‘No life without water’: settler attacks threaten West Bank communities

From his monitoring station on a remote hill in the occupied West Bank, water operator Subhil Olayan keeps watch over a lifeline for Palestinians, the Ein Samiyah spring.So when Israeli settlers recently attacked the system of wells, pumps and pipelines he oversees, he knew the stakes.”There is no life without water, of course”, he said, following the attack which temporarily cut off the water supply to nearby villages.The spring, which feeds the pumping station, is the main or backup water source for some 110,000 people, according to the Palestinian company that manages it — making it one of the most vital in the West Bank, where water is in chronic short supply.The attack is one of several recent incidents in which settlers have been accused of damaging, diverting or seizing control of Palestinian water sources.”The settlers came and the first thing they did was break the pipeline. And when the pipeline is broken, we automatically have to stop pumping” water to nearby villages, some of which exclusively rely on the Ein Samiyah spring.”The water just goes into the dirt, into the ground,” Olayan told AFP, adding that workers immediately fixed the damage to resume water supply.Just two days after the latest attack, Israeli settlers — some of them armed — splashed in pools just below the spring, while Olayan monitored water pressure and cameras from a distance. His software showed normal pressure in the pipes pulling water from the wells and the large pipe carrying water up the hill to his village of Kafr Malik.But he said maintenance teams dared not venture down to the pumping station out of fear for their safety.Since the start of the war in Gaza, deadly settler attacks on Palestinians in the West Bank have become commonplace.Last week, settlers beat a 20-year-old dual US citizen to death in the nearby village of Sinjil, prompting US ambassador Mike Huckabee to urge Israel to “aggressively investigate” the killing.- Annexation -Issa Qassis, chairman on the board of the Jerusalem Water Undertaking, which manages the Ein Samiyah spring, said he viewed the attacks as a tool for Israeli land grabs and annexation.”When you restrict water supply in certain areas, people simply move where water is available”, he told AFP at a press conference.”So in a plan to move people to other lands, water is the best and fastest way”, he said.Since the start of the war in Gaza, several Israeli politicians and officials have become increasingly vocal in support of annexing the West Bank, which Israel has occupied since 1967.Most prominent among them is Finance Minister Bezalel Smotrich, himself a settler, who said in November that 2025 would be the year Israel applies its sovereignty over the Palestinian territory.Qassis accused Israel’s government of supporting settler attacks such as the one on Ein Samiyah.The Israeli army told AFP that soldiers were not aware of the incident in which pipes were damaged, “and therefore were unable to prevent it”.The damage to Ein Samiyah’s water facilities was not an isolated incident.In recent months, settlers in the nearby Jordan Valley took control of the Al-Auja spring by diverting its water from upstream, said Farhan Ghawanmeh, a representative of the Ras Ein Al Auja community.He said two other springs in the area had also recently been taken over. – Water rights -In Dura al-Qaraa, another West Bank village that uses the Ein Samiyah spring as a back-up water source, residents are also concerned about increasingly long droughts and the way Israel regulates their water rights. “For years now, no one has been planting because the water levels have decreased,” said Rafeaa Qasim, a member of the village council, citing lower rainfall causing the land to be “basically abandoned”.Qasim said that though water shortages in the village have existed for 30 years, residents’ hands are tied in the face of this challenge.”We have no options; digging a well is not allowed”, despite the presence of local water springs, he said, pointing to a well project that the UN and World Bank rejected due to Israeli law prohibiting drilling in the area.The lands chosen for drilling sit in the West Bank’s Area C, which covers more than 60 percent of the territory and is under full Israeli control.Israeli NGO B’Tselem reported in 2023 that the legal system led to sharp disparities in water access within the West Bank between Palestinians and Israelis.Whereas nearly all residents of Israel and Israeli settlements have running water every day, only 36 percent of West Bank Palestinians do, the report said.In Dura al-Qaraa, Qasim fears for the future.”Each year, the water decreases and the crisis grows — it’s not getting better, it’s getting worse.”

Le gouvernement syrien annonce la fin d’une semaine de combats sanglants à Soueida

Le gouvernement syrien a annoncé la fin des combats dimanche à Soueida, reprise par les groupes druzes, une semaine après le déclenchement d’affrontements intercommunautaires sanglants dans cette ville du sud du pays.Les violences entre groupes druzes et bédouins sunnites qui ont éclaté le 13 juillet dans la région de Soueida ont fait 940 morts, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une organisation basée à Londres qui s’appuie sur un vaste réseau de sources à travers le pays.”Soueida a été évacuée de tous les combattants tribaux, et les combats dans les quartiers de la ville ont cessé”, a écrit sur Telegram le porte-parole du ministère syrien de l’Intérieur Noureddine Al-Baba.Près de 87.000 personnes ont été déplacées par ces affrontements, d’après l’Organisation internationale pour les migrations.Samedi, le pouvoir syrien avait annoncé un cessez-le-feu dans la province de Soueida et commencé à y redéployer des forces dans l’objectif d’y rétablir la paix.Le gouvernement du président intérimaire Ahmad al-Chareh avait déjà déployé ses forces mardi à Soueida. Il les avait toutefois retirées après des bombardements de plusieurs cibles du pouvoir à Damas par Israël, qui dit vouloir protéger la communauté druze et s’estimait menacé par la présence de forces gouvernementales syriennes dans cette région proche de sa frontière.Un cessez-le-feu a par la suite été conclu entre la Syrie et Israël, sous l’égide des Etats-Unis.Samedi dans la journée, dans un quartier de la ville, des combattants tribaux, certains au visage masqué, tiraient avec des armes automatiques, selon des images de l’AFP.- “Empêcher l’EI” d’entrer dans la région -L’un des combattants avait le front ceint d’un bandeau noir portant la profession de foi de l’islam. Un autre brandissait des ciseaux, utilisés pour taillader les moustaches des vieux druzes, insulte suprême pour ce peuple de fiers guerriers.Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a exhorté les autorités syriennes à “demander des comptes et traduire en justice toute personne coupable d’atrocités, y compris dans leurs propres rangs”.Les autorités syriennes doivent utiliser “leurs forces de sécurité pour empêcher l’Etat islamique et autres jihadistes violents d’entrer dans la région et d’y perpétrer des massacres”, a-t-il écrit sur le réseau social X.Le groupe Etat islamique avait pris le contrôle de vastes pans des territoires syrien et irakien au début de la guerre civile, qui a éclaté en 2011, proclamant la création d’un “califat” transfrontalier en 2014.Les forces kurdes syriennes soutenues par les Etats-Unis l’ont vaincu en 2019, mais les jihadistes ont maintenu une présence, en particulier dans le vaste désert syrien.- Maisons incendiées -Samedi, un correspondant de l’AFP a vu des dizaines de maisons et de voitures brûlées et des hommes armés mettre le feu à des magasins après les avoir pillés.”Les combattants tribaux se sont retirés de Soueida samedi soir”, après une contre-offensive druze, mais continuaient à bombarder la ville, avait indiqué samedi l’OSDH.Ahmad al-Chareh, arrivé au pouvoir après avoir renversé le président Bachar al-Assad en décembre, a réaffirmé son engagement à protéger les minorités et salué “le rôle important joué par les Etats-Unis, qui ont confirmé leur soutien à la Syrie”.Son ministère de l’Intérieur a annoncé dans le même temps “le début du déploiement des forces de sécurité dans la province de Soueida (…) dans le but de protéger les civils et de mettre un terme au chaos”.Paris a appelé “l’ensemble des parties” à respecter “strictement” le cessez-le-feu annoncé par Damas et “à s’abstenir de toute action unilatérale”.Israël, qui affirme vouloir défendre les druzes, une minorité ésotérique issue d’une branche de l’islam, était jusque-là opposé à la présence de telles forces dans cette région.Ces nouvelles violences intercommunautaires fragilisent un peu plus le pouvoir de M. Chareh, dans un pays meurtri par près de 14 ans de guerre civile.Des affrontements avaient opposé en avril des combattants druzes aux forces de sécurité près de Damas et à Soueida, faisant plus de 100 morts.En mars, des massacres avaient fait plus de 1.700 morts, essentiellement des membres de la communauté alaouite dont est issu M. Assad, après des affrontements dans l’ouest du pays, selon un bilan de l’OSDH.Présente principalement à Soueida, la communauté druze de Syrie comptait avant la guerre civile quelque 700.000 personnes. Cette minorité est aussi implantée au Liban et en Israël.

Le gouvernement syrien annonce la fin d’une semaine de combats sanglants à Soueida

Le gouvernement syrien a annoncé la fin des combats dimanche à Soueida, reprise par les groupes druzes, une semaine après le déclenchement d’affrontements intercommunautaires sanglants dans cette ville du sud du pays.Les violences entre groupes druzes et bédouins sunnites qui ont éclaté le 13 juillet dans la région de Soueida ont fait 940 morts, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une organisation basée à Londres qui s’appuie sur un vaste réseau de sources à travers le pays.”Soueida a été évacuée de tous les combattants tribaux, et les combats dans les quartiers de la ville ont cessé”, a écrit sur Telegram le porte-parole du ministère syrien de l’Intérieur Noureddine Al-Baba.Près de 87.000 personnes ont été déplacées par ces affrontements, d’après l’Organisation internationale pour les migrations.Samedi, le pouvoir syrien avait annoncé un cessez-le-feu dans la province de Soueida et commencé à y redéployer des forces dans l’objectif d’y rétablir la paix.Le gouvernement du président intérimaire Ahmad al-Chareh avait déjà déployé ses forces mardi à Soueida. Il les avait toutefois retirées après des bombardements de plusieurs cibles du pouvoir à Damas par Israël, qui dit vouloir protéger la communauté druze et s’estimait menacé par la présence de forces gouvernementales syriennes dans cette région proche de sa frontière.Un cessez-le-feu a par la suite été conclu entre la Syrie et Israël, sous l’égide des Etats-Unis.Samedi dans la journée, dans un quartier de la ville, des combattants tribaux, certains au visage masqué, tiraient avec des armes automatiques, selon des images de l’AFP.- “Empêcher l’EI” d’entrer dans la région -L’un des combattants avait le front ceint d’un bandeau noir portant la profession de foi de l’islam. Un autre brandissait des ciseaux, utilisés pour taillader les moustaches des vieux druzes, insulte suprême pour ce peuple de fiers guerriers.Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a exhorté les autorités syriennes à “demander des comptes et traduire en justice toute personne coupable d’atrocités, y compris dans leurs propres rangs”.Les autorités syriennes doivent utiliser “leurs forces de sécurité pour empêcher l’Etat islamique et autres jihadistes violents d’entrer dans la région et d’y perpétrer des massacres”, a-t-il écrit sur le réseau social X.Le groupe Etat islamique avait pris le contrôle de vastes pans des territoires syrien et irakien au début de la guerre civile, qui a éclaté en 2011, proclamant la création d’un “califat” transfrontalier en 2014.Les forces kurdes syriennes soutenues par les Etats-Unis l’ont vaincu en 2019, mais les jihadistes ont maintenu une présence, en particulier dans le vaste désert syrien.- Maisons incendiées -Samedi, un correspondant de l’AFP a vu des dizaines de maisons et de voitures brûlées et des hommes armés mettre le feu à des magasins après les avoir pillés.”Les combattants tribaux se sont retirés de Soueida samedi soir”, après une contre-offensive druze, mais continuaient à bombarder la ville, avait indiqué samedi l’OSDH.Ahmad al-Chareh, arrivé au pouvoir après avoir renversé le président Bachar al-Assad en décembre, a réaffirmé son engagement à protéger les minorités et salué “le rôle important joué par les Etats-Unis, qui ont confirmé leur soutien à la Syrie”.Son ministère de l’Intérieur a annoncé dans le même temps “le début du déploiement des forces de sécurité dans la province de Soueida (…) dans le but de protéger les civils et de mettre un terme au chaos”.Paris a appelé “l’ensemble des parties” à respecter “strictement” le cessez-le-feu annoncé par Damas et “à s’abstenir de toute action unilatérale”.Israël, qui affirme vouloir défendre les druzes, une minorité ésotérique issue d’une branche de l’islam, était jusque-là opposé à la présence de telles forces dans cette région.Ces nouvelles violences intercommunautaires fragilisent un peu plus le pouvoir de M. Chareh, dans un pays meurtri par près de 14 ans de guerre civile.Des affrontements avaient opposé en avril des combattants druzes aux forces de sécurité près de Damas et à Soueida, faisant plus de 100 morts.En mars, des massacres avaient fait plus de 1.700 morts, essentiellement des membres de la communauté alaouite dont est issu M. Assad, après des affrontements dans l’ouest du pays, selon un bilan de l’OSDH.Présente principalement à Soueida, la communauté druze de Syrie comptait avant la guerre civile quelque 700.000 personnes. Cette minorité est aussi implantée au Liban et en Israël.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Typhon Wipha: Hong Kong décrète le niveau d’alerte maximal et fait suspendre 500 vols

Les autorités de Hong Kong ont émis dimanche matin une alerte pour “vents de force ouragan”, le niveau maximal, alors que s’approchait des côtes du Sud de la Chine le typhon Wipha, contraignant le gouvernement à fermer les crèches et à faire annuler environ 500 vols.Wipha se trouvait à environ 60 kilomètres au sud-est de Hong Kong vers 10h00 locales (02h00 GMT), et continue de se renforcer en se rapprochant des côtes de la province chinoise du Guangdong (sud), a indiqué l’Observatoire météorologique de Hong Kong.Cet observatoire a porté l’alerte à son maximum au niveau “T10”, indiquant que “des vents de force ouragan” avec “des vitesses moyennes de 118 kilomètres par heure ou plus sont attendus”.Le typhon devait contourner le centre financier dimanche en journée, à environ 50 kilomètres au sud, en “posant une menace considérable pour Hong Kong”.Les provinces chinoises de Hainan et Guangdong ont également été mises en alerte, selon l’agence officielle Chine nouvelle.Un représentant de l’Autorité aéroportuaire de Hong Kong a déclaré dimanche qu’environ 500 vols avaient été annulés en raison des intempéries, tandis qu’environ 400 autres devraient décoller ou atterrir plus tard dans la journée.Plus de 200 personnes ont trouvé refuge dans des centres d’hébergement temporaires gérés par le gouvernement.La presse locale a rapporté que de grandes vagues ont été observées au large de Heng Fa Chuen, un quartier résidentiel situé dans la partie est de l’île de Hong Kong.Un homme a été reçu aux urgences d’un hôpital public dimanche matin, toujours selon la presse locale, et les autorités ont reçu plus d’une dizaine de signalements concernant des chutes d’arbres.Les autorités ont fait suspendre dimanche les activités des crèches et des écoles, et les trains circulent en service réduit.Hong Kong avait hissé pour la dernière fois le signal d’alerte au niveau T10 au passage du super typhon Saola en 2023.Deux personnes ont été portées disparues aux Philippines après le passage de Wipha, selon les autorités locales.

Typhon Wipha: Hong Kong décrète le niveau d’alerte maximal et fait suspendre 500 vols

Les autorités de Hong Kong ont émis dimanche matin une alerte pour “vents de force ouragan”, le niveau maximal, alors que s’approchait des côtes du Sud de la Chine le typhon Wipha, contraignant le gouvernement à fermer les crèches et à faire annuler environ 500 vols.Wipha se trouvait à environ 60 kilomètres au sud-est de Hong Kong vers 10h00 locales (02h00 GMT), et continue de se renforcer en se rapprochant des côtes de la province chinoise du Guangdong (sud), a indiqué l’Observatoire météorologique de Hong Kong.Cet observatoire a porté l’alerte à son maximum au niveau “T10”, indiquant que “des vents de force ouragan” avec “des vitesses moyennes de 118 kilomètres par heure ou plus sont attendus”.Le typhon devait contourner le centre financier dimanche en journée, à environ 50 kilomètres au sud, en “posant une menace considérable pour Hong Kong”.Les provinces chinoises de Hainan et Guangdong ont également été mises en alerte, selon l’agence officielle Chine nouvelle.Un représentant de l’Autorité aéroportuaire de Hong Kong a déclaré dimanche qu’environ 500 vols avaient été annulés en raison des intempéries, tandis qu’environ 400 autres devraient décoller ou atterrir plus tard dans la journée.Plus de 200 personnes ont trouvé refuge dans des centres d’hébergement temporaires gérés par le gouvernement.La presse locale a rapporté que de grandes vagues ont été observées au large de Heng Fa Chuen, un quartier résidentiel situé dans la partie est de l’île de Hong Kong.Un homme a été reçu aux urgences d’un hôpital public dimanche matin, toujours selon la presse locale, et les autorités ont reçu plus d’une dizaine de signalements concernant des chutes d’arbres.Les autorités ont fait suspendre dimanche les activités des crèches et des écoles, et les trains circulent en service réduit.Hong Kong avait hissé pour la dernière fois le signal d’alerte au niveau T10 au passage du super typhon Saola en 2023.Deux personnes ont été portées disparues aux Philippines après le passage de Wipha, selon les autorités locales.

Une voiture fonce dans la foule à Los Angeles, son conducteur inculpé pour violences volontaires

Une voiture a foncé samedi sur un groupe de personnes rassemblées devant une boîte de nuit à Los Angeles, faisant au moins 30 blessés, et le conducteur, blessé par balle dans la confusion qui a suivi, a été inculpé pour violences volontaires, selon la police.Le conducteur a été identifié par la police de Los Angeles (LAPD) comme s’appelant Fernando Ramirez, 29 ans, et se trouve dans un état stable à l’hôpital, où il a subi une intervention chirurgicale. Il est pour le moment inculpé de violences volontaires avec une arme potentiellement mortelle, a déclaré la porte-parole du LAPD Rosario Cervantes.Selon des médias américains, il s’était vu refuser l’entrée dans la boîte de nuit, située à East Hollywood, juste avant les faits. L’examen d’images vidéo a établi qu’il s’agit d'”un acte intentionnel”, a déclaré le capitaine du LAPD Ben Fernandes, cité par le Los Angeles Times.L’agression présumée a eu lieu samedi vers 02H00 du matin (09H00 GMT). Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux ont montré des personnes paniquées courant en tous sens, des victimes étalées sur un trottoir taché de sang et d’autres pleurant dans les environs. Selon d’autres images, le conducteur a été extrait du véhicule et passé à tabac par la foule.- Tireur recherché -“Quand les agents sont arrivés, ils ont trouvé le conducteur en train de se faire agresser par des passants et ont constaté qu’il avait subi une blessure par balle”, a indiqué la police dans un communiqué. Une porte-parole du LAPD a par la suite précisé que l’auteur du tir était toujours recherché.”Nous avons 30 victimes, 18 femmes et 12 hommes dans la vingtaine et le début de la trentaine”, a déclaré la commandante du LAPD Lillian Carranza. Selon les autorités, sept des blessés sont dans un état critique et six dans un état grave.Un groupe de personnes faisait la queue pour entrer dans la boîte de nuit, à proximité d’un camion vendant des tacos et du service voiturier, quand la voiture leur a foncé dessus, a expliqué le chef des pompiers de Los Angeles, Adam VanGerpen, à la chaîne de télévision ABC News.”Le guichet pour le service voiturier et le camion de tacos ont été renversés, et un grand nombre de personnes ont été touchées par le véhicule”, a-t-il détaillé.”C’est une tragédie déchirante (…) Le cœur des habitants de Los Angeles est avec toutes les victimes touchées ce matin – une enquête approfondie sur ce qui s’est passé est en cours”, a déclaré la maire de la deuxième plus grande ville des Etats-Unis, Karen Bass, dans un communiqué.A l’aube samedi, une voiture au pare-chocs arraché et à la portière en pièces était emportée par les autorités locales devant le Vermont Hollywood, une salle de concert et boîte de nuit huppée, et le sol était jonché de débris, a constaté un photographe de l’AFP.Le lieu accueillait un événement de musique reggae et hip-hop de 22H00 à 02H00 du matin, selon son site internet. La zone où a eu lieu l’agression est proche d’endroits très fréquentés comme le Sunset Boulevard et le Walk of Fame, le trottoir orné d’étoiles célébrant des personnalités du spectacle.

Hanoi scooter riders baulk at petrol-powered bikes ban

Vietnam’s plan to bar gas-guzzling motorbikes from central Hanoi may clear the air of the smog-smothered capital, but riders fear paying a high toll for the capital’s green transition.”Of course everyone wants a better environment,” said housewife Dang Thuy Hanh, baulking at the 80 million dong ($3,000) her family would spend replacing their four scooters with electric alternatives.”But why give us the first burden without any proper preparation?” grumbled the 52-year-old.Hanoi’s scooter traffic is a fixture of the city’s urban buzz. The northern hub of nine million people has nearly seven million two-wheelers, hurtling around at rush hour in a morass of congestion.Their exhausts splutter emissions regularly spurring the city to the top of worldwide smog rankings in a country where pollution claims at least 70,000 lives a year, according to the World Health Organization.The government last weekend announced plans to block fossil-fuelled bikes from Hanoi’s 31 square kilometre (12 square mile) centre by next July.It will expand in stages to forbid all gas-fuelled vehicles in urban areas of the city in the next five years.Hanh — one of the 600,000 people living in the central embargo zone — said the looming cost of e-bikes has left her fretting over the loss of “a huge amount of savings”.While she conceded e-bikes may help relieve pollution, she bemoaned the lack of public charging points near her home down a tiny alley in the heart of the city.”Why force residents to change while the city’s infrastructure is not yet able to adapt to the new situation?” she asked.Many families in communist-run Vietnam own at least two motorcycles for daily commutes, school runs, work and leisure.Proposals to reform transport for environmental reasons often sparks allegations the burden of change is felt highest by the working class. London has since 2023 charged a toll for older, higher pollution-emitting vehicles.France’s populist “Yellow Vest” protests starting in 2018 were in part sparked by allegations President Emmanuel Macron’s “green tax” on fuel was unfair for the masses.- ‘Cost too high’ -Hanoi authorities say they are considering alleviating the financial burden by offering subsidies of at least three million dong ($114) per switch to an e-bike, and also increasing public bus services.Food delivery driver Tran Van Tan, who rides his bike 40 kilometres (25 miles) every day from neighbouring Hung Yen province to downtown Hanoi, says he makes his living “on the road”.”The cost of changing to an e-bike is simply too high,” said the 45-year-old, employed through the delivery app Grab. “Those with a low income like us just cannot suddenly replace our bikes.”Compared with a traditional two-wheeler, he also fears the battery life of e-bikes “won’t meet the needs for long-distance travel”.But citing air pollution as a major threat to human health, the environment and quality of life, deputy mayor Duong Duc Tuan earlier this week said “drastic measures are needed”.In a recent report, Hanoi’s environment and agriculture ministry said over half of the poisonous smog that blankets the city for much of the year comes from petrol and diesel vehicles.The World Bank puts the figure at 30 percent, with factories and waste incineration also major culprits.Several European cities, such as Barcelona, Paris and Amsterdam have also limited the use of internal combustion engines on their streets — and other major Vietnamese cities are looking to follow suit.The southern business hub Ho Chi Minh City aims to gradually transition delivery and service motorbikes to electric over the next few years.But with the high costs, office worker Nguyen My Hoa thinks the capital’s ban will not be enforceable. “Authorities will not be able to stop the huge amount of gasoline bikes from entering the inner districts,” 42-year-old Hoa said.”It simply does not work.”

Hanoi scooter riders baulk at petrol-powered bikes ban

Vietnam’s plan to bar gas-guzzling motorbikes from central Hanoi may clear the air of the smog-smothered capital, but riders fear paying a high toll for the capital’s green transition.”Of course everyone wants a better environment,” said housewife Dang Thuy Hanh, baulking at the 80 million dong ($3,000) her family would spend replacing their four scooters with electric alternatives.”But why give us the first burden without any proper preparation?” grumbled the 52-year-old.Hanoi’s scooter traffic is a fixture of the city’s urban buzz. The northern hub of nine million people has nearly seven million two-wheelers, hurtling around at rush hour in a morass of congestion.Their exhausts splutter emissions regularly spurring the city to the top of worldwide smog rankings in a country where pollution claims at least 70,000 lives a year, according to the World Health Organization.The government last weekend announced plans to block fossil-fuelled bikes from Hanoi’s 31 square kilometre (12 square mile) centre by next July.It will expand in stages to forbid all gas-fuelled vehicles in urban areas of the city in the next five years.Hanh — one of the 600,000 people living in the central embargo zone — said the looming cost of e-bikes has left her fretting over the loss of “a huge amount of savings”.While she conceded e-bikes may help relieve pollution, she bemoaned the lack of public charging points near her home down a tiny alley in the heart of the city.”Why force residents to change while the city’s infrastructure is not yet able to adapt to the new situation?” she asked.Many families in communist-run Vietnam own at least two motorcycles for daily commutes, school runs, work and leisure.Proposals to reform transport for environmental reasons often sparks allegations the burden of change is felt highest by the working class. London has since 2023 charged a toll for older, higher pollution-emitting vehicles.France’s populist “Yellow Vest” protests starting in 2018 were in part sparked by allegations President Emmanuel Macron’s “green tax” on fuel was unfair for the masses.- ‘Cost too high’ -Hanoi authorities say they are considering alleviating the financial burden by offering subsidies of at least three million dong ($114) per switch to an e-bike, and also increasing public bus services.Food delivery driver Tran Van Tan, who rides his bike 40 kilometres (25 miles) every day from neighbouring Hung Yen province to downtown Hanoi, says he makes his living “on the road”.”The cost of changing to an e-bike is simply too high,” said the 45-year-old, employed through the delivery app Grab. “Those with a low income like us just cannot suddenly replace our bikes.”Compared with a traditional two-wheeler, he also fears the battery life of e-bikes “won’t meet the needs for long-distance travel”.But citing air pollution as a major threat to human health, the environment and quality of life, deputy mayor Duong Duc Tuan earlier this week said “drastic measures are needed”.In a recent report, Hanoi’s environment and agriculture ministry said over half of the poisonous smog that blankets the city for much of the year comes from petrol and diesel vehicles.The World Bank puts the figure at 30 percent, with factories and waste incineration also major culprits.Several European cities, such as Barcelona, Paris and Amsterdam have also limited the use of internal combustion engines on their streets — and other major Vietnamese cities are looking to follow suit.The southern business hub Ho Chi Minh City aims to gradually transition delivery and service motorbikes to electric over the next few years.But with the high costs, office worker Nguyen My Hoa thinks the capital’s ban will not be enforceable. “Authorities will not be able to stop the huge amount of gasoline bikes from entering the inner districts,” 42-year-old Hoa said.”It simply does not work.”