Algeria pushes back after Macron urges tougher line in standoffThu, 07 Aug 2025 17:41:24 GMT

Algeria on Thursday pushed back against President Emmanuel Macron’s call for Paris to get tougher with its former colony, saying France was seeking to “exonerate” itself from any blame as their standoff drags on.Tensions between Paris and Algiers have reached new levels in recent months, with Macron’s hopes of the historic post-colonial reconciliation that he …

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Swiss to seek more talks with US as ‘horror’ tariffs kick in

The Swiss government said Thursday it would pursue more talks with the United States after a last-gasp mission to Washington failed to stop a 39-percent tariff blow that businesses described as a “horror scenario”.The government held an emergency meeting after President Karin Keller-Sutter and Economy Minister Guy Parmelin returned home from their trip empty-handed but said it does not plan to retaliate for now.Keller-Sutter said in a press conference that Swiss officials were still in Washington to hold talks that are crucial for industries ranging from watchmaking to industrial machines, cheese and chocolate.”We want a rule-based relationship with the United States… but not at any price,” she said.She said it was hard to know how long the situation would last, as “the final decision rests with the US president”.Trump blindsided the Swiss last week when he announced that the country would be hit by one of the highest tariffs among new duties on imports from dozens of economies that took effect on Thursday.The Swiss rate was higher than Trump’s previous threat of a 31-percent tariff.Keller-Sutter rushed to the US capital with a small delegation earlier this week to seek a friendlier levy, but she only secured a meeting with US Secretary of State Marco Rubio, who does not oversee tariff policy.After Wednesday’s meeting, Keller-Sutter spoke only of “a very friendly and open exchange on common issues”.In a statement after its extraordinary meeting on Thursday, the Swiss government said it “remains firmly committed to pursuing discussions with the US with the aim of reducing these tariffs as swiftly as possible”.”At present, tariff countermeasures in response to the US tariff increases are not being considered, as they would impose additional costs on the Swiss economy –- particularly through higher prices for imports from the United States,” it added.Parmelin said later that any retaliatory measures “would also have financial consequences for the Swiss economy”, adding that ratcheting trade tensions higher with the United States is not in Switzerland’s interest. “The best, I think, is that both parties find an acceptable solution.”- FIFA super sub? -The tariff jeopardises entire sectors of the export-heavy Swiss economy, notably watchmaking and industrial machinery, but also chocolate and cheese.Some politicians have suggested that football governing body FIFA’s Swiss president Gianni Infantino, who has struck up a friendship with Trump, should be recruited to help Switzerland.Infantino is “the right man for the situation”, Roland Rino Buechel, a lawmaker of the hard-right Swiss People’s Party, told SRF television.He said the FIFA boss is “the person in Switzerland with the best access to the American president”.- ‘Horrendous tariff burden’ -Swiss businesses worry that competitors in other wealthy economies will have an edge, with the European Union and Japan having negotiated a 15-percent tariff and Britain securing a rate of 10 percent.”The horror scenario materializes,” Swissmem, the association of the mechanical and electrical engineering industry, said in a statement.”If this horrendous tariff burden remains in place, it will mean the de facto death of the export business of the Swiss tech industry to the USA — in particular given the much lower tariffs for competitors in the EU and Japan.”The group urged the government to continue to negotiate with the United States, “even if the chances of success currently appear to be slim”.Economiesuisse, the federation of Swiss businesses representing some 100,000 companies, warned that the tariffs “put thousands of jobs at serious risk”.Capital Economics, a London-based research group, said the tariffs could reduce Swiss GDP by 0.6 percent in the medium term.Trump justified his action by the fact that Switzerland has a trade surplus of tens of billions of dollars with the United States. Nearly 19 percent of Swiss goods exports went to the United States last year, according to customs data.Switzerland’s pharmaceutical industry, a major exporter, has been exempt so far but Trump has announced plans for tariffs on that sector too.Switzerland has argued that the United States enjoys a significant services trade surplus and that most American industrial goods enter Switzerland tariff-free.

Négociations plastique: les écologistes dénoncent la présence croissante de lobbyistes du pétrole

Les ONG environnementales ont dénoncé jeudi la présence croissante des lobbyistes de la pétrochimie dans les négociations intergouvernementales de Genève censées déboucher d’ici au 14 août sur le texte du premier traité mondial de lutte contre la pollution plastique.L’ONG CIEL, basée à Washington et à Genève, qui apporte un soutien juridique aux pays en développement, a comptabilisé “au moins 234 lobbyistes de l’industrie pétrolière et chimique” inscrits comme participants à cette session de négociation baptisée CNI5-2.Le CIEL a analysé une liste de participants fournie par l’ONU.De session en session, le nombre des “lobbyistes de l’industrie fossile” s’accroît, note l’organisation qui en avait comptabilisé 143 en 2023 à Nairobi (CNI3), 196 en avril 2024 à Ottawa (CNI4), et 220 à Busan en novembre 2024 (CNI5-1) avec la même méthode.Ils “influencent le processus de négociation et ne devraient pas être là, car ils ont un conflit d’intérêts direct avec la négociation en cours”, a affirmé à l’AFP Rachel Radvany de CIEL.Pour la même raison, en 2003, les représentants de l’industrie du tabac n’étaient pas admis lors des négociations à l’OMS pour établir le traité mondial de lutte contre le tabac, a-t-elle rappelé.La présence à Genève des lobbyistes du pétrole pourrait être encore plus importante, prévient CIEL. Plusieurs pays ont dans leur délégation des personnes identifiées comme “ingénieur chimiste” ou “conseiller technique” qui ne sont pas intégrées dans le décompte de CIEL en l’absence de preuve, s’ils n’ont pas dévoilé leur affiliation au moment de leur inscription.L’étude ne comptabilise pas non plus les représentants des secteurs consommateurs de plastique comme l’agroalimentaire ou la cosmétique, dont des membres suivent aussi les débats.- “Traité plastique pas à vendre” -Au total, les lobbyistes de la pétrochimie sont “plus nombreux” que les scientifiques de la coalition scientifique (60 inscrits), que la délégation des peuples indigènes (36) et même que les représentants des 27 pays de l’UE (233), dit CIEL.Greenpeace a dénoncé à sa façon les lobbyistes du pétrole: 22 militants de dix pays européens ont escaladé jeudi le portique d’entrée du Palais des Nations pour déployer deux banderoles mentionnant notamment que le “traité plastique n’est pas à vendre”. De l’eau noire a été répandue au sol pour figurer le pétrole.  Graham Forbes, le chef des campagnes anti-plastique de l’ONG juge “inacceptable” que “les industries qui profitent de la pollution plastique” soient “au premier rang des négociations lorsqu’il s’agit d’essayer de trouver des solutions”.”Ces acteurs ont un intérêt personnel à obtenir un accord faible qui leur permettrait de continuer à produire du plastique sans limite pour l’éternité, condamnant les générations futures à des lendemains toxiques” a-t-il dénoncé.Une troisième ONG, IPEN (International Pollutants Elimination Network) a dénoncé dans une lettre le manque de places pour les observateurs dans les salles où sont discutés les détails techniques -mais cruciaux- du traité. IPEN regrette notamment le développement de “négociations informelles” non ouvertes aux observateurs, contrairement à ce qui s’était passé lors des négociations de la Convention de Bâle sur les mouvements transfrontières des déchets dangereux, de Rotterdam sur les produits chimiques et pesticides dangereux, ou encore celle de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP).”Nous sommes beaucoup moins nombreux que les observateurs des ONG”, a répondu à l’AFP Matthew Kastner, porte-parole de l’American Chemistry Council, membre du Conseil international des associations chimiques (ICCA), qui s’est élevé contre les affirmations des écologistes.Selon son propre décompte, l’industrie pétrolière et chimique compte 136 représentants, alors que les ONG environnementales en comptent quelque “1.500”, selon lui.Des chiffres jugés incomparables par Rachel Radvany du CIEL. Les entreprises disposent de budgets et d’avantages considérables pour influencer les négociations, fait-elle valoir, alors que le militant d’une communauté locale subissant la pollution d’une usine pétrochimique aura toutes les difficultés du monde à parvenir à Genève pour témoigner.Les représentants des entreprises sont là “pour défendre leurs propres emplois”, ajoute Delphine Levi Alvares de CIEL, “nous, nous ne sommes pas là pour garder nos emplois, nous représentons des intérêts publics. Si demain nous perdons notre emploi parce qu’il n’y a plus de pollution plastique, nous serons plus qu’heureux”.

Négociations plastique: les écologistes dénoncent la présence croissante de lobbyistes du pétrole

Les ONG environnementales ont dénoncé jeudi la présence croissante des lobbyistes de la pétrochimie dans les négociations intergouvernementales de Genève censées déboucher d’ici au 14 août sur le texte du premier traité mondial de lutte contre la pollution plastique.L’ONG CIEL, basée à Washington et à Genève, qui apporte un soutien juridique aux pays en développement, a comptabilisé “au moins 234 lobbyistes de l’industrie pétrolière et chimique” inscrits comme participants à cette session de négociation baptisée CNI5-2.Le CIEL a analysé une liste de participants fournie par l’ONU.De session en session, le nombre des “lobbyistes de l’industrie fossile” s’accroît, note l’organisation qui en avait comptabilisé 143 en 2023 à Nairobi (CNI3), 196 en avril 2024 à Ottawa (CNI4), et 220 à Busan en novembre 2024 (CNI5-1) avec la même méthode.Ils “influencent le processus de négociation et ne devraient pas être là, car ils ont un conflit d’intérêts direct avec la négociation en cours”, a affirmé à l’AFP Rachel Radvany de CIEL.Pour la même raison, en 2003, les représentants de l’industrie du tabac n’étaient pas admis lors des négociations à l’OMS pour établir le traité mondial de lutte contre le tabac, a-t-elle rappelé.La présence à Genève des lobbyistes du pétrole pourrait être encore plus importante, prévient CIEL. Plusieurs pays ont dans leur délégation des personnes identifiées comme “ingénieur chimiste” ou “conseiller technique” qui ne sont pas intégrées dans le décompte de CIEL en l’absence de preuve, s’ils n’ont pas dévoilé leur affiliation au moment de leur inscription.L’étude ne comptabilise pas non plus les représentants des secteurs consommateurs de plastique comme l’agroalimentaire ou la cosmétique, dont des membres suivent aussi les débats.- “Traité plastique pas à vendre” -Au total, les lobbyistes de la pétrochimie sont “plus nombreux” que les scientifiques de la coalition scientifique (60 inscrits), que la délégation des peuples indigènes (36) et même que les représentants des 27 pays de l’UE (233), dit CIEL.Greenpeace a dénoncé à sa façon les lobbyistes du pétrole: 22 militants de dix pays européens ont escaladé jeudi le portique d’entrée du Palais des Nations pour déployer deux banderoles mentionnant notamment que le “traité plastique n’est pas à vendre”. De l’eau noire a été répandue au sol pour figurer le pétrole.  Graham Forbes, le chef des campagnes anti-plastique de l’ONG juge “inacceptable” que “les industries qui profitent de la pollution plastique” soient “au premier rang des négociations lorsqu’il s’agit d’essayer de trouver des solutions”.”Ces acteurs ont un intérêt personnel à obtenir un accord faible qui leur permettrait de continuer à produire du plastique sans limite pour l’éternité, condamnant les générations futures à des lendemains toxiques” a-t-il dénoncé.Une troisième ONG, IPEN (International Pollutants Elimination Network) a dénoncé dans une lettre le manque de places pour les observateurs dans les salles où sont discutés les détails techniques -mais cruciaux- du traité. IPEN regrette notamment le développement de “négociations informelles” non ouvertes aux observateurs, contrairement à ce qui s’était passé lors des négociations de la Convention de Bâle sur les mouvements transfrontières des déchets dangereux, de Rotterdam sur les produits chimiques et pesticides dangereux, ou encore celle de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP).”Nous sommes beaucoup moins nombreux que les observateurs des ONG”, a répondu à l’AFP Matthew Kastner, porte-parole de l’American Chemistry Council, membre du Conseil international des associations chimiques (ICCA), qui s’est élevé contre les affirmations des écologistes.Selon son propre décompte, l’industrie pétrolière et chimique compte 136 représentants, alors que les ONG environnementales en comptent quelque “1.500”, selon lui.Des chiffres jugés incomparables par Rachel Radvany du CIEL. Les entreprises disposent de budgets et d’avantages considérables pour influencer les négociations, fait-elle valoir, alors que le militant d’une communauté locale subissant la pollution d’une usine pétrochimique aura toutes les difficultés du monde à parvenir à Genève pour témoigner.Les représentants des entreprises sont là “pour défendre leurs propres emplois”, ajoute Delphine Levi Alvares de CIEL, “nous, nous ne sommes pas là pour garder nos emplois, nous représentons des intérêts publics. Si demain nous perdons notre emploi parce qu’il n’y a plus de pollution plastique, nous serons plus qu’heureux”.

Négociations plastique: les écologistes dénoncent la présence croissante de lobbyistes du pétrole

Les ONG environnementales ont dénoncé jeudi la présence croissante des lobbyistes de la pétrochimie dans les négociations intergouvernementales de Genève censées déboucher d’ici au 14 août sur le texte du premier traité mondial de lutte contre la pollution plastique.L’ONG CIEL, basée à Washington et à Genève, qui apporte un soutien juridique aux pays en développement, a comptabilisé “au moins 234 lobbyistes de l’industrie pétrolière et chimique” inscrits comme participants à cette session de négociation baptisée CNI5-2.Le CIEL a analysé une liste de participants fournie par l’ONU.De session en session, le nombre des “lobbyistes de l’industrie fossile” s’accroît, note l’organisation qui en avait comptabilisé 143 en 2023 à Nairobi (CNI3), 196 en avril 2024 à Ottawa (CNI4), et 220 à Busan en novembre 2024 (CNI5-1) avec la même méthode.Ils “influencent le processus de négociation et ne devraient pas être là, car ils ont un conflit d’intérêts direct avec la négociation en cours”, a affirmé à l’AFP Rachel Radvany de CIEL.Pour la même raison, en 2003, les représentants de l’industrie du tabac n’étaient pas admis lors des négociations à l’OMS pour établir le traité mondial de lutte contre le tabac, a-t-elle rappelé.La présence à Genève des lobbyistes du pétrole pourrait être encore plus importante, prévient CIEL. Plusieurs pays ont dans leur délégation des personnes identifiées comme “ingénieur chimiste” ou “conseiller technique” qui ne sont pas intégrées dans le décompte de CIEL en l’absence de preuve, s’ils n’ont pas dévoilé leur affiliation au moment de leur inscription.L’étude ne comptabilise pas non plus les représentants des secteurs consommateurs de plastique comme l’agroalimentaire ou la cosmétique, dont des membres suivent aussi les débats.- “Traité plastique pas à vendre” -Au total, les lobbyistes de la pétrochimie sont “plus nombreux” que les scientifiques de la coalition scientifique (60 inscrits), que la délégation des peuples indigènes (36) et même que les représentants des 27 pays de l’UE (233), dit CIEL.Greenpeace a dénoncé à sa façon les lobbyistes du pétrole: 22 militants de dix pays européens ont escaladé jeudi le portique d’entrée du Palais des Nations pour déployer deux banderoles mentionnant notamment que le “traité plastique n’est pas à vendre”. De l’eau noire a été répandue au sol pour figurer le pétrole.  Graham Forbes, le chef des campagnes anti-plastique de l’ONG juge “inacceptable” que “les industries qui profitent de la pollution plastique” soient “au premier rang des négociations lorsqu’il s’agit d’essayer de trouver des solutions”.”Ces acteurs ont un intérêt personnel à obtenir un accord faible qui leur permettrait de continuer à produire du plastique sans limite pour l’éternité, condamnant les générations futures à des lendemains toxiques” a-t-il dénoncé.Une troisième ONG, IPEN (International Pollutants Elimination Network) a dénoncé dans une lettre le manque de places pour les observateurs dans les salles où sont discutés les détails techniques -mais cruciaux- du traité. IPEN regrette notamment le développement de “négociations informelles” non ouvertes aux observateurs, contrairement à ce qui s’était passé lors des négociations de la Convention de Bâle sur les mouvements transfrontières des déchets dangereux, de Rotterdam sur les produits chimiques et pesticides dangereux, ou encore celle de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP).”Nous sommes beaucoup moins nombreux que les observateurs des ONG”, a répondu à l’AFP Matthew Kastner, porte-parole de l’American Chemistry Council, membre du Conseil international des associations chimiques (ICCA), qui s’est élevé contre les affirmations des écologistes.Selon son propre décompte, l’industrie pétrolière et chimique compte 136 représentants, alors que les ONG environnementales en comptent quelque “1.500”, selon lui.Des chiffres jugés incomparables par Rachel Radvany du CIEL. Les entreprises disposent de budgets et d’avantages considérables pour influencer les négociations, fait-elle valoir, alors que le militant d’une communauté locale subissant la pollution d’une usine pétrochimique aura toutes les difficultés du monde à parvenir à Genève pour témoigner.Les représentants des entreprises sont là “pour défendre leurs propres emplois”, ajoute Delphine Levi Alvares de CIEL, “nous, nous ne sommes pas là pour garder nos emplois, nous représentons des intérêts publics. Si demain nous perdons notre emploi parce qu’il n’y a plus de pollution plastique, nous serons plus qu’heureux”.

Palestinians bury activist shot dead by West Bank settler

Mourners attended on Thursday the funeral of Palestinian activist Awdah Hathaleen in the occupied West Bank whose body was handed over by Israel more than a week after a settler killed him.”He was killed by a hateful settler, his body was held for 11 days, and more than 20 people from the village were arrested” following the late July incident in the southern West Bank, said the slain activist’s brother, Aziz Hathaleen.The settler accused of the fatal shooting “was released at that very moment”, Aziz told AFP in the family’s hometown of Umm al-Khair, where Palestinians gathered to bury his brother’s body despite Israeli restrictions.Awdah Hathaleen, 31, was linked to Oscar-winning documentary film “No Other Land”, which focuses on the efforts of Palestinians in Masafer Yatta — a string of hamlets including Umm al-Khair — to prevent Israeli forces from destroying their homes.He was killed on July 28, with residents identifying the man holding the gun in a video of the incident as Yinon Levy, a settler sanctioned by the Britain, who was briefly detained but released the next day.Umm al-Khair resident Ibrahim Hathaleen told AFP that “we were prevented from receiving the martyr’s body” for days after his death, and Aziz said Israel had given the family several conditions to allow the funeral.The activist’s brother argued that the Israeli moves were meant to prevent a large gathering that would draw attention to his work opposing Israeli settlement in Masafer Yatta.”The first condition was that he not be buried in the area at all, and the second was that no mourning tent be set up”, said Ibrahim, who is also related to Awdah Hathaleen.An AFP journalist in Umm al-Khair said the Israeli army had set up checkpoints around the village and prevented some Palestinians and foreign activists from reaching the funeral site.About 100 mourners still managed to attend the funeral, many of them in tears, kissing Awdah’s body before joining prayers at a local mosque, the AFP journalist reported.Masafer Yatta, where he lived, is an area on the hills south of the Palestinian city of Hebron which has been declared a military zone by Israel.The fight of the area’s Palestinian residents against Israeli settlement expansion and violence from troops and settlers was the subject of “No Other Land”, which won Best Documentary at the Oscars in March.Shortly after Hathaleen’s killing, the film’s co-director Yuval Abraham posted a video of the incident on Instagram showing a man — identified as Levy — brandishing a gun and arguing with a group of people.Violence in the West Bank, which Israel has occupied since 1967, has surged throughout the Gaza war that began in October 2023.At least 968 Palestinians, including militants but also civilians, have been killed by Israeli soldiers or settlers since the Gaza war broke out.At least 36 Israelis, including civilians and soldiers, have been killed there in Palestinian attacks or during Israeli military operations over the same period, according to official Israeli data.