Israeli building hit in wave of drone attacks: rescue services

Israel’s rescue services said Saturday that an Iranian drone had struck a residential building in the north of the country following a wave of attacks reported by the military.”A drone strike hit a two-storey residential building in northern Israel”, the Magen David Adom said in a statement, referring to an impact site in the Beit She’an valley by the northeastern border with Jordan.Israel’s sophisticated air defences have intercepted more than 450 missiles fired at the country by Iran, along with around 400 drones, since the start of the war on June 13, according to official figures.  The locations of strikes in Israel are subject to strict military censorship rules and are not always provided in detail to the public.  The National Public Diplomacy Directorate, which is overseen by Israel’s prime minister, has acknowleged 50 impact sites.At least 19 people were injured in Haifa on Friday following a strike on a building by the city’s docks.The northern Israeli port has been frequently targeted along with coastal hub Tel Aviv and southern Beersheba. AFP photographs from the scene of the drone strike in Beit She’an on Saturday showed a hole torn in the side of the building next to a crater and mounds of earth that appeared to have been thrown up by the drone’s explosives. Magen David Adom said its rescue teams found no visible casualties as they arrived at the scene.In separate statements, the Israeli military reported several drones had been sighted and intercepted at locations in northern Israel mid-morning on Saturday after a barrage of 40 drones overnight.A total of 25 people have been killed in Israel since the start of the war, according to official figures. 

Fête de la musique: une playlist des pompiers pour “sauver des vies”

Des morceaux calés entre 100 et 120 battements par minute: les Pompiers de France lancent une playlist susceptible de “sauver des vies”, a annoncé la Fédération nationale des sapeurs-pompiers samedi, jour de la Fête de la musique.Intitulée “Les Tubes pour Survivre” et mise en ligne sur la plateforme de streaming Spotify, la playlist est “composée de morceaux calés entre 100 et 120 battements par minute (BPM), le rythme idéal pour effectuer un massage cardiaque efficace”, selon un communiqué de la Fédération.De Stayin’ Alive des Bee Gees à I Will Survive de Gloria Gaynor, en passant par Another One Bites the Dust de Queen et I’m Alive de Céline Dion, la playlist propose près d’une vingtaine de “titres populaires qui donnent le bon tempo… pour sauver une vie”.Pourquoi cette initiative ? “Parce qu’en cas d’arrêt cardiaque, chaque seconde compte”, rappellent les Pompiers.”En France, les secours mettent en moyenne 12 minutes à arriver. Mais les 3 premières minutes sont vitales. En attendant les secours, un massage cardiaque immédiat peut doubler, voire tripler les chances de survie”, soulignent-ils.”Avec cette playlist, les sapeurs-pompiers entendent toucher un large public et rappeler que la musique peut aussi être un allié de la prévention”, explique le communiqué, ajoutant que “former le plus grand nombre aux gestes qui sauvent est un enjeu de santé publique”.

La vague de chaleur à son zénith, les autorités appellent à la prudence

Les autorités ont renouvelé leurs appels à la prudence pour affronter la vague de chaleur qui culmine samedi sur l’ensemble de la France, avec encore 16 départements placés en vigilance orange “canicule”, surtout dans l’ouest du pays où les températures pourraient localement atteindre 39°C.Si la Manche et les départements bretons retrouveront un peu de fraîcheur à partir de samedi soir, onze départements allant de la Mayenne aux deux Charentes, ainsi que le Rhône et l’Isère, resteront placés en vigilance orange toute la journée de dimanche, précise l’organisme de prévisions météorologiques.Vendredi, les 38°C ont été atteints à Saintes en Charente-Maritime, ou à Fontenay en Vendée.À Ussel en Corrèze, un enfant d’un peu plus d’un an, laissé dans une voiture stationnée au soleil, a dû être hospitalisé dans un état grave. Le parquet a ouvert une enquête.Dans ce contextee, le ministre de la Santé Yannick Neuder a insisté sur “les règles essentielles: ne pas s’exposer à la chaleur, particulièrement entre 11h du matin et 16h (…) se couvrir, mettre des chapeaux, des casquettes, de la crème”.Il a aussi appelé les Français à s’hydrater et à modérer leur consommation d’alcool, notamment dans le cadre de la fête de la musique. Un conseil appliqué à la lettre par Christophe Pittet, qui participe au festival “Bordeaux fête le vin” organisé sur les quais de la Garonne, où il faisait 34°C vers 13h00. “On s’adapte à la chaleur, et puis on essaie de boire de l’eau de temps en temps. Parce que si on mélange le rouge avec la chaleur, je pense qu’on risque de tomber par terre”, a-t-il déclaré à l’AFP.La ministre chargée du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, a de son côté souligné sur X l’importance d’adapter les conditions de travail à ces fortes chaleurs, rappelant leurs obligations aux employeurs.”Les travailleurs exposés sont en première ligne. Les employeurs ont la responsabilité de garantir leur sécurité. Si les nouvelles obligations de prévention prévues par le décret du 27 mai n’entrent en vigueur qu’au 1er juillet, le Code du travail vous invite déjà à agir sans attendre”, écrit la ministre.Selon Yannick Neuder, près de 3.700 décès liés à la canicule ont été recensés l’an dernier. – Parcs ouverts la nuit -Plusieurs villes ont décidé de laisser ouverts des parcs et jardins toute la nuit jusqu’à la fin de cet épisode précoce de chaleur pour permettre aux habitants de se rafraîchir, à l’instar de Tours ou de Rennes.Une initiative qui a réjoui Michel Merejkowsky, 73 ans, libraire à la retraite, au jardin des Prébendes, au coeur de Tours. “Il faut penser aux gens qui sont logés sans confort, sans climatisation, dans des habitats pas du tout climatisés”, dit le septuagénaire.”Ca fait du bien avec la verdure”, confirme Valentin, voisin du parc qui dans la journée “se calfeutre” pour échapper à la chaleur.A Toulouse, la mairie a étendu les horaires de la piscine Nakache, un grand bassin ludique situé non loin du centre historique.Samedi, premier jour d’été, “les températures maximales dépassent souvent les 35°C sur les départements en vigilance orange, et grimpent jusqu’à 37/38 °C voire 39°C sur l’ouest du pays”, prévient Météo-France.Plus d’une soixantaine d’autres départements ont été placés en vigilance jaune canicule.Cette vague de chaleur va s’évacuer progressivement en commençant par les côtes de la Manche dans la soirée mais “l’est du pays et notamment l’Isère et le Rhône restent encore sous des conditions de canicule dimanche”, avertit Météo-France.- Risques d’incendie -La chaleur renforce les risques de feux de forêt et un certain nombre de préfectures ont pris des décrets pour limiter la circulation dans les zones boisées, comme dans la Sarthe ou la Loire-Atlantique.Dans la Vienne, la préfecture a interdit l’usage des feux d’artifice en ce week-end festif “pour prévenir tout risque d’incendie” avec une végétation très sèche.Plusieurs départements ont aussi émis des alertes concernant la pollution à l’ozone samedi, notamment en Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Occitanie, avec parfois des limitations de vitesse, comme dans le Morbihan, le Rhône ou l’Isère.EDF anticipe pour sa part de possibles baisses de production sur le site de la centrale nucléaire de Bugey (Ain) la semaine prochaine, en raison des températures élevées du Rhône, qui refroidit l’installation.C’est la 50e vague de chaleur recensée par Météo-France depuis 1947, et parmi l’une des plus précoces.”Vingt-cinq ont été observés entre 1947 et 2010″ et “25 déjà entre 2011 et 2025”, ce qui “montre bien l’accélération” de la fréquence sur fond de réchauffement climatique, relève Lauriane Batté, climatologue de Météo-France.burs-ban/rhl

La vague de chaleur à son zénith, les autorités appellent à la prudence

Les autorités ont renouvelé leurs appels à la prudence pour affronter la vague de chaleur qui culmine samedi sur l’ensemble de la France, avec encore 16 départements placés en vigilance orange “canicule”, surtout dans l’ouest du pays où les températures pourraient localement atteindre 39°C.Si la Manche et les départements bretons retrouveront un peu de fraîcheur à partir de samedi soir, onze départements allant de la Mayenne aux deux Charentes, ainsi que le Rhône et l’Isère, resteront placés en vigilance orange toute la journée de dimanche, précise l’organisme de prévisions météorologiques.Vendredi, les 38°C ont été atteints à Saintes en Charente-Maritime, ou à Fontenay en Vendée.À Ussel en Corrèze, un enfant d’un peu plus d’un an, laissé dans une voiture stationnée au soleil, a dû être hospitalisé dans un état grave. Le parquet a ouvert une enquête.Dans ce contextee, le ministre de la Santé Yannick Neuder a insisté sur “les règles essentielles: ne pas s’exposer à la chaleur, particulièrement entre 11h du matin et 16h (…) se couvrir, mettre des chapeaux, des casquettes, de la crème”.Il a aussi appelé les Français à s’hydrater et à modérer leur consommation d’alcool, notamment dans le cadre de la fête de la musique. Un conseil appliqué à la lettre par Christophe Pittet, qui participe au festival “Bordeaux fête le vin” organisé sur les quais de la Garonne, où il faisait 34°C vers 13h00. “On s’adapte à la chaleur, et puis on essaie de boire de l’eau de temps en temps. Parce que si on mélange le rouge avec la chaleur, je pense qu’on risque de tomber par terre”, a-t-il déclaré à l’AFP.La ministre chargée du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, a de son côté souligné sur X l’importance d’adapter les conditions de travail à ces fortes chaleurs, rappelant leurs obligations aux employeurs.”Les travailleurs exposés sont en première ligne. Les employeurs ont la responsabilité de garantir leur sécurité. Si les nouvelles obligations de prévention prévues par le décret du 27 mai n’entrent en vigueur qu’au 1er juillet, le Code du travail vous invite déjà à agir sans attendre”, écrit la ministre.Selon Yannick Neuder, près de 3.700 décès liés à la canicule ont été recensés l’an dernier. – Parcs ouverts la nuit -Plusieurs villes ont décidé de laisser ouverts des parcs et jardins toute la nuit jusqu’à la fin de cet épisode précoce de chaleur pour permettre aux habitants de se rafraîchir, à l’instar de Tours ou de Rennes.Une initiative qui a réjoui Michel Merejkowsky, 73 ans, libraire à la retraite, au jardin des Prébendes, au coeur de Tours. “Il faut penser aux gens qui sont logés sans confort, sans climatisation, dans des habitats pas du tout climatisés”, dit le septuagénaire.”Ca fait du bien avec la verdure”, confirme Valentin, voisin du parc qui dans la journée “se calfeutre” pour échapper à la chaleur.A Toulouse, la mairie a étendu les horaires de la piscine Nakache, un grand bassin ludique situé non loin du centre historique.Samedi, premier jour d’été, “les températures maximales dépassent souvent les 35°C sur les départements en vigilance orange, et grimpent jusqu’à 37/38 °C voire 39°C sur l’ouest du pays”, prévient Météo-France.Plus d’une soixantaine d’autres départements ont été placés en vigilance jaune canicule.Cette vague de chaleur va s’évacuer progressivement en commençant par les côtes de la Manche dans la soirée mais “l’est du pays et notamment l’Isère et le Rhône restent encore sous des conditions de canicule dimanche”, avertit Météo-France.- Risques d’incendie -La chaleur renforce les risques de feux de forêt et un certain nombre de préfectures ont pris des décrets pour limiter la circulation dans les zones boisées, comme dans la Sarthe ou la Loire-Atlantique.Dans la Vienne, la préfecture a interdit l’usage des feux d’artifice en ce week-end festif “pour prévenir tout risque d’incendie” avec une végétation très sèche.Plusieurs départements ont aussi émis des alertes concernant la pollution à l’ozone samedi, notamment en Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Occitanie, avec parfois des limitations de vitesse, comme dans le Morbihan, le Rhône ou l’Isère.EDF anticipe pour sa part de possibles baisses de production sur le site de la centrale nucléaire de Bugey (Ain) la semaine prochaine, en raison des températures élevées du Rhône, qui refroidit l’installation.C’est la 50e vague de chaleur recensée par Météo-France depuis 1947, et parmi l’une des plus précoces.”Vingt-cinq ont été observés entre 1947 et 2010″ et “25 déjà entre 2011 et 2025”, ce qui “montre bien l’accélération” de la fréquence sur fond de réchauffement climatique, relève Lauriane Batté, climatologue de Météo-France.burs-ban/rhl