Après les Ehpad, le gouvernement va contrôler les structures pour jeunes handicapés

Après les Ehpad, le gouvernement va contrôler les établissements pour personnes handicapées accueillant des enfants et les structures avec hébergement, a annoncé jeudi la ministre déléguée chargée de l’Autonomie et du Handicap, Charlotte Parmentier-Lecocq.”Maintenant qu’on a quasiment terminé le contrôle de l’ensemble des Ehpad en France, on va contrôler les établissements pour personnes en situation de handicap”, a-t-elle déclaré lors d’une conférence de presse à Paris.”Ce que l’on souhaite c’est cibler” les structures “où il peut y avoir plus de risques donc nous allons d’abord cibler les établissements qui concernent les enfants et les établissements avec hébergement”, a-t-elle ajouté, précisant l’objectif était de contrôler 500 établissements d’ici la fin de l’année. “Il s’agit de la même logique que le plan de contrôle des Ehpad, voir toutes les structures, mais en faisant davantage de contrôles sur site.”Lancé en 2022 après le scandale Orpea, portant sur des cas de malversations financières et de maltraitances, le plan de contrôle des Ehpad a permis de contrôler la quasi totalité (96%) des 7.500 établissements accueillant des personnes âgées en France. Selon les résultats présentés par le ministère de l’Autonomie et du Handicap, près de 90% des contrôles n’ont débouché sur aucune “injonction”, mesure corrective liée à un risque grave. A l’inverse, environ 11% des établissements ont été considérés en situation dégradée. Au total, 55 sanctions administratives ont été prises : 11 cas de fermeture définitive d’activité totale ou partielle pour dysfonctionnements mettant en danger les résidents, neuf cas de suspension provisoire notamment pour insuffisance de professionnels qualifiés et 35 cas de mise sous administration provisoire. Quarante cas ont été signalés au procureur de la République. “Un suivi a été effectué, maintenant on reste en veille, en vigilance”, a assuré la ministre, précisant qu’un “système d’information serait disponible” en janvier 2026 afin d’alerter de manière plus fluide les autorités “en cas de risque ou de maltraitance”. “S’il y a eu des problèmes dans certains”, les Ehpad “accompagnent, dans leur très grande majorité, bien nos aînés”, avec des “professionnels vraiment dévoués”, a insisté Charlotte Parmentier-Lecocq. “C’est parfois difficile pour les familles d’oser poser des questions, interpeller des professionnels ou la direction de l’Ehpad”, a-t-elle ajouté. “Il faut vraiment que les familles se sentent libres de pouvoir poser toutes les questions qu’elles veulent, ou de faire remonter les problèmes qu’elles perçoivent, et ça, ça doit se jouer au sein de l’Ehpad.” 

Droits de douane: les partenaires de Washington s’insurgent contre l’attaque de Trump sur l’automobile

Outrés ou catastrophés, les partenaires commerciaux des Etats-Unis cherchaient jeudi comment contrer le nouveau coup de boutoir de Donald Trump: 25% de droits de douane supplémentaires sur les automobiles, nouvelle escalade de la guerre commerciale qu’il mène tous azimuts depuis janvier.”Signal fatal pour le libre-échange”, a réagi la fédération des constructeurs automobiles allemands, gros pourvoyeurs de luxueuses berlines pour le marché américain.”Une très mauvaise nouvelle” pour le ministre français de l’Economie Eric Lombard, appelant à une riposte européenne, que Berlin souhaite “ferme”. “Extrêmement regrettable”, souligne le Japon, pour qui “toutes les options sont sur la table” désormais. Le Premier ministre canadien Mark Carney dénonce “une attaque directe”, et la Chine prévient qu’il “n’y a aucun gagnant dans une guerre commerciale”.Les actions des constructeurs reculaient sur les marchés boursiers au lendemain de l’annonce américaine.”Nous allons faire payer les pays qui font des affaires dans notre pays et prennent notre richesse”, a prévenu le président américain, nouvelle illustration de son maniement punitif des droits de douane depuis son investiture fin janvier.Les taxes sur l’automobile s’appliqueront à “toutes les voitures qui ne sont pas fabriquées aux Etats-Unis”, a-t-il assuré. Elles entreront en vigueur “le 2 avril et nous commencerons à les collecter le 3”, selon lui.- Constructeurs américains aussi touchés -Les constructeurs américains sont aussi concernés, leur modèle économique intégrant largement le Mexique et le Canada où ils possèdent des usines.Il est “crucial” que les droits de douane ne fassent pas “monter les prix pour les consommateurs”, ont prévenu jeudi Ford, GM et Stellantis via un communiqué de l’association professionnelle des constructeurs américains (AAPC), plaidant pour la “compétitivité” de la production automobile “nord-américaine”, intégrant donc Canada et Mexique.Même Elon Musk, proche allié de Donald Trump et patron de Tesla, craint d’y laisser des plumes. Les nouveaux droits de douane auront un effet “non négligeable” sur le coût de production des Tesla, via les pièces détachées importées, selon lui.Le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani a lui souligné que ces taxes “ne seront pas bénéfiques pour les Etats-Unis car les prix des voitures américaines augmenteront”, et appelé à ne pas céder à “des réactions instinctives ou à la panique”.Cette nouvelle taxe sur un produit grand public marque une nouvelle escalade dans la guerre commerciale menée par Donald Trump contre ses partenaires commerciaux, avec les droits de douane comme arme principale.Il a notamment déjà imposé 25% de taxes sur l’acier et l’aluminium importés. Il a aussi annoncé, tout en reportant leur application, des droits de douane de 25% sur les biens en provenance du Mexique et du Canada.Il a également imposé des droits de douane supplémentaires sur plusieurs biens chinois. L’Europe, qu’il a accusée d’avoir été “conçue pour entuber les Etats-Unis”, est aussi dans le collimateur, . – UE et Canada menacés -La prochaine étape de cette offensive est prévue mercredi 2 avril, qu’il appelle le “Jour de la libération”. Le président américain devrait annoncer la mise en place de droits de douane dits “réciproques”, qui concerneront l’ensemble des produits importés aux Etats-Unis.Le principe des droits “réciproques” est que les produits entrant aux Etats-Unis seront désormais taxés au même niveau que le sont les produits américains exportés vers ledit pays.Pour l’instant, l’UE adopte une position mesurée. Elle affirme mettre en place une riposte graduée, avec l’introduction mi-avril d’une série de droits de douane sur certains biens américains de niche, comme le bourbon ou les motos.Donald Trump a toutefois menacé Bruxelles et Ottawa de droits de douane encore alourdis s’il leur venait l’idée de coordonner leur riposte. La cheffe de la Commission européenne Ursula von der Leyen estimait mi-mars que le lien UE-Canada était “plus crucial que jamais” pour “défendre la démocratie, le commerce libre et équitable”.”Si l’Union européenne travaille avec le Canada pour nuire économiquement aux États-Unis, des droits de douane à grande échelle, bien plus importants que ceux actuellement prévus, seront imposés à tous deux”, a-t-il écrit sur le réseau Truth Social.- TikTok -Fidèle à son approche transactionnelle des relations internationales, Donald Trump a aussi offert mercredi à la Chine des ristournes sur les droits de douane, si un accord était trouvé pour la cession des activités américaines de ByteDance, maison-mère chinoise du réseau social TikTok, menacé d’interdiction aux Etats-Unis.Pékin y a opposé jeudi une fin de non-recevoir.”Concernant la question de TikTok, la Chine a exprimé sa position à plusieurs reprises. La position de la Chine contre l’imposition de droits de douane supplémentaires est également cohérente et claire”, a déclaré Guo Jiakun, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.

Droits de douane: les partenaires de Washington s’insurgent contre l’attaque de Trump sur l’automobile

Outrés ou catastrophés, les partenaires commerciaux des Etats-Unis cherchaient jeudi comment contrer le nouveau coup de boutoir de Donald Trump: 25% de droits de douane supplémentaires sur les automobiles, nouvelle escalade de la guerre commerciale qu’il mène tous azimuts depuis janvier.”Signal fatal pour le libre-échange”, a réagi la fédération des constructeurs automobiles allemands, gros pourvoyeurs de luxueuses berlines pour le marché américain.”Une très mauvaise nouvelle” pour le ministre français de l’Economie Eric Lombard, appelant à une riposte européenne, que Berlin souhaite “ferme”. “Extrêmement regrettable”, souligne le Japon, pour qui “toutes les options sont sur la table” désormais. Le Premier ministre canadien Mark Carney dénonce “une attaque directe”, et la Chine prévient qu’il “n’y a aucun gagnant dans une guerre commerciale”.Les actions des constructeurs reculaient sur les marchés boursiers au lendemain de l’annonce américaine.”Nous allons faire payer les pays qui font des affaires dans notre pays et prennent notre richesse”, a prévenu le président américain, nouvelle illustration de son maniement punitif des droits de douane depuis son investiture fin janvier.Les taxes sur l’automobile s’appliqueront à “toutes les voitures qui ne sont pas fabriquées aux Etats-Unis”, a-t-il assuré. Elles entreront en vigueur “le 2 avril et nous commencerons à les collecter le 3”, selon lui.- Constructeurs américains aussi touchés -Les constructeurs américains sont aussi concernés, leur modèle économique intégrant largement le Mexique et le Canada où ils possèdent des usines.Il est “crucial” que les droits de douane ne fassent pas “monter les prix pour les consommateurs”, ont prévenu jeudi Ford, GM et Stellantis via un communiqué de l’association professionnelle des constructeurs américains (AAPC), plaidant pour la “compétitivité” de la production automobile “nord-américaine”, intégrant donc Canada et Mexique.Même Elon Musk, proche allié de Donald Trump et patron de Tesla, craint d’y laisser des plumes. Les nouveaux droits de douane auront un effet “non négligeable” sur le coût de production des Tesla, via les pièces détachées importées, selon lui.Le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani a lui souligné que ces taxes “ne seront pas bénéfiques pour les Etats-Unis car les prix des voitures américaines augmenteront”, et appelé à ne pas céder à “des réactions instinctives ou à la panique”.Cette nouvelle taxe sur un produit grand public marque une nouvelle escalade dans la guerre commerciale menée par Donald Trump contre ses partenaires commerciaux, avec les droits de douane comme arme principale.Il a notamment déjà imposé 25% de taxes sur l’acier et l’aluminium importés. Il a aussi annoncé, tout en reportant leur application, des droits de douane de 25% sur les biens en provenance du Mexique et du Canada.Il a également imposé des droits de douane supplémentaires sur plusieurs biens chinois. L’Europe, qu’il a accusée d’avoir été “conçue pour entuber les Etats-Unis”, est aussi dans le collimateur, . – UE et Canada menacés -La prochaine étape de cette offensive est prévue mercredi 2 avril, qu’il appelle le “Jour de la libération”. Le président américain devrait annoncer la mise en place de droits de douane dits “réciproques”, qui concerneront l’ensemble des produits importés aux Etats-Unis.Le principe des droits “réciproques” est que les produits entrant aux Etats-Unis seront désormais taxés au même niveau que le sont les produits américains exportés vers ledit pays.Pour l’instant, l’UE adopte une position mesurée. Elle affirme mettre en place une riposte graduée, avec l’introduction mi-avril d’une série de droits de douane sur certains biens américains de niche, comme le bourbon ou les motos.Donald Trump a toutefois menacé Bruxelles et Ottawa de droits de douane encore alourdis s’il leur venait l’idée de coordonner leur riposte. La cheffe de la Commission européenne Ursula von der Leyen estimait mi-mars que le lien UE-Canada était “plus crucial que jamais” pour “défendre la démocratie, le commerce libre et équitable”.”Si l’Union européenne travaille avec le Canada pour nuire économiquement aux États-Unis, des droits de douane à grande échelle, bien plus importants que ceux actuellement prévus, seront imposés à tous deux”, a-t-il écrit sur le réseau Truth Social.- TikTok -Fidèle à son approche transactionnelle des relations internationales, Donald Trump a aussi offert mercredi à la Chine des ristournes sur les droits de douane, si un accord était trouvé pour la cession des activités américaines de ByteDance, maison-mère chinoise du réseau social TikTok, menacé d’interdiction aux Etats-Unis.Pékin y a opposé jeudi une fin de non-recevoir.”Concernant la question de TikTok, la Chine a exprimé sa position à plusieurs reprises. La position de la Chine contre l’imposition de droits de douane supplémentaires est également cohérente et claire”, a déclaré Guo Jiakun, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.

S.Sudan opposition says vice president’s arrest ends peace dealThu, 27 Mar 2025 11:36:17 GMT

South Sudan’s opposition said on Thursday the arrest overnight of First Vice President Riek Machar, long-time rival to President Salva Kiir, had invalidated their 2018 peace deal and risked plunging the country back into war. A convoy of 20 heavily armed vehicles entered Machar’s residence in the capital, Juba, late on Wednesday and arrested him, according …

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Israel parliament passes law enabling political control over judicial appointments

Israel’s parliament on Thursday passed a law expanding elected officials’ power to appoint judges, defying a years-long movement against Prime Minister Benjamin Netanyahu’s contentious judicial reforms that saw massive street protests.The approval comes as Netanyahu’s government, one of the most right-wing in Israel’s history, is locked in a standoff with the supreme court after beginning proceedings to dismiss Attorney General Gali Baharav-Miara and announcing the sacking of Ronen Bar, head of the internal security agency.Critics said the new law was a “nail in the coffin of Israeli democracy,” while the opposition swiftly filed a petition with the supreme court challenging the vote, viewing these judicial changes as signs of Netanyahu’s authoritarian shift toward an illiberal democracy.The legislation was approved by a vote of 67 in favour and one against, with the opposition boycotting the early-morning vote.Israel’s parliament, the Knesset, has 120 lawmakers.The overall judicial reform package had sparked one of the largest protest movements in Israel’s history in 2023 before being overtaken by the war in Gaza.The war began following the deadly October 7, 2023 attack on Israel by the Palestinian Islamist group Hamas, which rules the Gaza Strip.According to Justice Minister Yariv Levin, who sponsored the bill, the measure was intended to “restore balance” between the legislative and judicial branches.In his closing remarks ahead of the vote, Levin slammed the supreme court, saying it had “effectively nullified the Knesset”.”It has taken for itself the authority to cancel laws and even Basic Laws. This is something unheard of in any democracy in the world,” said Levin, the key architect of the judicial changes.”But our supreme court didn’t stop at trampling the Knesset; it placed itself above the government. It can annul any government action, compel the government to perform any action, cancel any government appointment.”- ‘Hypocrisy’ -“It is hypocrisy and one-sided to say that the Knesset is forbidden to act while the court is allowed to act in the middle of a war,” Levin said.”The days of appeasement and silencing are over, never to return.”Currently, judges — including supreme court justices — are selected by a nine-member committee comprising judges, lawmakers, and bar association representatives, under the justice minister’s supervision.Under the new law, which would take effect at the start of the next legislative term, the committee would still have nine members: three supreme court judges, the justice minister and another minister, one coalition lawmaker, one opposition lawmaker, and two public representatives -— one appointed by the majority and the other by the opposition.Yair Lapid, leader of the centre-right Yesh Atid party, announced on social media platform X that he had filed an appeal with the supreme court against the law on behalf of several opposition parties, just minutes after the parliamentary vote.The law aims to “ensure that judges become subject to the will of politicians,” Lapid said in his post.”Instead of focussing all efforts on their (Israeli hostages in Gaza) return and healing the divisions within the people, this government is returning to the exact legislation that divided the public before October 7.”- Protests and criticisms -“The amendment passed by the Knesset is another nail in the coffin of Israeli democracy,” said Eliad Shraga, head of Israeli NGO the Movement for Quality Government in Israel and one of the petitioners against the law.”This is a calculated attempt to take control of the judicial system and turn it into a tool in the hands of politicians,” he said in a statement.The government’s judicial reforms package, first unveiled in early 2023, had triggered massive weekly street protests that effectively divided Israeli society.Netanyahu’s detractors warn the multi-pronged package could pave the way for authoritarian rule and be used by Netanyahu to quash possible convictions against him in his ongoing corruption trial, an accusation the premier denies.Rallies have once again erupted in key cities, and on Wednesday thousands protested against the bill before it was approved in parliament.Netanyahu had slammed the opposition in parliament on Wednesday.”You recycle the same worn-out and ridiculous slogans about ‘the end of democracy’. Well, once and for all: Democracy is not in danger, it is the power of the bureaucrats that is in danger,” he said.”Perhaps you could stop putting spanners in the works of the government in the middle of a war. Perhaps you could stop fuelling the sedition, hatred and anarchy in the streets.”

Trump calls for end to US public media funding

President Donald Trump called on Congress on Thursday to “immediately” defund two public broadcasters as he and his supporters ratchet up their long-running battle with the US media.Trump’s attacks on traditional media have intensified since his return to the White House, with the Republican president repeatedly attacking journalists critical of his administration, restricting access and bringing lawsuits.His latest comments came after Congressional Republicans took aim at federal funding for US public media on Wednesday, accusing it during a hearing of “brainwashing the American people”.Trump claimed that radio network NPR and broadcast channel PBS were “arms of the Radical Left Democrat Party.””NPR and PBS, two horrible and completely biased platforms… should be DEFUNDED by Congress, IMMEDIATELY,” Trump posted on his Truth Social platform on Thursday.Representative Marjorie Taylor Greene, a hard-right Trump ally, told the hearing: “We will be calling for the complete and total defunding and dismantling of the Corporation for Public Broadcasting (CPB).”The CPB is a nonprofit that oversees US public media funding.”The content that is being put out through these state-sponsored outlets is so radical it is brainwashing the American people, and more significantly American children,” Greene told the heads of National Public Radio and the Public Broadcasting Service.She criticized the outlets for pushing a political agenda that included “the LGBTQ indoctrination of children” and “the systemic racism narrative,” as well as being “anti-family, pro-crime fake news.”- ‘Enemy of the people’ -The attacks by Greene echo media criticism by Trump, who frequently refers to legacy news media as the “enemy of the people.”Greene also sits on the House Committee on Government Efficiency, formed in support of the so-called Department of Government Efficiency (DOGE) led by Trump’s billionaire advisor Elon Musk and charged with slashing federal spending.However, the CPB — established nearly 60 years ago — has already had its budget approved by Congress until 2027, with more than $500 million in funding.Some 40 million Americans tune in to NPR at least once a week and about 36 million watch their local PBS station each month, according to estimates from the outlets.The Republican congresswoman from Georgia went on to say NPR and PBS have grown to become “radical left-wing echo chambers for a narrow audience of mostly wealthy, white, urban liberals and progressives.”The critiques drew fierce blowback from Democrats, including Representative Jasmine Crockett from Texas, who said Greene wants “to shut down everybody that is not Fox News,” a broadcaster preferred by many conservatives.NPR chief executive Katherine Maher estimated the radio station received $120 million from the CPB in 2025, “less than five percent” of its budget.Brian Jack, another Republican representative from Georgia, asked Maher if NPR could survive without the funding.”It would be incredibly damaging to the national radios system,” Maher said. “If federal funding for our network goes away, it means that people in rural parts of America would be harmed.”Democrat Stephen Lynch was also critical of the way Republicans led the hearing, saying it should be “talking about the security breach that occurred recently,” in reference to the leaked Signal group chat among US government security officials.”Today the controlling House majority is afraid to do its job, it is afraid to hold Trump and Trump’s administration accountable,” Lynch said.

Autos lead market losses after Trump’s latest tariffs salvo

Share prices of automakers slid Thursday after US President Donald Trump announced painful tariffs on imported vehicles and parts as he presses hardball trade policies many fear will spark a recession.In Tokyo, Toyota — the world’s top-selling carmaker — fell two percent, Honda shed 2.5 percent while Nissan was off 1.7 percent, while Mazda dived six percent.Seoul-listed Hyundai gave up more than four percent.Among European auto firms, Peugeot and Jeep maker Stellantis shed 3.5 percent, Porsche four percent and BMW 1.8 percent.  In Mumbai, India’s Tata Motors, which exports Jaguar Land Rovers to the United States, lost more than five percent. US-listed car giants also tumbled with General Motors and Ford all deep in the red in after-hours trade.”Recent glee over the notion that Trump wouldn’t impose sector specific tariffs… (in early April) have been entirely undermined by the fact that the president has instead opted to start announcing such measures ahead of that date,” noted Joshua Mahony, analyst at Scope Markets.There had been indications also that levies lined up for the president’s “Liberation Day” on April 2 would be less severe than feared.However, the White House’s habit of alternating between tough talk and leniency has fanned uncertainty and the latest announcement did little to soothe nerves.”What we’re going to be doing is a 25 percent tariff on all cars that are not made in the United States,” Trump said as he signed an order in the Oval Office.The move takes effect at 12:01 am Eastern time (0401 GMT) on April 3 and affects foreign-made cars and light trucks. Key automobile parts will also be hit within the month.About half of the cars sold in the United States are made within the country. Of the imported vehicles, about half come from Mexico and Canada, with Japan, South Korea and Germany also major suppliers.Japan’s government called the tariffs “extremely regrettable”, while Canadian Prime Minister Mark Carney called it a “direct attack” on his country’s workers.And French Finance Minister Eric Lombard warned on Thursday: “The only solution for the European Union will be to raise tariffs on American products in response.”UK finance minister Rachel Reeves said Britain does not want to “escalate” trade wars, with London locked in talks with Washington over potentially securing a post-Brexit trade deal.”We are looking to secure a better trading relationship with the United States,” she told Sky News.Losses on London’s FTSE 100 index were offset by strong gains among clothes retailers, with Next jumping 6.9 percent after posting annual pre-tax profit above the symbolic £1 billion ($1.3 billion) level.Close rival Marks and Spencer won 3.4 percent.- Key figures around 1030 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.6 percent at 8,641.37 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.4 percent at 8,002.76Frankfurt – DAX: DOWN 0.7 at 22,672.94 Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.6 percent at 37,799.97 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.4 percent at 23,578.80 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,373.75 (close)New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 42,454.79 (close)Euro/dollar: UP at $1.0774 from $1.0757 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.2918 from $1.2891Dollar/yen: UP at 150.95 yen from 150.54 yenEuro/pound: DOWN at 83.39 pence from 83.41 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.1 percent at $69.57 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $72.97 per barrel

‘We’re going home’: Joy in Port Sudan after army victories in KhartoumThu, 27 Mar 2025 10:49:27 GMT

Displaced Sudanese danced through the night in Port Sudan, celebrating a string of army advances in Khartoum and hoping they will soon return home.”The joy has spread everywhere,” said Khartoum native Motaz Essam as crowds swayed to music blaring from makeshift sound systems.”God willing, we’re going home, we’ll finally celebrate Eid in our own homes,” …

‘We’re going home’: Joy in Port Sudan after army victories in KhartoumThu, 27 Mar 2025 10:49:27 GMT Read More »