéma retenu, la retraite serait calculée sur les 24 meilleures années (et non 25) pour les femmes ayant eu un enfant, sur les 23 meilleures années pour les femmes ayant eu deux enfants, avec pour effet d’augmenter légèrement leur pension.L’âge de départ sans décote est celui auquel il est possible de partir sans être pénalisé financièrement si l’on n’a pas cotisé tous les trimestres exigés (172 dans la réforme Borne). Cet âge pourrait être abaissé de 67 à 66,5 ans.En revanche, Mme Primas a reconnu “qu’il y avait encore des points de blocage”, notamment sur la prise en compte de la pénibilité.Les syndicats veulent obtenir que les salariés exposés longtemps à des travaux pénibles puissent partir en retraite anticipée, quel que soit leur état de santé constaté. Mais le patronat veut réserver ce départ anticipé aux seules personnes dont l’incapacité de travailler est établie par un médecin.Autre difficulté, l’équilibre financier. Selon François Bayrou, il manque encore 400 millions d’euros pour financer les diverses mesures sur la table, mais “on est tout près d’un accord pour y parvenir”.Mi-juillet, “au terme de ces négociations, ça sera sa responsabilité (au Premier ministre) de savoir s’il va au delà ou pas de l’accord qui sera trouvé sur les points sensibles”, a dit Sophie Primas. 

Mondial des clubs: tops, flops et révélations de la phase de groupes

Lors du 1er tour du Mondial des clubs, des stars ont été au rendez-vous comme Lionel Messi et Thibaut Courtois, d’autres ont déçu tels Antoine Griezmann et Franco Mastantuono et des joueurs moins connus à l’échelle planétaire se sont fait un nom, à l’image d’Igor Jesus et de Wessam Abou Ali.. “Oldies but Goldies”Comme ces vieux tubes musicaux qui sonnent encore très bien, certains glorieux vétérans ont montré qu’ils n’étaient pas obsolètes, malgré les fortes chaleurs moites.A commencer par Messi, qui a guidé l’Inter Miami jusqu’en 8es de finale, où de chaudes retrouvailles l’attendent contre le PSG. L’Argentin de 38 ans continue de se créer des situations de buts, tout en distillant des caviars. Et on déconseille aux Parisiens de lui offrir un coup franc aux 20 mètres, car il a aussi gardé l’habitude de les marquer, comme contre Porto (2-1).Messi n’est finalement pas seul à Miami, car Luis Suarez (38 ans) a attendu la rencontre décisive contre Palmeiras (2-2), pour retrouver la gnaque, en témoigne son superbe but en force rappelant ses plus belles heures au Barça.Et que dire d’Angel Di Maria ? Les années ne semblent pas peser sur l’Argentin de 37 ans, toujours aussi déroutant avec sa patte gauche. Ses trois buts en autant de matchs ont fait le bonheur de Benfica, premier du groupe C devant le Bayern.”Mais qu’est allé faire Sergio Ramos à Monterrey ?”, se demandait-on à sa signature en février. Apporter au club mexicain son expérience, sa hargne défensive intacte à 39 ans… et ses buts ! Cinq en 12 matchs (toutes compétitions confondues) dont un de la tête contre l’Inter Milan (1-1). “Je donne le meilleur de moi-même contre les meilleures équipes du monde, lance-t-il. Personne ne croyait en nous, maintenant, le vrai défi commence”. Dortmund est prévenu.Le Belge Thibaut Courtois démontre lui qu’il reste à 33 ans un des plus infranchissables gardiens de la planète. Ses dix arrêts, dont plusieurs sauvetages in extremis contre Pachuca, ont préservé la victoire du Real Madrid (3-1).. Abonnés absentsComme l’Atletico Madrid, Antoine Griezmann s’est réveillé trop tard: son but pour battre (1-0) Botafogo n’a pas évité l’élimination. Dommage pour le Français qui se verrait bien finir sa carrière aux Etats-Unis. Un choix déjà fait par ses ex-coéquipiers chez les Bleus Hugo Lloris et Olivier Giroud, peu en vue avec le LAFC.Pépite de River Plate, dont le Real Madrid s’est empressé de faire l’acquisition, l’Argentin de 17 ans Franco Mastantuono devait faire se lever les foules. Il n’en a rien été.Marcus Thuram, pas dans le coup contre Monterrey et même sorti blessé, a vu de loin ses coéquipiers de l’Inter Milan avancer en 8es.Edinson Cavani, longtemps blessé, n’a disputé que le dernier match de Boca, piteux, puisqu’il s’est fini par un nul (1-1) face aux amateurs d’Auckland.Kylian Mbappé (Real Madrid) et Ousmane Dembélé (PSG), empêchés par une gastro-entérite et une blessure musculaire, espèrent enfin marquer de leur empreinte le tournoi.. Nommés à l’Oscar de la révélationIgor Jesus: l’attaquant de Botafogo, 24 ans, n’est pas un inconnu en Amérique du Sud, en témoignent ses 22 buts dans le Championnat brésilien et 6 en Copa Libertadores, remportés l’an passé. Mais ceux contre le PSG et Seattle ont été vus en mondovision, notamment à Nottingham Forest sa probable future destination.Gonzalo Garcia: Mbappé sur le flanc, l’Espagnol de 21 ans a su se montrer en marquant le premier but de l’ère Xabi Alonso contre Al Hilal. Remuant et inspiré, il en a ajouté un deuxième contre Salzbourg (3-0).Wessam Abou Ali: en Egypte, les fans d’Al Ahly l’adulent depuis son arrivée l’an passé (35 buts en 57 matchs). Et ce n’est pas prêt de s’arrêter, car l’attaquant palestinien, né au Danemark, a crevé l’écran avec son triplé contre Porto (4-4). De quoi sûrement taper dans l’oeil de clubs européens.Salem Al-Dawsari: sur son aile gauche, avec sa pointe de vitesse, l’attaquant saoudien a été un poison permanent pour Trent Alexander-Arnold lors du nul surprise d’Al Hilal contre le Real Madrid (1-1). Et son but contre Pachuca (2-0) a envoyé Al Hilal en 8es de finale.Anatoliy Trubin: l’Ukrainien de 21 ans n’est pas très exposé à Benfica, dont il garde les cages depuis deux ans. Mais dans ce Mondial des clubs, il a écoeuré l’armada offensive du Bayern, pour préserver la victoire (1-0) des siens.

Les Bourses européennes ouvrent en hausse

Les marchés boursiers européens ont ouvert en hausse vendredi, faisant le pari de l’optimisme après la conclusion d’un accord entre la Chine et les Etats-Unis sur le plan commercial.Vers 7H05 GMT, Paris prenait 0,78%, Francfort 0,77% et Londres 0,36%. Milan gagnait 0,52%.

India accused of illegal deportations targeting Muslims

India has deported without trial to Bangladesh hundreds of people, officials from both sides said, drawing condemnation from activists and lawyers who call the recent expulsions illegal and based on ethnic profiling.New Delhi says the people deported are undocumented migrants.The Hindu nationalist government of Prime Minister Narendra Modi has long taken a hardline stance on immigration — particularly those from neighbouring Muslim-majority Bangladesh — with top officials referring to them as “termites” and “infiltrators”.It has also sparked fear among India’s estimated 200 million Muslims, especially among speakers of Bengali, a widely spoken language in both eastern India and Bangladesh.”Muslims, particularly from the eastern part of the country, are terrified,” said veteran Indian rights activist Harsh Mander. “You have thrown millions into this existential fear.”Bangladesh, largely encircled by land by India, has seen relations with New Delhi turn icy since a mass uprising in 2024 toppled Dhaka’s government, a former friend of India.But India also ramped up operations against migrants after a wider security crackdown in the wake of an attack in the west — the April 22 killing of 26 people, mainly Hindu tourists, in Indian-administered Kashmir.New Delhi blamed that attack on Pakistan, claims Islamabad rejected, with arguments culminating in a four-day conflict that left more than 70 dead.Indian authorities launched an unprecedented countrywide security drive that has seen many thousands detained — and many of them eventually pushed across the border to Bangladesh at gunpoint.- ‘Do not dare’ -Rahima Begum, from India’s eastern Assam state, said police detained her for several days in late May before taking her to the Bangladesh frontier.She said she and her family had spent their life in India.”I have lived all my life here — my parents, my grandparents, they are all from here,” she said. “I don’t know why they would do this to me.”Indian police took Begum, along with five other people, all Muslims, and forced them into swampland in the dark.”They showed us a village in the distance and told us to crawl there,” she told AFP. “They said: ‘Do not dare to stand and walk, or we will shoot you.'”Bangladeshi locals who found the group then handed them to border police who “thrashed” them and ordered they return to India, Begum said.”As we approached the border, there was firing from the other side,” said the 50-year-old.”We thought: ‘This is the end. We are all going to die.'”She survived, and, a week after she was first picked up, she was dropped back home in Assam with a warning to keep quiet.- ‘Ideological hate campaign’ -Rights activists and lawyers criticised India’s drive as “lawless”. “You cannot deport people unless there is a country to accept them,” said New Delhi-based civil rights lawyer Sanjay Hegde.Indian law does not allow for people to be deported without due process, he added. Bangladesh has said India has pushed more than 1,600 people across its border since May.Indian media suggests the number could be as high as 2,500.The Bangladesh Border Guards said it has sent back 100 of those pushed across — because they were Indian citizens.India has been accused of forcibly deporting Muslim Rohingya refugees from Myanmar, with navy ships dropping them off the coast of the war-torn nation.Many of those targeted in the campaign are low-wage labourers in states governed by Modi’s Bharatiya Janata Party (BJP), according to rights activists.Indian authorities did not respond to questions about the number of people detained and deported.But Assam state’s chief minister has said that more than 300 people have been deported to Bangladesh.Separately, Gujarat’s police chief said more than 6,500 people have been rounded up in the western state, home to both Modi and interior minister Amit Shah.Many of those were reported to be Bengali-speaking Indians and later released.”People of Muslim identity who happen to be Bengali speaking are being targeted as part of an ideological hate campaign,” said Mander, the activist. Nazimuddin Mondal, a 35-year-old mason, said he was picked up by police in the financial hub of Mumbai, flown on a military aircraft to the border state of Tripura and pushed into Bangladesh.He managed to cross back, and is now back in India’s West Bengal state, where he said he was born.”The Indian security forces beat us with batons when we insisted we were Indians,” said Mondal, adding he is now scared to even go out to seek work.”I showed them my government-issued ID, but they just would not listen.”

Ethiopia, an unlikely outpost for France’s beloved ‘petanque’ gameFri, 27 Jun 2025 07:02:00 GMT

In an unlikely Ethiopian outpost of one the most French of pastimes, four men are leaning over their petanque balls, arguing over who is winning.Petanque, the bowling game also known as boules,is more readily associated with French village squares where locals launch metal balls at a jack while enjoying an afternoon drink. But for decades, it …

Ethiopia, an unlikely outpost for France’s beloved ‘petanque’ gameFri, 27 Jun 2025 07:02:00 GMT Read More »

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Canicule: la vigilance orange étendue à 13 départements samedi

Treize départements seront en vigilance orange canicule samedi, a annoncé vendredi Météo-France qui prévoit “un épisode caniculaire précoce dont la durée”, et l'”extension géographique progressive vers le nord, nécessitent une vigilance particulière”.Les quatre départements du sud de la France – Pyrénées-Orientales, Hérault, Gard et Bouches-du-Rhône – placés vendredi en vigilance orange canicule, seront rejoints à partir de samedi midi par le Var, le Vaucluse, les Alpes-de-Hautes-Provence, les Alpes-Maritimes, la Haute-Corse, l’Ardèche, la Drôme, le Rhône et l’Isère.Cette extension de la vigilance s’explique par une “remontée des températures, commençant par le sud-est du pays”, explique Météo-France dans son bulletin vendredi matin. “Les températures de surface de la mer Méditerranée” sont un facteur aggravant “pouvant influencer l’effet des températures minimales, rendant plus étouffantes les nuits durant cet épisode caniculaire”, ajoute le prévisionniste.Vendredi à partir de midi, l’épisode caniculaire débute, avec des fortes chaleurs sur le pourtour méditerranéen qui donneront des valeurs comprises entre 35°C et 38°C, localement 39°C voire plus en pointe à l’intérieur des terres. Selon Météo-France, la nuit de vendredi à samedi sera très chaude et étouffante. Les maximales de samedi sont généralement proches de 37 à 39 degrés.La France subit depuis le 20 juin sa première vague de chaleur de 2025.