Des Soudanais s’attellent à la reconstruction de Khartoum ravagée par la guerre

Dans les rues de la capitale soudanaise Khartoum, ravagée par la guerre, ouvriers et volontaires s’affairent à déblayer les décombres, dégager les arbres tombés et réparer les réseaux électrique et d’eau.La guerre civile déclenchée en 2023 a dévasté la capitale et poussé près de la moitié de ses quelque neuf millions d’habitants à la fuite. Conquise par les paramilitaires au début de la guerre, elle a été reprise par l’armée en mars dernier.Aujourd’hui, la reconstruction est enfin lancée, menée par des agences gouvernementales et des groupes de volontaires, qui oeuvrent aussi à la réhabilitation des hôpitaux et des écoles.”Nous travaillons pour réparer les infrastructures”, explique l’un d’entre eux, Mostafa Awad. A proximité, le bruit des marteaux et des pelles résonne.Des centaines de personnes se sont retroussé les manches mais la tâche s’annonce ardue au vu des destructions et pillages et en raison des pénuries d’outils et de matériel. L’ONU estime à environ 350 millions de dollars le coût de la réhabilitation des infrastructures de base. Mais la reconstruction complète “prendra des années et (coûtera) plusieurs milliards de dollars”, déclare à l’AFP Luca Renda, coordinateur résident de l’ONU.Via son agence pour le développement, PNUD, l’ONU a mis en place des programmes “argent contre travail” pour mobiliser des bras. La plupart des projets de reconstruction sont aujourd’hui financés localement.- Munitions non explosées -Les rues sont encombrées de décombres de bâtiments, de voitures calcinées, désossées, aux pneus fondus dans l’asphalte, de pylônes noircis et poteaux électriques abattus, ont constaté des correspondants de l’AFP. Le tout surmonté d’immeubles résidentiels éventrés et vides. Autre défi, les dizaines de milliers de munitions non explosées abandonnées par les combattants, que les autorités s’emploient à dégager.L’ONU a rapporté ce mois-ci que des mines avaient aussi été découvertes dans la capitale. Avant d’être chassés par l’armée, les paramilitaires ont procédé à des pillages et destructions systématiques -du matériel médical aux pompes à eau en passant par les câbles en cuivre.”Normalement, dans une zone de guerre, on voit des destructions massives, mais rarement une situation similaire à celle de Khartoum”, relève Luca Renda. “Tous les câbles ont été arrachés des habitations, toutes les canalisations ont été détruites.”Un responsable du département de l’électricité, Mohamed el-Béchir, décrit des “dégâts immenses”.”Certaines centrales électriques ont été complètement détruites”, les paramilitaires “ont spécifiquement ciblé l’huile des transformateurs et les câbles en cuivre”, dit-il à l’AFP. De vastes zones de Khartoum sont privées d’électricité et, faute d’approvisionnement fiable en eau, une épidémie de choléra s’est propagée en ville.Les autorités sanitaires ont signalé jusqu’à 1.500 nouveaux cas par jour en juin, selon l’ONU.Lors de sa première visite à Khartoum en juillet, le Premier ministre soudanais, Kamel Idris, a affirmé que “Khartoum redeviendra une capitale nationale fière”.- De l’espoir -Alors que la guerre fait encore rage ailleurs au Soudan entre l’armée du général Abdel Fattah al-Burhane et les paramilitaires de Mohamed Hamdane Daglo, le pouvoir a commencé à planifier son retour à Khartoum et prévu d’y réaménager le quartier d’affaires et gouvernemental dévasté.Il avait après le début de la guerre transféré son siège à Port-Soudan (est).Dans le centre-ville de Khartoum, un ouvrier, les mains couvertes de boue, empile des briques à côté d’un bâtiment en ruines.D’autres dégagent des gravats d’une maison, des morceaux de béton et de métal à bord de brouettes, ou installent des tuyaux dans des murs endommagés.Sur une route, des hommes transportent un arbre tombé sur un camion.”Nous manquons d’outils, de fournitures sanitaires et de fer”, déplore Mohamed El Ser, un ouvrier du bâtiment. L’ONU prévoit le retour de jusqu’à deux millions de personnes à Khartoum d’ici fin 2025.Ceux rentrés, estimés à des dizaines de milliers, disent avoir de l’espoir même si la situation reste difficile. “Les conditions de vie s’améliorent”, affirme Ali Mohamed. “La situation est stable, et les services essentiels commencent à revenir, comme l’eau, l’électricité et même les soins médicaux de base”.

Des Soudanais s’attellent à la reconstruction de Khartoum ravagée par la guerre

Dans les rues de la capitale soudanaise Khartoum, ravagée par la guerre, ouvriers et volontaires s’affairent à déblayer les décombres, dégager les arbres tombés et réparer les réseaux électrique et d’eau.La guerre civile déclenchée en 2023 a dévasté la capitale et poussé près de la moitié de ses quelque neuf millions d’habitants à la fuite. Conquise par les paramilitaires au début de la guerre, elle a été reprise par l’armée en mars dernier.Aujourd’hui, la reconstruction est enfin lancée, menée par des agences gouvernementales et des groupes de volontaires, qui oeuvrent aussi à la réhabilitation des hôpitaux et des écoles.”Nous travaillons pour réparer les infrastructures”, explique l’un d’entre eux, Mostafa Awad. A proximité, le bruit des marteaux et des pelles résonne.Des centaines de personnes se sont retroussé les manches mais la tâche s’annonce ardue au vu des destructions et pillages et en raison des pénuries d’outils et de matériel. L’ONU estime à environ 350 millions de dollars le coût de la réhabilitation des infrastructures de base. Mais la reconstruction complète “prendra des années et (coûtera) plusieurs milliards de dollars”, déclare à l’AFP Luca Renda, coordinateur résident de l’ONU.Via son agence pour le développement, PNUD, l’ONU a mis en place des programmes “argent contre travail” pour mobiliser des bras. La plupart des projets de reconstruction sont aujourd’hui financés localement.- Munitions non explosées -Les rues sont encombrées de décombres de bâtiments, de voitures calcinées, désossées, aux pneus fondus dans l’asphalte, de pylônes noircis et poteaux électriques abattus, ont constaté des correspondants de l’AFP. Le tout surmonté d’immeubles résidentiels éventrés et vides. Autre défi, les dizaines de milliers de munitions non explosées abandonnées par les combattants, que les autorités s’emploient à dégager.L’ONU a rapporté ce mois-ci que des mines avaient aussi été découvertes dans la capitale. Avant d’être chassés par l’armée, les paramilitaires ont procédé à des pillages et destructions systématiques -du matériel médical aux pompes à eau en passant par les câbles en cuivre.”Normalement, dans une zone de guerre, on voit des destructions massives, mais rarement une situation similaire à celle de Khartoum”, relève Luca Renda. “Tous les câbles ont été arrachés des habitations, toutes les canalisations ont été détruites.”Un responsable du département de l’électricité, Mohamed el-Béchir, décrit des “dégâts immenses”.”Certaines centrales électriques ont été complètement détruites”, les paramilitaires “ont spécifiquement ciblé l’huile des transformateurs et les câbles en cuivre”, dit-il à l’AFP. De vastes zones de Khartoum sont privées d’électricité et, faute d’approvisionnement fiable en eau, une épidémie de choléra s’est propagée en ville.Les autorités sanitaires ont signalé jusqu’à 1.500 nouveaux cas par jour en juin, selon l’ONU.Lors de sa première visite à Khartoum en juillet, le Premier ministre soudanais, Kamel Idris, a affirmé que “Khartoum redeviendra une capitale nationale fière”.- De l’espoir -Alors que la guerre fait encore rage ailleurs au Soudan entre l’armée du général Abdel Fattah al-Burhane et les paramilitaires de Mohamed Hamdane Daglo, le pouvoir a commencé à planifier son retour à Khartoum et prévu d’y réaménager le quartier d’affaires et gouvernemental dévasté.Il avait après le début de la guerre transféré son siège à Port-Soudan (est).Dans le centre-ville de Khartoum, un ouvrier, les mains couvertes de boue, empile des briques à côté d’un bâtiment en ruines.D’autres dégagent des gravats d’une maison, des morceaux de béton et de métal à bord de brouettes, ou installent des tuyaux dans des murs endommagés.Sur une route, des hommes transportent un arbre tombé sur un camion.”Nous manquons d’outils, de fournitures sanitaires et de fer”, déplore Mohamed El Ser, un ouvrier du bâtiment. L’ONU prévoit le retour de jusqu’à deux millions de personnes à Khartoum d’ici fin 2025.Ceux rentrés, estimés à des dizaines de milliers, disent avoir de l’espoir même si la situation reste difficile. “Les conditions de vie s’améliorent”, affirme Ali Mohamed. “La situation est stable, et les services essentiels commencent à revenir, comme l’eau, l’électricité et même les soins médicaux de base”.

L’Afrique peut devenir une “superpuissance du renouvelable”, dit Guterres

L’Afrique a tout pour devenir une “superpuissance du renouvelable”, a affirmé jeudi le chef de l’ONU Antonio Guterres, en appelant à davantage d’investissements dans l’énergie verte sur ce continent riche en ressources.”Nous devons mobiliser des financements et des technologies, afin que la richesse naturelle de l’Afrique profite aux populations africaines. Nous devons construire une base florissante pour les énergies renouvelables et leur production à travers le continent”, a déclaré M. Guterres lors de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD).”L’Afrique a tout ce qu’il faut pour devenir une superpuissance du renouvelable, du solaire et de l’éolien aux minéraux critiques qui alimentent les nouvelles technologies”, a-t-il affirmé.”L’énergie verte en Afrique réduit les coûts énergétiques, diversifie les chaînes d’approvisionnement et accélère la décarbonation pour tous”, a ajouté le chef de l’ONU, qui s’est exprimé dans le cadre de ce rassemblement de trois jours auquel assistent une cinquantaine de pays africains.Le Japon souhaite profiter de cette 9e TICAD pour se présenter comme une alternative à la Chine au moment où le continent africain fait face à une crise de la dette et souffre du changement climatique.Au cours de la dernière décennie, la Chine a massivement investi en Afrique, finançant à coup de milliards de dollars la construction de ports maritimes, de chemins de fer, de routes et d’autres projets d’infrastructures.Mais les pays africains font désormais face à une “vague” de dettes envers la Chine et les créanciers privés, avait averti en mai l’Institut Lowy, un cercle de réflexion australien.A cela s’ajoute la réduction de l’aide occidentale, en particulier depuis le démantèlement de l’Agence américaine pour le développement international (USAID) par le président américain Donald Trump.M. Guterres a également averti que “la dette ne doit pas étouffer le développement” et que l’Afrique a besoin de financements et d’une plus grande capacité de prêt des banques multilatérales de développement.Parmi les participants, le président du Kenya, William Ruto, a déclaré sur X que son pays était en négociation avec le constructeur automobile japonais Toyota pour la fourniture de 5.000 “véhicules électriques” dans le cadre de l'”engagement du pays envers l’énergie propre”.Dans son discours d’ouverture mercredi, le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba a annoncé un plan pour former 30.000 personnes à l’intelligence artificielle en Afrique sur trois ans et pour étudier l’idée d’un partenariat économique Japon-Afrique.”L’Afrique, avec un âge médian de 19 ans, déborde de vitalité juvénile. La clé pour faire de l’Afrique le prochain centre de croissance est de renforcer les capacités des jeunes et des femmes et de leur assurer un emploi,” a déclaré Ishiba.

Contamination au cadmium: gare à l’abus de chocolat, avertit l’UFC-Que Choisir

Le chocolat contient une quantité “non négligeable” de cadmium, métal lourd aux effets nocifs pour la santé, met en garde jeudi l’UFC-Que Choisir, qui préconise de “modérer sa consommation”, en particulier chez les enfants.Selon l’association de défense des consommateurs, déguster dans la même journée deux biscuits fourrés Bjorg, un bol de Chocapic et une tasse de chocolat chaud Poulain apporte à un enfant de 10 ans “près de la moitié de la dose maximale quotidienne de cadmium” à partir de laquelle un risque sanitaire est possible.La valeur toxicologique de référence (VTR) de ce métal qui s’accumule dans l’organisme et expose à un risque accru de pathologies cardiovasculaires et de cancer a été fixée à “0,35 microgramme (μg) de cadmium par kilogramme de poids corporel par jour” par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).Début juin, des médecins libéraux avaient alerté sur la contamination massive des Français – principalement les enfants et les femmes – au cadmium via des engrais phosphatés utilisés en agriculture, qui se retrouvent notamment dans les céréales du petit déjeuner, le pain ou les pommes de terre.Si les produits cacaotés mentionnés dans l’enquête d’UFC-Que Choisir respectent la teneur maximale réglementaire en cadmium d’après l’analyse réalisée par un laboratoire indépendant pour l’association en 2022, celle-ci explique à l’AFP que les consommateurs peuvent malgré tout “dépasser la dose journalière tolérable en consommant plusieurs produits contenant du cadmium dans une même journée”. Selon l’enquête, une portion de 50 grammes de biscuits Bjorg fourrés au chocolat noir représente 20% de cette valeur toxicologique de référence chez un enfant, contre 8% pour un adulte. Une part qui atteint 11% chez l’enfant et 5% chez l’adulte pour une portion de 46 grammes de Chocapic, ou encore 17% et 7% pour 13,5 grammes de chocolat en poudre Poulain grand arôme intense 70% de cacao.Des teneurs confirmées à l’association par Bjorg et par Carambar&Co, propriétaire de la marque Poulain, Nestlé ayant pour sa part indiqué à l’AFP ne pas ajouter de cadmium mais que celui-ci peut être “présent à l’état de traces dans certaines matières premières”. L’UFC-Que Choisir pointe en outre la présence encore plus forte du cadmium dans le chocolat bio et suggère de privilégier les tablettes bio “dont les fèves ne sont pas importées d’Amérique latine”, car le cadmium est très présent naturellement dans certaines zones de production de cette région. L’Anses indiquait début juin à l’AFP qu’elle devrait publier “en fin d’année” ses travaux en cours visant à évaluer l’exposition humaine au cadmium, afin de définir “des leviers d’action pour réduire l’imprégnation de la population française”.

Texas Republicans advance map that reignited US redistricting wars

The Texas legislature’s lower chamber passed a contentious new electoral map on Wednesday that aims to help Donald Trump’s Republican Party retain its razor-thin US House majority in the 2026 midterm elections.The vote had been delayed by two weeks after Democratic legislators fled the southern state to halt the redistricting drive, which carves out five new Republican-friendly districts.More than 50 Democrats walked out, stalling legislative business and generating national headlines as they sought to draw attention to the rare mid-decade redistricting push.The Democratic lawmakers returned this week, but not before their protest had set off a national map-drawing war, with Trump pressuring his party’s state-level officials to do everything they can to protect the majority in the US House of Representatives.The stakes are sky-high for Trump, who will be bogged down in investigations into almost every aspect of his second term if Democrats manage to flip the handful of districts nationwide needed to win back the House in next year’s midterm elections.Trump hailed the “Big WIN for the Great State of Texas” on Wednesday night.”Everything Passed, on our way to FIVE more Congressional seats and saving your Rights, your Freedoms, and your Country, itself,” he wrote on his Truth Social platform. “Texas never lets us down.”The president also suggested Florida, Indiana and other states were looking into pursuing similar redistricting to benefit Republicans while once again calling to “STOP MAIL-IN VOTING.” Trump — who has long railed against postal ballots, even though they have benefited his party and he has voted by mail — said in a separate post: “END MAIL-IN VOTING, AND GO TO PAPER BALLOTS. 100 additional seats will go to Republicans!!!”As lawmakers in Texas debated the electoral map, Democratic representative Chris Turner called it a “clear violation of the Voting Rights Act and the constitution,” according to Austin-based news site The Texas Tribune.Republican leaders of the Texas House sped up the normal legislative process, bringing the new map to a final vote Wednesday evening. It passed along party lines 88-52.After the state House’s green light, it moves to the state Senate, where it has passed in a previous session, before heading to Republican Governor Greg Abbott’s desk.- Playing hardball -Individual states redraw their own congressional districts, usually only once every 10 years, after the US Census.But “redistricting can be done at any point in time,” argued the Texas map’s sponsor, Republican Todd Hunter, according to the Tribune. “The underlying goal of this plan is straightforward: improve Republican political performance.”There is little Democrats in Texas can do to thwart the map change, but it has prompted retaliation in California, and serious discussions in other Democratic-led states alarmed that the Texas maneuver could be replicated nationwide.Republicans are mulling drawing at least 10 new seats and are targeting Ohio, Missouri, New Hampshire, Indiana, South Carolina and Florida.Trump on Monday posted the proposed map of Texas on Truth Social, calling it “one of the most popular initiatives I have ever supported.”State lawmakers in Democratic stronghold California — the most populated and richest US state — introduced three bills on Monday to create a voter referendum this year for a new congressional map that would effectively counteract Texas.If approved, the referendum would appear on California’s November 4 ballot.”Nothing about this is normal, and so we’re not going to act as if anything is normal any longer,” Governor Gavin Newsom told reporters Wednesday.”Yes, we’ll fight fire with fire. Yes, we will push back. It’s not about whether we play hardball anymore, it’s about how we play hardball.”New York Democrats may follow suit, with Governor Kathy Hochul calling the Texas redistricting plan nothing short of a “legal insurrection.”

Menendez brothers face parole board seeking freedom after parents murders

Lyle and Erik Menendez will appear before California’s parole board to seek freedom this week, more than 35 years after the shotgun murders of their parents in the family’s luxury Beverly Hills home.The separate hearings — Erik on Thursday, Lyle on Friday — are the latest chapter in a long campaign waged by friends, family and celebrities like Kim Kardashian to get the brothers out of prison.They come after a Los Angeles judge this year reduced their original open-ended sentence to a term of 50 years, and as the men said, they accepted full responsibility for the grisly 1989 killings.Now the brothers will be seeking to convince parole panels that they are reformed and pose no danger to the public.”For more than 35 years, they have shown sustained growth. They have taken full accountability,” said a statement from The Justice for Erik and Lyle Coalition, a support group that includes family members.”They express sincere remorse to our family to this day and have built a meaningful life defined by purpose and service.”- ‘Mafia hit’ -Blockbuster trials in the 1990s heard how the men killed Jose and Kitty Menendez in what prosecutors said was a cynical attempt to get their hands on a large family fortune.After setting up alibis and trying to cover their tracks, the men shot Jose Menendez five times with shotguns, including in the kneecaps.Kitty Menendez died from a shotgun blast as she tried desperately to crawl away from her killers.The brothers initially blamed the deaths on a mafia hit, but changed their story several times in the ensuing months.Erik, then 18, confessed to the murders in a session with his therapist.The pair ultimately claimed they had acted in self-defense after years of emotional and sexual abuse at the hands of a tyrannical father.During their decades in prison, changing social mores and greater awareness of sexual abuse helped elevate the men to something approaching cultural icons.This status was nourished by a parade of docudramas and TV shows, including the hit Netflix miniseries “Monsters: The Lyle and Erik Menendez Story.”- ‘Horrific’ -The hearings in Sacramento, which will be closed to the public, are expected to last two to three hours each. One reporter will be present to act as a pool on behalf of the dozens of media outlets around the world which are expected to cover the hearings.Erik, 54, and Lyle, 57, will appear by video link from the San Diego prison where they are being held.Two or three panel members, whose identity is not being publicly released by the California Department of Corrections and Rehabilitation (CDCR), will quiz the men on their behavior and their attitudes towards their crimes.”The hearing panel will consider all relevant, reliable information available to the panel, which includes… criminal history, department records concerning the incarcerated person, and statements from the incarcerated person, victims’ family, the district attorney’s office, and the public,” the CDCR said.Los Angeles District Attorney Nathan Hochman opposed resentencing this year, and is expected to oppose parole.He has insisted that the men’s shifting explanations for the double deaths — they gave five different accounts in the course of the murder investigation — means they have not truly admitted their guilt.”The Menendez brothers have never fully accepted responsibility for the horrific murders of their parents,” Hochman said in a statement Wednesday.”Instead continuing to promote a false narrative of self-defense that was rejected by the jury decades ago.”Even if the panel grants parole, the men will not be freed immediately, with the decision subject to review by the board’s top lawyer in a process that can take up to four months.After that, the final decision rests with California Governor Gavin Newsom, who has 30 days in which he “may affirm, reverse, modify, or refer back to the Board any parole grant,” the CDCR says.In 2022, Newsom rejected a parole recommendation in the case of Sirhan Sirhan, who shot and killed Democratic presidential hopeful Robert F. Kennedy in 1968.

Weaponising the feed: Inside Kenya’s online war against activistsThu, 21 Aug 2025 05:22:16 GMT

When software developer Rose Njeri created a pro-democracy tool to help Kenyans object to a contested finance bill, she was thrown in jail and targeted by an online smear campaign.Njeri is the latest victim of a sophisticated online apparatus that targets and harasses government critics in Kenya, where rights groups warn of an escalating crackdown …

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Hong Kong: la défense de Jimmy Lai s’exprime lors des plaidoiries finales

La défense du militant prodémocratie Jimmy Lai doit à nouveau s’exprimer jeudi à Hong Kong lors des plaidoiries finales de son procès pour atteinte à la sécurité nationale, après avoir déclaré qu’il était bon de “soutenir la liberté d’expression”.L’homme d’affaires âgé de 77 ans est accusé de collusion avec des forces étrangères et encourt l’emprisonnement à perpétuité.Les autorités affirment que le fondateur du journal Apple Daily, de nationalité britannique, a fait pression sur des gouvernements occidentaux pour qu’ils imposent des sanctions à la Chine et à sa région administrative spéciale de Hong Kong. Jimmy Lai est également accusé d’avoir écrit des textes séditieux dans son journal.Le quotidien Apple Daily a dû fermer en raison de son soutien aux grandes manifestations prodémocratie de 2019 à Hong Kong, parfois violentes, après lesquelles Pékin a mis en place une loi de sécurité nationale dans ce haut-lieu de la finance mondiale – celle qui vaut à l’homme d’affaires d’être poursuivi.Mercredi, lors des plaidoiries finales, l’avocat de M. Lai, Robert Pang, a déclaré à la cour qu’il n’était “pas mauvais de soutenir la liberté d’expression” et les droits humains. “Il n’est pas mauvais d’essayer de persuader le gouvernement de changer sa politique”, a-t-il ajouté.Plus tôt mercredi, le procureur Anthony Chau a jugé que le témoignage de Jimmy Lai, intervenu plus de 50 jours à l’audience, n’était “pas crédible”.Décrire l’Apple Daily comme un “défenseur neutre des valeurs fondamentales de Hong Kong” est “tout à fait trompeur”, a déclaré Anthony Chau à la cour. Jimmy Lai “et l’Apple Daily ont été anticommunistes pendant de nombreuses années”, et le magnat des médias “a glorifié la violence (…) et le martyre contre le régime du (Parti communiste chinois)”, a-t-il affirmé.Il a ajouté que de nombreuses correspondances prouvaient ses liens avec des personnalités politiques occidentales, et un projet pour faire mettre en place des sanctions contre la Chine et Hong Kong lors des manifestations massives de 2019.Des pays occidentaux et organisations de défense des droits humains appellent à la libération de l’homme d’affaires, en détention depuis décembre 2020. La semaine dernière, les plaidoiries finales avaient été reportées en raison de “palpitations” cardiaques chez Jimmy Lai.

Hong Kong: la défense de Jimmy Lai s’exprime lors des plaidoiries finales

La défense du militant prodémocratie Jimmy Lai doit à nouveau s’exprimer jeudi à Hong Kong lors des plaidoiries finales de son procès pour atteinte à la sécurité nationale, après avoir déclaré qu’il était bon de “soutenir la liberté d’expression”.L’homme d’affaires âgé de 77 ans est accusé de collusion avec des forces étrangères et encourt l’emprisonnement à perpétuité.Les autorités affirment que le fondateur du journal Apple Daily, de nationalité britannique, a fait pression sur des gouvernements occidentaux pour qu’ils imposent des sanctions à la Chine et à sa région administrative spéciale de Hong Kong. Jimmy Lai est également accusé d’avoir écrit des textes séditieux dans son journal.Le quotidien Apple Daily a dû fermer en raison de son soutien aux grandes manifestations prodémocratie de 2019 à Hong Kong, parfois violentes, après lesquelles Pékin a mis en place une loi de sécurité nationale dans ce haut-lieu de la finance mondiale – celle qui vaut à l’homme d’affaires d’être poursuivi.Mercredi, lors des plaidoiries finales, l’avocat de M. Lai, Robert Pang, a déclaré à la cour qu’il n’était “pas mauvais de soutenir la liberté d’expression” et les droits humains. “Il n’est pas mauvais d’essayer de persuader le gouvernement de changer sa politique”, a-t-il ajouté.Plus tôt mercredi, le procureur Anthony Chau a jugé que le témoignage de Jimmy Lai, intervenu plus de 50 jours à l’audience, n’était “pas crédible”.Décrire l’Apple Daily comme un “défenseur neutre des valeurs fondamentales de Hong Kong” est “tout à fait trompeur”, a déclaré Anthony Chau à la cour. Jimmy Lai “et l’Apple Daily ont été anticommunistes pendant de nombreuses années”, et le magnat des médias “a glorifié la violence (…) et le martyre contre le régime du (Parti communiste chinois)”, a-t-il affirmé.Il a ajouté que de nombreuses correspondances prouvaient ses liens avec des personnalités politiques occidentales, et un projet pour faire mettre en place des sanctions contre la Chine et Hong Kong lors des manifestations massives de 2019.Des pays occidentaux et organisations de défense des droits humains appellent à la libération de l’homme d’affaires, en détention depuis décembre 2020. La semaine dernière, les plaidoiries finales avaient été reportées en raison de “palpitations” cardiaques chez Jimmy Lai.