Trump White House mulls deciding who sits in press room
The White House said Monday it is “seriously considering” taking control of deciding which journalists get seats in the famed briefing room, in the latest bid by President Donald Trump’s administration to to exert power over the media.The 49 spots in the press room, where spokespeople, officials and occasionally the president take the podium, have long been allocated by the non-partisan group of independent journalists, the White House Correspondents Association (WHCA).White House Press Secretary Karoline Leavitt accused the WHCA of trying to maintain a “monetized monopoly over the briefing room.” “As for switching up seating in the briefing room, it’s something we are seriously considering,” she told Fox News.”The briefing room is part of the People’s House, it belongs to the American people. It does not belong to elitist journalists here in Washington DC.”News outlet Axios reported earlier that the White House wanted to take control of the seating chart to give more prime front-of-room spots to new media, and move some legacy outlets further back.The WHCA, of which AFP is a member, opposed the “wrong-headed” move.”The reason the White House wants control of the briefing room is the same reason they took control of the pool: to exert pressure on journalists over coverage they disagree with,” WHCA President Eugene Daniels said in a statement.The WHCA and the White House both said they had tried to broker a meeting on the issue.It is the latest effort by the White House to shape who covers Trump after taking control from the WHCA in February of the “pool” that covers the president in the Oval Office and when he travels on Air Force One.The White House has added access to the pool for new and in several cases openly pro-Trump media, while reducing access to mainstream organizations.It also continues to bar the Associated Press news agency from almost all presidential events as it refuses to refer to the Gulf of Mexico as the “Gulf of America,” the name newly decreed by Trump.
Pentagon chief orders gender-neutral fitness standards for combat troops
US Defense Secretary Pete Hegseth, who has previously expressed opposition to women serving in combat, has ordered the military to develop gender-neutral physical fitness standards for frontline troops, a memo released Monday said.”I am directing the Secretaries of the Military Departments to develop comprehensive plans to distinguish combat arms occupations from non-combat arms occupations,” Hegseth wrote in the memo, which is dated March 30.”All entry-level and sustained physical fitness requirements within combat arms positions must be sex-neutral, based solely on the operational demands of the occupation and the readiness needed to confront any adversary,” according to the memo, which also specifies that no current standards will be lowered.Making changes to physical fitness standards could potentially curb the recruitment of new military personnel as well as the retention of those already in the armed forces.But having gender-neutral requirements for combat troops — who face physically demanding tasks in the field, such as marching long distances and carrying heavy weapons and packs that are the same regardless of gender — would ensure they all meet the same minimum standards.On an episode of the “Shawn Ryan Show” podcast aired before his nomination to be defense secretary, Hegseth said he was opposed to women serving in combat roles, though not their presence in the armed forces as a whole.But he sought to move away from those remarks in his Senate confirmation hearing earlier this year, telling lawmakers that “women will have access to ground combat roles… given the standards remain high.”Hegseth is a frequent critic of so-called “woke” policies — by companies, at universities, and in the military — that attempt to increase opportunities for ethnic and sexual minorities, and has launched a campaign against such policies as Pentagon chief.
Zimbabwe: de petits groupes de manifestants anti Mnangagwa bravent les autorités
Quelques petits groupes de manifestants ont bravé les avertissements des autorités zimbabwéennes et se sont brièvement rassemblés lundi dans la capitale Harare sous tension pour réclamer le départ du président Mnangagwa.Ils répondaient à l’appel lancé par un ancien combattant de la guerre d’indépendance et ancien cadre du parti au pouvoir, la Zanu-PF, révélateur des tensions nourries par l’hypothèse d’un maintien d’Emmerson Mnangagwa au pouvoir après la fin de son mandat en 2028.Le chef de l’Etat de 82 ans, surnommé “le crocodile” pour son caractère impitoyable et sa ruse politique, est confronté à une contestation d’un niveau inédit depuis son arrivée au pouvoir il y a huit ans, dans un contexte de colère populaire croissante face aux graves difficultés économiques.La police était déployée en force lundi à Harare et dans la seconde ville du pays, Bulawayo, où les entreprises et les administrations étaient fermées, dans un pays où le souvenir du coup d’État de 2017, au cours duquel M. Mnangagwa, a pris le pouvoir à Robert Mugabe, reste vif.Dans la capitale, un petit groupe de manifestants a tenté de se rassembler sur la place du président Robert Mugabe, également appelée place de la Liberté, mais a été dispersé par les forces de l’ordre, avec des gaz lacrymogènes notamment, selon des vidéos postées sur les réseaux sociaux.”C’était annoncé comme une marche pacifique mais la police commence déjà à frapper les gens”, a déclaré une manifestante au média en ligne CITE. Mais “on ne s’en ira pas… Je reste ici, et si je dois mourir, cela sera pour le bien de mes enfants”, a-t-elle ajouté.Plus tard dans la journée, des dizaines de jeunes ont lancé des pierres sur une route habituellement très fréquentée à proximité et scandé “Nous ne voulons pas de 2030”, avant d’être dispersés par la police, a déclaré un témoin à l’AFP.Les soupçons que M. Mnangagwa manÅ“uvre pour rester en poste jusqu’en 2030, voire au-delà , nourrissent la colère de certains au Zimbabwe, au moment où le pays est englué dans une grave crise économique imputée à la corruption et à la mauvaise gestion du gouvernement.- Craintes de mutinerie -Le visage public de la dissidence est un vétéran de guerre d’indépendance, Blessed Geza, ancien cadre de la Zanu-PF dont il a été exclu en mars, et qui vit aujourd’hui caché.  Dans une vidéo postée la semaine dernière sur les réseaux sociaux, Blessed Geza, en treillis, a appelé la population à manifester dans la rue ce lundi pour réclamer le départ du président. En réponse, la police a annoncé des déploiement supplémentaires dans tout le pays et indiqué qu’elle prendrait des mesures contre toute personne “incitant à la violence”, dans ce pays d’Afrique australe où les manifestations sont rares et très contrôlées par les autorités.Un journaliste qui a interviewé Blessed Geza en février a été arrêté après que les autorités ont affirmé que cet entretien pourrait inciter à la violence. Blessed Mhlanga est toujours derrière les barreaux, renforçant les accusations de répression croissante et d’étouffement de l’opposition politique par le pouvoir.Tôt lundi, le centre de Harare était désert et les magasins, entreprises, services de transport et écoles sont restés fermés en prévision des manifestations.”Les gens ont peur à cause des rumeurs qui circulent” concernant les manifestations, a confié un homme à l’AFP sous couvert d’anonymat.A Bulawayo, les principaux commerces et bureaux étaient également fermés, seules quelques personnes circulaient et la police patrouillait en véhicules et à cheval, a constaté un journaliste de l’AFP.La semaine dernière, le président Mnangagwa a démis de ses fonctions le chef de l’armée Anselem Nhamo Sanyatwe, et l’a nommé au poste considérablement moins stratégique de ministre des Sports, des Arts et de la Culture, une décision vue par certains comme révélatrice de ses craintes d’une possible mutinerie de ses forces armées. M. Geza et sa faction de vétérans de la guerre qui a conduit à l’indépendance font pression pour remplacer le chef d’Etat par son vice-président, Constantino Chiwenga, un général à la retraite qui avait orchestré le coup d’État contre M. Mugabe en 2017.
Début d’une grève dans l’audiovisuel public contre un projet de holding commune
Une grève de deux jours a démarré lundi dans l’audiovisuel public, affectant principalement certaines stations de Radio France, pour protester contre le projet gouvernemental de holding commune, avant le début de son examen à l’Assemblée nationale.A France Télévisions, l’ensemble des syndicats a déposé un préavis commun, pour les deux journées. Sur la journée de lundi, la direction comptait 8% de grévistes, selon des données provisoires.A Radio France, l’intersyndicale a appelé à la grève mardi et la CGT y a ajouté un deuxième préavis pour lundi, pour s’aligner sur le mouvement à France Télévisions.Des préavis ont également été déposés dans les deux autres entreprises publiques potentiellement concernées par la réforme, France Médias Monde et l’Ina (Institut national de l’audiovisuel).Outre ces mouvements sociaux, la CGT organise une “soirée festive”, lundi à la Bourse du Travail à Paris, pour contester le projet de réforme porté par la ministre de la Culture, Rachida Dati.Le texte sur lequel il s’appuie, une proposition de loi du sénateur Laurent Lafon (Union centriste), doit être examiné mardi en commission à l’Assemblée nationale.L’examen du texte dans l’hémicycle est inscrit à l’ordre du jour du 10 avril mais pourrait être décalé.Le texte prévoit de créer une holding, France Médias, qui chapeauterait les entreprises concernées, sous l’autorité d’un ou d’une présidente.”Ce projet de réforme de la gouvernance de l’audiovisuel public et les baisses budgétaires associées auront de graves conséquences s’il est adopté”, selon les syndicats CGT, CFDT, FO, SNJ et SUD de France Télévisions.”Ce projet aura pour conséquence de démanteler notre entreprise en la plaçant sous la tutelle de France Télévisions”, jugent CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et Unsa de Radio France.Dans le Parisien, la ministre a rappelé dimanche les raisons d’une réforme qu’elle juge “indispensable”, au vu du “contexte très concurrentiel avec des groupes privés très structurés” afin de créer “un groupe audiovisuel public fort”.Le projet initial prévoyait une fusion des sociétés, dans une sorte de BBC à la française, mais il avait été interrompu par la dissolution de l’Assemblée nationale mi-2024.
Début d’une grève dans l’audiovisuel public contre un projet de holding commune
Une grève de deux jours a démarré lundi dans l’audiovisuel public, affectant principalement certaines stations de Radio France, pour protester contre le projet gouvernemental de holding commune, avant le début de son examen à l’Assemblée nationale.A France Télévisions, l’ensemble des syndicats a déposé un préavis commun, pour les deux journées. Sur la journée de lundi, la direction comptait 8% de grévistes, selon des données provisoires.A Radio France, l’intersyndicale a appelé à la grève mardi et la CGT y a ajouté un deuxième préavis pour lundi, pour s’aligner sur le mouvement à France Télévisions.Des préavis ont également été déposés dans les deux autres entreprises publiques potentiellement concernées par la réforme, France Médias Monde et l’Ina (Institut national de l’audiovisuel).Outre ces mouvements sociaux, la CGT organise une “soirée festive”, lundi à la Bourse du Travail à Paris, pour contester le projet de réforme porté par la ministre de la Culture, Rachida Dati.Le texte sur lequel il s’appuie, une proposition de loi du sénateur Laurent Lafon (Union centriste), doit être examiné mardi en commission à l’Assemblée nationale.L’examen du texte dans l’hémicycle est inscrit à l’ordre du jour du 10 avril mais pourrait être décalé.Le texte prévoit de créer une holding, France Médias, qui chapeauterait les entreprises concernées, sous l’autorité d’un ou d’une présidente.”Ce projet de réforme de la gouvernance de l’audiovisuel public et les baisses budgétaires associées auront de graves conséquences s’il est adopté”, selon les syndicats CGT, CFDT, FO, SNJ et SUD de France Télévisions.”Ce projet aura pour conséquence de démanteler notre entreprise en la plaçant sous la tutelle de France Télévisions”, jugent CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et Unsa de Radio France.Dans le Parisien, la ministre a rappelé dimanche les raisons d’une réforme qu’elle juge “indispensable”, au vu du “contexte très concurrentiel avec des groupes privés très structurés” afin de créer “un groupe audiovisuel public fort”.Le projet initial prévoyait une fusion des sociétés, dans une sorte de BBC à la française, mais il avait été interrompu par la dissolution de l’Assemblée nationale mi-2024.
Trump confident in finding TikTok buyer before deadline
President Donald Trump again downplayed risks that TikTok is in danger of being banned in the United States, saying he remains confident of finding a buyer for the app’s US business by a Friday deadline.The hugely popular video-sharing app, which has over 170 million American users, is under threat from a law that passed overwhelmingly last year and orders TikTok to split from its Chinese owner ByteDance or face a ban in the United States.Motivated by widespread belief in Washington that TikTok is ultimately controlled by the Chinese government, the law took effect on January 19, one day before Trump’s inauguration.But the Republican president quickly announced a delay that has allowed it to continue to operate; that delay is set to expire on April 5.”We have a lot of potential buyers. There’s tremendous interest in TikTok,” Trump told reporters onboard Air Force One late Sunday.”We have a lot of people that want to buy TikTok. We’re dealing with China also on it, because they may have something to do with it,” he said, adding “I’d like to see TikTok remain alive.”Any deal to divest TikTok from ByteDance will require the approval of Beijing, and Trump has said he may offer to reduce tariffs on China as a way to get Beijing’s approval for the sale.Trump, though he supported a ban in his first term, has lately become the app’s greatest defender, seeing it as a reason more young voters supported him in November’s election.One of his major political donors, billionaire Jeff Yass, is also a major stakeholder in parent company ByteDance.- ByteDance on board? -Several proposals for TikTok’s US business have emerged since the law began to make its way through Congress last year.But according to The New York Times, citing people involved in coming up with a solution, the most likely fix would see existing US investors in ByteDance roll over their stakes into a new independent global TikTok company.Additional US investors would be brought on to reduce the proportion of Chinese investors. Trump at one point said the US government could also take a stake through a newly announced national sovereign fund.Dan Ives of Wedbush Securities told AFP that he believed cloud company Oracle would “play a major role” in such a deal and that “ByteDance will still control and own the algorithm” and have board seats.Much of TikTok’s US activity is already housed on Oracle servers, and the company’s executive chairman, Larry Ellison, is a longtime Trump ally who was also floated as a buyer of TikTok’s US activity in Trump’s first term.The arrangement would go against the spirit of the law, which is in part based on the premise that TikTok’s algorithm can be weaponized by the Chinese against US interests.But University of Richmond School of Law professor Carl Tobias said he did not expect opposition in the Republican-led Congress, or if Trump ordered another extension to the sale deadline.”Lawmakers have expressed little opposition to Trump’s actions (including ones) which federal judges have ruled violate the Constitution or congressionally-passed statutes,” he said.Other proposals include an initiative called “The People’s Bid for TikTok,” launched by real estate and sports tycoon Frank McCourt’s Project Liberty initiative.Artificial intelligence startup Perplexity recently expressed interest in buying TikTok as did a joint venture involving YouTube mega-celebrity MrBeast.When the last deadline passed, in January, TikTok temporarily shut down in the United States, to the dismay of millions of users.