L’Iran écarte des discussions avec Washington avant l’arrêt de l'”agression” d’Israël

L’Iran a écarté vendredi une reprise des négociations nucléaires avec les Etats-Unis avant l’arrêt des attaques israéliennes contre son territoire, à l’heure où le chef d’état-major israélien a affirmé s’attendre à une guerre “prolongée”.En soirée, plusieurs explosions ont retenti à Téhéran, alors que l’agence de presse Fars a rapporté l’entrée en action des systèmes de défense anti-aérienne dans le centre de la capitale, une semaine après le début de la guerre entre Israël et l’Iran.Le président américain Donald Trump, estimant “substantielle” la possibilité de négociations avec Téhéran, a annoncé jeudi qu’il se donnait “deux semaines” au maximum pour décider d’une éventuelle intervention militaire américaine aux côtés d’Israël contre l’Iran. Après une rencontre vendredi à Genève entre des ministres des Affaires étrangères européens et le chef de la diplomatie iranienne, M. Trump a commenté : “L’Iran ne veut pas parler à l’Europe. Ils veulent nous parler à nous. L’Europe ne va pas pouvoir aider sur ce sujet”. Affirmant que l’Iran était sur le point de se doter de la bombe atomique, Israël a lancé le 13 juin une attaque aérienne massive contre son ennemi juré, frappant des centaines de sites militaires et nucléaires et tuant les plus hauts gradés du pays et des scientifiques du nucléaire.L’Iran, qui riposte avec des tirs de missiles et de drones vers Israël, dément vouloir fabriquer l’arme atomique mais défend son droit à développer un programme nucléaire civil.Le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi affirme que son agence n’a décelé dans son dernier rapport aucun indice laissant penser que l’Iran fabrique à l’heure actuelle une arme atomique.”L’Iran est prêt à envisager à nouveau la diplomatie  une fois que l’agression aura cessé (…)”, a dit le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi, en référence aux discussions lancées en avril avec les Etats-Unis pour trouver un accord sur le nucléaire et suspendues après le début de la guerre.- Une campagne prolongée” -L’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ont exhorté pour leur part l’Iran à poursuivre la voie diplomatique “sans attendre la fin du conflit” pour résoudre l’épineuse question de son programme nucléaire.”Le résultat positif aujourd’hui est que nous quittons la salle avec le sentiment que l’Iran est fondamentalement prêt à continuer à discuter de toutes les questions importantes pour nous, Européens”, a déclaré le ministre allemand Johann Wadephul.Pour son homologue français Jean-Noël Barrot, il ne peut y avoir “de solution définitive par la voie militaire au problème du nucléaire iranien”.Le président français Emmanuel Macron avait affirmé que les Européens allaient faire “une offre de négociation complète” à l’Iran incluant le nucléaire et les “activités balistiques” iraniens notamment.Alors que la réunion de Genève était en cours, le chef d’état-major israélien, le lieutenant-général Eyal Zamir, a adressé un message vidéo aux “citoyens d’Israël”.”Nous avons lancé la campagne la plus complexe de notre histoire (…) Nous devons être prêts à une campagne prolongée”, a-t-il dit. “Malgré des avancées significatives, des jours difficiles nous attendent. Nous nous préparons à de nombreuses éventualités.”- Tirs de missiles -Pendant la journée, l’Iran a tiré une salve de missiles contre Israël qui a fait 19 blessés selon un hôpital de Haïfa (nord) où au moins un bâtiment a été touché. Une attaque iranienne a aussi visé Beersheva (sud), faisant des dégâts.Les Gardiens de la Révolution, armée idéologique d’Iran, ont affirmé dans un communiqué avoir ciblé en Israël des “centres militaires, des industries de défense, des centres de commandement et de contrôle” ainsi que des bases militaires.L’armée israélienne a de son côté annoncé avoir frappé des lanceurs de missiles sol-air dans le sud-ouest de l’Iran, après avoir bombardé des cibles à Téhéran, Ispahan (centre) et dans l’ouest du pays.Les bombardements israéliens ont fait au moins 224 morts en Iran. En Israël, les tirs de missiles et de drones iraniens ont fait 25 morts.A Téhéran, des milliers de personnes sont descendues dans la rue scandant des slogans de soutien à leurs dirigeants et contre Israël et les Etats-Unis. Ils ont brûlé et piétiné des drapeaux israélien et américain.”Je sacrifierai ma vie pour mon guide”, proclamait une banderole, en référence au guide suprême, Ali Khamenei, menacé par Israël et son allié américain.- “Je n’ai pas peur” -Vendredi, jour de repos en Iran, la plupart des commerces sont restés fermés à Téhéran, à l’exception des boulangeries et de quelques magasins d’alimentation.Dans les quartiers nord, le bazar de Tajrish, habituellement noir de monde le vendredi, était quasi fantôme et l’immense majorité des magasins fermés.”Je n’ai pas peur de la guerre, je reste ouvert mais les affaires sont vraiment mauvaises”, déclare à l’AFP un vendeur qui préfère taire son nom.- “Inspections incontestables” -Devant le Conseil de sécurité de l’ONU vendredi, M. Grossi a prévenu qu’une éventuelle attaque contre la centrale nucléaire iranienne de Bouchehr (sud) aurait les conséquences les plus “graves”, pouvant relâcher de grandes quantités de radiation dans l’environnement.Il a aussi assuré que l’AIEA pouvait “garantir, par l’intermédiaire d’un système d’inspections incontestables, que des armes nucléaires ne seront pas développées en Iran”.Israël, qui maintient l’ambiguïté sur sa propre possession de l’arme atomique, détient 90 ogives nucléaires, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri). 

L’Iran écarte des discussions avec Washington avant l’arrêt de l'”agression” d’Israël

L’Iran a écarté vendredi une reprise des négociations nucléaires avec les Etats-Unis avant l’arrêt des attaques israéliennes contre son territoire, à l’heure où le chef d’état-major israélien a affirmé s’attendre à une guerre “prolongée”.En soirée, plusieurs explosions ont retenti à Téhéran, alors que l’agence de presse Fars a rapporté l’entrée en action des systèmes de défense anti-aérienne dans le centre de la capitale, une semaine après le début de la guerre entre Israël et l’Iran.Le président américain Donald Trump, estimant “substantielle” la possibilité de négociations avec Téhéran, a annoncé jeudi qu’il se donnait “deux semaines” au maximum pour décider d’une éventuelle intervention militaire américaine aux côtés d’Israël contre l’Iran. Après une rencontre vendredi à Genève entre des ministres des Affaires étrangères européens et le chef de la diplomatie iranienne, M. Trump a commenté : “L’Iran ne veut pas parler à l’Europe. Ils veulent nous parler à nous. L’Europe ne va pas pouvoir aider sur ce sujet”. Affirmant que l’Iran était sur le point de se doter de la bombe atomique, Israël a lancé le 13 juin une attaque aérienne massive contre son ennemi juré, frappant des centaines de sites militaires et nucléaires et tuant les plus hauts gradés du pays et des scientifiques du nucléaire.L’Iran, qui riposte avec des tirs de missiles et de drones vers Israël, dément vouloir fabriquer l’arme atomique mais défend son droit à développer un programme nucléaire civil.Le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi affirme que son agence n’a décelé dans son dernier rapport aucun indice laissant penser que l’Iran fabrique à l’heure actuelle une arme atomique.”L’Iran est prêt à envisager à nouveau la diplomatie  une fois que l’agression aura cessé (…)”, a dit le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi, en référence aux discussions lancées en avril avec les Etats-Unis pour trouver un accord sur le nucléaire et suspendues après le début de la guerre.- Une campagne prolongée” -L’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ont exhorté pour leur part l’Iran à poursuivre la voie diplomatique “sans attendre la fin du conflit” pour résoudre l’épineuse question de son programme nucléaire.”Le résultat positif aujourd’hui est que nous quittons la salle avec le sentiment que l’Iran est fondamentalement prêt à continuer à discuter de toutes les questions importantes pour nous, Européens”, a déclaré le ministre allemand Johann Wadephul.Pour son homologue français Jean-Noël Barrot, il ne peut y avoir “de solution définitive par la voie militaire au problème du nucléaire iranien”.Le président français Emmanuel Macron avait affirmé que les Européens allaient faire “une offre de négociation complète” à l’Iran incluant le nucléaire et les “activités balistiques” iraniens notamment.Alors que la réunion de Genève était en cours, le chef d’état-major israélien, le lieutenant-général Eyal Zamir, a adressé un message vidéo aux “citoyens d’Israël”.”Nous avons lancé la campagne la plus complexe de notre histoire (…) Nous devons être prêts à une campagne prolongée”, a-t-il dit. “Malgré des avancées significatives, des jours difficiles nous attendent. Nous nous préparons à de nombreuses éventualités.”- Tirs de missiles -Pendant la journée, l’Iran a tiré une salve de missiles contre Israël qui a fait 19 blessés selon un hôpital de Haïfa (nord) où au moins un bâtiment a été touché. Une attaque iranienne a aussi visé Beersheva (sud), faisant des dégâts.Les Gardiens de la Révolution, armée idéologique d’Iran, ont affirmé dans un communiqué avoir ciblé en Israël des “centres militaires, des industries de défense, des centres de commandement et de contrôle” ainsi que des bases militaires.L’armée israélienne a de son côté annoncé avoir frappé des lanceurs de missiles sol-air dans le sud-ouest de l’Iran, après avoir bombardé des cibles à Téhéran, Ispahan (centre) et dans l’ouest du pays.Les bombardements israéliens ont fait au moins 224 morts en Iran. En Israël, les tirs de missiles et de drones iraniens ont fait 25 morts.A Téhéran, des milliers de personnes sont descendues dans la rue scandant des slogans de soutien à leurs dirigeants et contre Israël et les Etats-Unis. Ils ont brûlé et piétiné des drapeaux israélien et américain.”Je sacrifierai ma vie pour mon guide”, proclamait une banderole, en référence au guide suprême, Ali Khamenei, menacé par Israël et son allié américain.- “Je n’ai pas peur” -Vendredi, jour de repos en Iran, la plupart des commerces sont restés fermés à Téhéran, à l’exception des boulangeries et de quelques magasins d’alimentation.Dans les quartiers nord, le bazar de Tajrish, habituellement noir de monde le vendredi, était quasi fantôme et l’immense majorité des magasins fermés.”Je n’ai pas peur de la guerre, je reste ouvert mais les affaires sont vraiment mauvaises”, déclare à l’AFP un vendeur qui préfère taire son nom.- “Inspections incontestables” -Devant le Conseil de sécurité de l’ONU vendredi, M. Grossi a prévenu qu’une éventuelle attaque contre la centrale nucléaire iranienne de Bouchehr (sud) aurait les conséquences les plus “graves”, pouvant relâcher de grandes quantités de radiation dans l’environnement.Il a aussi assuré que l’AIEA pouvait “garantir, par l’intermédiaire d’un système d’inspections incontestables, que des armes nucléaires ne seront pas développées en Iran”.Israël, qui maintient l’ambiguïté sur sa propre possession de l’arme atomique, détient 90 ogives nucléaires, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri). 

Wall Street termine la semaine en retrait

La Bourse de New York a fini orientée en baisse vendredi, les investisseurs montrant une certaine aversion au risque face aux incertitudes économiques et géopolitiques liées à la guerre entre l’Iran et Israël et aux droits de douane américains.Après une ouverture en hausse, l’indice Nasdaq a reculé de 0,51% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,22%. Le Dow Jones a grappillé 0,08%.”Nous nous trouvons dans une situation où les incertitudes se sont intensifiées”, commente auprès de l’AFP Adam Sarhan, de 50 Park Investments.L’analyste relève en particulier une information publiée dans le Wall Street Journal selon laquelle les États-Unis pourraient révoquer des dérogations accordées à certaines entreprises de semiconducteurs ayant des usines en Chine.Cela a touché “les actions technologiques, ce qui a entraîné le reste du marché à la baisse”, selon M. Sarhan.L’essentiel des valeurs du secteur des semiconducteurs ont reculé à l’image de Nvidia (-1,12% à 143,85 dollars), Broadcom (-0,27% à 249,99 dollars) et Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC, -1,87% à 209,50 dollars).Par ailleurs, “nous sommes dans une situation où les tensions au Moyen-Orient continuent. Il n’y a pas de cessez-le-feu et on craint que les États-Unis ne s’impliquent” dans le conflit, souligne Adam Sarhan.Le président américain Donald Trump a estimé vendredi que les Européens ne seront pas utiles pour résoudre la guerre entre l’Iran et Israël, après une rencontre à Genève entre ministres des Affaires étrangères européens et iranien.Le républicain a ajouté que le délai, annoncé jeudi, de deux semaines pour qu’il prenne une décision sur une intervention directe des Etats-Unis en Iran était un “maximum”. Avec le conflit au Moyen-Orient, “nous avons des prix de l’énergie plus élevés (le baril de pétrole américain a pris plus de 7 dollars, ndlr), ce qui signifie que l’inflation va très probablement augmenter et non pas diminuer, ce qui réduit les chances que la Réserve fédérale (Fed) réduise ses taux”, estime M. Sarhan.Mercredi, la banque centrale des États-Unis a décidé de laisser ses taux directeurs inchangés pour la quatrième fois de suite.Son président Jerome Powell a laissé entendre que l’institution monétaire n’allait pas dévier rapidement de sa posture attentiste, inquiète de voir l’inflation repartir avec les droits de douane mis en place par le président Donald Trump.Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement à dix ans des obligations américaines évoluait à 4,38% contre 4,39% la veille à la clôture.Au tableau des valeurs, la chaîne de supermarchés américaine Kroger a bondi (+9,82% à 71,96 dollars) après avoir relevé ses prévisions de chiffre d’affaires pour l’année en cours. Lors des trois premiers mois de l’année, l’entreprise a généré un bénéfice net par action de 1,49 dollar, au-dessus des attentes.Le vendeur de voitures d’occasion Carmax (+6,61%, à 68,58 dollars) a été recherché après avoir publié des résultats supérieurs aux attentes pour le premier trimestre de son exercice. L’entreprise a généré un bénéfice net par action, donnée de référence pour les marchés, de 1,38 dollar, contre 1,16 attendu.La société Circle (+20,57% à 240,65 dollars), créatrice de la stablecoin USDC, a continué de profiter de l’adoption par le Sénat américain d’une loi régulant ces cryptomonnaies, tout comme la plateforme d’échange d’actifs numériques Coinbase (+2,20% à 301,78 dollars).

Trump pushes forward on mass layoffs at Voice of America

President Donald Trump’s administration on Friday ordered mass layoffs at Voice of America and other government-funded media, moving ahead with gutting the outlets despite legal disputes and criticism that US adversaries will benefit.Kari Lake, a fervent Trump supporter named to a senior role at the US Agency for Global Media, said the notices were a “long-overdue effort to dismantle a bloated, unaccountable bureaucracy.”Lake said in a statement that she would work with the State Department and Congress to “make sure the telling of America’s story is modernized, effective and aligned with America’s foreign policy.”Trump issued an order in March that froze Voice of America (VOA) for the first time since it was founded in 1942.Termination notices were sent to 639 employees on Friday, after previous offers of voluntary departures and dismissals of contractors.Some 1,400 positions have been eliminated, with only 250 remaining, Lake said.Voice of America layoffs included journalists from its Persian service who had briefly been brought back to work after Israel attacked Iran a week ago.Employees have filed a lawsuit challenging Lake’s actions, which come even though Congress had already appropriated funding.The mass firing decision “spells the death of 83 years of independent journalism that upholds the US ideals of democracy and freedom around the world,” the three plaintiffs wrote in a statement.”Moscow, Beijing, Tehran and extremist groups are flooding the information space with anti-American propaganda. Do not cede this ground by silencing America’s voice,” said the three complainants, Patsy Widakuswara, Jessica Jerreat and Kate Neeper.Senator Jeanne Shaheen, the top Democrat on the Senate Foreign Relations Committee, said that the “decimation of US broadcasting leaves authoritarian propaganda unchecked by US backed independent media and is a perversion of the law and congressional intent.””It is a dark day for the truth,” she wrote on X.Trump frequently attacks media outlets and has scoffed at the so-called editorial firewall at VOA which prevents the government from intervening in its coverage, something he at times has considered too critical of his administration.One outlet preserved by the mass cuts has been Radio Marti, which broadcasts into Cuba and enjoys support from anti-communist Cuban-American Republican lawmakers.Other outlets funded by the US government have included Radio Free Asia, which was set up to provide news to Asian countries without a free press and is now operating in a limited capacity.Radio Free Europe, formed with a similar mission for Soviet bloc nations during the Cold War, has survived thanks to support from the Czech government.

Mondial des clubs: Flamengo terrasse les Blues

Flamengo a créé une nouvelle sensation en terrassant Chelsea (3-1) lors du choc du groupe D du Mondial des clubs, effectuant un grand pas vers la qualification pour les 8e de finale, vendredi à Philadelphie. Décidément cette Coupe du monde n’en finit pas de sourire aux formations brésiliennes. Au lendemain du succès de Botafogo face au champion d’Europe parisien (1-0), c’est une autre équipe de Rio qui a fait mordre la poussière à un illustre représentant européen, vainqueur de la Ligue Conference cette saison. Après leur succès face au Los Angeles FC (2-0), les Blues s’attaquaient à un bien plus gros morceau en se frottant aux joueurs cariocas qui avaient fait forte impression au cours de leur premier match contre l’Espérance de Tunis (2-0). Ils ont été servis en étant bousculés durant plus de 90 minutes par un adversaire complétement déchaîné et soutenu par une forte colonie rouge et noire, les couleurs de Flamengo. Chelsea, 4e de Premier League, a ainsi été sérieusement malmené par le prestigieux club brésilien, qui a vu passer dans ses rangs des légendes telles que Garrincha, Zico, Romario ou Bebeto. Malgré l’ouverture du score rapide de Portugais Pedro Neto, auteur de son deuxième but du tournoi après une perte de balle au milieu du terrain du jeune défenseur Wesley França (21 ans), Flamengo a réussi à refaire son retard après la pause grâce à Bruno Henrique (62e) avant de doubler la mise par l’intermédiaire de l’arrière brésilien Danilo, un ancien du Real Madrid et de la Juventus Turin (65e). L’exclusion de Nicolas Jackson côté Chelsea a ensuite grandement facilité sa tâche (68e), Wallace Yan scellant définitivement le sort de la rencontre (83e).  Le dénouement est logique pour l’actuel leader du championnat brésilien qui s’est montré beaucoup plus dangereux, déployant un jeu léché et résolument tourné vers l’offensive. Le but de Neto aura été l’un des rares éclairs de Chelsea, qui n’a pas pu compter sur sa pépite Cole Palmer, très discret dans l’ensemble. Flamengo s’est lui appuyé sur ses deux remuants ailiers, Luiz Araujo et Gerson, deux ex de la Ligue 1, pour semer la panique dans la défense anglaise. L’ancien Marseillais Gerson a notamment eu deux grosses occasions (44e, 54e) avant que ses coéquipiers ne finissent par faire plier l’arrière-garde des Blues.Pour Chelsea, le billet pour le prochain tour passera désormais par un bon résultat contre l’Espérance de Tunis alors que Flamengo a sans doute fait le plus dur avant de se frotter au Los Angeles FC, mercredi. kn/jld              

US judge orders release of pro-Palestinian protest leader

A federal judge ordered the Trump administration on Friday to release Mahmoud Khalil, a Columbia University student who became a leader of pro-Palestinian campus protests.Khalil, a legal permanent US resident who is married to a US citizen and has a US-born son, has been in custody since March facing potential deportation.District Judge Michael Farbiarz ordered Khalil’s release on bail during a hearing on Friday and he will be allowed to return to New York while his deportation case proceeds.”After more than three months, we can finally breathe a sigh of relief and know that Mahmoud is on his way home,” his wife, Michigan-born dentist Noor Abdalla, said in a statement.”We know this ruling does not begin to address the injustices the Trump administration has brought upon our family and so many others the government is trying to silence for speaking out against Israel’s ongoing genocide against Palestinians,” added Abdalla, who gave birth to the couple’s first child while her husband was in detention.Amol Sinha, executive director of the American Civil Liberties Union of New Jersey, which is among the groups representing Khalil, welcomed the release order.”This is an important step in vindicating Mr Khalil’s rights as he continues to be unlawfully targeted by the federal government for his advocacy in support of Palestinian rights,” Sinha said. “We’re confident he will ultimately prevail in the fight for his freedom.”Since his March 8 arrest by Immigration and Customs Enforcement agents, Khalil has become a symbol of President Donald Trump’s campaign to stifle pro-Palestinian student activism against the Gaza war, in the name of curbing anti-Semitism.At the time a graduate student at Columbia University in New York, Khalil was one of the most visible leaders of nationwide campus protests against Israel’s war in Gaza.Following his arrest, US authorities transferred Khalil, who was born in Syria to Palestinian parents, nearly 2,000 kilometers (1,242 miles) from his home in New York to a detention center in Louisiana, pending deportation.Secretary of State Marco Rubio has invoked a law approved during the 1950s Red Scare that allows the United States to remove foreigners seen as adverse to US foreign policy.Rubio argues that US constitutional protections of free speech do not apply to foreigners and that he alone can make decisions without judicial review.Hundreds of students have seen their visas revoked, with some saying they were targeted for everything from writing opinion articles to minor arrest records.Farbiarz ruled last week that the government could not detain or deport Khalil based on Rubio’s assertions that his presence on US soil poses a national security threat.The government has also alleged as grounds to detain and deport Khalil that there were inaccuracies in his application for permanent residency.

US judge orders release of pro-Palestinian protest leader

A federal judge ordered the Trump administration on Friday to release Mahmoud Khalil, a Columbia University student who became a leader of pro-Palestinian campus protests.Khalil, a legal permanent US resident who is married to a US citizen and has a US-born son, has been in custody since March facing potential deportation.District Judge Michael Farbiarz ordered Khalil’s release on bail during a hearing on Friday and he will be allowed to return to New York while his deportation case proceeds.”After more than three months, we can finally breathe a sigh of relief and know that Mahmoud is on his way home,” his wife, Michigan-born dentist Noor Abdalla, said in a statement.”We know this ruling does not begin to address the injustices the Trump administration has brought upon our family and so many others the government is trying to silence for speaking out against Israel’s ongoing genocide against Palestinians,” added Abdalla, who gave birth to the couple’s first child while her husband was in detention.Amol Sinha, executive director of the American Civil Liberties Union of New Jersey, which is among the groups representing Khalil, welcomed the release order.”This is an important step in vindicating Mr Khalil’s rights as he continues to be unlawfully targeted by the federal government for his advocacy in support of Palestinian rights,” Sinha said. “We’re confident he will ultimately prevail in the fight for his freedom.”Since his March 8 arrest by Immigration and Customs Enforcement agents, Khalil has become a symbol of President Donald Trump’s campaign to stifle pro-Palestinian student activism against the Gaza war, in the name of curbing anti-Semitism.At the time a graduate student at Columbia University in New York, Khalil was one of the most visible leaders of nationwide campus protests against Israel’s war in Gaza.Following his arrest, US authorities transferred Khalil, who was born in Syria to Palestinian parents, nearly 2,000 kilometers (1,242 miles) from his home in New York to a detention center in Louisiana, pending deportation.Secretary of State Marco Rubio has invoked a law approved during the 1950s Red Scare that allows the United States to remove foreigners seen as adverse to US foreign policy.Rubio argues that US constitutional protections of free speech do not apply to foreigners and that he alone can make decisions without judicial review.Hundreds of students have seen their visas revoked, with some saying they were targeted for everything from writing opinion articles to minor arrest records.Farbiarz ruled last week that the government could not detain or deport Khalil based on Rubio’s assertions that his presence on US soil poses a national security threat.The government has also alleged as grounds to detain and deport Khalil that there were inaccuracies in his application for permanent residency.