Une nouvelle vague de chaleur débute en France, jusqu’à 41°c attendus ce weekend

Une nouvelle vague de chaleur estivale étouffante a débuté vendredi midi avec 11 départements du sud de la France placés en vigilance orange “canicule”, avant de s’étendre à 17 départements samedi, et des températures qui pourront atteindre 41°C dimanche.Le pic de chaleur est attendu en début de semaine prochaine sur une large partie du pays, après un weekend marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C dans le sud, pouvant atteindre les 41°C selon Météo-France.”Les très fortes températures devraient s’intensifier en début de semaine prochaine”, avec les journées les plus chaudes prévues lundi et mardi, avant de se maintenir au moins jusqu’en seconde partie de semaine, précise vendredi le service météorologique.Depuis midi vendredi, Météo-France a placé en vigilance orange canicule le Rhône, la Loire, l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, les Hautes-Pyrénées, la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, ainsi que l’Aveyron et le Lot. Samedi midi, la vigilance s’étendra à la Dordogne, l’Aude, le Puy-de-Dôme, l’Ain, la Savoie et la Haute-Savoie.Après une première vague de chaleur étouffante du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947, selon Météo-France.- “Se protéger” -A Lyon, métropole française la plus souvent placée en vigilance canicule, les habitants se préparent à cette nouvelle flambée de températures qui devraient frôler les 40°C ce weekend. Installée sous une ombrière de la place Bellecour, Séléna – elle n’a pas voulu donner son nom -, 22 ans, fait sa pause: “J’essaie de me protéger du soleil”. Face aux chaleurs, cette employée du réseau de transports TCL va souvent “squatter” le lac d’Annecy, à 150 km, en Haute-Savoie, département également placé en vigilance orange à partir de samedi.Travailler sous la chaleur, Afi Bombakar, serveur, y est “habitué”. “On n’a pas le choix, on est là pour travailler”, explique le trentenaire en essuyant les tables d’une terrasse.Même constat pour Sophie, 29 ans, recruteuse de donateurs pour Médecins du Monde, un travail dans la rue “fait pour les vaillants” surtout lors des “températures extrêmes”. Habitant Lyon, elle a dû installer une climatisation à domicile, une “obligation” pour garder en vie son “chat malade”, malgré ses réserves écologiques. D’autres optent pour les mini-ventilateurs, produits stars de l’été en rupture de stock dans certaines boutiques depuis la première vague de chaleur.- Sécheresse et incendies -Météo-France a également alerté sur un danger “élevé” de feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, alors que l’incendie d’une ampleur exceptionnelle dans l’Aude a été fixé jeudi soir après avoir parcouru 17.000 hectares de végétation et coûté la vie à une personne.Cette nouvelle vague de chaleur, conjuguée à de très faibles précipitations, va aggraver la sécheresse des sols, déjà très marquée dans le sud-ouest, où les viticulteurs s’inquiètent. “S’il fait chaud comme ça pendant trois semaines, tout va griller”, redoutait jeudi Emmanuelle Piovesan, dirigeante du domaine Clos Cavenac dans le Lot-et-Garonne.Pour anticiper des “pannes potentielles de climatisation”, la SNCF a supprimé trois allers-retours sur des vieux trains jusqu’à lundi sur la ligne Bordeaux-Marseille.”On note une accélération de la survenue des vagues de chaleur au fil du temps. Cette tendance est bien liée au changement climatique, qui a un impact fort sur les températures en France hexagonale”, a souligné à l’AFP Lauriane Batté, climatologue à Météo-France.Juillet 2025 a été le troisième mois de juillet le plus chaud jamais enregistré sur la planète avec une température moyenne supérieure de 1,25°c à celle de ce même mois en ère pré-industrielle (1850-1900), a annoncé jeudi l’observatoire européen Copernicus.

Une nouvelle vague de chaleur débute en France, jusqu’à 41°c attendus ce weekend

Une nouvelle vague de chaleur estivale étouffante a débuté vendredi midi avec 11 départements du sud de la France placés en vigilance orange “canicule”, avant de s’étendre à 17 départements samedi, et des températures qui pourront atteindre 41°C dimanche.Le pic de chaleur est attendu en début de semaine prochaine sur une large partie du pays, après un weekend marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C dans le sud, pouvant atteindre les 41°C selon Météo-France.”Les très fortes températures devraient s’intensifier en début de semaine prochaine”, avec les journées les plus chaudes prévues lundi et mardi, avant de se maintenir au moins jusqu’en seconde partie de semaine, précise vendredi le service météorologique.Depuis midi vendredi, Météo-France a placé en vigilance orange canicule le Rhône, la Loire, l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, les Hautes-Pyrénées, la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, ainsi que l’Aveyron et le Lot. Samedi midi, la vigilance s’étendra à la Dordogne, l’Aude, le Puy-de-Dôme, l’Ain, la Savoie et la Haute-Savoie.Après une première vague de chaleur étouffante du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947, selon Météo-France.- “Se protéger” -A Lyon, métropole française la plus souvent placée en vigilance canicule, les habitants se préparent à cette nouvelle flambée de températures qui devraient frôler les 40°C ce weekend. Installée sous une ombrière de la place Bellecour, Séléna – elle n’a pas voulu donner son nom -, 22 ans, fait sa pause: “J’essaie de me protéger du soleil”. Face aux chaleurs, cette employée du réseau de transports TCL va souvent “squatter” le lac d’Annecy, à 150 km, en Haute-Savoie, département également placé en vigilance orange à partir de samedi.Travailler sous la chaleur, Afi Bombakar, serveur, y est “habitué”. “On n’a pas le choix, on est là pour travailler”, explique le trentenaire en essuyant les tables d’une terrasse.Même constat pour Sophie, 29 ans, recruteuse de donateurs pour Médecins du Monde, un travail dans la rue “fait pour les vaillants” surtout lors des “températures extrêmes”. Habitant Lyon, elle a dû installer une climatisation à domicile, une “obligation” pour garder en vie son “chat malade”, malgré ses réserves écologiques. D’autres optent pour les mini-ventilateurs, produits stars de l’été en rupture de stock dans certaines boutiques depuis la première vague de chaleur.- Sécheresse et incendies -Météo-France a également alerté sur un danger “élevé” de feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, alors que l’incendie d’une ampleur exceptionnelle dans l’Aude a été fixé jeudi soir après avoir parcouru 17.000 hectares de végétation et coûté la vie à une personne.Cette nouvelle vague de chaleur, conjuguée à de très faibles précipitations, va aggraver la sécheresse des sols, déjà très marquée dans le sud-ouest, où les viticulteurs s’inquiètent. “S’il fait chaud comme ça pendant trois semaines, tout va griller”, redoutait jeudi Emmanuelle Piovesan, dirigeante du domaine Clos Cavenac dans le Lot-et-Garonne.Pour anticiper des “pannes potentielles de climatisation”, la SNCF a supprimé trois allers-retours sur des vieux trains jusqu’à lundi sur la ligne Bordeaux-Marseille.”On note une accélération de la survenue des vagues de chaleur au fil du temps. Cette tendance est bien liée au changement climatique, qui a un impact fort sur les températures en France hexagonale”, a souligné à l’AFP Lauriane Batté, climatologue à Météo-France.Juillet 2025 a été le troisième mois de juillet le plus chaud jamais enregistré sur la planète avec une température moyenne supérieure de 1,25°c à celle de ce même mois en ère pré-industrielle (1850-1900), a annoncé jeudi l’observatoire européen Copernicus.

Agression du maire en Isère: le suspect interpellé, annonce Retailleau

L’homme suspecté d’avoir violemment agressé mercredi le maire de Villeneuve-de-Marc, en Isère, a été interpellé vendredi matin, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, dans un message sur X.Le suspect, en fuite depuis l’agression, était sous le coup d’un mandat de recherche lancé par le parquet de Vienne dans le cadre d’une enquête pour “tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique”.L’homme a été interpellé sans heurt à 11H30 à Charantonnay (Isère), à 14 km des lieux de l’agression, a précisé à l’AFP une source proche du dossier. Il a été placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Saint-Jean-de-Bournay, selon une autre source proche du dossier.L’agression s’était déroulée devant le domicile du maire Gilles Dussault, 63 ans. Le suspect, un administré du village d’un peu moins de 1.200 habitants, “résidant dans la commune de longue date”, a agressé le maire “avec une arme blanche”, avait indiqué le parquet. L’élu présentait “trois plaies dont deux au thorax et une plaie défensive”, avait précisé le ministère public.Le pronostic vital du maire a été un temps engagé.L’agresseur avait quitté les lieux avant de revenir avec son véhicule. Il avait “alors tenté de percuter le maire et son fils venu lui porter secours, et fini sa course contre un mur”, puis “pris la fuite à pied” après avoir porté des coups de poing au fils du maire qui tentait de l’intercepter, avait relaté le parquet.Selon le parquet, au regard des premiers éléments de l’enquête, “un litige opposait depuis plusieurs mois l’agresseur à la municipalité pour des questions d’urbanisme et de travaux réalisés par celui-ci sans autorisation”.”Les violences contre nos élus sont intolérables et ne resteront jamais impunies”, a affirmé sur X M. Retailleau.

Agression du maire en Isère: le suspect interpellé, annonce Retailleau

L’homme suspecté d’avoir violemment agressé mercredi le maire de Villeneuve-de-Marc, en Isère, a été interpellé vendredi matin, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, dans un message sur X.Le suspect, en fuite depuis l’agression, était sous le coup d’un mandat de recherche lancé par le parquet de Vienne dans le cadre d’une enquête pour “tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique”.L’homme a été interpellé sans heurt à 11H30 à Charantonnay (Isère), à 14 km des lieux de l’agression, a précisé à l’AFP une source proche du dossier. Il a été placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Saint-Jean-de-Bournay, selon une autre source proche du dossier.L’agression s’était déroulée devant le domicile du maire Gilles Dussault, 63 ans. Le suspect, un administré du village d’un peu moins de 1.200 habitants, “résidant dans la commune de longue date”, a agressé le maire “avec une arme blanche”, avait indiqué le parquet. L’élu présentait “trois plaies dont deux au thorax et une plaie défensive”, avait précisé le ministère public.Le pronostic vital du maire a été un temps engagé.L’agresseur avait quitté les lieux avant de revenir avec son véhicule. Il avait “alors tenté de percuter le maire et son fils venu lui porter secours, et fini sa course contre un mur”, puis “pris la fuite à pied” après avoir porté des coups de poing au fils du maire qui tentait de l’intercepter, avait relaté le parquet.Selon le parquet, au regard des premiers éléments de l’enquête, “un litige opposait depuis plusieurs mois l’agresseur à la municipalité pour des questions d’urbanisme et de travaux réalisés par celui-ci sans autorisation”.”Les violences contre nos élus sont intolérables et ne resteront jamais impunies”, a affirmé sur X M. Retailleau.

Stocks waver, gold futures hit record on US tariff updates

Stock markets fluctuated and gold futures hit a record high Friday, tracking the latest twists in US President Donald Trump’s tariffs spree. Oil prices steadied after declining the previous day on news of a meeting between Trump and Russian leader Vladimir Putin in coming weeks, which raised hopes of a truce with Ukraine. London’s FTSE 100 was flat, Paris stocks edged up and Frankfurt dipped in early afternoon deals.Japanese stocks led the way on a mostly negative day for Asian markets, fuelled by relief that Tokyo and Washington had settled a tariff issue that raised concerns about their trade deal.”Since the tariff agreement between the US and the European Union, some clarity has emerged, but confusion around its implementation is just beginning to surface,” said Jochen Stanzl, chief market analyst at CMC Markets.”In Japan, there is relief today upon hearing that the various tariffs will not be cumulative.”However, it remains unclear whether the same rules apply for Japan and the EU,” he added.Gold futures reached a record high at $3,534.10 an ounce after the Financial Times reported that Washington would put tariffs on one-kilo bars, the most traded type of bullion on Comex — the world’s biggest futures market. It also makes up the largest part of Switzerland’s gold shipments to the United States. The FT said 100-ounce bars would also face tolls.The levy caused “shock and confusion” in markets, said Han Tan, chief market analyst at Nemo.money trading group. Spot prices sat around $3,400 an ounce.The Nikkei 225 stocks index jumped nearly two percent after Japan’s tariffs envoy said that Washington is expected to revise an executive order that stacked tariffs on top of each other.Japan also urged the US to implement the lower tariffs agreed on autos, a crucial driver of the world’s number-four economy, leading shares in Toyota and Nissan to climb.The news compounded optimism sparked by strong earnings from market heavyweights Sony and Softbank that fanned a rally in the tech sector.Elsewhere in Asia, Hong Kong and Shanghai both closed down. Investors kept tabs on talks between Washington and several other trading partners following the imposition Thursday of Trump’s tariffs, with India and Switzerland scrabbling for a deal.Also in view are China-US talks to extend a 90-day truce in their stand-off, with their current agreement ending on August 12 and dealers looking on cautiously.The dollar held most of its recent losses against its peers on Fed rate cut bets after Trump said he had tipped Stephen Miran, the chair of his Council of Economic Advisers to a governor role recently made vacant.Miran shares Trump’s calls for interest rate cuts and has been a critic of the central bank in the past.The greenback had already been under pressure this week following the release of data last Friday showing US job creation cratered in May, June and July.- Key figures at around 1100 GMT -London – FTSE 100: FLAT at 9,101.15 pointsParis – CAC 40: UP 0.3 percent at 7,728.34Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 24,179.93Tokyo – Nikkei 225: UP 1.9 percent at 41,820.48 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.9 percent at 24,858.82 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,635.13 (close)New York – Dow: DOWN 0.5 percent at 43,968.64 (close)Pound/dollar: DOWN at $1.3440 from $1.3445 on ThursdayEuro/dollar: DOWN at $1.1638 from $1.1665Dollar/yen: UP at 147.78 yen from 147.07 yenEuro/pound: DOWN at 86.57 pence from 86.76 penceBrent North Sea Crude: UP 0.9 percent at $67.05 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.9 percent at $64.45 per barrel

Accumuler des bitcoins, un pari numérique risqué pour les entreprises

De Trump Media à Tesla, un nombre croissant d’entreprises misent massivement sur le bitcoin pour diversifier leurs réserves, contrer l’inflation ou attirer les investisseurs. Une stratégie à fort potentiel mais à haut risque face à l’extrême volatilité des cryptomonnaies.- Qui investit?Il est courant que les entreprises qui possèdent cette cryptomonnaie – la première en termes de capitalisation – exercent une activité en lien avec celle-ci.C’est le cas des sociétés qui “minent” des bitcoins, c’est-à-dire qui participent au processus de validation des transactions en échange de jetons.Mais aussi, dans une certaine mesure, de Tesla, qui les a un temps acceptés comme moyen de paiement, et de Trump Media, centrée autour du président américain, qui devrait bientôt proposer des produits d’investissement crypto.D’autres firmes opéraient jusqu’ici dans des domaines très éloignés avant de commencer à accumuler cette monnaie, comme le japonais MetaPlanet, à l’origine spécialisé dans l’hôtellerie.La société américaine Strategy, qui vendait initialement des logiciels sous le nom de MicroStrategy, cumule désormais plus de 600.000 bitcoins, soit plus de 3% de tous ceux jamais émis.Son cofondateur Michael Saylor a “créé une réelle valeur pour ses premiers investisseurs” en offrant la possibilité d’investir dans les cryptomonnaies sans en détenir directement, à une époque – il y a cinq ans – où les produits financiers actuels liés au secteur n’étaient pas autorisés, explique à l’AFP Andy Constan, directeur du cabinet d’analyse Damped Spring Advisors.- Quel intérêt?Les entreprises peuvent collecter les bitcoins “dans une optique de diversification” de leur trésorerie et pour “contrer les effets de l’inflation”, note Eric Benoist, spécialiste des technologies pour Natixis.D’autres sociétés, en difficulté, surfent sur la tendance pour “essayer de redorer leur image” en “s’adossant à un actif perçu comme solide et qui s’apprécie dans le temps”, note-t-il.Quelques-unes, comme Strategy, qui se focalisent sur l’accumulation de bitcoins, en font une véritable stratégie commerciale pour séduire des investisseurs attirés par le potentiel de cette monnaie.Les bitcoins peuvent aussi avoir une simple utilité pratique: la plateforme d’échange Coinbase utilise ainsi ses propres réserves comme garantie pour ses utilisateurs.- Quels risques?La valeur du bitcoin a été multipliée par 10 environ en cinq ans, profitant récemment d’une nouvelle réglementation américaine.Mais la devise “connaît régulièrement des chutes colossales” et sa volatilité est quatre fois supérieure à celle du principal indice boursier américain, le S&P 500, d’après Campbell Harvey, de l’université américaine de Duke.Il est risqué de “placer des actifs très volatils et sans rapport avec son activité dans sa trésorerie”, généralement constituée de titres sûrs comme des obligations à court terme, “dans laquelle on doit pouvoir puiser en cas d’urgence”, avance-t-il.Les achats des gros détenteurs de cryptomonnaies, surnommés “baleines”, ont contribué à doper son prix ces dernières années.Mais selon l’économiste, ces entreprises ne pourront pas “liquider tous ces bitcoins à leur prix actuel”, qui chuterait en cas de vente massive.Il faudrait inonder le marché pour faire bouger le cours, rétorque Jack Mallers, patron de Twenty One Capital, qui revendique 5 milliards de dollars en bitcoin.”Nous n’avons pas peur de” la volatilité car “nous conservons à long terme”, jure-t-il à l’AFP.- Une bulle? Selon un indicateur interne, l’action de Strategy est aujourd’hui vendue environ 70% au-dessus de la valeur de ses réserves.La société – qui n’a pas répondu à l’AFP – poursuit sa croissance en accumulant des bitcoins, ce qui attire les investisseurs et propulse son cours à la hausse.Mais à terme, il lui faudra monétiser ces actifs crypto, par exemple avec des produits financiers.Si les sociétés qui accumulent du bitcoin, plus généralement, n’y parviennent pas, Eric Benoist craint un éclatement de la bulle.Il rappelle que ces stratégies d’accumulation vont à l’encontre de la philosophie originelle de cette monnaie, pensée en 2008 comme un moyen de paiement décentralisé.Aujourd’hui, “les bitcoins finissent dans des coffres-forts électroniques auxquels on ne touche pas”.

Guessand says he jumped at chance to join Aston Villa after sealing moveFri, 08 Aug 2025 11:14:38 GMT

Evann Guessand said he “didn’t think twice” when offered the chance to sign for Aston Villa after completing a move from Nice on Friday.The Ivory Coast forward will reportedly cost Villa an initial £26 million ($35 million) with a further £4.3 million in add-ons.Guessand scored 13 goals and registered 10 assists in all competitions as …

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Israel to ‘take control’ of Gaza City, sparking wave of criticism

Israel’s military will “take control” of Gaza City under a new plan approved by Prime Minister Benjamin Netanyahu’s security cabinet, touching off a wave of criticism Friday from both inside and outside the country.Nearly two years into the war in Gaza, Netanyahu faces mounting pressure to secure a truce to pull the territory’s more than two million people back from the brink of famine and free the hostages held by Palestinian militants.Israel’s foe Hamas denounced the plan to expand the fighting as a “new war crime”, while staunch Israeli ally Germany took the extraordinary step of halting military exports out of concern they could be used in Gaza.Under the newly approved plan to “defeat” Hamas, the Israeli army “will prepare to take control of Gaza City while distributing humanitarian assistance to the civilian population outside combat zones”, the premier’s office said Friday.Before the decision, Netanyahu had said Israel planned to seize complete control of the Gaza Strip, but did not intend to govern it.”We don’t want to keep it,” the premier told US network Fox News on Thursday, adding Israel wanted a “security perimeter” and to hand the Palestinian territory to “Arab forces that will govern it properly without threatening us”.Israel occupied Gaza from 1967, but withdrew its troops and settlers in 2005.Netanyahu’s office said a majority of the security cabinet had adopted “five principles”, including demilitarisation of the territory and “the establishment of an alternative civil administration that is neither Hamas nor the Palestinian Authority”.The new plan triggered swift criticism from across the globe, with China, Turkey, the UK and the UN’s rights chief issuing statements of concern.In a major shift, meanwhile, German Chancellor Friedrich Merz announced his country was halting military shipments to Israel, saying it was “increasingly difficult to understand” how the new plan would help achieve legitimate aims.”Under these circumstances, the German government will not authorise any exports of military equipment that could be used in the Gaza Strip until further notice,” he said.- ‘March of recklessness’ -Reactions in Israel were more mixed.Israeli opposition leader Yair Lapid denounced the cabinet’s move as “a disaster that will lead to many other disasters”.He warned on X that it would result in “the death of the hostages, the killing of many soldiers, cost Israeli taxpayers tens of billions, and lead to diplomatic bankruptcy”.The main campaign group for hostages’ families also slammed the plan, saying it amounted to “abandoning” the captives.”The cabinet chose last night to embark on another march of recklessness, on the backs of the hostages, the soldiers, and Israeli society as a whole,” the Hostage and Missing Families Forum said.An expanded Israeli offensive could see ground troops operate in densely populated areas where hostages are believed to be held, local media have reported.Other Israelis, meanwhile, offered their support. “As they take control of Gaza, they will eliminate Hamas completely — maybe not completely, but at least a good percentage of them,” said Chaim Klein, a 26-year-old yeshiva student. The Israeli army said last month that it controlled 75 percent of the Gaza Strip, mainly from its positions in the territory along the border.Out of 251 hostages captured during Hamas’s 2023 attack, 49 are still being held in Gaza, including 27 the military says are dead.- ‘Extremist agenda’ -Gaza residents said they feared for the worst, as they braced for the next onslaught.”They tell us to go south, then back north, and now they want to send us south again. We are human beings, but no one hears us or sees us,” Maysa al-Shanti, a 52-year-old mother of six, told AFP. Hamas on Friday said the “plans to occupy Gaza City and evacuate its residents constitutes a new war crime”.It warned Israel that the operation would “cost it dearly”, and that “expanding the aggression means sacrificing” the hostages.International concern has been growing over the suffering of Palestinians in Gaza, where a UN-backed assessment has warned that famine is unfolding.The World Health Organization said at least 99 people have died from malnutrition in the territory this year, with the figure likely an underestimate.In late July, Israel partially eased restrictions on aid entering Gaza, but the United Nations says the amount allowed into the territory remains insufficient.Amjad Al-Shawa, head of the Palestinian NGO Network in the Gaza Strip, told AFP that lengthy inspection procedures at entry points meant few trucks could come in — “between 70 to 80 per day — carrying only specific types of goods”.The UN estimates that Gaza needs at least 600 trucks of aid per day to meet residents’ basic needs.Israel’s offensive has killed at least 61,258 Palestinians, according to Hamas-run Gaza’s health ministry.The 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,219 people, according to an AFP tally based on official figures.