Tshituka to make Test debut as Springboks change fiveTue, 01 Jul 2025 14:32:05 GMT

Democratic Republic of Congo-born flanker Vincent Tshituka will make his Test debut for world champions South Africa against Italy in Pretoria on Saturday.  The Sharks flanker debuted for the Springboks in a 54-7 non-cap exhibition match win over the Barbarians last weekend and capped an impressive performance by scoring two tries.  “Vincent has fitted into …

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Over 14 million people could die from US foreign aid cuts: studyTue, 01 Jul 2025 14:22:21 GMT

More than 14 million of the world’s most vulnerable people, a third of them small children, could die by 2030 because of the Trump administration’s dismantling of US foreign aid, research projected on Tuesday.The study in the prestigious medical journal The Lancet was published as world and business leaders met at a United Nations conference …

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Jihadist group harbours political ambitions in troubled SahelTue, 01 Jul 2025 14:20:34 GMT

In Africa’s turbulent Sahel region, the Al-Qaeda-linked JNIM jihadist group is expanding its influence by repeated massacres, food distribution and signing pacts with local authorities to position itself as a key political player.The Group for the Support of Islam and Muslims (JNIM) has not ruled out governing states and has condemned bloody attacks allegedly carried …

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Jihadists attack string of Mali military sitesTue, 01 Jul 2025 14:14:54 GMT

Jihadists attacked military installations in several towns in western Mali early Tuesday, in a new series of assaults in the junta-led country amid resurging violence in the wider Sahel region.For more than a decade Mali has faced assaults from groups linked to Al-Qaeda and the Islamic State group as well as separatist movements and criminal …

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Porté par les victimes, le délit “d’homicide routier” entériné au Parlement

“La loi ne détournera plus les yeux”: le délit “d’homicide routier” va pouvoir être mis en place après un ultime vote favorable du Sénat mardi, au grand soulagement des victimes qui en ont fait leur combat depuis plusieurs années.Le processus parlementaire est achevé. Après un vote des sénateurs à main levée mardi, la réforme portée par le député Les Républicains Eric Pauget attend désormais sa promulgation par le président de la République, préalable à son entrée en vigueur.Le débat sur le délit d’homicide et blessures routiers a été relancé après l’accident provoqué par Pierre Palmade en février 2023. Le comédien avait blessé grièvement trois personnes lors d’une violente collision en conduisant sous l’emprise de stupéfiants et a été condamné à cinq ans d’emprisonnement dont deux ferme en novembre 2024 pour blessures involontaires.Depuis trois ans, c’est aussi le combat du chef étoilé Yannick Alléno et son association Antoine Alléno, du nom de son fils mort en mai 2022 après avoir été percuté par un conducteur multipliant les infractions graves, qui a été condamné à 7 ans d’emprisonnement pour homicide involontaire.Or, l’utilisation de l’adjectif involontaire, terme juridique qui qualifie actuellement ces infractions, désempare les victimes et leurs familles, qui peinent souvent à l’accepter lorsqu’elles font face à des comportements délibérés comme la conduite sous l’emprise de stupéfiants ou sans permis.- “Changement sémantique” -“C’est l’aboutissement d’un travail acharné contre l’injustice”, s’est réjoui Yannick Alléno dans un communiqué où il salue l’adoption de ce texte qui va “mettre un terme à l’archaïsme de notre droit pénal”.”Rien ne réparera l’irréparable. Mais la loi, désormais, ne détournera plus les yeux”, s’est satisfait le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, appréciant une loi qui “affirme avec clarté que tuer sur la route, sous l’emprise de l’alcool, sous l’emprise de la drogue, en excès de vitesse ou dans le mépris délibéré des règles, ce n’est pas un simple accident, c’est un acte criminel”.Cette revendication était partagée jusqu’à la Ligue contre la violence routière, celle-ci arguant que ce “changement sémantique, souhaité par les victimes, intègre aussi des circonstances aggravantes plus nombreuses”.Avec ce délit, les responsables d’accidents mortels de la circulation accompagnés d’au moins une circonstance aggravante seront poursuivis pour homicide routier.Les circonstances aggravantes sont la violation d’une mesure de sécurité, l’état d’ivresse, la consommation de stupéfiants et/ou des substances psychoactives, ne pas être titulaire du permis, un dépassement de la vitesse maximale autorisée égal ou supérieur à 30 km/h, le délit de fuite, se servir de son téléphone portable à la main ou avec des écouteurs, le refus d’obtempérer, le rodéo urbain.- Peines encourues inchangées -Lorsqu’un conducteur se rendra coupable d’une de ces circonstances, il sera passible de 7 ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende, une peine élevée à 10 ans d’emprisonnement et 150.000 euros au-delà de deux circonstances aggravantes.Ce sont les mêmes peines que celles encourues actuellement avec l’homicide involontaire. Un point qui inquiète, alors que certains observateurs estiment que la moyenne des peines prononcées actuellement est de 2 ans d’emprisonnement.”Je redoute l’idée que les magistrats ne dépassent pas leur analyse de l’accident de la circulation comme demeurant un accident. Ils auraient pu le faire si on avait changé le quantum des peines”, souligne à l’AFP Me Vincent Julé-Parade, spécialisé dans la défense des victimes de la route.Plusieurs sénateurs ont émis les mêmes doutes mardi lors de l’examen final du texte, craignant un texte uniquement “symbolique” mais consentant néanmoins à adopter la proposition de loi sans modification pour éviter de prolonger le processus législatif.Le rapporteur Les Républicains Francis Szpiner a ainsi jugé le texte “imparfait”, estimant qu’il faudrait prolonger le travail pour, à terme, “que les chauffards comprennent que leur comportement est criminel”.En 2024, 3.190 personnes sont décédées sur les routes de France métropolitaine et 233.000 ont été blessées, dont près de 16.000 gravement. Selon l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), les deux tiers des accidents corporels présentent au moins un facteur aggravant et les trois quarts des responsables récidivent, presque aussi fréquemment et plus gravement qu’avant.

Porté par les victimes, le délit “d’homicide routier” entériné au Parlement

“La loi ne détournera plus les yeux”: le délit “d’homicide routier” va pouvoir être mis en place après un ultime vote favorable du Sénat mardi, au grand soulagement des victimes qui en ont fait leur combat depuis plusieurs années.Le processus parlementaire est achevé. Après un vote des sénateurs à main levée mardi, la réforme portée par le député Les Républicains Eric Pauget attend désormais sa promulgation par le président de la République, préalable à son entrée en vigueur.Le débat sur le délit d’homicide et blessures routiers a été relancé après l’accident provoqué par Pierre Palmade en février 2023. Le comédien avait blessé grièvement trois personnes lors d’une violente collision en conduisant sous l’emprise de stupéfiants et a été condamné à cinq ans d’emprisonnement dont deux ferme en novembre 2024 pour blessures involontaires.Depuis trois ans, c’est aussi le combat du chef étoilé Yannick Alléno et son association Antoine Alléno, du nom de son fils mort en mai 2022 après avoir été percuté par un conducteur multipliant les infractions graves, qui a été condamné à 7 ans d’emprisonnement pour homicide involontaire.Or, l’utilisation de l’adjectif involontaire, terme juridique qui qualifie actuellement ces infractions, désempare les victimes et leurs familles, qui peinent souvent à l’accepter lorsqu’elles font face à des comportements délibérés comme la conduite sous l’emprise de stupéfiants ou sans permis.- “Changement sémantique” -“C’est l’aboutissement d’un travail acharné contre l’injustice”, s’est réjoui Yannick Alléno dans un communiqué où il salue l’adoption de ce texte qui va “mettre un terme à l’archaïsme de notre droit pénal”.”Rien ne réparera l’irréparable. Mais la loi, désormais, ne détournera plus les yeux”, s’est satisfait le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, appréciant une loi qui “affirme avec clarté que tuer sur la route, sous l’emprise de l’alcool, sous l’emprise de la drogue, en excès de vitesse ou dans le mépris délibéré des règles, ce n’est pas un simple accident, c’est un acte criminel”.Cette revendication était partagée jusqu’à la Ligue contre la violence routière, celle-ci arguant que ce “changement sémantique, souhaité par les victimes, intègre aussi des circonstances aggravantes plus nombreuses”.Avec ce délit, les responsables d’accidents mortels de la circulation accompagnés d’au moins une circonstance aggravante seront poursuivis pour homicide routier.Les circonstances aggravantes sont la violation d’une mesure de sécurité, l’état d’ivresse, la consommation de stupéfiants et/ou des substances psychoactives, ne pas être titulaire du permis, un dépassement de la vitesse maximale autorisée égal ou supérieur à 30 km/h, le délit de fuite, se servir de son téléphone portable à la main ou avec des écouteurs, le refus d’obtempérer, le rodéo urbain.- Peines encourues inchangées -Lorsqu’un conducteur se rendra coupable d’une de ces circonstances, il sera passible de 7 ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende, une peine élevée à 10 ans d’emprisonnement et 150.000 euros au-delà de deux circonstances aggravantes.Ce sont les mêmes peines que celles encourues actuellement avec l’homicide involontaire. Un point qui inquiète, alors que certains observateurs estiment que la moyenne des peines prononcées actuellement est de 2 ans d’emprisonnement.”Je redoute l’idée que les magistrats ne dépassent pas leur analyse de l’accident de la circulation comme demeurant un accident. Ils auraient pu le faire si on avait changé le quantum des peines”, souligne à l’AFP Me Vincent Julé-Parade, spécialisé dans la défense des victimes de la route.Plusieurs sénateurs ont émis les mêmes doutes mardi lors de l’examen final du texte, craignant un texte uniquement “symbolique” mais consentant néanmoins à adopter la proposition de loi sans modification pour éviter de prolonger le processus législatif.Le rapporteur Les Républicains Francis Szpiner a ainsi jugé le texte “imparfait”, estimant qu’il faudrait prolonger le travail pour, à terme, “que les chauffards comprennent que leur comportement est criminel”.En 2024, 3.190 personnes sont décédées sur les routes de France métropolitaine et 233.000 ont été blessées, dont près de 16.000 gravement. Selon l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), les deux tiers des accidents corporels présentent au moins un facteur aggravant et les trois quarts des responsables récidivent, presque aussi fréquemment et plus gravement qu’avant.

Italie: sale ambiance à l’Inter Milan après l’échec du Mondial des clubs

L’élimination de l’Inter Milan en 8e de finale du Mondial des clubs lundi a laissé des traces: son capitaine Lautaro Martinez a critiqué ses coéquipiers, incitant Hakan Calhanoglu à lui répondre vertement mardi.Après la défaite (2-0) contre les Brésiliens de Fluminense lundi à Charlotte, Lautaro Martinez n’a pas mâché ses mots.”Il faut vouloir être ici, nous nous battons pour certains objectifs. Ceux qui veulent rester, restent, ceux qui ne le veulent pas peuvent partir, j’ai vu des choses qui ne m’ont pas plu”, a déclaré le capitaine argentin à l’issue de la rencontre.”À qui je fais référence ? À tout le monde en général. On ne fait pas les choses tout seul, je suis le premier responsable en tant que capitaine. Je demande pardon à nos supporters, parce que c’est une autre défaite qui fait très mal”, a constaté le champion du monde 2022.Après ce revers américain, l’Inter a donc terminé sa saison 2024-25 sans le moindre trophée et avec beaucoup de frustrations, nées de sa 2e place en Serie A, à un point de Naples, et de sa déroute en finale de la Ligue des champions (5-0) contre le Paris SG.Les déclarations de Lautaro Martinez, conjuguées à celles du président de l’Inter Milan Beppe Marotta qui a lui cité son nom, ont incité Calhanoglu, en partance pour Galatasaray, à leur répondre dans un long message sur ses réseaux sociaux. L’international turc, à l’Inter depuis 2021, a rappelé qu’il n’avait pas disputé le Mondial des clubs, car il s’est blessé à l’entraînement peu après son arrivée aux Etats-Unis.”Il n’y a rien d’autre. Rien en coulisses, nous avons perdu et cela fait mal. Je l’ai vécu avec tristesse, non seulement en tant que footballeur, mais en tant que personne qui se soucie vraiment de cette équipe”, a-t-il écrit.Il a ensuite regretté “les mots durs” de son capitaine, “des mots qui divisent et n’unissent pas”.”Durant toute ma carrière, je n’ai jamais cherché d’excuses (…) le respect ne peut pas être à sens unique”, a-t-il dit. “Et je crois que dans le football, comme dans la vie, la vraie force réside dans le fait de savoir se respecter, surtout dans les moments les plus délicats. Je n’ai jamais trahi ce maillot. Je n’ai jamais dit que je n’étais pas heureux à l’Inter.”

Israel expands campaign in Gaza ahead of Netanyahu’s US visit

Israel’s military said Tuesday that it had expanded its operations in Gaza, where residents reported fierce gunfire and shelling days ahead of a planned trip to Washington by Prime Minister Benjamin Netanyahu.The intensified operations came after days of mounting calls for a ceasefire, with US President Donald Trump — whom Netanyahu is slated to meet with next week — among those urging Israel to strike a new deal to halt the war and bring home the hostages still held in Gaza.Israel’s campaign to destroy the Palestinian militant group Hamas has continued unabated, however, with Gaza’s civil defence agency reporting Israeli forces killed 17 people on Tuesday.In response to reports of deadly strikes in the north and south of the territory, the Israeli army told AFP it was “operating to dismantle Hamas military capabilities”.Separately, it said Tuesday morning that in recent days it had “expanded its operations to additional areas within the Gaza Strip, eliminating dozens of terrorists, and dismantling hundreds of terror infrastructure sites both above and below ground”.Raafat Halles, 39, from the Shujaiya district of Gaza City district, said “air strikes and shelling have intensified over the past week”, and tanks have been advancing.”I believe that every time negotiations or a potential ceasefire are mentioned, the army escalates crimes and massacres on the ground,” he said. “I don’t know why.”Amer Daloul, a 44-year-old resident of Gaza City, also reported fiercer clashes between Israeli forces and militants in recent days, telling AFP that he and his family were forced to flee the tent they were living in at dawn on Tuesday “due to heavy and random gunfire and shelling”.In the southern city of Rafah, resident Mohammed Abdel Aal, 41, said “tanks are present” in most parts of town.- Aid seekers killed -Civil defence spokesman Mahmud Bassal told AFP that eight people were killed near aid distribution sites in central and southern Gaza Tuesday, in the latest in a long-running spate of deadly attacks on those seeking food.One person was killed and 50 wounded when tanks and drones opened fire as crowds were waiting to collect aid near the Wadi Gaza Bridge in the middle of the territory, Bassal said.The civil defence said another six people were killed nearby while trying to reach the same aid centre.Asked for comment, the Israeli military told AFP its forces “fired warning shots to distance suspects who approached the troops”, adding it was not aware of any injuries but would review the incident.At least one more person was killed near another aid centre in Rafah, the civil defence said.Media restrictions in Gaza and difficulties in accessing many areas mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by rescuers.A group of 169 aid organisations called Monday for an end to Gaza’s “deadly” new US- and Israeli-backed aid distribution scheme, which they said forced starving civilians to “trek for hours through dangerous terrain and active conflict zones, only to face a violent, chaotic race” for food.They urged a return to the UN-led aid mechanism that existed until March, when Israel imposed a full blockade on humanitarian assistance entering Gaza during an impasse in truce talks with Hamas.The new scheme’s administrator, the Gaza Humanitarian Foundation (GHF), has distanced itself from reports of aid seekers being killed near its centres.The Israeli army said it had also opened a review into a strike on a seafront Gaza cafe on Monday that it said had targeted militants.The civil defence agency reported that the attack killed 24 people.Maher Al-Baqa, 40, the brother of the owner of the cafe, told AFP that several of his relatives including two nephews were killed in the strike.”It’s one of the most well-known cafes on the Gaza coast, frequented by educated youth, journalists, artists, doctors, engineers and hardworking people,” he said.”They used to feel free and safe there — it was like a second home to them.”The military maintained it had taken steps “to mitigate the risk of harming civilians using aerial surveillance”.- PM’s US visit -Netanyahu announced he would visit Trump and senior US security officials next week, after previously saying Israel’s campaign against Iran had created “opportunities”, including for freeing hostages held in Gaza.Israel’s declaration of victory in the recent 12-day war has raised pressure on it to put a similar end to more than 20 months of devastating fighting in Gaza.”Taking advantage of the success is no less important than achieving the success,” Netanyahu said at the start of a cabinet meeting on Tuesday.Hamas official Taher al-Nunu told AFP the group is “ready to agree to any proposal if it will lead to an end to the war and a permanent ceasefire and a complete withdrawal of occupation forces”.”So far, there has been no breakthrough.”