US Supreme Court upholds Biden-era regulation of ‘ghost guns’

The US Supreme Court on Wednesday upheld Biden-era federal regulation of untraceable “ghost guns” — firearms sold in easy-to-assemble kits — in a defeat for the powerful gun lobby.Gun manufacturers and gun rights groups had challenged a 2022 Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives (ATF) rule that requires ghost guns, like other firearms, to have serial numbers and for their purchasers to undergo background checks.The ATF rule also requires commercial sellers of what are known as “buy-build-shoot” kits, which sometimes include parts made by 3D printers, to be licensed and maintain records.The Supreme Court upheld the ATF regulations in a 7-2 ruling with four conservative justices — including all three first-term appointees of Republican President Donald Trump — siding with the three liberals on the court.Clarence Thomas and Samuel Alito, the two most conservative justices, dissented.Justice Neil Gorsuch said ghost guns fit the definition of what constitutes a firearm under the 1968 Gun Control Act, which was passed by Congress after the assassinations of civil rights leader Martin Luther King Jr and Senator Robert F. Kennedy.”Perhaps a half hour of work is required before anyone can fire a shot,” Gorsuch said in the majority opinion. “But even as sold, the kit comes with all necessary components, and its intended function as instrument of combat is obvious.”Really, the kit’s name says it all: “Buy Build Shoot,” he said.Luigi Mangione, the 26-year-old Maryland man charged with murdering the CEO of UnitedHealth care in New York in December, was allegedly in possession of a ghost gun at the time of his arrest.- ‘Untraceable’ -During arguments in October, then-solicitor general Elizabeth Prelogar, representing the administration of president Joe Biden, told the court that regulation of ghost guns was “crucial to solving gun crimes and keeping guns out of the hands of minors, felons and domestic abusers.”Prelogar said ghost guns were marketed as “ridiculously easy to assemble” with manufacturers boasting that buyers can go “from opening the mail to having a fully functional gun in as little as 15 minutes.””Those untraceable guns are attractive to people who can’t lawfully purchase them or who plan to use them in crimes,” she said.”As a result, our nation has seen an explosion in crimes committed with ghost guns.”Peter Patterson, representing the gun manufacturers and gun rights groups objecting to the ATF rule, argued that the federal agency had “exceeded its authority” and “expanded the definition of firearm to include collections of parts that are not weapons.”The conservative-dominated Supreme Court has expanded gun rights in previous cases, striking down a ban, for example, on bump stocks — devices which allow semi-automatic rifles to fire like a machine gun.According to ATF figures, nearly 20,000 ghost guns were recovered at crime scenes in the United States in 2021 — a tenfold increase from 2016. Solicitor General Prelogar said the number has dropped dramatically since the 2022 rule went into force.The Biden administration appealed to the Supreme Court after a district court struck down the ATF rule and its ruling was upheld by a conservative-dominated appeals court panel.

Washington pourrait manquer le boom des technologies vertes, selon Berlin

L’Europe doit saisir les “énormes opportunités économiques” offertes par l’essor des technologies vertes, a déclaré mercredi le chancelier allemand Olaf Scholz, ajoutant qu’il revenait aux États-Unis de décider s’ils voulaient en profiter ou non.”Le marché mondial des technologies clés respectueuses du climat continue de croître rapidement”, a estimé M. Scholz lors du Dialogue de Petersberg sur le climat, qui réunit des ministres de quelque quarante Etats à Berlin.Le dirigeant, désormais en charge des affaires courantes jusqu’à la nomination de son successeur conservateur Friedrich Merz attendue fin avril, a ajouté regretter “profondément” que Donald Trump ait de nouveau quitté l’accord de Paris, par lequel les Etats signataires s’engagent à limiter le réchauffement climatique et a souligné les “énormes” opportunités économiques que manquent ainsi les Etats-Unis.”Contester et ignorer les faits ne fera pas disparaître les conséquences du changement climatique, ni la responsabilité des États-Unis en tant que plus grand émetteur historique de gaz à effet de serre”, a critiqué le responsable allemand.Selon la cheffe de la diplomatie Annalena Baerbock, les données économiques contredisent le “vieux préjugé” selon lequel investir dans la protection du climat est “inabordable”. L’Europe souhaite particulièrement travailler avec “les entreprises et les pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’autres régions du monde”, a déclaré la ministre écologiste lors de cette réunion qui prépare le terrain au sommet COP30 de novembre au Brésil. “Si d’autres, comme les États-Unis, décident de rester en dehors, c’est leur décision”, a-t-elle insisté.Dans un discours par vidéo conférence, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a appuyé leurs propos. “Les énergies renouvelables renouvellent les économies”, a-t-il dit.”Elles alimentent la croissance, créent des emplois, réduisent les factures d’énergie et purifient notre air. Et chaque jour, elles deviennent un investissement encore plus judicieux”.A cet égard, les conservateurs, vainqueurs des législatives du 23 février, et les sociaux-démocrates qui négocient une coalition gouvernementale ont convenu, sous la pression des Verts, de réserver 100 milliards d’euros pour des investissements protégeant le climat, sur un paquet de 500 milliards sur douze ans prévus pour moderniser l’économie.Les bouleversements géopolitiques mondiaux font craindre la relégation de la lutte contre le réchauffement climatique derrière les question sécuritaires et économiques, a souligné le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra.”Mais il n’y a pas d’alternative”, a-t-il averti: “l’humanité n’a pas d’alternative et ne peut pas attendre”.

Washington pourrait manquer le boom des technologies vertes, selon Berlin

L’Europe doit saisir les “énormes opportunités économiques” offertes par l’essor des technologies vertes, a déclaré mercredi le chancelier allemand Olaf Scholz, ajoutant qu’il revenait aux États-Unis de décider s’ils voulaient en profiter ou non.”Le marché mondial des technologies clés respectueuses du climat continue de croître rapidement”, a estimé M. Scholz lors du Dialogue de Petersberg sur le climat, qui réunit des ministres de quelque quarante Etats à Berlin.Le dirigeant, désormais en charge des affaires courantes jusqu’à la nomination de son successeur conservateur Friedrich Merz attendue fin avril, a ajouté regretter “profondément” que Donald Trump ait de nouveau quitté l’accord de Paris, par lequel les Etats signataires s’engagent à limiter le réchauffement climatique et a souligné les “énormes” opportunités économiques que manquent ainsi les Etats-Unis.”Contester et ignorer les faits ne fera pas disparaître les conséquences du changement climatique, ni la responsabilité des États-Unis en tant que plus grand émetteur historique de gaz à effet de serre”, a critiqué le responsable allemand.Selon la cheffe de la diplomatie Annalena Baerbock, les données économiques contredisent le “vieux préjugé” selon lequel investir dans la protection du climat est “inabordable”. L’Europe souhaite particulièrement travailler avec “les entreprises et les pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’autres régions du monde”, a déclaré la ministre écologiste lors de cette réunion qui prépare le terrain au sommet COP30 de novembre au Brésil. “Si d’autres, comme les États-Unis, décident de rester en dehors, c’est leur décision”, a-t-elle insisté.Dans un discours par vidéo conférence, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a appuyé leurs propos. “Les énergies renouvelables renouvellent les économies”, a-t-il dit.”Elles alimentent la croissance, créent des emplois, réduisent les factures d’énergie et purifient notre air. Et chaque jour, elles deviennent un investissement encore plus judicieux”.A cet égard, les conservateurs, vainqueurs des législatives du 23 février, et les sociaux-démocrates qui négocient une coalition gouvernementale ont convenu, sous la pression des Verts, de réserver 100 milliards d’euros pour des investissements protégeant le climat, sur un paquet de 500 milliards sur douze ans prévus pour moderniser l’économie.Les bouleversements géopolitiques mondiaux font craindre la relégation de la lutte contre le réchauffement climatique derrière les question sécuritaires et économiques, a souligné le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra.”Mais il n’y a pas d’alternative”, a-t-il averti: “l’humanité n’a pas d’alternative et ne peut pas attendre”.

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Obsèques d’Emilie Dequenne: un adieu à l’actrice, un geste contre le cancer

Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées au Père-Lachaise à Paris pour un adieu à Emilie Dequenne, que l’actrice, emportée par la maladie à 43 ans, a voulu sans fleurs mais qui doit permettre de soutenir la recherche contre le cancer.Aux côtés d’autres personnalités du cinéma, dont Sami Bouajila, Alice Belaïdi, Natacha Régnier, Albert Dupontel, Hafsia Herzi ou Andrea Ferréol, les réalisateurs Jean-Pierre et Luc Dardenne sont venus dire au revoir à leur “Rosetta”. Ils se sont assis au premier rang avec la famille.Révélée à 18 ans dans leur film, fauchée par un cancer rare au terme d’une lutte acharnée qu’elle avait rendue publique, Emilie Dequenne est morte le 16 mars, laissant le souvenir d’une comédienne attachante, talentueuse et pleine d’énergie.Un registre de condoléances a été mis à disposition à l’extérieur, et un dessin de l’actrice, signé Jean-Charles de Castelbajac, égaye les marches qui permettent d’accéder au crématorium, où se tient la cérémonie religieuse. A l’intérieur, deux photos, avant et après la maladie: l’une, en noir et blanc, cheveux longs, l’autre en couleur, cheveux courts. Sur les deux clichés, un même sourire.”A la demande d’Emilie, merci de ne pas offrir de fleurs”, avait écrit sa famille, ses amis et son agente, Danielle Gain, dans un faire-part.”Préférez nous aider à faire progresser la recherche sur le corticosurrénalome en faisant un don à l’Institut Gustave Roussy”, l’un des principaux centres de lutte contre le cancer en France, où elle est décédée, avaient-ils ajouté.Une page a été ouverte à cet effet sur le site de l’institut par la famille de l’actrice, rappelant qu’elle “rêvait d’un monde où les traitements seraient plus efficaces”.En octobre 2023, Emilie Dequenne avait annoncé être atteinte de ce cancer du système endocrinien, diagnostiqué deux mois plus tôt et qui la tenait éloignée des plateaux. Elle est décédée après une rémission, puis une rechute.- Aimée du public -Avec ces obsèques, le cinéma français et francophone pleure la mort prématurée d’une comédienne aimée du public et appréciée dans le milieu du 7e art.Des frères Dardenne, qui l’ont révélée, à Tahar Rahim et Vincent Macaigne, qui ont partagé l’affiche avec elle, les hommages ont afflué après son décès, en France comme en Belgique, son pays natal. Une cérémonie d’hommage doit également être organisée avec la ville belge de Chièvres lors de la remise du livre de condoléances à la famille.Emilie Dequenne a connu la consécration dès son apparition à l’écran, en décrochant le prix d’interprétation à Cannes pour “Rosetta” (1999), de Luc et Jean-Pierre Dardenne. Elle a été fauchée “en plein vol, c’est l’archange foudroyé”, a déclaré Luc Dardenne après sa mort.Ce rôle a été le prélude à une carrière bien plus vaste, avec une cinquantaine de films (“La fille du RER” d’André Téchiné en 2009, “A perdre la raison” de Joachim Lafosse en 2012, “Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait” d’Emmanuel Mouret en 2020…), dans lesquels l’actrice a su varier les registres.”Révoltée à l’écran, elle était la douceur même dans la vie, une vie qui s’achève scandaleusement tôt, tant elle avait encore d’amour à donner. Nous la pleurons”, a salué le délégué général du Festival de Cannes, Thierry Frémaux. Juliette Binoche l’a remerciée d’avoir partagé ce qu’elle traversait “avec tant d’ardeur et de générosité”. “Tout ce que tu étais, comme actrice et comme femme, inspirait l’admiration et l’amour”, a salué sa compatriote Virginie Efira. Leïla Bekhti a rendu hommage à une “grande dame, grande âme, grande actrice, une reine”.Emilie Dequenne s’était mise en retrait du métier depuis l’annonce de son diagnostic de cancer. Mais en mai 2024, à la faveur d’une rémission, la comédienne était apparue sur le tapis rouge à Cannes au bras de son mari, l’acteur Michel Ferracci.Souriante, les cheveux courts en raison de son traitement, elle venait célébrer les 25 ans de “Rosetta” et présenter son dernier film, “Survivre”.

Obsèques d’Emilie Dequenne: un adieu à l’actrice, un geste contre le cancer

Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées au Père-Lachaise à Paris pour un adieu à Emilie Dequenne, que l’actrice, emportée par la maladie à 43 ans, a voulu sans fleurs mais qui doit permettre de soutenir la recherche contre le cancer.Aux côtés d’autres personnalités du cinéma, dont Sami Bouajila, Alice Belaïdi, Natacha Régnier, Albert Dupontel, Hafsia Herzi ou Andrea Ferréol, les réalisateurs Jean-Pierre et Luc Dardenne sont venus dire au revoir à leur “Rosetta”. Ils se sont assis au premier rang avec la famille.Révélée à 18 ans dans leur film, fauchée par un cancer rare au terme d’une lutte acharnée qu’elle avait rendue publique, Emilie Dequenne est morte le 16 mars, laissant le souvenir d’une comédienne attachante, talentueuse et pleine d’énergie.Un registre de condoléances a été mis à disposition à l’extérieur, et un dessin de l’actrice, signé Jean-Charles de Castelbajac, égaye les marches qui permettent d’accéder au crématorium, où se tient la cérémonie religieuse. A l’intérieur, deux photos, avant et après la maladie: l’une, en noir et blanc, cheveux longs, l’autre en couleur, cheveux courts. Sur les deux clichés, un même sourire.”A la demande d’Emilie, merci de ne pas offrir de fleurs”, avait écrit sa famille, ses amis et son agente, Danielle Gain, dans un faire-part.”Préférez nous aider à faire progresser la recherche sur le corticosurrénalome en faisant un don à l’Institut Gustave Roussy”, l’un des principaux centres de lutte contre le cancer en France, où elle est décédée, avaient-ils ajouté.Une page a été ouverte à cet effet sur le site de l’institut par la famille de l’actrice, rappelant qu’elle “rêvait d’un monde où les traitements seraient plus efficaces”.En octobre 2023, Emilie Dequenne avait annoncé être atteinte de ce cancer du système endocrinien, diagnostiqué deux mois plus tôt et qui la tenait éloignée des plateaux. Elle est décédée après une rémission, puis une rechute.- Aimée du public -Avec ces obsèques, le cinéma français et francophone pleure la mort prématurée d’une comédienne aimée du public et appréciée dans le milieu du 7e art.Des frères Dardenne, qui l’ont révélée, à Tahar Rahim et Vincent Macaigne, qui ont partagé l’affiche avec elle, les hommages ont afflué après son décès, en France comme en Belgique, son pays natal. Une cérémonie d’hommage doit également être organisée avec la ville belge de Chièvres lors de la remise du livre de condoléances à la famille.Emilie Dequenne a connu la consécration dès son apparition à l’écran, en décrochant le prix d’interprétation à Cannes pour “Rosetta” (1999), de Luc et Jean-Pierre Dardenne. Elle a été fauchée “en plein vol, c’est l’archange foudroyé”, a déclaré Luc Dardenne après sa mort.Ce rôle a été le prélude à une carrière bien plus vaste, avec une cinquantaine de films (“La fille du RER” d’André Téchiné en 2009, “A perdre la raison” de Joachim Lafosse en 2012, “Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait” d’Emmanuel Mouret en 2020…), dans lesquels l’actrice a su varier les registres.”Révoltée à l’écran, elle était la douceur même dans la vie, une vie qui s’achève scandaleusement tôt, tant elle avait encore d’amour à donner. Nous la pleurons”, a salué le délégué général du Festival de Cannes, Thierry Frémaux. Juliette Binoche l’a remerciée d’avoir partagé ce qu’elle traversait “avec tant d’ardeur et de générosité”. “Tout ce que tu étais, comme actrice et comme femme, inspirait l’admiration et l’amour”, a salué sa compatriote Virginie Efira. Leïla Bekhti a rendu hommage à une “grande dame, grande âme, grande actrice, une reine”.Emilie Dequenne s’était mise en retrait du métier depuis l’annonce de son diagnostic de cancer. Mais en mai 2024, à la faveur d’une rémission, la comédienne était apparue sur le tapis rouge à Cannes au bras de son mari, l’acteur Michel Ferracci.Souriante, les cheveux courts en raison de son traitement, elle venait célébrer les 25 ans de “Rosetta” et présenter son dernier film, “Survivre”.

Can hockey break the diplomatic ice between US and Russia?

In an echo of the Cold War, ice hockey has become central to international diplomacy, after it was mentioned by Vladimir Putin and Donald Trump during talks on Ukraine, and during tensions between the United States and Canada over trade.The US and Russian presidents’ phone call on March 18 focused on Russian strikes on Ukrainian energy sites, US military aid to Kyiv, and peace negotiations.But according to the Kremlin, Putin also brought up a subject close to his heart — ice hockey — and raised the possibility of matches between players of both countries.”We’ve been seeing efforts by the Russians to warm up the situation with Donald Trump and vice versa… Putin is a big hockey fan,” Gary Smith, a former Canadian diplomat and author of “Ice War Diplomat”, told AFP.Smith’s book focuses on a series of hockey matches between Canada and the Soviet Union during the Cold War in 1972, which is considered one of the most significant events in 20th-century Canadian history.”The advantage of sports is that it impacts foreign societies from top to bottom because there’s such a mass interest in sports,” he added. “So you have an opportunity to really convey a message, a cultural message. And what it does is it helps break down cultural stereotypes.”For instance, we didn’t like the communists at all but they had a goaltender, 20 years old, named Vladislav Tretiak, and he put a human face on communism.”- ‘Relationships of trust’ -Whether ice hockey can help to “humanise” modern-day Russia more than half a century later remains to be seen.First, games would have to actually take place between the Americans and Russians and despite Trump’s agreement in principle, this is not yet a done deal.The North American NHL cut ties with its Russian counterpart, the KHL, after Moscow’s full-scale invasion of Ukraine in February 2022 and Russia is banned from international competitions until at least 2026. Smith assesses the chance of the offer coming to fruition as “50-50″ — and dependent on the course of the war.”The longer the war in Ukraine goes on, the less likely this series will happen,” he said, noting that the White House read-out of the call made no mention of ice hockey.Putin, 72, portrays himself as having a healthy and athletic lifestyle and took up ice hockey late in life, playing in high-profile gala matches every year.Ice hockey “brings people together and helps build relationships of trust”, he said during one match in 2019 when asked about possible “hockey diplomacy”.By coincidence, Russian Alex Ovechkin, who plays for NHL franchise the Washington Capitals, is closing in on the league record of 894 goals set by the player widely considered the greatest of all time, Wayne Gretzky.Ovechkin founded “PutinTeam” to support the Russian president in the 2018 election and his Instagram profile picture shows him standing with Putin.- Elbows up! -In recent weeks, ice hockey has also emerged as a proxy for tensions between North American neighbours the United States and Canada. In February, a clash on the ice between the two countries in an international tournament in Montreal was marked by three fights in the first nine seconds and a chorus of deafening boos.Faced with Trump’s repeated calls to make their country the “51st state”, Canadians have adopted a rallying cry of resistance directly drawn from the vocabulary of their national sport: “Elbows up!”New Prime Minister Mark Carney, himself a former player, also alluded to ice hockey in a speech about the trade war with Washington over tariffs. “Canadians are always ready when someone else drops the gloves,” he said, referring to ice hockey’s notorious punch-ups. “The Americans should make no mistake: in trade as in hockey, Canada will win.”The former central banker donned his national team jersey for the final of the tournament.Despite a phone call from Trump himself to the American players before kickoff, the United States lost the final 3-2 to Canada.

Prince Harry resigns from Africa charity after ‘devastating’ rowWed, 26 Mar 2025 14:30:34 GMT

Prince Harry said he had quit as patron of a charity he founded in southern Africa almost 20 years ago with a “heavy heart” amid a bitter boardroom battle, in a new blow to the royal living in self-exile.Harry and Lesotho’s Prince Seeiso said they were resigning after a “devastating” dispute between trustees and board …

Prince Harry resigns from Africa charity after ‘devastating’ rowWed, 26 Mar 2025 14:30:34 GMT Read More »

Israël menace de s’emparer de secteurs de Gaza si les otages ne sont pas libérés

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a menacé mercredi de s’emparer de secteurs de Gaza si le Hamas ne libérait pas les otages, le mouvement islamiste palestinien prévenant que leur vie était en danger après la reprise des bombardements israéliens. L’armée israélienne a en outre annoncé que deux projectiles avaient été tirés de la bande de Gaza, l’un intercepté et l’autre tombé dans le sud du pays, sans faire état dans l’immédiat de victime ou dégât. Ces tirs sont intervenus au lendemain d’une manifestation de centaines de Gazaouis dans le nord du territoire, qui ont scandé des slogans anti-Hamas en appelant à la fin de la guerre avec Israël. Sur le réseau social Telegram, des appels à de nouvelles manifestations mercredi ont été lancés. Entrée en vigueur le 19 janvier après 15 mois de guerre, la trêve a pris fin le 18 mars avec la reprise des bombardements israéliens sur la bande de Gaza, suivis d’opérations terrestres.Depuis, au moins 830 Palestiniens ont été tués dans le territoire assiégé et dévasté, selon le ministère de la Santé du Hamas.  – “Puissante” pression -Selon les responsables israéliens, ce retour aux armes vise à contraindre le Hamas à libérer les derniers otages, après l’impasse des discussions pour la poursuite de la trêve. Le cessez-le-feu avait permis le retour en Israël de 33 otages israéliens – dont huit morts – en échange de quelque 1.800 détenus palestiniens.  “Plus le Hamas persistera dans son refus de libérer nos otages, plus la pression que nous exercerons sera puissante”, a déclaré mercredi M. Netanyahu au Parlement à Jérusalem. “Cela inclut la prise de territoires, ainsi que d’autres mesures que je ne détaillerai pas ici”, a-t-il ajouté.La semaine dernière, son ministre de la Défense, Israël Katz, avait dit avoir ordonné à l’armée “de saisir davantage de territoire à Gaza”, prévenant que “plus le Hamas continuera à refuser de libérer les otages, plus il perdra de territoire, qui sera annexé à Israël”. Sur les 251 otages enlevés lors de l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre, 58 sont toujours détenus à Gaza, dont 34 morts selon l’armée israélienne. Le Hamas a affirmé mercredi que les derniers otages pourraient être tués si Israël tentait de les libérer par la force et poursuivait ses frappes. – “Dans des cercueils” -Il a affirmé faire “tout son possible” pour les maintenir en vie, mais averti que “le bombardement sioniste (israélien, NDLR) aveugle met leur vie en danger”. “Chaque fois que l’occupation (israélienne, NDLR) tente de récupérer ses captifs par la force, elle finit par les ramener dans des cercueils”, a-t-il ajouté.Gal Gilboa-Dalal, dont le frère cadet, Guy, a été enlevé le 7-Octobre au festival de musique Nova se dit “terrifié” à l’idée que les opérations israéliennes “mettent en danger les otages”. “Il n’y a aucun moyen de savoir ce que les terroristes pourraient leur faire ou si un missile pourrait accidentellement les toucher”, affirme-t-il à l’AFP. L’attaque du Hamas a entraîné la mort de 1.218 personnes, pour la plupart des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des chiffres officiels. L’offensive militaire israélienne de représailles a tué au moins 50.183 personnes à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas. Mardi, Beit Lahia, dans le nord de Gaza a été le théâtre du plus grand rassemblement anti-Hamas organisé depuis le début de la guerre, dont les participants ont notamment scandé “Hamas dehors” et “Hamas terroriste”. “Les gens sont fatigués”, a déclaré parmi eux à l’AFP Majdi, qui n’a pas souhaité donner son nom complet. Israël appelle régulièrement les habitants de Gaza à se mobiliser contre le mouvement au pouvoir dans le territoire depuis 2007. La situation humanitaire y est particulièrement dramatique depuis qu’Israël a fermé les points de passage pour l’aide internationale et les marchandises, le 2 mars, avant de reprendre ses opérations militaires. Samedi, le Fatah, le mouvement palestinien du président Mahmoud Abbas, avait appelé son rival à quitter le pouvoir avertissant qu’en cas contraire “la bataille qui vient mènera à la fin de l’existence des Palestiniens” à Gaza.En Israël, Benjamin Netanyahu a accusé mercredi l’opposition d'”alimenter l’anarchie” en soutenant les manifestations antigouvernementales qui se multiplient pour protester contre la reprise des hostilités à Gaza et le limogeage du chef du Shin Bet (Sécurité intérieure).